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LE MARKETING DIGITAL

         INTRODUCTION  AUX  FONDAMENTAUX  PAR  LA  SOCIÉTÉ  LIKE  2.0  

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SOMMAIRE
1.  Contexte  
2.  Méthodologie    
3.  Défini5on  du  marke5ng  digital  
4.  Les  médias  digitaux  
5.  Les  bénéfices  du  digital  
6.  Nouveaux  modèles  d’affaires  
7.  La  communica5on  digitale  
8.  SEM  (SEO-­‐  SEA-­‐  SMO)    
9.  E-­‐mail  marke5ng    
10.  Mobile  marke5ng  (SMS  &  Mobile  App)    
11.  Social  media  marke5ng    
12.  Conclusion  
13.  Références  

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I. CONTEXTE
 COMMENT  LE  DIGITAL  TRANSFORME  L’AFRIQUE    ?  

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CONTINENT DEMUNI
OU
NOUVEAU GEANT ECONOMIQUE ?
L’AFRIQUE, MAIS QUELLE AFRIQUE ?

§  Plus d’1 milliard d’habitants


§  Superficie > USA + Chine
+ Europe + Inde
§  1000 langues
§  54 pays
L’AFRIQUE SE DIGITALISE…

167 millions d’internautes (Internet World Stats, 2012)


50% de la population accède à Internet au cours d’un mois
…MAIS RESTE EN RETARD

13,5 % des Africains ont accès à l’Internet (Internet World Stats, 2012)
Les africains représentent seulement 10 % des internautes dans le monde
LE DIGITAL A IMPACTÉ LA POLITIQUE

USHAHIDI est un site Internet qui permettait de géolocaliser les violences


suite aux élections présidentielles de 2007 au Kenya
LE DIGITAL A IMPACTÉ LA POLITIQUE

Importance des réseaux sociaux dans la mobilisation des manifestants


pendant les révolutions arabes de 2011
LE DIGITAL A IMPACTÉ L’ÉCONOMIE

 Le  secteur  des  TIC  représente  globalement  5%  du  PIB  de  la  
plupart  des  pays  africains  
  10%   de   croissance   de   pénétra5on   mobile   engendre   une  
croissance  de  1,2%  du  PIB  d’un  pays  africain  
L’AFRIQUE SE SOCIALISE

Les sites les plus visités dans la majorité des pays sont :
Facebook, Twitter et YouTube
Les réseaux sociaux représentent 1/5 du temps passé sur
Internet
L’AFRIQUE SE SOCIALISE

LES  PAYS  LES  PLUS  CONNECTÉS  


À  FACEBOOK  
   
   Seychelles  :  28%  

   Tunisie  :  28%  
 
   Maurice  :  24%
SocialBakers,  2012  
EGYPTE EST
LE 1ER PAYS EN NOMBRE DE
FACEBOOKERS
AFRIQUE DU SUD
A ÉTÉ LE 1ER PAYS
EN NOMBRE DE TWEETS
L’AFRIQUE SE MOBILISE

90% des téléphones en Afrique sont des mobiles


735 millions d’abonnés mobiles (fin 2012)
L’Afrique est le 1er continent en terme de « m-paiement »
(Informa Telecoms & Media, 2012)
L’AFRIQUE SE MOBILISE
IL EXISTE UNE FRACTURE
NUMERIQUE EN AFRIQUE
SUBSAHARIENNE
L’AFRIQUE INNOVE

Elikia est le 1er Smartphone


conçu en Afrique

Commercialisé depuis 2012 au Congo


pour 130 €
L’AFRIQUE S’ADAPTE

iCow informe les éleveurs des périodes de gestation, d'alimentation et de traite


de chacune de leurs vaches
L’AFRIQUE  A  ENCORE  DES  DÉFIS  

Les  femmes  sont  en  moyenne  25%  moins  nombreuses  que  les  hommes  à  avoir  
accès  au  web  (Rapport  Intel  «  Women  &  Web,  2012)  
II. METHODOLOGIE
QUELQUES  NOTES  SUR  NOTRE  METHODE  DE  TRAVAIL  

