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TXM1221D H17 NotesDeCours S2 v7 PDF
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LE SYSTÈME NERVEUX
NOTES DE COURS
Marie-Claude Morissette
TABLE DES MATIÈRES
Dans la première séance, nous nous sommes familiarisés avec les substances dites psychotropes et nous avons analysé divers types de classification de ces substances. À l’aide de
différents exemples, nous avons vu que toutes ces substances agissent sur le système nerveux central, et plus spécifiquement au niveau du cerveau.
Dans cette séance, divisée en trois grandes parties, nous approfondirons nos connaissances en analysant ce qui se passe à partir du moment où une substance psychotrope est
administrée jusqu’à son action dans l’organisme. Pour ce faire, nous analyserons l’organisation et le fonctionnement du système nerveux qui, comme nous l’avons vu à la séance
précédente, est au cœur de l’action des substances psychotropes (section 2.1), puis nous verrons de façon sommaire quelles sont les cibles sur lesquelles les substances psychotropes
agissent (section 2.2). Enfin, nous suivrons, à titre d’exemple, le cheminement d’une substance psychotrope dans l’organisme (section 2.3).
Le système nerveux permet à notre organisme de percevoir des sensations, de penser et d’effectuer tous les mouvements, qu’ils soient volontaires ou involontaires. Il est composé de
l’encéphale, de la moelle épinière et des nerfs. Le fonctionnement de cet ensemble repose principalement sur les neurones, des cellules spécialisées capables de communiquer entre
elles par un langage chimique et électrique. Sur le plan anatomique, le système nerveux est formé du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Nous
pouvons comparer le système nerveux à un centre de contrôle aérien. Le contrôleur aérien reçoit du pilote les informations concernant sa position en vol, la quantité d’essence
restante, un problème technique, s’il y a lieu, etc. Le contrôleur aérien interprète et analyse l’information reçue et prend une décision qu’il pourra retransmettre au pilote. Le pilote
exécutera la directive reçue. Détaillons un peu plus le rôle du SNC et du SNP afin de nous aider à mieux comprendre cette analogie.
Des nerfs moteurs acheminent l’influx nerveux du SNC aux muscles et aux glandes. Parfois, des nerfs sensitifs et moteurs sont regroupés dans de plus gros nerfs que l’on appelle nerfs
mixtes. Les voies efférentes se divisent en deux parties : les voies efférentes somatiques et autonomes. Les voies efférentes autonomes se divisent elles-mêmes en deux catégories : les
efférences sympathiques et les efférences parasympathiques.
« Le système parasympathique : Son activation amène un ralentissement général des fonctions de l’organisme afin de conserver l’énergie. Ce qui était augmenté, dilaté ou accéléré par
le système sympathique est ici diminué, contracté ou ralenti. Il n’y a que la fonction digestive et l’appétit sexuel qui sont favorisés par le système parasympathique. Ce dernier est
associé à un neurotransmetteur : l’acétylcholine. » Le cerveau à tous les niveaux (2015) Le système nerveux. Repéré à
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/a/a_01/a_01_cr/a_01_cr_ana/a_01_cr_ana.html
La plupart du temps, les systèmes sympathique et parasympathique ont des actions antagonistes, c’est-à-dire opposées l’une à l’autre.
Organes
reproducteurs
Le cerveau comprend essentiellement le tronc cérébral et les deux hémisphères. Il est le principal organe du système nerveux. Il est grisâtre, composé de sillons, et de texture plutôt
gélatineuse.
Le cerveau est l’organe le plus sensible. Trois niveaux de protection assurent la préservation de son intégrité :
Il s’agit donc d’un réseau de communication qui utilise un langage chimique (les neurotransmetteurs) et électrique (influx nerveux).
Les dendrites sont responsables de recevoir l’information provenant d’un neurone voisin. On considère que l’information voyage dans un seul sens : des dendrites vers l’axone en
passant par le corps cellulaire.
