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117p.
Préface
Quanto ao uso das adições, por não serem falas de Hegel, evitar-se-á sua utilização. “Seul peut
faire autorité un texte que l'auteur a fixé lui-même, après mûre réflexion et après avoir pesé
ses termes tout autrement que ne le fera le meilleur orateur s'il parle librement”. – 8
"on ne vulgarise pas un livre scientifique; on peut en faciliter la lecture au moyen d'un
commentaire suivi et détaillé (ce dont il ne saurait être question ici), on n'en traduira pas le
texte dans un langage plus ‘clair’ et plus succinct." - 9
---
"L'Angleterre est historiquement en retard, dit-il, parce que la propriété n'y est pas libre, parce
que l’État n'a pas développé un fonctionnariat de métier, parce que le droit n'est pas codifié,
mais reste le secret et la propriété d'une corporation, parce que la Couronne est trop faible
pour permettre la transformation nécessaire des institutions sans heurts ni violence. Sur le
continent, déclare Hegel, on a – 21 - réalisé depuis longtemps ce que les Anglais cherchent à
tâtons : en d'autres mots, la Prusse est pour lui le modèle de la liberté réalisée, au moins quant
aux principes, l'Etat de la pensée, de la libre propriété, de l'administration qui ne dépend que
de la loi, l'Etat du droit. En 1830 comme en 1818, Hegel considère donc la Prusse comme l'Etat
moderne par excellence (ce qui semble exact du point de vue de l'historien) et la voit ainsi,
parce qu'il la voit fondée sur la liberté."
"On peut ajouter, et nous l'avons mentionné, que les événements des années pendant
lesquelles la Philosophie du Droit a été écrite, les révolutions avortées d'Italie et d'Espagne
ainsi que les assassinats politiques insensés l'ont confirmé dans sa méfiance envers l’« action
directe », que l'observation ne lui a montré de progrès durable en direction d'une société plus
libre que dans le seul Etat où ce progrès avait été imposé par un groupe de fonctionnaires
remarquables". - 22
II. Les fondements philosophiques de la politique
Le réel et le raisonnable
Resumindo o “horror” presente na Filosofia do Direito: o Estado é o divino na Terra; o sujeito é
subordinado ao Estado; a vida moral é menos digna que a vida política; a forma perfeita da
constituição é a monarquia; o povo deve obedecer ao governo; a nacionalidade é um conceito
pouco importante; a lealdade para com o Estado é um dever supremo do homem; a eleição
popular é ruim; e, principalmente, a célebre frase “Was vernünftig ist, das ist wirklich; und das
wirklich ist, das ist vernünftig”. – 24 – Para compreender a frase, devemos nos socorrer de sua
lógica, para entender os termos “realidade” [Wirklichkeit, do verbo wirken, agir criando,
produzir um efeito na realidade] e “existência” [Dasein] – a existência é realidade apenas em
parte, a parte faltante é a aparição, o aparecer. - 25
No Prefácio, Hegel faz um paralelo entre natureza e política. Como há ciência da natureza, há
ciência do Estado, pois a razão se encontra nos fenômenos naturais, logo também está nas
produções da consciência humana. Afinal, o mundo moral é ainda mais elevado que o mundo
natural. Caso contrário, a história seria mero produto do sentimento, das paixões. – 26 – Vide
também §146-7. Mas isso não é um postulado, um pressuposto. A vida moral do homem é
racional na medida em que esse conhecimento se apresenta como um sentimento de relação
imediata com o mundo moral.
