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1) Albert Camus ,, La peste’’ insiste sur un fléau, sur un mal qui est eternel, qui ne disparait
jamais, il existe la risque du mal/ d’un fléau
2) Un autre parle du progrès d’une nouvelle barbarie= un syntagme paradoxale parce qu’il
était un siècle du progrès => le siècle XX= le sommet du progrès qui est considère des
autres comme une barbarie : La force de la destruction de la société=une société
nuisible.
3) Des autres : - Le procès de méfaits (neajunsuri) de la civilisation
- Le procès des formes modernes de la vie et du travail ( le roman de
Céline)
Ce sont des directions qui attire une nouvelle orientation vers la réécriture des mythes. Auteur :
Michel Tournier. On veut trouver des valeurs nouvelles/ inversé. L’auteur : Sartre (Les
Mouches)=pièce qui propose une réinterprétion d’un mythe d’Oreste
La tragédie antique= une tragédie de la fatalité, Sartre propose une tragédie de la liberté. La
liberté s’oppose au fatalité.
L’apparition de la culture de masse/loisir qui sera considère par les personnalités comme
vulgaire, médiocre, dévoyée(pervertită). On ne peut pas refuser la culture de masse parce qu’elle
capte un publique de plus en plus large. Elle doit être accessible aux masses.
Elle apparait en ’80 . cette culture est très critique après 1980.
La télévision = le résultat, le facteur qui représent la culture du masse, regrés vers le bas (regresie
către primitiv, primar)-Fumeroli.
Le problème de la fussion est fondamental, la naissance des industries de la culture qui devient
une partie de la vie sociale, culturelle : un livre reste inconnue s’il n’y a pas du publicité, de
diffusion.
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L’existence: Révolution de l’information assimilable à une véritable révolution: l’homme ne
reste encore isolée, il accède à la l’échelle planétaire. Toutes les informations devient à la
portée de l’homme ( la indemana omului)
On l’impression que rien ne peut reste inconnu que tout doit devenir accessible.
La relativité des valeurs/ civilations/ cultures= aucune culture, aucune civilisation ne peut pas
afficher son proéminence de statut.
L’apparition de l’esthétique transgressive dégagées des règles : l’art jouira d’un succès
important. C’était un art qui ne veut reproduire mimétique des aspects de la réalité : LA
TIRANIE DU SUJET.
On veut des sujets pour qui n’ont pas du réel.
On remarque la domination du CULT DE LA NOUVEAUTE.= il y a des idées de
rupture totale avec : la tradition, l’histoire, passé.
C’est le siècle : ,, il faut être absolument moderne’’ – Arthur Rimbaud => On a un
program pour les artistes du XX siècle.
Son culte de la nouveauté mène à des apories ( impasse logique) qui conduit nulle part.
Le règne des insignifiances : la société qui devient une société de prêt-à –jeter =să arunce tot la
gunoi ( calc dupa prêt-à –porté)
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Le règne du vide/ du simulacre : L’individu n’à pas accès à la réalité propre-dit, mais à une
réalité fabriquée :
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Le rôle de la mélancolie
Jusqu'à l’apparition de l’école symboliste, les choses n’ont été plus discrètes : Vigny,
Châteaubriand.
Le symbolisme= il existe, mais il est toujours associe à quelque chose de vaque, au mystère, à
l’intuition, à l’imprécis, et à tout ca s’ajoute à la musicalité.
La musicalité dans les poésies symbolistes. On pratique la musicalité qui est en rupture avec
l’esthétique romantique : on parle de fanfare romantique ≠ discrétion( on cultive les
nuances)=symboliste.
On a aussi tous sorte de reflets (reflectări ale realitații) comme les peintures. Toute cette
construction mène à une musicalité d’irréalité.
Jean Moréas publie dans un supplement du Figaro, formule la nouvelle esthétique symboliste.
On souhaite d’impollué ( nepângărit) par le langage = cuvinte nepângărite.
La poésie utilise des vocables impollués. Une recherche permanente des images suggestives.
Platon=> un monde des idées : la supériorité des idées qui ne son pas accessibles.
Les idées ont été applique par : Mallarmé ,,Préface’’ et René Ghil ,,Traité du verbe’’
Directions symbolistes :
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