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Chapitre I Généralités sur GSM

I.1 Introduction 

La téléphonie mobile a suivi diverses phases d’évolution liée au progrès. Durant ces
dernières années, les réseaux radio mobiles ont eu une expansion sans précédent en termes
de capacité et en nombre d’abonnés. Le GSM (Global System for Mobile communications),
est un système cellulaire et numérique de télécommunication mobile. Il a été rapidement
accepté et a vite gagné des parts de marché. L’histoire de la téléphonie mobile a débuté
réellement en 1982. La première communication expérimentale par GSM a eu lieu en 1991,
et a été développé en tant que standard ayant pour but d’être utilisé partout à travers les pays
d’Europe dont la plupart utilisaient des systèmes 1G différents. Depuis cette date, nous
assistons à un véritable engouement pour le développement des réseaux mobiles. Dans ce
chapitre, nous allons présenter les caractéristiques principales du système GSM [1].

I. 2 Généralités sur GSM 

I. 2.1 Architecture du réseau GSM 

Le réseau GSM est composé de 3 parties essentielles (Figure I.1):


 Le sous système radio BSS (Base Station Sub system).
 Le sous système réseau NSS (Network Sub System).
 Sous-système d’exploitation et de maintenance de GSM: OSS

Figure II. 1 Architecture du réseau GSM

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I. 2. 1. 1 Le sous-système radio (BSS) 


Le sous-système radio comprend l'ensemble des stations de base desservant l’ensemble
du territoire. Il assure les transmissions radioélectriques entre MS et BTS et gère la ressource
radio. Le BSS comporte les équipements décrits dans les paragraphes suivants :

 MS : C’est l’équipement terminal muni d’une carte SIM permettant d’accéder au PLMN,
le PLMN étant un réseau GSM exploité par un opérateur sur un territoire ;
 BTS : C’est un ensemble d’émetteurs-récepteurs appelés TRX (TRX signifie que le
matériel est capable de gérer une paire de fréquences GSM). La BTS s’occupe de la
transmission radio : modulation, démodulation, égalisation, codage correcteur d’erreurs.
De plus, elle gère la couche physique  (multiplexage TDMA, saut de fréquence lent,
chiffrement) et effectue des mesures radio pour vérifier qu’une communication en cours
se déroule correctement, elle n’exploite pas ces mesures mais les transmet au BSC.

 BSC : C’est l’organe " intelligent " du BSS, qui gère la ressource radio. Il commande
l’allocation des canaux, utilise les mesures effectuées par la BTS pour contrôler les
puissances d’émission des mobiles et/ou de la BTS et prend la décision de l’exécution
d’un handover. C’est également un commutateur qui réalise une concentration des
circuits vers le MSC [1].

I. 2. 1. 2 Le sous-système réseau NSS 


C'est un réseau fixe comprenant l'ensemble des fonctions nécessaires à l'établissement
des appels et à la mobilité. Il comprend des commutateurs, des passerelles vers le R.T.C.P.
ainsi que des bases de données. Il constitue l’infrastructure la plus légère d’un réseau GSM
en ce qui concerne l’investissement de l’opérateur et comporte les équipements décrits dans
les paragraphes suivants :
 MSC : C’est le commutateur du service mobile. Celui-ci gère l’établissement des
communications entre un mobile et un autre MSC ainsi que la transmission des messages
courts (SMS) et l’exécution du HandOver lorsqu’il y est impliqué. Il dialogue avec le
VLR pour gérer la mobilité des usagers.
 VLR : C’est une base de données qui mémorise les données d’abonnement des abonnés
présents dans une zone géographique. Les données mémorisées par le VLR sont
similaires à celles du HLR mais concernent seulement les abonnés mobiles présents dans

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la zone considérée. Il attribue également l’identité temporaire au mobile lorsque ce


dernier entre dans la zone couverte.
 HLR : C’est la base de données gérant les abonnés d’un PLMN (Public Land Mobile
Network). Il mémorise :

 l’identité internationale de l’abonné utilisée par le réseau (IMSI).

 le numéro d’annuaire de l’abonné (MSISDN).

 le profil de l’abonnement [1].

