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Université de Marne-la-Vallée les LAN supportent les protocoles des couches supérieures
Ethernet est représentatif des évolutions des
technologies de réseaux LAN (débits, supports)
duris@univ-mlv.fr
C'est aujourd'hui la technologie la plus largement utilisée
jusqu'en 1990/1995, d'autres concurrents coexistaient
pratiquement tous relégués au rang de techno. secondaire
Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 1 Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 2
Plan Bibliographie
Réseaux. 4ème éd. Andrew Tanenbaum, Pearson Education 2003.
Origines, besoins, historique des LAN Analyse structurée des réseaux. Kurose & Ross, Pearson Education 2003.
30 ans d'histoire Java et Internet Concepts et programmation. Roussel et Duris, Vuibert 2002.
Principes basiques de fonctionnement et normalisation High Speed LAN Technology Handbook. Chowdhury. Springer 2000.
Les réseaux. 3ème éd. Guy Pujolle, Eyrolles 2000.
Trame, protocole, supports, signalisation, composants
Réseaux haut débits. Tome 1. 2ème éd. D Kofman et M. Gagnaire, Dunod 1999.
Élargissement des compétences d'Ethernet Les réseaux locaux commutés et ATM. Alexis Ferréro, InterEditions 1998.
LAN virtuels (VLAN), Ethernet sans fil (WiFi, IEEE802.11) Gigabit Networking. Craig Partridge. Adisson Wesley 1994.
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Besoins des LAN Les autres dénominations de réseaux
Relier différentes machines sur le même médium, à MAN Metropolitan Area Network
l'échelle d'un bâtiment, voire d'un site. Augmentation de couverture ( 100 km) et du débit
De l'ordre de la centaine de connexions maximal ( 100 Mbit/s). Ex. FDDI, DQDB, ATM.
Couverture géographique de l'ordre du kilomètre Quelques dizaines d'accès, sur quelques dizaines de
Le terme LAN (Local Area Network) regroupe les termes mètres, de l'ordre de 100 Mbit/s à plusieurs Gigabits/s.
francophones suivants: (Fibre Channel, HiPPI, Fast Ethernet/Gibabit, ATM)
RLI: Réseaux Locaux Industriels Longues distances (mondial). Lignes louées, X.25 Frame
MAN
point (PPP Point to Point Protocol, HDLC High-level Data Link Control)
Bus
Soit on doit relier plus de 2 machines: liaison à diffusion
machine
LAN Protocoles à partage de canal
1Mbit/s Multiplexage par répartition dans le temps (TDM), en
WAN
fréquence (FDM) ou par répartition de code (CDMA)
Protocoles à accès aléatoire
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Méthode d'accès aléatoire: Aloha ALOHA et compagnie
ALOHA discrétisé (slotted)
1970. Norman Abramson (Université de Hawaï) Possibilité d'utiliser la totalité du débit si on est seul
ALOHA discrétisé (slotted) ou à allocation temporelle (72): Requiert la synchronisation entre machines
Toutes les trames ont une taille fixe ALOHA pur (version initiale)
Le temps est divisé en intervalles permettant la transmission Pas de synchronisation ni de découpage en intervalle
d'une trame
CSMA (Carrier Sense Multiple Access)
Les expéditeurs débutent les émissions au début d'un
intervalle de temps (ils sont synchrones)
Les expéditeurs sont informés de toute collision avant la fin de est déjà en train d'émettre
l'intervalle de temps auquel elle se produit Persistant (attente après collision et émission dès que libre)
Si il y a une collision, elle est détectée avant la fin de Non-persistant (écoute, attente, écoute... jusqu'à libre)
l'intervalle de temps en cours: l'expéditeur la retransmet au CSMA/CD (Collision Detection)
cours des intervalles de temps suivant avec une probablité p,
jusqu'à un succès. Interrompre l'émission dès qu'une collision est détectée
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Accès Multiple
Comparaison CSMA et Aloha
Minimisation
Copyright A. Tanenbaum, Pearson Education, 2003 Contention pure Sans Contention
de contention
-> octets par seconde Ko/s (bytes per second Kb/s).
Méthode de partage des accès: droit de parole
Codage de l'information: débit d'information unitaire
Standardisation (état des normes) transmis sur un médium (bits):
Format des trames (unité de donnée) -> bits transmis par seconde Kbit/s
Signalisation physique pour représenter l'information
Distance de couverture (longueur max. des liens)
-> signaux distincts par secondes = Bauds
Nombre d'accès (limite sup. des connexions) Rapidité de modulation du signal
Médias et connectique (câbles & topologie) i.e. nombre de changements d'état par seconde
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Couche physique Couche liaison de données
horloges, synchronisation
MAC (partie basse) Medium Access Control
Valeurs relatives au médium, paramètres électriques ou
optiques et mécaniques des liaisons / connectique.
Tous les LAN sont orientés et sans connexion
PMD (partie basse) Physical Medium Dependent
LLC (partie haute) Logical Link Control
Dédiée à un médium ou à un débit spécifique
PHY (partie haute)
Type 1. Sans acquittement ni connexion (IP, IPX)
Gère les fonctionnalités communes
Type 3. Acquittement sans connexion
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Application
Transport Transport
Initialement 2,94 Mbit/s, câble coaxial, ≤256 ordinateurs
Réseau Réseau
Liaison données Liaison données
Physique Physique 1979 : création du Consortium DIX (DEC, Intel, Xerox)
Répéteur
Routeur Puis création de l'IEEE Projet 802
Commutateur
(Institute of Electrical and Electronic Engineers)
Point Internet
d'accès 802.1 : High Level Internetwork Interface (HILI)
Et un groupe DLMAC...
