Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
com>
Je suis sur que tu trouveras de la valeur à ces mails que j’envoie chaque semaine.
Personnellement ça fait 4 ans que j’étudie une matière qui ne me passionne pas.
Mais moi, je ne veux pas être un mec classe, je veux être un mec heureux.
Personne n’est motivé à l’idée de « ne pas manger trop gras, trop sucré, trop salé ».
D’être capable de courir avec ses enfants au parc sans être essoufflés.
C’est d’être inspirant, d'aider notre famille à être en meilleure santé pour leur éviter des problèmes de santé.
C’est pour ça que les iPhone se vendent si bien alors qu’ils ne sont pas les plus performants du marché.
C’est pour ça que les gars « trop gentils » ont du mal à être en couple.
L’humain agit en fonction de ses émotions, pas en fonction d’une liste de bénéfices.
Et bien, nos professeurs ne sont pas très bon pour nous motiver.
Ils nous disent de travailler « parce que ça va nous servir plus tard ».
Ce que je te propose..
Tu peux te dire que tes études font partie d’un parcours de ta vie..
Que les échecs et les moments de doute font partie d’un processus qui va te construire.
Que tes études vont te permettre de mieux te connaître, de devenir plus confiant.
Je travaille pour moi, mais aussi pour mon entreprise (je suis auto-entrepreneur).
Je travaille pour inspirer d’autres étudiants, leur montrer qu’on peut être épanoui même dans des études déprimantes.
Je travaille pour rendre fier mes proches, évidemment, mais ça vient après.
Ce n’est pas ça que je raconterai à mes petits enfants quand j’aurai 60 ans.
Je ne vais pas leur raconter le jour où j’ai eu 14 en droit administratif grâce à la jurisprudence « BENJAMIN CE 1933 »
Je leur raconterai plutôt le jour où Papi a fait sa première vidéo Youtube avec des gouttes de sueur sur le front.
Ou le jour ou Papi rentrait de soirée et a fait un cours de droit des sociétés à la place de son professeur.
Regarde, j’ai énormément de projets dans ma vie qui dépassent mes études…
Mais ce qui est sûr, c’est que ces raisons profondes m’empêchent d’abandonner.
Et c’est ça le principal.
À bientôt,
Grégoire.