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Norme - DTU 50 702 - Règles TH-K - Calcul K Parois PDF
Norme - DTU 50 702 - Règles TH-K - Calcul K Parois PDF
DTU règles Th - K 77
janvier 1997
règles Th - K 77
règles de calcul des caractéristiques thermiques utiles des parois de
construction
© CSTB 1997
membres de la commission d'étude des règles Th - K 77
Les représentants :
- de l'Agence pour les économies d'énergie (AEE),
- de l'Association des ingénieurs de chauffage et ventilation de France (AICVF),
- du Bureau Véritas,
- du Centre expérimental de recherches et d'études du bâtiment et des travaux publics
(CEBTP),
- du Centre d'assistance technique et de documentation (CATED),
- du Centre d'études de prévention (CEP),
- du Centre d'études et de recherches de l'industrie du béton manufacturé (CERIB),
- du Centre d'études et de recherches des fabricants d'isolants minéraux (CERFIM),
- du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB),
- du Centre technique des tuiles et briques (CTTB),
- du Centre technique du bois (CTB),
- du Centre technique industriel de la construction métallique (CTICM),
- du Comité français de l'isolation (CFI),
- du Comité scientifique et technique de l'industrie du chauffage, de la ventilation et du
conditionnement d'air (COSTIC),
- de la chambre des ingénieurs-conseils de France, équipements techniques (CICF),
- de la Direction de la construction du ministère de l'équipement,
- de la Direction des équipements du ministère de l'éducation,
- de la Direction des hôpitaux du ministère de la santé,
- d'Electricité de France (EDF),
- de la Fédération française de l'industrie du béton (FIB),
- de la Fédération des fabricants de tuiles et de briques de France (FFTB),
- de la Fédération nationale de l'équipement électrique (FNEE),
- de Gaz de France (GDF),
- du Laboratoire national d'essais (LNE),
- de l'Office technique des matériaux verriers (TECMAVER),
- de la Société auxiliaire de gestion immobilière (SAGI),
- de la Société centrale immobilière de la caisse des dépôts et consignations (SCIC),
- de la Société de contrôle technique et d'expertise de la construction (SOCOTEC),
- du Syndicat national de la construction des fenêtres, façades et activités associées (SNFA),
- du Syndicat national d'exploitation d'équipements thermiques et de génie climatique (SNEC),
Sommaire
plancher intérieur
6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un plancher intérieur
6.2.3 liaison d'une façade légère avec un refend ou un plancher intérieur (en béton lourd)
6.2.4 liaison d'un mur en béton lourd à isolation intérieure avec un refend ou un plancher intérieur
en béton lourd
6.2.5 liaison d'un mur de maçonnerie à isolation intérieure avec un refend ou un plancher intérieur
6.2.6 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un refend
6.2.7 liaison d'un plancher bas à isolation extérieure avec un refend
6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher intérieur
6.3 liaison de deux parois extérieures
6.3.1 liaison de deux murs
6.3.2 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un mur
6.3.3 liaison d'un plancher bas à isolation extérieure avec un mur
chapitre VII facteur solaire des parois vitrées courantes
annexe calcul du facteur solaire des parois vitrées
1 définition et conventions
1.1 définition
1.2 conventions
2 calcul du facteur solaire
2.1 facteur solaire du vitrage
2.2 facteur solaire de la paroi vitrée nue
2.3 facteur solaire de la paroi vitrée en place
3 valeurs courantes du facteur solaire
Dans certains cas, la normalisation européenne utilise d'autres symboles que ceux donnés ici, en
particulier :
- l'épaisseur est représentée par la lettre d au lieu de E, e ou ε,
- le coefficient de transmission surfacique est représenté par la lettre U au lieu de K, cette
dernière lettre étant réservée à l'abréviation du Kelvin.
On se reportera utilement à la norme P 50-740 : » Isolation Thermique Grandeurs physiques et
définitions ».
Un local est dit « ouvert » si le rapport de la surface totale de ses ouvertures permanentes sur
l'extérieur, à son volume, est égal ou supérieur à 0,005 m²/m³. Ce peut être le cas, par exemple, d'une
circulation à l'air libre, pour des raisons de sécurité contre l'incendie.
1.3.4 valeurs utiles
Les valeurs des conductivités thermiques, des résistances thermiques, des coefficients de
transmission surfacique et linéique données respectivement aux chapitres III, IV, V et VI sont dites
« utiles ».
Elles sont définies pour les conditions conventionnelles de température, d'humidité des matériaux et
d'échanges superficiels fixées respectivement aux paragraphes 1.3.1, 1.3.2 et 1.3.3 , les matériaux
étant mis en oeuvre dans des parois réalisées conformément aux règles de l'art (cahier des charges
DTU, ...).
Les valeurs utiles de la conductivité thermique et de la résistance thermique tiennent compte des
dispersions à l'intérieur d'une même fabrication et d'une fabrication à l'autre à l'intérieur d'une même
famille.
Il découle des conventions précédentes que les valeurs utiles de la conductivité thermique (λ) (et de la
NOTE
(1)Sauf spécification particulière, l'état sec est défini conventionnellement comme l'état du matériau
séché à 70 ± 5 °C avec de l'air pris dans une ambiance à 20 ± 2 °C et 65 ± 5 % d'humidité relative.
Par contre, les valeurs données par le présent document priment toujours sur celles figurant dans des
procès-verbaux de mesure ou dans des normes.
Les raisons, pour ce qui concerne les procès-verbaux de mesure, en sont les suivantes :
- les résultats de plusieurs mesures faites sur un même matériau présentent une dispersion
quasi inévitable ;
- il existe souvent une dispersion dans les caractéristiques physiques d'un matériau, d'où la
nécessité d'effectuer plusieurs mesures sur des échantillons choisis de façon aléatoire ;
- il peut être difficile, et même parfois impossible, de déterminer les caractéristiques d'un
matériau ou d'une paroi dans les conditions d'humidité utile ; le résultat de la mesure doit
alors être corrigé ;
- les caractéristiques thermiques de certains matériaux peuvent varier dans le temps, du fait
par exemple de la diffusion d'un gaz occlus dans les cellules ; il est alors nécessaire
figure 1
figure 2
figure 2
On peut dire, pour être plus général, qu'il ne faut prendre en compte que les parties de parois ayant
deux faces, l'une intérieure et l'autre extérieure, en regard l'une de l'autre.
coefficient de transmission surfacique global
Le coefficient de transmission surfacique global d'une paroi est égal aux déperditions par transmission
à travers la paroi (d) données par la formule 1, divisées par la surface intérieure de la paroi (Σ A).
Son expression est donc : (W/m².K) (2)
où représente la somme des rapports e/λ des différentes couches, e étant l'épaisseur du matériau
de conductivité thermique utile λ. Les conductivités thermiques utiles des matériaux de construction
sont données au chapitre III .
2.1.2 parties courantes d'épaisseur constante pouvant être ramenées à des couches
homogènes (lames d'air ventilées exclues)
2.1.2.1 hétérogénéités faibles et régulières
Si les hétérogénéités dans les divers plans sont faibles et régulières (hétérogénéité due aux joints
dans une maçonnerie pleine par exemple), on peut, pour simplifier, utiliser encore la notion de λ.
Les valeurs données pour les pierres au paragraphe 3.1 illustrent ce cas.
2.1.2.2 hétérogénéités importantes mais régulières
Si les hétérogénéités sont importantes mais régulières (alvéoles dans les briques ou les agglomérés
de béton par exemple), on introduit directement la résistance thermique utile par unité de surface (R)
de l'ensemble hétérogène (y compris les joints).
Le coefficient K est alors donné par la formule :
(m².K/W) (4)
Les résistances thermiques utiles par unité de surface des éléments de construction sont données au
chapitre IV .
2.1.3 parties courantes d'épaisseur variable, la couche d'épaisseur variable étant en matériau
plein
Le coefficient K moyen est obtenu par les formules (3) ou (4) , en y introduisant l'épaisseur moyenne
de la couche d'épaisseur variable.
2.1.4 parties courantes comprenant une lame d'air ventilée (2)
Ce paragraphe concerne les parois à lame d'air dont les orifices de ventilation débouchent
exclusivement et en permanence sur l'extérieur, à l'exclusion donc des fenêtres équipées de
fermetures extérieures, traitées au paragraphe 2.6.7 ci-après, et des parois à lame d'air traversée
par l'air servant à la ventilation du logement, traitées dans les Règles Th-G.
La ventilation de la lame d'air est caractérisée :
- dans le cas des parois verticales, par le rapport de la section totale des orifices haut et bas
de ventilation (s), exprimée en m², à la longueur de la paroi (L), exprimée en m ;
- dans le cas des parois horizontales, par le rapport de la section totale des orifices de
ventilation (s), exprimée en m², à la surface de la paroi (A), exprimée en m².
NOTE
(2)mise à jour en juillet 1988
Les valeurs de I, exprimées en W/(m².K), sont données dans le tableau ci-dessous (extrait de
l'abaque du § 5.1 des Règles Th-B pour q/A = 10) :
tableau sans légende dans: parois horizontales ou faisant avec le plan horizontal un angle égal o ...
Dans cette formule, J est un coefficient fonction des rapports s/L et Ko /Ke et de la somme (Ki + Ke ) ;
Ki , Ke et Ko ont la même signification que ci-dessus.
La valeur de J, exprimée en W/(m².°C), est obtenue :
- pour 0,002 ≤ s/L < 0,02 m²/m, par lecture de l'abaque ci-contre (fig. 2, § 2.6.7.1 des
Règles Th-K actuelles) ;
figure sans légende dans: parois verticales ou faisant avec le plan horizontal un angle supérieu ...
- pour 0,02 ≤ s/L < 0,05 m²/m, en multipliant par 1,35 la valeur lue sur l'abaque.
2.1.4.3 parois fortement ventilées
- Parois horizontales :
Flux de chaleur ascendant (toitures) :
2.1.4.4 écrans
Si la partie extérieure de la paroi est un écran placé à une certaine distance, l'espace d'air étant
totalement ouvert sur au moins deux côtés, cas des pare-soleil par exemple, l'ambiance extérieure
n'est plus considérée en air calme et on applique la formule :
(m².K/W) (7)
- Parois horizontales :
Flux de chaleur ascendant (toitures) :
figure 3
figure 4
La méthode de calcul consiste à décomposer la paroi en éléments homogènes dont on sait calculer
le coefficient K.
Le coefficient de transmission thermique utile moyen de la paroi est alors donné par la formule :
(W/m².K) (8)
dans laquelle :
- K0 est le coefficient de transmission surfacique en partie courante,
Σ(k L) étant la somme des produits du coefficient k de chaque ossature par sa longueur L.
Du fait de la grande variété des formes et constitutions des ossatures, en particulier lorsqu'il
existe des coupures isolantes, le calcul du coefficient k est complexe. Mais ce calcul ne devrait
normalement pas être nécessaire, les valeurs des coefficients K0 et k devant être fournies par
le fabricant ou, mieux, par le document d'Avis Technique. La méthode de calcul présentée ci-
dessous est donc essentiellement destinée aux fabricants pour l'étude de conception des
panneaux.
Le coefficient k est donné par la formule générale suivante :
(m².K/W) (10)
figure 6
figure 7
figure 5
dans laquelle :
- εc et λc sont l'épaisseur (exprimée en m) et la conductivité thermique de la coupure
thermique lorsqu'elle existe. S'il y a plusieurs coupures thermiques, on ajoute les
rapports εc /λc l ; par exemple pour le panneau de la figure 7 , on écrit 2 εc /λc l ;
- l0 ε0 et λ0 sont la largeur, l'épaisseur (exprimées en m) et la conductivité thermique de
l'ossature. l0 est comptée à partir et jusqu'à l'axe de l'ossature comme le montrent les
figures 5, 6 et 7 .
° ∆ li et ∆ le sont les augmentations fictives de la largeur d'ossature, dues à la conductivité des
parements, respectivement intérieur et extérieur. Leurs valeurs sont données dans le tableau
ci-contre en fonction de la nature et de l'épaisseur du parement, de r et de K0 .
valeurs de ∆ li et ∆ le (en m)
Pour les matériaux ne figurant pas dans ce tableau , on peut calculer ∆ l par la formule :
valeurs de ϕ
Remarque. - La méthode de calcul ci-dessus n'est à appliquer que si r est inférieur à 0,20 m².K/W.
Pour des valeurs supérieures les flux latéraux sont suffisamment faibles pour que l'on puisse utiliser la
formule donnée au paragraphe 2.2.1 .
(3)
NOTE
(3)Ces valeurs correspondent à des panneaux verticaux ou faisant avec le plan horizontal un angle
supérieur à 60°. Dans les autres cas, elles doivent être réduites de 10 %.
figure 8
Le premier terme du numérateur correspond aux parties isolées de la paroi, le second correspond
aux nervures continues en béton, le troisième aux liaisons ponctuelles en béton ou en acier.
