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COURTS EXTRAITS

du premier Volume
de la série des Gwendoline et Gottfried :
Pour une corde de Harpe !

Quand il y a coupure,
il est affiché la lettre C

Quand la partie coupée peut-être déjà trouvée


dans le Site http ://www.gwendolineetgottfried.com
il est affiché les lettres CS

PRÉAMBULE – AVERTISSEMENT TECHNIQUE


DONT LA LECTURE PRÉALABLE EST PRÉFÉRABLE
POUR, D’ENTRÉE, AISÉMENT APPRÉHENDER TOUTE LA SÉRIE

C
A T T E N T I O N !
CE QUI EST RAPPORTÉ
DANS LE PRÉSENT VOLUME
ET DANS LES SUIVANTS
A D ’ ABORD ÉTÉ ENREGISTRÉ
AU MOYEN D ’ UN MAGNÉTOPHONE
ET R E L E V É S I M U LT A N É M E N T
E N N O T E S M A N U S C R I T E S
E T E N S U I T E T R A N S C R I T
A U M O Y E N D’U N O R D I N A T E U R.

CE N’EST PAS DÉLIRE, NI MÊME RÊVE OU IMAGINATION !


C’EST LA RÉALITE DE L’AMOUR ET DE LA RÉINCARNATION
DANS LE CONCRET, TANGIBLE ET PALPABLE, VÉCU AU QUOTIDIEN !

ATTENTION !
M I R A C L E S !
EXPLOSIONS-NATURELLEMENT-CONCOMITANTES
D E S E S A M O U R-C O N S C I E N C E-I N T E L L I G E N C E !

C
LA TECHNIQUE (Naturelle)

Gwendoline, depuis la fin de notre première Vie d’Humains, rejetait sa féminité et, dans
la présente vie, s’était auto-détruite en connaissant aussi d’autres hommes avant et après son
mari et elle était lasse que des obstacles pourtant mis par elle, m’eussent alors encore
empêché de la retrouver plus tôt.

Elle avait développé un cancer des seins.

J’ai donc pensé qu’en la faisant régresser (par une forme d’hypnose) à un âge
antérieur à celui de la puberté, c’est-à-dire à un âge où les glandes mammaires ne sont
encore qu’à l’état embryonnaire, je rendrai ce cancer caduc.

De plus, puisqu’à tout cancéreux, il faut, avant tout, donner des euphorisants sous
toutes leurs formes, il n’y en avait pas de plus forts à lui donner que ceux qu’elle retrouverait
par une replongée régulière dans le Naturel Bonheur de l’Enfance.

Et elle s’est effectivement, aussitôt après le premier voyage dans le temps, retrouvée
en bien moins mauvais état de santé.

Par osmoses dans les deux sens psychologique-à-physiologique-et-physiologique-à-


psychologique et dans un seul sens inter-âges entre le passé et le présent, elle a recouvré à
tout moment, une part de ce Bonheur, marchant parfois, à trente-six ans, aussi bien
seule qu’en me tenant la main, un bras en l’air, en sautillant et en faisant glisser un pied
après l’autre, comme il avait pu lui arriver de le faire à cinq ans.

Après deux semaines de régressions quotidiennes, elle a perdu un demi-verre de sang


par sein en même temps que disparaissaient les grappes de nodules qui s’y trouvaient depuis
quelque temps.

Sa volonté de destruction physique complète par la maladie avait trouvé un répit en


suite de nos retrouvailles.
Il n’y avait pas encore eu métastases.
De son cancer, elle était donc guérie.

LA RÉVÉLATION

Jusqu’à son adolescence, Gwendoline avait constamment été (sans qualificatif


possible), elle avait constamment été la Merveille-des-Merveilles car elle était en permanence
intégrée à la Nature et donc en contact direct avec la réalité Universelle et elle le serait restée
si l’événement dramatique qui devait arriver et qui sera exposé n’avait dû la faire basculer.