La volonté libre
O direito (abstrato) e a moral são anteriores ao Estado. Isso não quer dizer que sejam
inderrogáveis no sentido contratualista do termo. Não são propriamente oponíveis ao Estado,
pois não são com ele contraditórios. Esse direito e a moral são insuficientes. Sua realidade (e
não sua destruição) deve ser procurada no Estado. “Cela ne signifie pas que l'État puisse ou
doive supprimer ou combattre le droit et la morale de la personne humaine - puisque cela en
signifie exactement le contraire-; comme toujours chez Hegel, ce qui est supprimé
dialectiquement est aussi sublimé et conservé et n'est pleinement réalisé que par cet acte du
Aufheben.” O problema da política se torna o problema da vontade. – 32
A vontade tem a capacidade de abstrair pelo pensamento toda condição, todo dano. O homem
está no mundo, como os demais objetos, logo pode pensar e a si. Pode negar seus elementos.
Recusar seus elementos. Esse é um exercício da vontade livre. Da liberdade. Ele toma
consciência de si como uma negatividade livre, logo encontra uma positividade: a vontade
pode determinar-se de acordo com qualquer coisa e tudo que escolha, tudo que me
determina, pode ser em seguida negado. – 33 – “Autrement dit, la volonté, étant libre se
donne nécessairement un contenu, un but qui doit être réalisé, dans la réalité, avec les moyens
de la réalité. La liberté de la volonté .est d'abord la volonté de réaliser le but, et elle n'est rien
d'autre.” Nessa etapa, o homem é livre em si, mas não para si, pois possui apenas a certeza de
sua liberdade, mas não a (cons)ciência dela. – 34
“la politique est la science de la volonté raisonnable dans sa réalité efficace (Wirklichkeit), la
science de la réalisation historique de la liberté, de la réalisation positive de la négativité. La
liberté n'est positive et n'agit que dans la mesure où objectivement- qu'elle en soit ou non
consciente - elle est raisonnable, c'est-à-dire universelle :la liberté concrète n'est pas
l'arbitraire de l'individu, impossible à penser, impossible à réaliser, et l'homme est libre dans la
mesure où il veut la liberté de l'homme dans une communauté libre.”
[nota de rodapé 24 : Não devemos perder de vista a dimensão histórica dessa realização da
liberdade. A realização não se completa, caso contrário a História terminaria. A realização é
sempre relativamente completa. Ou seja, há sempre uma incompletude relativa. Um
descompasso entre o pensamento da época e sua realização. O passo seguinte nunca virá dos
portadores do pensamento da época, mas através do elemento insatisfeito]- 36
La personne et le sujet
Da mesma forma que a pessoa pode colocar sua vontade em um objeto, pode retirá-la, daí o
surgimento do contrato. A formação de uma vontade comum. Mas essa vontade ainda não é
racional e universal. Ela pode falsear. – 37 – Nessa dimensão incompleta da liberdade, o
criminoso nega a pessoa do outro. Ao negar a totalidade da pessoa do outro, acaba por negar
também a sua própria. Por isso, ele também “quer” a sanção. O crime e a ilegalidade
evidenciam a justiça como objeto da vontade, opondo-se à liberdade ainda arbitrária. “la
personne du droit n'est plus l'homme tout entier : il se sait volonté individuelle; mais dans sa
volonté individuelle, il se veut universel : pour employer la terminologie hégélienne, ·la
personne devient sujet.” - 38
Rousseau et Kant
(…)
III. L’État comme réalité de l’idée morale
L’État comme fin en lui-même (Selbstzweck)
" L'homme, dit Hegel,· est libre : cela veut dire que, dans un Etat libre, il peut posséder et
utiliser et consommer et s'entendre avec d'autres hommes; c'est-à-dire, ensuite, qu'il ne
reconnaît pas comme valable pour lui ce qu'il ne reconnaît pas comme sa propre décision
raisonnable; c'est aussi dire que cette liberté est celle de l'homme raisonnable qui ne
considère comme décision sienne que la décision universelle qui vise le Bien universel, la
décision raisonnable, qui est décision de l'homme dans l'individu. Mais la liberté ne saurait
être réelle que dans un monde de la raison, dans un monde déjà (c'est-à-dire historiquement)
organisé, dans la famille, dans la société, dans l'État." – 44
(…)
" Tout l'essentiel est contenu dans ces deux paragraphes [§257-8]. L'idée morale, existante
dans la famille et dans la société, ne se révèle comme pensée que dans l'Etat. L'homme privé
agit, mais son action ne vise pas l'universel que, pourtant, elle réalise : le membre de la société
travaille, et, en travaillant pour lui-même, travaille pour tout le monde; mais il ignore que son
travail est l'universel, et par conséquent le monde du travail est un monde extérieur à ses
habitants, un monde qui se fait sans vouloir se faire. Dans l'Etat, la raison est présente; car le
citoyen est ‘la conscience particulière élevée à son universalité’, et l'Etat est la volonté de
l'homme en tant qu'il veut raisonnablement, en tant qu'il veut (nous rappelons la définition
hégélienne) la volonté libre. Et cela sans aucune hypostase mythique ou magique : cet Etat a sa
réalité dans la conscience des individus, des personnes, qui, par cette conscience même,
cessent d'être des personnes purement privées. L'Etat est réel dans le sentiment patriotique
de ses citoyens, de même que le citoyen est concrètement libre en reconnaissant dans l'Étal la
liberté concrète, c'est-à-dire (car c'est la même chose) le champ de l'action raisonnable."