Dans cette formule :
- A est la surface intérieure de la paroi
- Ko est le coefficient K des parties isolées, calculé suivant les indications du paragraphe 2.1
- Ao est la surface de ces parties
- k est le coefficient de transmission linéique des nervures continues en béton
- L est la longueur de ces liaisons
- ζ est le coefficient de transmission ponctuelle des plots en béton ou des liaisons métalliques
- n est le nombre de ces plots ou de ces liaisons ;
a) Le coefficient de transmission linéique des nervures continues en béton (k) est donné par la
formule :
k = Kn l + (Kn - Ko ) x (W/m.K) (12)
- Kn est le coefficient K au droit des nervures continues en béton calculé suivant les
indications du paragraphe 2.1
- l est la largeur de ces nervures
- K0 est le coefficient de transmission surfacique au droit de l'isolant ; si l'épaisseur
d'isolant n'est pas la même de chaque côté de la nervure, K0 est égal à la moyenne
arithmétique de ces deux valeurs
- x est donné par l'abaque de la figure 9 en fonction de l'épaisseur totale des deux voiles
de béton (ei + ee ) et du rapport ei /(ei + ee ).
figure 9
Toutefois pour les nervures de rive : x est égal à la moitié de la valeur donnée par cet
abaque.
Voir exemple 10, page 70 .
b) Les valeurs du coefficient de transmission ponctuelle des plots en béton et des liaisons
métalliques (ζ) sont données dans le tableau ci-dessous :
tableau sans légende dans: 2.2.3 parois sandwichs béton isolant léger
Les parois ne comportant pas un tel matériau isolant (par exemple les maçonneries) ou les parois
comportant un tel matériau mais non placé sur l'une de leurs faces (par exemple les panneaux de
façade) sont classées dans les parois à isolation répartie.
Les parois sandwichs béton-isolant léger, définies au paragraphe 2.2.3 , sont traitées à part.
2.3.1 liaison de deux parois extérieures par une ossature métallique (fig. 10)
figure 10.1
figure 10.2
figure 11.1 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation répartie/menuiserie au nu intérieur
figure 11.2 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation répartie/menuiserie en ébrasement
figure 11.3 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation répartie/menuiserie au nu extérieur
figure 11.4 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation répartie/exemples d'encadrements en
béton
figure 11.5 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation répartie/exemples d'encadrements en
béton
(W/m.K) (14)
figure 12.1 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation extérieure/menuiserie au nu intérieur
figure 12.2 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation extérieure/menuiserie au nu intérieur
figure 12.3 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation extérieure/menuiserie au nu extérieur
ou à peu près au nu extérieur
figure 12.4 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation extérieure/menuiserie au nu extérieur
ou à peu près au nu extérieur
figure 13.1 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation intérieure/menuiserie au nu extérieur
figure 13.2 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation intérieure/menuiserie au nu extérieur
figure 13.3 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation intérieure/menuiserie au nu intérieur ou
à peu près au nu intérieur
figure 13.4 liaisons entre une menuiserie et un mur à isolation intérieure/menuiserie au nu intérieur ou
à peu près au nu intérieur
a) Si l'encadrement de baie est constitué par une nervure en béton reliant les deux voiles, le
coefficient k est calculé selon les indications du paragraphe 2.3.2.1 , Rm étant la résistance
thermique de la paroi au droit de la nervure.
b) Si la menuiserie est dans le plan de l'isolation et la prolonge, le coefficient k est nul.
c) Si l'isolation recouvre une partie du tableau, le coefficient k est calculé par la formule (17) ; e
est alors l'épaisseur du voile intérieur.
2.3.2.5 cas particulier ou l'encadrement de baie est métallique (fig. 14)
Ce paragraphe ne concerne que les menuiseries en bois ; en effet il n'existe pas de formules
générales pour les menuiseries métalliques.
a) Si l'encadrement métallique ne recouvre que l'extérieur du mur (fig. 14.1 et 14.2) , le
coefficient k de l'encadrement de baie est celui déterminé dans les paragraphes qui
précèdent (§ 2.3.2.1 à 2.3.2.4) .
b) Si l'encadrement métallique recouvre toute l'épaisseur du mur (fig. 14.3 et 14.4) , le
coefficient k est donné par la formule :
k = ke + km (W/m.K) (18)
Dans cette formule :
- ke est le coefficient k de la liaison sans encadrement métallique dont le mode de calcul est
donné aux paragraphes 2.3.2.1 à 2.3.2.4 ;
- km est donné par la formule :
(m.K/W) (19)
où :
- li et le sont les longueurs définies sur les figures 14.3 et 14.4 et exprimées en m ;
- L est une longueur égale à :
em + (li + le )/4
em étant l'épaisseur de la menuiserie exprimée en m ;
- ε et λm sont respectivement l'épaisseur et la conductivité thermique de l'encadrement
métallique, exprimées en m et W/m.K.
2.3.3 angle de deux parois extérieures
Ce paragraphe donne le coefficient k correspondant aux déperditions, par K et par mètre de liaison,
relatives à chaque paroi constituant l'angle, qu'il s'agisse d'un angle saillant ou d'un angle rentrant.
2.3.3.1 les deux parois sont à isolation répartie
a) Si les deux parois sont identiques (fig. 15.1 et 15.4) le coefficient k est donné par la
formule :
(W/m.K) (21)
2.3.3.3 les deux parois sont à isolation intérieure s'il s'agit d'un angle saillant (fig. 17.1) ou à
isolation extérieure s'il s'agit d'un angle rentrant (fig. 17.2)
(W/m.K) (24)
(W/m.K) (25)
(W/m.K) (27)
b) L'angle est constitué comme indiqué sur les figures 19.2 et 19.4 :
figure 20.1 angles saillants entre une paroi à isolation extérieure et une paroi à isolation intérieure
figure 20.3 angles rentrants entre une paroi à isolation extérieure et une paroi à isolation
intérieure
(W/m.K) (29)
figure 20.2 angles saillants entre une paroi à isolation extérieure et une paroi à isolation intérieure
figure 20.4 angles rentrants entre une paroi à isolation extérieure et une paroi à isolation
intérieure
(W/m.K) (30)
Les valeurs de α sont données au tableau III (paragraphe 2.3.4) en fonction de K2 (Ke dans le
tableau) et de ri .
2.3.3.7 mur sandwich béton-isolant léger
Le coefficient k peut ici avoir une valeur différente pour chaque paroi. Deux cas sont à considérer :
a) La surface intérieure n'est pas limitée dans l'angle par une nervure (c'est le cas de la paroi
repérée 1 sur la figure 21 ).
figure sans légende dans: 2.3.4 liaison entre une paroi extérieure et une paroi intérieure
Chaque coefficient k, visé dans ce qui suit, traduit les déperditions (par °C et par mètre linéaire de
liaison) d'un seul local.
2.3.4.1 cas général
Sauf pour les murs sandwichs béton-isolant léger qui seront traités au paragraphe 2.3.4.2 , le
coefficient k est donné par la formule :
k = 0,4 Ki ei (1 + α) (W/m.K) (33)
Dans cette formule :
- Ki est le coefficient K de la paroi fictive située au droit de la paroi intérieure et limitée aux nus
intérieur et extérieur de la paroi extérieure ; les figures 22.2 et 22.4 en donnent une
illustration ; son mode de calcul est donné ci-après :
figure 22.1 exemples de liaisons entre une paroi extérieure et une paroi intérieure/liaison mur-
plancher
figure 22.2 exemples de liaisons entre une paroi extérieure et une paroi intérieure/liaison mur-
plancher
figure 22.3 exemples de liaisons entre une paroi extérieure et une paroi intérieure/liaison-mur-
refend
figure 22.4 exemples de liaisons entre une paroi extérieure et une paroi intérieure/liaison-mur-
refend
où :
- R est la résistance thermique de la paroi fictive définie ci-dessus, exprimée en m².K/W ;
remarquons que R est indépendant de la saillie éventuelle de la paroi intérieure vers
l'extérieur ;
- rs est une résistance additionnelle exprimée en m².K/W, dont les valeurs sont données dans
les paragraphes qui suivent.
2.3.4.1.1 valeurs de α et de rs lorsque la paroi extérieure est à isolation répartie (fig. 23)
figure 23.1 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
figure 23.2 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
figure 23.3 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
figure 23.4 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
figure 23.5 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
figure 23.6 liaisons entre une paroi extérieure à isolation répartie et une paroi intérieure
a valeur de α
α est nul.
b valeur de rs
D'une façon générale, rs est égal à 0,15 m².K/W. Toutefois si la paroi intérieure a sur chacune de ses
faces un revêtement de résistance thermique supérieure à 0,30 m².K/W, rs est égal à 0,25 m².K/W.
En outre, lorsque la paroi extérieure est une façade légère, on distingue les deux autres cas suivants :
- La saillie extérieure de la paroi intérieure est revêtue sur ses trois faces d'un isolant de
résistance thermique au moins égale à 0,5 m².K/W (fig. 23.5) . rs est fonction de la
résistance thermique (r'e ) de cet isolant et de la longueur de la saillie (D) ; sa valeur est
donnée au tableau I .
tableau 1
- La paroi intérieure est partiellement revêtue sur ses deux faces (à l'extérieur ou à l'intérieur)
d'un isolant de résistance thermique au moins égale à 0,5 m².K/W (fig. 23.6) . rs est fonction
de la résistance thermique (r'e ou r'i ) de cet isolant et de sa longueur (l) ; sa valeur est
donnée au tableau II .
tableau II
Si, dans ces deux derniers cas, la paroi intérieure est à la fois isolée sur sa saillie extérieure et
totalement revêtue sur sa partie intérieure d'un isolant de résistance thermique au moins égale à
0,30 m².K/W, la valeur de rs est obtenue en ajoutant 0,10 m².K/W à la valeur lue dans les tableaux I
ou II .
2.3.4.1.2 valeurs de α et de rs lorsque la paroi extérieure est à isolation extérieure (fig. 24)
figure 24.1 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
figure 24.2 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
figure 24.3 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
figure 24.4 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
figure 24.5 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
figure 24.6 liaisons entre une paroi extérieure à isolation extérieure et une paroi intérieure
a valeurs de α
α est fonction de la résistance thermique de l'isolation extérieure (re ) et du coefficient K de la paroi
extérieure (Ke ) ; sa valeur est nulle si l'isolation est continue au droit de la paroi intérieure (fig. 24.3) ;
elle est donnée au tableau III dans les autres cas.
b valeurs de rs
On distingue trois cas :
- L'extrémité de la paroi intérieure n'est pas isolée (fig. 24.1 et 24.2) ou l'isolation de la paroi
extérieure est continue au droit de la paroi intérieure (fig. 24.3) : rs est égal à 0,15 m².K/W.
- La saillie extérieure de la paroi intérieure est revêtue sur ses trois faces d'un isolant de
résistance thermique au moins égale à 0,5 m².K/W (fig. 24.4) ; rs est fonction de la
résistance thermique (r'e ) de cet isolant et de la longueur de la saillie D ; sa valeur est
donnée au tableau I .
- La saillie extérieure de la paroi intérieure est partiellement revêtue sur deux faces d'un isolant
de résistance thermique au moins égale à 0,5 m².K/W (fig. 24.5) ; rs est fonction de la
résistance thermique (r's ) de cet isolant et de sa longueur (l). Sa valeur est donnée au
tableau II .
Un revêtement isolant placé sur la paroi intérieure dans les locaux (fig. 24.6) ne modifie pas ces
valeurs.
2.3.4.1.3 valeurs de α et de rs lorsque la paroi extérieure est à isolation intérieure (fig. 25)
figure 25.1 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
figure 25.2 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
figure 25.3 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
figure 25.4 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
figure 25.5 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
figure 25.6 liaisons entre une paroi extérieure à isolation intérieure et une paroi intérieure
a valeurs de α
α est fonction de la résistance thermique de l'isolation intérieure (ri ) et du coefficient K de la paroi
extérieure (Ke ) ; sa valeur est donnée au tableau III .
(Le cas où une isolation est disposée au droit de la paroi intérieure entre le nu extérieur et la face
sous l'isolant de la paroi extérieure, n'est pas traité ici).
b valeurs de rs
Que la saillie extérieure de la paroi intérieure soit isolée ou non, la valeur de rs ne dépend que de
l'isolation de la partie intérieure de cette paroi.
- Si cette partie n'est pas isolée (fig. 25.1 à 25.5) , ou n'est isolée que sur une face, ou si elle
est revêtue sur ses deux faces d'une isolation de résistance thermique inférieure à
0,3 m².K/W, rs est égal à 0,15 m².K/W.
- Si cette partie est totalement revêtue sur ses deux faces d'une isolation de résistance
thermique au moins égale à 0,30 m².K/W, rs est égal à 0,25 m².K/W.
- Si cette partie est totalement ou partiellement revêtue sur ses deux faces d'un isolant de
résistance thermique au moins égale à 0,5 m².K/W (fig. 25.6) , rs est fonction de la
résistance thermique (r'i ) de cet isolant et de sa longueur l ; sa valeur est donnée au
tableau II .
