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REGLEMENT2 INTERIEUR

1) INTRODUCTION

1.1. Conformément à l’article L 122.33 du Code du Travail, ce règlement fixe les règles de disciplines
intérieures en rappelant les garanties dont leur application est entourée et précise, certaines dispositions
d’hygiène et de sécurité il vient en complément des dispositions conventionnelles applicables dans la
branche ou le secteur d’activité et le cas échéant, de l’accord d’entreprise.
1.2. Parce qu’il est destiné à organiser la vie de l’entreprise dans l’intérêt de tous, ce règlement s’impose à
chacun dans l’entreprise en quelque endroit qu’il se trouve (lieu de travail, cantine le cas échéant, cour,
parking). La hiérarchie est fondée à veiller à son application et à accorder des dérogations justifiées.
1.3. Les dispositions de ce règlement relatives à la discipline d’une part, à l’hygiène et la sécurité d’autre part
s’appliquent également aux intérimaires, ainsi qu’aux stagiaires présents dans l’entreprise et de façon
générale à toute personne qui exécute un travail dans l’entreprise, qu’elle soit liée ou non par un contrat de
travail avec celle-ci.
1.4. Des dispositions spéciales sont prévues en raison des nécessités de service pour fixer les conditions
particulières à certaines catégories de salariés dans certains secteurs ou services, elles font l’objet de notes
de service établies dans les mêmes conditions que le présent règlement dans la mesure ou elles portent des
prescriptions générales et permanentes dans les matières traitées par celui-ci.
1.5. Pour qu’il soit connu de tous, un exemplaire en est remis à chaque membre du personnel.

2) HORAIRES DE TRAVAIL

2-1. Les salariés doivent respecter l’horaire de travail tel qu’il leur a été transmis par planning.
2-2. Conformément à la législation en vigueur, la durée du travail s’entend du travail effectif, ceci implique que
chaque salarié se trouve à son poste de travail (en tenue) aux heures fixées pour le début et pour la fin du travail.

3) ACCES A L’ENTREPRISE

Le personnel DISTRISECURITE n’a accès aux locaux de l’entreprise sur lequel il est affecté que dans le cadre
de l’exécution de son contrat de travail, il n’a aucun droit d’entrée ou se maintenir sur les lieux de son travail
pour une autre ca use sauf s’il peut se prévaloir.

 Soit d’une disposition légale : disposition relative aux droits de la représentation du personnel ou des
syndicats notamment.
 Soit d’une autorisation de la direction de l’entreprise.
3-1. Il est interdit au personnel d’introduire ou de faire introduire dans l’entreprise cliente des personnes
étrangères sans raison de service, sauf disposition légale particulières (intéressant les représentants du personnel
ou des syndicats notamment) ou sauf autorisation de la direction.
3-2. Pour des raisons impérieuses de sécurité. La direction aura le droit de faire procéder à des vérifications des
objets dont le personnel est porteur tant à l’entrée qu’à la sortie. Ces vérifications pourront porter sur la personne
même des salariés, à l’aide d’appareils de détection appropriés, la vérification sera effectuée dans les conditions
préservant la dignité et l’intimité des personnes concernées dont le consentement sera dans la mesure du possible
recueilli en présence d’un tiers appartenant à l’entreprise ou d’un représentant du personnel.
En cas de refus, la direction pourra faire procéder à la vérification par un officier de police judiciaire.
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4) SORTIE PENDANT LES HEURES DE TRAVAIL

4-1. Les cas pour lesquels des autorisations de sorties peuvent être accordées sont les suivantes :
 Employé malade sur les lieux de travail regagnant son domicile.
 Evénement familiale grave survenant inopinément.
 Convocation impérative d’une administration.
 Convocation dans un centre de sécurité sociale.
 Visite médicale sur rendez-vous chez un spécialiste.
 Examens de laboratoire.
 Soins médicaux régulier sous réserve d’accord préalable de la direction.
 Heures de formations sous réserve d’accord préalable de la direction.
 Examens professionnels.
 Départ anticipé pour prendre un train dans le cas de congés pour événements familiaux.
o Dans tous les cas, les départs ne s’effectuent pas s’en prévenir son Chef de Poste ou sa
Direction. A cette fin, chacun en ce qui le concerne devra s’assurer qu’il détient bien les
numéros de téléphone de ses responsables.

5) DEPART DE L’ENTREPRISE

5-1. Lors de la cessation de son contrat de travail, tout salarié doit avant de quitter l’entreprise restituer le
matériel, documents et tenues de travail en sa possession, appartenant à la société DISTRISECURITE.
5-2. Il est interdit d’emporter des objets appartenant à l’entreprise sans autorisation de la Direction.
5-3. En cas de disparition renouvelées et rapprochées d’objets ou de matériel appartenant à l’entreprise ou au
client, la direction peut mettre en application l’article 3-2 du présent règlement.