Nessa formulação, parece que contra o Estado há apenas opinião, desejo individual. A vontade
individual parece contar pouco, já que a consciência moral foi sublimada [aufgehoben] através
da realização do Estado. - 46
Le christianisme
" parce que le christianisme est la religion de la vérité et de la liberté, non seulement il peut,
mais il doit se penser : en tant que religion, il se réalise sous la forme de la représentation, de
l'image, mais d'une représentation qui à – 47 - chaque moment admet et demande la
transposition dans le langage du concept. Et puisque le christianisme est fait de liberté et de
vérité, un Etat qui ne serait pas chrétien dans ses fondements ne serait pas État de la liberté."
Porém, isso não tornará o Estado um Estado cristão, pois a religião não é algo separado,
transcendente e superior ao Estado. A fé individual é inviolável, enquanto permaneça uma
questão de foro íntimo. Em tese, não haveria conflito entre Estado e religião, mas havendo o
primeiro prevalece. – 48 – Apenas o Estado age com consciência (propriamente dita e livre),
não as Igrejas. “Il est chrétien, dans ce sens qu'il réalise sur terre et raisonnablement ce qui
constitue le contenu de la religion sous la forme de la représentation et dans le mode du
sentimento.” Essa é uma crítica (não tão) implícita de Hegel ao catolicismo e sua interferência
nos assuntos de Estado. – 49 [nota de rodapé 10: “lSelon .Hegel, aucun compromis n'est
possible entre la transcendance catholique et I'État moderne, qui n'est moderne et Étal de la
raison que dans la mesure où il réalise dans la réalité vivante ce la religion oppose comme
principe transcendant à la vie terrestre. Il n'y a pas, pour Hegel, d'État catholique et
raisonnablement libre, parce que la conscience catholique considère l'État comme
essentiellement immoral (ou amoral) : la liberté pourra être imposée à un peuple catholique,
mais, en tant qu'imposée, elle ne sera pas reconnue comme morale”]
O Estado é a realização da razão, enquanto a moral tem estatuto parecido com a opinião
frente à ciência [§137]. O Estado, como construção racional, não poderia simplesmente se
abandonar à consciência moral e à convicção pessoal. – 53
“C'est que l'Etat est raison dans et par· la loi, - non point par une loi transcendante et
mystérieuse, mais par ses lois, par son règlement universel des affaires particulières, par la
pensée qu'il consacre à l'élaboration toujours plus pure des principes d'une existence libre, d
·une forme de la communauté qui donne satisfaction à tout citoyen pensant, à tout homme
instruit et civilisé (gebildet) et qui a quitté aussi bien la grossièreté du désir immédiat que la
passivité du pur sacrifice pour s'élever à la pensée rationnelle (verständig) de l'inter-
dépendance des intérêts (…) L'Etat est raisonnable parce qu'il parle universellement, pour tous
et pour chacun, dans ses lois, et que tous et chacun trouvent reconnu par ses lois ce qui forme
le sens, la valeur, l'honneur de leur existence.” - 54
IV. La constitution
La monarchie constitutionnelle
" Voici : cet Etat est une monarchie, plus précisément, une monarchie constitutionnelle,
fortement centralisée dans son administration, largement décentralisée en ce qui concerne les
intérêts économiques, avec un corps de fonctionnaires de métier, sans religion d'Etat,
absolument souverain aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. En un mot, c'est l'Etat moderne