2.3.4.2 cas particulier du mur sandwich béton-isolant léger
Quatre cas sont à considérer suivant qu'il existe ou non une nervure sur le bord du panneau et que
l'extrémité de la paroi intérieure est isolée ou non.
a) Le panneau a une nervure de rive et l'extrémité de la paroi intérieure n'est pas isolée
(fig. 26.1) ;
(fig. 26.3) :
On distingue les planchers bas, les murs et les planchers hauts enterrés (fig. 27) .
figure 27
Pour les planchers bas et les murs, les déperditions pour 1K d'écart de température entre l'intérieur et
l'extérieur (d) sont données par la formule :
d = k L W/K (39)
Dans cette formule :
- k est le coefficient de transmission linéique du plancher bas ou du mur dont on donne
respectivement les valeurs aux paragraphes 2.4.1 et 2.4.2 ; il s'exprime en W/m.K ;
- L est le pourtour extérieur du plancher ou du mur ; il s'exprime en mètres.
Cette méthode de calcul intègre les déperditions aux liaisons mur-plancher bas, mur-plancher
intermédiaire et mur-refend.
Pour les planchers hauts, les déperditions pour 1 K d'écart de température entre l'intérieur et
l'extérieur sont calculées comme s'il s'agissait d'un plancher haut en contact avec l'extérieur. Ces
déperditions sont donc égales au produit de la surface intérieure du plancher par son coefficient K,
celui-ci étant calculé suivant la méthode donnée au paragraphe 2.4.3 .
2.4.1 planchers bas sur terre-plein ou enterrés
2.4.1.1 plancher sans isolation spécifique
Le coefficient k est fonction de la différence de niveau (z) entre la face supérieure du plancher et le
sol ; z est compté négativement lorsque le plancher est plus bas que le sol (fig. 28.1 , plancher
enterré) et positivement dans le cas contraire (fig. 28.2) .
figure 28.1
figure 28.2
tableau IV
2.4.1.2 plancher avec isolation verticale ou horizontale au pourtour, ou horizontale sur toute la
surface du plancher
Que l'isolation soit disposée sur toute la surface du plancher ou seulement au pourtour, on distingue
trois cas suivant que cette isolation est interrompue, réduite ou continue au droit du plancher.
2.4.1.2.1 l'isolation est interrompue au droit du plancher
Les valeurs du coefficient k correspondant à l'isolation disposée au pourtour (fig. 29) sont données
dans le tableau V ci-contre en fonction de la différence de niveau z, définie au paragraphe
précédent, de la largeur l de l'isolation et de la résistance thermique r de cette isolation. (4)
figure 29
figure 29
figure 29
tableau V
Les valeurs du coefficient k correspondant à l'isolation disposée sur toute la surface du plancher
(fig. 30) sont données dans la deuxième partie du tableau V ci-contre en fonction de la différence
de niveau z et de la résistance r de l'isolation. (4)
figure 30
figure 30
NOTE
(4)Pour un mur à isolation extérieure, si l'isolation du mur est arrêtée au nu supérieur du plancher, les
valeurs du coefficient k sont celles données dans le tableau ci-dessus augmentées d'une quantité
égale à :
0 si z est inférieur ou égal à - 0,45 m,
0,10 si z est compris entre - 0,40 et - 0,25 m,
0,20 si z est égal ou supérieur à - 0,20 m.
2.4.1.2.2 l'isolation est réduite au droit du plancher tout en prolongeant celle du mur extérieur
(fig. 31)
figure 31
figure 31
figure 31
Si l'isolation au droit du plancher a une résistance thermique inférieure à r, sans être toutefois
inférieure à 0,20 m².K/W, les valeurs du coefficient k sont celles données au tableau V , diminuée
d'une quantité égale à :
0 si z est inférieur ou égal à - 0,45 m
0,05 si z est compris entre - 0,40 et - 0,25 m
0,10 si z est égal ou supérieur à - 0,20 m.
Si l'isolation au droit du plancher a une résistance thermique inférieure à 0,20 m².K/W, les valeurs
données au tableau V sont conservées sans changement.
2.4.1.2.3 l'isolation est continue au droit du plancher (fig. 32)
figure 32
Si l'isolation au droit du plancher a une résistance thermique égale ou supérieure à r, les valeurs du
coefficient k sont celles données au tableau V , diminuées d'une quantité dont les valeurs en fonction
de z et de r sont les suivantes :
tableau VI
figure 33
Le coefficient k est donné dans le tableau VII ci-dessous en fonction de la profondeur d'enterrement
z définie précédemment et du coefficient K du mur, calculé comme s'il s'agissait d'un mur extérieur.
tableau VII
figure 34
figure 35.1
figure 35.2
Le coefficient k est égal à la différence k2 - k1 des valeurs de k lues dans le tableau VII pour z
respectivement égal à z2 et z1 et K égal à KB .
Remarque : le coefficient k du mur du local A (fig. 35.2) a la valeur lue dans le tableau VII pour z
égal à z1 et K égal à KA .
2.4.3 planchers hauts enterrés (fig. 36)
figure 36
Le coefficient de transmission thermique (K) des planchers hauts des locaux enterrés est donné par
la formule :
(m².° C/W) (40)
La méthode de calcul présentée ci-dessous est donc essentiellement destinée aux fabricants pour
leur faciliter l'étude de conception de nouvelles parois vitrées.
Le calcul s'effectue en distinguant le vitrage de la menuiserie. Les surfaces correspondantes, Ac
(surface de clair) et Am (surface de menuiserie) sont celles indiquées ci-dessous :
figure sans légende dans: 2.6 méthode générale de calcul du coefficient K des parois vitrées
La surface Ac ne comprend donc pas la partie du volume verrier en feuillure. De même, la surface Am
ne comprend pas la partie de la menuiserie prise dans la maçonnerie.
La somme Ac + Am est égale à la surface en tableau, A, à laquelle est rapporté le coefficient K de la
paroi vitrée.
Ceci étant, on procède par étapes :
- dans une première étape (§ 2.6.1) , on détermine le coefficient K du vitrage ;
- dans une deuxième étape (§ 2.6.2) , on détermine le coefficient K de la menuiserie ;
- dans une troisième étape (§ 2.6.3) , on considère les deux coefficients précédents pour
obtenir le coefficient K de l'ensemble de la paroi vitrée ;
- une étape supplémentaire est nécessaire pour les doubles-fenêtres (§ 2.6.4) ;
- les étapes suivantes (§ 2.6.5, 2.6.6 et 2.6.7) ont pour but de déterminer le coefficient K de la
paroi avec voilage, rideau et fermeture ;
- la dernière étape (§ 2.6.8) a pour but de déterminer le coefficient K moyen jour-nuit.
Enfin, le paragraphe 2.6.9 traite des fenêtres à vantaux dédoublés permettant un fonctionnement en
échangeur avec l'air entrant (système pariéto-dynamique).
2.6.1 le vitrage
Pour les vitrages multiples, le coefficient K du vitrage est défini comme le flux par K d'écart de
température entre l'intérieur et l'extérieur, traversant la surface Ac et rapporté à cette dernière, la
partie en feuillure n'étant pas exposée aux échanges superficiels. Même si la surface de vitrage en
feuillure n'est pas prise en compte dans Ac , une déperdition supplémentaire, traduite par un
coefficient de transmission linéique, traverse le joint périphérique du vitrage par l'intermédiaire de la
conductance latérale des feuilles de verre intérieure et extérieure. Le coefficient K des vitrages
multiples est alors donné par la formule :
(W/m².K) (1)
La signification et les valeurs des différents termes de cette expression sont les suivantes :
- hi et he sont les coefficients d'échange superficiels intérieur et extérieur
Pour les feuilles de verre courantes (émissivité corrigée comprise entre 0,8 et 1), les valeurs
de 1/hi et 1/he sont celles données au tableau du paragraphe 1,3.
- émissivité
L'émissivité est généralement déterminée sous incidence normale et notée εn . Dans les
calculs intervient l'émissivité corrigée ε, qui est obtenue en multipliant l'émissivité déterminée
à incidence normale εn par le facteur donné dans le tableau ci-dessous .
Des valeurs intermédiaires peuvent être obtenues par interpolation linéaire.L'émissivité corrigée ε du
verre clair non traité est égale à 0,837. Elle correspond à une émissivité normale de 0,89.
Si une émissivité corrigée inférieure à 0,8 est obtenue par un film autocollant, la valeur à introduire
dans le calcul est celle mesurée sur le film appliqué sur le verre. (On rappelle que l'utilisation de ces
produits relève de la procédure d'Avis Technique).
- Σ[e/λ]v représente la somme des rapports e/λ des différentes feuilles de verre constituant le
vitrage, e étant leur épaisseur et λ leur conductivité thermique ;
- la conductivité thermique du verre est prise égale à 1,1 W/(m.K) ;
- la conductivité thermique des feuilles de PVB est prise égale à 0,4 W/(m.K)
- ΣR est la somme des résistances thermiques des lames d'air ou de gaz lorsqu'il y en a
(vitrage multiple). La méthode de calcul des résistances thermiques des lames de gaz est
celle donnée par la norme NF P 50-740
Pour l'air, R a les valeurs suivantes :
- lame d'air limitée par deux faces d'émissivité corrigée au moins égale à 0,8 (c'est le cas des
lames d'air constituées avec des feuilles de verre courantes). Pour les lames d'air
d'épaisseur au plus égale à 10 mm, R est indépendant de l'inclinaison du vitrage ; sa valeur
est donnée dans le tableau ci-dessous en m².K/W en fonction de l'inclinaison du vitrage :
Ces valeurs de R, de même que les valeurs de hc données dans l'alinéa ci-après, sont
encore valables si la lame d'air est en communication avec l'ambiance extérieure par un
orifice de section au plus égale à 0,0020 m²/m ;
- lame d'air limitée par une ou deux faces d'émissivité inférieure à 0,8 :
On a :
1/R = hc + hr (W/m².K) (3)
hc est le coefficient d'échange par conduction-convection d'une face à l'autre de la lame d'air.
Pour les lames d'air d'épaisseur au plus égale à 10 mm, hc est indépendant de l'inclinaison
du vitrage ; sa valeur est donnée dans le tableau ci-dessous :
hr est le coefficient d'échange par rayonnement entre les faces limitant la lame d'air ; il a pour
valeur :
hr = 5,14 a (W/m².K)
avec :
valeurs de kc (W/m.K)
Les valeurs du coefficient kc en présence d'un sertisseur métallique au pourtour du vitrage sont
indépendantes de la nature de l'espaceur. Elles sont égales à celles correspondant aux espaceurs
métalliques.
2.6.1.3 coefficient K des vitrages
2.6.1.3.1 vitrages courants
Le coefficient K des vitrages simples et doubles constitués de feuilles de verre clair non traitéde 4 mm
est donné dans le tableau ci-dessous .
Elles correspondent, pour les vitrages doubles, aux caractéristiques courantes suivantes :
- liaison comportant un espaceur métallique (cf 2.612)
- rapport P/Ac des vitrages compris entre 3,5 et 5,5 m-1 .
On précise également dans ce tableau , pour les vitrages doubles, le coefficient Kc (partie courante).
Note : Des valeurs intermédiaires peuvent être obtenues avec suffisamment d'exactitude par
interpolation linéaire.
Sont donnés dans le tableau ci-dessous , pour les vitrages doubles constitués d'un verre de 4 mm
ayant une face traitée d'émissivité normale inférieure ou égale à 0,5 associé à un verre non traité de 4
mm :
menuiseries mixtes sont déterminées au coup par coup et données dans les documents d'Avis
Techniques.
Les coefficients K donnés dans les paragraphes ci-dessous sont rapportés à la surface en plan, Am ,
des menuiseries.
2.6.2.1 coefficient K des menuiseries bois
Le coefficient K des menuiseries bois est fonction de la forme et de l'épaisseur. Il dépend également
de l'essence utilisée. Suivant cette dernière, la plage de conductivité thermique utile des bois est
comprise entre 0,12 et 0,23 W/(m.K).
Le coefficient K des menuiseries des fenêtres et portes fenêtres est donné dans le tableau ci-dessous
:
tableau sans légende dans: 2.6.2.2 coefficient K des menuiseries métalliques sans coupure thermiq ...
- etc...
De plus les différents éléments associés (traverses, montants, ouvrants, dormants) ne sont pas
toujours identiques, on ne peut plus raisonner avec un coefficient surfacique global pour la
menuiserie. Le calcul est effectué par élément d'ouvrant et de dormant et l'on détermine pour chacun
un coefficient de transmission linéique (km). On donne ci-après la méthode de calcul de ces
coefficients.
Les valeurs des différents coefficients km sont normalement données dans les documents d'Avis
technique.
Méthode de calcul du coefficient km . (m.K/W) (4)
figure 1a
figure 1b
- Σc est la somme des conductances, exprimées en W/m.K, entre les faces intérieure et
extérieure de l'élément. Il n'y a pas d'expression générale de Σc. Pour les schémas typifiés
représentés sur la figure 1 , Σc comprend par exemple pour l'ouvrant :
- les conductances cc des liaisons isolantes ;
- la conductance c1 de l'alvéole située entre ces liaisons ;
- la demi-conductance c2 de l'alvéole située entre l'ouvrant et le dormant.
Les conductances cc sont égales et ont pour valeur λc lc /εc . La conductance c1 a pour valeur la /Ra .
La conductance c2 est de la même forme. Toutefois, dans le cas de la figure 1b , la méthode ne
s'applique que si la cote x est au plus égale à 2 mm.
L'alvéole a se limite en général au jeu de pose du vitrage ; sa conductance peut alors être négligée.
