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1. PLAN DU COURS
2. OBJECTIFS DU COURS
3. BIBLIOGRAPHIE
a) Lancer Excel:
• Menu Démarrer/application/Excel
• Double cliquer sur un fichier Excel = fichier dont l’extension est .xls
1
Maria zimina Savoir-faire ED268- octobre 2002
c) Ouvrir un classeur existant
Bouton Office
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Aperçu avant impression
Ruban de l'aperçu avant impression
Lorsque fini: Fermer l'aperçu avant impression
e) Imprimer
h) Opérateurs
1. Priorité
1. ( ) parenthèses exemple: =A1+Z10*(B12-C5*3/D5)+W23
2.^ puissance exemple:=A1^3+V34+F2*E6
3. / division
4.* multiplication
5. + addition
6.-soustraction
o Choisir la Catégorie
o Écrire le nombre de décimales (s’il y a lieu)
o Choisir le Symbole (s’il y a lieu)
o OK
5. Police, Taille
Pour appliquer une mise en forme dans Excel il faut aller dans le menu
insertion/groupe nombre……..
Si vous voulez une date saisis dans la cellule A1 soit de format Samedi
10/10/2015 après la saisie veillez cliquer dans la liste du groupe nombre du
menu insertion/Autres format numérique/Date/mardi 10/10/2015
Si vous voulez que vos valeurs prennent la devise dollars même procédure que ci-
haut.
EX2:Tapez dans la même adresse cad A1=1 en suite tirez cfr explication
précédentes ensuite cliquer dans le nouveau carre qui apparait en droite de cellule
choisissez incrémenter une série.
2. fonction
4 Somme SI
DATEDIF
Calcule la différence entre deux dates en années, mois et
jours.
Syntaxe : DATEDIF(date_début;date_fin;unité)
date_début Date de début.
date_fin Date de fin.
unité Indique en quelle unité doit être calculée la différence entre les deux dates.
L’argument unité peut prendre les valeurs présentes dans le tableau suivant :
NO.SEMAINE
Renvoie le numéro d’ordre de la semaine dans l’année.
Syntaxe : NO.SEMAINE (numéro_de_série;méthode) numéro_de_série Date de la
semaine. Méthode Détermine quel jour est considéré comme le début de la
semaine. La valeur par défaut est 1.
Changer l’orientation d’une feuille
Si vous voulez insérer une date, pagination, nom du fichier, notre nom dans
l’en-tête, vous avez trois zones dans lesquelles vous pouvez insérer vous
information en vous référant aux éléments de l’Onglet Création/Groupe Elément
en-tête et pied de page (cliquez dans une zone et dans la barre ou groupe en haut
cliquez sur Numéro de page)
Mise en forme condionnelle
CHAPITRE TROIS: TRAVAILLEZ AVEC LES DONNEES
1. Trier
2. Filtrer
/autres commande/
Choisissez dans la liste commandes non présentes sur le ruban/formulaire/ajouter et
puis Ok
Recherchez et remplacez
Pour remplacer un nom qui a été plusieurs fois mal saisi, il faut allez dans
l’onglet Accueil cliquez sur rechercher et sélectionner/
Validation
Possibilite de verifier la
coherence dans un
ensembe de cellules.
Selectionner une
colonne(ou une serie de
cellules) Onglet Donneese,
validation des donnees
Pour protéger certaines cellules (celles qui contiennent des formules par
exemple), il suffit d’enlever le verrouillage (Onglet Accueil, Format, Format de
cellule, onglet protection…) des cellules pour lesquelles on souhaite permettre la
saisie.
Attention : il y a deux mécanismes
nt toutes verrouillées au départ)
Exemple :
1 - Déverrouiller
Déverrouiller les cellules pour lesquelles l’on souhaite faire de la saisie.
Activer la protection
Puis activer la protection : onglet révision, protéger la feuille
Exemple
N.B : N’importe quelle formule peut être appliquée une fois on respecte la règle pour concevoir une bonne
formule, de même cela peut être fait en faisant référence à des cellules qui se trouvent dans différents
endroits.
6.10. Référence de cellule
Lorsqu’on conçoit une formule comme nous venons de le voir dans point ci-haut, on peut faire référence aux
cellules qui sont en distance en les intégrant dans la formule, à ce niveau on parle de référence des cellules.