Les dendrites de la cellule réceptrice établissent des contacts étroits avec les axones provenant d’autres cellules. Un minuscule espace de 20 millionièmes de mètre les sépare. Chaque
dendrite peut recevoir des contacts d’un, d’une poignée, ou de milliers d’autres neurones. Ces points de jonction sont nommés synapses.
Le corps cellulaire est la composante la plus importante du neurone. Comme dans l’ensemble des cellules, le corps cellulaire contient le cytoplasme et le noyau. Il reçoit et traite le signal
reçu par les dendrites. C’est le centre d’intégration de l’information. C’est également dans le corps cellulaire que sont produits les neurotransmetteurs (NT). Les mitochondries et les
microtubules assurent le transport des NT du corps cellulaire jusqu’au bout de l’axone.
L’axone est un long prolongement qui émerge du corps cellulaire du neurone et qui permet la transmission rapide de l’influx nerveux reçu par les dendrites et intégré par le corps
cellulaire. Certains axones sont protégés par une gaine de myéline (cellules de Schwann) qui permet une amélioration de la vitesse de conduction du signal électrique comme pour un
câble électrique. L’axone possède des terminaisons axonales qui assurent la communication entre les neurones ; ces terminaisons axonales contiennent les boutons terminaux qui
renferment un messager chimique, le neurotransmetteur.
Le potentiel d’action est le résultat de l’échange d’ions (Na+ et K+) entre l’intérieur du neurone, chargé négativement, et l’extérieur du neurone, chargé positivement.
Nous savons maintenant que les neurones comportent un corps cellulaire, des dendrites et un axone. Ces cellules présentent une excitabilité électrique. À cause de l’inégale
répartition des charges positives et négatives de part et d’autre de la membrane des axones, il existe un potentiel électrique que l’on appelle le potentiel de membrane. Des canaux
ioniques permettent en outre le passage des ions à travers la membrane. Le passage des ions entraîne une modification des concentrations ioniques de part et d’autre de la
membrane, et donc une modification du potentiel électrique. Si certains canaux ioniques sont toujours ouverts, d’autres s’ouvrent et se ferment en réponse à divers événements
comme une variation du potentiel de membrane ou l’accrochage d’un ligand.
La synapse
On appelle transmission synaptique la communication entre les neurones. La synapse est constituée d’une terminaison axonale du neurone présynaptique, l’émetteur, et d’une
dendrite du neurone postsynaptique, le récepteur.
Le messager chimique, le neurotransmetteur, est libéré dans la fente synaptique et permet aux neurones de communiquer entre eux. Ce sont sur ces processus de transmission de
l’information par des messages chimiques qu’agissent les drogues ou substances psychoactives. Dans la synapse chimique, le signal électrique qui arrive au bout de l’axone permet la
libération d’un neurotransmetteur dans la fente synaptique. Il peut alors se lier au récepteur qui se trouve sur les dendrites du neurone postsynaptique. Lors de la liaison du messager
chimique, le neurotransmetteur, un potentiel gradué postsynaptique est déclenché. Si la sommation des potentiels gradués au niveau des dendrites et du corps cellulaire atteint un
voltage suffisant, le potentiel d’action sera déclenché et transmis tout au long de l’axone.
Selon la nature du neurotransmetteur qui activera le récepteur, un signal postsynaptique inhibiteur ou excitateur sera généré.
Il est important de retenir qu'un neurone peut produire plus d'un type de neurotransmetteur. Chaque récepteur se trouvant sur les dendrites du neurone postsynaptique est
en mesure de se lier à un seul type de neurotransmetteur.
Pour déclencher l’activation d’un récepteur, il est essentiel que le neurotransmetteur qui s’y lie ait la bonne structure chimique. C’est ce qu’on appelle la spécificité ligand-récepteur.
Nous y voyons une cellule qui joue le rôle d’émetteur et qui transmet un signal constitué
de molécules du neurotransmetteur de forme hexagonale.