Dans ces expressions :
- εc , lc et λc sont respectivement la longueur et la largeur exprimée en mètre et la conductivité
exprimée en W/m.K de la liaison isolante ;
- la et Ra sont la largeur exprimée en mètre et la résistance thermique exprimée en m².K/W de
l'alvéole ; Ra est pris égal à 0,18 m².K/W.
Les orifices d'évacuation d'eau que comportent ces menuiseries n'ont pas d'incidence sur les
coefficients km ainsi calculés dans la mesure où leur section est inférieure à 2 cm².
La plage de variation du coefficient moyen surfacique Km des menuiseries à rupture de pont
thermique, établie à partir d'une synthèse des calculs effectués dans le cadre de l'Avis Technique est
comprise entre 3 et 5 W/(m².K).
On donne au chapitre 5,2 "Coefficient K des parois vitrées courantes", le coefficient K des fenêtres
battantes, pour trois valeurs du coefficient Km : 3, 4 et 5 W/(m².K).
2.6.2.4 coefficient K des menuiseries en PVC
Les déperditions par les profilés de menuiserie PVC, dépendent de nombreux facteurs tels que :
- la géométrie,
- le nombre d'alvéoles et leurs dimensions,
- la nécessité ou non de renforcer certaines alvéoles par des profilés métalliques.
De plus les différents éléments associés (montants, traverses, ouvrants, dormants) ne sont pas
toujours identiques, on ne peut plus raisonner avec un coefficient surfacique global pour la
menuiserie. Le calcul est effectué élément par élément d'ouvrant et de dormant et l'on détermine pour
chacun un coefficient de transmission linéique (km ). Les valeurs des différents coefficients km sont
Σ(km Lm ) est la somme des produits, calculés pour chaque élément de la menuiserie, de son
coefficient linéique km par sa longueur Lm . Cette expression peut s'écrire :
(W/m².K) (6)
-Σkmv et Σkmh sont respectivement les sommes des coefficients de transmission linéiques des
différents éléments verticaux et horizontaux constituant la menuiserie, déterminés suivant le
mode de calcul décrit au paragraphe 2.6.2.3 .
2.6.4 les doubles fenêtres
La méthode de calcul développée ci-dessous s'applique :
- aux doubles fenêtres montées sur deux cadres séparés ;
- aux doubles fenêtres montées sur un cadre unique, à condition que la résistance thermique
εc /λc du cadre (ou de la (ou des) liaison(s) s'il en comporte), soit au moins égale à
0,1 m².K/W et sa largeur (ou la somme des largeurs lc si plusieurs liaisons isolantes sont
disposées en parallèle) au plus égale à 10 mm. λc est la conductivité thermique du cadre ou
de la coupure thermique exprimée en W/m.K, εc est la longueur de la liaison isolante
exprimée en mètre. Les cotes εc et lc se définissent comme sur la figure 1 .
Les caractéristiques thermiques des doubles-fenêtres ne répondant pas aux conditions précédentes
sont déterminées au coup par coup et données dans les documents d'Avis Techniques.
En absence de résultats de mesure suivant la norme NF X 10-022, le coefficient K des doubles-
fenêtres définies ci-dessus est calculé par l'expression :
(m².K/W) (7)
dans laquelle :
- Kni et Kne sont respectivement les coefficients K des fenêtres nues intérieure et extérieure ;
- hei est le coefficient d'échange superficiel moyen extérieur de la fenêtre intérieure ;
- hie est le coefficient d'échange superficiel moyen intérieur de la fenêtre extérieure ;
- Rl est la résistance thermique moyenne de la lame d'air.
Compte tenu des proportions de vitrage σi et σe des fenêtres intérieure et extérieure, on adoptera
pour hei , hie et Rl les expressions suivantes :
hei = heiv σi + 16,7 (1 - σi )
hie = hiev σe + 9,1 (1 - σe )
1/Rl = (1,9 + hr )v σm + 6,25 (1 - σm )
Dans ces expressions :
- heiv est le coefficient d'échange superficiel extérieur du vitrage de la fenêtre intérieure ;
- hiev est le coefficient d'échange superficiel intérieur du vitrage de la fenêtre extérieure ;
- hr est le coefficient d'échange par rayonnement entre les faces en vis-à-vis des vitrages ;
- σm = (σi + σe )/2
Si les faces des deux vitrages limitant la lame d'air ont une émissivité au moins égale à 0,8, les
résistances thermiques 1/hei , 1/hie et Rl sont respectivement égales à 0,06, 0,11 et 0,16 et
l'expression (7) devient :
(m².K/W) (8)
Si l'une au moins des faces des vitrages limitant la lame d'air a une émissivité inférieure à 0,8 la
valeur de hr est à déterminer selon les indications du paragraphe 2.6.1.1 .
2.6.5 paroi vitrée avec voilage
Dans les pièces du volume habitable des logements, la présence de voilage correspond en moyenne
à une résistance thermique supplémentaire de l'ordre de 0,025 m².K/W.
Le coefficient K des parois vitrées équipées de voilages est donc donné par l'expression :
(m².K/W) (9)
de montage de la fermeture par rapport au gros oeuvre. Cette largeur totale est exprimée par etot en
mm et est donnée par l'expression :
etot =e1 +e2 +e3 (mm)
e1 , e2 , e3 sont les largeurs moyennes des interstices haut, bas et latéral. Ces valeurs sont définies
sur les figures 38.
De ce point de vue les cinq classes de fermetures extérieures sont définies comme suit :
- classe 1 : Les fermetures de très forte perméabilité - etot ≥ 35 mm. De plus ces fermetures
peuvent comporter en partie courante des ajours complémentaires.
- classe 2 : Les fermetures de forte perméabilité - 15 mm ≤ etot < 35 mm.
- classe 3 : Les fermetures de perméabilité moyenne - 8 ≤ etot < 15 mm.
- classe 4 : Les fermetures de faible perméabilité - etot ≤ 8 mm.
- classe 5 : Les fermetures de très faible perméabilité - etot ≤ 3 mm et e1 + e3 = 0 ou e2 + e3
=0
Ces fermetures ne permettent pas d'assurer l'entrée de l'air de ventilation des logements par des
orifices disposés dans la menuiserie.
Nota : Les fermetures de classe 2 et plus ne doivent pas comporter d'ajour en partie courante.
Le coefficient K des fenêtres équipées d'une fermeture extérieure est donné par formule :
Kvrf =(1/(1/Ko +∆R)) (W/(m².K)) (11)
Dans cette formule Ko est le coefficient K de l'ensemble fenêtre-voilage donné par la formule (9).
∆R est la résistance thermique complémentaire, exprimée en m².K/W, apportée par l'ensemble
fermeture-lame d'air ventilée.
Les valeurs de ∆R sont données ci-après pour les cinq classes de fermetures retenues.
- Classe 1 - Fermetures de très forte perméabilité :
∆R = 0,08 (m².K/W)
- Classe 2 - Fermetures de forte perméabilité :
∆R = 0,25 Rf + 0,09 (m².K/W) (12)
- Classe 3 - Fermetures de perméabilité moyenne :
∆R = 0,55 Rf + 0,11 (m².K/W) (13)
- Classe 4 - Fermetures de faible perméabilité :
∆R = 0,80 Rf + 0,14 (m².K/W) (14)
- Classe 5 - Fermetures de très faible perméabilité :
∆R = 0,95 Rf + 0,17 (m².K/W) (15)
Nota : Dans ces formules Rf est la résistance thermique de la fermeture exprimée en m².K/W.
Ces formules ne sont valables que pour Rf ≤ 0,3 m².K/W. Les valeurs de Rf sont déterminées par
mesure ou calcul. A défaut des valeurs caractéristiques typiques sont données dans le projet de
norme Pr EN 30077-1.
2.6.7.2 fermetures extérieures un fonctionnement en échangeur entre air entrant et ensemble
fenêtre-fermeture (système pariéto-dynamique)
Pour permettre ce fonctionnement, la fermeture doit comporter, à proximité de sa rive inférieure, un
orifice faisant communiquer l'ambiance extérieure et la lame d'air comprise entre la fenêtre et la
fermeture ; la perméabilité à l'air de cet orifice doit être de l'ordre de 40 m3/(h.m) sous une différence
de pression de 1 pascal, soit une section de 80 cm²/m, celle-ci étant répartie sur les 3/4 de la largeur
de la fermeture. Cet orifice étant obturé, la fermeture, y compris le coffre de volet éventuel, doit avoir
une perméabilité «très faible».
Les déperditions sont à calculer suivant la méthode décrite au paragraphe 2.7.3 des Règles Th-G 77
.
Rappelons que cette méthode consiste :
- à calculer les déperditions par transmission comme s'il n'y avait pas de ventilation, c'est-à-
- à minorer les déperditions par renouvellement d'air compte tenu de l'efficacité de l'échangeur
constitué par la paroi. Le mode de calcul de cette minoration est donné au paragraphe 2.7.3
des Règles Th-G . Dans ce calcul, le débit traversant la paroi sera pris égal au débit
spécifique de ventilation de la pièce tel qu'il est défini au paragraphe 2.5.5 des Règles Th-G
. La part des degrés-heures avec la fermeture en place représentant la moitié des degrés-
heures totaux (cf. paragraphe 2.2.2 des Règles Th-G) , la minoration ainsi obtenue sera
réduite de moitié. Les coefficients Ko , Ki et Ke entrant dans le calcul de l'efficacité sont ceux
explicités au paragraphe 2.6.7.1 ci-dessus .
Dans ces formules, Kc est donné par la formule (2) du paragraphe 2.6.1.1 ci-dessus , 1/hi , (e/λ)v , Ri
et 1/he ayant la signification qui leur est donnée dans ce dernier paragraphe . ∆Rf est l'augmentation
de résistance thermique apportée à la fenêtre par la fermeture si celle-ci existe ; cette augmentation a
pour valeur :
figure sans légende dans: exemple 1 calcul du coefficient K d'un mur extérieur en béton d'argile ...
figure sans légende dans: exemple 2 calcul du coefficient K d'une toiture-terrasse en béton d'ag ...
figure sans légende dans: exemple 3 calcul du coefficient K d'un mur extérieur en blocs creux de ...
figure sans légende dans: exemple 4 calcul du coefficient K d'un mur extérieur composé d'un doub ...
figure sans légende dans: exemple 5 calcul du coefficient K du plancher sur cave représenté ci-d ...
figure sans légende dans: exemple 6 calcul du coefficient K du mur extérieur à lame d'air ventil ...
1 calcul de K1
figure sans légende dans: exemple 7 calcul du coefficient K moyen d'un mur extérieur en briques ...
figure sans légende dans: exemple 8 calcul du coefficient K de la toiture sur comble aménageable ...
figure sans légende dans: exemple 9 calcul du coefficient K de l'élément de remplissage représen ...
figure sans légende dans: exemple 10 calcul du coefficient K global de la paroi sandwich béton-p ...
Le polystyrène expansé utilisé est obtenu par moulage : sa masse volumique est supérieure à
16 kg/m³ (Classe III de la norme NF T 56-201)
1 calcul des coefficients K en partie courante et des surfaces correspondantes
Coefficient K au droit du polystyrène de 6 cm (K01 )
Béton (§ 3.2.1.1) : e1 /λ1 = 0,19/1,75 = 0,11
Polystyrène expansé (§ 3.5.4.1) : e2 /λ2 = 0,06/0,039 = 1,54
Résistances superficielles : 1/hi + 1/he = 0,17
Total : 1/K01 = 1,82
K01 = 0,55 W/m².K
Surface A1 : 2,16 (1,38 + 0,68) + 0,68 × 1,30 = 5,33 m²
Coefficient K au droit du polystyrène de 3 cm (K02 )
Béton : e3 /λ3 = 0,22/1,75 = 0,13
NOTE
(5)Les conductivités thermiques données dans ce paragraphe sont en fait des conductivités
équivalentes tenant compte des joints.
NOTE
(6)ρ est la masse volumique sèche en kg/m³
λ est la conductivité thermique utile en W/m °C
λ = 2,2 (7)2
NOTE
(7)Il s'agit de la conductivité correspondant à l'utilisation de ces matériaux en murs, c'est-à-dire pour
un flux de chaleur parallèle aux strates.
- Basaltes
2 700 ≤ ρ ≤ 3 000
λ = 1,6
- Laves, trachytes, andésites
2 000 ≤ ρ ≤ 2 700
λ = 1,1
3.1.3 pierres calcaires
- Grès quartzeux
2 200 ≤ ρ ≤ 2 800
λ = 2,6
- Grès calcarifères
2 000 ≤ ρ ≤ 2 700
λ = 1,9
3.1.5 silex et meulières
λ = 1,8
1 300 ≤ ρ < 1 900
λ = 0,9
3.2 bétons (6)
3.2.1 bétons de granulats lourds siliceux, silico-calcaires et calcaires (granulats conformes aux
spécifications de la norme NF P 18-541)
3.2.1.1 béton plein
2 200 ≤ ρ ≤ 2 400
λ = 1,75
3.2.1.2 béton caverneux
1 700 ≤ ρ ≤ 2 100
λ = 1,4
Toutefois sur justification d'une composition calcaire d'au moins 50 % et d'une masse volumique
inférieure à 1 900 kg/m³, on adoptera la valeur
1 650 ≤ ρ ≤ 1 900
λ = 1,15
3.2.2 bétons de granulats lourds de laitier de hauts fourneaux (granulats conformes aux
spécifications de la norme NF P 18-302)
Les conductivités thermiques données ci-dessous ne sont applicables qu'aux laitiers du Nord de la
Lorraine (indice de basicité compris entre 1,2 et 1,4).