Comme l’image ci-dessus le montre nous avons seulement utilisé les cellules rapprocher et qui se trouve sur
le même ligne. Ces formules ne peuvent que s’exécuter une seule fois
(Formule statique), mais il y a d’autres que l’utilisateur peut concevoir qui peut s’exécuter plusieurs fois
(formule dynamique).
Conception des formules dynamiques avec référence relative
Conception de formule avec référence relative : ici on se réfère aux cellules éloignées en précisant juste leur
identité
Référence relative
Les désavantagés de cette formule dynamique est qu’en un certain niveau, quand il est appliqué à plusieurs
cellule de fois il ne donne pas des vrais résultats et souvent saturé on commence à vous afficher les
messages d’erreurs qui ne reflète pas la réalité des faits, d’où il est déconseillé de l’utiliser, plutôt la
conception de formule dynamique avec référence absolue vient palier à ce problème.
Conception de formule dynamique avec référence absolue : ici on se réfère aux cellules éloignées en
précisant juste leur identité mémorisée en le séparant par $ exemple ci-dessous montre comment appliquer
ce formule dans votre feuille de calcul.
Référence absolue
Cette formule utilise une référence
absolue, le signe $ intervient pour
mémoriser cette cellule qui va
chaque fois prendre les données
variable
Définition : les fonctions sont de formules prédéfinies qui donne possibilité à l’utilisateur à effectuer
ces opérations de calcul est un autre moyen de recourir aux formules qui peuvent vous faciliter à calculer au
lieu d’écrire ces dernières vous-mêmes. Excel intègre plusieurs sortes fonctions qui peuvent calculer dans
différents domaine, par exemple des opérations statistiques peuvent être fais avec Excel, le calcul
comptable, mathématique et trigonométrique pour retrouver ces fonction : clic sur Insertion—fonction, une
fenêtre ci-dessous va apparaître :
Sélectionner le type de
fonction
Comme vous les voyez dans cette petite fenêtre ci-dessous il dépendra afin de l’utilisateur de savoir dans
quel domaine de calcul ces données seront calculées
1 Les opérateurs
2 Connecteur logique
3 Les comparés
4 Les comparants
5 Les conditions (test logique)
6 Résultats de la comparaison (arguments)
Exemples 001
Comparant Comparé Résultats
12 4 12>4, 4<12
11 11>4,4<11
Il existe des fonctions logiques en Excel
Partant des ces règles de calcul on peut construire une formule conditionnelle qui va calculer en fonction de
catégorie de chaque agent.
Formule
Exercices
I. Voici la liste des élèves d'une classe et leurs résultats. Faites les calculs pour trouver le
pourcentage de chacun.
RESULTAT PREMIERE PERIODE : Cours Informatique
Classe : CSPA/A
1er Int 2e Int T.P Total % Observation
Nom P.O Max P.O Max P.O Max P.O Max
Badesiré K 15,5 20 20 7 10
Baguma N 8 20 7 20 4 10
Bisimwa B 20 11 20 10
Cengo N 19 20 20 5 10
Chirulwire N 17,5 20 6 20 3 10
Chizungu V 19 20 20 20 10
Cibalonza M 8 20 10 20 5 10
Cubaka 13,5 20 20 4 10
Faida N 11,5 20 9 20 5,5 10
Furaha M 20 10,5 20 5 10
Habimana B 17,5 20 13 20 4,5 10
Kadundu Issa 18,5 20 20 5 10
Kashosho Ongez 17,5 20 12,5 20 10
Kavira K 11 20 6 20 4 10
Kengela M 20 9 20 8 10
Kitumaini 13 20 18 20 10
Lugaba 15,5 20 20 6,5 10
Maneno F 13 20 6 20 10
Matabishi B 13 20 15 20 5 10
Les élèves qui manquent les points de seconde interrogation, faites-leur les points de la
première interrogation moins 3 points. Ceux qui n’ont pas fait la 1ère prend le point de la 2e
moins 1,5 celui qui n’a pas fait le TP donne automatiquement Zéros, calculer le total de
PO&Max puis trouver les pourcentages de chaque élèves, en utilisant la fonction logique,
indiquez dans la colonne soit qu’il a réussi, soit qu’il a échoué en se basant sur le
pourcentage de chacun
II. Voici ces données à saisir sur une feuille de calcul dans un classeur Excel
SPSS signifie « Statistical Package for the Social Sciences est un logiciel de
gestion et d’analyse de données statistiques sur PC ». Son objectif est d'offrir un
logiciel permettant de réaliser la totalité des analyses statistiques habituellement
utilisées en sciences humaines. C'est un logiciel très complet et dans ce cours, nous
ne verrons qu'une partie de ses possibilités. Il existe bien d'autres logiciels comme S-
Plus, R ou SAS qui permettent d'atteindre les mêmes buts, c'est-à-dire faire des
analyses statistiques.
