d’alcool contenu dans un échantillon de boisson alcoolisée. Pour ce faire, ici, nous avons utilisé
du vin rouge, afin de performer l’expérience de dissolution d’éthanol d’une boisson alcoolisée
‘’x’’ pour donc pouvoir déterminer précisément le pourcentage d’éthanol recueilli de la boisson.
Nous aurons, ainsi, préparé cinq (5) étalons d’éthanol, chacun étant dilué à une concentration
différente. Par ces solutions comparatives et à l’aide de l’indice de réfraction obtenu pour celles-
ci, obtenu grâce à un réfractomètre, il sera ainsi possible de déterminer, à l’aide de quelques
calculs élémentaires, la teneur en éthanol de la boisson.
Lors de la comparaison de nos résultats avec les résultats obtenus par les autres équipes, nous
remarquons qu’en dégageant les résultats aberrants de l’équation, la moyenne du groupe se
situe à 10,8% (10,5% incluant les nôtres), alors que notre résultat se situe à 10,6%. De ce fait,
nous pouvons ainsi dire, que notre résultat se situe sensiblement dans les mêmes environs que
les autres équipes, puisqu’il n’y a qu’un écart de 0,2% qui nous en sépare. En contraste, lorsque
que comparé au domaine: ]10,2, 11,2[ , notre résultat se situe à 0,1 unité du milieu de celui-ci
qui est de 10,7.
Le processus d’extraction peut ici devenir une source d’erreur, puisque l’extraction faite ne
pourra jamais être nécessairement 100% fiable, car il peut y avoir une certaine perte d’éthanol
dans le processus de filtration. Cette perte d’éthanol dans l’installation supposée recueillir celle-
ci va donc diminuer le %V/V d’éthanol obtenue au final.
D’autre part, la précision du réfractomètre peut être biaisée, en raison du fait qu’elle est basée
sur une perspective humaine de la chose. Ainsi donc, cette évaluation des étalons à l’aide du
réfractomètre ne pourrait qu’être biaisée que par la perception humaine. Cela donc va biaiser le
résultat final d’indice de réfraction de chacun des échantillons.
Nous pouvons donc conclure que le but de l’expérience n’a pas été entièrement atteint. En effet,
le pourcentage volumique d’éthanol obtenu, soit (10,6%), déviait de 0,6% du pourcentage réel
d’éthanol contenue dans la boisson alcoolisée. Considéré près de la moyenne et étant d’être dans
le domaine, notre résultat montre donc que nous n’étions pas nécessairement très éloignés de
la démarche idéale, visant l’obtention du pourcentage réel d’éthanol contenu dans la boisson.