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Data Link & Medium Access Control Standardisations
Detection (CSMA/CD) : Ethernet Des différences mineures subsistent
-> Initialement dirigé par DEC, Intel et Xerox
Autres organismes de normalisation...
Rudimentaire, mais simple à administrer
NIST (National Institute of Standards and Technology)
802.4 : Token Bus
-> Sponsorisé par Burroughs, Concord Data Systems,
Honeywell et Western Digital ANSI (American National Standards Institute)
ISO (International Standardization Organization)
802.5 : Token Ring
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802.1 High Level Interface, Network Management, Bridging, Glossary Carte d'Interface Réseau (NIC)
802.4 Token Bus
802.5 Token Ring (LAN IBM)
802.6 Metropolitan Area Network (DQDB : Double Queue Dual Bus) Permet d'émettre et de recevoir des trames
802.7 Broadband LAN Technical Advisory Group
802.8 Fiber Optic Technical Advisory Group
802.9 Integrated Service LAN (IsoEthernet), pour isochrone (temps réel) nous nous intéresserons à Ethernet et/ou IEEE 802.3
802.12 Demand Priority LAN (100VG - AnyLAN) Par exemple de type IP par les mécanismes ARP ou DHCP
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Adresses MAC Adresses MAC (Ethernet)
Identifie chaque carte d'interface sur le réseau local Les octets sont transmis le bit de poids faible en premier
Nécessairement unique (pour un réseau donné) (LSB, Least Significant Bit first)
Premier bit transmis: I/G : Individuel (0) / Groupe (1)
Partie dépendant du constructeur et numéro de série
Adressage standardisé IEEE 802
adresse administrée de manière Universelle (0) / Locale (1)
CSMA/CD, Token Bus, Token Ring, DQDB
Également pour FDDI et ATM Unique Identifier). Ex: 00:00:0C (Cisco) 00:C0:4F (DELL)
Longueur 6 octets, représentés en hexadécimal Les 24 bits restant sont des numéros de série
3 octets 3 octets
Classiquement sous l'une des formes
AC-DE-48-00-00-80, soit 1010 1100-1101 1110-...
Ce qui correspond, lors d'une transmission LSB, à la suite:
premier octet | second octet | ... CSMA/CD : détection de porteuse et des collisions
lsb msb
Les composants de signalisation
0011 0101 0111 1011 0001 0010 0000 0000 0000 0000 0000 0001
Interface Ethernet, transceiver (+ câble), répéteur
C A E D 8 4 0 0 0 0 0 8
Le médium physique
D A E D 8 4 0 0 0 0 0 8
Bit I/G
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OSI versus IEEE La trame Ethernet
Correspondance entre les 7 couches OSI et 802.3 Trame Ethernet II (selon le consortium DIX)
Bus de la machine hôte
Liaison de données
} AUI
7 octets 1 octet
Délim. Adresse
6 octets 6 octets
Adresse
2 octets
Long.
46 à 1500 octets 4 octets
Séquence
Physique PMA
Attachement au
Médium Physique
Médium
MDI } MAU
Transciever
Préambule Début MAC
Trame destination
MAC
source
/ Type
LLC / Données / Bourrage Contrôle
de Trame
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Préambule: 8 octets ou 64 bits pour synchroniser Champ Type d'Ethernet II (16 bits = 2 octets)
1010101010 ... ... ... ... ... ... 10101011 Indique le protocole de haut niveau transporté
Pratiquement, DIX et 802.3 ne font pas de différence 0x0800 trame IP, 0x0805 X.25, 0X0806 ARP...
Crée une fréquence de 5 MHz reconnue dans le PLS Champ Longueur/Type de IEEE 802.3 (16 bits)
Adresses destination et source (6 octets chacune) Indique le nombre d'octets dans le champ de données
Attribuées par constructeurs de cartes d'interface Ethernet Si ≤ 1518, c'est la taille des données en octets
24 bits propres au constructeur (OUI, assigné par IEEE) Si ≥ 1536 (0x600), c'est utilisé comme le type des données
Adresses multicast, dont broadcast (FF-FF-FF-FF-FF-FF) Les trames Ethernet et 802.3 sont « compatibles »
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Données LLC et SAP PDU de LLC 802.2
SAP (Service Access Point) Un PDU (Protocol Data Unit) de LLC contient:
Utilisés en cas de besoin de service de fiabilité, par ex Un point d'accès (SAP) au service destination;
Remplace alors le champ type Un point d'accès au service source
7 octets 1 octet 6 octets 6 octets 2 octets 46 à 1500 octets 4 octets Identifiants du protocole de + haut niveau auquel les
Délim. Adresse
Préambule Début
Adresse Lon-
LLC / Données
Séquence données sont destinées (idem au champ Type d'Ethernet II)
MAC MAC Contrôle
gueur
Trame destination source de Trame Ce sont des sortes de « ports » ou boîtes aux lettres
Leur valeur est choisie par l'IEEE
PDU 1 octet 1 octet 1 ou 2 octets Un champ de contrôle: « information » et « supervision »
(Protocol SAP SAP
Contrôle
sur 2 octets ou « non numéroté » sur 1 octet
destination source
Data Variation: Ethernet SNAP (multi.prot), NetWare Ethernet
Unit) (IPX/SPX)
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Cela incombe au logiciel de réseau CRC calculé sur les champs dest, src, type/lgr et données
IEEE 802.3
Détection de fin de trame
0 octets ≤ données dans une trame ≤ 1500 octets
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Codes détecteurs / correcteurs Notion de Trame
Un code détecteur d'erreur, tel que le CRC utilisé pour Objectif: découper le « train » de bits (flot de données) à
Ethernet, permet d'assurer qu'une trame est reçue sans émettre en morceaux délimités, i.e. en trames.