Mais observez sa forme. Vous constaterez que ce récepteur est capable de fixer une
molécule de forme ronde plutôt qu’hexagonale. Ainsi, quand la molécule hexagonale
arrive, elle ne peut se fixer au récepteur et, par conséquent, aucun effet ne se produit. Les
récepteurs présentent ainsi une certaine spécificité pour un neurotransmetteur donné.
Les acides aminés et les amines sont de petites molécules emmagasinées dans les vésicules synaptiques, tandis que les neuropeptides sont de plus grande taille et sont emmagasinés
dans les granules de sécrétion. Nous savons maintenant que lorsqu’un influx nerveux s’est transporté jusqu’à l’extrémité de l’axone, il arrive à la synapse, où il existe une discontinuité
entre les deux neurones que l’on appelle la fente synaptique. Pour assurer la transmission du message, l’influx permet l’entrée de calcium dans la cellule nerveuse. Cette entrée de
calcium provoque l’exocytose de vésicules synaptiques bourrées de molécules de neurotransmetteurs, lesquels migrent dans la fente synaptique jusqu’à un récepteur. La fixation à ce
récepteur de la substance psychotrope entraîne la formation d’un potentiel électrique dans le deuxième neurone. La continuité électrique a été assurée par un neurotransmetteur.
Celui-ci peut appartenir à différentes classes chimiques. Ce médiateur est ensuite éliminé de la fente synaptique par diffusion simple, par métabolisme ou par recaptage par le premier
neurone.
Par opposition, si une molécule exogène ayant une structure chimique similaire à celle de
la molécule endogène se lie au récepteur et ne produit aucun effet, on parlera d’une
substance antagoniste. La résultante sera une inhibition de l’effet recherché, car le
neurotransmetteur n’est plus en mesure de se lier à son récepteur pour générer son effet.
Dans les deux cas, les substances endogène et exogène seront en compétition l’une contre l’autre.
« Certaines substances psychotropes agissent au niveau des récepteurs responsables de la recapture du neurotransmetteur dans le neurone présynaptique. En agissant comme des
antagonistes du transporteur, elles entraînent une augmentation de la concentration du neurotransmetteur à l’extérieur du neurone, dans la synapse, ce qui produit une augmentation
du neurotransmetteur disponible pour assurer la liaison au récepteur (augmentation de l’effet recherché). » Brazier, J-L. et Schneeberger, P. (2004) Effets des substances psychotropes.
Montréal: Faculté de l’éducation permanente. P2.7-2.9
« Dans le cas de la dépression, la sérotonine est en concentration insuffisante dans la fente synaptique, ce qui crée un désordre chez l’individu. Certains antidépresseurs, par exemple le
Prozac®, inhibent le recaptage de la sérotonine, ce qui produit une augmentation de la concentration du neurotransmetteur disponible dans la fente synaptique pour lier le récepteur
associé. La résultante est un retour à l’état normal du système. » Brazier, J-L. et Schneeberger, P. (2004) Effets des substances psychotropes. Montréal: Faculté de l’éducation
permanente. P2.7-2.9
La dopamine
Récepteurs de la dopamine (DA) :
La dopamine est le neurotransmetteur associé au plaisir (renforcement positif).
Il existe deux types de récepteurs capables de se lier à ce neurotransmetteur, soit les récepteurs D1 et D2.
Un déséquilibre au niveau de ce neurotransmetteur peut induire un désordre observable sous forme d’une condition pathologique. Par exemple, une déplétion en dopamine est
responsable de la maladie de Parkinson, tandis que la schizophrénie serait causée par une surstimulation des récepteurs D2.
Psychotropes et dopamine :
La cocaïne : Le mécanisme d’action de la cocaïne est le blocage du recaptage des amines après leur libération au niveau synaptique. Il s’ensuit une augmentation de dopamine,
de sérotonine et de noradrénaline.