6) USAGE DES LOCAUX DE L’ENTREPRISE

Les locaux de l’entreprise sont réservés exclusivement aux activités professionnelles de ses membres, il ne doit
pas y être fait de travail personnel. Les communications téléphoniques à caractère personnel reçues ou données
au cours du travail doivent être limitées aux cas d’urgence.
Il est interdit :
 D’introduire ou de faire introduire dans les lieux de travail des objets ou marchandises destinés à y être
vendus.
 D’introduire ou de faire introduire des alcools ou produits illicites sur les postes de travail.
 De faire circuler sans autorisation de la direction des listes de souscription ou de collecte des cotisations
syndicales et la diffusion de publications et tracts syndicaux pouvant être faits sans autorisation dans les
conditions prévus par la loi.
 D’utiliser le téléphone mis à disposition pour des appels personnels
 D’utiliser internet à des fins personnels.
 D’utiliser des lecteurs portables (tv, dvd, ordinateur portable …).
7) EXECUTION DES ACTIVITES PROFESIONNELLES
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7-1. Dans l’exécution des tâches qui lui sont confiées, chaque membre du personnel est tenu de respecter les
instructions qui lui sont données par ses supérieurs hiérarchiques.

8) RETARD-ABSENCES

8-1. Tout retard doit être justifié auprès de son Chef de Poste ou de sa Direction. Les retards réitérés non justifiés
peuvent entraîner l’une des sanctions prévues par l’article 10 du présent règlement.
8-2. L’absence pour maladie ou accident devra sauf cas de force majeure, être justifiée dans un délai de 48h00
maximum, par l’envoi d’un certificat médical indiquant la durée probable de l’absence.
8-3. Les absences pour accident du travail doivent faire l’objet d’un envoi par lettre recommandé d’un rapport
circonstanciel dans les 48h00. Ce rapport doit contenir :
 Poste de travail prévu le jour de l’accident : horaire et lieu.
 Horaire de l’accident.
 Circonstance.
 Témoin éventuel de l’accident.
Il est à noter que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie peut dans le cas d’une non transmission dans les délais
du rapport d’accident suspendre ou refuser votre indemnisation en accident du travail.
Dans ce cas l’employé uniquement supportera les pertes dues à la non transmission dans les délais prévus.
8-4. Toute absence autre que l’absence pour maladie ou accident doit être justifiée dans les trois jours
maximums, sauf cas de force majeure.
Toute absence non justifiée dans ces conditions fera l’objet d’une sanction, il en est de même de sortie anticipée
sans motif légitime ou sans autorisation (voir ci-dessus ARTICLE 4), sauf pour les personnes appelées à
s’absenter de façon régulière en raison de leur fonction ou d’un mandat syndical.

9) INTERDICTION ET SANCTION DU HARCELEMENT SEXUEL ET MORAL

9-1. L’article L 122-46 du Code du Travail dispose que :


 Aucun salarié ne peut être sanctionné ni licencié pour avoir subi ou refusé de subir les agissements de
harcèlement d’un employeur, de son représentant ou de toute personne qui abuse de son autorité qui lui
confierait ses fonctions à donner des ordres ou exercer des pressions de toute nature sur ce salarié dans
le but d’obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d’un tiers.
 Aucun salarié ne peut être sanctionné ni licencié pour avoir témoigné des agissements définis à l’alinéa
précèdent ou pour les avoir relatés.
 Toute disposition ou tout acte contraire est nul de plein droit.
9-2. L’article L122-47 dispose qu’est passible d’une sanction disciplinaire tout salarié ayant procédé aux
agissements définis à l’article L 122-46.
9-3. En conséquence tout salarié de l’entreprise dont il sera prouvé qu’il se sera livré à de tels agissements fera
l’objet d’une des sanctions énumérées à l’article 10-2, cette sanction étant précédée de la procédure rappelée à
l’article 11.
9-4. Aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour effet une dégradation
des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et sa dignité, d’altérer sa santé physique ou
mentale ou de compromettre son avenir professionnel.
Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte,
notamment en matière de rémunération, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de
contrat pour avoir témoigné de tels agissements ou les avoir relatés.
Toute rupture du contrat de travail qui en résulterait, toute
5 disposition ou tout acte contraire est nulle de plein
droit.
9-5. Est passible d’une sanction disciplinaire tout salarié ayant procédé aux agissements définis ci-dessus.

10) SANCTIONS DISCIPLINAIRES

10-1. Tout agissement considéré comme fautif pourra en fonction de sa gravité faire l’objet de l’une ou l’autre
des sanctions classées ci-après par ordre d’importance.
10-2. Tenant compte des faits et circonstances, la sanction sera prise sans suivre nécessairement l’ordre de
classement :
 Avertissement : observation écrite destinée à attirer l’attention.
 Mise à pied disciplinaire de 6 jours maximum, suspension temporaire du contrat sans rémunération.
 Mutation disciplinaire avec changement de poste à titre de sanction.
 Rétrogradation : affectation à une fonction ou un poste différent et de niveau inférieur.
 Licenciement disciplinaire avec ou sans préavis et indemnités de rupture selon la gravité de la faute.