erreur de transmission
Différentes manières d'effectuer ce découpage:
La probabilité d'une erreur bit non détectée dans le cas
d'Ethernet est de 1 pour 4,3 milliards
Utiliser des caractères de début et de fin (caractères de
Un code correcteur d'erreur, tel que celui de Hamming, transparence);
permet non seulement de détecter une erreur, mais de
plus de savoir où elle s'est produite et de donner les Utiliser des fanions de début et de fin (bits de
moyens de la corriger. transparence);
Violer le codage utilisé dans la couche physique.
Faisons un apparté sur les codes...
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-V
½ temps bit à l'inverse de la valeur
Ajout des bits de transparence et des fanions + ½ temps bit à la valeur.
Violation du codage:
0111111001101111101111101111101001001111110
peut être utilisé pour délimiter les trames
Dernier Dernier
début bits de transparence fin +V
bit
J
+V
bit
K
-V -V
011011111111111111110010 -V -V
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Elles existent et existerons encore: La part de bruit dans un signal reçu (rapport S/B) est
Bruit thermique: agitation des électrons (cuivre) exprimée en Décibels (db).
=> bruit large spectre. Cf. rapport Signal/Bruit dans Unité logarithmique:
le Théorème de Shannon. quand S/B croit exponentiellement, le débit en décibels croit linéairement.
dépendent de leur fréquence (téléphone). où D = débit binaire maximal d'un canal bruité,
Diaphonie: proximité physique de deux lignes. F = bande passante utilisable dans le canal.
Etc.
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Erreurs Détecter
Taux d'erreurs moyen: simples ou par paquets? Trame: longueur n bits = m données + r contrôle
Codes correcteurs (beaucoup de redondance): l'ensemble des n bits est un mot du code
être capable de reconstituer les données originales Distance de Hamming d'un code est d
Codes détecteurs (juste un peu de redondance): => d erreurs simples pour passer d'un mot à un autre
être seulement capable de détecter, pas corriger 2m combinaisons de bits de données mais seule une
Distance de Hamming: (XOR) partie des 2n mots du code est accepté
nombre de bits différents entre 2 mots du code Détecter k erreurs nécessite une
Ex: 10001001 ^ 10110001 = 3 distance de Hamming de d=k+1.
10001001
10110001
00111000 d=k+1 k
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Hamming soit d'au moins
Bits aux puissance de 2
d=2k+1 d=2k+1 k 1 0 1 0 0 0 1 1 0 1 1 1
= bits de contrôle. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
Le nombre minimal de bits de contrôle r permettant de Les autres = bits de 20 21 22 23
corriger toutes les erreurs simples doit vérifier: données.
Chaque bit de donnée est contrôlé par les bits de contrôle
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Code de Hamming (suite) Codes polynomiaux
Arithmétique polynomiale modulo 2 + th. algébrique
Les positions de ceux qui sont faux sont cumulées et
Correction de paquets d'erreurs de longueur k
H: 1001000 0 0 1 1 0 0 1 0 0 0 0
On divise xr.M(x) par G(x) modulo 2 (reste R(x))
a: 1100001 1 0 1 1 1 0 0 1 0 0 1 On transmet le résultat T(x) = xr.M(x) - R(x)
m: 1101101 1 1 1 0 1 0 1 0 1 0 1
m: 1101101 1 1 1 0 1 0 1 0 1 0 1 K=7 A réception, on divise la trame reçue par G(X)
i: 1101001 0 1 1 0 1 0 1 1 0 0 1
n: 1101110 0 1 1 0 1 0 1 0 1 1 0 Reste nul si OK, sinon (T(x)+E(x)) / G(x) = E(x)/G(x)
g: 1100111 1 1 1 1 1 0 0 1 1 1 1 Si erreur, le récepteur reçoit T(x)+E(x).
kr bits de contrôle pour corriger un seul paquet d'erreurs nombre de bits inversés = nombre de coef. à 1 dans E(x)
d'au plus k bits sur un bloc de km bits de données. Si G(x)=(x+1).G'(x) alors les trames ayant un nombre impair
d'erreurs seront détectées.