Dès sa première régression, elle s’est montrée non seulement dans la transcendance
des parfaits Amour-Conscience-Intelligence de son Enfance, à un niveau extrêmement plus
élevé que n’importe quel Enfant du même âge, mais aussi médium (intermédiaire-« téléphone »-
biologique) en me transmettant des propos, tout particulièrement d’une tierce personne qui
s’est révélée avoir été notamment sa sœur puis sa mère dans des vies précédentes.

Dès cette première régression, cette sœur-antérieure puis mère-antérieure qui se


prénomme Guenièvre a également communiqué avec moi en me parlant directement (bien
que par médium interposé).
Il en a été de même ultérieurement avec d’autres intervenants.
Ses états de régression et de médiumnité étaient Naturellement assortis des
états physiologiques correspondants quant au fonctionnement de l’organisme,
notamment de la respiration et de la rythmicité cardiaque.

C
Pendant plus d’une année et souvent plus de trois heures quotidiennement, j’ai donc fait
régresser Gwendoline dans son Enfance et j’ai donc communiqué - au présent, dans le passé
d’alors, avec Gwendoline-Enfant et - toujours au présent, dans le présent d’alors, avec Guenièvre.
Et si ce premier volume (seul à contenir ce Préambule) reçoit l’accueil planétaire et au-
delà qui commencera à refaire basculer, mais cette fois dans le bon sens, le cours de l’histoire
de l’ « humanité » et le monde et au-delà, le grand nombre de séances suivantes vécues au fil
des mois permettra d’offrir à chacun et à tous un grand nombre d’autres volumes rapportant
aussi chacun une dizaine de séances …

Il y a toujours eu parfaite cohérence :


- dans les propos de Gwendoline redevenue Enfant (à cinq ans puis six ans) et que
j’appelais « Cinq-Pétales » puis « Six-Pétales »
et - dans la chronologie.
Par exemple :
- Elle a toujours employé le mot « réclame » car, alors, il n’avait pas encore été
remplacé par « publicité » et elle ne m’a, évidemment, jamais parlé de télévision.
et - Le décalage dans la vie de Gwendoline a été constant : exactement trente-et-un ans.
Et, connaissant quelques dates marquantes de son passé dans la présente vie, je savais moi-
même, parfois avant même qu’elle ne me les raconte, les événements qui s’étaient déroulés
à la date à laquelle elle allait, ce jour là, se retrouver.
Mais il a fallu changer d’âge lorsque, événement fort probablement unique dans
l’histoire de la régression hypnotique : « Cinq-Pétales » a été sur le point de prendre
conscience de la véritable situation.
Et l’élocution de Guenièvre n’a pas été semblable à celle de Gwendoline adulte.