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Un  monde  digitalisé,  c’est  pour  les  marques,  à  la  fois  une  très  forte  complexité  dans  
leur  capacité  à  définir  une  stratégie  et  la  me`re  en  œuvre,  mais  surtout  de  
formidables  opportunités  d’innova5ons  marke5ng.  
Les  marques  performantes  seront  celles  qui  seront  capables  de  profiter  de  la  
digitalisa5on  du  monde,  en  se  créant  de  nouvelles  opportunités,  tout  en  
considérant  que  c’est  avant  tout  du  marke5ng  :  le  digital  n’est  pas  une  finalité,  c’est  
un  moyen.  
Ce  monde  de  plus  en  plus  digitalisé  implique  de  se  réinventer  c’est  pourquoi  nous  
avons  réalisé  ce  module  d’introduc5on  au  marke5ng  digital  des5né  aux  
professionnels  du  Marke5ng  en  Afrique,  plus  par5culièrement  en  République  
Démocra5que  du  Congo.  
 
Il  ne  s’agît  pas  d’une  méthode  académique  tradi5onnelle  mais  d’un  cadre  de  
réflexion  personnalisable  perme`ant  d’abou5r  de  façon  simple  et  séquencée  à  des  
idées  à  fortes  valeurs  ajoutées  et  une  différencia5on  sur  un  marché.  
 
Cet  ou5l  a  pour  voca5on  d’aider  les  professionnels  du  mé5er  à  générer  
durablement  et  d’arbitrer  plus  rapidement  de  véritables  innova5ons  marke5ng  qui  
font  sens  pour  leurs  u5lisateurs.  

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III. DEFINITION
QU’EST-­‐CE  QUE  LE  MARKETING  DIGITAL  ?  

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L’usage d’Internet et des autres technologies
numériques à des fins commerciales a donné
naissace à une multitudes de termes utilisés par les
professionnels.

Ce jargon change constamment, le terme de


“marketing digital” est assez récent, on désignait
dans le passé ces pratiques par les termes suivants:
web marketing, e-marketing, internet marketing ou
même marketing numérique.

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Marketing traditionnel:
Uniformisation des valeurs
Marketing de masse

Marketing digital:
Cas par cas, groupes d intérêts
consommateurs informés
marketing one to one

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NOTRE DEFINITION

Nous pouvons définir le MARKETING DIGITAL


comme “l’atteinte d’objectifs propres au
marketing (image, préférence, engagement de
clients, taux de rétention, ventes, parts de
marchés…) grâce à l’usage de technologies
numériques”.

Ces technologies comprennent:


les ordinateurs, les tablettes et les téléphones
mobiles.

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Le marketing digital suppose de gérer la
présence de l’organisation sur l’ensemble des
médias et des plates-formes en ligne:
websites, moteurs de recherche, réseaux
sociaux, applications pour téléphone, e-mail
marketing, sms marketing, …)

Le rôle du digital est essentiel pour pratiquer


un marketing cross-canal (appelé marketing
intégré ou marketing à 360°).
Pour que le marketing digital soit une réussite,
il est nécessaire d’intégrer ces technologies
avec les pratiques traditionnelles comme le
print (brochures, flyers, affiches, …)

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Modèle marketing traditionnel  

Cible  

Entreprise   CONTENU   MEDIA   Cible  

Cible  

Cible  

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E  
C   E  
E  
CONTENU  

C   CONTENU   MEDIA   CONTENU   E  

CONTENU  

 
C  
  Modèle marketing digital  
C  

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L’APPROCHE  DU  MARKETING  DIGITAL  

 L expertise informatique et l information


sur le client seront les pierres angulaires
pour rejoindre chaque client selon ses
préférences et ses valeurs.

 Les acheteurs et vendeurs ont une


connaissance quasi parfaite de l offre et de
la demande pour un produit donné.  

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L’APPROCHE  DU  MARKETING  DIGITAL  

Pour Don Tapscott, auteur de The digital


Economy et Growing Up Digital:
«la fin de la diffusion (broadcasting) est
proche...Il n y aura plus de prime time mais
du my time. L image de la marque, que les
publicitaires tendent de mousser, n existera
plus. Plus d image, qu une relation de valeur
avec l individu».