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À émettre: 1101011011; générateur G(x): 10011 Il existe différents polynômes générateurs (G)
9 8 6 4
Ou encore x +x +x +x +x +x +x divisé par x +x +x 3 1 0 4 1 0 normalisés:
11010110110000 10011
10011 1100001010 Pour les caractères codés sur 6 bits
10011
10011 CRC-16 G(x) = x16+x15+x2+1
00001
CRC-CCITTG(x) = x16+x12+x5+1
00000
Pour les caractères codés sur 8 bits; produisent 16 bits
00010
... Dans le cas Ethernet, il génère un code sur 32 bits
1110
G(x) = x32+x26+x23+x22+x16+x12+x11+x10+x8+x7+x5+x4+x2+x+1
Trame émise: 11010110111110
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Contrôle d'accès au support physique CSMA/CD
Pour émettre = attendre l'absence de porteuse Si silence, attente de 96 temps bits (IFG) avant émission
Délai de silence obligatoire entre 2 trames
Le canal doit être au repos
Canal au repos + espace inter-trame -> émission => émission d'une séquence de brouillage, puis repli
Court délai après le passage au repos du canal 32 bits (différents du CRC) sont émis (96 bits min au total)
Si émission simultanée => détection de collision Attente pseudo aléatoire (multiple de 512 temps bits)
Les deux émetteurs réorganisent leur transmission Délai d'insertion, slot time ou temps d'acquisition du canal
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Collisions « in-window » A 1 B A 3 B
8 octets 8 octets 512 bits
Délai d'insertion B
Préambule JAM Préambule DA SA L/T Données JAM
= détecte
512 temps bits la
Collision
détectée
Collision
détectée Temps = temps
collision
taille minimale
Collision « out-window » d'une trame
A 2 B A 4 B
8 octets 512 bits
Multiple du délai d'insertion (r ∗ 512 temps bits) Couche PHY, mais réside dans l'équipement
r est un nombre aléatoire vérifiant 0 ≤ r < 2k Fonctions: émission/réception, encodage/décodage, de
TXC
TXEN
16 tentatives de retransmission maximum (contrôleur TXD
Data Out MAU
PLS Data In
LAN) COL
(Manchester Crtl In
RXC
(transceiveur)
CRS encodeur/ AUI
Data NRZ RXD décodeur)
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Codage unipolaire sans retour à zéro (NRZ) Le codage Manchester requiert une fréquence double du
Machine (horloge) +V
1 0 0 1 1 0 1
débit binaire.
+V
-V
½ temps bit à l'inverse de la valeur
1 0 0 1 1 0 1 1 0 0 1 1 0 1
+ ½ temps bit à la valeur. +V
1 0 0 1 1 0 1 0 -V
Codage Manchester différentiel +V
-V
Bit 0 = Changement de polarité 1 1
Salve de 10 bits après chaque trame émise Les transceivers disposent d'un interrupteur
Du transceiver vers l'interface Ethernet Ne pas confondre SQE Test, normal s'il fonctionne, avec
Très courte salve de bits sur CI à une fréquence de 10Mhz SQE qui est le signal d'une collision
Seulement du transceiver vers la NIC, rien vers le réseau L'absence de battement peut être interprété comme un
Émis pendant l'IFG, donc pas d'influence sur le débit dysfonctionnement du transceiver ou du réseau
Permet de tester l'électronique et le fil de signalisation de Désactivé sur un transceiver relié à un répéteur
collision
Les répéteurs de disposent pas de l'IFG. Ils doivent réagir
Interprété par l'interface comme un test réussi et non comme
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= 2 domaines de collision
Qualité du support physique (vitesse, propagation...)
Commutateur Répéteur
Différents « segments » peuvent être reliés (hub)
1 étoile = 1 domaine
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Répéteur Fonctions d'un répéteur
Dispose le plus souvent d'une carte Ethernet Synchronisation
distincts nécessite un pont, un commutateur ou un routeur Partitionnement
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Limitation des répéteurs Partitionnement
Pas plus d'un lien actif entre 2 répéteurs Capacité à isoler un segment défectueux
Plus généralement, pas de boucle en CSMA/CD Automatique et temporaire (réversible)
Nombre de répéteurs limité à 4 pour ≠ raisons Optionnel sur 10Base5 et 10Base2
Obligatoire sur 10Base-T
Temps maximal de parcours du signal
round-trip delay = 512 temps bit Soit si un signal de collision dure trop longtemps
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10Base5 ou thick Ethernet (épais) câble coaxial « Thick Ethernet » ( Ethernet épais)
10 pour le débit (Mbit/s), Base pour signal en bande de Coaxial (1cm de ∅, jaune, peu flexible, 50 ohms)
base et 5 pour la taille max. du segment (x100m) Jusqu'à 500 mètres de câble pour 1 segment
10Base2 ou thin Ethernet (fin) câble coaxial Max 100 machines, tous les 2,5 mètres (bandes noires)
Connectique N-type entre câbles
10Base-T : paire torsadée non blindée (UTP)
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10Base2 10Base-T
Jusqu'à 185 mètres de câble pour un segment
Dans ce cas, pas besoin de câble de transceiver (AUI)
Connectique T-BNC et barillet
Pour raccorder une machine directement au câble coaxial Connectique type RJ45 (8 broches)
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La liaison d'une station à une autre par un lien équipé de Pour relier deux machines entre elles, il faut donc
la même prise aux deux extrémités pose un problème inverser les connexions des fils aux broches de la prise
(symétrie). entre les deux extrémités (MDI-X)
2 fils sont dédiés à l'émission La broche d'émission doit être reliée à une broche de
8 7 6 5 4 3 2 1
8 7 6 5 4 3 2 1
8 7 6 5 4 3 2 1
8 7 6 5 4 3 2 1
Pour éviter d'avoir à sertir des câbles croisés, les FOIRL Fiber Optic InterRepeater Link (original)
répéteurs, hubs, etc. fournissent des ports dont les fils Seulement entre 2 répéteurs (ancien), 1000m max.