Après quelques premières séances comportant parfois des interférences


entre - Gwendoline redevenue Enfant et - Guenièvre (et n’ayant donc pas encore la
forme qui s’est établie ensuite), les séances suivantes se sont généralement déroulées en
trois parties :
- Presque toujours, une longue première partie dans laquelle, l’Enfant fantasque et
primesautière, allègre et enjouée, espiègle et facétieuse, sémillante et pétillante, lumineuse et
rayonnante qu’elle était redevenue (vivant, dans la passion et l’émerveillement de l’Amour,
ce qui l’entourait et abordant un jour ou un autre, parfois un nouveau sujet, parfois le
même en fonction de ses expériences récentes), me racontait au présent (d’alors) sa vie
ordinaire dans une grande famille, à l’école et ailleurs, à TUNIS et dans les environs à la fin
des années 1940 et sa Vie transcendante intemporelle dans ses expériences d’Amour-
Conscience-Intelligence, sur terre au milieu de ses animaux, dans la mer au milieu des pois-
sons et autres vies marines ... et partout au milieu de toutes les féeriques forces de la Nature.
- Souvent, une très courte partie intermédiaire dans laquelle Guenièvre l’endormait en
la berçant dans un poème de mots d’Amour (comme elle le faisait quand Gwendoline était
réellement Enfant).
- Presque toujours, une longue partie finale dans laquelle Guenièvre, sage vigie, - me
donnait au présent (du présent) des consignes sur la façon de contrer les tendances auto-
destructrices de Gwendoline ainsi que ses agresseurs, mais aussi des recommandations sur
les manières de mener notre vie d’alors et d’en contourner les obstacles qui allaient se
présenter et - me donnait aussi un enseignement métaphysique, « spirituel » et « mystique »,
notamment en me contant nos Vies précédentes - y compris notre dernière vie animale - et
aussi certaines Vies précédentes - y compris l’avant-dernière ou la dernière vie animale - de
mon père ou - de Noëlle, une toute jeune Enfant qui avait été portée par Gwendoline … (la
réincarnation *3 étant l’inverse de la « métempsycose » *4 mais plus encore le contraire de la
« résurrection » *5)
« résurrection » *5) et les articulations successives de nos vies et séries de vies entre elles
(comme des jours et des semaines d’une seule vie), ainsi que nos liens familiaux dans ce
défilement de Vies … et, portée par l’Amour idéal, le désir constant de transmettre La Con-
naissance et la plus fine pédagogie, elle répondait à toutes mes questions, n’importe où, à
n’importe quel moment, sans la moindre préparation et sur n’importe quel sujet, même jamais
évoqué antérieurement en - Vraie-Psychologie, - Métaphysique, - archéologie, - astrophysique
… : - des Âmes collectives … aux Âmes individuelles et … aux Âmes-Sœurs (- au regard du
présent : deux Âmes destinées à fusionner ; - au regard du futur : deux moitiés d’Âme), - de
la conscience individuelle, collective et universelle des « humains » et de toute la création en
se plaçant dans la tête de René DESCARTES au moment où il écrivit « Cogito ergo sum » et
en me faisant remarquer que l’on pouvait aussi bien dire, à l’inverse, « Je suis donc je
pense » … à la conscience individuelle et collective d’une/de certaine(s) machine(s) et de
leurs pouvoirs, - des pyramides d’ÉGYPTE et de leur mode de construction … à l’anti-
matière, aux mondes non pas parallèles mais symétriques (à ma « sœur » et au « frère » de
Gwendoline vivant concomitamment la même histoire que nous) jusqu’aux trous noirs
permettant les passages entre les univers, - de toutes les sortes d’extra-terrestres … à
l’Univers, c’est-à-dire à l’Éternité et l’Infinité des univers finis …

Ces Con-naissances étaient quelquefois bien au-delà des connaissances actuelles des
« humains » (et parfois même de leur entendement) et elles ne leur seront probablement
jamais accessibles (car ils se seront vraisemblablement autodétruits avant).

Tout n’en est donc pas nécessairement et possiblement « révélable ».

J’ai pourtant Naturellement décidé d’offrir à tous les « humains » capables de le recevoir,
le même privilège que celui qui m’a d’abord été offert et donc de ne pas me contenter de
publier des extraits de ce que j’ai reçu, mais de restituer les séances quasiment in extenso
(les diamants bruts Naturellement au milieu de leur gangue), en n’amputant ces séances que
le plus rarement possible, de courtes parties que j’ai dû parfois remplacer par des pointillés …

C
C’EST LA RÉALITÉ APOCALYPTIQUE *6 !