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IV. LES MEDIAS DIGITAUX
LES  3  TYPES  DE  MEDIAS  DIGITAUX    

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LES  PRINCIPAUX  MEDIAS  
LES MEDIAS ACHETES (PAID)
L’entreprise paie pour être visible: présence sur les moteurs de
recherche, diffusion de bannières et autres formats display,
présence sur des sites affiliés…

LES MEDIAS DETENUS (OWNED)


L’entreprise possède ses propres médias: site internet, page sur les
réseaux sociaux, mobile app, …

LES MEDIAS GAGNES (EARNED)


L’entreprise cible des journalistes afin que ceux-ci parlent de ses
produits/services : bloggeurs, trend-leaders, …

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LES  SPECIFICITES  DES  MEDIAS  DIGITAUX  
INTERACTIVITE:
-  Le client est à l’initiative du contact (communication « PULL » et non « PUSH »)
-  Le client recherche l’information mais aussi une expérience client différente
-  Les médias digitaux permettent un plus grande intensité de communication
-  L’organisation peut stocker des informations sur le client avec des dispositifs d’identification et de « tracking »
-  Les besoins individuels sont pris en compte lors de dialogue entre le client et la marque

INTELLIGENCE:
-  On peut utiliser le Web comme espace pour conduire des étude de marché à moindre coût
-  Les démarches Web Analytics permettent d’avoir des reporting poussé sur les prospects et clients

INDIVIDUALISATION:
-  Individualiser les messages pour un coût raisonnable
-  Augmente la pertinence du message

INTEGRATION:
-  Saisir des offres vues dans les canaux traditionnels (TV, Affichages…)
-  Contacter directement un conseiller de l’entreprise (click to chat ou call back)
-  Aide à une décision d’achat off-line
-  Service après-vente (FAQ, conseillers virtuelles, …)

IINTERMEDIATION:
-  Moteur de recherche
-  Les sites d’avis
-  Les réseaux sociaux

INTERDEPENDANCE GEOGRAPHIQUE:
-  Géolocalisation des clients
-  Vente à l’internationale
-  La distance disparaît

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V. LES BENEFICES DU DIGITAL
LES  5S  DU  MARKETING  DIGITAL  

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QUELS  SONT  LES  OBJECTIFS  ATTEINTS  ?  
IDENTIFIER LES EXIGENCES DES CLIENTS:
Les plates-formes et technologies digitales peuvent être utilisées pour
la réalisation d’études marketing pour identifier les besoins, les freins,
les attentes et les désirs des consommateurs.

ANTICIPER LES EXIGENCES DES CLIENTS:


Permettre aux internautes de s’informer et/ou réaliser des achats.
L’analyse des requêtes ou des comportements de navigation permet de
comprendre les besoins latents des clients.

SATISFAIRE LES EXIGENCES DES CLIENTS:


L’un des facteurs clés est d’atteindre un niveau élevé de satisfaction en
améliorant par exemple l’accessibilité du site ou le dispositif du service
client.

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LES  5S  DU  MARKETING  DIGITAL  

Les bénéfices du marketing digital sont définis par les 5S:

1.  SELL (« Vendre » - augmenter les ventes)

2.  SERVE (« Servir » - ajouter de la valeur)

3.  SPEAK (« Converser » - se rapprocher des clients)

4.  SAVE (« Economiser » - réduire les coûts)

5.  SIZZLE (« Dynamiser » - étendre la marque en ligne)

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VI. NOUVEAUX MODELES D’AFFAIRES
CONSOMMATEURS,  ENTREPRISES  ET  ADMINISTRATIONS    

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TYPOLOGIES  TRADITIONNELLES  

BUSINESS TO CONSUMER (B2C)


De l’entreprise au consommateur
(ex: vendre des fruits au détail)

BUSINESS TO BUSINESS (B2B)


De l’entreprise à l’entreprise
(ex: fournir des entreprises de jus en fruits)

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TYPOLOGIES  TRADITIONNELLES  
BUSINESS TO GOVERNMENT (B2G)
De l’entreprise au gouvernement
(ex: vendre des fournitures à l’Etat)

GOVERNMENT TO BUSINESS (G2B)