sont croisés en interne (marqués d'un « X »)
10Base-F (nouveau) 3 types de segments:
Câble croisé entre deux machines ou deux hubs (MDI-X)
Câblage « droit » entre une machine et un hub (MDI), car les
fils sont croisés à l'intérieur des ports des répéteurs 10Base-FB (Fiber Backbone) inter répéteurs
10Base-FP (Fiber Passive) segment optique passif
Port d'une station Port d'un répéteur (X)
1 1 (Passive star Fiber Ethernet) Concentrateur qui peut
Émission Émission
2 2
connecter jusqu'à 33 machines en étoile
3 3
Réception 6 6 Réception Codage Manchester avec lumière (LED ou laser)
allumée (1) ou éteinte (0)
Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 77 Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 78
2 brins ou un regroupement
Longeur d'onde 850 nm, perte max. 12,5 dB Gaine à faible indice Gaine à gradient d'indice
Distance maximale bien supérieure (beaucoup + cher) Pas de réflexion ni de dispersion nodale
Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 79 Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 80
Règles de configuration (10 Mbit/s) Exemples de configurations
MAU 5 segments
Modèle 1 (configuration « sur étagère ») AUI (50 mètres maximum)
Entre 2 équipements d'1 même domaine de collision R R R R
10Base5 10Base2
un maximum de 5 segments,
de 4 répéteurs, MAU
R R R R
La longueur d'un câble AUI pour 10Base-FL et 10Base-FP 10Base2 10Base-T
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R R R R
hybrides ou « mixing segments » ou coax)
10Base5 10Base2 FOIRL 10Base-T 10Base2
les 2 autres doivent alors être des segments de lien ≤500m ≤185m ≤500m ≤100m ≤185m
(« link segment »), i.e., point à point.
Chaque segment de lien fibre optique (FOIRL, 10Base-FL
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Règles 10 Mbit/s Modèle 1 (fin) Exemple 3 répéteurs / 4 segments
R R R au nombre de
segments « mixing »
La longueur de chaque segment inter-répéteur ne peut
« star »
R R R
excéder :
10Base-FL 10Base-FL 10Base-FP 10Base-FP
400 mètres pour 10Base-FL (ou FOIRL)
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Modèle 2 (cas différents de « sur étagère ») Modélisation du réseau sous cette forme:
Modèles de réseaux
M M R M M R M M
droite
Station Station
Trouver les « pires chemins » Segment Segment Segment
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Table des délais d'aller et retour Rétrécissement inter-trame
Type de Long Extr. gauche Seg. Interm. Extr. Droite Délai RT On doit distinguer l'extrémité émettrice de l'extrémité
segment Max Base Max Base Max Base Max par mètre réceptrice, puis échanger
10Base5 500 11,75 55,05 46,5 89,8 169,5 212,8 0,0866 Rétrécissement total doit être inférieur ou égal à 49 bits
10Base2 185 11,75 30,731 46,5 65,48 169,5 188,48 0,1026
FOIRL 1000 7,75 107,75 29 129 152 252 0,1
Type de segment Extrémité émettrice Segment intermédiaire
10Base-T 100 15,25 26,55 42 53,3 165 176,3 0,113
Coaxial 16 11
10Base-FP 1000 11,25 111,25 61 161 183,5 284 0,1
Lien sauf 10Base-FB 10,5 8
10Base-FB 2000 N/A N/A 24 224 N/A N/A 0,1
10Base-FB N/A 2
10Base-FL 2000 12,25 212,25 33,5 233,5 156,5 356,5 0,1
10Base-FP 11 8
Excess AUI 48 0 4,88 0 4,88 0 4,88 0,1026
Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 89 Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 90
Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 91 Etienne Duris © Université de Marne-la-Vallée - Septembre 2003 Réseaux Locaux Ethernet - Page 92
Ponts et commutateurs Principe général d'un pont transparent
Autrement dit « interconnecter » des LAN Apprendre les adresses MAC des émetteurs reliés à
En Ethernet, crée plusieurs domaines de collision distincts chacun des port du pont (table d'apprentissage)
Apprentissage d'adresse et filtrage (promiscuité) la trame: c'est le filtrage (discard)
Associe l'@MAC d'1 station à son port d'attachement Si DA correspond à un port D (table), on transmet vers D
1 buffer / port: permet certaines vérifications des trames Si on ne trouve pas l'adresse, transmission vers tous sauf P
Filtrage = élimination des trames déjà sur le bon port Toute trame incomplète, incorrecte ou ayant subi une
Par opposition aux ponts transparents, qui relient des Le principe d'apprentissage exclus les boucles
supports différents mais utilisent le même format de
trame sur la couche liaison de données
Ponts à translation : permettent de relier différents
protocoles de communication de la couche 2 (Ethernet
avec Token Ring, par exemple, mais aussi Ethernet II
avec Ethernet SNAP)
Modification de l'encapsulation = « translation »
(i.e., traduction)
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Algorithme « Spanning Tree » Spanning Tree Algorithm (principe)
Défini par IEEE 802.1D Au début, tout port se considère comme racine
Id = 2 octets de priorité + 6 octets d'adresse MAC
Correspond aux ponts transparents
En cas de multiples ponts entre deux réseaux Communication entre ponts par transmission de BPDU par
Risque de boucle (en particulier pour @ multicast) multicast (01-80-C2-00-00-00) de trame LLC (SAP 0x42)
Superposer au graphe des connexions réseau un « arbre Root ID: ID du pont présumé racine
recouvrant », sans cycle. Coût du «meilleur» chemin du pont émetteur vers la racine
Transmitter ID: ID du pont émetteur du BPDU (+ port)
1. Trouver une racine (w.r.t. ≠ critères, @MAC min)
Chaque pont garde le meilleur BPDU reçu (y compris lui-m)
2. Calculer la distance du plus court chemin à la racine
Identifie le port racine (allant au pont racine au meilleur coût)