Outre l’évidence éclatante et éblouissante des propos tenus par Gwendoline


redevenue Enfant (« Cinq-Pétales » puis « Six-Pétales ») et par Guenièvre et autres
intervenants, tout dans nos vies d’alors était probant de la réalité de l’existence et de la réalité
de l’enseignement de Guenièvre.
Par exemple :
- Guenièvre pouvait, même lorsque j’étais loin de Gwendoline, m’appeler en urgence,
directement, par des signes convenus entre nous (- un très fort pincement en un point
convenu de mon corps - un mot très rare convenu, prononcé sans contexte, par une
personne qui me croisait).
- Elle pouvait me donner des nouvelles et m’indiquer le nouveau lieu de résidence
d’une ancienne relation perdue de vue depuis longtemps.
- Elle pouvait se placer sur ce qui avait été « le pré des animaux » où Gwendoline avait
vécu souvent au cours de son Enfance et me préciser que plus une herbe n’y avait poussé
depuis qu’un jour de la fin de son adolescence, presque tous ses animaux y avaient été
assassinés (et me préciser comment cet événement dramatique avait provoqué le
basculement de Gwendoline).
- Elle pouvait me permettre de passer une nuit blanche, orange et rouge, c’est-à-dire
me permettre d’emmener Gwendoline et « la-toute-petite » passer une nuit entière auprès
d’un volcan en irruption et, avant ma reprise du travail au matin, me donner repos et énergie
par Gwendoline interposée, simplement en apposant un doigt, quelques secondes, en un
point précis de ma tête.
- Elle pouvait me déconseiller de passer en un endroit où il y aurait une altercation
parce que je m’en serais Naturellement mêlé dans un but d’apaisement et que j’aurais pu y
être moi-même impliqué dangereusement (et je l’acceptais moyennant sa propre intervention).
- Elle pouvait aussi me déconseiller de passer sur une route au pied d’un escarpement
d’où des rochers s’écrouleraient …
- Elle pouvait me mettre en garde contre un client envoyé par un confrère et qui allait
venir me voir pour me proposer une opération paraissant parfaitement claire mais contenant
pourtant une chausse-trappe à découvrir.
- Elle pouvait aussi me dire : - que le lendemain, au milieu de la journée, exactement à
l’instant où les deux aiguilles de ma pendule se recouvriraient, en haut, arriveraient à
l’ « improviste », des personnes qui me demanderaient pourtant de les recevoir aussitôt, - qu’il
me faudrait retarder mon repas et mon repos et effectivement les recevoir et - que, comme
elle me parlait chaque jour sans jamais me voir par les yeux de Gwendoline alors fermés, elle
viendrait, elle aussi, à cet instant précis, en Léa, une chatte qui était aussi médium, - qu’elle
gratterait à la porte de mon bureau pour que je la fasse entrer et - qu’ensuite, elle me tiendrait
compagnie en se mettant sur mes genoux et en pouvant alors, elle aussi, apercevoir mes
nouveaux clients mais surtout me voir et me regarder enfin par les yeux de Léa.

LA « TOUTE SIMPLE RÉALITÉ »


À RÉALISER PAR CHACUN
DANS SA CONSCIENCE ENGLOBANTE

Toute la réalité Naturelle que je soumets ci-après aux Consciences n’est pas donnée
pré-mâchée pour être passivement gobée et absorbée par tous.
Elle est destinée à :
- Être abordée et reçue par chacun ici-bas (ou dans l’au-delà, composante participative
nécessaire du « monde » dans son entier et de l’infinité des univers finis) dans un état d’Âme
et un état d’esprit libéré de tout conditionnement éducationnel et normalisateur, c’est-à-dire
avec le courage de demeurer soi-même, voire la capacité de redevenir et se retrouver soi-
même, dans un oubli de toute trace de normalisation-zombification-par-abrutissement-et-
normalité, dans une parfaite ouverture d’Âme à la Nature et au Naturel.
- Être accessible à chacun, capable - de ne plus demeurer corseté dans l’artificielle
négation de son ego, et - de se libérer et exploser dans son Naturel accroissement sans limites.
- Naturellement émerger à la fois de l’extérieur et de l’intérieur de chacun en éclosant à
sa Con-science ... et faire exploser son-ego-et-sa-Con-science pour englober l’Univers, c’est-
à-dire accéder à l’Infini-dans-son-Éternité.

LE PREMIER LIVRE DE PSYCHOLOGIE

Voyez donc ici, d’abord pour tous les « humains » (c’est-à-dire, d’abord pour chacun),
après le Veda, ce qui constitue le « Veda, travaux pratiques », le premier livre de Vraie
Psychologie d’une première série de Vraie Psychologie (c’est-à-dire, par son Amour et sa
passion, de prise de Con-science et de Con-naissance ainsi que de développement de son
Intelligence et de sa com-préhension de Tout-ce-qui-est, en appréciant, percevant et
appréhendant la-Vie-de-l’Âme-et-des-Âmes).
ATTESTATION