3.2.2.1 béton plein
Remarque. Les compositions de béton indiquées ci-dessus sont données à titre indicatif ; en cas de
non correspondance entre la composition et la masse volumique sèche, on ne tiendra compte, pour
fixer la conductivité thermique utile du béton, que de la masse volumique sèche.
3.2.4 bétons de granulats très légers
3.2.4.1 béton de perlite ou de vermiculite grade 3 (de 3 à 6 mm) coulé en place :
dosage : 3/1
600 à 800
λ = 0,31
dosage : 6/1
400 à 600
λ = 0,24
3.2.4.2 plaques de béton de vermiculite fabriquées en usine
400 à 450
λ = 0,19
3.2.5 bétons cellulaires traités à l'autoclave
Masse volumique nominale : 800
775 à 825
λ = 0,33
Masse volumique nominale : 750
725 à 775
λ = 0,29
Masse volumique nominale : 700
675 à 725
λ = 0,27
Masse volumique nominale : 650
625 à 675
λ = 0,24
Masse volumique nominale : 600
575 à 625
λ = 0,22
Masse volumique nominale : 550
525 à 575
λ = 0,20
Masse volumique nominale : 500
475 à 525
λ = 0,18
Masse volumique nominale : 450
425 à 475
λ = 0,17
Masse volumique nominale : 400
375 à 425
λ = 0,16
3.2.6 bétons de bois
3.2.6.1 béton de copeaux de bois (conforme aux documents d'Agrément ou d'Avis Technique)
450 à 650
λ = 0,16
3.2.6.2 panneaux fibragglo (voir § 3.4.6 et 4.3.3)
3.3 plâtres (8)3 (6)
NOTE
(8)Conventionnellement, la masse volumique sèche des plâtres est obtenue après séchage en étuve
ventilée à 55 °C au lieu de 70 °C (voir NF B 12-001) .
- Plâtre « gâché serré » ou « très serré » (plâtre de très haute dureté (THD) et plâtre projeté)
1 100 à 1 300
λ = 0,50
- Plâtre courant d'enduit intérieur [plâtre fin de construction (PFC) ou plâtre gros de
construction (PGC)] ou plaques de plâtres à parement de carton « standard » et « haute
dureté » ou éléments préfabriqués en plâtre à parements lisses
750 à 1 000
λ = 0,35
3.3.2 plâtres avec granulats légers ou fibres minérales
- Feuillus mi-lourds (chêne, hêtre dur, frêne, fruitiers). Masse volumique « normale »
650 à 800 kg/m³
600 à 750
λ = 0,23
- Résineux très lourds (pitchpin). Masse volumique normale supérieure à 700 kg/m³
600 à 750
λ = 0,23
- Feuillus légers (tilleul, bouleau, érable, frêne, chêne, hêtre tendre). Masse volumique
« normale » 500 à 650 kg/m³
450 à 600
λ = 0,15
- Résineux mi-lourds (pin sylvestre, pin maritime). Masse volumique « normale »
500 à 600 kg/m³
450 à 550
λ = 0,15
- Résineux légers (sapin, épicéa) ou très légers (cèdre rouge de l'ouest). Masse volumique
« normale » 350 à 500 kg/m³
300 à 450
λ = 0,12
- Feuillus très légers (peuplier, okoumé). Masse volumique « normale » 350 à 500 kg/m³
300 à 450
λ = 0,12
NOTE
(9)Les essences non mentionnées sont à classer dans la catégorie correspondant à leur masse
volumique.
- Comprimé
500
λ = 0,10
- Expansé pur : Se reporter au paragraphe 3.5.3
- Expansé aggloméré au brai ou aux résines synthétiques : Se reporter au paragraphe 3.5.3
3.4.8 paille comprimée
300 à 400
λ = 0,12
3.5 matériaux isolants manufacturés (6)
Sont visés ici les matériaux dont la conductivité thermique est au plus égale à 0,065 Wm °C
(cf. norme NF P 75-101) , fabriqués en usine et commercialisés sous la forme de plaques, panneaux
ou rouleaux. Ces plaques, panneaux ou rouleaux peuvent faire l'objet d'une Certification de
Qualification portant, en particulier, sur leur résistance thermique. On se reportera alors au
paragraphe 4.6 .
La conductivité thermique utile à introduire dans les calculs en l'absence de Certification est indiquée
dans les paragraphes ci-dessous qui regroupent les matériaux par famille. Une famille est définie par
une norme, un procédé de fabrication et, si nécessaire, des caractéristiques physiques spécifiques à
cette famille. Les fabricants qui se réfèrent à une famille dans leurs documentations doivent pouvoir
justifier que leurs produits satisfont aux critères d'identification indiqués. En l'absence de cette
justification, sont applicables les valeurs données aux paragraphes ou alinéas « autres fabrications ».
3.5.1 balsa
60 ≤ ρ ≤ 120
λ = 0,054
3.5.2 laines minérales
Laines minérales définies conformément aux normes NF B 20-001 et NF B 20-109 . Les masses
volumiques indiquées dans ce paragraphe sont des masses volumiques apparentes nominales telles
qu'elles sont définies dans la norme NF B 20-105 (masse surfacique divisée par l'épaisseur nominale
indiquée par le fabricant). Elles s'entendent revêtements éventuels exclus. On se reportera au § 4.6
pour déterminer la résistance thermique de ces produits.
3.5.2.1 laines de roche
Classe RA : RA1
18 ≤ ρ < 25
λ = 0,047
Classe RA : RA2
25 ≤ ρ < 35
λ = 0,041
Classe RA : RA3
35 ≤ ρ ≤ 80
λ = 0,038
Classe RB : RB3
60 ≤ ρ < 100
λ = 0,039
Classe RB : RB4
100 ≤ ρ ≤ 180
λ = 0,041
3.5.2.2 laines de verre
Classe VA : VA1
7 ≤ ρ < 9,5
λ = 0,047
Classe VA : VA2
9,5 ≤ ρ < 12,5
λ = 0,042
Classe VA : VA3
12,5 ≤ ρ < 18
λ 0,039
Classe VA : VA4
18 ≤ ρ < 25
λ = 0,037
Classe VA : VA5
25 ≤ ρ ≤ 65
λ = 0,034
Classe VB : VB1
7 ≤ ρ < 9,5
λ = 0,051
Classe VB : VB2
9,5 ≤ ρ < 12,5
λ = 0,045
Classe VB : VB3
12,5 ≤ ρ < 18
λ = 0,041
Classe VB : VB4
18 ≤ ρ < 25
λ = 0,038
Classe VB : VB5
25 ≤ ρ ≤ 65
λ = 0,035
Classe VC : VC1
7 ≤ ρ < 9,5
λ = 0,056
Classe VC : VC2
9,5 ≤ ρ < 12,5
λ = 0,049
Classe VC : VC3
12,5 ≤ ρ < 18
λ = 0,044
Classe VC : VC4
18 ≤ ρ < 25
λ = 0,040
Classe VC : VC5
25 ≤ ρ ≤ 130
λ = 0,036
Classe VD : VD2
9,5 ≤ ρ < 12,5
λ = 0,054
Classe VD : VD3
12,5 ≤ ρ < 18
λ = 0,048
Classe VD : VD4
18 ≤ ρ ≤ 25
λ = 0,043
Classe VE : VE3
55 ≤ ρ < 80
λ = 0,037
Classe VE : VE4
80 ≤ ρ ≤ 130
λ = 0,039
3.5.2.3 autres fabrications de laines minérales
λ = 0,065
3.5.3 Liège (voir le § 3.4.6 pour les produits de masse volumique supérieure à 250 kg/m³)
- Expansé pur
100 ≤ ρ ≤ 150
λ = 0,049
- Expansé aggloméré au brai ou aux résines synthétiques
100 ≤ ρ < 150
λ = 0,049
150 ≤ ρ ≤ 250
λ = 0,055
3.5.4 matières plastiques alvéolaires (2)
3.5.4.1 polystyrène expansé
Dans le cas où les produits ci-dessous sont utilisés en toiture à isolation inversée, on se reportera,
pour la détermination de leur conductivité thermique, aux Avis Techniques concernant ces procédés.
3.5.4.1.1 plaques conformes à la norme NF T 56-201, découpées dans les blocs moulés en
discontinu
référence AM
ρ≥7
λ = 0,058
référence BM
ρ ≥ 10
λ = 0,047
référence CM
ρ ≥ 13
λ = 0,043
référence DM
ρ ≥ 15
λ = 0,041
référence EM
ρ ≥ 19
λ = 0,039
référence FM
ρ ≥ 24
λ = 0,037
référence GM
ρ ≥ 29
λ = 0,036
3.5.4.1.2 plaques conformes à la norme NF T 56-201, moulées en continu, sans peau de
surface :
référence BC
ρ ≥ 10
λ = 0,047
référence CC
ρ ≥ 13
λ = 0,043
référence DC
ρ ≥ 15
λ = 0,041
référence EC
ρ ≥ 20
λ = 0,039
référence FC
ρ ≥ 25
λ = 0,037
référence GC
ρ ≥ 30
λ = 0,036
L'ancien paragraphe 3.5.4.1.3 est supprimé.3.5.4.1.3 extrudé
3.5.4.1.3.1 plaques sans gaz occlus autre que l'air
28 ≤ ρ ≤ 40
λ = 0,037
3.5.4.1.3.2 plaques expansées avec des hydrochlorofluorocarbures HCFC (142 b et (ou) R22)
25 ≤ ρ ≤ 40
λ = 0,035
3.5.4.1.3.3 plaques expansées au chlorofluorocarbures CFC (10)
NOTE
(10)Ces produits sont visés par le réglement CEE, portant sur les substances qui appauvrissent la
couche d'ozone. En conséquence, les valeurs qui leur correspondent ne devraient plus être utilisées
après 1995 pour les calculs concernant les travaux neufs.
3.5.4.1.4 plaques expansées, fabriquées à partir de polystyrène, mais n'entrant pas dans les
familles définies ci-dessus
25 ≤ ρ ≤ 60
λ = 0,050
3.5.4.2 mousse rigide de polychlorure de vinyle, définie conformément à la norme NF T 56-202
Q2
25 ≤ ρ < 35
λ = 0,031
Q3
35 ≤ ρ ≤ 48
λ = 0,034
3.5.4.3 mousse rigide de polyuréthanne ou de polyisocyanurate
On ne donne ici que les caractéristiques thermiques des matériaux fabriqués en usine. Pour les
produits projetés, on se reportera aux paragraphe 4.9.3
3.5.4.3.1 plaques moulées en continu entre revêtements souples et expansées avec des
hydrochlorofluocarbures HCFC (141b) et (ou) aux pentanes
27 ≤ ρ ≤ 40
λ = 0,033
3.5.4.3.2 plaques découpées dans des blocs moulés en continu et expansés avec des
hydrochlorofluocarbures HCFC (141b) et (ou) aux pentanes
37 ≤ ρ ≤ 65
λ = 0,041
3.5.4.3.3 plaques moulées en continu injectées entre deux parements rigides (métal, verre, ...)
référence AD
30 ≤ ρ < 35
λ = 0,030
référence BD
35 ≤ ρ < 40
λ = 0,030
référence CD
40 ≤ ρ < 50
λ = 0,035
référence DD
50 ≤ ρ < 60
λ = 0,035
référence ED
60 ≤ ρ < 70
λ = 0,040
référence FD
70 ≤ ρ < 100
λ = 0,045
3.5.4.3.7 plaques conformes à la norme NF T 56-203, découpées dans des blocs moulés en
continu(10)
référence AC
29 ≤ ρ < 31
λ = 0,030
référence BC
31 ≤ ρ < 33
λ = 0,030
référence CC
33 ≤ ρ < 37
λ = 0,030
référence DC
37 ≤ ρ < 46
λ = 0,035
référence EC
46 ≤ ρ < 56
λ = 0,035
référence FC
56 ≤ ρ < 66
λ = 0,035
référence GC
66 ≤ ρ < 75
λ = 0,040
référence HC
75 ≤ ρ < 100
λ = 0,045
3.5.4.3.8 plaques moulées en continu(10)
27 ≤ ρ ≤ 35
λ = 0,030
3.5.4.3.9 plaques expansées, fabriquées à partir de polyuréthanne mais n'entrant pas dans les
familles définies ci-dessus
27 ≤ ρ ≤ 35
λ = 0,030
3.5.4.4 autres matières plastiques alvéolaires, fabriquées en usine
NOTE
(11)Matériau classé traditionnellement parmi les isolants.