Du gouvernement à l’entreprise
(ex: appel d’offre de l’Etat)

GOVERNMENT TO CONSUMER (G2C)


Du gouvernement au consommateur
(ex: recrutement de l’armée nationale)

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NOUVEAUX  MODELES  D’AFFAIRES  
CONSOMMATEUR à CONSOMMATEUR (C2C):
CONSUMER TO CONSUMER
-  Vente en ligne (e-Bay)
-  Peer to peer (skype)
-  Recommandations de produits
-  Réseaux sociaux

CONSOMMATEUR à ENTREPRISE (C2B):


CONSUMER TO BUSINESS
-  Site de deals (Groupon)
-  Sites d’avis (Test-Achats)
-  Communauté de client (SAS Forum)

CONSOMMATEUR à ADMINISTRATION (C2G):


CONSUMER TO GOVERNMENT
-  Feed-back aux administrations via des groupes de pression

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NOUVEAUX  MODELES  D’AFFAIRES  
CONSOMMATEUR au GOUVERNEMENT (C2G):
CONSUMER TO GOVERNMENT
-  Transactions avec les administrations (impot.gouv.fr)
-  Informations des administrations centrales et locales

GOUVERNEMENT au GOUVERNEMENT (G2G):


GOVERNMENT TO GOVERNMENT
-  Service inter-administratifs et échanges d’informations
(Trésor Publique)

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VII. LA COMMUNICATION DIGITALE
LES  CONCEPTS  SPÉCIFIQUES    

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INTRODUCTION  A  LA  COMMUNICATION  DIGITAL  

Pendant longtemps, les campagnes marketing reposaient sur


des médias dits traditionnels (TV, Radio, affichages, …).
Ces campagnes étaient appuyées par des efforts en relations
publiques avec la presse en particulier.

Malgré les spécificités propres au digital, de nombreuses


techniques sont une transposition des techniques
traditionnelles.
Par exemple l’achat de bannières publicitaires sur des sites
(display) est une transposition de la publicité presse ou télévisée
(achat d’espace).

Par ailleurs, le degré de personnalisation reste essentiel au


digital, permettant notamment d’ajuster la communication en
fonction du destinataire et de ses comportements.

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LES  CONCEPTS  SPECIFIQUES    

ENGAGEMENT:
-  Plus de communication persuasive
-  Faire en sorte que le client réagissent de manière positive
-  Le client « Like » et laisse des commentaires
-  Le client suggère à ses amis

PERMISSSION:
-  Plus de marketing interruptif (interrompre un programme pour la pub)
-  Consentement explicite à recevoir un email
-  Possibilité de désabonnement aux newsletters

LES CONTENUES:
-  Partage de contenus sur plusieurs plates-formes
-  Contenus à valeur ajoutée

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VIII. SEM (SEO – SEA – SMO)
LE  RÉFÉRENCEMENT    

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« Un site web peut être le plus beau du monde,
il ne vaudra rien si il n’est jamais consulté »

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NOTIONS
       

§ SEM    à  Search  Engine  Marke5ng  

§ SEA  à  Search  Engine  Adver5sing  (Google  Adwords)  

§ SEO  à  Search  Engine  Op5misa5on  

§ SMO  à  Social  Media  Op5misa5on  

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DEFINITIONS  
Search Engine Marketing =
Search Engine Optimization + Search Engine Advertising

On retrouve souvent cette définition donnée à l'aide des acronymes suivants :


SEM = SEO + SEA + SMO

Et voici quelques définitions  :

SEA : Acronyme pour "Search Engine Adverstising". Correspondant en français aux liens sponsorisés
vendus par les moteurs de recherche

SEM : Acronyme pour "Search Engine Marketing". Englobe le marché des liens sponsorisés (SEA) et du
référencement naturel (SEO)

SEO : Acronyme pour "Search Engine Optimization". Correspondant en français au Référencement (avec
un grand R)

SMO : Acronyme pour "Social Media Optimization". Correspondant en français au Référencement sur les
réseaux sociaux

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Quelle  est  la  différence  entre  le  référencement  et  le  posikonnement  d’un  site  ?  