3. Pour chaque LAN, élire un pont « désigné » (le + près)
Lorsqu'un pont reçoit sur un port un meilleur BPDU que celui
4. Choisir un port « racine » qui offre le meilleur chemin
qu'il devait transmettre, il ne transmet plus sur ce port
3. Placer dans le ST le port racine et quelques autres...
Stabilité: seul le pont « désigné » émet sur le LAN
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Choix des ponts et des ports Exemple de réseau ponté (avant STA)
Réseau A
La notion de coût intègre différents critères:
Port1 Port1
Somme de l'inverse des débits des réseaux traversés
Pont 1 Pont 3
Somme des délais d'émission Port2 Port2
Port1
Réseau C
Si litige, niveau de priorité (ID), port le + faible, etc. Pont 6
Réseau B Port2
Port1 Port1
Si un pont P continue à émettre des BPDU vers un ou Pont 2 Pont 5
plusieurs LAN, P est dit « pont désigné » pour ces LAN Port2 Port2
Port1
Réseau D
Au final, les ports d'un pont P qui sont placé dans le ST: Pont 7
Port1 Port2
Pont 4
Tous les ports des LAN pour lesquels P est le pont désigné. Port2
Réseau E
Les autres ports sont bloqués
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Exemple de réseau ponté (pendant STA) – Exemple de réseau ponté (pendant STA) –
(1) Root port pour 3
(2)
(pour l'instant)
Réseau A Réseau A
101, 606 Port1 101 Port1
Port1 606, 303 Port1
303 113
101 Pont 1 101, 303
Pont 3 101 Pont 1 101
Pont 3 113
Port2 202 505, 707 Port2 Port2 215 Port2
Port1 Port1
Réseau C Réseau C
Pont 6 606 116 Pont 6 116 116
Réseau B Port2
303, 707 Réseau B Port2
113
Port1 101 Port1 Port1 101 Port1
202, 505, 404 112
112 202 Pont 2 Pont 5 505 215 303, 505
112 Pont 2 Pont 5 215 125
215, 113
Port2 606, 505, 404 Port2 Port2 116 Port2
Port1 112 Port1
Réseau D 202, 606, 404
Pont 7 707 317
Pont 7 317 127
202, 606, 505 Réseau D 112
Pont désigné pour D Port1 Port2 Port1 Port2
(pour l'instant)
214 404 Pont 4 404 Pont 4 214
124 214
Informations des BPDU 101 Port2 Port2
707 Réseau E 317 Réseau E
Root ID Cost Transmitter ID
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Autres techniques de pontage Commutateurs (switch) – Couche 2 (MAC)
Routage par la source (Source Routing - SR) Essentiellement, c'est la même chose qu'un pont.
Proposé par IBM pour Token Ring, puis FDDI Historiquement, les commutateurs ont fait dans
Idée: la source donne le chemin, le pont ne fait qu'aiguiller l'électronique ce que les ponts faisaient en soft.
Utilisation de trames de recherche (exploration)
Autorisent plusieurs communications simultanées entre
Rendre le pontage à translation plus aisé
différents ports
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Vitesses différentes
transmettre, on « commute » le flot vers ce port
Pas de correction ni d'assurance de qualité des trames Commutation hybride et répéteur
Enregistrement & acheminement (store & forward) Création de LAN Virtuels (VLAN)
Ressemble plus au fonctionnement des ponts Interface de connexion à un backbone ATM
La trame est reçue en entier avant d'être transmise (Émulation de LAN ou LANE)
Cumul des différents délai de transmission TokenRing, ...) et différents protocoles (IP, IPX,
DECnet...)
Problèmes spécifiques pour utilisation en tant
qu'équipement inter-protocoles Décompacte les trames et les recompacte
Entre Ethernet et FDDI ou Token Ring, par exemple Ne transmets pas automatiquement les broadcasts
Tailles max de trames (≈1500 vs ≈4500) Incorporent des algorithmes de routage, fragmentation,
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Ethernet et IEEE 802.3 (10 Mégabits par seconde) 1995. Ethernet 100 Mbit/s normalisé IEEE 802.3u
Très largement répandu (installations, équipements) Supports normalisés IEEE 100Base-T
Fast Ethernet (100 Mbit/s) IEEE 802.3u 100Base-TX (2 paires torsadées Cat. 5)
100Base-FX (fibre optique)
100Base-T, MII, négociation 10/100 Mbit/s
...Ethernet 10 Gigabit/s (10.000Mbit/s) IEEE 802.3ae MII, auto-négociation 10/100 Mbit/s, 4B/5B
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Principales différences 10/100 Mbit/s
Ethernet 100VG-AnyLAN
(Fast Ethernet)
IEEE 802.12 (Voice Grade) Media Independant Interface (MII)
Utiliser la paire torsadée (blindée ou non) de qualité vocale Remplace la notion d'AUI
(Cat. 3) à des débits de 100 Mbit/s.