3.5.6 plaques à base de perlite expansée et de cellulose agglomérées avec un liant bitumeux,
avec ou sans ajout de fibres minérales
140 ≤ ρ ≤ 200
λ = 0,060
3.5.7 plaques homogènes de verre cellulaire
Fabrications postérieures à 1978
110 ≤ ρ ≤ 140
λ = 0,050
3.6 matières synthétiques compactes, mastics et produits d'étanchéité (6)
3.6.1 matières synthétiques compactes d'usage courant dans le bâtiment
Caoutchoucs synthétiques
1 300 à 1 500
λ = 0,4
Formo-phénoliques
1 000 à 1 500
λ = 0,4
Polyamides (nylon, rilsan...)
1 000 à 1 150
λ = 0,4
Polyesters
1 400 à 1 700
λ = 0,4
Polyéthylènes
900 à 1 000
λ = 0,4
Polyméthacrylates de méthyle (altuglass, plexiglass...)
1 200 à 1 300
λ = 0,2
Polychlorures de vinyle
1 300 à 1 400
λ = 0,2
3.6.2 mastics pour joints et garnitures d'étanchéité (silicones, polyuréthannes, polysulfures,
acryliques)
1 000 à 1 650
λ = 0,4
3.6.3 produits d'étanchéité (12)6
NOTE
(12)Les matériaux de protection, placés au-dessus de l'étanchéité ne sont pas pris en compte dans le
calcul du coefficient K, sauf spécification contraire donnée dans un Avis technique.
λ = 35
Zinc
7 130
λ = 112
3.8 autres matériaux (6)
3.8.1 terre et terre cuite
3.8.1.1 pisé, bauge, béton de terre stabilisée, blocs de terre comprimée
3.8.1.2 terre cuite
1700 ≤ ρ ≤ 2000
λ = 1,1
La masse volumique variant de 1 700 à 2 100 k/m³ la conductivité thermique peut varier de
1,0 à 1,35 W/m. °C les valeurs moyennes sont
1 800 à 2 000
λ = 1,15
Pour les terres cuites allégées de masse volumique inférieure à 1 700 kg/m³, on se reportera aux
documents d'agrément ou d'Avis Technique.
3.8.2 mortiers d'enduits et de joints
1 800 à 2 100
λ = 1,15
3.8.3 amiante-ciment et amiante-ciment cellulose
1 400 à 1 800
λ = 0,95
3.8.3.1 amiante-ciment
1 000 à 1 400
λ = 0,65
1 800 à 2 200
λ = 0,46
3.8.3.2 amiante-ciment-cellulose
1 400 à 1 800
λ = 0,35
3.8.4 plaques à base de vermiculite agglomérées aux silicates
400 à 500
λ = 0,19
300 à 400
λ = 0,14
200 à 300
λ = 0,10
3.8.5 verre
2700
λ = 1,1
3.8.6 matériaux en vrac
Les caractéristiques de ces matériaux sont fonction de leur mise en oeuvre ; elles sont données au
chapitre IV .
chapitre IV résistance thermique (R) des éléments de construction et des lames d'air non
ventilées
L'ensemble des tableaux classés dans ce chapitre indique la résistance thermique utile par unité de
surface des éléments de construction à hétérogénéité régulière. Ces valeurs tiennent compte des
joints et ossatures intégrées.
Pour rendre plus aisée l'utilisation du document, certains éléments homogènes sont mentionnés dans
ce chapitre. Il est alors indiqué, entre parenthèses, le paragraphe du chapitre III où est donnée la
valeur de la conductivité thermique utile λ. A partir de celle-ci, peut être calculée la résistance
thermique utile R = e/λ.
Pour certaines familles de matériaux et une même épaisseur d'éléments, plusieurs valeurs de R sont
données, fonction de la masse volumique du matériau, du nombre de rangées d'alvéoles, du type de
joint, du quinconçage, etc. Faute de connaître l'un de ces paramètres, on adoptera la valeur de R
correspondant à la valeur la plus défavorable de ce paramètre.
4.1 maçonneries
Pour toutes les maçonneries mentionnées dans ce paragraphe (sauf pour celles correspondant aux
blocs de béton cellulaire collés) l'épaisseur des joints est supposée comprise entre 1 et 2 cm. Les
résistances thermiques ci-dessous sont valables pour des éléments dont l'épaisseur diffère au
maximum de 1 cm de celle indiquée, en plus ou en moins.
4.1.1 pierres de taille et moellons (voir § 3.1)
Les conductivités thermiques données au paragraphe 3.1 sont en fait des conductivités équivalentes
tenant compte des joints. Ces valeurs sont donc directement applicables aux parois en pierres de
taille.
A masse volumique égale, on adoptera pour les murs en moellons les mêmes conductivités
équivalentes que pour les murs en pierre de taille.
4.1.2 briques et blocs de terre cuite
4.1.2.1 plaquettes de parement
Masse volumique : 1 900 à 2 100 kg/m³ .
tableau sans légende dans: 4.1.2.5.3 blocs perforés de grand format à cloisons minces
4.1.2.6.2 briques creuses d'au moins sept rangées d'alvéoles et à cloisons minces
Les résistances thermiques données ci-dessous correspondent à des briques creuses ayant les
caractéristiques suivantes :
- leur dessin est celui des formes types représentées dans les tableaux ; toutefois les
résistances thermiques données dans ces tableaux restent valables s'il existe un trou central
recouvrant une ou deux rangées d'alvéoles et de hauteur au plus égale à 60 mm ; il en est de
même s'il existe une encoche sur chaque plan de pose (ou une seule sur un plan de pose),
recouvrant une ou deux rangées d'alvéoles et de profondeur au plus égale à 30 mm : font
exception les blocs à quinconçage 4-3 et à 10 rangées d'alvéoles pour lesquels ces
encoches et la rupture des joints qui en est la conséquence, conduit à une augmentation de
la résistance thermique ;
- l'épaisseur de leurs cloisons est égale aux valeurs suivantes :
- cloisons intérieures horizontales : 6 ± 0,5 mm
- cloisons intérieures verticales : 7 ± 0,5 mm
- cloisons extérieures : 8 ± 0,5 mm
- leurs dimensions en parement sont celles indiquées dans les tableaux ;
- les joints horizontaux et verticaux sont maçonnés.
a briques à quinconçage 4-3, c'est-à-dire comportant successivement 4 et 3 alvéoles dans le
sens de la hauteur
tableau sans légende dans: a briques à quinconçage 4-3, c'est-à-dire comportant successivement 4
...
tableau sans légende dans: b briques à quinconçage 3-2, c'est-à-dire comportant successivement 3
...
tableau sans légende dans: 4.1.3.1 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois épaisses c ...
tableau sans légende dans: 4.1.3.2 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois minces con ...
4.1.3.3 blocs creux en béton de laitier concassé et sable à parois épaisses conformes à la
norme NF P 14-301 et répondant aux spécifications suivantes
Granulats conformes aux spécifications de la norme NF P 18-302 ; toutefois, les résistances
thermiques données au tableau ci-dessous ne sont applicables qu'aux laitiers du Nord de la Lorraine
(indice de basicité compris entre 1,2 et 1,4).
Masse volumique apparente du béton constitutif : 1950 à 2 150 kg/m³.
Vides : 35 à 45 %.
Epaisseurs des parois : 22 à 28 mm.
Dimensions de coordination en parement : 20 × 40 cm environ .
tableau sans légende dans: 4.1.3.3 blocs creux en béton de laitier concassé et sable à parois épa ...
norme NF P 18-307) ;
- Béton de laitier expansé bouleté de 1 200 à 1 400 kg/m³, comportant au plus 10 % de sable
de rivière en volume (granulats fabriqués à partir du laitier des aciéries de Fos-sur-Mer).
4.1.3.4.1 blocs pleins et pleins perforés
Les résistances thermiques données ci-dessous correspondent à des blocs ayant les caractéristiques
suivantes :
- leurs dimensions de coordination en parement sont :
- soit 20 × 40 ou 50 cm
- soit 30 × 40 cm
- les bétons les constituant sont définis en tête du paragraphe 4.1.3.4 ;
- la cote c des alvéoles des blocs pleins perforés est au plus égale à :
- 8 cm pour les bétons d'argile expansée ou de schiste expansé de 1 000 à 1 400 kg/m³ et
de laitier expansé en fosse de 1 500 à 1 700 kg/m³,
- 5 cm pour les bétons d'argile expansée de 700 à 1 000 kg/m³ et de laitier expansé
bouleté de 1 200 à 1 400 kg/m³ ;
- les joints verticaux sont continus pour les deux types de blocs ; les joints horizontaux sont
continus pour les blocs pleins et discontinus, c'est-à-dire maçonnés en deux bandes, pour les
blocs pleins perforés .
4.1.3.5 blocs en béton cellulaire autoclavé pour murs, conformes à la norme NF P 14-306
tableau sans légende dans: 4.1.3.5 blocs en béton cellulaire autoclavé pour murs, conformes à la ...
4.1.3.6 blocs manufacturés en béton de copeaux de bois, conformes aux règles d'Agrément
concernant les « Blocs manufacturés en béton de copeaux de bois pour mur porteur en béton
coulé », Cahier du CSTB 280, livraison 34
Masse volumique : 500 à 600 kg/m³.
Dimensions nominales en parement : 25 × 50 cm.
Les résistances thermiques utiles et les masses équivalentes par unité de surface données ci-
dessous correspondent aux blocs remplis de béton .
tableau sans légende dans: 4.1.3.6 blocs manufacturés en béton de copeaux de bois, conformes aux
...
tableau sans légende dans: 4.1.3.7 plaques maçonnées en béton de vermiculite, fabriquées en usine
4.2 planchers
On donne ici la résistance thermique :
- des planchers à entrevous en terre cuite ou en béton sans isolation spécifique (§ 4.2.1) ,
- et des planchers avec blocs ou entrevous en polystyrène expansé (§ 4.2.2) .
Les planchers avec dalle indépendante posée sur une isolation continue (figures ci-dessous) ne sont
pas visés ici. On appliquera, dans ce cas, la méthode de calcul décrite au paragraphe 2.1.2.2 , aussi
bien pour les dalles pleines que pour les planchers à entrevous, la résistance thermique de la partie
du plancher située sous l'isolation étant celle donnée dans les paragraphes qui suivent.
4.2.1 planchers avec entrevous en terre cuite ou en béton sans isolation spécifique
Les résistances thermiques données dans ce paragraphe correspondent à des montages réalisés
avec des poutrelles dont la largeur du talon est comprise entre 10 et 15 cm et avec des entrevous
dont la hauteur diffère au maximum de celle indiquée de 2 cm en moins et de 1,5 cm en plus pour les
hauteurs de 8, 12 et 16 cm, et de ± 2 cm pour les hauteurs de 20, 25 et 30 cm.
4.2.1.1 planchers avec entrevous en terre cuite
Les caractéristiques des entrevous en terre cuite visés ici, sont les suivantes :
- épaisseur des cloisons : 8 à 10 mm.
- masse volumique sèche du tesson : 1 700 à 2 100 kg/m³.
4.2.1.1.1 planchers sans dalle de compression ou avec dalle de compression en béton de
granulats lourds
tableau sans légende dans: 4.2.1.1.1 planchers sans dalle de compression ou avec dalle de compres
...
tableau sans légende dans: 4.2.1.1.2 planchers avec dalle de compression en béton d'argile expans
...
tableau sans légende dans: 4.2.1.2.1 planchers sans dalle de compression ou avec dalle de compres
...
tableau sans légende dans: 4.2.1.2.2 planchers avec dalle de compression en béton d'argile expans
...
Les caractéristiques des entrevous en béton d'argile expansée ou de schiste expansé, visés ici, sont
les suivantes :
- épaisseur des parois : 15 à 30 mm,
- masse volumique sèche du béton : 1 200 à 1 400 kg/m³.
4.2.1.3.1 planchers sans dalle de compression ou avec dalle de compression en béton de
granulats lourds
tableau sans légende dans: 4.2.1.3.1 planchers sans dalle de compression ou avec dalle de compres
...
tableau sans légende dans: 4.2.1.3.2 planchers avec dalle de compression en béton d'argile expans
...
- Blocs rectangulaires Lp = b1
- Blocs trapézoïdaux :
figure sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats lourd ...
La résistance thermique de ces montages est également donnée pages 116 et 117 . Pour tous les
montages, le décrochement éventuel (d) de la face supérieure de l'entrevous ne doit pas dépasser
2 cm.
- Blocs rectangulaires Lp = b1 .
- Blocs rectangulaires chanfreinés à 45° (le chanfrein étant au plus égal à 4 × 4 cm) :
Lp = b1 + 1
figure sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats lourd
...
figure sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats lourd
...
tableau sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats
lourd ...
- Blocs trapézoïdaux :
figure sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats lourd
...
tableau sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats
lourd ...
figure sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats lourd
...
Pour ce montage on adopte une hauteur fictive (e) du bloc, déterminée en fonction de sa
hauteur minimale (e1 ) et de sa hauteur maximale (e2 ) comme indiqué ci-dessous :
tableau sans légende dans: 4.2.2.1.2 blocs posés sur entrevous pleins en béton de granulats
lourd ...