tel qu'il existe encore aujourd'hui partout, à une exception près, à la vérité importante aux
yeux de Hegel : le principe monarchique." - 56
Para o cidadão, a razão e a organização do Estado não devem apresentar-se como algo externo
– 58 -, mas como forma de reconhecimento do universal objetivo, pois através dele alcança
sua individualidade e seu interesse. Não há um mestre do Estado que implementa nele sua
vontade, como no Império romano. No Estado moderno, o indivíduo livre, a pessoa privada,
encontra no Estado sua organização e não uma organização que o aprisiona. [§260]
Le prince
O príncipe é o indivíduo que decide, mas não através de uma vontade particular, interesse
particular, arbitrariedade. Hegel fala expressamente que não se trata de despotismo, pois esse
é a ausência de leis. Ou seja a vontade particular (seja do príncipe, seja do povo) tem força de
lei [§278]. O príncipe não é algo separado e potencialmente oposto às outras partes do Estado.
Ele exprime a soberania na sua concretude. Sua prova da monarquia hereditária é, na verdade,
uma prova da necessidade da individualidade concreta como encarnação da vontade que
decide. Não da hereditariedade. – 60 – Sua função parece ser representar a continuidade
quase biológica do Estado [§280].
O principe deve usar seus poderes sempre no interesse da nação e com seu consentimento.
Eles apenas são empregados, ou possível, na medida em que a nação compreende seu
interesse. Não é o príncipe que formula os problemas ou articula as respostas. Mesmo a
escolha da solução depende de seus conselheiros. – 61 – Uma prova disso seria §280A, que
indica que Hegel talvez tenha sido mais radical nas suas aulas que nas suas publicações. - 62
La souveraineté populaire
Apesar do lugar reduzido do príncipe, Hegel não vê lugar algum para a ideia de soberania
popular [§279]. Não há soberania do povo contra o príncipe. O povo sem o príncipe e sua
organização é uma massa disforme. Não é um Estado. – 62 – Porém já vimos antes o lugar dos
direitos dos indivíduos na concepção do Estado. Os cidadãos não são uma massa disforme sem
direitos e sem lugar na construção da política, pois sem os cidadãos conscientes de si e para si
não há Estado. A afirmativa de Hegel contra a soberania popular, portanto, parece representar
uma desconfiança em relação aos movimentos revolucionários, mais precisamente o
movimento nacionalista étnico que levaria à 1848. Hegel é contrário à ideia de Grande
Alemanha.
Ainda assim, não podemos perder de vista que, para Hegel, é o Estado e a história – 63 – que
formam um povo e não o contrário. - 64
Le parlement
Ao povo, resta o Parlamento ou, como diz Hegel, os estamentos. O povo delibera através da
forma que se constitui na sociedade, através dos estamentos: uma câmara alta forma por
proprietários de terra; uma câmara baixa formada por membros da sociedade em geral, não
necessariamente eleitos, sem mandato imperativo, não representam indivíduos, mas
interesses objetivos de corporações.
"Pas d'élection directe, représentation des intérêts de la société par des délégués
qu'aujourd'hui on qualifierait de corporatifs, fonction parlementaire limitée à deux buts
:contrôle de l'administration (encore Hegel croit-il que ce contrôle est exercé plm efficacement
par la hiérarchie) et, par le vote des lois, participation des citoyens à l'Etat dans ce sens qu'ils
savent que les affaires qui restent - 66 - pratiquement entre les mains de l'administration sont.