I. 2. 1. 3 Sous-système d’exploitation et de maintenance de GSM(OSS) 

L’administration du réseau GSM consiste à évaluer ses performances et optimiser


l’utilisation des ressources de façon à offrir un niveau de qualité aux usagers. Cette
administration se fait à plusieurs niveaux :

 Administration commerciale (déclaration des abonnés, terminaux, facturation…).


 gestion de la sécurité (détection d’intrusion).
 exploitation et gestion des performances (trafic).
 contrôle de la configuration du système.
 Maintenance.

L’administration du réseau s’effectue par le biais des équipements décrits dans les
paragraphes suivants.

 TMN : C’est l’ensemble formé par les équipements de médiation, le système


d’exploitation et les réseaux de transport. Le management est réalisé par les
OMC (Operations and Maintenance Centre) qui permettent une supervision locale des
équipements ainsi que par le NMC (Network Management Centre) qui assure
l’administration générale de l’ensemble du réseau par un contrôle centralisé.
 EIR : C’est une base de données annexe contenant les identités des terminaux ( IMEI ) ;
elle peut être consultée lors des demandes de services d’un abonné pour vérifier que le
terminal utilisé est autorisé à fonctionner sur le réseau ;

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 AUC : Cette base de données permet l’authentification des demandes de services et le


chiffrement des communications à l'aide d’algorithmes. L’AUC communique avec :

le HLR :
-la carte SIM de la MS (qui contient l'IMSI) ;
- la MS (qu’il conviendra de distinguer de l'abonné matérialisé par la carte SIM et qui
contient les algorithmes de chiffrement) ;
- la BTS (qui contient aussi un algorithme de chiffrement ) [1].

I. 2. 2 Gestion de la sécurité du réseau et des appels

De la mobilité dans les réseaux GSM a nécessité la création de nouvelles fonctions par
rapport aux réseaux fixes classiques. Le système doit pouvoir connaître à tout moment la
localisation d’un abonné de façon plus ou moins précise. En effet, dans un réseau fixe, à un
numéro correspond une adresse physique fixe (une prise de téléphone), alors que pour le
réseau GSM, le numéro d’un terminal mobile est une adresse logique constante à laquelle il
faut associer une adresse physique qui varie au gré des déplacements de l’usager du terminal.
La gestion de cette itinérance nécessite la mise en œuvre d’une identification spécifique de
l'utilisateur. Le système GSM utilise quatre types d’adressage liés à l’abonné :
 L’IMSI (identité invariante de l’abonné) n’est connu qu’à l’intérieur du réseau GSM ;
cette identité doit rester secrète autant que possible, aussi, GSM a recours au TMSI,
 Le TMSI est une identité temporaire utilisée pour identifier le mobile lors des
interactions station mobile / réseau.
A l’intérieur d’une zone gérée par un VLR, un abonné dispose d’une identité temporaire. Le
TMSI, codé sur 4 octets, est attribué au mobile de façon locale, c’est-à-dire uniquement pour
la zone gérée par le VLR courant du mobile. Le TMSI est utilisé pour identifier le mobile
appelé ou appelant lors de l’établissement d’une communication.
 Le MSISDN est le numéro de l’abonné ; c’est le seul identifiant de l’abonné mobile
connu à l’extérieur du réseau GSM,
 Le MSRN est un numéro attribué lors de l’établissement d’un appel. Sa principale
fonction est de permettre l’acheminement des appels par les commutateurs (MSC et
GMSC) [1].