Référencé  =  figurer  dans  l’index  d’un  moteur  de  recherche  


 
Posi5onné  =  être  visible  dans  les  résultats  d’un  moteur  

C’est  la  même  logique  que  dans  un  


supermarché.  Votre  produit  peut  être  
référencé,  mais  plus  ou  moins  bien  posi5onné.  

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SEO,  SEA,    A  QUOI  ÇA  RESSEMBLE  ?  

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LE  REFERENCEMENT  PAYANT:  SEA  =  GOOGLE  ADWORDS  
 
 
 

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LE  e-­‐commerce  n’est  pas  encore  assez  développé  en  RDC      
 
«  GOOGLE  ADWORDS  N’EST  PAS  INDISPENSABLE  AU  CONGO  !  »  
 

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LE  REFERENCEMENT  NATUREL:  SEO  
 
Le  meilleur  moyen  d’avoir    
un  bon  posiEonnement  des  pages  de  son  site    
 
 
1.  Faire  des  milliers  d’échanges  de  liens  
2.  Ajouter  du  contenu  à  son  site  
3.  Envoyer  des  milliers  de  mails  

«  Content  is  KING,  Opkmized  content  is  EMPEROR  !  »  


Olivier  Andrieu  

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A  QUOI  SERT  LE  SEO  ?  
Il  a  pour  objec5f  de  faire  figurer  à  la  meilleure  posi5on  possible  dans  les  résultats  
naturels  des  moteurs  de  recherche  les  pages  d’un  site  pour  une  requête  donnée.  
Il  peut  représenter  entre  20%  et  90%  du  trafic  d’un  site.  

Liens  naturels  (=organiques)  

Liens  sponsorisés  (=payants)  

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TECHNIQUES  DE  REFERENCEMENT  NATUREL  
LES  OPTIMISATIONS  «  ON  PAGE  »  
• La  balise  <ktle>  
 
•   C’est  le  5tre  de  votre  page    
•   Format  :  entre  7  et  10  mots  
•   Contenu  :  vos  expressions  clés  (maximum  2  fois)  

<5tle>votre  5tre  </5tle>  

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Le  contenu  visible  
•   C’est  le  cœur,  la  richesse  de  votre  page.  

•   Format  :  minimum  300  caractères  

•   Contenu  :  vos  expressions  clés  avec  une  densité  moyenne  entre  2  et  5%  

•   Règle  d’or        un  thème  par  page,  une  langue  par  page  
 
•   Soignez  vos  premières  phrases  
 
•   Me`ez  en  valeur  vos  expressions  clés      mise  en  gras  <B>  ou  <STRONG>  
 
•   Structurez  vos  idées          Titres  <H1>,  <H2>,  <Hn>    

•   Structurez  et  hiérarchisez  le  contenu  de  vos  pages  


 

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Le  contenu  visible  

Un  méker  :  rédacteur  Web  


 
Par  exemple  :    
 
 
«    Dans  une  verte  prairie  au  climat  doux  et  reposant,  vous  apprécierez  le  calme  et  la  
tranquillité  de  notre  gîte  »    
 
 
 
«  Notre  gîte  rural  dans  le  Bas-­‐Congo  vous  accueille  toute  l’année.  Très  calme  et  
proche  des  commerces,  laissez-­‐vous  séduire  par  ce  gîte  authen5que.  »  
 

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L’URL  
 
•   Choisissez  un  nom  de  domaine  contenant  un  ou  deux  mots  explicites.  
•   Format  :  séparez  les  mots  par  des  5rets  
•   U5lisez  les  sous-­‐domaines  (ex:  sousdomaine.domaine.fr)  et  les  dossiers  (ex:  
domaine.fr/keyword/page.html)    
•   Insérez  des  expressions  importantes  dans  l’in5tulé  complet  des  URLs  
•   Si  vos  URLs  ne  sont  pas  explicites,  optez  pour  l’URL  rewri5ng  