L’amphétamine : Comme la cocaïne, les amphétamines bloquent le recaptage des amines par l’inhibition des transporteurs des monoamines. Toutefois, à la différence de la
cocaïne, l’amphétamine provoque en plus une libération accrue de DA, de NA et de 5-HT.
Le glutamate
Récepteurs du glutamate :
Les récepteurs du glutamate de type N-méthyl-D-aspartate (NMDA) sont la cible de plusieurs substances psychotropes.
C’est le neurotransmetteur excitateur le plus présent dans le système nerveux.
Ils se présentent sous forme de canal.
Le glutamate est principalement associé à l’apprentissage et à la mémoire.
Certaines études laissent croire que l’activation des récepteurs du glutamate par la consommation de psychotropes serait l’une des principales causes de dépendance. Le
glutamate serait en mesure d’« apprendre » au cerveau à devenir dépendant
Psychotropes et glutamate :
La phencyclidine (PCP) et la kétamine sont des antagonistes non compétitifs des récepteurs
au glutamate de type NMDA. Ils agissent en se fixant sur un site situé à l’intérieur du canal
qui n’est accessible que quand celui-ci est ouvert. Ce qui pourrait expliquer les
manifestations psychotiques observées lors de la consommation de cette substance.
Psychotropes et GABA :
Les benzodiazépines et les barbituriques, utilisés dans le traitement de l’anxiété, se fixent au récepteur à des endroits différents du site de fixation du GABA. Ils contribuent à diminuer la
transmission du message nerveux. Il s’agit donc de substances agonistes.
La sérotonine
Récepteurs de la sérotonine (5-HT) :
La sérotonine est un neurotransmetteur inhibiteur et excitateur très important dans le SNC et le SNP.
Elle est responsable de la régulation de l’humeur, de l’appétit et du sommeil, de la transmission sensorielle et de la régulation des fonctions sexuelles.
L’effet généré dépend du type de récepteur qui est activé.
La sérotonine peut être recapturée par un transporteur (SERT) se trouvant sur la membrane du neurone présynaptique. Ce transporteur est la cible de plusieurs psychotropes.
Psychotropes et sérotonine :
• Une famille d’antidépresseurs, les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS), se fixent au transporteur SERT. La concentration de 5-HT dans la fente synaptique est
donc augmentée et la liaison au neurone postsynaptique est favorisée. Ces traitements sont utilisés pour soigner entre autres la dépression et les troubles anxieux.
• Le LSD utilise le même mécanisme d’action. La résultante est la mise en branle de l’activité hallucinogène de cette substance psychotrope.
Ces différentes actions modifient la transmission de l’influx nerveux et, par conséquent, le
fonctionnement des récepteurs. »
Il se lie à de nombreux récepteurs biologiques comme les récepteurs à glutamate, GABA, sérotonine et nicotine. L’alcool joue un rôle dans
Alcool
l’augmentation de la libération de dopamine dans le système mésocorticolimbique.
Comme l’ecstasy, ils provoquent des augmentations immédiates et importantes de sérotonine dans la synapse, mais aussi de dopamine, suivies d’un
Amphétamines
épuisement des stocks de ces neuromédiateurs. Un très grand nombre d’antidépresseurs agissent directement ou indirectement sur la libération de la
et leurs dérivés
dopamine.
Il entraîne une faible libération de dopamine selon un mécanisme encore étudié et discuté. Les récepteurs cannabinoïdes sont présents en forte densité
Cannabis
dans le système limbique (dans le noyau accumbens, le cervelet, l’hippocampe et le cortex).
Elle agit en empêchant la recapture de la dopamine au niveau des synapses. Ce faisant, elle augmente la présence et donc l’effet de la dopamine dans les
Cocaïne
synapses au niveau du cerveau des émotions (système limbique).
Elle augmente la présence de sérotonine dans les synapses en bloquant sa recapture. Dans une moindre mesure, elle augmente également la présence
Ecstasy
de dopamine.