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I. 2. 3 Authentification 
L’authentification (AKA, Authentification and Key Agreement) est basée sur une clé
partagée qui est uniquement présente dans le HLR et la carte USIM de l’UE. Comme le HLR
ne communique jamais directement avec l’UE, le MSC Server réalise la procédure
d’authentification. 1 à 5 vecteurs d’authentification (AV) sont téléchargés par le MSC server
à partir du HLR à travers l’interface D lorsque le MSC server reçoit de l’UE le message
Attach Request (Figure I. 2). Les paramètres présents dans l’AV sont :
 RAND : Le challenge qui sert en tant qu’un des paramètres d’entrée pour générer les 4
autres paramètres de l’AV (128 bits).
 XRES : Le résultat attendu, utilisé par le réseau pour l’authentification de l ’USIM de
L’UE (32-128 bits).
 AUTN : Le jeton d’authentification utilisé par l ’USIM pour l’authentification réseau
(128bits).
 CK : La clé de chiffrement (128 bits). Cette clé permet le chiffrement du trafic de
l’usager et du trafic de signalisation entre l’UE et le RNC.
 IK : La clé d’intégrité (128 bits). Cette clé permet la protection de l’intégrité de la
signalisation entre l’UE et le RNC.

Figure II. 2 Sécurité d’un appelle

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 Le centre d’authentification génère un vecteur d’authentification à partir de la clé Ki


qu’il partage avec la carte USIM du terminal ainsi que deux autres paramètres qui
sont : un Numéro de séquence et un nombre pseudo aléatoire.
 Le vecteur d’authentification généré comporte cinq parties : un résultat qui sera
demandé dans la procédure « challenge/réponse» avec le terminal (XRES), un
nombre (AUTN) qui permet l’authentification du réseau auprès de l’UE, une clé de
session (CK) qui servira pour le chiffrement et une clé de contrôle d’intégrité qui
servira à la protection de l’intégrité des messages de signalisation.
 Le VLR/SGSN à la réception du quintuplé (RAND, AUTN, XRES, CK, IK),
transmet le challenge RAND et le nombre AUTN qu’il a reçu du HLR à l’UE et
attend une réponse RES.
La procédure « challenge/réponse» peut être représentée comme suit : le mobile est
authentifié si le résultat RES transmis est identique à XRES reçu du centre d’authentification
[1].

I. 2. 4 Interfaces de réseau GSM 

Les interfaces sont des protocoles permettant de communiquer entre chaque structure du
réseau GSM. Elles sont un élément essentiel définit dans la norme GSM car ce sont ces
interfaces qui déterminent les interconnexions réseaux au niveau international. Le tableau
présente les interfaces dans un système GSM: 

Nom Localisation Utilisation


Um Terminal – BTS Interface radio (Cf. partie 3)
Abis BTS – BSC Divers (transfert des communications…)
A BSC – MSC Divers (transfert de données)
B MSC – VLR Divers (transfert de données)
C GMSC – HLR Interrogation HLR pour appel entrant
D (1) VLR – HLR Gestion des informations d'abonnés et de localisation
D (2) VLR – HLR Services supplémentaires
E MSC – MSC Exécution des "handover"
F MSC – VLR Vérification de l'identité du terminal
G VLR – Gestion des informations d'abonnés
VLR
H HLR - AuC Echange des données d'authentification
Tableau II.1 Interfaces de réseau GSM

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I. 3 Modèle de propagation 
I. 3. 1 Propriétés du canal radio mobiles 
Le canal de propagation correspond au système qui fait passer du signal électrique émis
e(t) au un signal électrique reçu s(t) et tient donc compte des interactions entre les ondes
électromagnétiques et leur environnement. Selon les auteurs, le canal de transmission est
parfois assimilé au canal de propagation[1].
I. 3. 2 Etude des liaisons en espace libre 

En espace libre qui est caractérisé par l’absence d’obstacles, l’onde se propage de
l’émetteur jusqu’au récepteur en ligne directe. La puissance reçue s’exprime en fonction du
gain de l’émetteur et du récepteur et, de leur distance de propagation d et de la longueur
d’onde λ.