Une fois cette boîte de dialogue fermée, nous voyons l'éditeur de donnée.
L'éditeur de données contient la grille (matrice) de données (vue des données =
«Affichage des données ou DataView ») et les descriptions des variables (vue des
variables = « Affichage des variables ou variable view »).
Ainsi SPSS a huit types de fichier qui sont :
6. Editeur de résultats : Les résultats qui ne sont pas affichés dans les tableaux
pivotants peuvent être modifiés grâce à l'Editeur de résultats. Vous pouvez
modifier les résultats et changer les caractéristiques des polices (type, style,
couleur, taille).
7. Editeur de syntaxe : Vous pouvez coller les choix des boîtes de dialogue dans
une fenêtre de syntaxe, lorsque vos choix apparaissent sous forme de syntaxe
de commande. Vous pouvez alors modifier la syntaxe de commande pour
utiliser les fonctions spéciales de SPSS qui ne sont pas disponibles dans les
boîtes de dialogue. Vous pouvez enregistrer ces commandes dans un fichier
pour les utiliser dans des sessions SPSS ultérieures.
Nous avons plusieurs types de fichiers sur SPSS. Nous nous
focaliserons sur trois
Les fichiers de base de données : ils ont pour extension .sav
Exemple : Fatick1.sav
Les fichiers de résultats : ils ont pour extension.spo
Exemple : sitmat.spo
Les fichiers programmes
Fichier Edition Affichage Données Transformer Analyse Graphiques Utilitaire: Fenêtre: Aide:
Une fois nos données ouvertes, nous pouvons explorer les deux affichages
mentionnés en dessus : l'affichage des données (« Data View ») et l'affichage des
variables (« Variable View ») :
Alignement (Align) : Alignement des valeurs des variables dans les cellules de la
grille de données (à droite, à gauche, centrées)
Attention : n'a pas d'influence sur le type d'analyse qu'on peut effectuer avec
SPSS !!!
Pour obtenir toutes les informations sur les variables dans un format imprimable, il
faut cliquer sur Fichier Affichager les informations sur un fichier de
donnees/infor sur donnée/fichier de travail( Display data file information |
Working file)/Ouvrir le fichier d’extention.sav. Les informations sont transférées
dans une nouvelle fenêtre (SPSS Viewer). Cette page des résultats peut être
sauvegardée et/ou imprimée. Les éléments peuvent être copiés et collés dans un
document géré par un autre logiciel (p.ex. Word). Le fichier des résultats (Output
Editor) porte l'extension « .spo ».
Dans le menu « Fichier (File) », on trouve toutes les commandes pour gérer les
fichiers SPSS (ouvrir, sauvegarder, sauvegarder sous...) - pareil aux autres logiciels
Windows (p.ex. Word)
Cette fenêtre permet d'entrer des données, de les modifier ou de les effacer. Il est rare
que l'on tape les données manuellement dans SPSS car il y a trop d'erreurs de saisie
possibles (on reviendra sur ce point dans le second chapitre). On va plutôt ouvrir un
fichier déjà existant.