Sous couche de réconciliation (RS)
Méthode d'accès: Demand Priority (DPAM)
Transmission par série de bits / par quartets de bits
Niveau haut: forte contrainte temps réel (voix, vidéo)
Demande de transmission -> plannifiées par le
Vitesse duale 10/100 Mbit/s et half/full duplex
concentrateur 100VG-AnyLAN
Protocole d'« auto-négociation » pour paire torsadée
Topologie en arbre (concentrateur ≈ pont transparent)
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Contrôle d'accès au média (MAC)
Session 100Base-FX. De 100 à 2000 m. Full duplex OK.
PLS RS
MII
Longueur maximale en half entre 2 machines de 412 m.
Transport (40 broches)
PCS
Réseau Codage 8B/6T (1 octet -> 6 signaux ternaires)
AUI
PMA
(15 broches)
100Base-T4. ≤ 100 mètres. Full duplex KO.
MDI MDI
Médium Médium
10 Mb/s 10/100 Mb/s
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MAC
Codage 4B/5B 0 1 2 3 4 5 6 7 Deux types de répéteurs 100 Mbit/s
Groupe de 5 bits MII 0
1
(symbole) 2
3 Classe I (1 par domaine de coll. si câbles max)
Chaque ½ octet transformé en groupes de 5 bits Relier des types de supports différents
16 symboles représentent des données (0 à F) Décodage du signal sur port entrant, puis codage pour
1 symbole représente le support libre (IDLE) envoi sur port sortant
15 symboles pour le contrôle (« J », « K », etc.) Temps de propagation assez important
Fréquence élevée : Classe II (2 par domaine de coll. si câbles max)
100Mbit/s + 4 bits en // = 25Mhz (cadence MII) Relier des segments de même type uniquement
25Mhz + 4B/5B => 125 Mbauds sur le support Pas de décodage / codage du signal
En 100Base-TX, signalisation ternaire MLT-3. En Temps de propagation plus court
100Base-FX, c'est inutile.
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Composant Délai aller/retour Délai max.
Longueur des segments de fibre: 412 mètres Aller retour ≤ 512 bits
2 DTE FX/TX 100
Longueur des câbles MII: 0,5 mètre (temps de propagation
Le 10 Mbit/s émet des « Normal Link Pulse » Transmis dans un Fast Link Pulse :
16 ± 8 ms
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
Le 100 Mbit/s émet des « Fast Link Pulse »
16 ± 8 ms Selector Technology Ability Autre
Type de 5 10Base-T 13 Remote Fault
Positions d'horloge ( ) / positions de données ( ) 2 ms périphérique 6 10Base-T FD 14 Acknowledge
(00010=802.3) 7 100Base-TX 15 Next Page
(0) (1)
8 100Base-TX FD
1 2 3 4 5 29 30 31 32 33
9 100Base-T4
10 PAUSE
Pulsation de donnée: présent=1, absent=0
11 Réservé
Mot de 16 bit: (Base) Link Code Word (LCW) 12 Réservé
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FLP
TX + TX sans
AutoNeg IDLE AutoNeg
Seulement les vieux 100Base-T4 et 100Base-TX
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Full duplex et contrôle de flot Full Duplex
10Base-T full duplex = 20Mbit/s de bande passante
100Base-T full duplex = 200Mbit/s bande passante Exactement 2 extrémités au lien full duplex
en full duplex
MAC Control
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op-
Dest. Adr Src. Adr Type code Données Op-code ou padding FCS
Remplace la régulation fournie par CSMA/CD
Permettre aux stations d'interagir en temps réel
Valeur de type 0x8808 + « opcodes » Type : 8808
Interprétées par la couche MAC
MAC Control op-code : 00-01 pour une trame PAUSE
Données : spécifiques en fonction de op-code
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Trame PAUSE Switched Ethernet (commuté)
Spécifique (et optionnel) pour full duplex Commence à devenir particulièrement intéressant avec le
Permet de suspendre ponctuellement l'émission. débit de Fast Ethernet
Les données qui accompagnent l'op-code 00-01 Fast Ethernet, Full Duplex et VLAN Tagging
représentent un valeur « PAUSE timer » (16 bits). Passage de « médium partagé » vers « commutation»
Si PAUSE Timer non nul, l'émission est « inhibée » Commutateur de niveau 2 (Switch 2) = pont
L'émetteur (MAC) décrémente le PAUSE timer tous les 512 Problèmes de noms liés au marketing
temps bits; à zéro, il recommence à émettre.
Switch (hard, ASIC) + efficace que les vieux ponts
Émission de trames PAUSE pas inhibée.
Réception d'une nouvelle trame PAUSE possible. et de nombreuses options.
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Supports et codages inspirés de Fibre Channel Adoption de « Fibre Chanel » pour la signalisation
1000Base-X (8B/10B)
1000Base-LX (paire de fibres grande longueur d'onde) Une seule classe de répéteur
MII GMII
Transport (40 broches) (transceiver
Soit multi-mode (MMF): 550m (50µ) et 440m (62,5µ).
intégré)
PCS PCS
Réseau AUI 1000Base-SX: (short) longueur d'onde: 850 nm.
(15 broches) PMA
PMA
Liaison de données PHY
PMD
PHY Multi-mode (MMF): 500m (50µ) et 220m (62,5µ).