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Les  liens  internes  

 
•   Soignez-­‐les  :  ils  perme`ent  aux  robots  de  vous  connaître.    
•   Les  plus  simples  sont  les  meilleurs  :  <a  href=«h`p://www.monsite.fr»>Texte  du  
lien</a>  
•   Choisissez  bien  l’ancre  du  lien  :  évitez  les  «  Cliquez-­‐ici  »  
•   Evitez  les  liens  sur  les  images,  les  liens  JavaScript,  et  Flash  
•   Prenez  soin  du  maillage  de  votre  site  en  liant  autant  que  possible  les  pages  que  vous  
souhaitez  favoriser  

ex:  h`p://www.votresite.com/offre/marke5ngdigital  

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Les  balises  meta  

•   Elles  se  trouvent  en  haut  du  code  source  de  chaque  page  
•   Elles  fournissent  des  informa5ons  aux  moteurs  de  recherche  
•   Elles  ne  sont  pas  visibles  sur  la  page  

•   Balise  «  descrip5on  »  :  soignez-­‐la  absolument  car  elle  apparaît  dans  les  résultats  des  
moteurs    
•   Balise  «  keyword  »  :  elle  ne  compte  plus,  renseignez-­‐la  rapidement  quand  même  avec  20  
mots  maximum.    
•   Balise  «  Robots  »  :  indiquez  aux  robots  les  pages  qu’ils  peuvent  indexer  

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Les  autres  critères  

•   La  fréquence  de  mise  à  jour  du  site  


•   L’ancienneté  de  la  page  et  du  site  
•   Le  nombre  de  pages  du  site  
•   Le  temps  de  téléchargement  de  la  page  
•   La  validité  W3C  
•   Les  liens  externes  

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LE  PAGERANK  DE  GOOGLE  

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 SOCIAL  MEDIA  OPTIMIZATION  
 

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GOOGLE  AU  SERVICE  DU  SMO  

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FACEBOOK  AU  SERVICE  DU  SMO  

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TWITTER  AU  SERVICE  DU  SMO  

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YOUTUBE  AU  SERVICE  DU  SMO  

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SMO  +  SEO  =  OPTIMISATION  MAXIMALE  

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IX. E-MAIL MARKETING
INTRODUCTION  AUX  NOTIONS  DE  BASE  

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DEFINITION  DU  E-­‐MAIL  MARKETING  
Il s’agit d’utiliser des listes de diffusions détenues par l’entreprise (liste
des clients) ou louées à des prestataires (ex: Emailing RDC).
L’objectif est de diffuser des messages plus ou moins ciblés et
personnalisables.

Lorsque le message est envoyé à des particuliers (B2C), le


consentement des destinataires est obligatoire (opt-in).
Cette contrainte ne s’applique pas dans les relations entre
professionnels (B2B).

Les e-mails peuvent être transactionnels (pour déclencher une vente)


ou relationnels (pour informer de l’arrivée d’un nouveau stock, par
exemple)

On évalue les campagne d’email-marketing grâce aux métriques


suivants:

Taux de délivrance; Taux d’ouverture;Taux de clics

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LES  OBJECTIFS  DU  E-­‐MAIL  MARKETING  
-  RETENTION DE CLIENTS

-  PROMOTION DES VENTES

-  COLLECTE DE DONNEES CLIENTS

-  GENERER DES LEADS

-  NOTORIETE DE LA MARQUE

-  ACQUISITION DE CLIENTS

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LES  AVANTAGES  ET  INCONVENIENTS  
AVANTAGES INCONVENIENTS
-  Coût -  Difficultés de
d’exécution délivrabilité
faibles -  Rendu visuel
-  Média à réponse peut adapter
directe au mobile
-  Action -  Déclin du taux
immédiate de réponse
-  Déploiement
rapide
-  Personnalisation
facile
-  Intégration

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X. MOBILE MARKETING
SMS  MARKETING  ET  MOBILE  APPS  

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SMS  MARKETING  

En Afrique, près de 80% des utilisateurs d’Internet passe


par leurs téléphones mobiles.

Les GSM et Smartphones sont des médias efficaces à


prendre en compte dans son mix-communication.

L’envoi de SMS promotionnels est devenu un moyen


considérable pour atteindre sa cible, au même titre que
l’e-mail marketing.

Il existe une efficacité surprenante dans le taux


d’ouverture et de réponse aux SMS promotionnels.