11) DROIT DE LA DIFFUSION ET DE LA DEFENSE

11-1. Toute sanction sera notifiée par écrit au salarié.


11-2. En outre toute sanction (sauf si la sanction envisagée est un avertissement ou une sanction de même nature
qui n’a pas d’incidence, immédiate ou non sur la présence dans l’entreprise, la fonction, la carrière ou la
rémunération du salarié) sera entamée des garanties de procédures prévues par les articles L 122-41, R 122-17, R
122-18 et R 122-19 du Code du Travail.

12) HYGIENE

12-1. Il est interdit de pénétrer ou demeurer dans l’établissement en état d’ivresse ou sous l’emprise de la drogue.
Il est interdit d’introduire, de faire introduire ou de distribuer dans les locaux de travail de la drogue ou des
boissons alcoolisées.
12-2. clause de réglementation de l’usage de l’alcool.

1 - Conformément aux instructions qui lui sont données, il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en
fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de sa santé, ainsi que de celles des autres
personnes concernées du fait de ses actes ou de ses omissions au travail.

2 - Il est interdit à toute personne d’introduire ou de distribuer, et en général à toute personne ayant autorité sur
les ouvriers, employés, de laisser introduire ou de laisser distribuer dans les établissements et locaux pour être
consommées par le personnel toutes boissons alcooliques. Les boissons énumérées à l'article R. 4228-20 du
Code du travail (c’est-à-dire le vin, la bière, le cidre, le poiré, l'hydromel non additionnés d'alcool) pourront
éventuellement être distribuées et consommées dans l'enceinte du restaurant d’entreprise, et lors des réunions
autorisées par la direction.

3 - Tout « pot de l’amitié » doit avoir reçu une autorisation préalable du chef d’établissement mentionnant
l’horaire et le lieu de la manifestation et rappelant l'interdiction de boissons alcooliques.

4 - Il est interdit à toute personne d’introduire ou de distribuer, et en général à toute personne ayant autorité sur
les ouvriers, employés, de laisser entrer ou séjourner dans les établissements des personnes en état d'ivresse.
Un état d’ivresse est suspecté lorsque plusieurs signes 6 sont constatés tels que troubles de l’élocution, de
l’équilibre, du comportement, refus des règles de sécurité, odeur spécifique de l’haleine alcoolisée, détention ou
consommation d’alcool.

En cas de suspicion d’une ivresse d’origine alcoolique, un alcootest peut être pratiqué :

- à toute personne affectée à l'exécution de certains travaux dangereux, à la manipulation de matières et


produits dangereux, à la conduite de véhicules;
- par le supérieur hiérarchique ou un responsable dûment mandaté par l'employeur ou le chef d’établissement.
Le salarié sera informé de la possibilité qu'une tierce personne soit présente lors de l'alcootest et de la possibilité
de procéder à une contre-expertise.

5 - Tout salarié effectuant une activité à risque pour sa sécurité ou celle de tiers pourra être soumis à un contrôle
d’alcoolémie par alcootest dans les conditions précitées. Ces contrôles sont réalisés selon les modalités
suivantes : Manière aléatoire et uniquement dans le but d’assurer la sécurité des salariés présents sur le site.

12-3. L’horaire du repas, pris sur le lieu de travail, vu la spécificité du poste, est aléatoire et est laissé à
l’appréciation du salarié. Il est en fonction de la baisse d’activité du site.
12-4. La direction se réserve le droit de procéder à des contrôles d’alcootest sur les agents conduisant des
véhicules avec du personnel à bord et sur tous les agents chargés de la surveillance des biens ainsi que la sécurité
des personnes. Un alcootest sera mis à disposition de tout salarié qui contesterait son état d’imprégnation
alcoolique, pour lui offrir la possibilité d’en faire la preuve. Ce contrôle pourra être fait par tout supérieur
hiérarchique et conduire à une sanction et pouvant aller jusqu’au licenciement.
12-5. Le refus du salarié de se soumettre aux obligations relatives à l’hygiène peut entraîner l’une des sanctions
prévue au présent règlement.