(transceiver) (transceiver)
Auto-Neg PMD
PMA
Physique MAU
MDI MDI MDI
Médium Médium Médium
10 Mb/s 100 Mb/s 1000 Mb/s
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1000Base-X fibre: inspiré de Fibre Chanel Plus qu'une seule « classe » de répéteur
Au lieu de 4 bits simultanés comme pour 100Mbit/s, Tous les segments sont point à point (liens)
il s'agit là de transmettre 8 bits simultanément.
Deux « types » de répéteurs pour Gigabit:
Variable de
contrôle
Unidirectionnels (principe half-duplex)
7 6 5 4 3 2 1 0
Z H G F E D C B A
Leur fonctionnement est classique CSMA/CD
Limité à un seul par domaine de collision
8B / 10B
Bidirectionnels (principe full-duplex)
1000Base-T: pulse amplitude modulation (PAM) Domaine de collision = intérieur du répéteur (bus Ethernet)
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Couche MAC Gigabit Gigabit Full-Duplex
En 10 et 100: taille minimale = 64 octets Format des trames conformes aux normes
En Gigabit, possibilité d'extension de cette taille Contrôle de flux
minimale, en fonction du type de fonctionnement: Éviter la congestion dans les switchs
Accès full-duplex Phénomène de « HOL »
Accès half-duplex (Head of Line) e d A D
Notion de d B E
« backpressure » e C F
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C'est le CSMA/CD qui gère les collisions/accès Afin d'autoriser de plus grands segments en half duplex:
La vitesse, les fréquences imposent des restrictions. augmenter la taille minimale de trame, au sens présence
d'un signal sur le support.
Pour autoriser des diamètres de 200 mètres, il faudrait
Slot time ou délai d'insertion classique Ethernet de 512
augmenter la taille minimale des trames.
temps bits devient de 512 temps octets, soit 4096 temps
Pour compatibilité, 2 techniques sont utilisées: bits.
Carrier Extension (extension de porteuse) C'est le temps d'un aller et retour sur le domaine de
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Extension de porteuse Extension de porteuse
Ajout d'un mécanisme de bourrage systématique, mais courte (< 512 octets) et pendant l'extension => repli.
spécifique: En réception:
Lors d'émission d'1 trame entre 64 et 512 octets, cette trame
est inchangée mais on ajoute (pour atteindre 512) un de la réception des symboles d'extension de porteuse
symbole d'extension de porteuse artificiel.
avant de transmettre la trame à la couche supérieure
Ces symboles ne sont pas émis comme du bourrage, mais
après le champ FCS de la trame.
émise et reçue deux fois.
Ainsi, le récepteur peut les supprimer aisément pour
Frame Bursting
Différents problèmes des LAN
Sécurité, broadcast storms, connectique
Volonté de garder le meilleur en se passant du pire
Fonctions de la couche 3 avec la vitesse de la couche 2
Faciliter la gestion de la mobilité des postes (logicielle)
Différencier clairement les domaines d'activités (sécurité)
Conserver la compatibilité assendante
Copyright Dunod - Réseaux haut débit - Kofman&Gagnaire
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regrouper les utilisateurs / ressources qui communiquent le
plus fréquemment indépendamment de leur emplacement
Organisation virtuelle, gestion simple des ressources
modifications logique ou géographiques facilitées, et gérées
via la console (plutôt que dans l'armoire de brassage)
Efficacité de bande passante / utilisation des serveurs
il affecte chaque port à un VLAN (voir à plusieurs).
l'administrateur associe un VLAN à chaque port
Niveau 2: VLAN par adresse MAC
à partir des ports sur lesquels elles arrivent
L'appartenance d'une trame à un VLAN est déterminée par
l'adresse MAC de l'émetteur et / ou du destinataire Quand un utilisateur se déplace vers un autre port
il suffit d'affecter son VLAN au nouveau port
Niveau 3: VLAN par protocole
le changement du réseau est transparent pour l'utilisateur
L'appartenance d'une trame à un VLAN est déterminée par
le protocole, le sous-réseau ou l'adresse de niveau 3
Mais si un port est relié à un segment (ou répéteur)
tout ce segment est associé à ce même VLAN
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chaque switch maintient une table @ MAC <-> VLAN un VLAN pour IP, un autre pour IPX, etc.
pbme: il faut les initialiser (solution: VLAN par défaut) le switch associe le VLAN en fonction du protocole transporté
Le switch détermine le VLAN de chaque trame
Comment une machine fait elle pour savoir à quel VLAN A priori, seul le commutateur ou le pont a besoin de
elle appartient? connaître l'appartenance d'une trame à un VLAN
La machine peut ne pas le savoir, ou ne pas pouvoir
l'exprimer
L'administrateur le spécifie au niveau des switchs
Norme IEEE 802.1Q (802.1p et 802.1q) Ajout d'un champ de 4 octets (tag) après l'adresse
Définissent respectivement des extensions pour : source
User
Identifier Priority
CFI VLAN ID
La longueur maximale d'une trame était de 1518 octets
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Champs IEEE 802.1p et 802.1q Trois types de trames VLAN
TCI (Tag Control Information). 2 octets absence d'en-tête (TIPD+TCI) après adresse MAC source
Trame taggée de priorité
3 premiers bits: user priority (802.1p) de 0 à 7
1 bit CFI (Canonical Format Indicator). Ethernet:0
0 => l'en-tête ne contient que des infos de priorité Trame taggée de VLAN
1 => valeur par défaut d'identificateur de VLAN TIPD=0x8100, CFI=0 et VID entre 1 et 4094.
FFF => réservé (implémentation)
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Politique de transmission
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