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jeune, plus de 2/3 des maliens. Ce pays continuera à davantage fournir une population jeune
pendant plusieurs décennies encore.
Nous vivons aujourd’hui, une transition universelle marquée par de nouveaux paradigmes
technologiques et socio-économiques, de nouvelles opportunités de développement, et une
véritable transformation de nos modes de production, de consommation et de
communication, nous interpellent à changer de stratégie, pour affronter les défis du
troisième millénaire.
Ainsi notre société est confrontée à une des fléaux surnommée le chômage ;
➢ Le chômage :
Étymologiquement le terme est issu du latin populaire « caumare » dérivé du grec ancien
« kauma », signifiant « se reposer pendant la chaleur » néanmoins son concept connait des
variantes controverses théoriques et statistiques.
(le chômage est un gaspillage des ressources.)
La productivité de l’emploi d’une personne est en inadéquation par rapport à un emploi possible que
la personne concernée est disposée à occuper et capable d’exécuter les tâches inhérentes audit
emploi. C’est donc une grande défaillance du marché de travail, puisque la main d’œuvre disponible
dépasse de loin les offres d’emplois disponibles.
La production nécessite deux ressources classiques : le capital et le travail. De ce fait, la main d’œuvre
contribue à l’accroissement de la productivité, et donc de sa croissance. Il convient de le préciser,
l’Homme en soi n’est pas une ressource. C’est le savoir-faire ou la main d’œuvre dont il est question
ici qui est le capital humain, et constitue une ressource.
La solution passe par la construction d’un secteur privé compétitif et créateur d’emploi.
Partant de là une des grandes difficultés en Afrique Subsaharienne est l’absence de structuration du
marché de l’emploi, où l’offre et la demande peuvent se rencontrer. Les entreprises créent peu
d’emplois vu le coût élevé des intermédiaires ; Autres difficultés : la faiblesse des niveaux de
compétences et la formation professionnelle qui seule ne suffit pas pour remédier au fort chômage
des jeunes. Enfin, l’essoufflement de la croissance, des coûts du travail élevés ou des demandes de
salaire non réalistes de la part des jeunes, la discrimination (surtout à l’encontre des jeunes
• Nos revendications :
1. Le droit à la santé doit devenir réellement effectif (Primordial) ;
2. L’assurance sécuritaire dans la vie quotidienne ;
3. Gouverner sa vie estudiantine en compagnie d’un tuteur donner par
l’université ; (ce dernier étant expérimenté dans le domaine universitaire)
• Nos problèmes :
• La jeunesse est confronter a des tas de facteurs nuisant qu’on peut citer entres
autres
• Problèmes émotionnels ;
• Abus ;
• Problèmes familiaux ;
• Déséquilibres ;
• Dépendances ;
• Problèmes liés aux études ;
• Problèmes liés au choix de carrière ;
La réussite n'est pas forcément matérielle ou financière, elle peut être l'épanouissement de soi-
même c'est-à-dire se lever tous les matins et porter un projet pour lequel on a envie de se battre,
même si c'est de l’associatif. Si le matin on se lève heureux, en se disant que l'on apporte sa pierre à
l'édifice, alors on arrive à redonner de l'espoir. Parce que sans espoir, il n'y a pas d'avenir. Un
engagement plus social que solidaire.