La puissance rayonnée par une antenne varie, en général, selon la direction considérée, on
définit une antenne fictive de référence qui rayonnerait sa puissance de la même façon dans
toute les directions de l’espace: (c’est une source isotrope).C’est le rapport entre la
puissance PE captée par l’antenne à la distance d d’une source quelconque, et celle que
capterait une antenne isotrope à la même distance (en espace libre).Le gain G (u ) de
l’antenne dans la direction (u ) , est le rapport entre la puissance pu  qu’elle rayonne par
unité d’angle solide dans cette direction et la puissance que la source isotrope rayonnerait
par unité d’angle solide [2].

G (u ) 

pu (I. 1)
p 0 / 4d 2

G dB  10.LogG ( u )
(I. 2)

À la réception une antenne capte une puissance P égale au produit de la densité de puissance
à l’endroit où elle se trouve par un coefficient Ae caractéristique de l’antenne et homogène à
une surface équivalente de l’antenne

P  P1 . Ae (I. 3)

P1  : Densité surfacique de puissance

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Ae  : Surface équivalente

P  : Puissance
Une même antenne peut être utilisée à l’émission ou à la réception. Il doit avoir donc une
relation entre le gain G et la surface équivalente S qui caractérisent respectivement son
fonctionnement à l’émission et à la réception.

4S (I. 4)
G
2

L’équation des télécommunications permet d'obtenir un ordre de grandeur de la puissance


radio collectée par un récepteur situé à une certaine distance d'un émetteur en espace libre. Si
on considère qu’on a :

 un émetteur caractérisé par : avec la puissance Pe , antenne de gain Ge et surface


équivalente Se .
 un t un récepteur : avec la puissance Pr, antenne de gain Gr et surface équivalente
Sr . Nous pouvons trouver l’expression de densité de puissance rayonnée par
l’émetteur à la distance d, elle est donnée par :
pe .Ge (I. 5)
p1 
4d 2

Pour étudier la portée d’une station de base, on considère la direction principale de l’antenne
où le rayonnement est maximal. La PIRE est donc donnée par :

PIRE  p e .G e (I. 6)

La puissance captée par le récepteur est donnée par :

p e .Ge G r  2  2
Pr  P1 .S r  .  p e Ge G r .( ) (I. 7)
4d 2 4 4d

L’affaiblissement total de la liaison L (PATH LOSS), est donnée par :

pe 4d 2 1 1 (I. 8)
L ( ) .
Pr  Ge Gr

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pe 4d
L(dB)  10Log( )  20 log( )  G e (dB)  G r (dB) (I. 9)
Pr 

avec :

4d
A f ( dB)  20 log( ) Affaiblissement dû à la propagation sur une distance d.

En tenant compte les différentes pertes, l’expression d’affaiblissement résultant est :

pe 4d 2 1 1 1 (I. 10)


L ( ) . .
Pr  Ge G r 

I. 3. 3 Les modèles de propagation 

Dans le domaine des radiocommunications, il existe plusieurs modèles de propagations


qui peuvent être utilisés pour le dimensionnement de la couverture radioélectrique. Nous
nous intéressons dans ce paragraphe à présenter quelques modèles de prédiction de
propagation en différents environnement urbain, suburbain et rurale. Nous pouvons
distinguer [2] :

I. 3. 3. 1 Modèle de perte de propagation en espace libre

Le modèle de perte de ligne ou de propagation en espace libre est utilisé pour prédire la
puissance du signal reçu lorsque l'émetteur et le récepteur sont séparés par un milieu qui n'a
absolument aucun obstacle. Les systèmes de communication par satellite et à micro-ondes
liaisons radio subissent une propagation de l'espace libre.L’expression de perte de

propagation en espace libre ( ) est donnée par :

(I. 11)

Avec

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Fréquence en MHz

d: Distance entre l'émetteur et le récepteur en m

I. 3. 3. 2 Le modèle Okumura

Le modèle d’Okumura a été produit à la fin des années 1960 à partir d’une grande
quantité de mesures faites à Tokyo au début de cette décennie. Ce modèle incorpore autant
que possible les effets de diffraction, de réflexion et de diffusion provenant des structures
d’une ville sans toutefois prendre en considération l’ombrage ou l’´evanouissement par le
biais de processus stochastiques. Le modèle OKUMURA est l'un des modèles le plus
généralement utilisés. Les conditions de validité sont les suivantes [2]:

• Fréquence d’opération f entre 150 MHz et 1.920 GHz ;

• Hauteur de la station de base hb entre 30 à 200 m;

• Hauteur du mobile hm entre 1 et 10m par rapport au sol moyen ;

• Distance séparant les antennes d entre 1 et 100 km.