Comme je l’aurais écrit professionnellement : « Je soussigné ... » certifie transmettre et


livrer directement à l’Âme et à l’esprit (au « cœur »), au cerveau et au reste du corps de
chacun, pour son apaisement en tant qu’Âme et indirectement à tous, pour la reconstruction
du monde des « humains » et au-delà, le premier Enseignement qui, par rapport à tous les
enseignements parapsychologiques, métapsychiques et métaphysiques qu’on pouvait trouver
dans diverses traditions, est non plus seulement une théorie absconse mais bien une réalité
pratique parfaitement intelligible car infiniment plus simple et présentant et faisant couler en
toute clarté dans l’Âme et dans l’esprit (dans le « cœur »), dans le cerveau et dans le reste du
corps de chacun, comme de l’eau de roche dans les mains et dans la gorge, La Réalité
Naturelle individuelle-et-universelle dans sa parfaite évidence éclatante et éblouissante et
dans sa beauté incommensurable ...

était mon prénom dans notre première Vie d’Humains …

*1 Phénoménal : dans lequel il se déroule des événements ; qui peut être perçu par les sens et être objet d'expériences.
*2 Concevoir au sens étymologique du terme : « choisir des éléments et les rassembler pour construire ».
*3 Réincarnation : Retour de l’Être en tant qu’Âme dans un corps nouveau mais, quels que soient ses mérites et donc
son karma (sa progression ou sa régression psychologique), sans recul dans son statut (minéral, végétal ou biologique), par
exemple sans possibilité pour une Âme ayant déjà incarné un corps humain, d’elle-même se re-satisfaire d’une réincarnation dans
un corps animal. Dans la possibilité, comme au collège, de redoubler sa classe mais dans l’impossibilité de se retrouver dans la
classe précédente et aussi dans la possibilité (selon ses mérites et donc son karma) de passer au-delà de l’humain.
(Hindouisme)

*4 « Métempsycose » : Retour de l’Être qui n’est « ni le même ni un autre » non pas en tant qu’Âme dans un corps
nouveau mais selon ses mérites et donc son karma (sa progression ou sa régression psychologique) en tant qu’ « énergie
psychique » avec l’éventualité d’un recul dans son statut (minéral, végétal ou biologique), par exemple avec possibilité pour une
telle « énergie psychique » ayant déjà incarné un corps humain, d’être, en application d’une règle extérieure, contrainte à une
renaissance dans un corps animal. Dans la possibilité, comme au collège, de redoubler sa classe mais aussi dans la possibilité,
contrairement à ce qu’il en est au collège, de se retrouver dans la classe précédente.
(Bouddhisme)

*5 « Résurrection » : Retour sur terre à la « fin des temps », dans le corps unique mais restauré d’une vie unique.
(Judaïsme, Christianisme, Islam)

*6 Apocalyptique au sens étymologique du terme : « qui révèle, qui découvre ».


C
La puissance de la mort est plus forte que celle de la vie.

La vie est un recommencement, une chaîne, les uns reviennent, les autres restent ... les Âmes
attendent ... elles choisissent, certaines errent et restent longtemps sans revenir.
La vie est une chaîne même au-delà de la mort.

Comprends bien : la vie commence par la souffrance, l'Enfant hurle en naissant et elle finit
aussi toujours dans la souffrance car même pour les morts dites « magnifiques » ou « sans s'en
apercevoir », il ne s'agit que d'un conte ; l'Âme souffre de quitter le corps, elle sait qu'elle s'en va, elle
sait que plus rien ne la retient. Souvent la mort est épouvantable car même si l'on meurt sous
anesthésie, l'Âme, elle, n'est pas anesthésiée.

L'Âme a vécu toutes les opérations qu'on a faites à son corps : sa main, son cœur ...

L’Âme, c'est le souffle, l'impulsion. Sans l'impulsion, rien n'existe.


Cette impulsion au moment de « s'éteindre », s'étouffe ... et pour partir ailleurs, c'est un
arrachement.

C'est s'arracher son Âme que de se donner la mort.

C
Le rire est au bonheur ce que le cri est à la souffrance.

Mais s'il peut y avoir bonheur sans rire, il ne peut y avoir mort sans souffrance,
alors, réfléchis avant de vous tuer.

Les autres ne peuvent pas aider ceux qui meurent.