4.2.2.1.3 blocs posés sur entrevous alvéolés en terre cuite ou en béton de granulats lourds
La résistance thermique de ces montages est égale à celle donnée dans le tableau des pages 116 et
117 majorée d'une quantité lue dans le tableau ci-contre. Les valeurs de ce dernier tableau
s'appliquent aux entrevous dont la hauteur diffère de celle indiquée au maximum de 2 cm en moins et
de 1,5 cm en plus pour les hauteurs de 8, 12 et 16 cm et de ± 2 cm pour les hauteurs de 20 et 25 cm.
a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
Les valeurs de Lp sont celles données au paragraphe 4.2.2.1.2 pour les montages analogues avec
entrevous pleins et reproduites ci-dessous. Pour tous les montages le décrochement éventuel (d) de
la face supérieure de l'entrevous ne doit pas dépasser 2 cm.
- Blocs rectangulaires :
Lp = b1
figure sans légende dans: a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
- Blocs rectangulaires chanfreinés à 45° (le chanfrein étant au plus égal à 4 × 4 cm).
Lp = b1 + 1
figure sans légende dans: a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
figure sans légende dans: a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
- Blocs trapézoïdaux
figure sans légende dans: a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
figure sans légende dans: a entrevous bas (hauteur au plus égale à 13,5 cm)
Pour ce montage on adopte une hauteur fictive (e) du bloc, déterminée en fonction de sa
hauteur minimale (e1 ) et de sa hauteur maximale (e2 ) comme indiqué ci-dessous :
b entrevous hauts (hauteur au moins égale à 14 cm) avec blocs de polystyrène expansé
rectangulaires
Lp = bo
figure sans légende dans: b entrevous hauts (hauteur au moins égale à 14 cm) avec blocs de polys ...
tableau sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
- Entrevous rectangulaires :
Lp = b1 + 3
figure sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
figure sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
- Entrevous rectangulaires chanfreinés à 45° (le chanfrein étant au plus égal à 4 × 4 cm).
Lp = b1 + 2
figure sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
figure sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
tableau sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
figure sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
Lp = b1 + 4
Pour ce montage on adopte une hauteur fictive d'entrevous (e) déterminée en fonction de sa
hauteur maximale (e2 ) comme indiqué ci-dessous :
tableau sans légende dans: 4.2.2.2.1 entrevous sans isolation au droit des poutrelles
- Entrevous rectangulaires .
- Entrevous rectangulaires chanfreinés à 45° (le chanfrein étant au plus égal à 4 × 4 cm) .
où r est la résistance thermique du revêtement, et ∆le une quantité exprimée en mètre ayant les
valeurs suivantes en fonction de la conductivité thermique du revêtement :
tableau sans légende dans: 4.2.2.2.4 voutains avec ou sans fourrure d'isolation du talon des pout ...
figure sans légende dans: 4.3.1 dalles armées en béton cellulaire traitées à l'autoclave
tableau sans légende dans: 4.3.2.1 dalles à armatures enrobées et surfaçage de béton
figure sans légende dans: 4.3.2.1 dalles à armatures enrobées et surfaçage de béton
tableau sans légende dans: 4.3.3 panneaux fibragglo (panneaux de fibres de bois agglomérées avec
...
4.4.2 plaques de plâtre à parements de carton, quelque soit leur degré coupe-feu
Masse volumique : 800 à 900 kg/m³ .
tableau sans légende dans: 4.4.2 plaques de plâtre à parements de carton, quelque soit leur degré ...
tableau sans légende dans: 4.4.3 carreaux pleins à parements lisses (voir § 3.3.1)
tableau sans légende dans: 4.5.3 panneaux alvéolés à base d'amiante chrysotile
NOTE
(13)Une liste, tenue à jour, des produits certifiés peut être obtenue au Secrétariat de l'Association pour
la Certification des Produits Manufacturés Isolants de Bâtiments (ACERMI), 4, avenue du Recteur-
Poincaré, Paris 16e . Cette liste est périodiquement publiée.
NOTE
(14)Suivant la définition de la norme NF B 20-001 .
plancher haut
rampant(16)
tableau sans légende dans: 4.6.2 panneaux, feutres 2 et matelas 2 entre ossatures en bois
4.6.3 panneaux, feutres 2(14) et matelas 2(14) disposés entre ossatures en bois, avec
panneau rapporté sur ou sous ossatures, ou avec complément d'isolation rapporté entre
contre-chevronnage
Ceci est notamment le cas des isolations disposées en plancher haut ou sous rampant : (15) (16)
plancher haut
rampant
La résistance thermique (Rp ) de l'ensemble est la somme des résistances thermiques de chaque
couche. Rp est donc donné par la formule :
Rp = c1 R1 + c2 R2
Dans cette formule :
- R1 et R2 sont les résistances thermiques des isolants telles qu'elles sont définies au
paragraphe 4.6.1 correspondant à l'une et l'autre couche ;
- c1 et c2 sont les coefficients c correspondant à la présence éventuelle d'ossature
respectivement dans l'une et l'autre couche.
Pour les ossatures définies au paragraphe 4.6.2 , les valeurs des coefficients c1 et c2 sont données
au tableau ci-après . Lorsque les deux couches comportent des ossatures, celles-ci peuvent être
superposées ou croisées ; ces deux cas conduisent à des couples de coefficients c1 et c2 différents,
et sont différenciés dans le tableau. Lorsqu'une seule couche comporte des ossatures, le coefficient c
de cette couche correspond au cas des ossatures croisées, celui de l'autre couche étant égal à 1.
tableau sans légende dans: 4.6.3 panneaux, feutres 2 et matelas 2 disposés entre ossatures en b ...
Pour les ossatures autres que celles définies au paragraphe 4.6.2 , on appliquera la méthode
générale du paragraphe 2.2.1 .
NOTE
(15)La cote (d) doit être inférieure à 2 cm afin d'éviter le passage de l'air entre couches d'isolation.
NOTE
(16)La réservation de 2 cm est indispensable pour assurer la ventilation de la couverture (cf. DTU nos
40.11 à 40.45) .
tableau sans légende dans: 4.7 remplissage d'une lame d'air avec un matériau en vrac
tableau sans légende dans: 4.8.1 déversement manuel sur plancher plat
tableau sans légende dans: 4.8.2 soufflage à la machine sur plancher plat
tableau sans légende dans: 4.8.3 déversement manuel sur plancher à solives
tableau sans légende dans: 4.8.4 soufflage à la machine sur plancher à solives
tableau sans légende dans: 4.9.1 laines minérales avec liant synthétique ou hydraulique appliquée ...
4.9.2 billes de polystyrène expansé, avec ou sans vermiculite exfoliée, avec liant synthétique
ou hydraulique
Sont visées ici les projections en sous-face de plancher bas sur passage ouvert ou sur locaux ventilés
et celles en façade à l'extérieur. Ces applications relèvent toutes de la procédure de l'Avis Technique.
Les matériaux avec liant hydraulique sont dénommés « Enduits à base de mortier léger de liants
hydrauliques ». Leurs caractéristiques thermiques sont étroitement liées à leur masse volumique en
oeuvre ; aussi on se référera chaque fois qu'il existe, à l'Avis Technique sur le procédé. En absence
d'Avis Technique, on adoptera les valeurs du tableau ci-après :
tableau sans légende dans: 4.9.2 billes de polystyrène expansé, avec ou sans vermiculite exfoliée ...
Ces valeurs supposent qu'il n'existe pas de flux latéral au pourtour de la lame d'air, ou que celui-ci est
négligeable.
4.10.1.2 cas particulier
La résistance thermique d'une lame d'air peut être augmentée lorsque l'une de ses faces ou ses deux
faces ont un faible pouvoir absorbant ou lorsque l'air est totalement ou partiellement remplacé par un
gaz moins conducteur. Pour connaître cette résistance, on se référera alors aux documents d'Avis
Technique ou, à défaut, à des procès-verbaux de mesure.
On donne ci-dessous, à titre d'information, la résistance thermique d'une lame d'air dont l'une des
faces, ou les deux faces, ont un pouvoir absorbant de l'ordre de 0,2, ce qui est le cas des feuilles
d'aluminium dans la mesure où l'on peut garantir la conservation, dans le temps, du faible pouvoir
absorbant. Ceci suppose en particulier que l'aluminium est à l'abri de la salissure et de la
condensation.
La résistance thermique de la lame d'air a alors les valeurs suivantes :
Ces valeurs supposent qu'il n'existe pas de flux latéral au pourtour de la lame d'air, ou que celui-ci est
négligeable.
4.10.2 lames d'air discontinues
En cas d'hétérogénéité simple on se reportera au chapitre II, paragraphe 2.1.3 .
En cas d'hétérogénéité complexe, on pourra se reporter aux documents d'Avis Technique.
chapitre V coefficient de transmission surfacique (K) des parois les plus courantes
Les caractéristiques des matériaux ou éléments constitutifs des parois ne sont pas indiqués dans ce
chapitre. On se reportera aux paragraphes des chapitres III ou IV mentionnés entre parenthèses.
Pour certaines familles de matériaux et une même épaisseur de paroi, plusieurs valeurs des K sont
données, fonction de la masse volumique du matériau, du nombre de rangées d'alvéoles, du type de
joints, du quinconçage, etc. Faute de connaître l'un de ces paramètres, on adoptera la valeur de K
correspondant à la valeur la plus défavorable de ce paramètre.
5.1 murs de maçonnerie et de béton banché
Les coefficients de transmission thermique donnés dans les tableaux suivants sont calculés pour des
parois comportant les enduits suivants :
- Pour les pierres de taille et moellons, pour les briques pleines et pour les briques perforées :
un enduit intérieur en plâtre de 1 à 1,5 cm d'épaisseur.
Ceci conduit à calculer le coefficient de transmission thermique par la formule :
tableau sans légende dans: 5.1.1.1 pierres de taille et moellons (voir § 3.1)
5.1.2.2 blocs perforés en terre cuite à alvéoles verticaux de format moyen (voir § 4.1.2.5.2)
tableau sans légende dans: 5.1.2.2 blocs perforés en terre cuite à alvéoles verticaux de format m ...
5.1.2.3 blocs perforés en terre cuite à alvéoles verticaux de grand format à cloisons minces
(voir § 4.1.2.5.3)
tableau sans légende dans: 5.1.2.3 blocs perforés en terre cuite à alvéoles verticaux de grand fo ...
tableau sans légende dans: 5.1.2.4 briques creuses de type classique (voir § 4.1.2.6.1)
5.1.2.5 briques creuses à cloisons minces et d'au moins sept rangées d'alvéoles
a briques à quinconçage 4-3, c'est-à-dire comportant successivement 4 et 3 alvéoles dans le
sens de la hauteur (voir § 4.1.2.6.2 a)
tableau sans légende dans: a briques à quinconçage 4-3, c'est-à-dire comportant successivement 4
...
tableau sans légende dans: b briques à quinconçage 3-2, c'est-à-dire comportant successivement 3
...
5.1.2.6 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois épaisses (voir § 4.1.3.1)
tableau sans légende dans: 5.1.2.6 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois épaisses ( ...
5.1.2.7 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois minces (voir § 4.1.3.2)
tableau sans légende dans: 5.1.2.7 blocs creux en béton de sable et gravillon à parois minces (vo ...
5.1.2.8 blocs creux en béton de laitier concassé et sable à parois épaisses (voir § 4.1.3.3)
tableau sans légende dans: 5.1.2.8 blocs creux en béton de laitier concassé et sable à parois épa ...
5.1.2.9 blocs pleins, pleins perforés et creux en béton de granulats légers (voir § 4.1.3.4)
5.1.2.9.1 blocs pleins et pleins perforés (voir § 4.1.3.4.1)
tableau sans légende dans: 5.1.2.9.1 blocs pleins et pleins perforés (voir § 4.1.3.4.1)
tableau sans légende dans: 5.1.2.9.2 blocs creux à parois épaisses (voir § 4.1.3.4.2)
tableau sans légende dans: 5.1.2.9.3 blocs creux à parois minces (voir § 4.1.3.4.3)
5.1.2.10 blocs en béton cellulaire autoclavé pour murs, conformes à la norme NF P 14-306
tableau sans légende dans: 5.1.2.10 blocs en béton cellulaire autoclavé pour murs, conformes à la ...
tableau sans légende dans: 5.1.2.11 blocs en béton de copeaux de bois (voir § 4.1.3.6)
tableau sans légende dans: 5.2.1 définitions des parois vitrées courantes
-fermetures extérieures
La définition est celle donnée au chapitre 2,671, notamment en ce qui concerne les
interstices.
La résistance thermique des fermetures est comprise entre 0 et 0,25 m².K/W.
- La moyenne soit 0,10 m².K/W, a été retenue pour le calcul dans le cas des fermetures
de perméabilité moyenne.
- La valeur de 0,20 m².K/W a été retenue pour le calcul dans le cas des fermetures de
perméabilité faible.
Les fermetures de perméabilité très forte sont des fermetures comportant des ajours, leur
résistance thermique est sans incidence notable sur le coefficient K de la paroi vitrée.
Pour les parois vitrées constituées avec des menuiseries métalliques comportant des
coupures thermiques, des menuiseries en matière plastique et, d'une façon générale, pour
toutes les menuiseries particulières, on pourra se reporter aux Avis Techniques les
concernant. Il en est de même pour les doubles vitrages comportant une ou deux faces à
faible émissivité ou contenant un gaz autre que l'air.