L'affaiblissement dans le modèle OKUMURA peut être calculée comme suit :

(I. 12)
D’où

: est l'affaiblissement en espace libre

: est appelé facteur d'atténuation moyenne.

 et sont respectivement les facteurs de gain de l'antenne de la BS et les

facteurs de gain du récepteur. Ils sont donnés par :

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Chapitre I Généralités sur GSM

(I. 13)

D’où
Le gain de la région, qui dépend de la région employée.
 : Fréquence (MHz)
: Hauteur de l'antenne de l'émetteur (m)

: Hauteur de l'antenne du récepteur (m) 


d: Distance entre l'émetteur et l'antenne du récepteur (km)

I. 3. 3. 3 Modèle d’Okumura-Hata
Ce modèle empirique est le plus couramment utilisé pour la planification des réseaux
macro-cellulaires. Son origine est la formulation mathématique faite par M. Hata sur les
mesures qu’a effectuées Y.Okumura à Tokyo pour des fréquences allant jusqu'à 1920MHz
en calculant un facteur d’atténuation à additionner avec l’affaiblissement en espace libre. Les
formules de Hata ont été étendues avec le calcul de termes correctifs pour différentes
hauteurs et pour les milieux suburbains et ruraux. Enfin, cette formule qui donne les pertes
de propagation est présentée comme suit [2]:

(I.14)

Où f est la fréquence en GHz, d est la distance entre émetteur et récepteur en km, et le


facteur de correction a(hm) est de :

Les termes correctifs permettant une généralisation aux milieux suburbains et ruraux sont
respectivement :

Pour les zones suburbaines on a :

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Pour les zones rurales on a :

I. 3. 3. 4 Modèle COST231-Hata

Le modèle COST231-Hataest plus souvent connu sous le nom de modèle COST231. Il


s’agit d’une extension du modèle de Okumura-Hataqui couvre une bande plus haute en
fréquence. Dans ce modèle, fréquence d’opération f = 150MHz à 1500MHz. Le modèle est
applicable dans des zones urbaines de villes seulement. Outre, la fréquence d’opération, le
modèle reprend les mêmes conditions de validité que le modèle Okumura-Hata énumérées
dans la sous-section précédente. Cependant, le modèle requiert de plusque la station de base
soit aussi plus haute que les toitures environnantes .Le modèle COST231-Hata est formulé
de cette manière [2]:

(I. 15)

D’où la valeur de dans les zones suburbaines et rurales est donnée par:

et Cm=0

La valeur de dans les zones urbaines est donnée par:

et Cm=3dB

I. 3. 3. 5 Modèle Standard Propagation

Le modèle Standard Propagation Model (SPM) est un modèle ayant des paramètres
variables, il est basé sur la formule du modèle Cost231-Hata. L’affaiblissement du parcours
est donné par:

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(I. 16)

Avec

 K1:décalage constant (dB)


 K2:facteur de multiplication pour log (d).
 d:distance entre le récepteur et l'émetteur (m).
 K3:facteur de multiplication pour log (HTxeff).
 HTxeff: hauteur effective de l'antenne d'émission (m).
 K4:facteur de multiplication pour le calcul de diffraction.
 Diffraction loss : perte due à la diffraction sur un chemin obstrué (dB).
 K5:facteur de multiplication pour log(d ) ×log(HTxeff ) 
 K6:facteur de multiplication pour HRxeff 
 K7:facteur de multiplication pour log (HRxeff )
  HRxeff: efficace hauteur de l'antenne mobile (m).
 K clutter: facteur de multiplication de f (clutter)

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