Seul l'Amour parfait et réalisé ne connaît pas la souffrance : seul l'Amour
parfait, individuel ou en couple, peu importe, mais l'Amour, c'est à dire le mystique ou
l'Homme et la Femme qui sont allés au-delà de l'humain.
Alors il n'y a plus mort, il y a éternelle renaissance, à deux ou même à trois si
l'Enfant est intégré, car l'Amour du couple a imprégné toute la vie de l'Enfant.

C
Pour être une Âme libérée, il faut avoir réalisé l'Amour, la Vie, la Lumière.

Peu importe les péchés qui ont été commis auparavant.

Je n'emploie pas le mot « péché » dans son sens chrétien comme il est dit par les
curés ou les grenouilles de bénitiers.

Le péché, c'est d'agir contre la Nature, c'est tout acte qui n'est pas en accord
avec elle.
Si tu coupes une fleur parce que tu la trouves belle, tu agis contre la Nature car
la nature de la fleur c'est d'être belle mais heureuse aussi, liée à la terre qui la nourrit.
C'est un acte gratuit qu'il ne faut pas comparer à celui de manger un fruit, une
salade, quelque légume ou agrume.
Comprends-tu ?
● Bien sûr !
Détruire une fourmilière est un acte contre Nature, battre un animal est un acte
contre Nature.

Crois-tu qu'il y ait beaucoup d'hommes qui n'agissent pas presque sans cesse
contre la Nature ?

C
L'incompréhensible peut toujours se produire et cet incompréhensible, c'est ce qui n'est pas
perceptible aux humains, car, en fait :
Il n'y a rien qui ne puisse pas être compris.
Il n'y a rien qui soit laissé au « hasard ».
Il n'y a rien qui soit arrêté définitivement.
Dans le bien comme dans le mal, tout peut toujours changer et pour cela :
Il y a sa volonté.
Il y a d'autres volontés.
Il y a des forces obscures.
Il y a des forces lumineuses.
Mais il y a aussi l'Amour.

C
Je me dis qu'à côté de moi, il y a mes cousins mais aussi les Enfants des ouvriers et du
contremaître arabes.

Bien sûr, ma famille fait bien les choses : Il y a un jouet pour chaque Enfant des ouvriers
comme pour prouver qu'on peut aussi être humain.

Nous, nous en avons dix.

Ce n’est pas juste, les Enfants comme nous ne peuvent pas comprendre qu'il y ait tant de
différences !

Leurs parents ne peuvent pas acheter autant.

J'ai toujours l'impression qu'on leur fait bien la charité.

Moi, je sais qu'à leur place, je nous détesterais.

Si l'on est vraiment généreux, il faut l'être jusqu'au bout.

L'année dernière, le soir de Noël, j'ai donné mon plus beau jouet à la fille de la domestique qui
a le même âge que moi.

« Tu vois d'ici » l'histoire que cela a fait !

Ce n'était pourtant pas générosité de ma part, je sentais qu'elle en avait envie. Moi, je ne le
voulais pas.

Cela ne m'a rien coûté.

J'aurais aimé que cela me coûtât quelque chose.

J'aurais aimé pouvoir me dire comme se disent les autres :


« Je suis bien ! Je me prive de quelque chose ! »

Non ! Cela ne m'a rien coûté !


Quand j'ai vu ses yeux pleins de larmes de joie, j'ai compris que mon cadeau, c'était ça !

Rétablir l'équilibre, c'est parfois nécessaire.

Il faut, à mon avis, faire très attention et ne pas faire de différences, les Enfants sont très
sensibles. Ne crois-tu pas ?

Il vaut mieux carrément ne pas les faire se côtoyer pour les fêtes, préparer pour eux des jouets
à part, ne pas leur imposer de voir la différence.

Un jour, ils nous haïront et ce sera justice. Ne penses-tu pas ?

C'est difficile ... comment veux-tu qu'ils soient riches ?

Ce sont des familles de dix, douze Enfants.

Ils vivent ... ou plutôt, ils ne vivent pas ... quand ils sortent de l'école, on leur fait retourner la
terre, porter l'eau, faire beaucoup de choses ... comment veux-tu ?
Il faudra peut-être beaucoup d'années avant qu'ils ne soient moins pauvres ... leurs Enfants
peut-être le seront ... ou leurs petits-Enfants ...