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MOBILE  APPS  
Les usages d’Internet changent, il s’agit aujourd’hui de s’adapter à un nouveau phénomène :
le mobinaute.
Cette nouvelle espèce toujours collée à son Smartphone navigue de plus en plus sur le web
via ce petit objet ludique.

Développer une application ou un site mobile permet de proposer à ces mobinautes la


possibilité de consulter du contenu avec un format optimisée pour leurs terminaux, c’es- à-
dire proposant une ergonomie de grande qualité comparée à un site web non optimisé
pour un écran de petite taille.
Le Smartphone est aussi un des rares objets dont peu de monde peut se passer (combien
de fois vous n’avez pas votre Smartphone avec vous ?).
De part cette proximité, c’est un superbe outil de marketing relationnel.

L’expérience utilisateur est supérieure comparée à celle obtenue avec un site mobile. Ceci
vient du fait qu’en développant une application mobile, le format, la navigation et le
contenu sont adaptés au Smartphone.
L’application permet également d’utiliser et d’intégrer les fonctionnalités du téléphone
(accéléromètre, gyroscope, GPS, caméra…), ce qui peut rendre l’utilisation très riche.
Autre avantage, pour fonctionner certaines applications ne nécessitent pas de connexion à
internet.

ANDROID est en Afrique la plate-forme n°1 pour le développement de mobile apps et


GOOGLE PLAY le store le plus adaptés aux besoins des africains.

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XI. SOCIAL MEDIA MARKETING
DEFINITION  

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DEFINITION  
Il s’agit de développer la présence de l’entreprise
sur les réseaux sociaux comme Facebook.,Twitter
ou les médias digitaux comme les blogs.

Le principe de visibilité repose en partie sur le


bouche à oreille (marketing viral ou buzz
marketing).

Cette technique se rapproche de plus en plus des


techniques « display » avec les liens et posts
sponsorisés.

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L’élaboration d’une stratégie de social media
marketing est à prendre au sérieux car cela
implique un changement de mentalité de
l’entreprise.

La plupart des entreprises ne connaissent que les


conversations monocordes, sans humour de
l’énoncé de mission, toujours avec le même ton
fatiguant.
Une évolution dans le sens contraire exige un
appui de la direction et de toutes les parties
prenantes.

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XII. CONCLUSION
DEFIS  A  RELEVER  

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LES  DEFIS  A  RELEVER  
Pour conclure cette introduction, voici quelques défis que nous devons relever pour la mise en œuvre d’une
démarche de marketing digital:

1) Une clarification nécessaire des responsabilités


A qui appartient-il de piloter le déploiement des investissements sur les canaux digitaux ?
Faut-il le confier à une équipe en interne ou externaliser chez des professionnels (ex: Like 2.0) ?

2) Une expression des objectifs


Quels sont les objectifs que doivent viser les actions menées sur les canaux digitaux ? (ex: image, notoriété,
…)

3) Des budgets insuffisants


Comment estimer la demande en service numériques? Comment faire face aux concurrents qui
investissent massivement dans le digital ? Comment convaincre les dirigeants de débloquer des budgets
nécessaire ?

4) Des budgets dispersés et gaspillés


Comment mutualiser les ressources entre services ou départements (ex: une même page Facebook pour
plusieurs marques d’une même enseigne)

5) Des propositions de valeur peu spécifiques


Comment élaborer des propositions de valeur qui tirent profit des opportunités offertes par le digital ?

6) Des propositions de valeur complètement déconnectées du reste de l’entreprise


Comment élaborer des propositions de valeur cohérentes aux autres canaux traditionnels, dans une
optique de marketing intégré ?

7) Un apprentissage organisationnel déficient


Comment tirer leçons des expériences menées sur les canaux digitaux ? Comment améliorer les
performance ?

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XIII. REFERENCES
BIBLIOGRAPHIE  

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CHAFFEY  D.  (2011),  E-­‐business  and  E-­‐
commerce  Management  
 
ISAAC  H.,  VOLLE  P.  MERCANTI-­‐GUERIN  M.  
(2014),  Marke4ng  Digital  
 
TOIHIRI  N.  (2013),  l’Afrique  et  le  Digital  

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