Les résultats peuvent être imprimés tels quels mais avec le risque de voir un
tableau s'imprimer sur plusieurs pages. Il est également possible de copier les
tableaux qui nous intéressent pour les coller ensuite dans Word, Excel ou dans un
autre logiciel. Il est possible de copier un tableau de deux manières. En cliquant sur
le tableau en appuyant sur le bouton de droite de la souris, SPSS vous propose de
copier (copy) ou de copier l'objet (copy object). Copier correspond à copier les
valeurs, mais lorsqu'il est collé il peut perdre son format (utile pour copier les
résultats dans une feuille Excel par exemple). Copier les objets corresponds à copier
les valeurs et le format du tableau : une fois collé, impossible de modifier les cellules
du tableau (utile pour copier les résultats dans Word).
Parfois, le résultat est très long et SPSS n'en montre qu'une partie, suivi d'un
triangle rouge. Pour visualiser la suite, il faut double-cliquer sur le texte, puis
étendre la taille de la zone de texte vers le bas jusqu'à ce que vous ne voyez plus de
texte.
Menu Aide : Le menu Aide de la plupart des fenêtres SPSS permet d'accéder
au système d'aide principal, ainsi qu'aux didacticiels et aux informations de
référence technique.
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(Si Case Studies n'apparaît pas dans le menu contextuel, ce type d'aide n'est
pas disponible pour cette procédure.)
Tableaux de syntaxe de commande : Dans une fenêtre de de commande,
positionnez le curseur n'importe où dans un bloc de syntaxe de commande,
puis appuyez sur la touche F1. Vous voyez alors apparaître un tableau de
syntaxe de commande complet.
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Chapitre Deuxième :
1. Encoder le questionnaire
Il est recommandé de résumer les informations les plus importantes sur les
variables rassemblées dans un « tableau de codage ». Ce tableau de codage à deux
utilités à deux moments bien précis :
Pendant l'entrée des données : comme règle de codage des valeurs des variables
Après l'entrée des données : comme description compacte du fichier des données
Id Numéro d'identification
1. = jamais ou presque jamais
2. = parfois
exp1-exp12 Expressivité* 3. = souvent
4. = presque toujours ou toujours
1. = pas du tout
bf1 - bf20 Big Five (adjectives)* 2. = tout à fait
Age Age
1. suisse
2. allemande
3. français
Nation Nationalité 4. italien
5. autre
* Pour une vue générale sur les variables qui sont mesurées dans une étude, il
suffit de donner le nom du questionnaire dans le tableau de codage (p.e.x, « Big
Five » pour les 20 items). Dans le fichier SPSS, on peut entrer le contenu de
chaque item dans « Variable label » (p.ex., bf1: « amical », bf2: « chaleureux »).
Si on se trouve déjà dans l'éditeur des données (p. ex., un autre fichier de
données est ouvert), il faut cliquer sur File | New | Data
Une fois l'éditeur de données ouvert, il faut définir les variables dans la vue
des variables (Variable View). Pour cela on va s'aider du tableau de codage
qu'on a déjà créé à partir de notre questionnaire.
On commence avec le nom de la première variable. Pour passer à la cellule
suivante, appuyez sur TAB ou .
Vous pouvez attribuer une ou toutes les caractéristiques d'une variable à
une ou plusieurs autres variables !
Une caractéristique : Copiez la cellule (en cliquant droit : Copy, ou en
cliquant sur le menu Edit | Copy) et collez à une ou plusieurs autres
cellules (en cliquant droit : Paste, ou en cliquant sur le menu Edit | Paste)
Toutes les caractéristiques d'une variable : Copiez et collez toute la variable
(en cliquant sur le numéro de la ligne, ce qui la grise)
La seule chose qui ne peut pas être copiée, c'est le nom d'une variable, parce
que chaque variable doit avoir un nom unique, comme mentionné
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Solution : Codez les réponses ouvertes avec des valeurs numérique (1 = suisse, 2
= française, etc.) en faisant une liste
Dès qu'on a entré une donnée, toutes les cellules des autres variables
numériques de ce cas sont désignés par un point (= « Sysmis », system
defined missing) qui est remplacé quand on entre une valeur. Garder le point
dans la cellule signifie que la valeur pour cette cellule est manquante et ce
type de donnée manquante n'a pas à être définie comme telle car elle est
reconnue automatiquement par SPSS comme valeur manquante.
Garder la cellule vierge pour les variables alphanumériques n'est pas
considéré par SPSS comme valeur manquante. Il faut la définir comme telle
dans la vue des variables. Pour cela, entrez un espace dans « discret
missing values ».