Leurs affaires et sont menées dans leur intérêt et avec leur consentement; ils se savent
reconnus par l':Etat et dans l':Etat en ce qu'ils sont concrètement, c'est-à-dire selon leur
participation au travail de la société. " [§261] – 67
L'État et la société
O parlamento une o Estado-administração com a sociedade do trabalho, mas continuam
separados um do outro. A cidadão trabalha na sociedade. O funcionário administra a
sociedade na sua unidade.
“Aussi rien n'est plus faux aux yeux de Hegel que la théorie selon laquelle l'État est le
défenseur de la société. Il n'y a pas d'Etat sans société : pour Hegel cela est aussi vrai que plat;
mais ce n'est que dans l 'État que la société s'organise selon la raison.” - 68
L'opinion publique
"Hegel : l’intéret ‘des Individus, de la societe et de l Etat’ a le droit d'être défendu contre
l'arbitraire de l'expression irresponsable, comme il a le droit d'être défendu contre les
doctrines religieuses ou prétendues scientifiques qui le mettent en danger " [§214] – 69
(...)
“la Philosophie du Droit est lui-même pour Hegel un phénomène historique, historique non
seulement dans ce sens que chaque Etat vit dans l'histoire, mais dans cet autre que la forme
même de l'Etat n'est qu'une forme passagère, forme qui, en ce moment, n'est pas dépassée
par l'esprit, mais qui n'est pas, non plus, indépassable et définitive. Ce n'est que de cette
manière que le problème de la politique hégélienne trouvera sa solution.” - 74
"Nous trouvons-nous donc devant une histoire des grand hommes, conception comparable à
celle de Carlyle (et de ses innombrables successeurs)? Certainement pas : le grand homme est
grand parce qu'il réalise ce qui est objectivement, selon le concept raisonnable de la liberté,
l'étape supérieure. Il est génie, c'est-à-dire, phénomène incompréhensible, seulement pour
celui qui n'en voit pas le rôle objectif et qui s'en tient à l'analyse psychologique de l'homme,
non selon sa grandeur, mais selon son humanité." – 84
(…)
"C'est l'insistance sur le caractère de plus en plus abstrait du travail parcellaire qui frappe dans
ce texte : ce n'est plus l'homme tout entier qui s'y donne (ce serait là le caractère concret au
sens hégélien), ce sont certaines facultés, certaines connaissances, de plus en plus limitées, de
plus en plus spécialisées, de plus en plus mécaniques : la machine prend la place de l'homme,
et l'homme se trouve en face d'un mode de vie qui a pour lui les caractères d'une ‘nécessité’ et
même d'une nécessité totale : contraire de la liberté." – 91
(…)
"Ce n'est pas par méchanceté que le prolétaire ne participe pas à l'Etat et à la civilisation, ce
n'est pas par préjugé qu'il n'a pas de patrie, qu'il manque du sentiment d'honneur, qu'il n'obéit
pas aux lois de la morale :la société est telle qu'elle produit nécessairement ce mal, et ce mal
restera aussi longtemps que l'État ne saura pas ou ne pourra pas imposer une organisation
raisonnable en vue de la réalisation de la liberté, de la reconnaissance de tous par tous."
[§244A] – 95
O mal/dano causado pela sociedade cria uma pseudo-natureza (inconsciente) que cria a
negatividade do populacho que não pode ser corrigida pela sociedade, pois a própria
sociedade não quis esse mal/dano. “La société est la cause de l'apparition de la populace. Elle
n'en est pas responsable, ne l'ayant pas voulu- puisqu'elle ne sait pas vouloir; mais aussi ne
sait-elle pas y rémédier” Essa pseudo-natureza cria um homem alienado, sem moral, sem fé,
sem formação, sem honra, sem família. Um homem que deixa de ser livre e cidadão. [§245] -
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