Elle est transformée dans le cerveau en morphine. Celle-ci se lie aux récepteurs opioïdes naturels (récepteurs des endorphines). Elle stimule également le
Héroïne
système de la dopamine, mais par un mécanisme indirect, en diminuant le contrôle des neurones GABA sur les neurones à dopamine.
Comme toutes les autres substances psychoactives induisant une dépendance, elle accroît la libération de dopamine par certains neurones. La nicotine
Nicotine du tabac imite l’action d’un neuromédiateur naturel, l’acétylcholine. Elle se lie aux récepteurs nicotiniques dans le cerveau. La nicotine facilite également la
libération des endomorphines, ce qui expliquerait en partie son effet antalgique (contre la douleur).
Afin d’intégrer les concepts présentés dans ce chapitre, voici un schéma expliquant les étapes qu’un psychotrope doit franchir pour générer son effet. Dans cet exemple, l’héroïne sera
utilisée pour expliquer le cheminement d’une substance psychotrope.
2.4 CONCLUSION
Veuillez consulter la capsule et l’information de la séance sur StudiUM pour effectuer vos lectures et visionner les vidéos suggérées.
Auteur inconnu (s. d.). Communication entre neurones. [Vidéo en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=KAiLCX1_0EQ
Allô Prof ! (2013). Sciences et technologies : le système nerveux central. Repéré à http://bv.alloprof.qc.ca/s1285.aspx
Anatomie 3D Lyon (2012). Le neurone et la libération de neurotransmetteurs. [Vidéo en ligne]. Repéré à https://www.youtube.com/watch?v=LrzWhuKYxew
Bilimoria, P. (s. d.). Breaking into the autistic brain. Repéré à http://www.childrenshospital.org/news-and-events/research-and-innovation-features/breaking-into-the-autistic-
brain
Bost, C. (s. d.). Q.I. or not Q.I.? L’identification du surdon (10 / 12) – Les autres variables qui peuvent influencer le QI – Les étapes de l’interaction avec l’environnement. [Billet de
blogue]. Repéré à http://www.talentdifferent.com/q-i-or-not-q-i-l%E2%80%99identification-du-surdon-10-a-determiner-%E2%80%93-les-autres-variables-qui-peuvent-
influencer-le-qi-1812.html
Brazier, J.-L. (2009). Le cerveau. Conférence donnée à l’Université de Montréal, Les belles soirées et matinées, série Médecine pour tous. Montréal.
Brazier, J.-L. et Schneeberger, P. (2004). Effets des substances psychotropes. Montréal : Faculté de l’éducation permanente.
British Neuroscience Association et European Dana Alliance for the Brain (2003). Neurosciences : les sciences du cerveau – Une introduction pour le grand public. Repéré à
http://www.catherinefol.com/education/concours_brain_bee/documents/Les%20sciences%20du%20cerveau%20Fre.pdf. Lien mis à jour :
http://www.catherinefol.com/education/concours_brain_bee/documents_du_concours/Les%20sciences%20du%20cerveau%20Fre.pdf
Chevalley, A.-F. (2002). Neurobiologie des effets de la cocaïne. Dépendances, 18 (14-17). Repéré à http://www.sfa-ispa.ch/DocUpload/dep_18_chevalley.pdf. Lien mis à jour :
http://shop.addictionsuisse.ch/fr/dependances/322-dependances-no-18-faut-il-avoir-peur-de-la-cocaine.html
Démocritique. (s. d.). Cerveau : système nerveux autonome. Repéré à http://www.democritique.org/Cerveau/Système_nerveux_autonome.svg.xhtml
Dupire, J. (s. d.). Neurosciences – III. — Bases cellulaires de la communication (2). Repéré à http://www2.univ-paris8.fr/ingenierie-cognition/master-
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Huffman, K. (2007). Introduction à la psychologie (3e éd.). Montréal : Modulo.