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Conseil et remarques :
Il est recommandé d'utiliser le pavé numérique à droite du clavier.
Entrez toujours les données « brutes » telles qu'elles sont. Par exemple, il ne
faut pas recoder à la main un item (recodage ou transformation (cf Chapitre
troisième)).
Si vous avez un format de réponse bipolaire avec des valeurs positives et
négatives, il est préférable d'utiliser un codage avec uniquement des valeurs
positives. Mais il est important d'avoir définit cela dans le tableau de codage
du questionnaire.
Format de réponse -- - 0 + ++
sujet à erreur -2 -1 0 1 2
Mieux 1 2 3 4 5
pour nous notre fichier de travail. A partir du menu, faites Data | Merge
files | Add cases : cherchez votre deuxième fichier.
La boîte de dialogue qui apparaît vérifie si les deux fichiers contiennent les
mêmes variables (avec les mêmes noms). Par défaut, toutes les variables de
même nom seront incluses Si ce n'est pas le cas, les variables non appariées
se trouvent dans la section « Unpaired Variables ».
Attention : Il est important que le nom des variables, ainsi que le type,
l'étiquette et les valeurs et les données manquantes soient définis exactement de
la même manière dans les deux fichiers, sinon SPSS définira une variable avec
même nom comme « Unpaired variables » (fenêtre de gauche) - toujours vérifier
que les variables communes aux deux fichiers qui nous intéressent se trouvent
bien dans « Variables in new working data file ».
S'il y a des variables dans les deux fichiers qui mesurent la même chose mais qui
ne portent pas le même nom (p.ex. par erreur), on peut les apparier. Pour faire
cela, il faut sélectionner les deux variables (on sélectionne la deuxième variable en
pressant sur la touche CTRL), puis appuyer sur « Paired », on obtient ainsi dans «
Variables in new working data file », une nouvelle variable qui se nomme var1 et
var2 (dans le fichier fusionné, la variable portera le nom du premier fichier (le
fichier de travail)).
Une fois toutes les variables qui nous intéressent sélectionnées, il faut cliquer sur
Ok, ce qui ajoute les observations du deuxième fichier au premier. On a
maintenant un nouveau fichier de données. Si nous sauvons ce fichier en faisant
File | Save, cela va écraser le premier fichier. Ce qu'il faut faire c'est File | Save
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Si on a deux fichiers contenant les mêmes sujets, mais avec des variables
différentes (par exemple, deux expériences différentes avec le même groupe de
sujets avec pour but d'avoir des informations supplémentaires sur nos sujets
venant de l'autre expérience). Pour cela il faut ouvrir le premier fichier, c'est-à-
dire celui qui sera pour nous notre fichier de travail. A partir du menu, faites
Data | Merge files | Add variables : cherchez votre deuxième fichier.
Triez les observations selon la variable clé dans tous les fichiers qu'on veut
fusionner : Data | Sort cases.
Ouvrez le premier fichier et faites Data | Merge files | Add variables:
choisissez le deuxième fichier
Dans la boîte de dialogue qui apparaît, cochez « Match cases on key
variables in sorted files » - « Les deux fichiers fournissent des observations
». Il faut sélectionner la variable clé (key variable) d'appariement dans la
section de gauche et appuyer sur .
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Une fois toutes les variables qui nous intéressent sélectionnées, il faut
cliquer sur Ok, ce qui ajoute les variables du deuxième fichier sélectionnées au
premier. On a maintenant un nouveau fichier de données. Si nous sauvons ce
fichier en faisant File | Save, cela va écraser le premier fichier. Il est beaucoup
plus prudent de sélectionner File | Save as ... On obtient ainsi une nouvelle base
de données, différentes des deux initialement utilisées pour sa création.
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Tapez les noms des variables (pas les étiquettes) dans la première
ligne
Les lignes au-dessous des noms représentent les observations (une
observation (cas ou individu) par ligne).
Sauvegardez les données (File | Save as ...) comme classeur Excel
(extension .xls)
Ouvrir SPSS
Cliquez sur File | Open a database | New query
Sélectionnez « Fichiers Excel », cliquez sur suivant
Tapez les noms des variables dans la première ligne que vous séparer soit
par un point-virgule (ou autre séparateur comme tab)
Les lignes au-dessous des noms représentent les observations (une
observation (cas ou individu) par ligne) et chaque valeur de la ligne doit être
séparé par un séparateur (toujours utiliser le même séparateur).