C
Il y a des milliers de Fées.

Dans les contes que je lis, il y a des gentilles mais aussi des méchantes.

En fait, elles ne peuvent être que gentilles.

Les Fées sont tout ce qui est nécessaire à la vie de la Nature, tout ce qui protège la Nature :
l'herbe, le coquelicot ...

Je ne trouve pas les mots ... les Fées sont des souffles, des souffles lumineux, des Lumières qui
passent.

Elles travaillent, elles façonnent tout.


(on a l'impression d'un travail).

Tu vois comme un nuage qui s'étire.

Tu vois comme un nuage qui se sépare en deux.

Les Fées sont là, elles tissent certains fils.

Des Elfes viennent, aident, chantent ...

Dans les contes de Fées, elles ont des visages, des corps.

Moi, je sais ! Les Fées n'ont pas de corps, elles ont le visage que l'on veut, le visage de sa mère
si l'on aime sa mère. Elles ont le visage de Dora pour moi.

CV
Tout se mérite : le Bien comme le mal.

Mais comme le Bien n'existe que par rapport au mal et comme le mal n'existe qu'en fonction
du bien, il faudrait avant tout essayer de connaître le sens de la notion fondamentale : celle du Bien et
du mal.
Comme elle te l'a dit :
Le Bien, c'est l'action conforme aux lois de la Nature qui sont l'Amour, la Lumière.
C'est une évidence !
Le mal, c'est le point opposé, c'est le point de non-retour.

Il n'y a pas de contradiction, la voie est simple.

As-tu compris cela ? Il faut qu'elle sache si tu as compris, c'est Essentiel.

C.D. Plage 1

Je vais dire : « Dans deux Pays » (Je dirais bien : « Dans deux mondes », mais je
ne sais pas si tu comprendrais ; c'est difficile !).

« Dans deux Pays » ... ou « Dans deux mondes » ... Comprends-tu ?

● Oui !

Dans des mondes différents étaient nés deux Enfants.

L'un s'appelait Gottfried (tu vois, c'est aussi Godefroy, c'est aussi quelque chose
qui t'est familier).

Il n'avait pas la Lumière dans son Nom, il n'en avait pas besoin : à l'époque, il
Était Lumière.
De l'autre côté ... enfin, dans l'autre pays, à la même heure, au même instant,
était née une petite fille.

Dois-je te dire son nom ?

● Gwendoline.

Oui !

Gwendoline était La Musique, le Rire, la Pureté.

Gottfried était la Rigueur, la Pureté également, le Rire aussi.

Tous deux étaient nés au moment où le soleil est le plus intense :


Ils étaient sortis de l'ombre en pleine Lumière car ils étaient La Lumière.

CS
L'un était La Lumière !
L’autre était La Musique !
Ils étaient tous deux La Joie !
Gwendoline, Gwena, Gwen : Joie !
Gottfried : Joie !
...

C
Leurs sentiments sont d'un autre niveau. Elles sont dans l'erreur mais ne le
savent pas : elles voudraient trouver la même voie que Gwendoline parce qu'elles ont
connu Gwendoline d'autres fois, parce qu'elles ont vécu avec elle d'une manière plus
proche, parfois intime.

● Elles ont donc aussi probablement vécu avec moi ?

Oui, mais chez elles, il y a contre toi le fait qu'elles ne s'en souviennent pas à
l'état conscient mais qu'elles sachent pourtant qu'entre Gwendoline et toi, tout a mal
fini ... alors on pourrait dire qu'elles ont un préjugé défavorable.

Leur voie est celle de l'unité (c'est-à-dire de « l'un »), je voudrais que tu
comprennes quelle est la douleur de celui qui cherche en vain son « Âme-Sœur » alors
qu'en fait, il ne pourra jamais la (re)trouver.

As-tu bien compris les sentiments et les motivations de ces personnes ?

C
Le seul avantage des fêtes, c'est que j'en profite pour voler de bonnes choses pour mes animaux :
Je prends toujours une bonne part de couscous pour Dora, elle aime bien ; du saumon fumé pour
Miminoyadette, elle sait apprécier ce qui est bon.
Je me débrouille chaque fois pour prendre aussi quelques crevettes et quelques cuisses de dinde pour
les donner à Frimousse et à mes autres animaux parce que j'ai plusieurs chats, j'ai même plusieurs chiens ;
eux aussi sont contents, c'est la fête !

Ne t'inquiète pas, dès que le masfouf est en préparation, j'ai vite fait de le repérer.
Les femmes doivent prévoir d'en faire quinze « kilos » parce qu'elles savent que j'en vole chaque
fois au moins cinq pour les animaux.
Elles ont beau le cacher, je le trouve toujours et cela les fait hurler. Sais-tu pourquoi ?

● Dis moi.

Parce qu'elles n'ont rien compris. Si c'était moi qui le mangeais, elles ne diraient rien mais elles ne
comprennent pas que j'aille le donner aux animaux.

N'ont-ils pas le droit, eux aussi, d'être « un peu heureux », d'être un peu gâtés ?

● Bien sûr que si !

Alors !
On garde les os pour les chiens, les arêtes pour les chats, « la belle affaire » !
Avec cela, ils sont gâtés !

Moi, je serais d'accord pour qu'on fasse l'inverse.

D'ailleurs, si un jour je devais moi-même inviter tous ceux qui viennent ici, je mettrais de belles
écuelles aux animaux : toutes les porcelaines de ma tante feraient des écuelles à chats et à chiens, pleines de
filets de ceci, de filets de cela.
Pour eux, dans les plats des animaux, je ne mettrais que les arêtes et les os.

Nous ririons bien ! Ne serait-ce pas une bonne idée ?

● Si ! Ce serait une excellente idée.


Oui, mais sais-tu qu'ils ne riraient pas ? Ils n'ont pas le sens de la plaisanterie.
Bof ! Il n'y aurait que mon oncle et mon Père qui riraient :
Mon oncle parce qu'il rit toujours ; je peux faire tout ce que je veux.
Mon Père comprend.

Vois-tu la différence ?

● Bien sûr.

Je crois que mon Père, il a dû être un peu comme moi. Il est à l'écart, il ne participe que très peu
quand les autres se gavent ...

C.D. Plage 2

As-tu remarqué que Grigri était un chat tigré ?

● Bien sûr.

Il a fait partie de la catégorie des grands félins. C'est une miniature


actuellement.

Il fut le tigre que l'on voit sur tous les livres : Le tigre mangeur d'hommes car il
a du blanc dans son pelage autour de ses yeux.

Au fil de ses vies, il devint un peu moins mangeur d'hommes, puis il travailla
dans un zoo, enfin, on le fit travailler dans un zoo car les animaux ne sont pas faits
pour travailler.

Là, il eut de bons contacts avec les hommes ; il aima beaucoup son maître et son
maître le lui rendit bien ; ainsi, son cycle de grand félin s'acheva.

Vois-tu ? Les lions, eux, préfèrent plutôt retrouver une forme qui leur ressemble
davantage.

En quoi vois-tu se miniaturiser ... un lion ?

Pour une panthère, pour un léopard, pour un tigre, cela semble évident, mais un
lion ...
● Pour une panthère, un léopard, un tigre, c’est un chat.

Oui.
Il y a des chats noirs, il y a des chats de plusieurs couleurs ...

Le léopard, lui, devient un « chat de gouttière » tacheté de plusieurs couleurs.

Il n'y a quand même pas mutation intégrale.


CS

Comprends-tu mieux quels « miracles » peut opérer l'Amour ?

T'en rends-tu compte ?

T'est-il possible de le concevoir, de l'accepter sans réticences, même après


réflexion ?

Comprends-tu que l'Amour n'attire pas seulement les êtres humains, mais aussi
tout ce qui vit ?

L'Amour peut Tout influencer, depuis la petite plante qui pousse sous ta fenêtre
jusqu'à l'étoile que tu vois le soir.

L'Univers ! C'est le cycle de l'Amour !

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