13) SECURITE ET PREVENTION

13.1. Chaque membre du personnel doit avoir pris connaissance des consignes de sécurité qui sont affichées dans
chaque établissement et avoir conscience de la gravité des conséquences possible de leur non-respect.
13.2. Il est interdit de manipuler les matériels de secours (extincteurs, brancards) en dehors de leur utilisation
normale et d’en rendre l’accès difficile.
13.3. Il est interdit de neutraliser tout dispositif de sécurité.
13.4. Tout accident, même léger, survenu au cours du travail (ou du trajet) doit être porté à la connaissance du
chef du personnel le plus rapidement possible.
13.5. En application des dispositions légales en vigueur, le personnel est tenu de se soumettre aux visites
médicales obligatoires périodiques ainsi qu’aux visites d’embauches et de reprise.
13.6. Le refus du salarié de se soumettre aux prescriptions relatives à la sécurité et aux visites médicales peut
entraîner l’une des sanctions prévues au présent règlement.
13.7. Dans le cadre de ses fonctions, l’agent ne doit en aucun cas détenir ou se servir quelconque arme de
catégorie. De même il ne doit en aucun cas faire usage de la force physique.
13.8. Pour les agents cynophiles, leurs chiens doivent être tenus en laisse et muselés.
13.9. Dans le cadre de leur mission, les agents peuvent être témoins d’attaques à mains armées, dans ce cas ils se
doivent de n’intenter aucune action pouvant entraîner une réaction virulente et violente des éventuels agresseurs,
occasionnant des blessures graves des agents ainsi qu’aux clients des établissements.
13.10. Il est strictement interdit de soutenir des discussions avec les membres du personnel des établissements
pour lesquels l’agent est affecté, sa fonction étant la surveillance des établissements, il se doit d’avoir une
attention permanente. La direction se réserve le droit7de sanctionner tout salarié qui contreviendrait à cette
prérogative.
13.11. Pour leur sécurité et la sécurité des établissements, les agents se doivent de rester éveillés et ne peuvent en
aucun cas dormir sur les différents sites sur lesquels ils sont affectés.

14) CONGES PAYES

Le non-respect des dates de départ et de retour peut entraîner l’une des sanctions prévues au présent règlement.

Les périodes de congés payés estivales sont cycliques par la mise en place de période maximal de 2 semaines.
Le premier jour de congé étant obligatoirement un lundi et le dernier jour un dimanche.
Les souhaits des agents devant être transmis à la direction DISTRISECURITE avant le 28 février de chaque
année, la direction DISTRISECURITE leur répondant pour le 31 mars de chaque année.
Il est bien entendu, que la société DISTRISECURITE se réserve le droit de modifier les dates de départ et de
retour des agents en fonction des impératifs de bon fonctionnement du service.

15) TENUE VESTIMENTAIRE

L’employé est tenu de respecter la tenue réglementaire en fonction des ses postes de travail. Cette dernière
fournie par la société se détermine comme suit :

 Pantalon bleu marine avec bande blanche réfléchissante.


 Parka haute visibilité avec logo DISTRISECURITE.
 Gilet rétro-réfléchissant.
 Pull noir avec logo DISTRISECURITE.
 Polo haute visibilité avec logo DISTRISECURITE.
 Badge avec porte badge.
 Carte professionnelle.
Le non-respect de ces tenues peut entraîner l’une des sanctions prévues au présent règlement. Il en est de même
si ces tenues ne sont pas portées avec respect, à savoir : propres, repassées et exemptes d’accrocs ou de
déchirures.

16) VISITE MEDICALE

Conformément au décret du 28 juillet 2004 modifiant l’article R. 241-49, chaque salarié bénéficie s’examens
médicaux périodiques, au moins tous les vingt quatre mois, en vue de s’assurer du maintien de son aptitude
médicale au poste occupé. Le non respect de la convocation à la visite médicale entraînera une imputation sur le
salaire de la somme de l’amende reçu par la société.

17) PLANNING

17.1. Les plannings seront reçus au plus tard 7 jours avant le début du mois suivant, soient par Email personnel,
ou Email du poste de garde ou courrier recommandé avec accusé de réception ou remise en main propre à
l’intéressé. Il est à noter que ce planning pourra être modifié pour une question de bon fonctionnement de
l’entreprise, dans les règles de la Convention Collective.
17.2. Les plannings ne peuvent s’échanger ou s’inverser sans une demande écrite avec une validation par la
direction.
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18) DATE D’ENTREE EN VIGUEUR

Ce règlement remplace et annule le règlement mis en place le 1 er décembre 2007. Il rentre en vigueur le 20 juillet
2012, il a été préalablement affiché conformément aux dispositions du Code du Travail et déposé au secrétariat
du conseil des prud’hommes de Versailles, ainsi qu’au cabinet de l’inspection du travail de Versailles.

19) MODIFICATIONS ULTERIEURES

Toute modification ultérieure ou tout retrait de clause de ce règlement serait conformément au Code du Travail
soumise à la même procédure étant étendu que toute clause du règlement qui deviendrait contraire aux
dispositions légales, conventionnelles ou réglementaires applicables à l’entreprise du fait de l’évolution de ces
dernières serait nulle de plein droit.

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