Sauvegardez les données (File | Save as...) comme classeur texte (extension
.txt)
Ouvrir SPSS
Cliquez sur File | Read text data...
Spécifiez l'arrangement de vos variables : types de séparateur, est-ce que
chaque ligne correspond à un cas, est-ce que le fichier contient le nom des
variables sur la première ligne, etc.
Terminer et Sauvegardez les données (File | Save as...) comme fichier SPSS
(extension .sav).
Deux types d'erreurs possibles : a) la valeur fausse est une valeur dans
l'étendue des valeurs valables ou b) la valeur fausse est une valeur en dehors de
l'étendue des valeurs valables.
On peut repérer les erreurs du type (a) qu'en comparant les données vraies
avec les données entrées. Mais cela est très coûteux, d'où l'importance d'être très
minutieux en entrant les données ! Donc seules les erreurs de type (b) peuvent
être repérées et éliminées après l'entrée des données.
Pour cela, il faut inspecter les valeurs minimales et maximales de toutes les
variables en passant par Analyze | Descriptive Statistics | Frequencies. Il faut
sélectionner toutes les variables numériques (en utilisant la souris ou les touches
SHIFT et ) et ajoutez-les dans la section droite , puis cliquez dans « Statistics
», choisissez « Minimum » et « Maximum ».
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Attention : Après avoir trouvé la cellule avec une valeur fausse, il semble
peut-être plus facile de noter le numéro de la ligne dans la grille de données (au
lieu d'aller via le menu). Mais le numéro de la ligne ne doit pas être identique avec
le numéro d'identification du cas !!! (p. ex. si le fichier a été trié par une autre
variable ou si la variable d'identification a des valeurs manquantes)
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Pour recoder une variable que ce soit pour regrouper des catégories ou inverser le
sens de l'échelle, il faut passer par Transform | Recode | into different
variables. Il faut éviter d'utiliser Recode | into same variables, parce que cette
option écraserait votre variable initiale.
Dans la boîte de dialogue d'un menu Transform | ... appuyez sur le bouton
« Paste » au lieu de « Ok ». La commande exécutée s'inscrira sur la page de
syntaxe.
La syntaxe est un fichier de texte qui peut être sauvegardé (extension .sps) et
imprimé. Les commandes peuvent être copiées, collées et changées.
On peut ajouter du texte commentaire qui doit être précédé d'un astérisque
et suivi par un point.
Pour exécuter les commandes, on la sélectionne et on envoie la syntaxe en
appuyant sur le bouton .
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Chapitre Quatrième :
1. Fréquences
Bar (bâtons):
Présentation
graphique de
la
distribution
des
fréquences
d'une
variable dans
tout
l'échantillon
Graphs |
Bar : Choisir
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Sous « Category axes », il faut entrer la variable pour laquelle on veut obtenir les
fréquences.
Pour comparer la distribution des fréquences d'une variable dans les sous-
groupes, passez par Graphs | Bar, choisir « Clustered » et « Summaries for
groups of cases ». Pour « Bars represent » choisir N of cases (fréquences
absolues) ou % of cases (fréquences relatives). Dans « category axes » entrer la
variable pour laquelle on veut obtenir les fréquences et dans « Define Clusters by
» la variable de groupement pour laquelle on veut obtenir des différents bâtons.
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Pie (Camembert)
Histogramme
les propriétés (p.ex. taille, couleurs, motifs) des différents éléments d'un
graphique (p.ex. titre, axes, bâtons) en double-cliquant sur l'élément (après
choisir l'onglet pertinent, p.ex. « Fill and Border » pour changer les couleurs)
;
le texte (p.ex. d'un titre ou d'une catégorie) en grisant l'élément (cliquer une
fois) et - après une « petite pause » - en cliquant une 2e fois dessus (double-
cliquer va ouvrir la boîte-dialogue pour changer les propriétés !).