Pour les parois vitrées équipées d'une fermeture ayant une résistance thermique supérieure
à 0,25 m².K/W, le coefficient K moyen jour-nuit est déterminé suivant la méthode exposée au
paragraphe 2,67.
5.2.2 valeurs des coefficients K des parois vitrées courantes
Ces valeurs sont données dans les tableaux des pages suivantes. Elles s'appliquent à la surface en
tableau et ne prennent pas en compte le coefficient de transmission linéique de l'encadrement de
baie. Ces tableaux appellent les remarques suivantes :
° épaisseur de la lame d'air en double vitrage : l'épaisseur indiquée dans les tableaux est
l'épaisseur nominale ; il lui correspond l'épaisseur réelle suivante (en mm) :
tableau sans légende dans: 5.2.2 valeurs des coefficients K des parois vitrées courantes
° Kn et Kjn :
on donne dans tous les cas les valeurs du coefficient K de la paroi vitrée nue, Kn .
Pour les fenêtres et les portes-fenêtres, on donne également la valeur du coefficient K moyen jour-
nuit, Kjn . Cette valeur ne doit être utilisée que pour les fenêtres et portes-fenêtres situées dans le
volume habitable des logements ou dans les chambres des bâtiments hospitaliers.
5.2.2.1 fenêtres et portes-fenêtres à menuiserie bois
5.2.2.1.1 conductivité thermique utile du bois : 0,15 W/m.K)
tableau sans légende dans: 5.2.2.1.1 conductivité thermique utile du bois : 0,15 W/m.K)
tableau sans légende dans: 5.2.2.1.2 conductivité thermique utile du bois : 0,18 W/m.K)
tableau sans légende dans: 5.2.2.1.3 conductivité thermique utile du bois : 0,23 W/m.K)
Les valeurs de calculs à retenir pour ce type de fenêtre ou porte-fenêtre sont normalement données
dans les Avis techniques, notamment pour les aspects réglementaires.
En l'absence d'Avis Technique, on retiendra les valeurs du tableau ci-dessus.
5.2.2.4 Fenêtres et portes-fenêtres battantes à menuiserie PVC
5.2.2.4.1 Coefficient Km de menuiserie : 1,5 W/(m².K)
Les valeurs de calculs à retenir pour ce type de fenêtre ou porte-fenêtre sont normalement données
dans les Avis techniques, notamment pour les aspects réglementaires.
En l'absence d'Avis Technique, on retiendra les valeurs du tableau ci-dessus.
5.2.2.5 véranda
tableau sans légende dans: 5.2.2.6 fenêtre et châssis fixes de bâtiments industriels
tableau sans légende dans: 5.4.1 dalles armées en béton cellulaire traité à l'autoclave (voir § 4 ...
tableau sans légende dans: 5.4.2 dalles armées en béton de copeaux de bois (voir § 4.3.2)
chapitre VI coefficient de transmission linéique (k) des liaisons les plus courantes
introduction
Les valeurs du coefficient de transmission linéique k données dans les tableaux figurant dans ce
chapitre correspondent aux données suivantes :
° Le terme « paroi extérieure » s'étend aux parois sous comble, aux parois contre, sur ou sous
local non chauffé et aux parois sur vide sanitaire.
° Les « murs à isolation répartie » correspondent aux maçonneries (pierres de taille, briques,
blocs creux de terre cuite ou de béton, blocs de béton cellulaire,...) et aux bétons banchés
sans doublage.
° Les « murs à isolation intérieure » comportent :
a) Un mur extérieur qui peut être :
- une « maçonnerie », c'est-à-dire un mur en briques creuses à 3 ou 4 rangées
d'alvéoles ou un mur en blocs creux de béton à 2 ou 3 rangées d'alvéoles ;
- un « béton lourd », c'est-à-dire un mur en béton banché ordinaire ou en blocs pleins
de béton ordinaire.
b) Un doublage intérieur qui peut être :
- « un complexe isolant », c'est-à-dire un complexe plâtre cartonné et isolant, collé
contre le mur, ou une cloison sèche (par exemple : un sandwich plâtre cartonné-
isolant-plâtre cartonné) posé à quelques centimètres du mur (2 à 4 cm) ;
- « un isolant et une contre-cloison », celle-ci étant en briques plâtrières ou en
carreaux de plâtre, alvéolés ou non.
° Par « isolant » on entend un matériau de conductivité thermique au plus égale
0,065 W/m. °C et d'épaisseur telle que sa résistance thermique soit au moins égale à
0,50 m². °C/W.
° Le terme « refend » correspond d'une façon générale aux parois intérieures verticales d'au
moins 9 cm d'épaisseur. Le coefficient k d'une liaison entre une paroi extérieure et une paroi
intérieure de moins de 9 cm d'épaisseur est pris égal à zéro, sauf cas exceptionnels
expressément visés dans les tableaux. La paroi intérieure est alors appelée « cloison ».
° Les coefficients k donnés pour les liaisons entre un mur et un refend (ou un plancher)
pénétrant entièrement dans ce mur restent valables lorsque ce refend (ou ce plancher)
sortent à l'extérieur, ce qui est le cas par exemple pour une loggia. Les deux liaisons
représentées ci-dessous ont en effet le même coefficient k :
° Les coefficients k donnés pour les liaisons corrigées par des briques creuses restent valables
lorsque la correction est réalisée avec un matériau ayant à peu près la même épaisseur et la
même résistance thermique.
° Les coefficients k donnés pour les liaisons entre un plancher haut à isolation extérieure
continue et un mur restent valables lorsqu'un acrotère est rapporté au-dessus de l'isolant.
Les deux schémas ci-dessous sont équivalents :
° Les coefficients k donnés pour les liaisons entre un plancher bas à isolation extérieure et un
mur sont valables aussi bien pour les planchers bas sur vide sanitaire ou sur local non
chauffé que pour ceux sur passage ouvert.
° Les cotes sont exprimées en centimètres, les coefficients k en W/m. °C et les coefficients K
en W/m². °C.
Lorsque les cotes sont données de 2,5 en 2,5 cm, elles sont valables à plus ou moins 1 cm
près ; 10 cm est valable pour 9 à 11 cm, 12,5 cm pour 11,5 à 13,5 cm, 15 cm pour 14 à
16 cm, etc.
° Les valeurs de k données pour les liaisons avec les refends et les planchers et pour les
angles correspondent à une paroi ; elles doivent être comptées deux fois comme le montrent
les schémas ci-dessous :
figure sans légende dans: a jambage, appui de baie ou linteau identiques au mur
tableau sans légende dans: a jambage, appui de baie ou linteau identiques au mur
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec ou sans correction
k : Tab. I
tableau sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec ou sans
correction
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec ou sans correction
k : Tab. II
- avec bloc spécial (fig. III) voir colonne III
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec ou sans correction
(17)
k : Tab. III
NOTE
(17)A ces deux dessins correspondent les mêmes valeurs du coefficient linéique k, mais deux valeurs
différentes du coefficient surfacique K.
figure sans légende dans: a jambage, appui de baie ou linteau identiques au mur
tableau sans légende dans: a jambage, appui de baie ou linteau identiques au mur
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec et sans correction
k : Tab. I
tableau sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec et sans
correction
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec et sans correction
k : Tab. II
- avec bloc spécial (fig. III) voir colonne III
figure sans légende dans: b jambage, appui de baie ou linteau en béton, avec et sans correction
(17)
k : Tab. III
6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure ou extérieure avec une
menuiserie dans le plan d'isolation
figure sans légende dans: 6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure o ...
0
- Position de l'isolation : isolation intérieure
figure sans légende dans: 6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure o ...
figure sans légende dans: 6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure o ...
figure sans légende dans: 6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure o ...
figure sans légende dans: 6.1.2 liaison d'une façade légère ou d'un mur à isolation intérieure o ...
Correction thermique éventuelle : brique à trois ou quatre rangées d'alvéoles et d'au moins
7,5 cm d'épaisseur
k:
6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un plancher intérieur
figure sans légende dans: 6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un pla ...
figure sans légende dans: 6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un pla ...
figure sans légende dans: 6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un pla ...
figure sans légende dans: 6.2.2 liaison d'un mur à isolation extérieure avec un refend ou un pla ...
figure sans légende dans: 6.2.3 liaison d'une façade légère avec un refend ou un plancher intéri
...
tableau sans légende dans: 6.2.3 liaison d'une façade légère avec un refend ou un plancher intéri
...
figure sans légende dans: 6.2.3 liaison d'une façade légère avec un refend ou un plancher intéri
...
tableau sans légende dans: 6.2.3 liaison d'une façade légère avec un refend ou un plancher intéri
...
6.2.4 liaison d'un mur en béton lourd à isolation intérieure avec un refend ou un plancher
intérieur en béton lourd
6.2.4.1 le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
Nature du refend ou du plancher : refend ou plancher en béton de ei cm
figure sans légende dans: 6.2.4.1 le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
tableau sans légende dans: 6.2.4.1 le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: 6.2.4.2 le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
tableau sans légende dans: 6.2.4.2 le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: 6.2.4.2 le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
tableau sans légende dans: 6.2.4.2 le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
6.2.5 liaison d'un mur de maçonnerie à isolation intérieure avec un refend ou un plancher
intérieur
6.2.5.1 le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
a le refend ou le plancher pénètre dans le mur
figure sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
tableau sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
figure sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
tableau sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
figure sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
tableau sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
figure sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
tableau sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
figure sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
tableau sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
figure sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
tableau sans légende dans: b le mur passe devant le refend et est en briques creuses
figure sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
tableau sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
figure sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
tableau sans légende dans: c le mur passe devant le refend et est en blocs creux de béton
figure sans légende dans: 6.2.6 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un refend
figure sans légende dans: 6.2.6 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un refend
tableau sans légende dans: 6.2.6 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un refend
figure sans légende dans: 6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher intérieur
figure sans légende dans: 6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher intérieur
tableau sans légende dans: 6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher
intérieur
figure sans légende dans: 6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher intérieur
tableau sans légende dans: 6.2.8 liaison d'une menuiserie avec un refend ou un plancher
intérieur
figure sans légende dans: 6.3.1.1 liaison de deux murs identiques * à isolation répartie (béton ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.1.1 liaison de deux murs identiques * à isolation répartie (béton
...
figure sans légende dans: 6.3.1.1 liaison de deux murs identiques * à isolation répartie (béton ...
figure sans légende dans: 6.3.1.1 liaison de deux murs identiques * à isolation répartie (béton ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.1.1 liaison de deux murs identiques * à isolation répartie (béton
...
NOTE
(18)Si les deux murs ne sont pas identiques, le coefficient K et l'épaisseur e lus dans les tableaux sont
les moyennes respectives des coefficients K et des épaisseurs des deux murs.
NOTE
(19)Ce montage ne satisfait pas aux prescriptions du DTU 20.11 .
figure sans légende dans: 6.3.1.2 liaison de deux murs à isolation intérieure
(19)
figure sans légende dans: 6.3.1.3 liaison de deux murs à isolation extérieure
(19)
tableau sans légende dans: 6.3.1.3 liaison de deux murs à isolation extérieure
Si les deux murs ne sont pas identiques, K et e sont les moyennes arithmétiques respectivement des
coefficients K et des épaisseurs des deux murs
6.3.2 liaison d'un plancher haut à isolation extérieure avec un mur
6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolation extérieure avec un mur
à isolation répartie
figure sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
figure sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
figure sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
figure sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.2.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
6.3.2.2 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous à isolation extérieure avec un mur
en béton lourd à isolation intérieure
a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
6.3.2.3 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolation extérieure avec un mur
en maçonnerie à isolation intérieure
a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
figure sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
figure sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
figure sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat ...
k:
tableau sans légende dans: 6.3.3.1 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolat
...
6.3.3.2 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolation extérieure avec un mur
en béton lourd à isolation intérieure
a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
Constitution de l'angle et correction thermique éventuelle : chaînage sans correction
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe isolant (avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
6.3.3.3 liaison d'un plancher (en béton plein ou à entrevous) à isolation extérieure avec un mur
en maçonnerie à isolation intérieure
a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
k:
tableau sans légende dans: a le doublage est un complexe (isolant avec ou sans lame d'air)
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
figure sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
k:
tableau sans légende dans: b le doublage est composé d'un isolant et d'une contre-cloison
obtenues pour les parois vitrées courantes (au sens du paragraphe 5.2.1 ) .
tableau sans légende dans: chapitre VII facteur solaire des parois vitrées courantes
Remarque 1 : : La surface vitrée est comptée en tableau. Les valeurs de S tiennent donc compte de
la menuiserie.
Remarque 3 : : Ces valeurs tiennent compte de l'ombre éventuelle du linteau et des tableaux
verticaux. Ceci explique que le facteur solaire d'une paroi placée au nu extérieur de la façade est
supérieur à celui d'une paroi placée au nu intérieur. La paroi vitrée d'une façade mince est considérée
comme placée au nu extérieur.
Remarque 4 : : Ces valeurs tiennent compte de la présence de voilages dans les locaux à occupation
continue.
Remarque 5 : : Le fait de ventiler la lame d'air d'un double vitrage ou d'une double fenêtre, par
exemple suivant le schéma ci-dessous , ne modifie pas les valeurs de S.
figure sans légende dans: chapitre VII facteur solaire des parois vitrées courantes