Par exemple pour changer l'échelle de l'axe des ordonnées, il faut, après
avoir double-cliquer sur le graphique, double-cliquer sur l'axe. Dans la boîte-
dialogue, choisissez l'onglet « scale ». Cliquer sur minimum ou maximum (colonne
« auto ») et remplacez les valeurs dans la colonne « custom ». En cliquant sur «
major increment », on peut changer les intervalles. Et pour transposer les axes,
on peut passer par Menu Chart | Transpose Chart.
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1. Mesures descriptives
Format : Ici, on peut choisir dans quel ordre les catégories de la variable
seront affichées (order by...; default = ascending values) et la forme de
présentation des coefficients de plusieurs variables (compare variables = tous
les résultats dans un tableau, organize output by variables = tableaux
séparés pour les différentes variables)
Bar (bâtons)
Remarque : la moyenne devrait être représentée par un point et non par une
hauteur ou une surface comme c'est le cas dans les graphes bar, c'est pourquoi
nous vous conseillons d'utiliser les graphes error bar (ci-après) qui sont corrects
d'un point de vue strictement du sens de la mesure de la moyenne.
1. Corrélation de rangs
2. Scatterplot
Pour que le nombre de cas représentés soit indiqué par la taille des
points ou par l'intensité de leur couleur, double-cliquez sur les
points de données, puis choisissez l'onglet « Point bins » et cliquez
sur « Bins » (défaut : « marker size »)
Pour obtenir la droite de régression, sélectionnez les points de
données, après cliquez sur Chart | Add chart element : « Fit line
at total »
3. Corrélation de Bravais-Pearson
Pour calculer une corrélation pour des variables numériques, allez sous
Analyze | Correlate | Bivariate, le coefficient de corrélation de Pearson est
le coefficient par défaut. Les variables qui sont entrées seront corrélées et on
obtient une matrice complète. Pour obtenir la moyenne et l'écart-type pour
chaque variable (« means and standard deviations ») ainsi que les produits
croisés et les covariances (« cross-product deviations and covariances ») allez
sous Options. Sous Options, vous trouverez également les « missing values
», cette fonction est importante uniquement si on analyse plusieurs variables
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Passer par la syntaxe : parfois, on veut obtenir des corrélations entre deux
groupes de variables (p. ex. les « Big Five » et les différentes variables de
l'expressivité émotionnelle). Dans ce cas, le tableau standard (obtenu par le
menu Correlate) devient très grand et il y aura des corrélations dont on n'a
pas besoin (p.ex. entre les variables « Big Five »). Pour obtenir seulement les
corrélations entre les deux groupes, il faut utiliser la syntaxe :
Syntaxe :
SPSS-Viewer (Résultats)
« Model summary » :
Tableau « Coefficients »
ou
Fonction/Contrôle
✔ Remarque: Tant que la saisie des réponses n'est pas commencée, il est
possible à tout moment de modifier les questions. Pour cela, il suffit d'utiliser
le menu „Rédiger“ puis „Modifier une question“ ou plus simplement de
double-cliquer sur la ligne de la question.
✔ A noter qu'il est possible de vous déplacer entre les différentes questions lorsque vous en
modifiez une via les flèches gauches et droites:
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✔ Une fois les différentes questions définies, il est possible de modifier l'ordre de ces
dernières en cliquant sur la zone la plus à gauche du listing des fonctions comme
décrit dans ci-dessous:
✔ Le sous-menu „Mettre en
page...“ vous permet de
modifier l'affichage de votre
sondage avant impression:
Saisie des réponses Saisie des réponses 1/3
✔ J'ai créé un questionnaire très succinct, nous allons partir de cet exemple:
Pour
insérer les résultats,
cliquez sur „Stade“ puis
„Collecte des réponses“:
Puis cliquez sur „Saisie rapide“ et remplissez les résultats pour chaque question:
Saisie des réponses
Puis cliquez sur „Saisie rapide“ et remplissez les résultats pour chaque question:
Par défaut, la saisie des réponses se fait de manière rapide. Il est possible de modifier le type
de saisie après avoir cliqué sur „Saisie rapide“ en cliquant sur „Options“ en bas à droite:
✔ Après avoir cliqué sur „Terminer“, nous allons sélectionner „Traitement et analyses“ puis
„Dépouillement automatique“: