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du président
2018 a vu la mise en place de la nouvelle norme sur continuons à développer les formations à l’international
les instruments financiers IFRS 9. Un certain nombre en mettant l’accent sur les formations en anglais dans tous
d’établissements de crédit ont publié leurs comptes au les domaines, afin d’assurer aux banques une homogénéité
30 juin 2018 en appliquant pour la première fois cette des formations de leurs équipes dans le monde.
norme. Nous accompagnerons en formation de nombreux Nous avons renforcé nos équipes de back-office afin
services de la banque dans la compréhension et la mise en d’assurer aux Directions de ressources humaines,
pratique de cette norme complexe. la meilleure qualité possible des dossiers de mise
2018 a vu aussi la mise à jour de « Pratique de la en place des formations. Enfin, nous avons accueilli de
comptabilité bancaire », ouvrage comptable de référence nouveaux associés, qui dans le domaine de l’assurance et
dans le domaine de la comptabilité bancaire. Ainsi, les de la maitrise des risques, vont nous permettre de mieux
dernières nouveautés comptables, notamment IFRS 9 répondre aux besoins de nos clients.
ont été intégrées. Nous espérons ainsi, par ces efforts de tous les instants,
En ce qui concerne les aspects prudentiels de la pouvoir vous accompagner dans votre volonté de former
règlementation, les textes CRDV et CRR2 vont se mettre en vos équipes pour s’adapter aux changements règlementaires
place au sein de l’Union européenne de manière progressive dans les meilleures conditions.
et seront suivis par des textes complémentaires.
L’équipe pédagogique d’Afges accompagne les équipes Hugues BEAUGRAND
de nos clients dans ces changements importants. Nous Président
Formations 2019 3
Informations pratiques
201. Conditions générales de prestation,
tarifs et conditions d’annulation
203. Bulletins d’inscription aux formations
Certificats et fiches de renseignements
209. Plan d’accès
Comptabilité bancaire p. 35
page mars avril mai juin sept. oct. nov. déc.
100 Initiation à la comptabilité 35
1er 3 9 25
1 jour l 844 € HT
101CECB1 Comptabilité bancaire : 36
opérations classiques 3-4 4-5 10-11 26-27
2 jours l 1 630 € HT
102 Lire et comprendre les comptes 37
d’une banque 20-22 9-11
3 jours l 2 247 € HT
103 Comptabilité bancaire : cycle long 39
17-21 9-13
5 jours l 3 147 € HT
104CECB4 Consolidation des 41
comptes : l’essentiel 11-12 17-18 19-20 5-6
2 jours l 1 630 € HT
105 IFRS sur les instruments 42
financiers (IFRS 9) : 19 15
les nouvelles règles comptables
1 jour l 844 € HT
106 IFRS dans les établissements 43
de crédit : l’essentiel 18 10
1 jour l 844 € HT
107 IFRS dans les établissements 44
de crédit : approfondissement 22-24 14-16 9-11
3 jours l 2 247 € HT
108 IFRS: the essentials 46
25 4
1 jour l 844 € HT
109 Banking accounting 47
27-28 21-22
2 jours l 1 630 € HT
110 Consolidation des comptes : 48
approfondissement 26-28 4-6
3 jours l 2 247 € HT
111 Opérations de crédit-bail 49
et de location 11-12 21-22
2 jours l 1 630 € HT
112 Comptabilité des opérations 50
de hors bilan 19 22
1 jour l 844 € HT
113 Dépréciations et provisions 51
13-14 14-15
2 jours l 1 630 € HT
Comptabilité bancaire
page mars avril mai juin sept. oct. nov. déc.
114CECB2 Comptabilité des titres 52
et autres non-dérivés 4-5 6-7 12-13 7-8
2 jours l 1 630 € HT
115 Comptabilité des opérations 53
en devises 16-17 17-18
2 jours l 1 630 € HT
116CECB3 Comptabilité des produits 54
dérivés 8-10 12-14 16-18 2-4
3 jours l 2 247 € HT
117 Comptabilité des opérations 55
de marché : l’essentiel 20-22 9-11
3 jours l 2 247 € HT
118 Comptabilité des produits 57
et des opérations structurés 24-25 17-18
2 jours l 1 630 € HT
119 Élaboration et interprétation 58
du tableau de flux de trésorerie 5 27
1 jour l 844 € HT
120 Avantages au personnel, IAS 19 59
21 2
1 jour l 844 € HT
121 Bases des impôts différés 60
dans les établissements de crédit 29 27
1 jour l 844 € HT
124 Manuel des procédures comptables 61
26 5
1 jour l 844 € HT
125CECB6 Contrôle comptable bancaire 62
18 19 26 12
1 jour l 844 € HT
126 Audit comptable des 63
établissements de crédit 27-29 2-4 4-6
3 jours l 2 247 € HT
127CECBC1 Environnement comptable 64
et contrôle interne 4-5 4-5
2 jours l 1 630 € HT
128CECBC2 Crédits à la clientèle 65
15-17 16-18
3 jours l 2 247 € HT
129 Bank accounting audit 67
2-3
2 days l 1 630 € HT
130 IFRS 16 : contexte et impacts 68
28 2
1 jour l 844 € HT
131 Maîtrise des impacts IFRS 9 69
et Bâle III 23-24 14-15
2 jours l 1 630 € HT
N 132 Consolidation prudentielle : 71
spécificités 17 11
1 jour l 844 € HT
Fiscalité p. 169
page mars avril mai juin sept. oct. nov. déc.
700CECB7 Fiscalité bancaire : l’essentiel 169
17 24 25 13
1 jour l 844 € HT
701 Résultat fiscal des établissements 170
de crédit et ses spécificités 27-28 28-29
2 jours l 1 630 € HT
702 Gestion et l’optimisation 171
de la TVA dans les activités
bancaires (et incidences sur 18-19 14-15
la taxe sur les salaires)
2 jours l 1 630 € HT
703 Contribution Économique Territoriale 172
12 21
1 jour l 844 € HT
704 Fiscalité bancaire : fondamentaux 173
et révision 3-5 20-22
3 jours l 2 147 € HT
705 Actualité fiscale du secteur financier 174
1er 10
1 jour l 844 € HT
Formations
hors catalogue
Une liste de formations réalisées en inter ou en intra chez nos clients, à prendre telles quelles ou à adapter
en fonction de vos besoins. Réalisables en inter à partir de deux participants, nous consulter pour des dates.
1. Comptabilité bancaire
5 Comptabilité des entreprises industrielles et commerciales approfondissement.
5 Impacts des IFRS dans l’analyse financière des Corporates.
5 Le Commissariat aux comptes des établissements de crédit.
5 Fusions : Régime juridique, fiscal et comptable.
7. Contrôle de gestion
5 Mettre en œuvre une démarche ABC.
5 Contrôle de gestion d’un centre de support d’une banque – Approfondissement.
8. Fiscalité
5 Sociétés holding principes juridiques et fiscaux.
Formations distancielles
16
jours
18 Formations 2019
Thèmes
Px HT Nbre
Pages Dates
Réf. Titre des formations catalogue jours
122CECB8 Révision, préparation et entraînement à l’examen 2 247 € 2,5 25 au 27 juin 2019 matin
16 au 18 décembre 2019 matin
Formations 2019 19
27
jours
20 Formations 2019
Thèmes
Nbre
Réf. Titre des formations Px HT catalogue Pages Dates
jours
Formations 2019 21
18
jours
22 Formations 2019
Formations 2019 23
24 Formations 2019
Location de salles
Diagnostic : situation actuelle, objectifs opérationnels, profil des
collaborateurs concernés, vos enjeux, vos contraintes.
Mise en place de l’ingénierie pédagogique : élaboration d’un
Vous organisez une session de formation intra entreprise et ne
déroulé pédagogique extrêmement précis sous la supervision de
disposez pas de salle adéquate ?
l’animateur retenu.
L’AFGES met à votre disposition des salles de formation spacieuses
Organisation logistique de la formation : mise des supports à
et en premier jour :
votre charte graphique si besoin, reprographie des supports,
• Pouvant accueillir de 2 à 15 participants.
location de salle…
• Équipées de tableaux blancs interactifs permettant l’enregistrement
Animation de la formation.
et la restitution des prises de notes en fin de formation.
Évaluation de l’atteinte des objectifs.
• Une de nos salles (Antoine Sardi) équipée en visio-conférence est
Nos animateurs interviennent aussi bien en France qu’à l’étranger,
idéale pour des formations à distance.
en français ou en anglais.
Des boissons chaudes (café et thé) ainsi que des jus de fruit,
viennoiseries sont à la disposition de vos participants.
5 Des formats variés
Vous souhaitez renforcer les compétences de l’un de vos
Salle Antoine Sardi Salle Champs-Elysées
collaborateurs ? L’AFGES vous propose des formations en one-to-
one :
• Des formations personnalisées très pointues.
• Des formations en one-to-one sur mesure induisant une plus
grande souplesse par rapport au programme défini.
• Des animateurs rompus à cet exercice de style. Capacité : 15 personnes Capacité : 12 personnes
Vous disposez de très peu de temps ? Depuis 2014, l’AFGES a Salle Victor Hugo Salle Washington
ouvert des classes virtuelles permettant de répondre aux exigences
de réactivité et de practicité.
Formations 2019 25
26 Formations 2019
Formations 2019 27
28 Formations 2019
PERFORMIUM Finance
Spécialisés en Risk Management & Relation Clients dans le domaine Banque Assurance, nos consultants experts
vous accompagnent sur des missions de Conseil - Formation - Recrutement.
Dans le cadre de notre partenariat avec l’AFGES, nous organisons des formations dans le Nord & l’Est de la France,
et au Benelux. Nos valeurs fondatrices : écoute, respect des engagements, réussite collective, résultats.
Nos références : SG, Cofidis, BPCE, Crédit Immobilier de France, Banque Accord, CA…
Artips
Artips est une société née il y a 5 ans. En parallèle de son activité B2C (premier média culturel en ligne en France en
termes d’audience), Artips a développé une solution de micro-learning. La pédagogie de cette plateforme est fondée sur
le format court (sessions de 8 minutes) et le storytelling (chaque session est introduite par une anecdote mémorable
envoyée par push) afin d’engager les apprenants et d’optimiser le taux de complétion. L’idée est de donner envie
d’apprendre autrement, grâce à un univers ludique et chaleureux et un ton très accessible.Artips accompagne ses
clients dans la création de formations sur mesure, de dispositifs de sensibilisation et d’acculturation.
Formalearning
Formalearning, créateur de ressources pédagogique, met à votre disposition son expertise pédagogique vous
accompagne dans la construction de parcours de formation digitale, sur-mesure ou via son catalogue. Au cœur de
la transformation digitale de l’entreprise, formalearning est un organisme de formation, adhérent à la ffp, spécialise
dans les solutions de formation distancielle. L’activité de FormaLearning consiste à concevoir et à réaliser des
solutions de formation distancielles, de type QUIZ, flash learning, rapid learning, TV learn, e-learning, serious game.
Ces solutions de formation distancielles s’inscrivent dans une offre plus globale d’ingénierie pédagogique et de
gestion de la formation à distance.
evalbox
evalbox, plateforme professionnelle de gestion et d’évaluation de connaissances (entrainements, évaluations,
examens, certification), qui permet de construire des tests et QCM en ligne ou sur papier (avec correction
automatique des scans) : Outil de formation et d’évaluation dans l’éducation, outil d’évaluation des connaissances et
compétences dans l’entreprise qui fait face aux nouvelles exigences de la réforme de la formation professionnelle,
outil de sélection dans les cabinets de recrutements qui doivent départager des candidats postulant à une offre
d’emploi, ou même outil de certification dans les sociétés agréées pour délivrer des formations certifiantes.
AFGES Maroc
En date du 23 février 2016, nous avons créé AFGES Maroc.
Filiale de facturation, cette entité vise un double objectif :
– Nous rapprocher de nos clients Marocains,
– Leur permettre de faire prendre en charge leurs formations par l’OFPPT,
tout en continuant à proposer des formations de qualité et en restant compétitifs.
Formations 2019 29
30 Formations 2019
Formations 2019 31
À paraître
FONDS D’INVESTISSEMENT, RÉGLEMENTATION,
Nouvelle édition ÉVALUATION, GESTION COMPTABLE
Philippe MARTINET et Hugues BEAUGRAND
Actuellement en Europe, les fonds d’investissement • Enfin, pour 2019, le règlement STS sur une titrisation
représentent une source de financement de plus de « Simple, Transparente, Standardisée », pour relancer
15 000 milliards d’euros, soit deux fois plus qu’en ce mode de refinancement spécial des banques.
2007. Les formes juridiques se sont à la fois transfor-
mées et complexifiées pour répondre aux demandes Dans ce contexte, cet ouvrage apporte aux profession-
sociétales et économiques des différents acteurs : nels les trois dimensions de maîtrise de l’Asset mana-
• La diversification de l’épargne : placements finan- gement :
ciers, réserve de trésorerie, complément de retraite, • Une synthèse des nouveaux dispositifs réglemen-
assurance-vie, plan d’intéressement des salariés, taires et juridiques ;
objectifs éthiques, financement des start-up ; • Les approches révisée de valorisation des parts de
• Le volet défiscalisation pour les revenus ou la for- fonds, suite aux crises financières ;
tune : FCPI, FCPR, OPCI, FIP… ; • Les modalités de comptabilisation des opérations,
• Le capital investissement pour accompagner le dévelop- en référence au règlement récent publié par l’Auto-
pement ou la transmission des PME/ETI ; rité des Normes Comptables sur les Organismes de
• La recherche de ressources financières au travers Placement Collectif à Capital Variable.
des OT (organismes de titrisation) ;
• Le financement à moyen/long terme des infras- Sont ainsi abordés, au travers de nombreux cas pra-
tructures et du tissus des ETI européennes. tiques et d’illustrations d’actualité :
Parallèlement à ces aspirations, deux méga-crises • Les objectifs de gestion des produits avec leurs
financières récentes (les subprimes et les dettes composants ;
souveraines en euros) puis l’affaire Madoff, ont • Les schémas de comptabilisation applicables aux
conduit les autorités de régulation à de vastes chan- OPC, pour certains dérogatoires aux principes du
tiers de réforme : PCG et aux normes IAS/IFRS ;
• Les directives UCITS IV et V sur les produits et les • Les recommandations de l’AMF sur l’organisation
dépositaires, avec notamment la mise en place du DICI des différentes fonctions des prestataires de service
(document d’information clé pour l’investisseur) et du d’investissement (établissement de crédit, entreprise
SRRI (indicateur synthétique de risque et de rende- d’investissement, sociétés de gestion).
ment) ;
• La directive AIFM sur les fonds d’investissement Un glossaire actualisé des acronymes et des termes
alternatifs ; financiers permet une vraie compréhension de l’as-
• Le nouveau corpus MIF 2 avec deux directives et un set management.
règlement applicables en 2018, afin de mieux organi- Cet outil de synthèse complet est à destination des
ser la protection des investisseurs et l’organisation des auditeurs, des RCCI/RCSI, des professionnels comp-
marchés ; tables, et d’une façon générale, de tous les acteurs
• Les produits PRIIPS - produits d’investissement pac- impliqués dans l’industrie spéciale des fonds d’in-
kagés et produits d’assurance pour le grand public ; vestissement.
32 Formations 2019
Certificat
One
to
One One to One
Présentiel
Français/Anglais
Visio formations
Formations 2019 33
3 juin 2019
Gaëlle AZRIA 9 septembre 2019
Véronique HAURANT 25 novembre 2019
Participants
• Personnes qui n’ont jamais fait de comptabilité, ou qui n’ont pas
pratiqué, et qui souhaitent acquérir les bases minimales pour mieux
comprendre leur environnement comptable et dialoguer avec les
comptables.
• Personnes qui souhaitent suivre des formations comptables et qui ont
besoin de bases.
PROGRAMME
Pourquoi la comptabilité ? Pourquoi un crédit chez le banquier et un débit chez le client.
Illustration du jeu de miroir.
Les états financiers.
La réconciliation entre les deux comptes.
Pour quel usage ?
Quels sont les éléments du bilan et du compte de résultat ? Présentation
simplifiée.
Principe de séparation des exercices
Quelques conventions de classement. Pourquoi le découpage d’une entreprise en périodes comptables ?
Les éléments : actifs, passifs, capitaux propres, charges et produits. Flux de trésorerie et comptabilité d’engagements.
Distinction entre un actif et une charge. Les deux approches « Accrual basis » versus « Cash basis »
et la technique qui en découle, le « cut-off ».
Problématique centrale :
quelle méthode d’évaluation ? Plan de comptes (ou plan comptable)
Cours historique versus juste valeur. Pourquoi un plan de comptes ?
Amortissements et dépréciations. Passage d’intitulés littéraires à des intitulés codifiés.
Application des deux méthodes pour un même patrimoine. Plan comptable général et plan de comptes des établissements
de crédit.
Mécanique comptable
Le couple débit/crédit.
Vers la comptabilité bancaire
La partie double. Les activités bancaires fondamentales.
Leur application au bilan et au compte de résultat. Leur traduction dans un bilan et un compte de résultat simplifiés
Les flux de trésorerie et les engagements ; application. d’une banque.
Quelques astuces pour construire un schéma comptable. Les fondamentaux qu’il ne faut perdre de vue pour passer
à la comptabilité bancaire.
Comptabilité réciproque ou « miroir »
Actif chez l’un, dette chez l’autre !
Les relations du compte « banque » entre client et banquier.
Cycle certifiant
Comptabilité bancaire :
opérations classiques
One
to
Objectif général Participants
One • Situer l’activité bancaire dans son environnement économique et • Responsables comptables, comptables, informaticiens,
réglementaire. organisateurs, équipes projet et auditeurs internes et
• Identifier les comptes du PCEC utilisés par ces opérations. externes.
• Traduire ces opérations sous forme de schémas comptables. • Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
• Appliquer par des exercices et cas pratiques.
• Identifier les divergences entre référentiels IFRS et français. Supports et moyens pédagogiques
• Illustrer les principales opérations par les états financiers • Documentation en PowerPoint.
d’établissements bancaires. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Se préparer à suivre des formations plus spécifiques (titres, dérivés, • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
devises...). et confirmer les acquis.
• Plan Comptable des Établissements de Crédit (PCEC) offert.
Connaissances requises
• Bonne connaissance de la comptabilité générale ou avoir
assisté à la formation « Initiation à la comptabilité ».
PROGRAMME
Introduction Le traitement du risque de crédit.
Les normes françaises :
L’activité bancaire et l’organisation de la profession.
− L’identification des créances douteuses.
Les normes comptables (IFRS et françaises).
− Les dépréciations individuelles.
Les états réglementaires (SURFI, COREP, FINREP).
− La norme IFRS 9 (même niveau que normes françaises).
Les principes de contrôle interne comptable.
– La notion d’Expected loss.
– Les trois étapes de la dépréciation en IFRS 9.
Les activités bancaires classiques
Les dépôts de la clientèle :
Démarche pédagogique commune à toutes les activités − Aspects techniques et économiques.
bancaires classiques. Chacune des activités ci-après sera examinée − Comptabilisation.
sous 4 aspects : − La traduction de ces opérations dans le bilan des banques françaises.
Les aspects économiques et techniques. − Les comptes du PCEC.
La présentation du plan de comptes (PCEC). − Les caractéristiques de certains dépôts : comptes sur livret, d’épargne
La comptabilisation en IFRS et en normes françaises. à régime spécial, comptes à terme, bons de caisse.
Des exercices et cas pratiques avec les schémas comptables. − Les comptes à vue.
L’activité titres (présentation succincte) :
Les opérations interbancaires et de trésorerie : − Les portefeuilles titres en normes françaises.
− Les objectifs de la trésorerie d’une banque. − Les portefeuilles titres en normes IFRS.
− Le traitement comptable. − Opérations titres pour le compte de la clientèle.
Les crédits à la clientèle : Les moyens de paiement et les systèmes de règlement :
− Les aspects économiques des crédits clientèle : − Les moyens de paiement.
• Crédits commerciaux. − Les systèmes de paiement.
• Crédits de trésorerie. − Les commissions sur moyens de paiement.
• Crédits immobiliers. Les immobilisations (présentation succincte).
• Crédits consortiaux. Les provisions pour risques, fonds propres et divers.
• Locations financières. Récapitulation du hors bilan (les engagements de financement
• Autres. et de garantie ont déjà été examinés avec les crédits).
La formation du résultat.
− Le traitement comptable des crédits : Les états financiers.
• Les règles générales.
• La notion de taux d’intérêt effectif (TIE).
d’une banque
Objectif général Participants
• Découvrir l’ensemble des états financiers que doivent produire • Personnes qui n’ont jamais fait de comptabilité bancaire et
les banques. qui ont besoin d’acquérir les bases minimales pour lire et
• Comprendre la présentation des comptes sociaux bancaires. comprendre les comptes des banques et ou dialoguer avec
• Se familiariser avec les contenus spécifiques du bilan et du compte les collaborateurs des directions financières des banques.
de résultat. • Personnes qui souhaitent suivre d’autres formations
• Savoir utiliser le Plan de Comptes des Établissements de Crédit (PCEC). comptables et qui ont besoin de bases.
• Se repérer dans l’organisation comptable des banques.
• Décrypter le processus d’arrêté des comptes. Supports et moyens pédagogiques
• Acquérir les bases de la comptabilité générale. • Documentation PowerPoint.
• Acquérir les bases pour comptabiliser des opérations simples, monter • Document de référence d’un établissement bancaire.
un bilan, un compte de résultat et un tableau de l’annexe. • Plan Comptable des Établissements de Crédit (PCEC) offert.
• Se préparer à suivre des formations spécifiques (comptabilité bancaire : • Alternance de théorie, d’illustrations et d’exercices
opérations classiques, titres, dérivés, devises, etc.). pratiques.
• QCU, synthèses, mises en situation, puzzles, tests,
questions/réponses
• Cas fil rouge d’une journée pour vérifier, réviser et
confirmer les acquis.
Connaissances requises
• Aucun prérequis n’est exigé.
PROGRAMME
Les banques, des sociétés commerciales Les comptes sociaux publiables des banques :
pas comme les autres contenu du bilan et du hors bilan
La banque : ses métiers, son rôle et ses obligations. Zoom sur les éléments spécifiques du bilan bancaire :
− Les titres.
Les différents états financiers − Les provisions en moins de l’actif et au passif.
que doivent produire les banques − Présentation de l’aide-mémoire, contenus des postes du bilan.
Les comptes publiables : sociaux et consolidés.
Les reportings réglementaires : SURFI et FINREP. Les comptes sociaux publiables des banques :
La liasse fiscale. contenu du compte de résultat
Zoom sur les éléments spécifiques du compte de résultat bancaire :
Les documents constitutifs des états financiers, − Les commissions.
généralités − Le PNB.
Le bilan. − Le coût du risque.
Le hors bilan. − Présentation de l’aide-mémoire, contenus des postes du compte
Le compte de résultat de résultat.
L’annexe.
Les méthodes d’évaluation des opérations
Les comptes sociaux publiables des banques : Le coût historique.
présentation La valeur de marché.
Le coût amorti.
La présentation du bilan.
Incidences sur le bilan et le comptes de résultat.
La présentation du hors bilan.
La présentation du compte de résultat.
La présentation de l’annexe.
Le Plan de Comptes des Établissements de Crédit
Les liens entre ces différents documents. (PCEC) et les attributs (dimensions, critères)
Zoom sur les différences de présentation avec les comptes sociaux Présentation du PCEC.
des sociétés commerciales non bancaires. Les différences entre le PCEC et le Plan de Comptes Général (PCG).
Les attributs : définition et pour quoi faire ?
PROGRAMME
L’organisation comptable des banques Comptabiliser les opérations et procéder
Rôles et responsabilités des back-offices, des middle-offices, des aux écritures d’inventaire (suite)
directions comptables et de la direction financière en dehors et lors Correction avec le formateur.
des arrêtés de comptes.
Monter la balance comptable de clôture
Le processus d’arrêté des comptes à partir des écritures
dans les banques Présentation de l’exercice et définition du travail à réaliser.
L’organisation des arrêtés. En groupes, les participants montent la balance de clôture qui permettra
Les tâches à réaliser par toutes les sociétés bancaires de construire le bilan, le compte de résultat et un tableau de l’annexe.
et non bancaires. Correction avec le formateur.
Les tâches d’arrêté spécifiques aux banques.
Construire le bilan et le compte de résultat
Les bases de la comptabilité générale Présentation de l’exercice et définition du travail à réaliser.
Les 10 grands principes de la comptabilité française. En groupes, les participants montent le bilan et le compte de résultat
Les écritures comptables courantes et d’inventaire. à partir de la balance comptable de clôture.
Les documents comptables : journal, grand livre, balance, Correction avec le formateur.
états de synthèse.
La piste d’audit. Construire le bilan et le compte de résultat (suite)
Correction avec le formateur.
Comptabiliser les opérations et procéder
aux écritures d’inventaire Construire un tableau de l’annexe
Présentation de l’exercice et définition du travail à réaliser. Présentation de l’exercice et définition du travail à réaliser.
En groupes, les participants comptabilisent les opérations proposées En groupes, les participants confectionnent un tableau de l’annexe à
dans le cas et procèdent aux éventuelles écritures d’inventaire à passer partir de la balance comptable et des hypothèses des cas écritures.
pour pouvoir arrêter les comptes. Correction avec le formateur.
cycle long
Objectif général Participants
• Situer l’activité bancaire dans son environnement économique • Responsables et agents comptables et back-offices,
et réglementaire. informaticiens, auditeurs et inspecteurs.
• Souligner les aspects techniques et économiques des opérations. • Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
• Traduire les opérations en comptabilité sous référentiels IFRS 9 et
français. Supports et moyens pédagogiques
• Identifier les divergences entre référentiels IFRS et français. • Documentation en PowerPoint.
• Appliquer par des exercices et cas pratiques. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques (cahier
• Il est à noter que de nombreux établissements continuent d’exercices avec corrigés).
à appliquer les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
de couverture, comme IFRS 9 l’autorise. et confirmer les acquis.
• Plan Comptable des Établissements de Crédit (PCEC) offert.
Connaissances requises
• Bonne connaissance en comptabilité générale ou avoir
assisté à la formation « Initiation à la comptabilité ».
PROGRAMME
Introduction Les dépôts de la clientèle :
– Les différents types de collecte.
L’activité bancaire et l’organisation de la profession.
– Le traitement comptable.
Les normes comptables (IFRS et françaises).
Les moyens de paiement et les systèmes de règlement.
Les états réglementaires (SURFI, COREP, FINREP).
Présentation synthétique :
Les principes de contrôle interne comptable.
– Des immobilisations, des provisions pour risques, fonds propres et divers.
– Du hors bilan.
Les activités bancaires classiques
– Des états financiers.
Démarche pédagogique commune à toutes les activités
bancaires classiques. Chacune des activités ci-après sera examinée Les titres et autres non dérivés
sous 4 aspects :
Les aspects économiques et techniques.
La comptabilisation des titres en normes françaises :
La présentation du plan de comptes (PCEC).
– Les titres de transaction.
La comptabilisation en IFRS et en normes françaises.
– Les titres de placement.
Des exercices et cas pratiques avec les schémas comptables.
– Les titres d’investissement.
– Les titres de participation et parts dans les entreprises liées.
Les concepts de « business model » et de test SPPI.
Les opérations interbancaires et de trésorerie :
Les différentes catégories d’actifs financiers :
– Les objectifs de la trésorerie d’une banque.
– Les actifs au coût amorti.
– Le traitement comptable.
– Les actifs en juste valeur par OCI recyclable.
Les aspects économiques des crédits clientèle :
– Les actifs en juste valeur par résultat.
– Crédits commerciaux.
– Les actifs en juste valeur par OCI non recyclable.
– Crédits de trésorerie.
– L’option juste valeur par résultat à l’actif.
– Crédits immobiliers.
Les passifs financiers :
– Crédits consortiaux.
– Les portefeuilles.
– Locations financières.
– L’option juste valeur par résultat au passif.
– Autres.
– Le cas du risque de crédit propre.
Le traitement comptable des crédits :
Les opérations de pension :
– Les règles générales.
– Aspects économiques.
– La notion de Taux d’Intérêt Effectif (TIE).
– Aspects juridiques.
Le risque de crédit.
– Aspects comptables.
Les normes françaises :
Les prêts et emprunts de titres.
– L’identification des créances douteuses.
Les opérations de pension :
– Les dépréciations individuelles.
– Aspects économiques.
La norme IFRS 9 :
– Aspects juridiques.
– La notion d’« expected loss ».
– Aspects comptables.
– Les trois étapes de la dépréciation.
– Les prêts et emprunts de titres.
PROGRAMME
Les opérations en devises Dérivés en normes françaises :
– Les textes applicables.
Les notions essentielles : position de change et position de trésorerie.
– Les quatre catégories :
Textes applicables et monnaie de comptabilité : IAS 21 et 39, ANC
• Microspéculation.
2014-07 (Ex. CRBF 89-01 et 90-01).
• Microcouverture.
La mécanique de la comptabilisation des opérations en devises :
• Macrocouverture.
– La comptabilité multi-devises.
• Gestion globale d’un portefeuille de transactions.
– Les comptes de position de change.
Comptabilisation des dérivés en IFRS : principes généraux :
– La réévaluation.
– Définition et champ d’application d’un dérivé.
Opérations de change au comptant :
– Principes généraux de comptabilisation en trading.
– Aspects techniques et économiques.
Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer les
– Marché des changes, cotation au certain, cotation à l’incertain.
dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme IFRS 9
– Évaluation et comptabilisation.
l’autorise.
Opérations de change à terme :
Comptabilisation des dérivés en IFRS : comptabilité de couverture :
– Aspects techniques et économiques.
– Principes généraux de la comptabilité de couverture.
– Cours du terme ; report et déport.
– Couverture de la juste valeur.
– Cotation des contrats de change à terme.
– Couverture des flux de trésorerie.
– Comptabilisation et évaluation selon les deux référentiels.
– Le « carve out ». Synthèse : évaluation des non-dérivés et dérivés en
– Couverture en IFRS et normes françaises.
comptabilité de couverture en IFRS.
Prêts et emprunts en devises :
– Synthèse : évaluation des non-dérivés et dérivés en comptabilité
– Caractéristiques techniques et économiques.
de couverture en IAS 39.
– Comptabilisation et évaluation ultérieures.
Les principes d’IFRS 9 en terme de couverture :
– Dépréciations des créances douteuses en devises.
– Les changements de la comptabilité de couverture.
NB : D’autres opérations en devises seront examinées
– Les nouvelles règles pour les dérivés incorporés.
dans la partie 5 « Produits dérivés ». Notamment les options
– Les impacts prévisibles.
de change et les swaps de devises.
Application à d’autres dérivés :
– Caps, floors, collars.
Dérivés
– Futures.
Les swaps de taux d’intérêt : – FRA.
– Mécanisme d’un swap de taux d’intérêt et son usage en fonction – Autres.
des différentes stratégies.
– Esquisse de leur comptabilisation.
Valorisation d’un swap :
– Les étapes de la valorisation d’un swap.
– Approche simplifiée.
l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques One
to
One
• Maîtriser le processus d’ensemble de la consolidation. • Documentation en PowerPoint.
• Distinguer les différents types de contrôle. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appliquer les différentes méthodes de consolidation associées. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Maîtriser les principales écritures propres à la consolidation. et confirmer les acquis.
• Présenter les états de synthèse consolidés.
Connaissances requises
Participants • Connaître l’essentiel des principes comptables bancaires
• Collaborateurs ayant récemment rejoint ou s’apprêtant à rejoindre français et IFRS.
un service de consolidation.
• Analystes financiers voulant comprendre les techniques de consolidation
utilisées dans les comptes qu’ils analysent.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Le cadre légal Conversion des comptes des sociétés étrangères
Normes françaises et normes internationales IFRS. (IAS 21)
Le rôle clé de la monnaie de fonctionnement.
Les différents types de contrôle Méthode du cours de clôture.
Définition du contrôle exclusif, du contrôle conjoint et de l’influence Méthode du cours historique.
notable (IFRS 10, 11 et IAS 28).
Traitement des entités structurées (IFRS 10). Notions sur les impôts différés
Informations à fournir sur les intérêts dans les autres entités (IFRS 12). Présentation de la norme IAS 12.
Impôt exigible vs impôt différé.
Pourcentage de contrôle et pourcentage d’intérêt Les sources d’impôt différé.
Définition, mode de calcul et utilité du % d’intérêt et du % de contrôle. Informations à fournir.
One
to
One IFRS sur les instruments
financiers (IFRS 9) :
les nouvelles règles comptables
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Identifier les changements récents et les projets en cours. • Documentation en PowerPoint.
• En évaluer les impacts. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Se préparer ainsi aux changements en les anticipant. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Tout public intéressé par l’évolution des normes comptables IFRS pour Connaissances requises
les banques et des projets en cours. • Bonne connaissance des IFRS.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Avertissement : le programme peut varier IFRS 9 : dépréciation des actifs financiers
en fonction de l'actualité Les faiblesses du système actuel.
Introduction Le modèle de pertes attendues vs le modèle des pertes avérées.
Expliquer l’environnement réglementaire. Les notions de pertes attendues (EL) à 12 mois et à maturité.
Les problématiques comptables : Les trois portefeuilles d’évaluation du risque de crédit.
– Coût amorti. Le cas particulier de la dépréciation du portefeuille en juste valeur
– Juste valeur. par OCI recyclable.
– Dépréciation.
Les faiblesses d’IAS 39. IFRS 9 : comptabilité de couverture
Désignation des instruments de couverture.
IFRS 9 : classement et évaluation Définition des éléments couverts :
des instruments financiers Les nouvelles conditions pour qualifier les opérations de couverture :
– Lien économique.
Les nouvelles catégories définies par IFRS 9 à l’actif :
– Quasi absence du risque de crédit.
– Le portefeuille au coût amorti :
– Ratio de couverture.
• Test sur le business model.
Les trois comptabilités de couverture :
• Instrument basique ou non basique (test SPPI sur les
– Fair value hedge.
caractéristiques de l’instrument financier).
– Cash-flow hedge.
– Le portefeuille en juste valeur par résultat.
– Net investment hedge.
– Le protefeuille en juste valeur par OCI recyclable.
Cas particuliers :
Les reclassements :
– La valeur temps des options.
– Synthèse de passage des anciennes catégories vers les nouvelles.
– Le report deport.
– Exemples de comptabilisation du passage d’IAS 39 vers IFRS 9.
Couverture d’un groupe d’éléments.
Les différents portefeuilles au passif :
Discussion paper sur la macro-couverture.
– Les passifs au coût amorti.
– Les activités de trading.
– Les différentes « options juste valeur ».
Les autres points d’actualité
– Le cas du risque de crédit propre (own credit risk). Point sur l’actualité comptable en fonction des nouveaux textes
Le format des états financiers des banques en IFRS 9 (ANC 2017-02). et projets.
de crédit : l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre l’essentiel des normes comptables internationales • Documentation en PowerPoint.
(IFRS 9) dans l’environnement bancaire. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Identifier les principales divergences par rapport aux normes • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
locales. et confirmer les acquis.
• Il est à noter que de nombreux établissements continuent
à appliquer les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité Connaissances requises
de couverture, comme IFRS 9 l’autorise. • Connaissances générales de la banque et de la finance.
Participants
• Toute personne souhaitant avoir une vue d’ensemble
sur les IFRS, en comprendre l’essentiel sans avoir besoin
d’entrer dans le détail.
PROGRAMME
Champ d’application et caractéristiques des IFRS Instruments financiers : dérivés (IFRS)
L’organisation de l’IASB. La comptabilisation des dérivés en trading.
La mise en place des IFRS dans l’Union européenne. Les conditions pour qualifier un dérivé de couverture :
– Les tests d’efficacité.
Instruments financiers non dérivés (IFRS 9) – La documentation.
Les deux grandes méthodes comptables La comptabilité de couverture :
– Le coût amorti. – La couverture en juste valeur.
– La juste valeur. – La couverture en flux de trésorerie.
La notion de « business model » et de test SPPI.
Les différents portefeuilles d’actifs : Comptes consolidés
– Les actifs au coût amorti. Comptes des groupes de sociétés : IFRS 10/11/12 et IAS 28.
– Les actifs en juste valeur par OCI recyclable. Les trois modes de contrôle et les méthodes de consolidation associées.
– Les actifs en juste valeur par résultat.
– Les actifs en juste valeur par OCI non recyclable. Provisions et avantages du personnel
– L’option juste valeur par résultat. Provisions, passifs et actifs éventuels, IAS 37 :
Les différents portefeuilles au passif : – Les conditions de comptabilisation des provisions.
– Les passifs au coût amorti. – Cas spécifiques.
– Les passifs en juste valeur par résultat. Avantages au personnel, IAS 19 :
– L’option juste valeur au passif. – Le coût des services rendus et le coût financier.
– Le cas de la comptabilisation du risque de crédit propre. – Les écarts actuariels.
Le traitement du risqué de crédit :
– La notion d’ « expected loss ». Autres normes
– Les trois étapes de la dépréciation.
Les autres normes seront vues en fonction des demandes des
participants.
One
to
One IFRS dans les établissements
de crédit : approfondissement
Objectif général Participants
• Utiliser les IFRS dans un environnement bancaire. • Responsables comptables, comptables, informaticiens,
• Souligner les normes plus particulièrement importantes pour les organisateurs, équipes projet et auditeurs internes et
établissements de crédit, IFRS 9 et IAS 39 (dérivés) notamment. externes, personnels des back et middle-offices, etc.
• Traduire ces normes en schémas comptables dans les situations • Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
les plus courantes.
• Identifier les changements en cours pour mieux les anticiper. Supports et moyens pédagogiques
• Illustrer la pratique des IFRS par les états financiers d’établissements • Documentation en PowerPoint.
bancaires. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer et confirmer les acquis.
les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme
IFRS 9 l’autorise. Connaissances requises
• Connaissance de comptabilité générale et de la banque.
PROGRAMME
Champ d’application et caractéristiques des IFRS • L’activité de trading.
• Les options en juste valeur par résultat.
L’organisation des IFRS.
• Le cas du risque de crédit propre.
Processus d’adoption d’une norme.
La notion de perte attendue (Expected credit loss).
Convergence internationale.
Les trois étapes de la dépréciation :
Caractéristiques des IFRS.
– L’étape 1 et la perte attendue 12 mois.
Panorama des normes publiées et cadre conceptuel.
– L’étape 2 et la perte attendue à maturité.
– L’étape 3 et les actifs non performants.
Instruments financiers
Champ d’application et définitions : Instruments financiers : dérivés
– Présentation des normes concernées.
Les règles comptables générales :
– Définition d’un instrument financier.
– Le portefeuille de trading.
– Les méthodes comptables utilisées :
– Le concept de clean price et de dirty price.
• Le coût amorti.
– La CVA et DVA.
• La juste valeur (IFRS 13).
Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer les
• La dépréciation.
dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme IFRS 9
• Le coût.
l’autorise.
– Présentation d’IFRS 9.
Comptabilité de couverture :
Instruments financiers non dérivés :
– Principes généraux de couverture :
– Notion de « business model ».
• La problématique.
– Notion d’instrument basique (test SPPI) et non basique.
• Les tests d’efficacité.
– Actifs au coût amorti :
• La documentation.
• Définition.
– Couverture en juste valeur :
• Traitement comptable.
• Explication économique.
– Les actifs en juste valeur par résultat :
• Traitement comptable.
• Définition.
– Couverture en flux de trésorerie :
• Traitement comptable.
• Explication économique.
– Les actifs en juste valeur par OCI non recyclable :
• Traitement comptable.
• Les actions stratégiques.
• La notion de dérivé hypothétique.
• Traitement comptable.
– Couverture d’un investissement net à l’étranger :
– Les passifs au coût amorti.
• Explication économique.
– Les passifs en juste valeur par résultat :
• Traitement comptable.
PROGRAMME
– La macro couverture : Provisions et avantages du personnel
• Explication du risque global de taux.
Provisions, passifs et actifs éventuels, IAS 37.
• Traitement comptable du « carve out ».
Avantages au personnel, IAS 19 révisée.
Immobilisations et dépréciations Autres normes
Immobilisations corporelles, IAS 16.
En fonction des questions des participants :
Immeubles de placement, IAS 40.
– Impôts sur le résultat, IAS 12.
Immobilisations incorporelles, IAS 38.
– Tableau des flux de trésorerie, IAS 7.
Contrats de location, IAS 17 et IFRS 16.
– Présentation des états financiers.
– IFRS 15.
– Autres.
One
to
One IFRS: the essential
General objectifs Training Supports
• Using IFRS in a banking environment. • PowerPoint documentation.
• Highlighting the standards that are particularly relevant for credit • Exercise materials and case studies with an answer key.
institutions. • Alternating examples and exercises and case studies.
• Translating those standards into accounting schemes in the most • Single-choice quiz, synthesis, Q&A, in order to check,
common situations. review and confirm the knowledge acquired.
• Assessing their impact on financial position and performance.
Pre-requisites
Participants • Familiarity with general accounting practices
• Accounting managers, accountants, IT specialists, organisers, project and the banking sector.
teams and internal and external auditors, back and middle-office staff,
etc.
PROGRAMME
Scope of application and features of IFRS – Accounting schemes.
– Specific case of assets at fair value through non-recyclable OCI.
Aims of the IASB.
Assets at fair value through PL:
The choices made by the European Union.
– Content.
The French issue.
– Accounting schemes.
Situation in Europe and the rest of the world.
– Specific issue of the “fair value option”.
Overview of published standards.
Notion of “expected loss”.
The three buckets of the impairment.
Financial instruments: definition
Liabilities at amortized cost.
and accounting principles Liabilities at fair value:
Defining financial instruments. – Trading.
The various methods: – Fair value option.
– Amortised cost. – The specific case of the own credit risk.
– Fair value.
– Impairment. Derivative financial instruments
– Notion of business model and SPPI test.
Trading classification.
– Summarized overview of IAS 39.
Conditions for classifying a derivative as a hedging item.
The issue.
Non-derivative financial instruments The three main conditions (imder IAS 39).
Assets at amortized cost: Fair value hedge:
– Conditions of classification. – Definition.
– Accounting schemes. – Accounting schemes.
Assets at fair value through OCI:
– Content.
PROGRAMME
Banking accounting environment Other transactions and accounts
Basic rules of banking accounting. Means of payment.
Individual and consolidated financial statements: Notion of suspense accounts.
– Targets of the different financial statements. Provisions.
– Content of the banking accounts. Tangible and intangible assets.
Different used accounting methods:
– The amortized cost method. The classification and measurement
– The fair value method. The different portfolios defined by IFRS 9:
– The impairment method. – Assets at amortized cost,
– Presentation of IFRS 9. • Notion of “business model”.
• SPPI test.
Lending transactions – Assets at fair value through OCI (recyclable and non-recyclable).
Lending operations: – Assets at fair value through PL:
– Short-term loans. • General rules.
– Equipment loans. • Specific case of the fair value option.
– Housing loans. – Liabilities at amortized cost.
– Liabilities at fair value:
The credit risk • Trading.
The notion of “expected loss”. • Fair value option.
The three buckets of impairment. • The own credit risk.
One
to
One Consolidation des comptes :
approfondissement
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les problèmes soulevés par la conversion des comptes des • Documentation en PowerPoint.
sociétés étrangères, les impôts différés et les variations de pourcentage • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
de participation. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Établir le tableau de variation des capitaux propres. et confirmer les acquis.
PROGRAMME
Rappel de l’essentiel Première entrée d’une entreprise
Les obligations imposées par les différents textes : état de l’art et dans le périmètre IFRS 3
évolutions. Coût d’acquisition des titres.
Pourcentage d’intérêt/pourcentage de contrôle. Juste valeur des actifs et passifs acquis.
Périmètre de consolidation. Option pour le traitement des minoritaires.
Méthodes de consolidation (IFRS 10, 11 et IAS 28). Traitement du goodwill.
Retraitements d’homogénéité. Spécificités des entreprises associées.
Ajustement et élimination des comptes réciproques. Evaluation postérieure.
Élimination des opérations internes.
Les variations de pourcentage d’intérêt :
Conversion des comptes des sociétés étrangères IFRS 10, IFRS 11, IAS 28
(IAS 21) Augmentation du pourcentage d’intérêt sans changement de méthode.
Le rôle clé de la monnaie de fonctionnement. Augmentation du pourcentage d’intérêt avec changement de méthode.
Méthode du cours de clôture. Diminution du pourcentage d’intérêt sans changement de méthode.
Diminution du pourcentage d’intérêt avec changement de méthode.
Mise en œuvre des impôts différés (IAS 12)
Les principes : approche bilantielle, conception étendue, report variable. Le tableau de variation des capitaux propres
Définitions : impôt exigible/impôt différé ; valeur comptable/fiscale des (TVCP)
actifs et des passifs. Les composantes du tableau.
Les sources d’impôt différé. Principes d’élaboration.
Évaluation et comptabilisation.
Présentation au bilan et informations à fournir en annexe.
PROGRAMME
Les marchés de la location financière Contrats de location, règles internationales
Les différents contrats de location et les chiffres clés. IAS 17/IFRS 16 et autres
Les variétés de contrats de location :
Contrats de location – Règles françaises – Locations de véhicules.
Textes de référence. – Formes particulières de location.
Applications en « comptabilité sociale » : – Lease back.
– Schémas comptables détaillés. – Types de montages avec des opérations de crédit-bail.
– Événements antérieurs à la mise en loyer. – Aspects fiscaux des contrats de location pour les preneurs.
– La mise en loyer. IFRS 16 - Contrats de lease :
– Événements postérieurs à la mise en loyer. – Définitions et points de repères.
– Modalités d’application des règles d’IFRS 16.
Contrats de location – Approche financière – Illustrations (y compris effets FTA).
– Comptabilisation des locations financement.
Déclassement en douteux. – Comptabilisation des locations opérationnelles.
Résiliation. Options de comptabilisation et impacts :
ITNL - Immobilisations Temporairement Non Louées. – Identification et contrôle des actifs.
Récupération du matériel - vente - solde de dossier. – Choix des durées.
Option d’achat (levée anticipée ou à l’échéance). – Taux d’actualisation.
Applications en « comptabilité financière » : – Ré-estimations annuelles.
– Principes de la comptabilité financière. – Traitement des coûts liés aux contrats.
– Exemple du suivi parallèle entre « social » et « financier ».
Enjeux et évolutions
Les reportings réglementaires
IFRS et système d’information.
Place des contrats de location dans le déclaratif réglementaire. Dispositions transitoires.
États SURFI. Nouvelles données à gérer.
Reporting COREP et FINREP. Liens avec IFRS 9 sur les instruments financiers :
Impacts sur les ratios prudentiels : solvabilité, liquidité. – Classification évaluation et dépréciation.
Nouvelles dispositions du MSU.
One
to
One Comptabilité des opérations
de hors bilan
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Découvrir le contenu du hors bilan (classe 9). • Documentation en PowerPoint.
• Connaître les règles et principes de comptabilisation. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Approfondir et illustrer l’enregistrement comptable des principales • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
opérations de hors bilan. et confirmer les acquis.
• Faire le lien avec l’approche IFRS au bilan (valorisation des
engagements et des éventuelles provisions sur engagements). Connaissances requises
• Comptabilité de base.
Participants
• Responsables et collaborateurs comptables.
• Personnel des back-offices, des services audit, inspection et contrôle.
PROGRAMME
Présentation générale du hors bilan Les engagements sur titres.
Les opérations en devises.
Les différentes sous-classes du hors bilan : définitions et contenu.
Les instruments financiers à terme.
Les comptes rattachés à chaque sous-classe.
Les attributs d’identification du hors bilan.
Les principaux états périodiques relatifs au hors bilan.
La prise en compte du hors bilan dans les ratios
Ratio de solvabilité.
Principes généraux de comptabilisation Grands risques.
des opérations de hors bilan
Mécanisme comptable.
Les informations à fournir dans les comptes
Exemple de comptabilisation. annuels
Les difficultés spécifiques à la comptabilisation et au contrôle Liste des informations à fournir.
du hors bilan.
Le hors bilan et les IFRS
Comptabilisation des opérations de hors bilan Relation entre le hors bilan et les IFRS (valorisation).
Les engagements de financement.
Les engagements de garantie.
Participants
• Responsables et collaborateurs des services comptables, contentieux,
exploitation et back-office.
• Personnel des services audit, inspection et contrôle.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction Les provisions (de passif)
Évolution et situation des dépréciations et des provisions Principales définitions : risques pays, FRBG, provisions pour risques et
dans les établissements de crédit. charges, provisions réglementées.
Les différentes catégories de dépréciations et de provisions. Évaluation, comptabilisation et traitement fiscal des provisions.
Le traitement de chaque type de provision sera illustré par un exemple
Cadre réglementaire, comptable et fiscal après avoir présenté les règles applicables.
Les textes comptables français en vigueur : – Provisions pour risques et charges :
– Comptabilisation initiale. • Provisions pour engagements de retraites.
– Identification et traitement du risque de crédit. • Provisions pour risques pays.
Les normes IAS/IFRS applicables. • Provisions pour engagements par signature.
Traitement IFRS 9 : définition, classification et calcul. • Les engagements sur les contrats d’épargne logement.
Les règles fiscales. • Les risques opérationnels.
Rappel des obligations liées aux dépréciations et aux provisions dans le – FRBG.
cadre du contrôle interne. – Provisions réglementées.
Cycle certifiant
Comptabilité des titres
et autres non-dérivés
One
to
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Définir les différentes natures de titres et les concepts. • Documentation en PowerPoint.
• Situer l’activité titres dans son environnement financier et comptable. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Traduire l’activité en comptabilité IFRS 9 et normes françaises. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Appliquer et pratiquer la comptabilité titres. et confirmer les acquis.
• Évaluer les impacts sur le résultat et les risques.
• Évaluer les changements en cours pour les anticiper (IFRS 9). Connaissances requises
• Illustrer l’activité titres dans les états financiers. • Bonne connaissance de la comptabilité générale ou avoir
assisté à la formation « Initiation à la comptabilité » ou
Participants « Comptabilité bancaire : opérations classiques ».
• Responsables et collaborateurs de la comptabilité, des back-offices, de
l’inspection et du contrôle de gestion dans les établissements de crédit.
• Responsables administratifs ayant la charge du portefeuille titres.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction aux titres et autres non dérivés – Les actifs en juste valeur par OCI non Recyclable :
• Les actions stratégiques.
Présentation du référentiel comptable IFRS et « French ».
• Traitement comptable.
Différentes natures de titres en fonction de caractéristiques économiques.
– Les passifs au coût amorti.
Présentation du cadre comptable (PCEC).
– Les passifs en juste valeur par résultat :
Les différentes méthodes de comptabilisation :
• L’activité de trading.
– Coût amorti.
• Les options en juste valeur par résultat.
– Juste valeur.
Le cas du risque de crédit propre.
– Dépréciation.
Présentation d’IFRS 9.
Le risque de crédit en IFRS 9
La comptabilisation des titres en normes La notion de perte attendue (Expected credit loss).
françaises Les trois étapes de la dépréciaton :
– L’étape 1 et la perte attendue 12 mois.
Les titres de transaction.
– L’étape 2 et la perte attendue à maturité.
Les titres de placement.
– L’étape 3 et les actifs non performants.
Les titres d’investissement.
Les parts dans les entreprises liées.
Les titres de participation et autres titres détenus à long terme.
Cession et transfert de titres et autres non-dérivés
Les opérations de pensions (Repo).
La comptabilisation des titres en normes IFRS 9 Les opérations de prêts et emprunts de titres.
Les opérations de titrisation.
Instruments financiers non dérivés :
Les critères de comptabilisation et de décomptabilisation.
– Notion de business model ».
– Notion d’instrument basique (test SPPI) et non basique.
– Actifs au coût amorti :
Informations relatives aux instruments financiers,
• Définition. filtres prudentiels et divers
• Traitement comptable. Présentation (IAS 32) et informations IFRS 7.
– Les actifs en juste valeur par OCI recyclable : Les filtres prudentiels sous Bâle III.
• Définition. Comptabilité espèces et systèmes de règlement livraison.
• Traitement comptable.
– Les actifs en juste valeur par résultat :
• Définition.
• L’option juste valeur due à la distorsion comptable.
• Traitement comptable.
en devises
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Expliquer le mécanisme des opérations en devises et son impact • Documentation en PowerPoint.
sur le risque et le résultat de change. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Traduire l’activité devises en comptabilité IFRS et normes françaises. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Appliquer et pratiquer la comptabilité en devises. et confirmer les acquis.
• Évaluer les impacts sur le résultat et les risques.
Connaissances requises
Participants • Bonnes bases de comptabilité générale ou avoir assisté
• Responsables et collaborateurs des services comptables et back et à la formation « Initiation à la comptabilité »
middle-offices, de l’audit, du contrôle de gestion, de l’informatique, de ou « Comptabilité bancaire : opérations classiques ».
l’étranger et de l’international.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Position de change et position de trésorerie Prêts et emprunts en devises
Les notions essentielles : position de change et position de trésorerie Caractéristiques techniques et économiques.
selon l’approche patrimoniale et l’approche opérationnelle. Comptabilisation et évaluation ultérieures.
Les objectifs de l’activité devises. Dépréciations des créances douteuses en devises.
Principes de contrôle interne et de gestion du risque de change.
Titres en devises
Mécanique comptable des opérations de change Exceptions au principe général en IFRS.
Mécanisme de transfert des devises. Exceptions au principe général en normes françaises.
Mécanisme des comptes, techniques de position de change
et contrevaleur de position de change. Swaps de devises
Réévaluation des opérations de bilan et hors bilan. Swap de trésorerie ou swap de change.
Swap financier de devises.
Évaluation et comptabilisation Comptabilisation et évaluation.
Textes applicables et monnaie de comptabilité : IAS 21, IAS 39 et IFRS 9,
règlement ANC 2014-07 (ex. CRBF 89-01). Intérêts implicites
Usage de comptes techniques de position de change et contrevaleur de Définition des intérêts implicites :
position de change. – Expression du report-déport dans les deux devises.
Distinction entre éléments monétaires et éléments non monétaires en IAS – Impact dans la position de change de la valeur actuelle de
21 et éléments immobilisés et autres éléments en normes françaises. l’engagement.
Principes de comptabilisation et d’évaluation. – Conséquence sur les schémas comptables du change à terme.
Couverture des intérêts non courus en devises.
Opérations de change au comptant
Aspects techniques et économiques des opérations de change au comptant. Options de change
Marché des changes, cotation au certain et à l’incertain. Caractéristiques techniques et économiques.
Comptabilisation et évaluation selon les deux référentiels. Paramètres et principe de valorisation.
Opérations de couverture. Quelques options de change exotiques (barrières, asiatiques...).
Comptabilisation initiale.
Opérations de change à terme Évaluation et comptabilisation ultérieures.
Aspects techniques et économiques des opérations de change à terme.
Cours du terme ; report et déport. Opérations clientèle en devises
Cotation des contrats de change à terme. Contexte.
Comptabilisation et évaluation selon les deux référentiels. Particularités des opérations clientèle.
Couverture en IFRS et normes françaises. Comptabilisation des opérations clientèle.
Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer
les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme
IFRS 9 l’autorise.
Cycle certifiant
Comptabilité des produits
dérivés
One
to
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Expliquer le mécanisme économique et technique des produits dérivés • Documentation en PowerPoint.
et leur usage. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Traduire l’activité en IFRS et en normes françaises selon les stratégies • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
trading ou couverture. et confirmer les acquis.
• Appliquer et pratiquer la comptabilité des produits dérivés.
• Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer Connaissances requises
les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme • Bonnes bases de comptabilité et notions sur les produits
IFRS 9 l’autorise. dérivés.
Participants
• Responsables et collaborateurs de la comptabilité, des back
et middle-offices, de l’inspection, du contrôle de gestion,
de l’informatique, du back-office et de l’étranger.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : instruments et marchés Les nouvelles conditions de la mise en place de la comptabilité
de produits dérivés de couverture.
Les cas particuliers :
Différentes natures d’instruments financiers.
– La valeur temps des options.
Différents types de marchés de produits dérivés.
– Le report-déport.
Caractéristiques des marchés réglementés et des marchés de gré à gré.
– L’option juste valeur et le risque de crédit.
Usage des contrats.
de marché : l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Définir les différentes natures d’instruments financiers et les concepts. • Documentation en PowerPoint.
• Situer l’activité de marché dans son environnement financier • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
et comptable. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Traduire l’activité en comptabilité IFRS 9, IAS 39 (dérivés) et confirmer les acquis.
et en normes françaises.
• Appliquer par des exercices et cas pratiques. Connaissances requises
• Évaluer les impacts sur le résultat et les risques. • Connaissance de la comptabilité générale ou avoir assisté
• Évaluer les changements en cours pour les anticiper (IFRS 9). à la formation « Initiation à la comptabilité ».
• Illustrer l’activité titres dans les états financiers.
• Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer
les dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme
IFRS 9 l’autorise.
Participants
• Personnel des services comptables, back-offices, d’audit
et d’organisation.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Les titres et autres non dérivés Les opérations en devises
Présentation du référentiel comptable IFRS et « french ». Présentation des notions essentielles de position de change et position
Définition d’un instrument financier. de trésorerie par l’approche patrimoniale et l’approche opérationnelle.
Différentes natures de titres en fonction de caractéristiques Présentation des comptes techniques de position de change
économiques. et de contrevaleur de position de change.
Présentation du cadre comptable (PCEC) et du poids des titres dans le Réévaluation des opérations de bilan et hors bilan.
bilan consolidé des banques françaises. Opérations de change au comptant :
Les méthodes comptables utilisées : – Aspects techniques et économiques.
– Le coût amorti. – Marché des changes, cotation au certain, cotation à l’incertain.
– La juste valeur. – Comptabilisation et évaluation selon les deux référentiels.
– La dépréciation. Opérations de change à terme :
Les titres en normes françaises : – Aspects techniques et économiques.
– Les titres de transaction. – Cours du terme ; report et déport.
– Les titres de placement . – Cotation des contrats de change à terme.
– Les titres d’investissement. – Comptabilisation et évaluation selon les deux référentiels.
Les titres en normes IFRS 9 : – Couverture en IFRS et normes françaises.
– Notions de « business model ». Prêts et emprunts en devises et titres en devises :
– Définition des tests SPPI (instruments basiques) et notion de dérivés – Aspects techniques et économiques.
incorporés. – Comptabilisation et évaluation ultérieures.
Les portefeuilles d’actifs en IFRS 9 : – Dépréciations des créances douteuses en devises.
– Les actifs au coût amorti.
– Les actifs en juste valeur OCI recyclable. NB : d’autres opérations en devises seront examinées
– Les actifs en juste valeur. dans la partie 3 « Produits dérivés ». Notamment les options
– Les actifs en juste valeur par OCI non recyclable. de change et les swaps de devises.
– L’option juste valeur pour les passifs.
Les passifs financiers en IFRS 9 : Dérivés
– Les passifs au coût amorti. Introduction :
– Les passifs en juste valeur : – Les différentes natures d’instruments financiers et les différents types
• Les activités de trading. de marchés de produits dérivés.
• Les options « juste valeur ». – Caractéristiques des marchés réglementés et des marchés de gré à gré.
• Le cas de la comptabilisation du risque de crédit-propre. – Usage des contrats.
Les nouvelles règles de dépréciation : – Poids des dérivés dans le bilan (et le hors bilan) dans les banques.
– La notion de pertes attendues (EL) 12 mois et à maturité. Les swaps de taux d’intérêt :
– Les trois étapes de la dépréciation. – Mécanisme d’un swap de taux d’intérêt et son usage en fonction
Les opérations de pension livrée. des différentes stratégies.
Les prêts et emprunts de titres. Valorisation d’un swap :
PROGRAMME
– Les étapes de la valorisation selon méthode obligataire et du coût – Les nouvelles règles pour les dérivés incorporés.
de remplacement. – Les impacts prévisibles.
Les conventions-cadre de compensation (master agreement). – Synthèse : évaluation des non-dérivés et dérivés en comptabilité de
Comptabilisation des dérivés en IFRS : principes généraux hors couverture en fonction d’IFRS 9.
couverture : Comptabilisation des dérivés en normes françaises :
– Définition et champ d’application d’un dérivé. – Les textes applicables.
– Principes généraux de comptabilisation. – Les quatre catégories : micro-spéculation (cat a), micro-couverture
– Schémas comptables de base : changements de juste valeur, flux (cat b), macro-couverture (cat c), gestion globale d’un portefeuille de
d’intérêt, coupon courus. transaction (cat d).
Comptabilisation des dérivés en IFRS : comptabilité de couverture : Application aux autres contrats : les options :
– Principes généraux de la comptabilité de couverture. – Options : mécanisme et valorisation.
– Couverture de la juste valeur. – Présentation simplifiée du modèle Black-Scholes.
– Couverture des flux de trésorerie. – Aperçu sur les options exotiques.
– Tests d’efficacité prospectifs et rétrospectifs. Application aux autres contrats : les autres contrats :
– Synthèse : évaluation des non-dérivés et dérivés en comptabilité – Cap, floor, collar.
de couverture en IAS 39. – Options sur swaps de taux (swaption).
Autres couvertures et dérivés incorporés : – Contrats sur actions et sur indices boursiers sur marchés réglementés.
– Macro couverture. – Options sur matières premières (commodities).
– Couverture d’un investissement net dans une entité étrangère. – Contrats sur marchés organisés de taux (contrat notionnel et Euribor).
– Dérivés incorporés. Séparer ou pas ? (bifurcation). – Options de change.
Il est à noter que de nombreux établissements continuent à appliquer les – Dérivés de crédit.
dispositions d’IAS 39 pour la comptabilité de couverture, comme IFRS 9 – Swap financier de devises.
l’autorise. – Equity swaps, FRA.
Le remplacement d’IAS 39 : IFRS 9 (phase 3) :
– Les changements pour la comptabilité de couverture.
Connaissances requises
• Bonnes bases de comptabilité générale bancaire et notions
sur l’économie des produits structurés.
PROGRAMME
Présentation des produits et opérations structurés – L’analyse de l’économie des opérations et la problématique de
l’homogénéisation de l’évaluation des opérations élémentaires du
Présentation économique des produits et opérations structurés.
portefeuille ou de la stratégie.
Éléments de méthodologie d’analyse de l’économie des produits et
– Les différentes méthodes comptables (juste valeur, coût amorti et
opérations structurés (identification des opérations sous-jacentes, etc.).
dépréciation).
Typologie de produits et opérations structurés.
– Les différents portefeuilles comptables.
Les acteurs et les volumes dans les établissements de crédit.
– Instruments en juste valeur par résultat ( non SPPI, non HTC et FVO).
– Classifications coût amorti, juste valeur par OCI recyclable ou non
Présentation des produits sous-jacents
recyclable par résultat et juste valeur par résultat (par défaut ou sur
Les supports. option).
Les options. – Les autres dettes.
Les éléments de valorisation des options. – La problématique des dérivés incorporés.
Les « grecs » des options. En normes comptables françaises.
Les différentes options. Analyse critique pratique d’une stratégie et de son traitement comptable
Les autres produits sous-jacents. par les services de la banque.
One
to
One Élaboration et interprétation
du tableau de flux de trésorerie
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Le tableau de flux de trésorerie consolidé est un état obligatoire en • Documentation en PowerPoint.
normes IFRS. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Sa lecture apporte des informations extrêmement précieuses sur • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
les flux de l’année d’un groupe, en les éclatant entre les opérations et confirmer les acquis.
d’exploitation, d’investissement et de financement.
• L’objectif de cette formation est de savoir : Connaissances requises
– Élaborer le tableau de trésorerie en règles françaises • Connaissance générale des IFRS et maîtrise des
et en normes IFRS. principes de consolidation française.
– Savoir l’interpréter.
Participants
• Consolideurs, responsables administratifs et financiers, comptables
impliqués dans l’établissement d’une consolidation aux normes IFRS.
PROGRAMME
Réglementation Impact des éliminations des prestations intragroupe :
– Les flux réciproques.
Rappel de la réglementation française et IFRS.
– Les contrats internes.
Identifier les obligations en matière de publication.
– Les dividendes.
Faire une analyse comparative des différents référentiels.
Incidence des variations de périmètre :
– Les acquisitions et les cessions d’entreprises.
Choix de la méthode de présentation
– Les acquisitions complémentaires de titres.
Méthode directe ou indirecte. Les fusions et autres opérations de restructuration :
– Prendre en compte les sociétés mises en équivalence.
Construction du tableau des flux de trésorerie
consolidé Informations complémentaires à fournir en annexe
Ventilation des flux, exploitation, investissement, financement. Présentation des informations complémentaires à fournir en annexe.
Incidence des retraitements de consolidation :
– Les contrats de location financement. Revue des pratiques de présentation des groupes
– Les impôts différés.
Présentation des TFT de certains groupes bancaires.
– Les méthodes d’évaluation.
Participants
• Responsables et collaborateurs comptables.
• Commerciaux des compagnies d’assurance, agents généraux, courtiers
spécialisés en retraite.
• Directeur des ressources humaines, Compensation and Benefit Manager.
• Actuaire, chargé d’études actuarielles, chargés d’études de produits
de retraite collective.
• Directeur financier, directeur administratif et financier,
Directeurs généraux.
• Responsables de fonds de pension.
PROGRAMME
Introduction Hypothèses d’évaluations actuarielles
Enjeux et passifs sociaux en France. Principe.
Normes en contexte international. Hypothèses internes à l’entreprise.
IFRS et normes IAS. Hypothèses externes à l’entreprise.
Application de la norme IAS 19. Données salariales.
Recommandations de l’Autorité des Normes Comptables. Impacts des hypothèses sur l’engagement.
One
to
One Bases des impôts différés
dans les établissements de crédit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre le concept de détermination des impôts différés et savoir • Documentation en PowerPoint.
l’appliquer à la banque. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Identifier et maîtriser les principales difficultés. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Mesurer l’impact des normes de consolidation françaises et IFRS et confirmer les acquis.
(IAS 12) sur les impôts différés.
• Intégrer les conséquences de l’intégration fiscale sur les impôts différés. Connaissances requises
• Etablir une Preuve d’impôts. • Notions de fiscalité et de banque.
• Notions de comptabilité en normes IFRS ou de consolidation.
Participants
• Responsables et collaborateurs des services comptables
et de consolidation.
• Responsables et collaborateurs fiscaux de la banque.
PROGRAMME
Grands principes Spécificités bancaires
Norme IAS 12. Instruments financiers (JVR non recyclable-JVR recyclable, dérivés).
Impôt exigible et impôt différé. Prêts conclus à des conditions hors marché.
Approche bilantielle.
Report variable. Cas de synthèse
Cas pratique d’ensemble.
Détermination de l’impôt/Comptabilisation
de l’impôt
Impôt différé en IFRS.
5 novembre 2019
comptables
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Définir le manuel de procédures comptables et rappeler les obligations • Documentation en PowerPoint.
comptables et réglementaires. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Proposer un contenu et fixer les limites. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Donner des règles pour la constitution et la mise à jour. et confirmer les acquis.
• Illustrer son contenu par des exemples.
Connaissances requises
Participants • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
• Personnel des services comptables, de contrôle,
d’audit et d’organisation.
PROGRAMME
Contexte et environnement – Définir l’objectif.
– Fixer les règles de mise à jour.
Un cadre normatif.
Le contenu du manuel sera défini en tenant compte :
Des grandes fonctions obligatoires.
– Des applicatifs et du système d’information.
Des organes de contrôle.
– De l’organisation comptable existante et de ses objectifs.
Le contrôle interne.
– Des contraintes réglementaires définies par l’arrêté du
3 novembre 2014 concernant le contrôle interne.
Cadre légal et réglementaire
Conseils et recommandations.
Le cadre comptable. Documents illustrant la présentation des différentes composantes du
Le cadre réglementaire et prudentiel. manuel des procédures comptables.
Les contraintes fiscales.
Paramétrage comptable
Objectifs du manuel comptable
Présentation de l’organisation générale des traitements.
Les objectifs du manuel. Identification des différentes étapes conduisant au paramétrage.
Liste des prérequis.
Public concerné Contrôles à mettre en place.
Le public concerné. Les 10 règles clés pour assurer un bon paramétrage.
Proposition de contenu
Démarche préalable à l’élaboration du manuel des procédures
comptables :
Cycle certifiant
Contrôle comptable bancaire
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Souligner le rôle et les enjeux du contrôle interne comptable. • Documentation en PowerPoint.
One
to
One • Identifier les différentes obligations liées au contrôle interne comptable. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Définir le positionnement adéquat d’un contrôle comptable de 2eme niveau. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Partager les bonnes pratiques dans la mise en place d’un dispositif de et confirmer les acquis.
contrôle interne comptable adapté.
• Dégager des axes de contrôle par nature de comptes et d’opérations. Connaissances requises
• Environnement bancaire et financier.
Participants
• Comptables, contrôleurs internes permanents et comptables, auditeurs
internes, membres de l’inspection générale.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Environnement général du contrôle interne La mise en œuvre du contrôle interne comptable
Les risques majeurs inhérents à l’activité bancaire. par famille de comptes et par activité
Acteurs et organisation du contrôle interne. Chacune des activités sera examinée selon la méthodologie suivante :
Le cadre légal et réglementaire, l’arrêté du 3 novembre 2014. – Les risques et les objectifs du contrôle comptable.
Définition et objectifs du contrôle interne. – Les comptes du PCEC.
Principes du dispositif de contrôle interne (permanent et périodique). – Par nature de compte, un aperçu des contrôles possibles de premier
et de deuxième niveau et les programmes de contrôle associés.
Les exigences et bonnes pratiques – Le Hors Bilan et les comptes de résultat seront traités au fur
du contrôle interne comptable et à mesure des activités les concernant.
Le risque comptable.
Spécificités de la comptabilité bancaire. N.B. Un rappel des règles comptables de chaque activité selon
Organisation de la fonction comptable. le référentiel français et les IFRS sera effectué (mais elles sont
Objectifs et organisation du contrôle interne comptable. présumées connues des participants.
Principes organisationnels et répartition des responsabilités entre
les acteurs internes et externes. – Les opérations avec la clientèle (crédits, créances douteuses, dépôts).
La piste d’audit. – Les opérations interbancaires et de trésorerie.
Manuel de procédures comptables. – Les titres.
Procédure de justification des comptes. – Les autres actifs et passifs.
Les techniques de justification des comptes. – Les comptes de régularisation et autres comptes à risque.
Typologie des comptes selon une approche par les risques :
mise en place de la classification des risques comptables.
Les outils du contrôle comptable (boîte à outils) : présentation
des programmes standards de contrôle.
PROGRAMME
Environnement bancaire et financier – Évaluation du montant de la dépréciation (ou provision).
Comptabilisation des créances douteuses et dépréciées.
L’activité bancaire et financière.
L’audit des créances douteuses et dépréciées.
L’organisation de la profession, le nouveau dispositif européen.
Cycle certifiant
Environnement comptable
et contrôle interne
One
to
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Identifier les exigences de la règlementation bancaire en matière • Documentation en PowerPoint.
de contrôle comptable. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender le double référentiel comptable. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Définir les risques comptables. et confirmer les acquis.
• Maîtriser la méthodologie de contrôle des différents risques comptables. • Travaux en sous-groupes notés et études de cas.
• Souligner le rôle des acteurs du dispositif de contrôle interne comptable.
Conditions d’accès
Participants • 3 ans d’expérience en contrôle bancaire.
• Responsables et collaborateurs des structures de contrôles (inspection • Bac +3.
et audit, contrôle permanent et risques), des services de comptabilité, • Entretien de validation des acquis et de l’expérience
des back et middle-offices, du contrôle de gestion. si ces deux premières conditions ne sont pas remplies.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
L’environnement comptable – Les relations avec les organes externes de contrôle (inspection du
groupe, commissaires aux Comptes, ACPR, BCE, etc.)
L’activité bancaire et l’organisation de la profession.
– Typologie des différentes faiblesses constatées.
Les normes comptables IFRS :
– Les meilleures pratiques.
– Les acteurs : IFRS Fondation, IASB, IFRS Interpretation Committee.
Typologie des comptes selon une approche par les risques. Notation
– Processus d’adoption d’une norme par l’IASB.
des comptes par niveau de risque (comptes sensibles) : définition
– Les acteurs européens : EFRAG, Comité d’examen des avis sur
et exemples. Alimentation manuelle. Comptes de stocks et comptes
les normes comptables, ARC, Commission et Parlement européens.
suspens.
– Processus d’adoption d’une norme en Europe.
La piste d’audit : approche statique et approche dynamique. Impacts
– Caractéristiques des IFRS.
pratiques de ces deux notions pour les inspecteurs.
– Présentation générale des IFRS en vigueur et en préparation.
Manuel de procédures comptables :
– Focus sur la norme IFRS 9
– Organisation comptable de l’établissement (charte comptable).
– Les IFRS dans le monde.
– Plan de comptes et fiches de comptes (cœur du dispositif).
Le Cadre conceptuel IFRS.
– Système d’information comptable et financier.
Méthodes comptables, changements d’estimations et erreurs (IAS 8).
– Normes comptables.
Les normes comptables françaises :
– Schémas comptables.
– Spécificités de la comptabilité bancaire.
– Organisation de la justification des comptes.
– Les acteurs successifs du référentiel comptable français.
La communication des établissements de crédit dans leurs états
– Présentation des principaux règlements et avis spécifiques
financiers sur le risque comptable : les meilleures pratiques.
aux établissements de crédit.
Le cadre légal et réglementaire, l’arrêté du 3 novembre 2014.
– Évolutions passées et prévisibles.
Les différents types de contrôle et des outils : sondages, examen
– Critères de sélection des textes comptables.
analytique, contrôle de substance, lettrage, etc.
Le plan comptable des établissements de crédit (PCEC).
Les référentiels d’audit : Normes d’Exercice Professionnel (NEP), COSO, etc.
Les états réglementaires (SURFI, FINREP, COREP).
Démarche et techniques d’audit comptable (boîte à outils) :
Présentation des états financiers des principaux groupes bancaires.
– Quatre techniques pour justifier les comptes.
– Trois étapes pour réaliser un audit comptable.
Environnement du contrôle interne comptable
– Huit programmes standards à la disposition de l’auditeur.
Les risques majeurs inhérents à l’activité bancaire. La mise en œuvre de l’audit comptable :
Dispositif général du contrôle interne : définition du contrôle interne, – Objectifs, risque d’audit, limites.
les acteurs du contrôle interne, composantes du contrôle interne selon – Prise de connaissance, importance de la bonne compréhension
l’arrêté du 3 novembre 2014. de l’activité et des risques.
Le risque comptable et ses conséquences : – Évaluation de la qualité du contrôle interne.
– Comptes non justifiés : exemples, conséquences, notion de « contrôles généraux ». – Planification de la mission.
– Mauvaise application des normes comptables : exemples, – Le programme d’audit.
conséquences, notion de « contrôles spécifiques ». – Étapes de l’audit comptable.
Spécificités de la comptabilité bancaire et l’organisation de la fonction – Synthèse de la mission.
comptable qui en découle. – Prérequis de l’auditeur.
Dispositif de contrôle interne comptable :
– Les trois niveaux de contrôle : qui fait quoi ? Définition, rôle de chaque Contrôle continu (si cycle certifiant)
acteur, les critères d’évaluation.
Travaux en atelier sur un cas au choix.
– Le rôle des fonctions « contrôles comptables » et « contrôle permanent ».
Exposé oral de chaque sous-groupe.
– Niveau 3 : le contrôle périodique : définition, rôle.
Débriefing avec l’animateur et les participants.
– Les relations hiérarchiques et fonctionnelles entre les différents niveaux de
Notation faisant partie de la note finale.
contrôle.
Participants
• Responsables et collaborateurs des structures de contrôle (inspection et
audit, contrôle permanent et risques), des services de comptabilité, des
back et middle-offices, du contrôle de gestion.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Les crédits : principes généraux – Découverts.
– Cessions de créances professionnelles.
Définition d’un crédit selon le Code monétaire et financier et IAS 39.
– Affacturage.
Aspects techniques et économiques d’un crédit.
– Crédits consortiaux.
La traduction de ces opérations dans le bilan des banques françaises.
– Crédits à la consommation et revolving.
Les comptes du PCEC relatifs aux crédits.
– Prêts à l’habitat et à taux zéro.
La comptabilisation des crédits :
– Crédit-bail et locations : dans les comptes sociaux, dans les comptes
– Comptabilisation initiale : les commissions et frais payés ou reçus
consolidés, IAS 17. Les caractéristiques d’IFRS 16.
relatifs aux crédits.
IFRS 9 : les nouveaux portefeuilles (modèles de gestion) :
– Comptabilisation ultérieure : méthode du coût amorti (cas général).
– Coût amorti.
– Règles générales de traitement comptable des commissions
– Juste valeur par OCI recyclable par résultat.
(syndication, engagements, garantie, etc.).
– Juste valeur par résultat.
Sélection de l’échantillon à contrôler (y compris les engagements de
Les nouveaux concepts :
financement et de garantie) : segmentation des crédits :
– Le business model.
– Échantillon des corporates.
– Les tests SPPI (instrument financier basique).
– Échantillon de la clientèle de détail.
Les particularités de certains crédits seront examinées sous le double
– Échantillon des autres crédits.
aspect technique/économique et comptable :
Démarche en trois étapes de l’audit comptable des crédits :
– Engagements de garantie : garanties financières, dérivés de crédit pour
– Existence, justification, classification, exhaustivité : les moyens
le vendeur et l’acheteur de protection.
d’atteindre cet objectif. Points de vigilance : crédits fictifs, classification
– Prêts hors marché et engagements de prêter à un taux hors marché.
des crédits, engagements de financement et de garantie. Focus sur le
– Prêts à la juste valeur par résultat détenus à des fins de transaction ou
programme G6 (hors bilan).
désignés à la juste valeur par option.
– Évaluation correcte des crédits. Application du programme de contrôle.
– Financements spécialisés : typologie Bâle III, spécificités.
Points de vigilance : autorisation des encours, notation des crédits,
– Financements structurés : caractéristiques, comptabilisation.
qualité de l’analyse financière et du dossier administratif, crédits à
Contrôles spécifiques portant sur certains types de crédits : opérations
risque, déclassement des créances douteuses. Conclusions : qualité
hors marché ou évaluées à la juste valeur, découverts, crédits spéciaux,
des portefeuilles de crédit, ajustements éventuels.
créances subordonnées, opérations de location, affacturage, etc.
– Résultat : focus sur le programme G5 (résultat). Points de vigilance :
rentabilité des crédits, capitaux moyens, taux moyens.
Les crédits : pertes attendues, créances douteuses
Les crédits : caractéristiques de certains crédits et dépréciations
Les particularités de certains crédits seront examinées sous le double Modèle IFRS 9 et norme française (ex. CRC 2002-03) :
aspect technique/économique et comptable : – Définition selon les référentiels IFRS, français, Bâle III.
PROGRAMME
– Notion de douteux compromis. d’atteindre cet objectif. Points de vigilance : exhaustivité des créances
– Intérêts sur créances douteuses ou dépréciées. douteuses (relation avec l’audit des crédits).
– Dépréciations : estimation, prise en compte des garanties, actualisation. – Évaluation correcte des dépréciations et provisions. Application du
– Reprises liées à l’amélioration des perspectives de recouvrement. programme de contrôle. Points de vigilance : évaluation prudente
– Reprises liées au passage du temps. des montants recouvrables, actualisation, robustesse et prudence
– Passage en pertes. du système de dépréciations des portefeuilles de petites créances
– Créances restructurées. homogènes. Risque de traitement comptable des créances
– Provisions pour risques des engagements de financement ou de restructurées.
garantie. – Résultat : focus sur le programme G5 (Résultat). Points de
– Provisions fiscales ou comptables en normes françaises. comparaison : historique, autres établissements comparables, moyenne
– Les règles définies par IFRS 9. de la profession.
– Modèle de dépréciation : pertes attendues, provisions ex ante. Risque de non permanence des méthodes de calcul des dépréciations
– Paramètres bâlois pour estimer la perte attendue et la perte et des provisions (analyse de l’évolution des composantes du « coût du
inattendue. risque »).
– Quels PD, LGD, EAD ? Approche Bâle III. Risque de mauvaise prise en compte des dépréciations et provisions
– Les trois statuts (buckets) d’IFRS 9. dans le calcul des pertes attendues à déduire des fonds propres (Bâle III).
– Ajustement prudentiel pertes attendues/provisions et dépréciations
Bâle III. Contrôle continu (si cycle certifiant)
Sélection de l’échantillon à contrôler (y compris les engagements Travaux en atelier sur un cas au choix.
douteux). Exposé oral de chaque sous-groupe.
Démarche en trois étapes de l’audit comptable des créances douteuses Débriefing avec l’animateur et les participants.
sur base individuelle : Notation faisant partie de la note finale.
– Existence, justification, classification, exhaustivité : les moyens
PROGRAMME
Banking environment Suspense accounts.
Other activities:
Individual and consolidated financial statements:
– Tangible and intangible assets.
– Targets of the different financial statements.
– Miscellaneous debtors and creditors.
– Content of the accounts.
– Overhead costs.
Main principles of bank accounting:
– Amortized cost.
– Fair value.
Treasury
– Impairment. Loans and borrowings:
– Without guarantee.
Principles of accounting internal control – Securities sold or purchased under repurchased agreement (REPO).
Assets at amortized cost:
The different levels of controls (definition and links):
– Notion of business model.
1. Operational control of the accounts.
– “SPPI” test.
2. Permanent control.
Assets at fair value through OCI (recyclable and non-recyclable)
3. Periodic control.
Assets at fair value through PL:
Definition of “account justification”.
– General rules.
Typology of accounts (sensitive accounts).
– The fair value option.
Accounting procedures manual.
Liabilities:
– Liabilities at amortized cost.
Retail and corporate bank
– Liabilities at fair value:
Lending operations: • Trading.
– Short-term loans. • Fair value option.
– Equipment loans. • The own credit risk.
– Housing loans.
– Finance lease. Derivatives
The credit risk:
Derivatives classified as HFT:
– Definition of the “expected credit loss”
– CVA and DVA.
– The three buckets of the impairment.
– Clean price vs dirty price.
– Checking the classification of assets and their impairment.
Conditions to classify a derivative as a hedging financial instrument.
Customer accounts:
The fair value hedge.
– Current accounts.
The cash flow hedge.
– Special savings accounts.
The other derivatives (briefly).
– Other accounts.
One
to
One IFRS 16 : contexte et impacts
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Situer les impacts de la nouvelle norme IFRS 16 sur les contrats • Documentation en PowerPoint.
de location. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques : calculs
• Maîtriser le contenu des nouveaux agrégats financiers attendus : « droit financiers sur le droit d’utilisation et les dettes de loyers,
d’utilisation » et « obligation locative ». schémas comptables.
• Analyser les impacts sur l’activité des sociétés financières. • Approche événementielle exhaustive sur la vie des contrats
de location.
Participants • QCU, tests, questions/réponses pour vérifier, réviser et
• Responsables des fonctions comptables, contrôleurs de gestion, confirmer les acquis.
auditeurs internes.
Connaissances requises
• Bon niveau en comptabilité bancaire.
• Notions sur les IFRS.
PROGRAMME
Pourquoi et comment des normes internationales ? – Choix des durées.
– Taux d’actualisation.
Les acteurs de conception : IASB et FASB.
– Traitement des coûts liés aux contrats.
Le processus d’élaboration : les exposés-sondages.
Disclosures et informations annexes.
Les instances de validation européennes.
Le cadre conceptuel de l’IASB.
Les principales normes applicables aux établissements financiers.
Impacts d’IFRS 16 chez les bailleurs
Dispositions transitoires.
IFRS 16 - Contrats de location Modification des clauses contractuelles.
Refonte des échéanciers.
Analyse d’impact et macro-chiffrage.
Communication financière aux preneurs.
Comparaison par rapport à la situation actuelle.
Évolution des traitements comptables :
Synthèse d’IFRS 16 selon les 4 phases :
– Déclassement en douteux.
– Recognition.
– Résiliation.
– Measurement.
– ITNL - immobilisations temporairement non louées.
– Presentation.
– Récupération du matériel - vente - solde de dossier.
– Disclosure.
– Option d’achat (levée anticipée ou à l’échéance).
Approche par les « droits d’utilisation » et les « dettes de loyers »
– Traitement des réserves latentes.
actualisées. Distinction des montants entre loyers et services.
Liens avec IFRS 9 sur les instruments financiers :
Impacts sur l’EBITDA et sur les ratios d’endettement des preneurs.
– Classification évaluation et dépréciation.
IFRS 16 - Contrats de location chez les preneurs
Présentation des options de la norme :
– Identification et contrôle des actifs.
14 au 15 octobre 2019
et Bâle III
Objectif général Participants
• Expliciter les grands principes des normes IFRS en matière de • Collaborateurs comptables.
comptabilisation et d’évaluation des instruments financiers (norme • Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
comptable IFRS 9, essentiellement).
• Identifier les principales divergences par rapport aux normes et principes Supports et moyens pédagogiques
comptables applicables en France (PCG et ex règlements CRC relatifs aux • Documentation en PowerPoint.
titres, aux opérations en devises et aux swaps financiers de taux d’intérêts). • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender les principaux retraitements des capitaux propres • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
comptables IFRS pour déterminer les fonds propres prudentiels selon et confirmer les acquis.
les règles Bâle III (règlement CRR).
• Appliquer en pratique les mécanismes de l’exigence de fonds propres Connaissances requises
sous différentes approches en faisant précisément le lien entre la • Bonne connaissance de la banque.
logique prudentielle et les conventions comptables (en particulier sous • Bases de comptabilité bancaire.
l’angle de la marge permettant de faire face au coût des fonds propres
nécessaires au titre du risque de crédit).
• Prendre connaissance des nouveaux ratios (LCR, NSFR et de levier)
prévus par le dispositif Bâle III (règlement CRR).
PROGRAMME
IFRS - Champ d’application, caractéristiques Modalités pratiques de comptabilisation (dérivé de couverture et élément
et cadre conceptuel couvert).
Option juste valeur.
Caractéristiques des normes IFRS.
Traitement des dérivés incorporés.
Champ d’application des normes IFRS.
Principales normes et évolutions en cours.
Les caractéristiques du cadre conceptuel des normes comptables IFRS :
Norme comptable IFRS 9
– Caractéristiques qualitatives. Contexte et date d’application de la norme.
– Comptabilisation des 5 éléments des états financiers. Grands principes de classement et d’évaluation des actifs financiers (coût
amorti ou juste valeur par résultat).
IFRS - traitement des instruments financiers non Juste valeur par OCI.
dérivés Comptabilité de couverture.
Dépréciation dès l’engagement (expected loss / incured loss).
Normes applicables.
Définition et caractéristiques des instruments financiers.
Fondements de BÂLE II et principaux changements
Définition de la juste valeur et de la hiérarchie de détermination de la
juste valeur.
introduits par BÂLE III
Traitement comptable des titres et des autres instruments financiers non Fondements des règles prudentielles Bâle II.
dérivés; comparaison avec les normes françaises (ex règlement CRBF Contexte de l’évolution et principales modifications introduites par le
90-01). dispositif Bâle III.
Présentation des classements IFRS 9 selon le modèle de gestion et le
caractère basique ou non de l’instrument financier (coût amorti, juste Détermination des fonds propres
valeur par OCI recyclable ou par résultat) Fondements de l’approche prudentielle (fonds propres et maîtrise de la
Dépréciation des actifs financiers. Prise en compte des pertes attendues solvabilité effective à un an).
dès l’origine, y compris lors de l’engagement. Incidence de l’augmentation du niveau des fonds propres et solutions
Traitement des passifs financiers. permettant d’accroître les fonds propres.
Composition des fonds propres, éligibilité des ressources et niveau de
IFRS - traitement des instruments financiers ratio «fonds propres / risques pondérés» à respecter.
dérives Logique de la pondération à 1250% et de l’option pour la déduction des
Définition d’un dérivé. fonds propres.
Economie générale des stratégies ou des portefeuilles incluant des dérivés. Notion de pertes attendues et de pertes non attendues.
Règles générales d’évaluation et de comptabilisation des dérivés. Principales déductions des capitaux propres comptables et filtres
Objectifs et conditions de la couverture. prudentiels.
PROGRAMME
Évolutions du contenu des fonds propres et des déductions ou filtres Ratios de liquidité (LCR ET NSFR)
prudentiels entre Bâle II et Bâle III (pertes et profits latents, en particulier).
Présentation du numérateur (actifs liquides de très bonne qualité) et le
Particularités des fonds propres prudentiels en règles françaises (FRBF et
dénominateur (sorties nettes de trésorerie à un mois) du ratio de liquidité
provision pour risques généraux).
à un mois : LCR (Liquidity Coverage Ratio).
Explicitation des règles et modalités pratiques de détermination du ratio
Risque de crédit et marge minimale sur la base d’un exemple chiffré (cf. exercice).
Détermination des expositions au risque de crédit. Incidence du coût Présentation des composants du ratio de ressources stables : NSFR (Net
amorti. Stable Funding Ratio).
Modalités de détermination des risques pondérés en approche standard.
Modalités et conditions de mise en oeuvre de l’approche basée sur la Ratio de levier
notation interne (IRB - Internal rating based).
Contexte du ratio.
Mécanismes d’atténuation du risque de crédit et incidence sur
Détermination des composantes du dénominateur du ratio (actifs et
l’exposition au risque de crédit.
engagements pondérés).
Prise en compte des pertes attendues (expected losses / dépréciations
comptables) et impact de la norme IFRS 9 qui modifie les règles de
dépréciation comptable.
11 décembre 2019
Hervé MANCERON
spécificités One
to
One
PROGRAMME
Le cadre légal et réglementaire Les états de synthèse consolidés
Consolidation comptable : normes françaises et normes internationales Les états publiés (rappel rapide) : bilan, compte de résultat, annexe,
IFRS (rappel). tableau des flux de trésorerie, tableau de variation des capitaux propres.
Consolidation prudentielle : CRR et normes techniques associées. Les états prudentiels FINREP : bilan, compte de résultat et capitaux
propres.
Les différents types de liens entre les sociétés
d’un même groupe Passage des capitaux propres comptables
Liens de contrôle traités par les normes comptables (rappel) : contrôle aux fonds propres prudentiels
exclusif, contrôle conjoint et influence notable. Composition des fonds propres (CT1/AT1/T2) et exigences de fonds
Autres liens contenus dans le CRR. propres : rappel rapide
Retraitements issus de la technique des comptes consolidés qui
Le périmètre de consolidation permettent de passer des capitaux propres comptables au fonds propres
Les critères, les seuils, les exclusions possibles ou obligatoires : prudentiels consolidés : écrêtement des minoritaires, goodwill, impôts
– Rappel rapide IFRS. différés actifs, titres mis en équivalence.
– Dispositions contenues dans le CRR.
Informations à publier dans le cadre du pilier 3
Les méthodes de consolidation Principes généraux.
Les différentes alternatives en fonction de la nature des liens entre les Tableau de passage du périmètre comptable au périmètre prudentiel.
sociétés du groupe. Exigences de publication relatives aux fonds propres consolidés.
Processus d’élaboration du bilan et du compte de résultat consolidés
propres à chaque méthode :
– Intégration globale (rappel rapide).
– Mise en équivalence (rappel rapide).
– Autres méthodes prudentielles : intégration proportionnelle
et agrégation.
et risques de l’assurance
Objectif général Supports et moyens pédagogiques One
to
One
• Connaître les normes applicables à l’assurance. • Documentation en PowerPoint.
• Comprendre le fonctionnement d’une société d’assurance. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Analyser les impacts de la mise en place des IFRS et de Solvabilité II • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
pour une société d’assurance. et confirmer les acquis.
PROGRAMME
La dimension juridique de l’assurance Le cadre règlementaire
Le schéma général de l’assurance. Les provisions techniques en non vie et en vie.
Précisions de vocabulaire. Comparaison.
Classification des garanties.
Typologie des sociétés d’assurance et principe de spécialisation. Le cadre prudentiel des entités non soumises
à Solvabilité II
Les dimensions statistique et économique Les placements et leur évaluation.
Mécanisme de compensation des risques et mutualisation. Les règles et limitations.
Loi des grands nombres et conditions d’application. La marge de solvabilité.
La place de l’assurance dans l’économie.
L’organisation du contrôle des assurances. Le nouveau cadre prudentiel (Solvabilité II)
Les risques et les types d’actuariat. Définitions.
Mécanisme d’élaboration.
Comptabilité et assurances Processus de calcul, modèle standard versus modèle interne, premières
Les comptes annuels : bilan, compte de résultat. analyses d’impacts.
L’enregistrement des opérations. Le système de gouvernance, les exigences du système de gouvernance,
Le principe de prudence. le contrôle interne, la supervision prudentielle.
La comptabilité en partie double, journal et grand livre. Les trois types de reporting, le calendrier de livraison du reporting.
Exemples.
Cycle certifiant
Comptabilité d’assurance
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
One
to
• Connaître le cadre réglementaire de la comptabilité d’assurance. • Documentation en PowerPoint.
One • Connaître les règles d’enregistrement comptable des opérations • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
d’assurance. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Collaborateurs des services comptables ou financiers Connaissances requises
sans expérience de la comptabilité d’assurance. • Comptabilité générale.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction Les normes relatives à la comptabilisation
Les grands principes de l’assurance. du résultat des sociétés d’assurance
La classification des opérations d’assurance. L’enregistrement des opérations.
Rappels sur les principes généraux comptables. Les agrégats du compte de résultat.
Spécificité de la comptabilité d’assurance. Les ratios d’analyse de la performance.
PROGRAMME
Introduction Séparation des composantes d’un contrat.
Comptabilisation des passifs des contrats régis par IFRS 4.
Rappel du champ d’application des normes IFRS en France.
Comptabilité reflet : le mécanisme de la participation aux bénéfices
Recensement des normes applicables.
différée.
Une norme spécifique aux opérations d’assurance : IFRS 4.
Le test de suffisance des passifs.
Comptabilisation des passifs des contrats soumis à IAS 39 / IFRS 9.
Contexte spécifique de l’assurance
IFRS 17 : principaux concepts et évolutions par rapport à la norme
Rappel des spécificités de l’assurance : cycle de production inversé, actuelle.
adossement actif passif, contraintes réglementaires.
IFRS 4 phase 1 : une norme provisoire. Les normes relatives à la réalisation des comptes
consolidés
Les normes relatives à la comptabilisation
Les principes de consolidation en normes françaises.
des actifs des sociétés d’assurance Impacts d’IFRS 10, 11 & 12.
Classification IFRS des actifs et passifs financiers et règles de valorisation Conversion des comptes des entreprises étrangères (IAS 21).
associées selon IAS 39*. Regroupements d’entreprises (IFRS 3).
(*NB : les assureurs peuvent, sur option, différer l’application d’IFRS 9 Impôts sur le résultat (IAS 12).
au 1er janvier 2021)
Évaluation, comptabilisation et présentation des actifs immobiliers. Les normes relatives à la présentation
Dépréciation. de l’information financière
Dérivés.
Opérations de couverture. La norme IAS 1 : Présentation des états financiers.
Les évolutions induites par la norme IFRS 9. La norme IAS 7 : Tableau des flux de trésorerie.
La norme IFRS 8 : Information sectorielle.
Les normes relatives à la comptabilisation La recommandation du CNC 2013-05.
des passifs des sociétés d’assurance
Rappel sur les règles de comptabilisation des engagements d’assurance.
La notion de risque significatif d’assurance et la classification
des contrats.
Cycle certifiant
Opérations en devises
des sociétés d’assurance
One
to
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les règles de comptabilisation des opérations en devises • Documentation en PowerPoint.
dans les sociétés d’assurance. • Règlement ANC 2015-11 du 26 novembre 2015 relatif aux
• Identifier, mesurer et analyser les impacts de change dans le bilan comptes annuels des entreprises d’assurance, titre IV.
et le compte de résultat. • Norme IAS 21.
• Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
Participants • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Collaborateurs des services comptables ou financiers traitant et confirmer les acquis.
des opérations en devises étrangères.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. Connaissances requises
• Comptabilité générale.
PROGRAMME
Introduction – Immobilisations incorporelles ou corporelles autres que les immeubles.
– Provisions techniques et réserves spécifiques (valorisation en date
Origine du texte.
d’inventaire et impact en résultat).
Contraintes réglementaires associées aux opérations en devises
– Autres éléments du résultat.
dans le Code des Assurances.
Définitions.
Comptes consolidés relevant du règlement
Comptabilité mono-monétaire du CRC n°2000-05
Principe général. Conversion des comptes d’entreprises établissant leurs comptes en
Opérations en devises non significatives. monnaies étrangères :
Règles de conversion des opérations en devises. – Méthode de conversion.
– Entreprises situées dans des pays à forte inflation.
Comptabilité pluri-monétaire – Couvertures.
– Informations à faire figurer dans l’annexe.
Principe général.
Éléments structurels : Comptes consolidés en IFRS
– Titres de participation.
– Dotations aux succursales étrangères. Présentation de la norme IAS 21 « Effets des variations des cours
Éléments opérationnels : des monnaies étrangères » :
– Placements financiers et immobiliers (acquisition, valorisation en date – Définitions.
d’inventaire, cession, produits et charges associés). – Principe général.
– Opérations de change au comptant. – Principaux retraitements par rapport aux normes françaises.
– Instruments financiers à terme (entrant ou pas dans le cadre
de stratégies autorisées).
sous Solvency II
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
to
One
PROGRAMME
Introduction Valorisation des provisions techniques
La genèse et les objectifs de Solvency II. dans Solvency II
L’architecture de la nouvelle norme : les 3 piliers. Rappel sur les règles de valorisation des provisions techniques.
Les règles de valorisation des éléments du bilan selon Solvency II. Présentation de la formule standard.
Conséquences sur les données comptables. Principes spécifiques de comptabilisation et de valorisation.
L’obligation de réconciliation entre comptabilité et Solvency II : comptes Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements
sociaux et comptes consolidés. d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II.
Valorisation des actifs et passifs ne faisant pas Valorisation des impôts différés dans Solvency II
l’objet de principes de valorisation spécifiques Notion d’impôt différé.
dans Solvency II Principes spécifiques de comptabilisation et de valorisation.
Principes génériques de comptabilisation et de valorisation. Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements
Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II.
d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II.
Composition et hiérarchie des fonds propres
Valorisation des actifs incorporels dans Solvency II dans Solvency II
Principes spécifiques de comptabilisation et de valorisation. Hiérarchie (niveau de qualité) des fonds propres définie par Solvency II.
Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements Composition de chaque niveau de fonds propres et critères d’admissibilité
d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II. à la couverture de la marge de solvabilité.
Principes spécifiques de comptabilisation et de valorisation.
Valorisation des participations dans Solvency II Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements
Principes spécifiques de comptabilisation et de valorisation. d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II.
Notion de participations stratégiques et cohérence avec la notion
de participation en comptabilité. Consolidation sous Solvency II
Rubriques du bilan économique concernées par les retraitements Définition du périmètre de consolidation.
d’harmonisation entre normes françaises, IFRS et Solvency II. Règles de consolidation applicables.
Cycle certifiant
Produire les états de reporting
du pilier 3 de Solvency II
One
to
One Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les états de reporting prudentiel du pilier 3 de Solvency II. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier les informations nécessaires à la réalisation du reporting. • Documentation e-SURFI Assurance (ACPR).
• Réconcilier les états avec les données comptables. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
Participants et confirmer les acquis.
• Collaborateurs des services comptables ou financiers
des sociétés d’assurance. Connaissances requises
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. • Comptabilité d’assurance.
PROGRAMME
Introduction à Solvency II S.14.01.01 (annuel, solo et consolidé) : obligations.
S.15.01.01 (annuel, solo et consolidé) : variable annuities.
La genèse et les objectifs de Solvency II : pourquoi un cadre harmonisé
S.19.01.01 (annuel, solo et consolidé) : variation des PSAP.
européen ?
S.20.01.01 (annuel, solo et consolidé) : triangles de liquidation.
L’architecture de la nouvelle norme : les 3 piliers.
S.21.02.01 (annuel, solo et consolidé) : risques non vie.
Les enjeux de Solvency II pour les sociétés d’assurance.
Les Quantitative Reporting Templates trimestriels Le Solvency and Financial Conditions Report
et annuels – Les états relatifs aux provisions Les principales rubriques du reporting.
techniques L’organisation relative à la production du reporting.
S.12.02.01 (annuel et trimestriel, solo et consolidé) : par LOB et par pays. Détail du contenu.
S.13.01.01 (annuel, solo et consolidé) : cash flows futurs. Délais de production.
d’assurance
Objectif général Supports et moyens pédagogiques One
to
One
• Connaître les principes de consolidation des sociétés d’assurance. • Documentation en PowerPoint.
• Appliquer les techniques de consolidation aux opérations d’assurance. • Règlement CRC 2000-05.
• Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
Participants • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Collaborateurs des services comptables ou financiers. et confirmer les acquis.
Connaissances requises
• Comptabilité générale, comptabilité d’assurance.
PROGRAMME
Introduction Choix de la méthode de consolidation
Les grands principes de l’assurance. et conséquences pratiques
La classification des opérations d’assurance. Conséquences de l’intégration globale (accès aux données, compatibilité
Spécificité de la comptabilité d’assurance. avec les délais d’arrêté, processus opérationnel).
Conséquences de la mise en équivalence (impact sur les agrégats des
Le règlement CRC 2000-05 : principes de états financiers, valorisation de la quote-part de situation nette…).
consolidation et principaux retraitements en Quelle méthode de consolidation en cas de contrôle conjoint ?
normes françaises
Présentation des principes généraux relatifs à la consolidation. Présentation et publication des états financiers,
Présentation des techniques de consolidation (intégration globale, mise individuels et consolidés, en normes françaises
en équivalence). et en IFRS
Principaux retraitements de consolidation, en assurance vie et en Les états financiers (IAS 1, recommandation 2013-R-05 de l’Autorité
assurance dommages. des Normes Comptables).
Focus sur la note 1 « Principes et méthodes comptables ».
Définition et mode de calcul du contrôle exclusif, Annexes spécifiques à l’assurance.
du contrôle conjoint et de l’influence notable (IFRS
10, IFRS 11 et IAS 28) Consolidation sous Solvency II
Rappel sur les critères d’analyse du contrôle en normes françaises. Principes généraux relatifs à la consolidation prudentielle.
Définition du contrôle selon IFRS 10. Définition du périmètre de consolidation prudentielle.
Déclinaison de la notion de contrôle aux entités traditionnelles et aux Titres de participation stratégique.
entités structurées. Principaux retraitements de consolidation.
Cas particulier des fonds support des contrats d’assurance.
Consolidation des filiales d’assurance
Définition du périmètre de consolidation (critères, d’un groupe bancaire
seuils) et des informations à fournir sur les Principaux retraitements.
intérêts détenus dans d’autres entités (IFRS 12) Problématiques opérationnelles.
Définition des seuils de consolidation.
Justification de la non consolidation en application du principe
d’importance relative.
Les contraintes d’information induites par IFRS 12.
Cycle certifiant
Fiscalité des opérations
d’assurance
One
to
One Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les règles fiscales applicables aux opérations d’assurance. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier, mesurer et analyser les impacts de ces règles dans le bilan • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
et le compte de résultat. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Collaborateurs des services comptables des sociétés Connaissances requises
d’assurance. • Comptabilité générale.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. • Notions de fiscalité.
PROGRAMME
Introduction Autres impôts, taxes et contributions diverses
Origine du texte. associées à l’activité d’assurance
Contraintes réglementaires associées aux opérations en devises Taxe sur les excédents de provisions des sociétés d’assurance
dans le Code des Assurances. dommages.
Définitions. Contribution aux frais de contrôle ACPR.
Contributions au Fonds de Garantie des Assurances Obligatoires et au
Fiscalité de l’assurance vie Fonds de Garantie des Assurances de Personnes.
Principe général. Taxes et contributions diverses (attentats, catastrophes naturelles…).
Prélèvements sociaux sur la rémunération des contrats d’épargne.
Gestion des prélèvements libératoires. Détermination du résultat fiscal
Fiscalisation des plus-values réalisées. Principe général de déductibilité des provisions techniques.
Principales déductions et réintégrations relatives aux opérations
Taxes sur les conventions d’assurance d’assurance.
(assurance dommages)
Principe général. Impôts différés, contrôle et preuve d’impôt
Inventaire des garanties soumises à la taxe sur les conventions Règles relatives aux impôts différés en normes françaises.
d’assurance. Présentation de la norme IAS 12 et de l’interprétation IFRIC 21.
Règles de comptabilisation (fait générateur de l’inscription en Inventaire des principaux retraitements entraînant la constatation
comptabilité, paiement). d’un impôt différé.
dans l’assurance
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser le nouveau contexte réglementaire. • Documentation en PowerPoint.
• Appréhender les évènements de risques récemment subis par la • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
communauté financière. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Réussir la mise en place du dispositif de gestion du risque opérationnel. et confirmer les acquis.
• Choisir des méthodes et des outils appropriés.
Connaissances requises
Participants • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
• Directeurs des risques.
• Directeurs audit, auditeurs.
• Responsables conformité.
• Responsables et correspondants risques opérationnels.
• Fonctions contrôle permanent et périodique.
• Responsables des assurances.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Maîtriser les enjeux et le contexte réglementaire Difficultés pratiques : incidents à longue durée de vie, risques frontières,
incidents multiples, etc.
Illustration de la matérialisation du risque opérationnel au travers
Lien entre anomalie de contrôle permanent et incident.
d’incidents récents.
Réconciliation avec les bases existantes.
Les directives Solvabilité II, les textes de l’EIOPA.
La définition du risque opérationnel.
La pyramide du contrôle.
Mesurer les risques opérationnels : quelles
L’évaluation du risque opérationnel selon la formule standard méthodologies
de la réforme Solvabilité II. Les différentes méthodologies quantitatives et qualitatives : Loss
Les saines pratiques. Distribution Approach, Scorecards, Key Risk Indicators, etc.
Le déploiement de ces méthodologies : laquelle choisir, quelle évolution
Mettre en place une organisation dédiée avec la maturité acquise…
au traitement des risques opérationnels La valeur ajoutée d’un dispositif de management des risques
opérationnels et du dispositif de contrôle permanent.
Filières Risque Opérationnel : les différents acteurs et leurs rôles.
Les fonctions en adhérence avec les fonctions clés « Gestion des risques
et contrôle permanent et conformité » : missions, articulations.
La gouvernance des risques opérationnels
Les correspondants « Contrôle interne » au sein des directions : missions. Rôles et responsabilités des différents acteurs.
Coordination avec les fonctions de contrôle (permanent/conformité/ Notion de risque majeur : quel seuil ? Argumentation.
périodique). Tableau de bord des principaux risques majeurs.
Mettre en place une base de pertes et d’incidents Appréhender les outils et les systèmes
Définitions et périmètre : pertes, presque pertes, manque à gagner, etc. à mettre en place
Organiser la base de collecte des données d’incidents : rôles et Les fonctionnalités clés : évaluation, collecte, quantification, reporting
responsabilités, seuils de collecte, etc. interne et réglementaire.
Proposition d’un workflow de collecte des incidents. Panorama des outils existants sur le marché.
One
to
One Audit d’une société
d’assurance
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître et appliquer la démarche d’audit. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier les risques propres à l’activité d’assurance. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Bâtir un programme d’audit pour une société d’assurance. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Auditeurs et responsables de contrôle interne. Connaissances requises
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. • Outre la connaissance de l’activité d’assurance et
des grands schémas organisationnels de l’activité, la
connaissance des règles comptables (françaises et IFRS)
applicables à l’activité d’assurance est souhaitable.
PROGRAMME
Introduction Gestion des renouvellements.
Gestion des rachats et résiliations.
Présentation du modèle économique de l’assurance.
Cartographie des risques associés à l’activité d’assurance.
Nomenclature des opérations d’assurance.
La gestion des sinistres
Introduction à Solvabilité II et aux contraintes réglementaires liées au Analyse du processus de traitement administratif des déclarations de
contrôle interne et à la maîtrise des risques. sinistres (modes de déclaration, délais...).
Analyse du processus d’évaluation des sinistres (détermination de la
Les placements des sociétés d’assurance responsabilité, application des garanties et exclusions, expertises…).
Revue des dossiers de sinistres et des provisions pour sinistres à payer.
Sélection, valorisation et comptabilisation des placements (acquisition,
Contrôle des règlements de sinistres effectués.
valeur d’inventaire, cession).
Détermination statistique des sinistres tardifs (IBNR).
Focus sur la gestion actif/passif en assurance vie (étude des
Analyse macro de la sinistralité (coût des sinistres, frais de gestion…),
problématiques spécifiques aux placements des sociétés d’assurance).
par portefeuille, branche, garantie… (triangles de liquidation en non vie).
Étude de la rentabilité des placements.
Provisions pour risques croissants, provisions d’égalisation.
Analyse des dossiers sinistres litigieux ou contentieux.
La tarification et la souscription des contrats
Modalités de prévention et de détection des fraudes.
Revue du processus de souscription (canaux de distribution – notamment
Internet –, information précontractuelle, respect de la réglementation de Le programme de réassurance
la consommation, pièces justificatives...).
Étude du programme de réassurance (nature des contrats, par garantie,
Analyse des critères de tarification (par risque, par garanties, exclusions,
branche ou portefeuille).
franchises...), revue des dossiers rejetés.
Détermination du résultat de souscription brut et net de réassurance.
Revue des provisions techniques.
Analyse de la solidité financière des réassureurs et des garanties reçues.
Focus sur certaines provisions techniques : provision globale de gestion
et provision pour aléa financier en assurance vie, provisions pour risques
en cours en assurance non vie.
Indicateurs financiers et comptables
Revue des provisions techniques (y compris la part des réassureurs).
La gestion administrative des contrats Analyse de la marge technique et financière.
Gestion des avenants au contrat.
Quittancement des primes.
PROGRAMME
Introduction Le schéma général de gouvernance défini par Solvency II.
Les responsabilités des dirigeants effectifs et des responsables
La genèse et les objectifs de Solvency II : pourquoi un cadre harmonisé
de fonctions-clés.
européen ?
Le rapport sur les risques propres et la solvabilité (rapport ORSA).
L’architecture de la nouvelle norme : les 3 piliers.
Les enjeux de Solvency II pour les sociétés d’assurance.
Les effets de la transposition de la Directive dans le droit français.
Le pilier 3 de Solvency II et les exigences relatives
au reporting prudentiel
Le pilier 1 de Solvency II et les exigences La cartographie des différents reportings quantitatifs (états QRT, rapport
quantitatives BCE, état sur la stabilité financière, états nationaux spécifiques).
Les rapports narratifs à destination du régulateur (RSR) et du public
Identification des garanties incluses dans le périmètre.
(SFCR).
Calcul des provisions techniques selon la méthode du best estimate.
Les règles de valorisation des éléments du bilan économique Solvency II.
Définition de la marge de risque.
La composition des fonds propres sous Solvency II et les règles de
Présentation de la formule standard.
couverture, l’exigence de capital minimum et de capital cible.
Calibrage des différents risques de la formule standard.
L’obligation de réconciliation entre le référentiel local et Solvency II :
Le recours aux modèles internes.
comptes sociaux et comptes consolidés.
Le pilier 2 de Solvency II et les exigences relatives
à la gestion des risques et à la gouvernance
La définition du profil de risque spécifique de l’entité d’assurance.
La mise en œuvre de l’approche Entreprise Risk Management et le
dispositif d’atténuation des risques.
One
to
One Gouvernance et gestion des
risques : les enjeux du pilier 2
de Solvency II
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les objectifs poursuivis par Solvency II en matière de • Documentation en PowerPoint.
gouvernance et de gestion des risques. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Identifier les problématiques associées à la mise en place d’une • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
organisation et d’un contrôle interne approprié des organismes et confirmer les acquis.
d’assurance.
Connaissances requises
Participants • Sensibilisation à l’environnement comptable et
• Collaborateurs des directions financières ou des directions des réglementaire de l’assurance et/ou de la banque.
risques.
• Auditeurs internes ou externes.
• Administrateurs des organismes d’assurance (sociétés, mutuelles
et institutions de prévoyance).
PROGRAMME
Introduction Les trois lignes de défense.
Les dirigeants effectifs.
La genèse et les objectifs de Solvency II : pourquoi un cadre harmonisé
Les responsables des fonctions-clés (actuariat, gestion des risques,
européen ?
conformité, audit).
L’architecture de la nouvelle norme : les 3 piliers.
L’organe d’administration, de gestion et de supervision.
Les enjeux de Solvabilité II pour les sociétés d’assurance.
Les effets de la transposition de la Directive Solvency II dans le droit français.
Les rôles respectifs des responsables de fonctions
La cartographie des risques liés à l’activité clés, des dirigeants effectifs et des administrateurs
d’assurance Rôle et prérogatives des responsables des fonctions clés.
Point sur le cumul et la sous-traitance des fonctions clés.
Rappels sur le modèle économique de l’assurance.
Rôle et prérogatives des dirigeants effectifs.
Les risques liés aux placements.
Rôle et prérogatives des administrateurs.
Les risques liés aux garanties octroyées aux assurés.
Le risque opérationnel dans l’assurance.
Les risques liés aux techniques de transfert des risques.
Les politiques écrites et la mise en œuvre
du contrôle interne
Le dispositif de contrôle et d’atténuation Le socle minimal absolu : gestion des risques, contrôle interne, audit
des risques interne, externalisation (article L354-1 du Code des assurances).
Les politiques écrites nécessaires : conformité, compétence et
La mise en œuvre de l’approche Entreprise Risk Management.
honorabilité, ORSA, actuariat, gestion du risque de souscription,
La définition du dispositif de contrôle interne.
provisionnement, réassurance, communication d’informations à
Les techniques d’atténuation des risques.
destination du public et aux fins de contrôle, rémunérations.
Les techniques de transfert des risques (réassurance, titrisation…).
Les autres politiques écrites : gestion du risque opérationnel, contrôle
Le dispositif de suivi et de contrôle des risques.
interne, continuité d’activité, sous-traitance, conformité, gestion actif-
passif, gestion du risque d’investissement, gestion du capital…
L’impact du contrôle des risques sur l’exigence
Qualité des données (gouvernance associée, dispositif de contrôle
de fonds propres permanent).
Les principes génériques de détermination du besoin en fonds propres Sous-traitance (exigences de la Directive, procédures de sélection
selon Solvency II. et de supervision des prestataires importants ou critiques).
Les différents modules de risques pris en compte dans la formule
standard. Le rapport sur l’évaluation interne des risques
Les leviers de pilotage de l’exigence de fonds propres par l’atténuation et de la solvabilité (ORSA)
des risques.
Évaluation du besoin global de solvabilité.
La gestion des fonds propres.
Conformité continue avec les exigences réglementaires de capital.
Conformité continue avec les provisions techniques.
Le schéma général de gouvernance
Écarts par rapport aux hypothèses qui sous-tendent le calcul du capital
Le principe des quatre yeux. de solvabilité requis.
Le principe de la personne prudente. Lien avec le processus de gestion stratégique et le cadre décisionnel.
Le principe de proportionnalité.
11 septembre 2019
PROGRAMME
Introduction Effets de variations du best estimate et de l’ajustement pour risque.
Modalités de reconnaissance de la marge contractuelle de services.
IFRS 4 : une norme provisoire.
Effets de première application.
La genèse et les objectifs d’IFRS 17.
IFRS 17 – Solvabilité II : divergences et convergences.
Les problématiques associées à IFRS 17 : périmètre d’application,
méthodes de valorisation des engagements vis-à-vis des assurés,
modalités de reconnaissance du résultat.
La reconnaissance du résultat d’assurance
et les informations annexes
Classement et évaluation initiale des contrats Calcul du résultat de souscription :
d’assurance – Détermination du produit d’assurance.
– Constatation des sinistres survenus.
Identification des contrats inclus dans le périmètre d’IFRS 17.
– Évaluation des frais directement imputables aux contrats.
Critères de classement des contrats d’assurance.
Calcul du résultat opérationnel :
L’approche des blocs (building blocks approach).
– Évaluation des frais non directement imputables aux contrats.
L’approche de la commission variable (variable fee approach).
– Produits financiers et charge d’intérêt.
L’approche simplifiée (premium allocation approach.
Détermination du résultat courant.
Les contrats dits onéreux.
Informations à communiquer en annexe.
Valeur des contrats à la date d’inventaire et effets
de première application
Principes de calcul du best estimate.
Principes de calcul de l’ajustement pour risque.
PROGRAMME
Genèse de la norme et principales divergences Le modèle des pertes attendues.
avec IAS 39 Calcul de la dépréciation.
Comptabilisation de la dépréciation.
Origine et structure de la norme.
Principales divergences avec IAS 39.
Instruments financiers à terme et comptabilité
Classement et évaluation des instruments de couverture
financiers Objectifs et champ d’application.
Critères d’applicabilité de la comptabilité de couverture.
Arbre de décision de classement des instruments financiers.
Comptabilisation des relations de couverture.
Principes généraux.
Actifs financiers au coût amorti.
Actifs financiers en juste valeur par OCI recyclable.
Première application et report d’application
Actifs financiers en juste valeur par résultat. Conséquences comptables de l’application rétrospective.
Actifs financiers en juste valeur par OCI non recyclable sur option. Enjeux du report d’application.
Passifs financiers. Gestion actif-passif : interactions avec IFRS 4 et IFRS 17.
Reclassements ultérieurs.
PROGRAMME
Introduction – La 1ère ligne : les opérationnels.
– La 2ème ligne : les fonctions de contrôle ( risque et conformité ).
Solvency 2 : 3 piliers.
– La 3ème ligne : l’audit interne.
Le pilier 2 : les activités de contrôle.
Connaître ses processus et identifier ses risques Dérouler une mission de contrôle
opérationnels La phase de cadrage et de démarrage :
– La compréhension de la thématique.
Identifier les processus principaux d’une entreprise d’assurance :
– La délimitation du périmètre et l’identification des zones de fragilité.
opérationnels, supports et stratégiques.
– La détermination des points de contrôle et des modes de contrôle.
Définition d’un risque opérationnel (causes et conséquences).
– La rédaction d’un rapport de contrôle et de recommandations destinées
Identifier les risques opérationnels majeurs liés aux processus.
à minorer les risques.
Evaluer ces risques en prenant en compte leur intensité et leur fréquence
de survenance.
PROGRAMME
Principaux aspects juridiques, comptables Présentation de l’évaluation des provisions
et fiscaux du secteur de l’assurance techniques de primes non vie
Un secteur d’activité réglementé. Les opérations de régularisation sur primes.
Le cadre réglementaire de la comptabilité des assurances. Les provisions pour risques d’insuffisance de primes.
Introduction aux principales spécificités fiscales du secteur de l’assurance. Les provisions d’égalisation.
PROGRAMME
Introduction aux risques ALM – Les techniques classiques bancaires :
• Impasse de taux.
Présentation des enjeux comptables :
• Impasse de liquidité.
– Provisions à caractère financier :
Introduction à l’analyse multivariée :
• Provision pour dépréciation durable.
– Analyse bivariée taux – crédit :
• Provision pour risque d’exigibilité.
• Illustration par une analyse SCR marché brut.
• Provision pour aléas financiers.
– Réserves comptables :
• Réserve de capitalisation.
Introduction à l’analyse rendement/risque
• Provision pour participations aux bénéfices. Le modèle de Markowitz : application aux problématiques d’allocations
• Provision d’égalisation. stratégiques :
– Décomposition de la Marge financière : – Les effets de la diversification de portefeuille.
• Projection de Revenus. – Construction d’une frontière efficiente :
• Participation aux bénéfices et intérêts techniques distribués. • Filtre par l’appétence aux risques.
• Equilibre comptable. Optimisation rendement risque d’une poche obligataire :
• Externalisation de PVL. – Formulation d’un programme d’optimisation multi- objectifs.
Présentation des enjeux réglementaires – Reprise du cas pratique taux-crédit.
– Minimum de Participation aux bénéfices réglementaire :
• Impact sur l’objectif de marge financière. Construire des indicateurs ALM dynamiques
• Particularité de la branche obsèques. Construction d’indicateurs dynamiques :
– Ratio réglementaire : – Indicateurs d’optimisation :
• Focus sur le SCR de marché. • Marge financière.
Présentation des risques ALM : • Free Surplus.
– Risque comptable. – Indicateurs « filtre » :
– Risque de taux (contractuel et commercial). • Taux de rendement comptable.
– Risque de liquidité. • Taux servis.
– Risque inflation. Formulation de la problématique rendement-risque :
– Risque de crédit. • Mesure de la performance (scénario central).
• Mesure du Risque (scénario adverse).
Les principales modélisations ALM statiques Pour aller plus loin : Indicateurs stochastiques :
Immunisation contre le risque de taux : • Mesure de la performance (espérance mathématique).
– Les techniques classiques assurancielles : • Mesure du Risque (VAR, CVAR).
• L’adossement en duration.
• L’adossement en trésorerie.
PROGRAMME
Solvabilité 2 comme nouveau cadre réglementaire La comptabilité des opérations de coassurance
Présentation de l’ancien cadre réglementaire. et de réassurance
Souligner les principales différences entre Solvabilité 2 et les autres Type de capital.
régimes de régulation. Qualité du capital.
Présenter et appréhender les risques liés à l’activité d’assurance. Définition du MCR et SCR : le capital comme une variation de fonds
Retour sur les problématiques adressées par la directive S2 et mise en propres.
place de la directive. Horizon et niveau de confiance.
Expliquer comment les différentes notions introduites dans le second et Modèle interne et formule standard.
troisième pilier sont censées améliorer et renforcer la gouvernance au Agrégation et corrélation.
sein des entreprises d’assurance. Évaluation des différents risques.
PROGRAMME
Introduction Les assurances de responsabilités.
Les assurances dommages.
La genèse de l’assurance de l’antiquité à nos jours.
Le contrat auto et la Multirisque Habitation.
Rôle économique et définitions.
Les autres assurances IARDT.
Évolutions.
Les assurances de personnes : contrats collectifs santé et vie, contrats
individuels vie, maladie et accidents corporels.
Organisation et marchés
Chiffres marché français et reste du monde. Mécanismes
Assurances dommages et assurances de personnes.
Principes : principes forfaitaires, indemnitaires et subrogation de
Différentes structures des entreprises d’assurances et caractéristiques.
l’assureur.
Modes de distribution.
Modes de gestion : capitalisation et répartition.
Réglementation des assureurs.
Coassurance et réassurance : définition et fonctionnement.
Obligation des intermédiaires.
Caractéristiques du contrat.
Organismes professionnels.
Parties prenantes.
Directives Européennes.
Conditions.
Clauses.
Principes
Primes.
Principes : principes forfaitaires, indemnitaires et subrogation
de l’assureur.
Modes de gestion : capitalisation et répartition.
Coassurance et réassurance : définition et fonctionnement.
Les différents contrats : assurances de biens et de responsabilités.
Participants
• Collaborateurs des directions comptables, directions des risques,
directions contrôle de gestion, directions actuariat et directions
financière.
• Responsables opérationnels ou responsables de gestion des risques
et/ou des fonctions de contrôle.
PROGRAMME
Les enjeux mission, collecte documentaire, préparation des entretiens, réponse aux
rapports provisoire, traitement et suivi des recommandations.
La politique de contrôle interne et de conformité.
Gestion documentaire et réponse aux différents audits.
Les conventions de distribution et de sous-traitance : point sur
les clauses de contrôle interne.
Le contrôle exercé sur les sous-traitants critiques courtiers
Étude de cas – La gestion et remontée d’incidents
et délégataires. opérationnels
La protection de la clientèle dans la distribution : devoir d’information Quels dispositifs et quels incidents remonter aux assureurs ?
et conseil, misselling. Quel traitement au niveau du cabinet de courtage/délégataire
La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du Mise en situation sur 3 types d’incidents : Fuite de donnée, réclamations
terrorisme, qu’est-il attendu des courtiers et délégataires ? sensibles, fraude externe.
Les évolutions réglementaires récentes : DDA, RGPD, LCB-FT-, etc.
Focus sur les sanctions ACPR de courtiers, détail des griefs et points
d’attention.
et financière : l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Présenter sous forme synthétique l’ensemble des textes réglementaires • Documentation en PowerPoint.
applicables au secteur bancaire et financier. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Expliquer leur structure. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Identifier leurs sources et comprendre leur hiérarchie. et confirmer les acquis.
• Se familiariser avec un vocabulaire et un environnement réglementaires
complexes. Connaissances requises
• Aucune connaissance particulière.
Participants
• Toute personne sur le point de rejoindre le secteur bancaire et financier.
• Collaborateurs récemment recrutés dans ce secteur.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : le métier de banquier Focus sur le règlement CRR
La banque de détail, la banque d’investissement, la gestion d’actifs… Pilier 1 : les fonds propres, le ratio de solvabilité
Risques de liquidité, d’insolvabilité, de marché, de non-conformité… Le contrôle des grands risques, les coefficients de liquidité (LCR et
NSFR), les outils complémentaires (ALMM) et les funding plans.
Les sources des textes législatifs Le ratio de levier.
et réglementaires français Pilier 2 : SREP/ICAAP/ILAAP.
Les textes et instances internationaux. Pilier 3 : informations à publier.
Les textes et instances européens. Les états COREP.
Les textes et instances français. Finalisation des accords de Bâle III : TLAC/MREL, output floor…
One
to
One Environnement de la banque
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Familiariser les entrants dans l’établissement, à la culture bancaire • Documentation en PowerPoint.
générale nécessaire à : • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• La bonne compréhension de l’organisation de la profession. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• La connaissance de base de la réglementation bancaire. et confirmer les acquis.
• Le rôle de la profession dans le monde économique actuel.
Connaissances requises
Participants • Une bonne culture générale économique de base.
• Nouveaux arrivants, jeunes diplômés n’ayant pas ou peu
de connaissances des nombreux métiers de la banque.
• Juristes, communicants, informaticiens, etc
PROGRAMME
Introduction : l’environnement bancaire Le marché interbancaire, son rôle et ses acteurs
Historique. Les intervenants du marché interbancaire.
Évolution. La notion de refinancement des banques par les pensions.
Aspects législatifs. L’équilibre des trésoreries bancaires.
Participants
• (CIL) Correspondants Informatique & Libertés et Correspondant Données
Personnelles.
• Délégués à la Protection des Données / Data Protection Officer (DPO).
• Collaborateurs des filières Conformité/Risques Opérationnels.
• RCSI/RCCI.
• RSSI et équipes des Systèmes d’Information.
• Auditeurs internes, contrôleurs permanents.
• Juristes.
• Auditeurs externes, consultants.
PROGRAMME
Environnement et réglementation en matière La mise en œuvre des Packs Conformité (ou Labels / Certifications).
de protection des données La réalisation d’une cartographie des risques «données personnelles» par
l’élaboration du registre des traitements et tenant compte de :
Présentation du contexte et des enjeux de la protection des données.
– L’identification des risques en lien avec les risques opérations (sécurité
Synthèse des principales composantes du Règlement européen (UE)
des systèmes d’information, cybercriminalité) et risques de non-
2016/679 sur la Protection des données (RGPD/GDPR).
conformité.
Sources internationales et européenne du droit local.
– L’évaluation des risques.
Rappel des définitions en la matière.
– La gestion et le pilotage des risques.
Les risques encourus et leur « saine » gestion.
– Prise en compte dans la cartographie des risques de non-conformité.
Présentation de la CNIL en tant qu’autorité de protection nationale.
Quelles conséquences sur les PIA (Privacy Impact Analysis) ?
Étendue et limites des missions des autorités de protection.
One
to
One Panorama des évolutions
règlementaires
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Se familiariser avec les différentes évolutions règlementaires actuelles • Documentation en PowerPoint.
et avoir une vue d’ensemble. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Maîtriser les principales composantes de ces règlementations. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Comprendre leur logique et les enjeux spécifiques pour la banque. et confirmer les acquis.
• Chaque thème règlementaire fait l’objet d’une fiche
Participants de synthèse des éléments clés de la règlementation.
• Tout collaborateur de la banque souhaitant comprendre ce que certains
thèmes recouvrent (Bâle III, EMIR, FATCA, etc.). Connaissances requises
• Connaissances de la banque.
PROGRAMME
Introduction Les acteurs.
Les impacts sur le circuit des dérivés.
Les principales composantes de l’Union bancaire.
Les enjeux pour les banques.
Les rôles de la BCE et de l’ABE.
Les similitudes avec la loi Dodd Franck (DFA).
Les enjeux comptables, prudentiels et de liquidité.
EMIR
Le périmètre du règlement n° 648/2012 du Parlement européen
et du Conseil du 4 juillet 2012.
Participants
• Collaborateurs et responsables de la direction de la conformité.
• Contrôleurs permanents et périodiques/auditeurs internes et membres de
l’Inspection générale.
• Collaborateurs en charge du traitement des réclamations.
• RCSI/RCCI.
• Collaborateurs en charge de la gestion des risques.
PROGRAMME
Produits et activités des établissements / Dispositifs de commercialisation et répartition
Dispositions législatives et réglementaires des responsabilités entre les acteurs
Produits et services distribués par les établissements bancaires / Relations entre mandants et intermédiaires (IOBSP et Intermédiaires en
Dispositions législatives et réglementaires y afférents. Assurance) : répartition des responsabilités.
Description des produits distribués aux clients Particuliers et Conditions d’honorabilité, de compétence, d’habilitation et de protection
Professionnels et les exigences réglementaires associées (souscription d’assurance et garantie).
– Comptes de dépôt. Points de vigilance sur la promotion, le démarchage et la vente à
– Gestion et mise à disposition des moyens de paiement. distance.
– Monnaie électronique. Les cas d’externalisation et les points d’attention spécifiques pour les
– Comptes d’épargne (épargne réglementée, comptes à terme, …). contrôleurs.
– Comptes d’instruments financiers et de parts sociales (comptes Les actions en réponse des associations professionnelles : Charte AFECEI
support et segmentation des produits). relative à l’inclusion bancaire et à la prévention du surendettement,
– Crédits (découverts, crédits à la consommation, crédits immobiliers, recommandations FBF (en matière de mobilité, par exemple).
autres crédits) en mettant en évidence les points suivants : La création de l’Observatoire de l’Inclusion Bancaire (OIB).
• Distinction entre contrats antérieurs à la réforme du code de la La mission dévolue à la Direction du Contrôle des Pratiques
consommation et contrats postérieurs. Commerciales (DCPC) au sein de l’ACPR.
• Distinction entre un prêt personnel et un crédit renouvelable. Rôle du pôle ABE IS (Assurance Banque Épargne Info Services).
• Particularités du nouveau crédit immobilier.
• Garanties et cautions. Dispositifs de commercialisation et répartition
• Regroupement de crédits. des responsabilités entre les acteurs
Identification des risques par thème :
Ces produits seront présentés à travers notamment les dispositions – Connaissance de la clientèle.
législatives et réglementaires suivantes : – Information clients.
– Loi de séparation et de régulation des activités bancaire (Loi Moscovici). – Devoir de conseil.
– Loi relative au compte dormant et en déshérence (Loi Eckert). – Protection des données personnelles.
– Loi relative au crédit à la consommation (Loi Lagarde). – Prévention du surendettement.
– Loi sur la consommation (Loi Hamon). – Traitement des réclamations clients.
– Ordonnance n° 2016-351 du 25 mars 2016 et Décret n° 2016-607 Risques provenant d’activités externalisées en lien avec la
du 13 mai 2016 portant sur les contrats de crédit immobilier aux commercialisation et la relation clientèle.
consommateurs relatifs aux biens immobiliers à usage d’habitation. Mesure, gestion et surveillance de ces risques.
PROGRAMME
Présentation d’une méthode d’analyse de la qualité des cartographies en Cas spécifique du traitement des réclamations :
évaluant notamment la prise en compte d’indicateurs de risque pertinents – Identification des points de vérification à mettre en œuvre de la
et adaptés. réception de la réclamation à son traitement en mettant l’accent
notamment sur :
Cas pratique • Typologie des motifs et recevabilité.
À partir de la cartographie réalisée, identification des éléments essentiels • Circuit de prise en charge des réponses et indemnisation (éventuelle).
du dispositif de contrôle interne que le contrôleur doit trouver sur place : • Médiation.
– L’environnement de contrôle avec les éléments suivants : • Prise en compte des axes d’amélioration sur le ou les processus
• Les procédures opérationnelles nécessaires : entrée en relation, visé(s) par la réclamation.
ouverture des comptes, proposition des produits, octroi des
services (crédits), suivi de la relation commerciale, clôture des
comptes. Documentation et obligations de reporting
• Traitement des réclamations clients. Description des reporting suivants :
• Des règles de déontologie formalisées dans un code de bonne – Rapport annuel sur le contrôle interne et la maîtrise des risques.
conduite et prévoyant des règles de gestion des conflits d’intérêts, – Questionnaire ACPR sur les pratiques commerciales et la protection
l’octroi d’habilitations. de la clientèle (QPC²).
• Une politique de rémunération adéquate pour les personnels – Reporting en direction de l’OIB.
chargés de la commercialisation des produits (ref code de la Utilisation effective des contrôles de cohérence « inter Reporting ».
conso et standards EBA). Réalisation de recoupements entre le reporting et la réalité du terrain.
• Un processus de validation des nouveaux produits.
• Un dispositif de contrôle des campagnes publicitaires.
dans la banque
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre comment l’environnement économique et réglementaire • Documentation en PowerPoint.
ainsi que les évolutions continues technologiques et sociétales mettent • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
sous pression les modèles opérationnels établis de la banque. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Intégrer la nécessité de renouveler le modèle traditionnel. et confirmer les acquis.
• À partir de cas concrets et de missions de conseil menées dans
ce domaine, identifier et détailler les différents leviers envisageables Connaissances requises
de l’amélioration opérationnelle : • Aucune connaissance particulière.
• Alignement de l’organisation.
• Optimisation des processus métiers.
• Rationalisation des infrastructures IT.
• Pilotage de la performance.
• Gestion des ressources humaines.
• Mettre en perspective ces différents leviers (la durée et le niveau
des résultats obtenus n’étant pas identiques d’un levier à l’autre).
Participants
• Responsables et collaborateurs des back et middle-offices, de l’inspection
et de l’audit interne dans les établissements de crédit.
• Responsables métiers de la banque.
PROGRAMME
Des back offices de plus en plus sous pression Renforcement de la responsabilisation des équipes sur les processus
end-to-end et la gestion par processus.
Présentation des différents challenges auxquels sont confrontés les back
Straight Through Processing (STP).
offices bancaires :
Agilité, amélioration continue, Lean Management Six Sigma.
– Améliorer la qualité de service.
Dématérialisation, virtualisation, Robotic Process Automation (RPA).
– Accroître l’efficacité opérationnelle.
Sécurisation des traitements & réduction des risques opérationnels.
– Rationaliser les organisations.
– Diminuer les risques opérationnels.
– Améliorer la motivation et l’implication des collaborateurs du back office.
Levier 3 = Rationalisation des infrastructures IT
– Développer l’expertise et les compétences des collaborateurs. Mise en place de solutions On shore, Offshore et/ou Near-Shore.
Efficacité de l’infrastructure IT et cybersécurité.
Présentation des leviers de l’amélioration Modernisation de l’architecture IT (utilisation de solutions techniques
de l’efficacité opérationnelle innovantes : BPM, SOA, APisation, intégration de systèmes et de
nouvelles technologies).
Alignement de l’organisation & du modèle de prestation de services.
Mise à niveau de la qualité et de la fiabilité des données et amélioration
Optimisation des processus métiers.
de la gestion de l’information : exploitation des données clients (customer
Rationalisation des infrastructures IT.
analytics).
Pilotage de la performance.
Capital humain.
Levier 4 = Process analytics, pilotage
Levier 1 = Alignement de l’organisation de la performance
& du modèle de prestation de services Pilotage financier, ABC/ABM.
Pilotage commercial.
Rationalisation des organisations (transversalisation des back offices,
Pilotage risques.
Shared Services Centers, centre de compétences…).
Pilotage qualité.
Externalisation des fonctions support / partenariats.
Pilotage de l’activité.
Socialisation des processus.
Customer Experience Factory.
Simplification des structures juridiques.
Levier 5 = Capital humain
Transformation des modes de travail.
Levier 2 = Optimisation des processus métiers Évolution du rôle des managers.
Culture digitale, innovation et service client.
Réduction des coûts de traitement des opérations tout en standardisant
Développement et gestion du capital humain.
les processus, les outils et les modes opératoires.
Participants
• Toute personne souhaitant maîtriser les aspects fondamentaux
de Bâle III et l’impact du dispositif prudentiel sur l’économie générale
des banques.
• Équipes des fonctions Finance et Risques des banques (approche
du pilotage financier).
• Contrôleurs internes et externes.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : contexte, mise en œuvre, perspectives Risques de marche (portefeuille de négociation)
De Bâle I à Bâle III. Périmètre et évaluation du portefeuille de négociation (trading book).
Transposition en Europe : Capital Requirements Regulation (règlement Exigence de fonds propres en approche standard.
CRR) et Capital Requirements Directive (CRD 4) et actes délégués. Approche modèles internes : notion de Value-at-Risk (VAR).
Régulation et supervision en Europe. Les nouvelles exigences et pondérations introduites par Bâle II.5 - CRR.
Exigences de déclarations : COREP, FINREP... Présentation synthétique des réformes de finalisation de Bâle III sur
Perspectives : Finalisation de Bâle III. le risque de marché (Fundamental Review of the trading book - FRTB).
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 101
One
to
One Bâle III (CRR, CRD 4) :
approfondissement
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Situer les enjeux de la nouvelle réglementation issue de Bâle III : • Documentation en PowerPoint.
« Capital Requirements Regulation (règlement CRR) », « Capital • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
Requirements Directive (CRD 4) » et actes délégués. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Intégrer les changements essentiels introduits par ces textes. et confirmer les acquis.
• Rappeler l’approche comptable et le passage à l’approche prudentielle.
• Expliquer les mécanismes, les concepts sous-jacents et les enjeux Connaissances requises
des différentes approches. • Bonne connaissance de l’économie de la banque.
• Appliquer les mécanismes de l’exigence de fonds propres sous • Bases de la comptabilité bancaire.
différentes approches.
• Expliquer les ratios de liquidité et le ratio de levier prudentiels.
• Identifier les impacts sur les risques pondérés de la « finalisation de Bâle III »
(texte de décembre 2017 applicable essentiellement à partir de 2022).
Participants
• Comptables, contrôleurs de gestion, gestionnaires des risques,
inspecteurs, auditeurs internes, trésoriers.
• Responsables financiers, responsables des fonctions ALM et Risques.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : contexte, mise en œuvre, Systèmes de notations internes.
perspectives Facteurs de risque : PD, LGD, EAD, M.
Classes d’actifs dans l’approche IRB et fonctions de pondération
De Bâle I à Bâle III.
associées.
Transposition en Europe : Capital Requirements Regulation (règlement
CRR), Capital Requirements Directive (CRD 4) et actes délégués.
Régulation et supervision en Europe.
Risque de crédit : pertes attendues et dépréciations/
Exigences de déclarations : COREP, Grands risques, FINREP, etc. provisions
Finalisation de Bâle III (applicable essentiellement en 2022). Les pertes attendues : modalités de calcul.
Les provisions et les dépréciations associées. L’impact de la comptabilisation
Fonds propres - CRR des « expected credit losses » dès l’origination ou l’acquisition des actifs
(norme comptable IFRS 9 applicable depuis le 1er janvier 2018).
Mécanisme du ratio de solvabilité.
Le traitement de l’insuffisance ou de l’excédent de dépréciations/
Mécanisme de pondération.
provisions (par rapport aux pertes attendues) par l’ajustement des fonds
Contenu des fonds propres comptables et passage aux fonds propres
propres.
prudentiels.
Composantes des fonds propres : Common Equity Tier 1 Capital (CET 1),
Additional Tier 1 Capital (AT1) et Tier 2 Capital (T2 capital).
Risque de crédit : techniques d’attenuation
Ajustements réglementaires des fonds propres. du risque de crédit
Traitement des primes d’émission, des intérêts minoritaires, des actifs Objectifs.
d’impôt différé et des participations. Protection de crédit financée : définition, instruments éligibles, approches
Le ratio minimal ; les coussins de protection, contracycliques et simple et générale, approches IRB.
systémiques. Protection de crédit non financée : définition, éligibilité des fournisseurs
Calendrier de mise en œuvre et mesures transitoires. de protection, instruments éligibles, approche standard et approche IRB.
PROGRAMME
Les nouvelles exigences et pondérations introduites par Bâle II.5- CRR. Ratios de liquidité Bâle III - CRR
Risque de crédit transféré.
Introduire des ratios de liquidité :
– Ratio de liquidité à court terme (LCR).
Risque de crédit : risque de contrepartie et risque CVA – Ratio de financement stable (NSFR).
Périmètre et définitions. Calendrier de mise en œuvre.
Les quatre méthodes de calcul de l’exigence de fonds propres.
Risque d’ajustement de l’évaluation de crédit (credit value adjustment - Ratio de levier
CVA).
Objectifs.
Les nouvelles exigences et pondérations introduites par Bâle III - CRR.
Composition.
Calendrier de mise en œuvre.
Risque de crédit : finalisation de Bâle III L’essentiel de la réforme de finalisation de Bâle III sur le ratio de levier.
Objectif des réformes.
L’essentiel de l’approche standard révisée. Piliers 2 et 3
L’essentiel de l’approche IRB révisée.
Objectifs et contexte de la revue prudentielle.
L’essentiel des modifications sur les techniques ARC.
Évaluation de l’adéquation du capital interne (ICAAP) et de la liquidité
L’essentiel des modifications sur le risque de contrepartie.
interne (ILAAP).
Revue du processus par le superviseur (SREP).
Risque opérationnel Stress tests.
Définition et méthodologies. Pilier 3 : Informations à publier et relation avec IFRS 7.
Approche de base (basic indicator approach).
Approche standard.
Approche avancée (Advanced Measurement Approach ou AMA).
L’essentiel de la réforme de finalisation de Bâle III sur le risque
opérationnel.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 103
One
to
One Bâle III, Pilier 2 :
ICAAP, stress tests
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Avoir une vision d’ensemble du pilier 2 de Bâle III et de ses impacts. • Documentation en PowerPoint.
• Acquérir un niveau d’expertise permettant de manipuler aisément dans • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
son activité opérationnelle les concepts d’ICAAP et d’ILAAP, de revue • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
prudentielle (SREP), de risques traités dans le pilier 2, de stress tests. et confirmer les acquis.
• Savoir utiliser les calculs du pilier 2 et notamment les stress tests dans
le pilotage de l’établissement. Connaissances requises
• Comprendre les aspects essentiels du dispositif Bâle III. • Bonnes connaissances du pilier 1 de Bâle III.
Participants
• Contrôleurs de gestion. Financiers.
• Gestionnaires des risques et ALM.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Principes généraux du pilier 2 Sanctions imposées par les superviseurs si les ratios ne sont pas
respectés.
Objectifs et contexte de la revue prudentielle.
L’accent renforcé depuis 2016 sur l’ICAAP et l’ILAAP.
Principes du pilier 2 : responsabilité de la banque quant au processus
interne d’évaluation des fonds propres, principaux secteurs de risques
traités sous le pilier 2, meilleures pratiques.
Risques traités par le pilier 1
Modifications du pilier 2 avec les nouvelles règles Bâle III - CRR-CRD 4 : Le risque de concentration : définition, principes, méthodes de mesure
coussins de fonds propres, MMD (Montant Maximum Distribuable). (ratios, modèles) :
– Définition.
Objectifs de L’ICAAP et de L’ILAAP – Principes.
– Méthode de mesure (ratios, modèles).
Évaluer le montant des fonds propres et de la liquidité en interne.
Les risques résiduels liés aux techniques de réduction du risque de
Analyser les risques les plus importants.
crédit : définition, procédures de contrôle :
Planifier les mesures à prendre si les risques sont trop importants.
– Définition.
Projeter la situation financière et stratégique et la robustesse du bilan.
– Procédures de contrôle.
L’utilisation du pilier 2 dans l’activité de l’établissement.
– Actions correctrices demandées par les autorités de supervision en cas
Un exemple : l’ICAAP à la Deutsche Bank.
de maîtrise insuffisante des risques résiduels.
Rapports entre l’ICAAP et le Risk Appetite Framework (RAF).
Les risques liés aux opérations de titrisation :
– Définition.
Revue du processus par le superviseur et attentes
– Risques visés par le Comité de Bâle.
de la BCE et de l’ACPR – Traitement de ces risques en pilier 2.
Le processus. Le risque de liquidité :
Autorisation des approches avancées. – Définition.
Méthodologie du système d’évaluation des risques. – Le coût de liquidité ou spread de liquidité.
Demandes des autorités de contrôle en 2016 en matière de pilier 2 : – La mesure du risque de liquidité : le gap ou impasse de liquidité.
– Évaluer la quantité et la composition du capital interne comparées aux – La réglementation Bâle III (pilier 1) : contexte, ratio de liquidité à court
fonds propres réglementaires du pilier 1. terme (LCR), ratio de financement stable (NSFR).
– Montrer l’adéquation des processus de gestion des risques. Réglementation concernant le risque de liquidité (pilier 2).
– Renforcer l’environnement de contrôle et de gestion des risques.
– Réduire les risques auxquels les banques sont exposées. Facteurs non traités sous le pilier 1
– Améliorer les processus ICAAP et ILAAP.
Le risque stratégique et le risque lié à l’activité :
– Constituer un coussin de fonds propres en plus des normes minimum,
– Définition.
ou améliorer la qualité de leurs fonds propres.
– Principes de gestion de ce risque.
Les niveaux d’exigences en capital exigés en 2015 (ainsi que la fixation
Le risque de réputation :
du montant maximum distribuable et lien avec les exigences de fonds
– Définition.
propres du pilier 1).
– Principes de gestion de ce risque.
Principes d’un coussin des fonds propres du pilier 2 imposé par
Risque de taux d’intérêt du portefeuille bancaire :
le superviseur et qui vient s’ajouter aux coussins de fonds propres
– Définition.
réglementaires du pilier 1 : le « Pillar 2 Requirement » (P2R).
PROGRAMME
– Incidence de la variation des taux d’intérêt sur le résultat de la banque Stress tests : attentes de l’ACPR.
et sur sa valeur économique. Les cinq catégories de stress tests les plus répandues en pilier 2.
– Les sources de risque de taux d’intérêt : non-adossement entre Risques de marché :
ressources et emplois en matière de type de taux, déformation de la – Définition du trading book.
courbe des taux, risque de base, options cachées. – VaR normale.
– Banking book et trading book. – VaR stressée et stress tests.
– Les différentes mesures de risque de taux d’intérêt : méthode des Développement d’un programme effectif de stress tests : questions à
impasses, méthode de la duration, méthode des simulations. considérer, considérations techniques, pratiques courantes dans les
Principes de maîtrise du risque de taux d’intérêt. banques, meilleures pratiques.
– Notamment transformation d’un scénario de stress macroéconomique
Stress tests ou financier en hypothèses sur les variables de risque (corrélations
Objectifs. entre variables macroéconomiques et paramètres Bâle II-III).
Contexte. Utilisation des stress tests dans le pilotage de l’établissement : diffusion
Stress tests aux USA (FED). des résultats dans l’entreprise, notamment au management, analyse des
Stress tests en Europe (ABE et BCE). résultats et prise de décisions adéquates pour réduire les expositions et
Stress test de l’ACPR. les concentrations de risques jugées excessives.
Principaux types de stress tests : analyse historique, analyse de
scénarios, analyse de sensibilité, reverse stress tests.
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One
to
One Bâle III (CRR CRD 4), fondamentaux
du risque de crédit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Situer les enjeux de la nouvelle réglementation issue de Bâle III : • Documentation en PowerPoint.
« Capital Requirements Regulation (règlement CRR) » et « Capital • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
Requirements Directive (CRD 4) ». • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Intégrer les changements essentiels introduits par ces textes. et confirmer les acquis.
• Maîtriser les approches standard et IRB du risque de crédit.
• Appliquer les mécanismes de l’exigence de fonds propres sous les Connaissances requises
différentes approches. • Bonne connaissance de la banque.
• Appréhender les techniques d’atténuation du risque de crédit. • Bases de la comptabilité bancaire.
Participants
• Comptables, contrôleurs de gestion, gestionnaires des risques,
inspecteurs, auditeurs internes, trésoriers.
• Responsables financiers, responsables de la fonction ALM et risques.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : généralites sur le risque de crédit Risque de crédit : approche standard
Les risques bancaires : définition, principaux risques bancaires. Principes généraux.
Les fonds propres économiques et prudentiels pour faire face à ces Les organismes externes d’évaluation.
risques. Grilles de pondération en fonction de la nature des expositions et de
L’approche des autorités de contrôle. leur notation interne.
Le risque de crédit : définition, lien avec les autres risques. Synthèse des principales pondérations.
Risque de défaut et risque de migration. Modalité de reconnaissance et d’utilisation des organismes de notation
Typologie des crédits. externes.
PROGRAMME
Risque de crédit : titrisation Ratios de liquidité Bâle III - CRR
Périmètre et définitions. Introduire des ratios de liquidité :
Exclusion des actifs titrisés par l’établissement originateur. – Ratio de liquidité à court terme (LCR).
Approche standard. – Ratio de financement stable (NSFR).
Approche notation interne. Calendrier de mise en œuvre.
Les nouvelles exigences et pondérations introduites par Bâle II.5-CRR.
Piliers 2 et 3
Risque de crédit : risque de contrepartie Objectifs et contexte de la revue prudentielle.
et Risque cva Évaluation de l’adéquation du capital et de la liquidité internes (ICAAP
Périmètre et définitions. et ILAAP).
Les quatre méthodes de calcul de l’exigence de fonds propres. Revue du processus par le superviseur (SREP).
Risque d’ajustement de l’évaluation de crédit (credit value adjustment - Les principaux risques du pilier 2 (non traités en pilier 1) : risque de
CVA). concentration, risque résiduel des techniques de réduction du risque de
Les nouvelles exigences et pondérations introduites par crédit, risque de titrisation.
Bâle III -CRR. Stress tests.
Pilier 3 : Informations à publier, relation avec IFRS 7.
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One
to
One États COREP : l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre et connaître l’essentiel des états relatifs au ratio de • Documentation en PowerPoint.
solvabilité, dénommés « états COREP ». • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Connaître les règles, les principes et les caractéristiques générales des • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
états COREP. et confirmer les acquis.
• Approfondir et illustrer les modalités d’élaboration et de contrôle
de ces états. Connaissances requises
• Une connaissance des opérations bancaires est
Participants souhaitée.
• Responsables et collaborateurs des services comptables chargés de
l’élaboration et/ou des contrôles, personnel ayant en charge l’adaptation
des systèmes permettant l’automatisation de ces états.
• Collaborateurs des services audit, inspection et contrôle.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction Rappel sur les règles de calcul du risque de crédit :
– Risque de contrepartie.
De Bâle I à Bâle III.
Examen des états COREP « CR » : CR SA, CR IRB, CR GB, CR SETT...
Les 3 piliers du dispositif et les différentes approches.
Le rôle de l’EBA et de la BCE.
Présentation générale des états COREP : liste, périodicité, délais et
Les états COREP relatifs aux risques de marché
modalités de transmission. Rappel sur les principes de calcul des risques de marché :
– Définition du PTF de négociation.
Les états COREP relatifs aux fonds propres – Seuils.
– Les différents risques et principes de calcul.
Rappel sur les fonds propres :
Examen des états COREP « MKR » : MKR TDI, MKR EQU...
– Composantes et contenu des fonds propres.
Examen de l’état COREP « CVA ».
– Niveau de fonds propres.
– Période transitoire.
Examen des états COREP « CA » : CA1, CA2, CA3...
Les états COREP relatifs aux risques
opérationnels
Les états COREP relatifs au risque de crédit Rappel sur les règles de calcul des risques opérationnels :
Rappel sur les règles de calcul du risque de crédit : – Définition du risque opérationnel.
– Approche standard. – Les différentes approches : base, standard et avancée.
– Approche IRB. Examen des états COREP « OPR » : OPR Detail...
– Atténuation des risques de crédit : protection de crédit financée,
protection de crédit non financée.
Durée
1 jour
Prix
repas inclus
844 € HT
Animateurs
Gérard MAROT
Date
20 mars 2019
305 États FINREP
prudentielle
et reporting
financier
Hicham BADDAG 9 octobre 2019
PROGRAMME
Introduction Code NACE.
La ventilation des prêts et avances par type de produit, sûreté, objet,
Origine du dispositif FINREP.
et garantie.
Champ d’application et périmètre.
« Write-off » et « produits sur encours précédemment comptabilisés »
Principes généraux relatifs à la structure et à la composition des états :
Variation cumulée négative de la juste valeur due au risque de crédit.
– Numérotation.
Couverture économique.
– Codification.
POCI (ou « actifs financiers dépréciés dès leur acquisition »).
– Contenu des zones et lien avec les normes…
Non Performing Exposure (NPE).
Périodicité et délais.
Forbearance Exposure.
Valeur brute comptable.
Textes et documents disponibles
Etc.
Présentation générale des normes IFRS.
Norme IFRS 9 : classification et évaluation. Les états FINREP
Directives européennes.
Analyse des différents états et identification des différentes données
Règlements.
nécessaires.
Reportings et instructions.
Pour chaque état, seront précisés les caractéristiques générales et les
points d’attention.
Le cadre réglementaire
Instruments financiers par nature.
Nomenclature des secteurs d’activités des contreparties.
Pays de résidence de la contrepartie.
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One
to
One États COREP :
risques de crédit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Permettre à tout participant de se familiariser avec les états COREP • Documentation en PowerPoint.
relatifs au risque de crédit. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Comprendre le dispositif et les concepts. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Maîtriser les modalités d’élaboration et de contrôle de ces états, et et confirmer les acquis.
être capable de porter une appréciation sur la qualité des informations
adressées à l’ACPR. Connaissances requises
• Une connaissance minimale des opérations bancaires est
Participants souhaitée.
• Personnel de la comptabilité, du contrôle de gestion,
du back-office, du contrôle et de l’audit en charge de l’établissement ou
du contrôle des états COREP.
• Toute personne souhaitant mesurer le lien entre son activité et les fonds
propres nécessaires.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction Approche standard
De Bâle I à Bâle III. Principes généraux.
Les 3 piliers du dispositif et les différentes approches. Catégories d’exposition et pondérations associées.
Le rôle de l’EBA et de la BCE. Principes d’élaboration et analyse de l’état COREP « CR SA ».
Les enjeux et les raisons des dernières évolutions. Cas pratique avec l’état COREP « CR SA ».
Contrôles à effectuer.
Le dispositif
Les textes et mesures associées (CRR et CRD 4). Approche IRB
Champ d’application et périmètre. Principes et conditions d’utilisation de l’approche IRB.
Contrainte réglementaire. Les facteurs de risque : PD, LGD, EAD, M.
États et périodicité. Système de notation interne et classes d’actifs.
Délais et modalités de transmission. Le traitement des pertes attendues.
Analyse des états COREP « CR IRB ».
Le calcul des fonds propres Contrôles à effectuer.
Les textes.
Champ d’application. Examen des autres états relatifs
Composition : T1 (CET1, AT1), Tier 2. aux risques de crédit
Ajustements. Examen des états :
Traitement des intérêts minoritaires, des actifs d’impôts différés et des – CR GB : répartition par zone géographique.
participations. – CR SETT : risque de règlement/livraison.
Le niveau de fonds propres et les coussins. – CR EQU IRB : risque action.
Période transitoire. – CR SEC : titrisation.
Examen des états COREP « CA » (CA1, CA2, CA3...).
Cas pratique avec les états COREP « CA ». Rappel sur les risques opérationnels
Les différentes approches : de base, standard et avancée.
Méthodologie générale de calcul Analyse des états « OPR » et « OPR Détail ».
des risques de crédit
Principes de calcul. Les informations à publier sur le risque de crédit
Types d’exposition : éléments de bilan, éléments de hors bilan, au titre du pilier 3
instruments dérivés… Liste des informations à publier.
Catégories d’exposition.
Techniques de réduction du risque de crédit (protection de crédit Évolutions
financé, protection de crédit non financé).
Risque de contrepartie. Évolutions prévues pour le risque de crédit.
PROGRAMME
Introduction Modalités de calcul.
Périodicité, période d’observation, date d’application.
Origine du dispositif de liquidité Bâle III.
Présentation générale du dispositif.
Textes.
Les outils de suivi supplémentaires
(modèle ALMM)
Le ratio de liquidité court terme (LCR) Introduction et textes relatifs aux outils de suivi.
Présentation générale du LCR : objectif, contrainte réglementaire, Liste des tableaux, périodicité, niveau d’application, date de mise en
niveau d’application, mise en œuvre et période transitoire… œuvre, période transitoire.
Coussin de liquidité : Définition, objectifs et composition de chaque outil de suivi :
– Définitions. – États pour les outils supplémentaires de suivi (AMT) :
– Caractéristiques : exigences générales et exigences opérationnelles. • C66 : Tableau d’échéances.
– Composition et pondérations associées. • C67 : concentration des financements par contrepartie.
Sorties de trésorerie : • C68 : concentration des financements par type de produit.
– Taux de retrait. • C69 : prix pour différentes durées de financement.
Entrées de trésorerie : • C70 : refinancements.
– Taux d’entrée. – États pour la concentration de la capacité de rééquilibrage :
Sorties nettes de trésorerie. • C71 : concentration de la capacité de rééquilibrage par
émetteur/contrepartie.
Le ratio structurel de liquidité long terme (NSFR)
Cas pratique
Objectif et contrainte réglementaire.
Composition. Calcul du ratio de liquidité court terme à partir d’un cas.
Mise à jour du reporting LCR.
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One
to
One Bâle III, ratio de solvabilité
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Découvrir le ratio de solvabilité (Bâle III) applicable aux établissements • Documentation en PowerPoint.
de crédit. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Connaître les composantes des fonds propres (CET1, AT1, T1, T2). • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Connaître les méthodologies de calcul des exigences de fonds propres et confirmer les acquis.
relatifs aux différents risques (crédit, marché et opérationnel).
Connaissances requises
Participants • Une connaissance des opérations bancaires est
• Tout collaborateur de banque. souhaitée.
• Prestataires informatiques.
PROGRAMME
Le contexte – Le traitement des dérivés.
Approche IRB :
Identification des risques liés à l’activité bancaire.
– Les conditions d’utilisation et les spécificités.
Présentation des mesures de suivi mis en place par les autorités
de contrôle.
Les risques de marché
Le dispositif général Définition et évaluation du portefeuille de négociation.
Les grands principes du calcul de l’exigence de fonds propres au titre
Contexte et objectif.
des risques de taux, de variation des titres de propriété, du risque de
Les textes et la documentation disponible (CRR, CRD 4).
change…
Les 3 piliers du dispositif.
Établissements assujettis et ratio minimum.
Le reporting : périodicité, délais…
Les risques opérationnels
Définitions et méthodologies.
Les fonds propres Définition et caractéristiques de chaque approche : de base,
standard et avancée.
Objectifs, textes et champ d’application.
Contraintes réglementaires.
Composition : CET1, T1, T2, ajustements, traitement spécifiques…
Informations à publier
Niveau de fonds propres et coussins. Liste des informations à publier (pilier 3).
Période transitoire.
Évolutions
Les risques de crédit Les évolutions prévues dans le cadre de la finalisation Bâle III.
Approche standard :
– Les principes de calcul et les pondérations appliquées.
– Les techniques de réduction du risque de crédit.
et règles de gestion
to
One
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 113
One
to
One Reportings (SURFI/PROTIDE/
BDP, ANACRÉDIT)
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre le dispositif SURFI. • Documentation en PowerPoint.
• Connaître et approfondir les modalités d’élaboration et de contrôle des • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
états périodiques SURFI destinés à l’ACPR. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Aider les participants à concevoir et à mettre en œuvre l’organisation et et confirmer les acquis.
les contrôles nécessaires.
Connaissances requises
Participants • Une connaissance de la comptabilité bancaire est
• Comptables et responsables de l’élaboration et/ou de la vérification des souhaitée.
états SURFI destinés à l’ACPR. • A défaut, la participation à la formation « Comptabilité
• Personnel des services audit, inspection et contrôle. bancaire » est conseillée.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction Focus sur les tableaux monétaires SURFI
Historique. Cadre juridique (textes BCE et BDF).
Objectifs du dispositif. Modalités techniques de déclaration et de contrôle des remises.
Principales caractéristiques du dispositif. Les évolutions récentes.
Présentation générale du dispositif.
Les statistiques balance des paiements
Cadre réglementaire et position extérieure
Principes généraux d’élaboration des reportings SURFI/PROTIDE/BDP. Cadre juridique.
Les règles comptables applicables : Méthodologie : concepts clés, définitions, structures et rubriques
– Aux comptes sociaux. de la balance des paiements et de la position extérieure.
– Aux comptes consolidés. Modalités techniques de déclaration (notes techniques DGS).
Les exigences à remplir au titre du contrôle interne. Cohérence SURFI/BDP.
et prudentiel : l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques One
to
One
• Inventorier les différents reporting comptables • Documentation en PowerPoint.
et prudentiels à transmettre à l’ACPR. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Comprendre le dispositif actuel. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Connaître le contenu de chaque reporting. et confirmer les acquis.
• Découvrir les dernières évolutions.
Connaissances requises
Participants • Une connaissance des opérations bancaires est
• Personnel de la comptabilité, du contrôle de gestion, souhaitée.
du back-office, du contrôle et de l’audit en charge
de l’établissement ou du contrôle des ratios.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction – Principes généraux.
– Expositions.
Historique.
– Catégories d’exposition.
Synthèse des reportings.
– Principales pondérations.
Respect du contrôle interne (Arrêté du 3 novembre 2014).
L’essentiel de l’approche IRB.
Risque de contrepartie.
Le reporting SURFI
Réducteurs de risque.
Objectifs et champ d’application. Présentation des états.
Cadre réglementaire.
Présentation générale du dispositif. Le calcul des risques de marché
Textes et documentation disponible.
Principes de calcul.
Les dimensions (attributs).
Composition du portefeuille de négociation.
Liste des états à remettre.
Seuils d’assujettissement.
Présentation des dernières évolutions.
Méthode générale de calcul des exigences de fonds propres.
Système de remise : tronc commun, seuils par activité.
Périodicité et délais.
Le calcul des risques opérationnels
Les états FINREP Définitions et méthodologies.
Les différentes approches.
Définitions, objectifs et champ d’application.
Cadre réglementaire.
Présentation générale du dispositif FINREP.
Liste des informations à publier
Liste des informations à publier (Pilier 3).
Les états COREP
Présentation général du dispositif COREP Le ratio de levier
Bâle I à Bâle III, les 3 piliers et les différentes approches du dispositif. Présentation générale :
Le dispositif général : – Objectifs et périmètre.
– Textes et contraintes réglementaires. – Définitions et textes.
– Les états : périodicité, délais… – Modalités de calcul.
Le reporting.
Le calcul des fonds propres
Composition des fonds propres : T1 (CET1, AT1) et T2.
Les ratios de liquidité
Ajustements et traitements spécifiques. Présentation générale du dispositif (Bâle III) :
Niveau de fonds propres et période transitoire. – Ratio de liquidité à court terme à 1 mois (Liquidity Coverage Ratio
Présentation générale des états COREP « CA ». (LCR)) : définition et objectifs, composition.
– Ratio à long terme (Net Stable Funding Ratio (NSFR)) : définition et
Le calcul des risques de crédit objectifs, composition.
– Éléments de suivi de liquidité.
Champ d’application, périmètre et définitions.
Les états relatifs à la liquidité.
Principe de calcul.
Approche standard :
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 115
PROGRAMME
Les grands risques Les Asset Encumbrance
Présentation générale : Présentation générale :
– Objectifs et périmètre. – Objectif du reporting et textes.
– Définitions et textes. – Définition, objectifs et contenu de chaque état.
– Modalités de calcul. Le reporting.
Le reporting.
du comptable au prudentiel
et pilotage financier des banques
Objectif général Participants
• Rappeler les concepts sous-jacents de la comptabilité générale • Toute personne souhaitant comprendre les aspects
et la notion de capitaux propres. fondamentaux de Bâle III en matière de fonds propres et
• Acquérir l’essentiel du dispositif Bâle III en matière de fonds propres leur impact sur le pilotage financier d’une banque.
prudentiels (nouvelle réglementation Bâle III « Capital Requirements • Collaborateurs des fonctions finances, risques, contrôle,
Regulation – CRR »). audit, back et middle-office des banques.
• Expliciter le passage des capitaux propres comptables aux fonds propres • Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
prudentiels et la logique sous-jacente retenue par le régulateur.
• Identifier les conséquences de l’application de la norme IFRS 9 depuis Supports et moyens pédagogiques
le 1er janvier 2018 (impact de première application et incidence • Documentation en PowerPoint.
sur les fonds propres prudentiels ; traitement des instruments de • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
capitaux propres classés précédemment en « disponible à la vente ; • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
enregistrement de dotations pour pertes attendues sur l’ensemble des et confirmer les acquis.
actifs sains »).
• Expliquer les principaux mécanismes à mettre en œuvre pour déterminer Connaissances requises
le coût des fonds propres et le coût du risque de crédit • Connaissances générales de l’économie bancaire.
dans le cadre du pilotage financier d’une banque.
• Comprendre l’organisation du pilotage financier des principales banques
et l’évolution connue depuis la crise de 2007-2008.
PROGRAMME
Capitaux propres comptables – Non valeurs.
et concepts sous-jacents – Résultat de valorisation non transformable ultérieurement en
trésorerie (cash flow hedge).
Définition des capitaux propres et concepts sous-jacents.
– Résultat latent IFRS.
Approche par l’actif net ou la situation nette.
Actifs non recouvrables en situation de pire scénario.
Position de subordination des actionnaires et conséquences comptables
Résultat volatil IFRS.
(rémunération aléatoire, principe comptable de prudence, etc.).
Incidence de la norme comptable IFRS 9 applicable le 1er janvier 2018
Enregistrement de la rémunération des porteurs de dettes externes
(enregistrement des dotations pour pertes attendues sur l’ensemble
et de celle des actionnaires. Coût des fonds propres et distribution de
des actifs sains évalués au coût amorti ou en juste valeur par OCI
dividendes.
recyclable par résultat).
Pertes attendues au titre du risque de crédit non appréhendées par la
Approche des fonds propres prudentiels comptabilité en approche « lincured Llosses », etc.
et de la notion de solvabilité
Économie d’une banque et rôle des fonds propres (approche en pire Lien entre la rentabilité minimale et le coût
scénario à horizon d’un an). des fonds propres et du risque de crédit
Cercle vertueux de la solvabilité (approche par les risques pondérés ou
Lien entre distribution, rémunération et niveau des fonds propres
par l’emploi des fonds propres).
nécessaires pour couvrir un niveau donné de risques pondérés.
Appréhender l’origine des exigences de fonds propres (risque de crédit
Appréhender avec un exemple l’impact marginal de la production
non attendu, risque de marché et risque opérationnel).
nouvelle sur les fonds propres et la marge minimale nécessaire pour
Maîtriser le lien entre les exigences de fonds propres et les risques
continuer à respecter un niveau donné de ratio de solvabilité.
pondérés.
Appréhender avec un exemple l’impact sur la rentabilité des différents
types de garanties (incidence sur les facteurs de risque PD, LGD et
Fonds propres Bâle III - CRR EAD).
Périmètre de consolidation comptable (IFRS 10) et prudentiel.
Mécanisme du ratio de solvabilité et mécanisme de pondération. Organisation du pilotage financier
Composantes des fonds propres : Common Equity Tier 1 Capital dans les banques
(CET 1), Additional Tier 1 Capital (AT1) et, Tier 2 Capital (T2).
Positions antagonistes du régulateur et de l’actionnaire.
Impact de la norme comptable IFRS 9 applicable le 1er janvier 2018
Impact de l’évolution de la réglementation (sélectivité, productivité et
(impact de première application ; classification et évaluation).
recentrage sur les métiers de base rentables).
Le ratio minimal ; les coussins de protection, contracyclique et
Organisations en place dans les principales banques (synthèse des
systémique.
informations contenues dans les documents de référence – pilier 3 de
Calendrier de mise en œuvre et mesures transitoires.
Bâle III).
Analyse des principaux types de retraitement et de déduction.
Processus de pilotage financier.
Explicitation de la logique sous-jacente :
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 117
One
to
One Contrôle et révision des états
prudentiels (Corep, LCR, grands
risques)
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les obligations réglementaires relatives aux contrôles • Documentation en PowerPoint.
des ratios. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Être capable de mettre en œuvre une démarche de révision • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
des états prudentiels. et confirmer les acquis.
• Présenter une démarche de contrôle et des modèles de grilles
de contrôle. Connaissances requises
• Connaissance générale des ratios prudentiels.
Participants
• Tout collaborateur de banque ayant un lien avec l’élaboration et le
contrôle des ratios prudentiels.
• Auditeurs et réviseurs.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Le contexte – 1er niveau.
– 2ème niveau.
Importance des ratios et de la qualité des informations transmises aux
Proposition de modèles de grilles de contrôle.
autorités de contrôle.
Identification des risques.
Objectifs et champ d’application.
Révision et contrôle des états COREP
Rappel du contenu des états « COREP ».
Les obligations réglementaires Objectifs et champ d’application des contrôles.
Contrôles à effectuer :
Les textes :
– 1er niveau.
– Arrêté du 3 novembre 2014.
– 2ème niveau.
– Textes BDF : normes minimales de qualité.
Proposition de modèles de grilles de contrôle.
Les obligations réglementaires :
– Les 3 niveaux de contrôle.
– Piste d’audit.
Révision et contrôle du ratio de liquidité (LCR)
– Qualité de l’information. Rappel de la composition du ratio « LCR ».
Rôle, fonctions et qualités du réviseur. Rappel du contenu des états « LCR ».
Objectifs et champ d’application des contrôles.
La démarche de contrôle Contrôles à effectuer :
– 1er niveau.
Objectifs des contrôles : 1er niveau et 2ème niveau.
– 2ème niveau.
Démarche et méthodologie de contrôle.
Proposition de modèles de grilles de contrôle.
Les différents types de contrôle.
Planification et réalisation des contrôles.
Les différentes étapes du contrôle : préparation, contrôle, formalisation,
Révision et contrôle des grands risques
suivi. Rappel des règles relatives aux grands risques.
Rappel du contenu des états « LE ».
Les outils et moyens de contrôle Objectifs et champ d’application des contrôles.
Contrôles à effectuer :
Les moyens et outils de contrôle.
– 1er niveau.
– 2ème niveau.
Contrôle et révision
Proposition de modèles de grilles de contrôle.
Révision et contrôle des fonds propres
Rappel de la composition des fonds propres. Cas pratique
Rappel du contenu des états « CA ». Cas pratique en sous-groupes.
Objectifs et champ d’application des contrôles. Correction du cas pratique.
Contrôles à effectuer :
PROGRAMME
Introduction: background, implementation, Market risks (trading book)
prospects Trading book scope and requirements.
From Basel I to Basel III. The Standardised Approach.
Transposition in Europe: Capital Requirements Regulation (CRR) and The Internal Model Method: the Value-at-Risk concept.
Capital Requirements Directive (CRD 4). The new requirements introduced by Basel II.5 - CRR.
Regulation and supervision in Europe. Synthetic presentation of the Basel III finalisation reforms on market
Reporting requirements (COREP/FINREP in accordance with CRR). risks (Fundamental Review of the Trading Book).
Finalisation of Basel III prospects.
Operational risk
Own funds Basel III – CRR Definition and methodologies.
Mechanics of the solvency ratio and of weighting. The Basic Indicator Approach.
Own Funds components: Common Equity Tier 1 Capital (CET1), The Standardised Approach.
Additional Tier 1 Capital (AT1), and Tier 2 Capital (T2). The Advanced Measurement Approach (AMA).
Comparing Basel II and Basel III own funds. Synthetic presentation of the Basel III finalisation reforms
The minimum ratios, the capital buffers (conservation, countercyclical on operational risk.
and systemic capital buffers).
Chronology from Basel I to Basel III. Liquidity ratios and other aspects of basel III
Background.
Credit risk The Liquidity Coverage Ratio (LCR).
General principles. The Net Stable Funding Ratio (NSFR).
The Standardised Approach: summary of the main risk weights. Implementation schedule.
The IRB approach: the internal rating system, the risk factors (PD, LGD, Introducing a leverage ratio.
EAD, M), the exposure classes and their risk weight functions.
Synthetic presentation of the other aspects. The second and third pillars
– Credit risk mitigation. The Internal Capital and Liquidity Adequacy Assessment Processes
– Expected loss amount and credit risk adjustments: calculation and (ICAAP and ILAAP).
own funds adjustment. The Supervisory Review and Evaluation Process (SREP).
– Equity exposures under the IRB approach. Stress tests.
– Securitisation: Basel II and the new requirements introduced by Basel Third Pillar: Information to be published.
II.5 – CRR.
– Counterparty credit risk and CVA risk: Basel II and the new
requirements introduced by Basel III – CRR.
Synthetic presentation of the Basel III finalisation reforms on credit risk.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 119
NOUVEAUTÉ
Aspects comptables,
One
réglementaires et prudentiels
des établissements de paiement
to
One
et des établissements
de monnaie électronique
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les principes de la comptabilité bancaire et des Reporting • Documentation en PowerPoint.
réglementaire et prudentiel applicables aux établissements de paiement • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
et aux établissements de monnaie électronique. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Toute personne devant participer à la comptabilisation des opérations Connaissances requises
et à l’établissement des états publiables, réglementaires et prudentiels • Connaissance de la comptabilité générale.
d’un établissement de paiement ou d’un établissement de monnaie
électronique.
PROGRAMME
Introduction – Contenu et structure.
– Les blocs de tableaux.
Les textes européens.
– Les taxonomies.
Les textes de transposition française.
– Les contrôles.
Les activités d’un établissement de paiement.
– Le portail ONEGATE.
Définition et liste des services de paiement autorisés.
Le Reporting COREP
Les activités d’un établissement de monnaie électronique.
– Les principes de la réglementation prudentielle.
– Champ d’application de la réglementation.
Le référentiel comptable applicable au secteur
– Structure du Reporting COREP.
bancaire – Structure des principaux états.
Le règlement ANC N°2014-07 applicable au secteur bancaire.
Analyse de la structure du PCEC (Plan Comptable des Établissements Les obligations de Reporting SURFI applicables
de Crédit). aux établissements de paiement et aux
établissements de monnaie électronique
La présentation des états publiables des
Le Reporting SURFI d’un EP et EME :
établissements de paiement et des établissements – Les tableaux du socle commun.
de monnaie électronique – Les tableaux relatifs aux blocs d’activité.
Présentation des états financiers des établissements dont la seule – Les tableaux divers.
activité est la fourniture de services de paiement ou l’émission et la – Les tableaux spécifiques aux EP.
gestion de monnaie électronique. – Les tableaux spécifiques aux EME.
Présentation des états financiers des établissements exerçant des
activités de nature hybride. Les obligations de Reporting COREP applicables
aux établissements de paiement et aux
La réglementation prudentielle applicable aux établissements de monnaie électronique
établissements de paiement et aux établissements Le Reporting COREP
de monnaie électronique – Les états CA.
Les obligations de cantonnement. – Les états CRSA.
Les exigences de fonds propres. – L’état CR_SEC_SA.
Le dispositif de contrôle interne applicable au secteur bancaire. – L’état CR_SEC_Details.
Le Reporting anti-blanchiment. – Les états spécifiques aux EP et EME :
La balance des paiements (CRT). • CA_EP.
Le rapport annuel de contrôle interne. • CAEFP_EME.
Le questionnaire de protection de la clientèle.
Durée
2 jours
Prix
repas inclus
1 630 € HT
Animateurs
Henri JACOB
Date
28 au 29 mars 2019
316
Bâle III et sa finalisation
prudentielle
et reporting
financier
Jean-Marie LAY 19 au 20 septembre 2019
Gérard MAROT
Participants
• Comptables, contrôleurs de gestion, gestionnaires des risques,
inspecteurs, auditeurs internes, trésoriers.
• Responsables financiers, responsables des fonctions ALM et Risques.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Introduction : contexte, mise en œuvre, – Ratio de financement stable (NSFR) : définition, caractéristiques,
perspectives composition.
Périodicité, période d’observation, date d’application.
De Bâle III à « Bâle IV » (Finalisation de Bâle III).
Architecture de Bâle III : mécanisme du ratio de solvabilité, les trois piliers.
Principaux textes en Europe de « Bâle IV » : proposition de la Commission
Évolutions à venir de Bâle III : risque de crédit
Européenne (23 novembre 2016) : CRR2, CRD5, BRRD1, BRRD2. L’approche standard Bâle III – CRR du risque de crédit :
Résumé des principales réformes : TLAC et MREL, révision du calcul de Rappels succincts :
l’exigence de fonds propres, des risques pondérés et du ratio de levier, – Principes généraux.
introduction d’un plancher de fonds propres (« output floor »). – Les organismes externes d’évaluation.
– Grilles de pondération en fonction de la nature des expositions
Fonds propres - CRR et de leur notation externe.
Les modifications prévues dans la nouvelle approche standard
Rappels sur les fonds propres Bâle III :
envisagée (« Finalisation de Bâle IIII »).
– Composantes des fonds propres : Common Equity Tier 1 Capital (CET
Impacts.
1), Additional Tier 1 Capital (AT1) et Tier 2 Capital (T2 capital).
Nouvelle approche standard (suite).
– Ajustements réglementaires des fonds propres.
Rappels succincts sur l’approche IRB.
– Les ratios de solvabilité minimums ; les coussins de protection, de
Comparaison des taux de pondération moyens de l’approche standard
conservation, contracyclique et systémique.
et de l’approche IRB.
Le ratio de levier :
L’approche IRB révisée (finalisation de Bâle III) :
– Contexte.
– Restriction du périmètre.
– Textes.
– Nouveaux planchers sur les facteurs de risque (« input floors »).
– Composantes.
Titrisation :
– Révision du ratio de levier.
– Rappels succincts sur la titrisation dans Bâle II – Bâle II.5 : périmètre
– Calendrier de mise en œuvre.
et définitions, approche standard, approches notation interne, les
Le ratio TLAC :
exigences et pondérations introduites par Bâle II.5- CRR.
– Objectifs.
– Les nouvelles réglementations, en particulier la titrisation STS : texte,
– Textes.
définition de la titrisation STS, périmètre.
– Composition.
Risque de contrepartie :
– Composantes.
– Rappels succincts sur le risque de contrepartie dans Bâle III-CRR.
– Calendrier de mise en œuvre.
– Nouvelle méthode de calcul de l’exposition au risque de contrepartie
Le ratio MREL :
sur les dérivés (SA-CCR) dans le CRR2.
– Contexte.
– Texte.
– Périmètre.
Évolutions à venir de Bâle III : risque opérationnel
– Composantes. Rappels succincts sur le risque opérationnel dans Bâle III :
– Calendrier de mise en œuvre. – Définition et méthodologies.
– Approche de base (basic indicator approach).
Ratios de liquidité Bâle III – CRR – Approche standard.
– Approche avancée (Advanced Measurement Approach ou AMA).
Introduire des ratios de liquidité :
Nouvelles approches envisagées (non entérinées au Comité de Bâle) :
– Ratio de liquidité à court terme (LCR) : définition, caractéristiques,
une nouvelle approche standard :
composition.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 121
PROGRAMME
– Un nouvel indicateur de référence, en remplacement du revenu brut – Horizons de liquidité différents par type d’actifs.
positif. – Révision de l’approche standard : la « Sensitivity-Based approach »
– Suppression de la référence aux lignes d’activité, remplacée par (SBA) : notions de capital charge, default risk charge, residual risk
des tranches déterminées en fonction du niveau de l’indicateur de add-on.
référence. – Révision des mesures de risque de marché : le remplacement de
– Application de coefficients marginaux aux tranches. la VaR par l’ES, notions de « Incremental Default Risk » (IDR), de «
Suppression de l’approche AMA. Capital add-on ».
Impacts. – Renforcement des règles de validation des modèles internes de
risque de marché : en particulier exigences de backtesting au niveau
Évolutions à venir : risque de taux d’intérêt du desk de trading.
du portefeuille bancaire – Revue du risque CVA.
Définition de l’IRRBB. – Exigences de publication plus détaillées sur les charges en fonds
Rappels sur le risque de taux d’intérêt. propres pour risque de marché (pilier 3).
Texte de réforme sur l’IRRBB. – Impacts.
Nouveaux scénarios de stress sur l’IRRBB.
Harmonisation des reportings. Évolutions à venir : dispositif de résolution
Le calcul de la charge en fonds propres. Le plan de résolution, le bail-in, la garantie des dépôts.
Les attentes concernant la supervision. La BRRD1.
La BRRD2 :
Évolutions à venir : risque de marché et FRTB – Définition.
Définition de la FRTB. – Objectifs.
Texte. – TLAC et MREL.
Principes généraux. MREL, Loss Absorption Amount (LAA) et Recapitalization Loss Amount
Principaux changements : (RCA).
– Modification de la frontière banking book – trading book selon le type
de portefeuille.
Durée
1 jour
Prix
repas inclus
844 € HT
Animateurs
Gérard MAROT
Date
19 mars 2019
317ANACREDIT
prudentielle
et reporting
financier
4 novembre 2019
ANACREDIT NOUVEAUTÉ
PROGRAMME
Introduction Seuil de déclaration.
Transmission à la BCE (par la BDF).
Définition.
Origine et objectifs.
Principes.
Études de points spécifiques
Textes. Les encours :
Planning. – Opérations intra-groupe.
– Prêts, Titres.
Présentation générale du système – Traçabilité.
Les défauts et qualités des contreparties.
Présentation générale :
Les instruments de protection.
– Informations à déclarer.
Les garanties et gages.
– Les tables et modèles.
Période référence.
– Les types et données.
– Collecte des données et niveau de déclaration.
– Mise en place progressive.
Processus de collecte
Textes et documents. Soumission.
Les déclarants. Compte-rendu d’anomalies.
Modalités de déclaration. Délai de correction.
Informations complémentaires demandées par la BDF.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 123
PROGRAMME
Introduction : contexte, mise en œuvre, pour les expositions hors titrisation : delta CSR, véga CSR, risque de
perspectives courbure CSR.
Définition et calcul des facteurs de risque sur actions : delta sur
Pourquoi la réforme de la FRTB ?
actions, véga sur actions, risque de courbure sur actions.
Textes.
Définition et calcul des facteurs de risque sur produits de base : delta
Calendrier d’application.
sur produits de base, véga surproduits de base, risque de courbure sur
Principales modifications introduites par la FRTB.
produits de base.
Définition et calcul des facteurs de risque de change : delta sur change,
Révision de la frontière banking book – trading véga sur change, risque de courbure sur change.
book Coefficients de pondération et de corrélation réglementaires des
Objectifs. risques delta, véga et de courbure : pour les risques RTG, CSR des
Nouvelle définition du trading book. positions hors titrisation, actions, sur produits de base, de change.
Nouvelle définition du banking book. Exigence de fonds propres en regard du risque de défaut : montant
Principales différences avec les définitions précédentes. des pertes de chaque instrument soumis au risque de défaut,
Traitement des transferts entre le banking book et le trading book. compensations pour un même débiteur, pondérations réglementaires
associées, calcul final de la charge pour risque de défaut. Exemple sur
Nouvelle approche standard (SA-TB) des positions hors titrisation, sur des actions.
Principes de base.
Fréquence de calcul et de reporting. Nouvelle approche fondée
Les différents risques traités par l’approche SA-TB : sur les modèles internes
– Risque de taux d’intérêt global (RTG). Les raisons de la réforme ou les limites de la Value-at-Risk à 10 jours.
– Risque de spread de crédit hors titrisation. Les trois composantes du calcul de l’exigence de fonds propres :
– Risque de spread de crédit de titrisation. – Calcul de l’Expected Shortfall qui remplace la VaR.
– Risque de spread de crédit pour le portefeuille de négociation en – Calcul d’une charge pour risques de défaut.
corrélation. – Calcul d’un add-on.
– Risque de change. Introduction d’horizons de liquidité distincts par types de risque et par
– Risque actions. type de sensibilité.
– Risque sur produits de base. Exigences minimales générales.
Principes de calcul d’exigence de fonds propres : Exigences minimales qualitatives, dont :
– Charge pour le risque linéaire : risque delta, risque véga. Calculs de – Unité indépendante de contrôle des risques.
l’exigence de fonds propres en regard des risques delta et véga : – Validation des modèles au moins une fois par an.
• Sensibilité delta et véga à chaque facteur de risque. Exigences minimales quantitatives, dont :
• Sensibilité pondérée par tranches. – L’Expected Shortfall doit être calculé quotidiennement.
• Calcul des risques delta et véga en agrégeant les tranches. – Seuil de confiance de 97,5%.
– Charge pour le risque de courbure. Calculs d’exigence de fonds – Formule pour calculer l’Expected Shortfall.
propres en regard du risque de courbure. Critères de validation du modèle.
– Scénarios de corrélation et agrégation des exigences de fonds Définition et critères d’admissibilité des pupitres de négociation.
propres en regard des risques. Définition des facteurs de risque.
– Charge pour le risque de défaut. Calcul d’exigence de fonds propres. Modèle interne pour calculer l’exigence en fonds propres pour risque
– Majoration pour risque (add-on) résiduel. de défaut : exigences minimales (sur le modèle, sur PD, sur LGD, …).
Définition et calcul des facteurs de risque RTG : facteurs de risque delta
RTG, facteurs de risque véga RTG, facteurs de risque de courbure RTG.
Définition et calcul des facteurs de risque sur écart de rendement (CSR)
Durée
1 jour
Prix
repas inclus
844 € HT
Animateurs
Gérard MAROT
Date
26 mars 2019
319
États FINREP NG (National Gaap)
prudentielle
et reporting
financier
Hicham BADDAG 6 novembre 2019
PROGRAMME
Introduction – Contenu des zones et lien avec les normes…
Architecture des états.
Origine du dispositif FINREP.
Principales ventilations utilisées et les définitions.
Champ d’application et périmètre.
Évolution et extension du système d’origine.
Les différents systèmes de remise.
Analyse des états FINREP NG
Périodicité et délais. Présentation générale des différents états (ou tableaux) inclus dans le
FINREP NG et identification des différentes données nécessaires :
Textes et documents disponibles – F01 00_NG Bilan.
– F02 00_NG Etat du résultat net.
Norme IFRS / Comptabilité française.
– F04 00_NG Ventilation des actifs financiers par instrument et par
Directives européennes : nomenclatures économiques
secteur de contrepartie.
Règlements.
– ...
Notes et instructions.
Pour chaque état, seront précisés les caractéristiques générales,
les données nécessaires, les liens avec les autres états et les points
Caractéristiques générales
d’attention.
Principes généraux relatifs à la structure et à la composition des états :
– Numérotation.
– Codification.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 125
PROGRAMME
La notion de contrôle interne La complémentarité contrôle permanent-périodique.
Le rôle des différents comités (comité d’audit et des risques, comité
Le concept de contrôle interne (définition et éléments du dispositif,
des risques et du contrôle interne, etc.)
Cf. Coso).
Le contrôle interne par rapport aux autres notions de contrôle/risque.
Les spécificités du contrôle interne bancaire.
Les principaux risques de la banque
et les contrôles associés
Connaître les principales exigences réglementaires Les principaux risques dits financiers :
relatives au dispositif – Risque de crédit.
– Risque de marché.
Présentation des principales évolutions liées à l’arrêté du 3 novembre
– Risque de liquidité.
2014, la nécessaire cohérence entre maîtrise des risques et capital :
– Risque de taux.
– L’intégration des exigences prudentielles.
Les risques opérationnels :
– La gouvernance par les risques.
– Risque de non-conformité (dont LCB/FT).
– Les enjeux des facteurs de risque
– Le PUPA (Plan d’urgence et de Poursuite des Activités).
La notion de contrôle permanent/contrôle périodique.
– Le pilotage des PSEE.
Les sujets spécifiques :
– Autres risques opérationnels.
– Les enjeux de conformité.
Risque stratégique et risque de réputation.
– Les prestations externalisées.
– Le contrôle interne des états financiers et extra-financiers
Les principaux états traitant du contrôle interne :
L’articulation risque et contrôle permanent
– Rapport annuel sur le contrôle interne. De la cartographie des risques au contrôle permanent.
– Rapport sur la surveillance des risques. Les types de contrôle permanent.
Les modalités de réalisation des contrôles permanents.
Organisation du dispositif de contrôle Les restitutions du contrôle permanent.
De la conformité des contrôles à l’efficacité des contrôles.
Les différentes structures organisationnelles.
Le rôle du contrôle périodique.
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One
to
One Savoir optimiser son dispositif
de contrôle permanent
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre la place du contrôle permanent au sein du dispositif de • Documentation en PowerPoint.
contrôle interne (notamment au regard du contrôle périodique). • Cas pratique qui sert de fil conducteur sur la deuxième
• Maîtriser les différentes méthodes permettant de déployer un dispositif journée.
efficace à partir d’un référentiel de contrôle. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Acquérir des réflexes permettant de piloter son dispositif de contrôle • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
permanent. et confirmer les acquis.
• Savoir communiquer et convaincre sur les dysfonctionnements
significatifs. Connaissances requises
• Bonnes connaissances de banque ou d’audit.
Participants
• Collaborateurs en charge des contrôles en banque ou société de
gestion.
• Collaborateurs des filières contrôle permanent et périodique.
PROGRAMME
Introduction : les nouveaux enjeux Les outils du contrôleur permanent
du contrôle interne La démarche analytique.
Des risques de mieux en mieux identifiés. La piste d’audit.
Un équilibre devenu nécessaire entre formalisation et efficacité. Le test de cheminement.
Les attentes du régulateur sur le contrôle permanent. Le brainstorming.
La technique d’échantillon.
La compréhension du contexte La documentation des constats.
Les éléments de l’environnement de contrôle :
– Objectifs. Savoir construire son plan de contrôle
– Responsabilités. Les informations à disposition (rapports d’audit, information direction des
– Fiches de poste. risques, etc.).
– Délégation – limite – autorisation. La prise en compte des contrôles de niveau 1.
Le contexte opérationnel. L’approche par les risques pour bâtir un contrôle 1 et 2 efficace.
Activité et performance (notamment notion de KPI). De l’identification du dysfonctionnement au plan d’action.
essentielles externalisées
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre le dispositif réglementaire et normatif. • Documentation en PowerPoint.
• Savoir déployer des méthodologies d’identification et d’évaluation • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
des risques liés à l’externalisation compte-tenu du contexte règlementaire. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Connaître les modalités de mise en œuvre d’un dispositif de supervision et confirmer les acquis.
permanent et périodique des services externalisés et savoir les mettre
en œuvre. Connaissances requises
• S’appuyer sur les meilleures pratiques de place. • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
Participants
• Fonctions contrôle permanent, contrôle périodique, conformité.
• Directeurs des risques.
• Responsables risques opérationnels.
PROGRAMME
Les principales notions attachées à la notion de PEE Les principaux éléments constitutifs du périmètre de contrôle :
– Conformité contractuelle.
Enjeux de l’externalisation pour l’industrie bancaire.
– Situation financière du prestataire.
Définitions.
– Agréments, certifications et qualité.
Contexte réglementaire : Arrêté du 3 Novembre 2014 relatif au contrôle
– Dispositif général de gouvernance et de contrôle interne.
interne.
– Contrôle interne de la prestation fournie.
Principales obligations : contrats et dispositif de contrôle.
– Dispositif de traitement des incidents relatifs à la prestation.
Gouvernance et examen du contrôle des PEE.
– Fiabilité des états de suivi et de reporting.
Travaux de place et éléments normatifs.
– Systèmes d’information et continuité d’activité.
Éligibilité, classification, approche par les risques
Mise en œuvre du contrôle permanent
Critères d’éligibilité. et périodique des prestations essentielles
Principes de classification. externalisées
Typologie de risques associés à l’externalisation.
Approche par les risques des PEE : Rôle et responsabilités des différents organes de contrôle et des
– Critères quantitatifs. opérationnels en charge de la prestation.
– Risques qualitatifs. Définition d’un niveau de surveillance adapté.
Lien avec les cartographies des risques existantes. Typologie des contrôles sur pièces et sur place.
Élaboration d’un plan de contrôle permanent des PEE.
Périmètre du contrôle interne des prestations Élaborer un plan et guide d’audit des PEE.
Particularités des audits de PEE.
essentielles externalisées
Audits dédiés vs audits mutualisés.
Contrôle de conformité et contrôle opérationnel. Suivi des recommandations d’audit des PEE.
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One
to
One Savoir gérer sa communication
orale en audit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Acquérir un plus grand professionnalisme dans la conduite • Documentation en PowerPoint.
des entretiens et des réunions menés pendant la mission d’audit. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Faire adhérer les audités aux constats et recommandations. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Désamorcer les situations de tensions et confirmer les acquis.
• Appliquer des techniques de négociation et de dynamique de groupe • Les cas pratiques s’inscrivent dans une logique
lors des réunions d’audit pédagogique d’entrainement et d’identification d’axes
de progrès individuels. Entretiens d’investigation, entretiens
Participants de négociation de validation de constats. L’auditeur
• Auditeurs et Inspecteurs juniors et seniors. identifiera le « profil » de l’audité et devra adapter ses
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. questionnement et comportement.
Connaissances requises
• Avoir déjà préférablement participé à quelques missions
d’audit et réalisé des entretiens.
PROGRAMME
Réunir les conditions d’une bonne communication Utiliser des outils méthodologiques
L’écoute, l’empathie, le piège de l’apparence. et comportementaux
S’appuyer sur la valeur ajoutée de l’auditeur pour traiter les objections Identifier « le profil ou le style » des interlocuteurs pour adapter
liées à l’image de l’audit. sa communication.
Présenter ce qu’est un état d’esprit « win-win ».
L’iceberg de la relation. Anticiper les situations de tensions
Apport technique et méthodologique pour permettre d’identifier les
Conduire la réunion d’ouverture de la mission raisons ou les causes d’insatisfaction qui rendent la situation difficile.
Comprendre et organiser l’enjeu de la réunion d’ouverture. Mise en œuvre d’une communication et d’un comportement « assertifs ».
Les idées-clés d’une réunion d’ouverture. Identification de ses attitudes pièges lors d’un entretien difficile.
Les sujets à traiter en priorité. Développer ses capacités relationnelles.
Les points à clarifier dès le départ.
Conduire un entretien de validation
Conduire un entretien d’investigation Les différentes étapes de l’entretien de validation : démarrage,
Les différentes étapes de l’entretien d’investigation : présentation hiérarchisée des constats et des préconisations.
– La préparation. Traitement des objections et argumentation.
– Les figures imposées de l’ouverture structurée à la conclusion. Conclusion.
– La prise de notes fiables et l’exploitation des informations. Les techniques de négociation pour faire passer ses constats et ses
– Le compte-rendu d’entretien. recommandations.
– Les points d’attention dans le cadre de l’entretien d’audit. Distinction entre l’essentiel et l’accessoire.
Mises en situation avec débriefing détaillé des observateurs et de
l’animateur - Points de force et axes de progrès individuels. Gérer la réunion de clôture de la mission
Identification des conditions de réussite forme/fond.
Utiliser des outils méthodologiques Gestion des difficultés relationnelles au regard des aspects
et comportementaux de dynamique de groupe ; l’influence du groupe ; les pressions
L’acquisition d’outils permettant de récupérer des informations utiles à potentielles (même implicites).
la mission Gestion de sa propre neutralité.
– L’écoute attentive.
– Le vocabulaire à utiliser et les pièges à éviter.
– La pertinence du questionnement.
– La reformulation et les synthèses partielles.
écrite en audit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les enjeux de la communication écrite en audit. • Documentation en PowerPoint.
• Enrichir son expression écrite pour satisfaire aux impératifs d’un écrit • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
utile. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• S’entraîner à la rédaction pour développer sa technique. et confirmer les acquis.
• Prendre en compte les attentes des différents destinataires.
Connaissances requises
Participants • Connaissance de base en audit interne.
• Auditeurs et Inspecteurs juniors et seniors.
PROGRAMME
Les objectifs de l'écrit Les différentes parties :
– Les 3 fonctions de l’introduction.
Les différents écrits en matière d’audit.
– Les caractéristiques du développement (corps du rapport).
La construction des paragraphes.
– La synthèse ou conclusion.
L'articulation des phrases.
L'enchaînement des idées.
La technique d’écriture
La ponctuation.
L'articulation des idées Les termes qui rendent compte du rapport entre les idées.
Les objectifs de l’écrit et les buts à atteindre. Les termes qui permettent d’articuler le discours.
Ce qui se cache derrière les mots (les faits, le sens littéral, la connotation, Les erreurs à éviter.
les opinions, les interprétations…).
La rédaction d’un rapport : procédés d'écriture
Les fiches de constat L’importance du titre qualifiant.
Les préalables à l’écrit : organiser sa pensée, surpasser les freins à La rédaction de la synthèse.
l’écriture, identifier ses cibles et leurs attentes potentielles. La logique de raisonnement selon la significativité du risque.
Les enjeux des fiches de constats.
La structuration des idées pour présenter des constats clairs.
La rédaction de synthèse
La fiche de pré-diagnostic.
Les éléments du rapport.
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One
to
One Lutte anti-fraude :
guide opérationnel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Cerner les principaux enjeux relatifs à la lutte contre la fraude au sein • Documentation en PowerPoint.
des établissements. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender les évènements de fraude récemment subis par la • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
communauté financière pour savoir anticiper le risque futur. et confirmer les acquis.
• Mettre en place et optimiser son dispositif de lutte anti-fraude.
• Savoir choisir et mettre en œuvre des méthodes et des outils appropriés. Connaissances requises
• Aucune connaissance particulière.
Participants
• Directeurs des risques.
• Responsables des risques opérationnels.
• Responsables conformité.
• Responsables filière fraude.
• Fonctions audit et contrôle permanent.
• Collaborateurs d’établissements financiers.
PROGRAMME
Le cadre réglementaire et les acteurs clés Le dispositif anti-fraude
Textes et accords internationaux. Prévention et moyens à mettre en place :
Présentation des moyens de prévention de la fraude au niveau international. – Organisation et procédures.
Environnement normatif du domaine. – Sécurité logique et physique.
Prise en compte dans le cadre de la réglementation bancaire : Bâle III, – Charte anti-fraude.
Arrêté du 3 Novembre 2014 relatif au contrôle interne. Fraude et dispositif de contrôle interne :
– Lien entre fraude et contrôle interne.
La notion de fraude – Évaluation de l’origine des anomalies.
Définitions et notions voisines de la fraude (détournement de fonds, – Tests de procédures confirmant ou non les anomalies.
blanchiment, abus de biens sociaux, corruption, conflits d’intérêt, etc.). Surveillance et détection :
Typologies de fraude (interne/externe, logique/physique, cyber-attaque etc.). – Surveillance.
Profils des fraudeurs et motivations. – Indicateurs d’exposition.
Coût de la fraude dans le secteur bancaire. – Outils de détection.
– Systèmes d’alertes.
L’exposition au risque de fraude Traitement du cas de fraude :
– Procédures.
Diagnostiquer les vulnérabilités. – Communication.
Cartographier le risque de fraude interne et externe. – Mesures conservatoires d’urgence, etc.
Spécificités des cartographies sur le risque de fraude.
son dispositif
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les principaux enjeux et les points clés de la lutte contre le • La matinée sera construite autour de quiz portant sur les princi-
blanchiment/financement du terrorisme (intégrant la fraude fiscale et la paux thèmes. Les réponses au quiz permettront d’appréhender
corruption). de manière ludique et précise les contextes règlementaires et
• Comprendre, dans ce contexte, la règlementation et ses récentes évolutions les attentes des régulateurs.
(transferts de fonds, monnaie électronique, renforcement de l’approche par • Documentation en PowerPoint.
les risques). • Alternance d’illustrations et d’exercices et de cas pratiques.
• Intégrer les spécificités liées à la transposition de la 4e et 5e directive • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
et à la règlementation sur les transparences des données à enjeu fiscal. confirmer les acquis.
• Accéder aux meilleurs pratiques et être capable de mettre en place
un dispositif efficace de LCB/FT. Connaissances requises
• Connaissance générale en banque.
Participants
• Contrôleurs permanents ou périodiques.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
• Collaborateurs en charge de la conformité.
• Autres collaborateurs concernés par les dispositifs LCB/FT.
PROGRAMME
Les parties 1, 2 et 3 seront abordées à partir de quiz Les lignes directrices de l’ACPR.
support aux échanges et à l’explicitation des enjeux Les principaux enseignements des sanctions du régulateur :
réglementaires. – Bénéficiaire effectif.
– PPE.
– Atypicité des flux.
Généralités : les composantes du blanchiment – Documentation et traçabilité.
et financement du terrorisme
Les définitions et les processus de blanchiment de capitaux. Les éléments-clés des dispositifs
Les définitions et les techniques de financement du terrorisme. Les dispositifs clés :
Les techniques de corruption. – La classification des risques : le cœur du dispositif.
Notion de fraude fiscale et de paradis fiscaux. – Renforcement des exigences en matière d’identification client.
– Approche par les risques clients/opérations.
Le cadre légal et réglementaire international – Bénéficiaire effectif.
La 4e directive européenne. – Suivi de la relation.
La lutte contre le terrorisme. – Tierce introduction.
Le dispositif de gel des avoirs. Le rôle des outils de profilage.
Les évolutions internationales relatives à la réduction
de l’évasion fiscale (FATCA, AEOI). Savoir déployer un dispositif de contrôle efficace
La loi du 3 juin 2016 (financement du terrorisme). Le dispositif de prévention (les acteurs, les procédures, la formation, le
La règlementation sur les virements internationaux. suivi, la documentation et leur conservation).
Les recommandations du GAFI. Le contrôle permanent du dispositif (niveau 1 et 2).
Les reportings règlementaires. Le dispositif déclaratif (COSI et TRACFIN).
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 133
One
to
One Gestion de crise, plan d’urgence
et de poursuite de l’activité :
les bonnes pratiques
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les concepts et le contexte réglementaire. • Documentation en PowerPoint.
• Réussir la mise en place d’un PUPA (Plan d’urgence et de Poursuite de • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
l’Activité). • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Comprendre les étapes du processus de la gestion de crise. et confirmer les acquis.
• Appréhender les postures associées.
Connaissances requises
Participants • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
• Responsables PUPA (business continuity manager).
• Directeurs des risques.
• Directeurs des risques opérationnels.
• Correspondants PUPA et risques opérationnels.
• Fonction contrôle permanent et périodique.
• Directeurs des systèmes d’Information.
• Responsable de la sécurité des systèmes d’information.
PROGRAMME
Le contexte réglementaire – Les tests de place, l’intégration des prestataires de services essentiels
externalisés.
Système de management pour la GCA (Norme ISO22301).
Obligation de l’arrêté du 3 novembre 2014.
Bâle II, saines pratiques en matière de gestion des risques opérationnels.
Le processus de la gestion de crise
Cadre normatif et éléments de terminologie : PUPA, PSI, PSM, DMIA, et les postures associées
PDMA, etc. Les bonnes pratiques de la gestion de crise :
– Réduire le temps de réponse initial, évaluer la crise, mobiliser les
La mise en œuvre d’un PUPA organisations et les hommes, occuper le terrain et communiquer.
Les différents acteurs et leurs rôles : la filière PUPA. Les étapes du processus de gestion de crise :
Le Business Impact Analysis (BIA) : – Principes de politique de gestion de crise : réception d’une alerte et
– L’approche processus critiques, grilles d’analyses d’impacts. analyse de l’incident.
– La définition des scénarii de sinistre. – Activation de la cellule de crise.
– Exercices d’applications. – Coordination et activation des dispositifs de secours.
La définition d’une stratégie de continuité : – Retour à la normale et clôture de la crise.
– L’analyse des besoins en continuité. Définir, sur la base de scénarios de sinistre élaborés par les participants,
– Le cahier des charges PUPA. la posture à adopter à partir des 5 questions clés :
– Internalisation vs externalisation/les solutions mixtes. – De quoi s’agit-il ?
La documentation du PUPA : – Où sont les pièges, les erreurs à éviter ?
– La documentation « idéale » et les difficultés de maintenance. – Quels sont les acteurs ?
– Les typologies de procédures PUPA : alerte, contournement, repli, – Quelles sont les décisions à prendre ?
continuité en mode dégradée, retour. – Quelles sont les actions à lancer ?
– Le plan de communication de crise, interne et externe. Les objectifs de cette simulation sont de permettre :
Les tests PUPA : – La bonne compréhension et la bonne application des règles de gestion
– Le plan de test. de crise.
– L’organisation, le pilotage, et le debriefing. – La maîtrise des principes de fonctionnement.
– Le caractère probant des tests. – La maîtrise des procédures d’urgence.
PROGRAMME
Les éléments constitutifs du risque opérationnel – Méthode de base.
– Méthode standard.
Le contexte réglementaire :
– Méthode avancée.
– Définition et composantes du risque.
– Évolution vers la Méthode Standard Avancée (SMA).
– Les méthodes d’évaluation.
Les différents types de risque opérationnel et les indicateurs d’évaluation
L’intégration de la gestion du risque au sein de la gouvernance.
du risque (Key Risk Indicator-KRI).
L’articulation de la gestion du risque et les contrôles permanents.
Les modalités de pilotage du risque opérationnel.
Les spécificités des exigences de conformité.
Identifier les principaux risques liés au risque
opérationnel Mise en œuvre d’une démarche
La gouvernance du dispositif :
Appréciation des éléments du dispositif.
– La comitologie.
Démarche d’audit sur les différentes composantes.
– Les acteurs.
Recherche de preuve(s).
– Risque opérationnel et SREP.
Construction d’un Questionnaire de Contrôle Interne (QCI) et définition
Les éléments du dispositif risque opérationnel : collecte des pertes
du programme de travail.
internes et externes, évaluation des facteurs de risque, élaboration de
scénario.
L’utilisation des données selon les méthodes retenues dans le cadre des
exigences prudentielles.
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One
to
One Audit du risque de crédit
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les enjeux de la gestion du risque de crédit. • Documentation en PowerPoint.
• Connaître les exigences prudentielles en matière de risque de crédit. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Savoir auditer la pertinence des méthodes d’évaluation des fonds • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
propres. et confirmer les acquis.
• Appréhender les différentes étapes du processus crédit et le rôle des
différents acteurs. Connaissances requises
• Savoir apprécier la conformité et la fiabilité des dispositifs de contrôle • Connaissances de la banque et de la démarche générale
interne de la filière crédit. d’audit.
Participants
• Collaborateurs travaillant pour les contrôles permanents/contrôles
périodiques, auditeurs externes.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Les enjeux des exigences prudentielles, de Bâle II Les différentes caractéristiques des crédits
vers Bâle III Les différents types de crédit : leurs caractéristiques, les risques
Architecture de Bâle II. spécifiques pour la banque : risque de crédit et connexe.
Transposition en France.
De Bâle II à Bâle III puis finalisation Bâle III. Comprendre les enjeux de la règlementation
Les principes essentiels de l’arrêté du 3 novembre 2014.
La méthode standard Les enjeux en matière de dispositif de contrôle.
Principes généraux.
Les organismes de notation externes. Savoir analyser les enjeux en matière
Calcul de l’exposition au risque de crédit. de gouvernance
Taux de pondération par catégorie d’exposition. Cas pratique sur un thème d’audit au niveau d’une direction des risques
Les évolutions attendues quant à la méthode standard. de crédit.
Les méthodes IRB Le processus crédit
Principes généraux. Les différents risques sur les étapes du processus (crédit, opérationnel).
Systèmes de notation interne. Le dispositif de contrôle interne attendu (approche par l’arrêté du
Facteurs de risque : PD, LGD, EAD, M. 3 novembre 2014) et les guides pratiques de l’Autorité Bancaire
Classes d’actifs dans l’approche IRB : Européenne).
– Les différentes classes d’actifs.
– La fonction de pondération corporate. La comptabilisation des crédits
– Les fonctions de pondération de la clientèle de détail (habitat, revolving,
autres crédits de détail). Les principes comptables essentiels (bilan, hors bilan et compte de
Pertes attendues et provisions. résultat).
La gestion des douteux/contentieux.
Les techniques de réduction du risque de crédit Les crédits restructurés.
Le coût du risque.
Les différentes catégories de réducteurs de risque.
Sûretés réelles ou collatéraux : les différentes approches, les sûretés L’audit des événements sur crédit
éligibles et leur traitement.
Compensations de bilan. L’audit des découverts.
Sûretés personnelles ou garanties : les différentes approches, garants L’audit des douteux-contentieux.
éligibles et traitement des sûretés personnelles.
PROGRAMME
Les éléments constitutifs du risque de marché Mesure du risque actions
Les différents instruments. Return et volatilité d’une action, d’un portefeuille actions.
Les différents modes de gestion. Le modèle de marché et les bêtas.
Les différents marchés.
Les composantes de leur valorisation. Mesure du risque options
Définition d’une option.
La valorisation des instruments Valeur d’une option : valeur intrinsèque et valeur-temps.
La valorisation des instruments de taux. Paramètres de sensibilité de la valeur d’une option : les grecques.
La valorisation des instruments à revenus variables. Modèles d’évaluation de la valeur d’une option et des grecques : Cox-
(Les options seront vues en J2). Ross-Rubinstein et Black-Scholes.
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One
to
One Mise en œuvre opérationnelle
du dispositif de protection
de la clientèle
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les enjeux d’un dispositif de protection des intérêts • Documentation en PowerPoint.
de la clientèle. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender les contraintes organisationnelles induites • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
par les exigences législatives et réglementaires. et confirmer les acquis.
• Maintenir à jour les procédures opérationnelles et de contrôle
des risques de non-conformité associées à la protection de la clientèle. Connaissances requises
• Savoir répondre au questionnaire ACPR sur les pratiques commerciales • Connaissance de l’environnement bancaire et financier.
et la protection de la clientèle. • Connaissances de base des règles de bonne conduite
entre l’établissement financier et la clientèle.
Participants
• Collaborateurs et responsables de la direction de la conformité.
• Contrôleurs permanents et périodiques/auditeurs internes et membres
de l’Inspection générale.
• Collaborateurs en charge du traitement des réclamations.
• RCSI/RCCI.
• Collaborateurs en charge de la gestion des risques.
PROGRAMME
Présentation du socle légal et réglementaire – Devoir de conseil.
relative à la protection de la clientèle – Traitement des réclamations.
– Focus sur la procédure de traitement des réclamations clients en
Dispositions législatives et réglementaires entourant la protection des
réponse à la recommandation ACPR du 14 novembre 2016).
intérêts des clients :
– Gestion des incidents de paiement.
– Code de la Consommation.
Cartographie des risques relatifs à la protection de la clientèle.
– Code Monétaire et Financier.
– Loi de Séparation et de Régulation des Activités Bancaires.
– Loi sur la consommation (Loi « Hamon »).
Dispositifs opérationnels de contrôle permanent
Loi relative au compte dormant et en déshérence (loi Eckert) : entourant les pratiques de protection des intérêts
– Transposition de la directive européenne sur le crédit immobilier. du client
– Orientations de la Commission Européenne, etc. Bonnes pratiques au sein des établissements bancaires et financiers :
Les actions en réponse des associations professionnelles. des initiatives adaptées à la catégorie de clients, la protection des clients
Une mission dévolue à l’Autorité de Contrôle Prudentiel « fragiles », des démarches « responsables ».
et de Résolution (ACPR). Inventaire des procédures opérationnelles concernées.
Rôle du pôle ABE IS (Assurance Banque Épargne Info Services). Dispositifs de conformité et de déontologie.
Implications pour les contrôleurs permanents (1er et 2ème niveaux) et
Description des obligations qui en découlent périodiques.
et des risques associés Gouvernance et reporting interne.
Questionnaire ACPR sur les pratiques commerciales et la protection
Typologie d’obligations :
de la clientèle (QPC2).
– Identification et connaissance de la clientèle.
– Devoir d’information précontractuelle et contractuelle.
PROGRAMME
The major risks of the banking activity Specific audit methodologies according
The traditional risks in a bank credit, market, operational and compliance. to the different bank risks
The role of the corporate governance. Every activity of the bank will be detailed according to the
various risks to ensure that one could appreciate the risks
Internal control inherent in the activities conducted.
The definition of Internal Auditing Field studied:
The Pivotal Document for Change (COSO) – The market activities.
The recommendations of the Basel Committee. – The operational processes linked to the market activities.
Critical analysis and explanation of the text. Field studied:
– The credit activities: specific internal control activities.
Internal audit – Capital requirement (Basel II and III): another way to analyze credit
activities.
The role and key issues of internal audit. Field studied:
The importance of the internal audit plan: a wide view across the range of – Operational risk specificity (human by nature).
risks within the organization. – Ways to evaluate operational risk managing process.
The internal audit and the other actors of the evaluation. – Operational risk management (from risk assessment to the reporting to
Periodic control and permanent controls: complementary steps. the Top Management).
Methodology of an internal auditing mission. Field studied:
Presentation of the different guidelines used by the auditor. – Compliance risk components: an old subject with new methods.
– A specific internal audit approach.
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NOUVEAUTÉ
Les enjeux de fraude fiscale
One
to
One
(FATCA et EAI)
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître le dispositif réglementaire relatif à FATCA et EAI (Echange • Documentation en PowerPoint.
Automatique d’Information). • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Savoir appliquer dans la relation client les attendus en termes de lutte • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
contre la fraude fiscale. et confirmer les acquis.
• Savoir identifier les points essentiels de contrôle liés à ces
règlementations. Connaissances requises
• Connaissance bancaire requise.
Participants
• Fonctions Conformité, Back et middle office, commerciaux.
• Fonction contrôles (permanent et périodique)
PROGRAMME
Le contexte règlementaire Les changements de circonstance.
Les responsabilités du client.
Les enjeux de la fraude fiscale.
Situer ce sujet dans le cadre global de la Sécurité Financière.
Les réponses des pays :
Les enjeux de reportings
– La réponse américaine : FATCA. La périodicité des déclarations.
– La réponse OCDE : EAI-CRS (Directive DAC2). Le contenu des déclarations.
– Les différences FATCA et AEOI. Les contrôles en amont des déclarations.
Le cas de la retenue à la source punitive (Fatca)
Les enjeux dans le processus d’entrée en relation Les contrôles par les administrations fiscales.
et la gestion des référentiels Les sanctions potentielles.
Ce qui est attendu des établissements financiers.
La notion de résidence fiscale.
Les liens FATCA et Qualified intermediairy (QI)
Les différentes situations de résidence fiscale selon l’histoire personnelle Le rôle des établissements en tant que QI.
du client. Les nouvelles exigences du QI.
La détermination des statuts dans le cadre des personnes morales (entité L’imbrication entre FATCA et QI : un effet de levier en termes de risque.
financière, non financière, active, passive etc.) :
– Les critères de détermination. Mise en œuvre du contrôle permanent
Le renforcement des exigences liées au bénéficiaire effectif (personne(s) et périodique
contrôlante(s)). Les contrôles au niveau des Groupes Affiliés Etendus (GAE)
Les documents à collecter. Les contrôles au niveau des back et middle office, référentiel et équipe Taxe.
Les contrôles de cohérence à réaliser. La démarche de contrôle permanent.
PROGRAMME
Introduction – Gestion des besoins et demandes des contrôleurs.
– Le suivi du contrôle.
Le principe des demandes et interventions de l’administration au sein des
La phase finale.
entreprises.
Eléments statistiques.
Les différents types de contrôle interventions et demandes
Les relations avec les autorités répressives
d’administrations : et judiciaires
– Objets et finalités de ces demandes et interventions. Rappel des différentes procédures judiciaires et leurs impacts dans les
relations avec les services judiciaires et répressifs.
Les droits et obligations respectives Les réquisitions et demandes de renseignements :
lors d’un contrôle – Les différents types de demandes et leur coût.
– Les mentions obligatoires.
Les principes de bonne conduite inhérents à toute mission
– La gestion et le traitement des réquisitions (délais et contenu).
Les chartes de conduite et déontologiques des missions sur place :
– Anticipation et approche par les risques.
– Pouvoirs et obligations des agents administratifs et judiciaires.
Les perquisitions et saisies :
– Droits et obligations des personnes physiques et morales.
– Les obligations et devoirs des parties prenantes.
– La gestion du stress des collaborateurs et la communication interne et
Anticipation, préparation et gestion d’un contrôle
externe.
administratif Les auditions et interrogatoires :
Les méthodes d’anticipation des contrôles – Les différents types d’auditions et interrogatoires (témoins et mis en
La préparation du contrôle cause).
La gestion du contrôle : – Préparation et gestion d’une audition.
– Gestion du temps. – Cas particulier de la garde à vue.
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Participants
• Collaborateurs et responsables de la direction de la conformité.
• Contrôleurs permanents et périodiques/auditeurs internes et membres
de l’Inspection générale.
• RCSI/RCCI.
• Collaborateurs en charge de la gestion des risques.
PROGRAMME
Introduction qui doivent prendre en compte des règlementations dans divers
environnements juridiques.
Illustrations par quelques scandales qui ont défrayé la chronique.
Les enjeux du risque de non-conformité (réputation, règlementaire,
sanctions etc.).
Organisation du dispositif en interne
Compréhension de l’évolution des enjeux depuis quelques années. Le responsable de la conformité.
Rôle et responsabilité (notamment dans le cadre de supervision
Définitions et positionnement du risque internationale).
de non-conformité Des procédures spécifiées dans les textes :
– Formation-sensibilisation.
Définition du risque de non-conformité.
– Remontée des dysfonctionnements.
Les liens entre éthique, déontologie et non-conformité.
– Nouvelles activités-produits.
Les interactions avec le dispositif de contrôle interne.
– Règles de conservation et d’archivage (en référence aux
Contexte.
recommandations de la CNIL concernant l’archivage).
– L’influence du Comité de Bâle (les 12 principes en matière de contrôle
Les différents reportings issues de la Direction de la Conformité.
interne, de gestion des risques et de conformité).
Les interactions avec les autres acteurs du dispositif de contrôle interne
– Arrêté du 3/11/2014.
et de gestion des risques (Direction du contrôle permanent, équipes du
Pour chacun des thèmes suivants et par rapport au périmètre, les
contrôle périodique, Direction Juridique, Responsable de la fonction de
principaux enjeux seront définis :
gestion des risques) : exemples d’organisation.
– La Sécurité Financière.
– La déontologie des collaborateurs.
– La déontologie vis-à-vis des marchés.
Cartographie des risques de non-conformité
– Protection de la clientèle et des épargnants. et plans de contrôle
Positionnement du risque de réputation : risque à part entière ou impact ? Mise en œuvre d’une démarche générale de cartographie au sein
d’un établissement de crédit (gouvernance du dispositif, qualité des
Gouvernance et conformité procédures, dispositif d’information et de communication, pilotage
notamment).
Les implications des instances de gouvernance : rôle des dirigeants
Comment à partir de la cartographie des risques de non-conformité
effectifs et de l’organe de surveillance.
appréhender les contrôles permanents et périodiques nécessaires aux
Le « tone from the top » et sa traduction concrète.
vues du profil, des activités, métiers, organisation et appétit pour les
La comitologie (3 comités obligatoires selon le paquet Bâle III en fonction
risques des établissements assujettis contrôlés.
de la taille des établissements).
Les enjeux de gouvernance pour les grands groupes internationaux
Participants
• Analystes Compliance LCB-FT.
• Expert-comptable, Commissaires aux Comptes.
PROGRAMME
Comprendre les mécanismes comptables Éléments de fiscalité :
et financiers de l’entreprise – Les différents régimes fiscaux.
– La TVA.
Revue des différents statuts.
Fraudes fiscales et Carrousels TVA :
La finalité des types de sociétés :
– Schémas types de fraudes et carrousels TVA.
– Aspects juridiques et fiscaux.
– Représentants légaux et associés/actionnaires & bénéficiaires effectifs.
Les documents comptables obligatoires.
L’analyse financière & les risques LCB-FT
Étude des flux de l’entreprise : Indicateurs de risques et connaissance client :
– Capital social. – Types et historiques des sociétés et représentants légaux et associés.
– Charges/produits. – Noms commerciaux, enseignes et marques.
– Les investissements. – Activités et Situation géographique.
– Les opérations d’inventaire. Indicateurs de risques au regard des comptes produits et opérations.
Présentation de la liasse fiscale Principes méthodologiques de l’analyse financière.
Explication du fonctionnement : Les pièces justificatives relatives à l’identification et la connaissance client.
– Actif/passif. Le dossier d’analyse financière :
– Capitaux propres. – Les éléments d’analyse (bilan, comptes, opérations …).
– Compte de résultat. – Les interrogations et informations externes (NAF FIBEN
INFOGREFFE FCC…).
Analyser les documents financiers Les éléments complémentaires :
– Les justificatifs demandés au client.
Identification des principaux points et indicateurs d’anomalies et de
– Les appels interbancaires.
risques à la lecture d’une liasse fiscale :
Présentation de différents dossiers et recherche par les participants des
– Principales incohérentes, discordances et anomalies.
éléments significatifs pour se prononcer sur les risques LCB-FT ou de
– Les comptes courants associés.
fraudes fiscales.
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One
to
One Gestion actif/passif (ALM) :
l’essentiel
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Appréhender la gestion globale du bilan à l’aide de cas pratiques. • Documentation en PowerPoint.
• Maîtriser les mécanismes de mise en œuvre. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
Participants et confirmer les acquis.
• Dirigeants de banques, responsables ou futurs responsables de la
fonction ALM, trésoriers, responsables financiers, contrôleurs de Connaissances requises
gestion, responsables d’études informatiques. • Bonne connaissance des opérations bancaires
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs. et de la gestion financière.
PROGRAMME
Introduction à la gestion actif/passif Première mesure du risque de taux : le gap de taux.
Illustrations du gap de taux.
L’intermédiation bancaire.
Deuxième mesure du risque de taux : sensibilité.
Le bilan bancaire.
Gestion du risque de taux.
Origine et effets des risques structurels
Taux de cession interne.
Principes et outils de la gestion des risques structurels.
Dispositif réglementaire relatif au risque de taux.
Le risque de liquidité et sa gestion
Le risque de change et sa gestion
Origine et effets du risque de liquidité.
Origine et effets du risque de change.
Spread de liquidité.
Périmètre du risque de change dans le cadre de l’ALM.
Illustration : les crises financières de 2007-2008 et 2011-2012.
Mesure du risque de change : la position de change.
Mesure du risque de liquidité :
Gestion du risque de change.
– Le besoin de financement.
– Le gap de liquidité.
– Les réserves de liquidité.
Le rôle de l’ALM dans une banque
– Le positionnement de marché. Interaction ALM avec les directions commerciales et marketing : rôle
– Gap dynamique de liquidité. dans le pilotage commercial et la détermination de la tarification.
– Stress scénarii de liquidité. Interaction ALM avec la direction financière : rapport ALM – contrôle
Gestion du risque de liquidité. de gestion.
Dispositif réglementaire relatif au risque de liquidité :
– Le ratio LCR.
– Le ratio NSFR.
Approfondissement
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• L’ALM comme outil stratégique de pilotage du bilan et du résultat. • Documentation en PowerPoint.
• Comprendre la mesure et la gestion des risques de liquidité et de taux • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
d’intérêt. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Comprendre la modélisation ALM. et confirmer les acquis.
• Piloter les risques ALM dans le cadre d’un comité ALM.
Connaissances requises
Participants • Bonne connaissance des opérations bancaires
• Dirigeants de banques, responsables ou futurs responsables de la et de la gestion financière.
fonction ALM, trésoriers, responsables financiers, contrôleurs de • Avoir suivi la formation « Gestion actif/passif (ALM) :
gestion, responsables d’études informatiques, direction stratégique, l’essentiel ».
auditeurs internes.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Rappel sur les notions de base Les financements.
Ratios réglementaires.
Rappels sur les risques structurels.
Gestion du risque de liquidité :
Rappels sur la courbe des taux d’intérêt.
– Couverture de l’impasse.
– Gestion des ratios règlementaires.
Échéancement des postes du bilan
Problématique de l’échéancement et principes de modélisation. Taux de cession interne
Remboursements anticipés.
Principe d’adossement notionnel.
Dépôts non échéancés et principe de modélisation.
Définition.
Engagements hors bilan.
Utilisation de la courbe swap.
Réserves obligatoires.
Détermination des TCI.
Débiteurs.
Exemple de calcul pour un profil amortissable (non linéaire).
Indicateurs et couverture des risques structurels
Règlementation
Risque de taux et gap de taux fixe.
Bâle III, CRR, CRD4.
Duration du gap de taux.
Ratios de liquidité Bâle III.
Risque de taux et MNI.
Risque de taux et VAN.
Risque de taux spécifique : risque de base et risque de fixing.
Les fonds propres dans le cadre de la gestion
Introduction à l’ALM dynamique. des risques structurels
Couverture du risque de taux et normes comptables. Définitions.
Principes sur le replacement des fonds propres.
Le risque de liquidité
Indicateurs sur la situation de liquidité :
Préparer et animer son comité ALM
– Besoin de financement. Organisation du comité ALM.
– Gap de liquidité statique. Fonctionnement du comité ALM.
– Gap de liquidité dynamique Attributions du comité ALM.
– Stress scenarii et plans d’urgence. Indicateurs à présenter au comité ALM.
– Réserves de liquidité. Ordre du jour du comité ALM.
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 145
One
to
One Mesure et gestion des risques
de marché
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Avoir une vision d’ensemble des marchés financiers et des risques qui • Documentation en PowerPoint.
leur sont associés. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Connaître les indicateurs essentiels des risques de marché : duration, • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
sensibilité, bêta, grecques, Value-at-Risk. et confirmer les acquis.
• Connaître les principaux modèles d’évaluation des risques de marché.
• Appréhender les principales stratégies de gestion des risques de marché. Connaissances requises
• Connaître la réglementation bancaire sur les risques de marché, • Notions de mathématiques et statistiques de base.
notamment le dispositif Bâle III, CRR, CRD 4.
• Appréhender l’essentiel de la réforme FRTB.
• Connaître l’essentiel de l’organisation des activités de marché
dans une banque.
Participants
• Responsables et collaborateurs des fonctions comptables, audit, gestion
des risques, ALM et contrôle de gestion.
PROGRAMME
Introduction – Limites de la VaR.
– L’usage de la VaR : détermination des limites internes, calcul de
Présentation des marchés financiers.
l’exigence de fonds propres.
Les risques liés aux activités de marché.
Le modèle RiskMetrics :
– Principes de base et hypothèses du modèle.
Mesure des risques de marché
– Calcul de la VaR pour un actif.
Mesure du risque de taux d’intérêt : – Calcul de la VaR pour un portefeuille diversifié.
– Les instruments de taux : définition, catégories (taux, change, actions, Le modèle RiskMetrics :
matières premières). – Méthode des variances-covariances.
– Marchés monétaire et obligataire. – Approche RiskMetrics pour les instruments de taux d’intérêt.
– Types de taux d’intérêt : taux fixes et variables. – Avantages et inconvénients du modèle RiskMetrics.
– Les produits dérivés de taux : principaux produits (swaps de taux, FRAs, L’analyse historique :
contrat EURIBOR, contrat euro-notionnel, options de taux…). – Principes et hypothèses.
– Sources et effets du risque de taux d’intérêt. – Exemple.
Mesure du risque de taux d’intérêt : Avantages et inconvénients de l’approche historique.
– Évaluation du risque de taux d’intérêt : valeur actuelle d’un instrument Les simulations Monte-Carlo :
de taux, duration, sensibilité. – Principes et hypothèses.
– Les différentes méthodes de mesure du risque de taux d’intérêt : – Calcul de la VaR d’une option à partir des simulations Monte-Carlo.
méthode des impasses, méthode de la duration, méthode de – Avantages et inconvénients de la méthode.
simulation.
Mesure du risque de change : La gestion des risques de marché
– Les opérations de change : au comptant, à terme, options de change,
La gestion du risque de taux d’intérêt :
swaps de devises.
– La couverture du risque de taux : utilisation des contrats à court terme
– La position de change.
et à long terme, utilisation des options de taux.
Mesure du risque actions :
– L’arbitrage et le risque de taux : l’utilisation des contrats à terme
– Définition d’une action.
(euronotionnel, Euribor).
– Les opérations sur actions.
– La spéculation et le risque de taux : achat et vente de puts.
– Return et volatilité d’une action, d’un portefeuille actions.
La gestion du risque de change :
Le modèle de marché et les bêtas.
– La couverture du risque de change : utilisation des options de change.
Mesure du risque options :
– La spéculation et le risque de change : utilisation de contrats à terme
– Définition d’une option.
et d’options.
– Valeur d’une option : valeur intrinsèque et valeur-temps.
La gestion du risque actions :
– Paramètres de sensibilité de la valeur d’une option : les grecques.
– La couverture du risque actions : utilisation du marché au comptant ;
Modèles d’évaluation de la valeur d’une option et des grecques : Cox
exemple de gestion à partir du bêta du portefeuille, assurance de
Ross-Rubinstein et Black-Scholes.
portefeuille ; utilisation des contrats futures, des options.
– L’arbitrage et le risque actions : utilisation des contrats à terme et des
La value-at-risk
options.
Démarche simplifiée de la VaR : – La spéculation et le risque actions : achat et vente de puts.
– Origine de la VaR. La gestion du risque sur les options :
– Définition de la VaR. – Sensibilité d’un portefeuille d’options.
PROGRAMME
– Gestion de la position Delta. – Calcul de l’exigence en fonds propres pour risque de taux par la
– Gestion de la position Gamma. méthode standard : risque général (méthode des impasses, méthode
– Gestion de la position Véga. de la duration), risque spécifique, risque sur pensions livrées.
– Le smile de volatilité. – Calcul de l’exigence en fonds propres pour risque actions par la
La gestion du risque au moyen de la VaR : méthode standard.
– Exemple d’un portefeuille de change. – Calcul de l’exigence en fonds propres pour risque sur produits de base
– Exemple d’un portefeuille diversifié d’actions. par la méthode standard.
La fixation des limites :
– Les différentes limites de risque : limites d’activité, limites de position. L’exigence de fonds propres pour risques de marché :
– La méthode traditionnelle de calcul des limites : limite en sensibilité. – Calcul de l’exigence en fonds propres pour risques optionnels par la
– La méthode de calcul des limites en VaR. méthode standard.
– Calcul de l’exigence en fonds propres pour risque de règlement-
L’organisation des activités de marché livraison par la méthode standard.
dans une banque – Calcul de l’exigence en fonds propres pour dépassement des grands
Le rôle des différents acteurs : risques par la méthode standard.
– Le Front-Office. – Le risque de contrepartie : définition, exigence de fonds propres pour
– Le Back-Office. risque de contrepartie.
– Le Middle-Office. – Les modifications de Bâle III : le contexte de Bâle III, principales
Le dispositif de suivi des risques : modifications à l’approche standard (risque spécifique), principales
– La Direction des risques. modifications à l’approche modèles internes.
– Le niveau I de suivi des risques.
– La Direction des contrôles permanents. Evolutions à venir : la “Fundamental Review of the Trading Book” (FRTB) :
– La Direction du Contrôle périodique. Définition de la FRTB.
Texte du Comité de Bâle.
Règlementation Bale iii sur les risques de marché Principes généraux.
Calendrier attendu.
L’exigence de fonds propres pour risques de marché : Principaux changements :
– Généralités : le dispositif Bâle II, définition réglementaire du trading book, – Modification de la frontière banking book – trading book.
règles d’évaluation du trading book, règles de gestion, règles générales – Révision de l’approche standard : la « Sensitivity-Based approach »
pour la détermination des risques de marché du point de vue réglementaire. (SBA) : notions de capital charge, default risk charge, residual risk
– Modalités de calcul : risques couverts, les deux méthodes de calcul add-on.
d’exigence de fonds propres. – Révision des mesures de risque de marché : le remplacement de la
– Exigences minimales pour l’utilisation de la méthode des modèles VaR par l’Expected Shortfall, notion de « Incremental Default Risk »
internes. (IDR).
– Le calcul de l’exigence de fonds propres selon la méthode des modèles – Renforcement des règles de validation des modèles internes de risque
internes (Bâle II.5) : VaR normale, VaR stressée, Incremental Risk de marché : en particulier exigences de backtesting au niveau du desk
Capital Charge (IRC), Comprehensive Risk Measure (CRM). de trading.
– Impacts.
L’exigence de fonds propres pour risques de marché :
– Calcul de l’exigence en fonds propres pour risque de change par la
méthode standard.
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One
to
One Mesure et gestion
des risques bancaires
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Identifier les principaux risques bancaires. • Documentation en PowerPoint.
• Avoir une vision d’ensemble sur le processus de gestion de ces risques. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Bien appréhender leur mesure. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Avoir des notions de base sur leur couverture. et confirmer les acquis.
• Intégrer le vocabulaire technique permettant de mieux dialoguer avec
les équipes risques et gestion financière. Connaissances requises
• Bonnes notions bancaires et financières.
Participants • Notions de mathématiques et statistiques de base.
• Responsables et collaborateurs des fonctions comptables, audit, gestion
des risques, ALM et contrôle de gestion.
PROGRAMME
Les risques bancaires Illustration : les crises financières de 2007-2008 et 2009-2012.
Mesure du risque de liquidité : les indicateurs.
Définition.
Gestion du risque de liquidité.
Les différents risques bancaires.
Dispositif réglementaire relatif au risque de liquidité.
Le processus de gestion des risques.
Les fonctions clés de la gestion des risques.
Le système de contrôle interne.
Le risque de taux d’intérêt dans le portefeuille
L’évolution des méthodes de mesure et de gestion des risques bancaires. bancaire
Les fonds propres économiques et prudentiels pour faire face à ces Origine et effets du risque de taux.
risques. Illustrations du risque de taux.
L’approche des autorités de contrôle. Première mesure du risque de taux : le gap de taux.
Deuxième mesure du risque de taux : sensibilité.
Les fonds propres Gestion du risque de taux.
Le rôle des fonds propres. Dispositif réglementaire relatif au risque de taux.
L’allocation des fonds propres.
Le dispositif Bâle III.
Le risque de change
Origine et effets du risque de change.
Mesure et gestion du risque de crédit Périmètre et mesure du risque de change.
Les concepts fondamentaux et les facteurs de risque. Gestion du risque de change.
Les réducteurs de risque.
Les agences de rating et la notation interne : méthodologie et notes.
Le risque opérationnel
Les modèles de risque de crédit : objectifs et démarche, les modèles Généralités.
CreditMetrics (JP Morgan) et CreditRisk+ (CSFB), autres modèles. Définition.
Limites et usages de ces modèles. Méthodologie.
La traduction de ces modèles dans le ratio de solvabilité Bâle III Critères d’éligibilité.
(approche IRB).
Les modifications de Bâle III, CRR, CRD 4.
Participants
• Directeurs des risques.
• Responsables risques opérationnels.
• Correspondants risques opérationnels.
• Fonctions Contrôle permanent et périodique.
• Responsable des assurances.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Les enjeux du risque opérationnel Les méthodes quantitatives et qualitatives.
Les évolutions à venir en terme de méthode : la méthode standard
Illustration de la matérialisation du risque opérationnel au travers
avancée (SMA).
d’incidents récents.
Contexte réglementaire : Bâle II, Bâle III, arrêté du 3 novembre 2014
relatif au contrôle interne.
Le suivi et la maîtrise des Risques Opérationnels
La définition du risque opérationnel. Les éléments constitutifs du dispositif de maîtrise des risques
Les 3 approches du calcul d’exigence de fonds propres et les réformes opérationnels : dispositif de contrôle, Plan de Continuité d’Activité.
en cours (vers la méthode Standard Measurement Approach). Assurabilité des risques opérationnels, etc.
Les saines pratiques (à partir du document de Bâle). Les indicateurs-clés de risque opérationnel : typologie, définition et mise
en œuvre.
Une organisation dédiée au traitement des Risques Le tableau de bord Risque Opérationnel.
Opérationnels
Filière Risque Opérationnel : les différents acteurs et leurs rôles.
Le reporting réglementaire COREP
Coordination avec les fonctions de contrôle (permanent/conformité/ Les états liés au Risque Opérationnel.
périodique). Principes de construction.
Les bonnes pratiques organisationnelles (Comité de Bâle).
Les outils et les systèmes à mettre en place
La cartographie des Risques Opérationnels Les fonctionnalités essentielles : évaluation, collecte, quantification,
L’approche par processus. reporting interne et réglementaire.
Les méthodes d’auto-évaluation des risques. Panorama des outils existants sur le marché.
Les bonnes pratiques.
Les modalités de réalisation pour faire de la cartographie un outil de pilotage.
Les difficultés pratiques.
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One
to
One Risques des systèmes
d’information
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Acquérir une culture informatique au travers du concept de système • Documentation en PowerPoint.
d’information et de ses différentes composantes. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Comprendre les spécificités du système d’information (SI) bancaire. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Identifier, investiguer et évaluer les risques propres au système et confirmer les acquis.
d’information.
• Acquérir la capacité opérationnelle d’intégrer ces risques dans la Connaissances requises
réalisation des contrôles. • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
Participants
• Responsables des risques opérationnels.
• Correspondants risques opérationnels.
• Fonction Audit-inspection et Contrôle permanent.
• Responsables informatiques.
PROGRAMME
Identification et évaluation des risques IT Dispositifs de maitrise associes aux risques IT
Le contexte du management du risque IT. (REPONSE & MONITORING)
Les concepts clés du risque IT. Alignement des risques aux objectifs opérationnels.
La relation entre le risque IT et les autres fonctions : Les options de réponse aux risques IT (Accepter, Traiter, Transférer, Eviter).
– Risque IT et plan de continuité d’activité. Les techniques d’analyse.
– Risque IT et Audit. La conception des contrôles IT et son implémentation.
– Risque IT et sécurité de l’information. les typologies de risques (inhérent, résiduel, actuels).
Capacité, tolérance et appétit du risque. Les objectifs de contrôles (Processus, Sécurité IT, management des
Culture du risque et communication. données, projets, cycle de vie des applications, opérations…).
Les éléments du risques (facteurs, actifs, menaces, vulnérabilités…). L’impact des nouvelles technologies.
Concepts et principes de la sécurité de l’information. Key Risk Indicator (KRI) – indicateur des risques.
Environnements du risque IT (Matériel, Applications…). Key Performance Indicator (KPI) – indicateur de performance.
Méthodes d’identification du risque. Extraction et collecte des données pour la maitrise des risques IT.
Les scénarios du risque. Typologie d’évaluation des contrôles (audit, test de vulnérabilités, test
Les techniques d’évaluation du risque. d’intrusion, maitrise des sous-traitants et partenaires).
Analyse des scenarios de risque (organisation, politique, procédure). Analyse des résultats de contrôles.
Maitrise des contrôles en place (audit, PCA, CMMI…).
Risques IT et analyse des contrôles.
Méthodologie d’analyse de risque.
Documenter le risque IT dans un registre.
d’information
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Appréhender les enjeux, les concepts, les aspects normatifs et • Documentation en PowerPoint.
réglementaires de la sécurité du système d’information au sein de • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
l’entreprise. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Élaborer la politique de sécurité de l’entreprise. et confirmer les acquis.
• Savoir utiliser une méthodologie de la sécurité de l’information
(ISO27001, COBIT 5.0). Connaissances requises
• Comprendre les missions du Responsable de la Sécurité du Système • Aucune connaissance particulière n’est exigée.
d’Information (RSSI).
• Élaborer le reporting et le contrôle permanent de la SSI.
Participants
• DSI ou responsable du service informatique.
• Responsable Sécurité du Système d’Information (RSSI).
• Chef de projet informatique en charge du projet sécurisation.
• Fonction Audit et Contrôle permanent et périodique.
PROGRAMME
Enjeux, concepts, aspects normatifs et La politique de sécurité du système d’information
réglementaires de la sécurité du système de l’entreprise
d’information Cas d’utilisation pratique du référentiel ISO27001 :
Les enjeux et les concepts de la sécurité du système d’information au – Présentation générale du référentiel ISO 27001.
sein de l’entreprise. – Illustration des domaines et sous domaines :
Le panorama de la sécurité : • Politique de sécurité.
– La sécurité physique. • Organisation de la sécurité de l’information.
– La sécurité de la production. • Ressources Humaines.
– La sécurité des applications et des données. • Gestion des actifs.
– La sécurité des télécoms (accès distants, mobilité…). • Gestion des accès.
Les normes de référence, les aspects légaux et réglementaires : • Sécurité des opérations.
– Les normes internationales. • Acquisition, développement et maintenance.
– La protection des personnes. Cas d’utilisation pratique du COBIT 5.0 :
– Les obligations de sécurité des données. – Présentation générale du COBIT 5.0. :
– Le droit des salariés. – Illustration des domaines et processus
– La « cyber surveillance ». • Aligner, Planifier et Organiser (APO).
– Bien comprendre l’objectif des normes et leur intérêt pour l’entreprise. • Bâtir, Acquérir et Implanter (BAI).
• Livrer, Servir et Soutenir (LSS).
La politique de sécurité du système d’information • Surveiller, Evaluer et Mesurer (SEM).
de l’entreprise
L’élaboration d’une politique de sécurité :
Les missions du Responsable de la Sécurité
– Définition. du Système d’Information
– Objectifs. Le RSSI dans l’entreprise :
– Contraintes. – Missions.
– Structure. – Profils.
– Contenu. – Rattachement.
– Bénéfices. Les responsabilités du RSSI :
– Liaison avec les aspects normatifs et réglementaires. – Les responsabilités en matière de transparence et de gestion des
L’analyse de risques : risques, de mise en œuvre de plan de secours, de contrôle interne, de
– Les principales méthodes. mise en œuvre de politique de contrôle éthique des comportements et
– Les avantages/limites méthode par méthode. de cyber surveillance.
– L’analyse des vulnérabilités. – Le statut particulier du RSSI au regard des règles de responsabilités
– Le plan d’action. civiles, pénales, fiscales, de préservation du secret de données
– La classification des risques. personnelles et importance de la gestion des preuves et des
délégations de pouvoir.
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One
to
One Cartographie des risques
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les enjeux de la cartographie des risques. • Documentation en PowerPoint.
• Savoir réaliser une cartographie des risques opérationnels. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Savoir adapter ses méthodes selon les contextes. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Savoir piloter sa cartographie. et confirmer les acquis.
PROGRAMME
Introduction et concepts éléments constitutifs du dispositif de maîtrise des risques, cotation
inhérente et résiduelle.
Contexte réglementaire : arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle
– Évaluation quantitative : modèles de VAR, méthodes de scénario.
interne, Bâle III.
Représentations des cartographies des risques : formes tableaux,
Risques majeurs de l’activité bancaire.
représentations graphiques, etc.
Les indicateurs de risques : typologies, construction et suivi.
La cartographie des risques
Objectifs de la cartographie des risques. Mise à jour des cartographies
Approche par processus.
Les modalités de mise à jour des cartographies (incidents, facteurs
Identification des évènements de risques :
externes et internes etc.).
– Typologies de risques bancaires : arrêté du 3 novembre 2014 relatif au
Back Testing.
contrôle interne et Bâle III.
Les fiches post mortem.
– Risques frontières.
Coordination avec les revues des autres fonctions de contrôle.
Modalités pratiques de mise en œuvre d’une cartographie :
– Les acteurs.
– Les principes d’animation.
Les outils de cartographie des risques
Évaluation et niveau d’exposition : Principales fonctionnalités.
– Évaluation qualitative ou à dire d’experts : choix des échelles de Panorama des acteurs et des responsabilités.
cotation d’impacts et de probabilités de survenance, principaux
de l’entreprise
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre la logique générale de la comptabilité et l’élaboration • Documentation en PowerPoint.
d’un bilan et d’un compte de résultat. • Alternance d’illustrations, d’exercices pratiques et de dossier
• Connaître les mécanismes d’établissement des comptes annuels. de Crédit.
• Comprendre la situation financière d’une entreprise et son évolution • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
prévisible. confirmer les acquis.
• Découvrir les outils de diagnostics financiers. • Fiche mémo pour synthétiser les connaissances.
• Faciliter les échanges dans les domaines financiers avec la clientèle.
• Être capable de se faire rapidement une opinion d’ensemble Connaissances requises
de la qualité d’un dossier. • Très peu ou pas de connaissance comptable.
Participants
• Chargés de clientèle entreprise.
• Commerciaux comptes professionnels.
• Juristes désirant se doter de bases financières.
• Back-office crédits.
PROGRAMME
Comprendre les mécanismes comptables Explication du fonctionnement :
et financiers de l’entreprise – Du besoin en fonds de roulement.
– Du fonds de roulement.
Revue des différents statuts :
Le compte de résultat :
– Entreprise individuelle.
– Les différents types de charges et de produits.
– SARL.
– La composante du résultat.
– SAS.
– Les soldes intermédiaires de gestion.
Étude des flux de l’entreprise :
Éléments de fiscalité :
– Le capital.
– La TVA.
– Les charges.
– L’impôt société.
– Les produits.
– Les investissements.
– Les opérations d’inventaire.
Notions d’analyse financière et de diagnostic
financier
Analyser les documents financiers Les différentes composantes de la trésorerie.
La capacité d’autofinancement (calcul ratio).
Explication du fonctionnement :
Les enjeux du prêteur.
– De l’actif.
Présentation de différents dossiers et recherche par les participants
– Des capitaux propres.
des éléments significatifs pour se prononcer sur la qualité du dossier.
– Des dettes.
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One
to
One Maîtriser et analyser
les comptes de l’entreprise
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les mécanismes comptables et financiers de l’entreprise. • Documentation en PowerPoint.
• Analyser la situation financière d’une entreprise et son évolution • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
prévisible. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
• Connaître les outils de diagnostics financiers et les éléments de finance confirmer les acquis.
d’entreprise.
• Prendre des décisions de financement. Connaissances requises
• Connaissances comptables et d’analyse financière.
Participants • Participation à la formation « Initiation à l’analyse des
• Chargés de clientèle entreprise. comptes ».
• Commerciaux grands comptes.
• Personnes de l’encadrement.
• Participants aux comités de crédit.
PROGRAMME
Vérification des connaissances Acquérir des notions de base de finance
Test de connaissance sur les principales notions comptables et d’entreprise
financières. Présentation de la méthode d’élaboration du tableau de flux et des
Corrigé et commentaires. différentes sources de trésorerie.
Analyse des différents postes.
Mécanismes comptables et financiers L’analyse financière d’une entreprise :
de l’entreprise – Présentation des documents mis à disposition.
Étude des flux de l’entreprise : – Présentation des méthodes d’analyse.
– Le capital. – Analyse critique de l’évaluation.
– Les charges et les produits. Étude de la consolidation :
– Les investissements. – Le cadre règlementaire.
– Les opérations d’inventaires. – Présentation des normes IFRS.
Analyse des grands équilibres. – Les différentes méthodes de consolidation.
Comment retraiter un bilan avec une approche trésorerie ? Le financement de l’entreprise :
– Le bilan fonctionnel. – La rentabilité du capital.
– Le bilan liquidité. – Le choix d’investissement.
Présentation du fonds de roulement et du besoin en fonds de – Le financement du haut de bilan : présentation synthétique
roulement. des différents types de financement (LBO, emprunt obligataire,
Equilibre du haut de bilan. augmentation de capital…).
Ratios de besoins en fonds de roulement. – Les investissements : principe et fonctionnement. Notions de
Analyse des soldes intermédiaires de gestion : rentabilité d’un investissement.
– La valeur ajoutée. La prévention des entreprises :
– L’excédent brut d’exploitation. – La pré-détection.
Retraitements à effectuer pour affiner l’analyse. – Le diagnostic.
Passer de l’analyse comptable à une approche financière. – Les mesures de restructuration.
– La capacité d’autofinancement.
Participants
• Collaborateurs des services des études comptables, du contrôle
comptable, du contrôle de gestion, de l’évaluation du risque de crédit et
de l’audit interne des établissements de crédit.
• Collaborateurs des agences de notation.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
L’activité bancaire à travers les états financiers – Le financement spécialisé.
– Les banques d’affaires et de gestion d’actifs.
Rappel de l’économie des activités bancaires et des objectifs de
Analyser les états financiers publiables d’une grande banque.
l’analyse financière.
Rappel du contenu des informations et analyses financières
disponibles.
Les informations relatives aux risques
Les soldes intermédiaires de gestion et les principaux ratios. Les états financiers fournissent des informations sur les risques et leur
gestion par les établissements de crédit.
Les conventions et règles comptables Le lien entre les besoins en fonds propres et la rentabilité des banques.
Définition des différents risques :
Rappel des principes et règles nécessaires pour l’analyse :
– Risques de crédit.
– La présentation des différents postes du bilan.
– Risques de marché.
– Les méthodes comptables utilisées en fonction de la nature
– Risques opérationnels.
des instruments financiers (basiques ou non) et du modèle de gestion
– Autres risques.
(détention durable ou non).
– La relation emplois-ressources.
L’explication des agrégats comptables se fera en regard de l’activité
Organisation de la banque et éléments
économique des établissements de crédit. de méthodologie d’analyse
Identification des points clés ou sensibles utiles pour procéder à une Organisation de la production de l’information financière et prudentielle
analyse financière pertinente. par les banques.
Analyse de l’application des normes comptables à un type d’opération. Présentation d’éléments de méthodologie pour procéder aux analyses
Élaboration d’une trame de synthèse de l’information financière. et contrôles sur place.
Les différents métiers bancaires :
– La banque de détail classique.
– La banque de financement et d’investissement.
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NOUVEAUTÉ
Les crédits syndiqués
One
to
One
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Conforter, voire initier, les chargés d’affaires entreprises et leurs • Documentation en PowerPoint.
directeurs dans la connaissance et la maîtrise des crédits syndiqués afin • Alternance d’illustrations et d’exemples pratiques.
qu’ils soient mieux armés pour proposer, distribuer ce type de finance- • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
ment à leurs clients et contribuer efficacement au montage des dossiers confirmer les acquis.
avec le middle Office de la Direction du Marché des entreprises.
• Savoir déceler dans les besoins de financement exprimés par leurs Connaissances requises
clients, l’opportunité de leur proposer un crédit en pool, tout • Bonne connaissance des opérations bancaires.
en leur permettant de mieux appréhender les risques et déterminer • Bonne connaissance du monde de l’entreprise.
une tarification ad’hoc. • Connaissances en matière économique, comptable
• Présenter l’offre bancaire en crédits syndiqués et les types de financement. et analyse financière.
• Connaître les différents schémas contractuels mis en place
par les banques.
• Identifier plus spécifiquement les responsabilités et les missions
de chaque intervenant, notamment, de l’agent.
• Maîtriser les clauses juridiques spécifiques.
Participants
• Collaborateurs du réseau : les chargés d’affaires entreprises
et leurs directeurs
PROGRAMME
Le crédit syndiqué : une opportunité commerciale – Négociation de la documentation contractuelle : étude des principales
clauses contractuelles et des covenants.
Définition.
– Négociation des conditions commerciales.
Offre bancaire en crédits syndiqués.
La rédaction et la signature du contrat (term sheet…).
Typologie des financements.
– Inventaire des différentes parties constituant un contrat :
Rôles du Front office dans la distribution de crédits en pool.
• Définition des critères à respecter.
– Identification d’un financement éligible au crédit en pool.
• Description détaillée des évènements, des responsabilités
– Appréhension des risques et détermination d’une tarification ad’hoc.
de chacun.
• Conditions du prêt
Le syndicat : ses différents acteurs et leurs rôles
• Déclarations et engagements de l’emprunteur (lettres
Les différents schémas contractuels mis en place par les banques. d’opinion…).
Le rôle du syndicat : – Inventaire des clauses définissant les conditions du prêt tant pour son
– Mise en place et respect du « sui generis ». octroi que pour sa défense d’encours (pièges à éviter).
– Répartition des risques. L’offre de crédit et son acceptation par le client.
– Clauses juridiques spécifiques.
Les différents acteurs et leurs rôles : Les missions et les responsabilités de l’agent
– Inventaire et rôle (Membre, Chef de file, Agent, Arrangeur,
L’agent, le coordinateur du syndicat.
Bookrunner, Garant, …).
Son positionnement par rapport au syndicat.
– Responsabilité contractuelle et réglementaire.
La nature juridique de ses relations avec l’emprunteur et les autres
banques du syndicat.
Le processus de mise en syndication
Sa responsabilité au titre de la gestion du crédit et des sûretés.
L’instruction du dossier : Gestion des mouvements de fonds.
– Revue des éléments constitutifs de l’analyse de l’investissement. Défense d’encours.
– Revue du contexte juridique et des risques associés. Gestion des covenants et waivers.
La négociation des conditions commerciales auprès du client. Gestion des sûretés.
La phase précontractuelle à la rédaction du contrat auprès du syndicat : Information aux membres du syndicat.
– Diffusion des informations au syndicat provenant du client
(memorandum…).
dans la banque
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Avoir une compréhension globale de la fonction du contrôle de gestion. • Documentation en PowerPoint.
• Maîtriser l’utilisation des méthodes et outils du contrôle de gestion. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Savoir analyser les différentes composantes de la mesure • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
de la performance. et confirmer les acquis.
• Savoir participer au processus budgétaire.
Connaissances requises
Participants • Bonne connaissance des opérations bancaires.
• Directeurs généraux. • Connaissances en matière économique, comptable
• Contrôleurs de gestion, contrôleurs budgétaires. et analyse financière.
• Responsables opérationnels et auditeurs.
• Maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre.
PROGRAMME
Définition et contenu du contrôle de gestion Mesure des performances bancaires
Présentation de la fonction, de ses missions et de ses objectifs. Catalogue de produits.
Spécificités bancaires. Facturation des prestations.
Organisation du contrôle de gestion. Résultats par axes de rentabilité (centre/produit/client).
Contrôleur de gestion : profil et place dans la banque. Allocation des ressources rares de la banque.
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One
to
One Coût et rentabilité des services
et produits bancaires
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les principes et les enjeux du contrôle de gestion. • Documentation en PowerPoint.
• Savoir analyser les différentes composantes de la mesure de la • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
performance bancaire. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Maîtriser les mécanismes de répartition des charges. et confirmer les acquis.
• Comprendre les principes et les enjeux de l’allocation
des ressources en milieu bancaire. Connaissances requises
• Une bonne connaissance de la banque et de la
Participants comptabilité analytique est vivement recommandée.
• Dirigeants de banque.
• Contrôleurs de gestion, contrôleurs budgétaires.
• Responsables comptables.
• Responsables d’agence.
• Maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre.
PROGRAMME
Définition et contenu du contrôle de gestion La mesure des coûts et charges
Présentation de la fonction, de ses missions et de ses objectifs. Différentes méthodes et approches de calcul des coûts.
Spécificités bancaires. Catalogue des produits et services.
Organisation du contrôle de gestion. Prix de cession interne.
Analyse des interactions avec l’ALM.
Mesure des performances et de la rentabilité Analyse des frais généraux.
PNB (structure - contenu) : Affectation des charges.
– Par produit et service. Méthode ABC.
– Par activité ou par métier. Méthode ABM.
– Par client et groupe de clients...
Marges de taux. Allocation des ressources rares
Décomposition et analyse des performances par centre de profit. Allocation sur fonds propres prudentiels.
Ratios de rentabilité.
budgétaire
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les différentes approches d’élaboration budgétaire • Documentation en PowerPoint.
dans un établissement bancaire. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Mettre en application les différentes méthodes de contrôle • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et de suivi budgétaire. et confirmer les acquis.
• Savoir utiliser les techniques d’élaboration des actions
correctives. Connaissances requises
• Bonne connaissance de la banque et des opérations
Participants bancaires.
• Directeurs généraux.
• Contrôleurs de gestion, contrôleurs budgétaires.
• Responsables comptables.
• Responsables de centre de profit.
• Maîtrise d’ouvrage, maîtrise d’œuvre.
PROGRAMME
Définition et contenu du contrôle de gestion Suivi budgétaire
Rappels des missions et objectifs du contrôle de gestion. Périodicité du suivi.
Spécificités du secteur bancaire. Utilisation de tableaux de bord.
De l’importance du budget dans la gestion prévisionnelle de la banque. Gestion des écarts.
Suivi des actions correctrices.
Principes d’élaboration du budget
Définition et principes. Alternatives de l’approche budgétaire
Fixation des objectifs : méthode, nature et contenu. Budget Base Zéro.
Déclinaison des contraintes liées aux ressources rares de la banque. Budget à base d’activités.
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PROGRAMME
Définition et contenu du contrôle de gestion La mise en place d’un tableau de bord
Présentation de la fonction, de ses missions et de ses objectifs. Méthodologie et étapes de mises en place.
Spécificités bancaires. Rôle du contrôle de gestion.
Organisation du contrôle de gestion. Conduite du changement.
Convergence/divergences avec le contrôle interne et le contrôle qualité.
Les objectifs des tableaux de bord Architecture du système d’information associé.
Utilité d’un tableau de bord.
Besoin d’un outil spécifique pour le pilotage en environnement bancaire. La vie d’un tableau de bord
Tableau de bord et motivation. Utilisateurs d’un tableau de bord (direction générale, directions centrales,
centres de profit).
Le contenu d’un tableau de bord Suivi des indicateurs.
Identification des indicateurs de la performance. Besoin de maintenance.
Paramètres structurants (fréquence, support diffusion). Procédure de maintenance.
Commentaires.
Présentation.
PROGRAMME
Les différentes composantes du PNB – Les différents types d’intérêts utilisés en crédit immobilier selon le choix
d’amortissement choisi du capital (in fine, échéances constantes…).
Définition / Détermination du PNB :
– Notion de taux d’intérêt effectif global (TEG) (calcul, fonctionnement,
– Différentes composantes (MNI, Commissions…).
impact).
– Articulation entre elles.
– Notion de rendement net par adossement.
– Recentrage sur l’activité de gestion d’un portefeuille de crédits
La mesure de la contribution d’une opération bancaire à la constitution du PNB :
immobiliers.
La mesure de la rentabilité d’une opération bancaire.
– Articulation avec le bilan comptable.
L’analyse de la structure du PNB.
Typologie des données utilisées et produites :
La mesure des performances bancaires :
– Origine de la donnée.
– Quid du coût des opérations bancaires ?
– Articulation avec la comptabilité et la base de gestion.
– PNB / Résultat par axes de rentabilité (déclinaison du PNB en centre,
– Utilisation de la balance comptable.
produit, portefeuille).
– Notion de coût historique, coût amorti vs juste valeur.
– Allocation des ressources rares.
– Notion de bilan moyen pondéré.
PNB et ratios :
– Identification des différents ratios réglementaires utilisant le PNB :
L’analyse de la Marge Nette d’Intermédiation (MNI)
calcul, analyse et utilité (ROA…). La signification de la MNI :
– Identification des différents ratios de pilotage utilisant le PNB : calcul, – La traduction de l’intermédiation bancaire.
analyse et utilité (Coefficient d’exploitation…). – Son évolution dans le temps entre désintermédiation
et ré-intermédiation.
Refinancement des crédits et couverture – Le poids des réglementations successives dans son pilotage.
L’origine des écarts entre 2 périodes par l’analyse des effets (prix,
Présentation des différentes techniques de refinancement :
volume, structure, croisé) :
– Définition.
– Analyse de la déformation du bilan et de son écoulement.
– Distinction entre financement et refinancement.
– Analyse de l’impact sur la MNI par la méthode des effets.
– Typologie des marchés (marchés obligataires, financiers, titrisation,
La MNI prévisionnelle :
couverture).
– Elaboration du bilan moyen pondéré.
Taux de cession interne :
– Intégration des données de l’ALM dont les TCI.
– Prix de cession interne.
– Analyse des écarts entre réalisés et prévisionnel avec atterrissage.
– Marge commerciale / Marge de transformation.
– Interactions avec l’ALM.
Sensibilité du PNB au risque de liquidité et au risque de taux :
Les autres composantes du PNB autres que la MNI
– Importance des règles d’écoulement et des options cachées dans Les commissions :
l’analyse des variations d’encours tant constatées qu’anticipées. – Définition, typologie (développement, gestion, incident, flat, stock).
– Impact des couvertures. – Répartition, ventilation entre commissions et coûts des opérations
– Impact des stress scenarii dans le pilotage du PNB. bancaires au sens large.
– Gestion et analyse de l’étalement en relation avec la comptabilité (IFRS).
Le PNB, une mesure du rendement – Gestion des exonérations, des extournes.
ou de la rentabilité des activités – Détermination du manque à gagner.
Les produits et accessoires.
La mesure du rendement par les taux d’intérêt :
Les plus ou moins gains financiers.
– Notion de rendement brut.
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PROGRAMME
Mesurer et évaluer la performance financière Du PNB au Résultat Net en passant par le Résultat d’Exploitation.
d’une banque Analyser les évolutions du compte d’exploitation par structure et par
nature économique (effet volume, taux, mix produit).
Le rôle d’une banque et les spécificités du secteur bancaire.
Le bilan et le compte d’exploitation d’une banque.
Les ressources rares financières et le pilotage financier intégré d’une banque.
Agir sur les graphiques Excel
Donner une vision économique de l’activité d’une banque à partir des Produire / construire les données sources d’un graphique.
données comptables publiées au BALO. Créer et modifier des formules matricielles.
Créer un graphique et comprendre les différents types de graphique sous Excel.
Charger les données et définir les traitements Les différentes zones d’un graphique sous Excel et apprendre à les
modifier.
Analyser les données disponibles pour définir un modèle conceptuel des
données (MCD).
Exemple d’un modèle conceptuel de données de pilotage d’une trésorerie
Utiliser quelques fonctions avancées d’Excel
d’une banque. pour traiter les erreurs (pour les plus rapides
Charger les données d’entrée à partir de fichiers externes, de bases de de la partie 4)
données ou de fichiers Excel. Les fonctions Excel qui permettent de gérer les erreurs.
Définir un processus de traitement progressif des données et de contrôle Les structures conditionnelles (si … alors …), les tests logiques ET / OU.
des données et des résultats des traitements. La mise en forme conditionnelle des cellules.
Utiliser les tableaux croisés dynamiques, les tableaux de données et les La mise en forme du format d’une cellule (monétaire, date, …).
filtres avancés pour charger et traiter des données. La fonction « texte » de construction d’un texte dynamique pour
Utiliser les fonctions RECHERCHEV, RECHERCHEH, INDEX, EQUIV pour commenter automatiquement les graphiques ou les livrables.
récupérer des données et produire des livrables formatés. La génération automatique de commentaires sous Excel.
Analyser le Produit Net Bancaire et des différents Connaître les ratios de pilotage d’une banque
agrégats du compte d’exploitation Les différents ratios de pilotage de l’activité d’une banque.
La décomposition du PNB d’une banque et zoom sur la marge nette Le coefficient d’exploitation, le RoE (rentabilité des fonds propres).
d’intérêt (MNI). Les taux de marges brutes et nettes d’intérêt.
PROGRAMME
Les retraitements normatifs pour un pilotage fin des entités Quelques règles d’or issues de l’expérience concernant la structuration et
opérationnelles d’une banque (fonds propres normatifs, IS normatif, …) l’ordonnancement des traitements.
et la mise en évidence des résultats « sous-jacents » ou « récurrents ». Les fonctions d’import / export de données sous Excel.
La protection d’une cellule, d’une feuille ou d’un fichier Excel.
Manipuler les fonctions avancées d’analyse
statistique d’Excel pour traiter les données Manipuler les outils de simulation sous Excel
Les fonctions statistiques proposées par Excel. et, pour les plus rapides, comprendre les macros
Les fonctions temporelles et de somme conditionnelle. et l’adaptation / reprise d’un code VBA Existant
La régression linéaire simple ou multi-variables et les mesures de la Les fonctions « valeur cible », « gestionnaire de scénarios »
qualité des paramètres estimés. et introduction à l’utilisation du solveur Excel.
Les lois de probabilité usuelles et la génération de nombres aléatoires Les zones nommées et utilisation dans des formules.
pour les simulations. Créer une macro VBA avec l’outil d’enregistrement Excel.
Construction d’un compte d’exploitation normatif et de ratios de pilotage Editer et modifier une macro existante.
normatifs pour un pilotage de l’activité « par écart avec la tendance Les structures des données / objet Excel manipulables sous VBA.
historique ». Quelques exemples de tableaux de reporting ou tableaux bord de pilotage
d’une banque.
Acquérir quelques principes pour construire
des fichiers Excel plus robustes et assurant
une production collective de qualité
Quelques règles d’or issues de l’expérience concernant la structuration
des données manipulées (entrées, sorties, paramètres).
ou email contact@afges.com Bon de commande en page 203 de ce catalogue Formations 2019 163
NOUVEAUTÉ
Améliorer votre maîtrise d’Excel
One en prototypant les concepts
ALM définis dans l’IRRBB
to
One
PROGRAMME
Mesurer et évaluer les risques ALM d’une banque Analyser les Gaps de Taux et la sensibilité
Le rôle d’une banque et les spécificités du secteur bancaire. de la Marge d’Intéret
Le bilan et le compte d’exploitation d’une banque. L’échéancement des postes du bilan par intervalles temporels.
Les risques actif-passif / ALM d’une banque et la gestion ALM d’une La courbe des taux et les chocs de taux proposés par le Comité de Bâle.
banque (centralisation des positions, Taux de Cession Interne, …). La marge brute et la marge nette d’intérêt (MNI) d’une banque.
Les impacts des risques de taux et de change sur la valeur d’une banque et Donner une vision échéancée de l’activité d’une banque à partir des
la marge d’intérêt (marge exposée, adossement / couverture des positions). données comptables publiées au BALO.
Charger les données et définir les traitements Agir sur les graphiques Excel
Analyser les données disponibles pour définir un modèle conceptuel des Produire / construire les données sources d’un graphique.
données (MCD). Créer et modifier des formules matricielles.
Charger les données d’entrée à partir de fichiers externes, de bases de Créer un graphique et comprendre les différents types de graphique sous Excel.
données ou de fichiers Excel. Les différentes zones d’un graphique sous Excel et apprendre à les modifier.
Définir un processus de traitement progressif des données et de contrôle
des données et des résultats des traitements. Utiliser quelques fonctions avancées d’Excel pour traiter
Utiliser les tableaux croisés dynamiques, les tableaux de données et les les erreurs (pour les plus rapides de la partie 4)
filtres avancés pour charger et traiter des données.
Les fonctions Excel qui permettent de gérer les erreurs.
Utiliser les fonctions RECHERCHEV, RECHERCHEH, INDEX, EQUIV pour
Les structures conditionnelles (si … alors …), les tests logiques ET / OU.
récupérer des données et produire des livrables formatés.
PROGRAMME
La mise en forme conditionnelle des cellules. Construction d’un modèle d’écoulement des crédits comprenant des
La mise en forme du format d’une cellule (monétaire, date, …). remboursements anticipés.
La fonction « texte » de construction d’un texte dynamique pour
commenter automatiquement les graphiques ou les livrables. Acquérir quelques principes pour construire
La génération automatique de commentaires sous Excel. des fichiers Excel plus robustes et assurant
une production collective de qualité
Connaître les ratios de pilotage financier d’une Quelques règles d’or issues de l’expérience concernant la structuration
banque et les ratios prudentiels iRRBB ΔEVE et ΔNII des données manipulées (entrées, sorties, paramètres).
Trois ratios de pilotage de l’activité d’une banque : le coefficient Quelques règles d’or issues de l’expérience concernant la structuration et
d’exploitation, le RoE (rentabilité des fonds propres) et le CET1. l’ordonnancement des traitements.
L’Economic Value of the Equity (EVE) et la mesure de sa sensibilité à des Les fonctions d’import / export de données sous Excel.
chocs de taux (ΔEVE). La protection d’une cellule, d’une feuille ou d’un fichier Excel.
La sensibilité de la Marge Nette d’Intérêt à des chocs de taux (ΔNII).
Cas des dépôts sans échéance (Non-Maturity Deposit - NMD). Manipuler les outils de simulation sous Excel
Cas des remboursements anticipés (conditional prepayment rate – CPR). et, pour les plus rapides, comprendre les macros
et l’adaptation / reprise d’un code VBA existant
Manipuler les fonctions avancées d’analyse Les fonctions « valeur cible », « gestionnaire de scénarios » et introduction
statistique d’Excel pour traiter les données à l’utilisation du solveur Excel.
Les fonctions statistiques proposées par Excel. Les zones nommées et utilisation dans des formules.
Les fonctions temporelles et de somme conditionnelle. Créer une macro VBA avec l’outil d’enregistrement Excel.
La régression linéaire simple ou multi-variables et les mesures de la Editer et modifier une macro existante.
qualité des paramètres estimés. Les structures des données / objet Excel manipulables sous VBA.
Les lois de probabilité usuelles et la génération de nombres aléatoires Quelques exemples de tableaux de reporting ou tableaux bord de gestion
pour les simulations. des risques de taux et de change d’une banque.
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NOUVEAUTÉ
Suivi de la marge d’intérêt d’une
One
to
One
banque – approfondissement
Objectif général Participants
• Maîtriser les concepts de base de la gestion actif – passif ou Asset and • Dirigeants de banques ayant une part significative du PNB
Liability Management (ALM) pour analyser et piloter la marge d’intérêt en marge d’intérêt, responsables ou futurs responsables
d’une banque. de la fonction ALM.
• Appréhender les informations présentes dans le bilan et hors bilan d’une • Directeurs financiers et directeurs de contrôle de gestion.
banque pour améliorer le suivi de la marge d’intérêt d’une activité. • Contrôleurs de gestion, contrôleurs budgétaires.
• S’affranchir des effets stocks du bilan par la construction de la Marge • Maitrise d’ouvrage de SI de gestion.
d’Intérêt Actuarielle.
• Construire un budget pluriannuel de marge d’intérêt prenant en compte le stock Supports et moyens pédagogiques
et son vieillissement couplé à la nouvelle production et son vieillissement. • Documentation en PowerPoint.
• Mettre en œuvre un contrôle budgétaire de la marge d’intérêt d’une • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques sous EXCEL.
activité de crédit permettant d’isoler rapidement les effets volume, mix • Synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
crédit et taux. confirmer les acquis.
• Mesurer et comprendre les conséquences sur la marge d’intérêt de • Kit pédagogique réduit pour la mise en œuvre des outils
stress sur la vitesse d’écoulement des dépôts à vue, des taux de sous Excel dans son équipe.
remboursement anticipés.
• Comprendre la modélisation par tableau-matrice et mettre en œuvre Connaissances requises
intégralement avec Excel toutes les techniques exposées. • Bonne connaissance des opérations bancaires et de leurs
traductions dans les états financiers d’une banque.
• Connaissances en matière comptable, contrôle de gestion
et gestion financière.
• Bonne connaissance d’Excel.
PROGRAMME
Notions de la gestion actif – passif ou Asset Estimer la sensibilité du résultat aux modèles utilisés pour les postes
and Liability Management (ALM) nécessaires d’actif (taux de défaut et taux de remboursement anticipé) et de passif
à l’analyse de la Marge d’Intérêt (maturité des fonds propres et des DAV).
Rappels sur les éléments financiers décrivant l’activité d’une banque :
Construction et analyse de la marge d’intérêt
Le bilan et le hors bilan : deux outils d’analyse et de pilotage de la Marge
d’Intérêt.
actuarielle
Rappels sur les risques structurels de taux, change et liquidité. Comprendre les impacts du stock sur le compte d’exploitation mensuel.
Rappels sur la courbe des taux d’intérêt. Estimer la dynamique d’écoulement du stock en fonction du type de
Revue des index habituels et utilisation de la courbe swap. crédit ou de clientèle.
Savoir isoler et commenter les apports de la nouvelle production et des
Échéancement des postes du bilan actions commerciales de la période récente.
et du hors bilan. Impacts sur la marge d’intérêt
Construction d’un budget pluriannuel
Problématique de l’échéancement et principes de modélisation
(convention versus modélisation).
d’une agence bancaire et d’une banque
Modélisation des remboursements anticipés, engagements hors bilan, Rappel des principes généraux du processus budgétaire.
fonds propres. Particularités liées à l’activité de crédit.
Dépôts non échéancés et principe de modélisation. Construire un budget pluriannuel de marge d’intérêt prenant en compte
Adossement à un centre de trésorerie. le stock et son vieillissement couplé à la nouvelle production et son
Principes d’adossement notionnel, de refinancement implicite ou vieillissement.
explicite, de macro ou micro couverture. Stresser les hypothèses budgétaires pour tester la sensibilité au taux de
Détermination des Taux de Cession Internes. remboursements anticipés, de vitesse d’écoulement des dépôts à vue.
Participants
• Directeurs financiers et directeurs de contrôle de gestion.
• Contrôleurs de gestion, contrôleurs budgétaires.
• Responsables opérationnels et auditeurs.
• Maitrise d’ouvrage de SI de gestion.
PROGRAMME
Définition et apports de la Comptabilité à Base – Passage de l’espace des activités à l’espace des objets de marge.
d’Activités ou Activity Based Costing Caractéristiques des tableaux – matrices représentant ces passages.
Modélisation à l’aide des fonctions de calcul d’Excel.
Présentation des limites de la comptabilité analytique classique.
Les subventionnements liés aux méthodes classiques de facturation ou
d’allocation des coûts.
Application : cas de la refacturation des dépenses d’un
Description de la méthode ABC et principaux principes. centre de conservation de titres aux agences bancaires
Les enjeux d’amélioration de l’efficience opérationnelle grâce à l’Activity Présentation du cas de la banque Premier :
Based Management. – Description des principales activités d’un centre opérationnel de
Comprendre les spécificités du secteur bancaire. conservation de titres.
– Identification d’inducteurs de ressources et d’activités.
La mise en œuvre de la méthode ABC – Refacturation des prestations de back-office aux agences gérant
la relation avec les clients.
Les principales étapes du déploiement de la méthode ABC :
Synthèse du cas : avantages et limites de la méthode ABC.
– Caractériser les ressources consommées à réallouer et les objets de
marge à analyser (produits, clients, ligne métier…).
– Décrire et sélectionner les processus et activités.
La mise en œuvre de la méthode
– Définir les différents types d’inducteurs de ressources et d’activités. Activity Based Budgeting
– Allouer les frais généraux aux activités et les coûts des activités aux Les différentes fonctions d’un budget.
objets de marge. Les limites d’un budget classique et les axes d’amélioration.
Passer de la comptabilité analytique classique à la méthode ABC : revue Les grands principes du budget à base d’activités : de l’ABC à l’ABB.
des inducteurs classiques des principales fonctions transverses. Cas du suivi budgétaire d’un centre de coût avec isolement des effets
volume, mix services et produits, structure de production et prix.
Présentation de la modélisation de la méthode ABC
par des tableaux–matrices Présentation de la modélisation de la méthode Activity
La méthode à Base d’Activités vue comme un changement de Based Budgeting par des tableaux–matrices
description des dépenses de la banque : La méthode à ABB vue comme un changement de description des
– Passage de l’espace des ressources à l’espace des activités. volumes de produits / services à fournir par la banque :
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PROGRAMME
– Passage de l’espace des objets de marge à l’espace des activités. Extensions possibles de l’ABC/ABB :
– Passage de l’espace des activités à l’espace des ressources. vers une mesure de RoE par processus
Modélisation à l’aide des fonctions de calcul d’Excel.
Cas d’une description des processus avec plusieurs couches successives
Représentation des effets à isoler dans le cadre du suivi budgétaire.
d’activités : modélisation par des changements successifs de repères.
Cas du Time Driven Activity Based Costing.
Application : cas du budget d’un centre Traitement de l’amortissement sur plusieurs exercices des dépenses.
de conservation de titres Mesure de la profitabilité des processus d’une banque : traitement des
Présentation du cas de la banque Premier : revenus et de la consommation des ressources rares d’une banque.
– Description des hypothèses de variation des volumes de produits et
services à assurer par le centre opérationnel de conservation de titres.
– Modélisation des améliorations d’efficience opérationnelle.
– Prise en compte des sous ou surcapacités.
Synthèse du cas : suivi budgétaire en cas de démarche ABB.
PROGRAMME
L’impôt sur les sociétés La taxe sur les salaires
Du résultat comptable au résultat fiscal. Champ d’application.
Produits imposables. Rapport d’assujettissement.
Conditions générales de déductibilité des charges.
Traitement fiscal des opérations propres au cycle d’activité bancaire. La Contribution Économique Territoriale
Détermination du résultat fiscal. La Cotisation Foncière des Entreprises (CFE).
L’intégration fiscale. La Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE).
La TVA bancaire Autres impôts et taxes
Économie générale de l’impôt et particularismes du secteur bancaire et Présentation des autres principaux impôts et taxes dont :
financier. – Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés (C3S).
Champ d’application de la TVA. – Taxe sur les bureaux en Ile-de-France.
Régime des déductions de TVA. – Taxe de risque systémique.
La TVA et les opérations internationales.
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One
to
One Résultat fiscal des établissements
de crédit et ses spécificités
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les principes généraux de formation du résultat fiscal. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier les rectifications extra comptables permettant de déterminer • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
le résultat fiscal. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Savoir calculer l’impôt société, et établir les tableaux de résultat et confirmer les acquis.
(2058 A et B) de la liasse fiscale.
• Maîtriser la détermination du résultat fiscal dans un établissement Connaissances requises
de crédit. • Notions de fiscalité et de banque.
Participants
• Responsables et collaborateurs des services comptables, juridiques et
administratifs.
• Responsables fiscaux de la banque.
PROGRAMME
Introduction Plus-values sur titres.
Provisions et charges à payer.
Les enjeux.
Provisions et amortissements.
Charges financières.
Passage du résultat comptable au résultat fiscal
Autres charges, abandons de créances.
Résultat imposable. Recapitalisation d’une filiale.
Relation résultat comptable/résultat fiscal. OPCVM et écarts de change.
Reports déficitaires.
Calcul et paiement de l’impôt
Champ d’application
L’impôt société.
Personnes imposables. Les contributions : additionnelles.
Activités imposables. Les crédits d’impôt.
Territorialité. Les acomptes et le solde d’impôt.
Spécificités bancaires : quasi-capital des succursales étrangères, base
d’imputation des crédits d’impôt. Déclaration de résultat
Élaboration des formulaires 2058 A et B.
Portée fiscale des principes comptables
Autonomie, annualité, indépendance, engagement. Cas pratique
Examen d’une liasse.
Retraitements fiscaux
Produits d’exploitation, produits financiers.
Dividendes.
Participants
• Responsables et collaborateurs des services financiers, comptables,
juridiques et administratifs.
• Responsables fiscaux de la banque.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Évolution nationale et européenne de la TVA Régime des déductions
dans les établissements de crédit Précisions sur le droit à déduction de la TVA.
L’évolution historique tant française et européenne. Limitations générales du droit à déduction.
L’extension du champ d’application de la TVA aux activités bancaires et Notion d’assujettis partiels et de redevables partiels.
financières. Principes généraux de l’exercice du droit à déduction.
Règle de l’affectation.
Présentation des textes régissant la TVA en milieu Modalités de calcul du coefficient de déduction de la taxe d’amont.
bancaire Notion de secteurs distincts d’activité.
Principes généraux et sectorisation en milieu bancaire.
Directives européennes.
Les différentes régularisations du droit à déduction :
Code général des impôts.
– Les différentes régularisations annuelles.
Doctrine administrative du BOFIP.
– Les différents cas de régularisations globales.
Champ d’application de la TVA aux opérations
bancaires et financières Exercice global sur les notions acquises pendant
la formation
Précisions sur la notion de champ d’application de la TVA.
Exercice global reprenant l’ensemble des règles applicables au regard de
Opérations imposées de plein droit.
la TVA en milieu bancaire.
Opérations exonérées de plein droit.
Présentation du régime de la taxe sur les salaires :
Opérations imposées sur option.
– Champ d’application.
Présenter les règles de territorialité des prestations de services : les
– Redevable de la taxe.
mesures en vigueur et les règles applicables au 1er janvier 2015.
– Base sur laquelle est assise la taxe sur les salaires.
Présenter les règles spécifiques applicables aux remboursements de
– Modalité du calcul de la taxe due par les assujettis et redevables
frais.
partiels.
Présenter les règles spécifiques aux groupements de moyens dans les
activités bancaires et financières.
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One
to
One Contribution Économique
Territoriale
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Permettre aux participants de maîtriser les mécanismes • Documentation en PowerPoint.
de la Contribution Économique Territoriale. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender ses deux composantes : la Contribution Foncière des Entreprises • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
(CFE) et la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE). et confirmer les acquis.
• Maîtriser les mesures d’écrêtement et de plafonnement de la CET.
• Optimiser et sécuriser sa gestion. Connaissances requises
• Aucune connaissance particulière n’est requise.
Participants
• Responsables et collaborateurs des services financiers, comptables,
juridiques et administratifs.
• Responsables fiscaux de la banque.
PROGRAMME
Composition de la Contribution économique – Cotisation minimum.
Territoriale (CET) Paiement de la cotisation.
Contrôle et contentieux.
Les impôts de la fiscalité directe locale et la place de la CET
dans le dispositif des impôts locaux.
La cotisation foncière des entreprises.
La Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises
La cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE). Champ d’application.
Calcul de la cotisation :
La Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) – Détermination de la base imposable.
– Détermination du chiffre d’affaires et de la valeur ajoutée.
Champ d’application.
– Définition du chiffre d’affaires et de la valeur ajoutée pour les
Territorialité.
entreprises du secteur financier, établissements de crédit et entreprises
Base d’imposition :
agréées.
– Période de référence.
Définition du chiffre d’affaires et de la valeur ajoutée pour les entreprises
– Réductions applicables à la base d’imposition.
du secteur de l’assurance.
Établissement de la cotisation :
Établissement et paiement de la cotisation :
– Lieu d’imposition :
– Contrôle et contentieux.
• Répartition de la base d’imposition.
– Annualité de l’impôt :
• Cessation d’activité, changement d’exploitant, transfert du lieu
Les dégrèvements de CET
d’activité, création d’établissement. Plafonnement en fonction de la valeur ajoutée.
– Obligations déclaratives.
Calcul de la cotisation :
fondamentaux et révision
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les principes généraux des impôts, droit et taxes dus par les • Documentation en PowerPoint.
banques compte tenu des dernières évolutions du droit positif. • Imprimés fiscaux.
• Identifier les éléments d’assiette de calcul des différentes impositions et • Alternance de présentation des règles et de nombreux cas
comprendre leur traitement dans les déclarations fiscales. pratiques.
• Savoir concevoir et/ou dérouler un programme de contrôle des • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
impositions, de leur déclaration et paiement et du risque fiscal de la et confirmer les acquis.
banque.
Connaissances requises
Participants • Culture du contrôle et de l’environnement bancaire.
• Responsables et collaborateurs des services comptables. • Notions de comptabilité et de fiscalité.
• Responsables et collaborateurs des services fiscaux.
• Responsables et collaborateurs des services de contrôle interne/
inspection générale.
PROGRAMME
Introduction Intégration fiscale : les déficits fiscaux.
Contrôle des impôts différés.
Enjeux de la fiscalité pour les banques.
Cadre et outils de la révision fiscale.
Taxes assises sur le chiffre d'affaires
Impôt sur les sociétés – Résultat fiscal social TVA :
– Principaux généraux.
Bénéfices imposables - champ d’application :
– TVA collectée (champ d’application de la TVA et TVA bancaire).
– Personnes imposables.
– TVA déductible (modalités de récupération de la TVA).
– Règles de territorialité.
– Règles de territorialité.
– Distinction bureaux de représentation/succursales.
– Groupement de moyens.
– Traitement des opérations réalisées dans des paradis fiscaux.
Contribution Sociale de Solidarité des Sociétés (C3S) :
Passage du résultat comptable au résultat fiscal.
– Champ d’application.
Résultat fiscal et reports déficitaires.
– Mode de calcul.
Portée fiscale des principes comptables.
Principaux retraitements fiscaux.
Soulte sur swap en position symétrique.
Taxes assises sur les salaires
Provision pour risques pays. Taxe sur les Salaires (TS) :
Crédits d’impôt étrangers. – Personnes imposables.
Dotation en quasi-capital des succursales étrangères… – Calcul et paiement.
Charges financières. Autres taxes assises sur les salaires :
Abandons de créances. – Taxe d’apprentissage.
Recapitalisation d’une filiale. – Participation formation continue.
OPCVM… Investissement construction.
IS et contributions additionnelles.
Crédits d’impôt. Impôts locaux
Paiement de l’IS et des contributions. Contribution économique territoriale :
Déclaration de résultats. – Cotisation foncière des entreprises.
– Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (définition de la valeur
Impôt sur les sociétés – Intégration fiscale ajoutée pour les établissements de crédit).
Champ d’application. Taxe foncière.
Formation du groupe intégré. Taxe sur les bureaux en Ile-de-France.
Détermination du résultat d’ensemble. Champ d’application et mode de calcul :
Imposition du résultat d’ensemble. – Contribution au fonds de résolution unique.
– Taxe sur les transactions financières.
Impôt sur les sociétés – Impôts différés – Contribution de l’autorité des marchés financiers.
– Contribution de l’autorité de contrôle prudentiel.
Grands principes :
– Droits d’enregistrement.
– Différence impôt exigible et impôt différé.
– Taxe sur les véhicules de sociétés.
– Règlement CRC 99-02 et norme IAS 12 : périmètre et objectifs.
– Taxe sur les dépenses de publicité...
– Approche bilantielle.
– Report variable.
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One
to
One Actualité fiscale du secteur
financier
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les principales évolutions de la règlementation fiscale • Documentation en PowerPoint.
susceptibles d’intéresser le secteur financier, de nature législative, • Alternance de présentation des règles antérieures et
jurisprudentielle ou doctrinale. d’exemples, QCU et exercices.
• Apprécier la portée des nouveautés fiscales, domestiques
ou internationales. Connaissances requises
• Notions de comptabilité et de fiscalité.
Participants • Culture de l’environnement bancaire et de ses produits.
• Responsables et collaborateurs des services comptables ou fiscaux.
• Responsables et collaborateurs des montages structurés.
• Responsables et collaborateurs des services de contrôle interne/
inspection générale.
PROGRAMME
Le résultat fiscal et l’IS – Sur-amortissement en faveur de l’investissement productif.
– Intégration fiscale horizontale.
Des produits davantage taxés :
Prix de transfert.
– Dividendes sur instruments hybrides.
Vérification de comptabilité.
– Dividendes transitant par une société de personne étrangère.
– Plus-value à long terme.
– Taux d’imposition global. Autres impôts droits et taxes
Des charges moins déductibles : Taxes assises sur le chiffre d’affaires :
– Intérêts versés à des entreprises liées ou sous contrôle étranger. – TVA - Droits à déduction - Relation siège et succursale.
– Abandon de créance et recapitalisation de filiales. – Contribution sociale de solidarité des sociétés.
– Limitation du report des pertes fiscales. Impôts locaux :
Quelques assouplissements : – Taxe sur les bureaux en Ile-de-France
– CICE. – Taxe pour fonds de soutien aux collectivités territoriales.
– Amortissement des titres de PME innovantes. – Contribution au fonds de résolution unique.
et comptabilité
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Acquérir des compétences techniques pour organiser et gérer • Présentation dynamique avec liens hypertextes.
le système d’information pour les OPCCV (Organisme de Gestion • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
Collective à Capital Variable). • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Fixer le cadre d’activité vis-à-vis des acteurs, produits OPC, et confirmer les acquis.
directives UCITS et AIFM.
• Mettre en pratique les méthodes de valorisation et les schémas Connaissances requises
comptables des instruments financiers détenus dans les portefeuilles • Marchés et produits financiers.
des fonds d’investissement. • Notions de réglementation AMF et de comptabilité OPC.
• Sensibiliser aux risques et aux traitements d’exception liés aux crises
financières récentes.
• Découvrir les applications FINTECH pour l’asset-management.
Participants
• RCCI et RCSI, représentants des dépositaires.
• Comptables et gestionnaires des OPC.
• Opérateurs et responsables middle/back-office.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Contexte de la gestion d’actif Les risques de l’OPC et de la société de gestion
Chiffres-clés de la gestion d’actifs. Revue et outil de mesure des différentes classes de risques :
Les directives et règlements européens (UCITS AIFM MIF 2, MIR). – Marché (actions, taux, change, commodities).
Le Code monétaire et financier. – Contrepartie.
Actualités de l’AMF. – Opérationnel.
Les objectifs de la gestion collective. – Liquidité.
Les acteurs et les intermédiaires. – Non-conformité.
Typologie des fonds. Gestion des bases incidents.
Le DICI et le prospectus. Cartographie annuelle des risques identifiés par l’AMF.
Modalités de calcul des frais de gestion.
Communication financière. Architecture du système d’information
Approche par fonctions : Front / Middle et Back-Office.
Principes et méthodes comptables Contrôles comptables et reportings.
Principes et définitions applicables aux OPC UCITS et FIA.
Développements sur les Fonds professionnels de Capital Investissement Communication financière
Règles de comptabilisation et d’évaluation. Documents de synthèse.
Reportings réglementaires. Le rapport semestriel et annuel.
Mise à jour du DICI et composition d’actif.
Les actifs et la valorisation de l’OPC
Les actions. Calcul des ratios applicables aux fonds
Les obligations et les titres de créance. d’investissement
Les acquisitions et cessions temporaires de titres. Les différentes catégories d’actifs et leur pondération.
Les futures, options et swaps. Les types de ratios.
L’actif net et la valeur liquidative. Le dispositif de réaction aux anomalies.
Processus de valorisation.
Gestion des exceptions en cas de crise de liquidité.
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One
to
One Fonds d’investissement
Audit et évaluation
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Fournir une méthode d’audit et des techniques de contrôle à appliquer • Documentation en Power Point.
aux fonds d’investissement. • Présentation dynamique avec liens hypertextes.
• Familiariser les auditeurs aux traitements d’exception liés aux crises • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
financières récentes. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• RCCI et RCSI, représentants des dépositaires. Connaissances requises
• Administrateurs de fonds. • Gestion et comptabilité des OPC.
• Responsables de back-office.
• Comptables et gestionnaires des OPC et des sociétés de gestion.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Données de contexte Le risque de contrepartie.
Le risque opérationnel.
Chiffres-clés et diversité du marché de l’Asset Management.
Types de fonds et risques associés.
Cartographies annuelles de l’AMF.
Les missions du gestionnaire administratif
Cadre réglementaire de la piste d’audit. et gestionnaire comptable de l’OPC
Les contrôles sur les transactions.
Les contrôles du middle office Les contrôles sur les caractéristiques valeurs.
de la société de gestion Les contrôles sur les cours.
Les rapprochements.
Maintenance des référentiels de la SDG.
L’établissement du prospectus et DICI : L’affaire de tous.
Contrôle, validation et traitement des ordres des gérants dans le logiciel
front.
Suivi des OST dans le logiciel front.
Les missions du RCCI : responsable du contrôle
Réconciliation Titres et cash logiciel front/Comptabilité de l’OPC. et de la conformité de la société de gestion
Validation de la Valeur Liquidative de l’OPC. Le rôle du RCCI.
Contrôles des frais de l’OPC. L’éligibilité des actifs et les ratios de l’OPC.
Contrôle du respect du cut off de l’OPC. Le risque de non-conformité.
Comment contrôler ?
Les missions du contrôle des risques
de la société de gestion Les missions du dépositaire d’OPC et du CAC
Les missions du contrôle des risques. Les attributions du dépositaire de l’OPC.
Le risque de marché. Les diligences des commissaires aux comptes.
Le risque de liquidité. Avis technique de la CNCC sur les dissolutions des OPC.
de contrôleur dépositaire
d’OPC, pourquoi, comment
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître le rôle, les obligations et les responsabilités du dépositaire • Documentation en PowerPoint.
d’OPC. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Connaître les principales composantes de la règlementation pour savoir • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
s’y conformer. et confirmer les acquis.
• Acquérir une méthodologie pour savoir réaliser des contrôles pertinents
qui intègrent la dimension règlementaire. Connaissances requises
• Avoir une connaissance de l’activité de dépositaire OPC.
Participants
• Opérateurs de middle et back-offices.
• Contrôleurs internes des dépositaires et sociétés de gestion.
• Contrôleurs dépositaires junior.
• Gérants de portefeuille, comptables OPC.
• Commissaires aux Comptes et leurs collaborateurs.
PROGRAMME
Environnement du dépositaire OPC Le plan de contrôle du dépositaire OPC
Acteurs de l’Asset Management. Le plan de contrôle.
Relations entre les différents acteurs. Délégation des contrôles.
Environnement réglementaire du dépositaire OPC (Nouvelle Directive Contrôle des règles de déontologie de la société de gestion.
UCITS V). Validation du prospectus et DICI de l’OPC.
Contrôle des flux de liquidité de l’OPC.
Missions du dépositaire OPC Contrôle du respect des règles d’investissement et de composition d’actif
L’agrément du Dépositaire d’OPC. de l’OPC.
Le suivi des liquidités de l’OPC. Contrôle sur le montant minimum de l’actif de l’OPC.
La conservation des actifs de l’OPC et la tenue de positions. Contrôle sur la périodicité de valorisation de l’OPC.
Le contrôle de la régularité des décisions de l’OPC. Contrôle sur les procédures d’établissement de la vl.
La gestion du passif. Contrôle des comptes d’attente de l’OPC.
Contrôle sur les rapprochements de la SDG.
Organisation et moyens du dépositaire OPC Contrôle du passif de l’OPC.
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One
to
One Fonds Commun de Titrisation :
gestion et comptabilité
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Connaître les principes et les acteurs de la titrisation : objectifs • Documentation en Power Point.
des cédants et des investisseurs. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Comprendre les impacts sur les comptes sociaux et consolidés • Revue des événements et des schémas comptables
des cédants. associés.
• Maîtriser les schémas comptables des FCT (comptes sociaux) : • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
initialisation, arrêtés mensuels, remboursement partiel ou total. et confirmer les acquis.
• Analyse des risques spécifiques aux opérations de titrisation : plan • Sites Internet.
d’audit.
Connaissances requises
Participants • Gestion des fonds d’investissement.
• Gestionnaires comptables et back-office des OT (Organismes • Notions contractuelles des opérations de titrisation.
de Titrisation).
• RCCI et RCSI, représentants des dépositaires.
• Auditeurs externes de FCT et d’établissements de crédit.
PROGRAMME
Contexte et fonctionnement de la titrisation – Reporting réglementaire.
Coté FCT :
Contexte juridique et chiffres- clés.
– Le PC OPC.
Objectifs des cédants et des investisseurs.
– Les compléments nécessaires.
Les termes et le processus de la titrisation.
– Les opérations à l’actif et les garanties.
La règlementation applicable : AIFM, OT et FCT.
– Les opérations de passif : « tranching ».
Différence entre titrisation simple et synthétique.
– Liens entre les événements et les schémas comptables.
Le nouveau règlement sur la titrisation « STS ».
– Initialisation puis vie du FCT.
Les actifs sous-jacents et les types de titres émis.
– Évaluation des actifs.
Les notions de cote/surcote/décote.
– Gestion des défauts.
– Cas des sorties d’investisseurs.
Les acteurs de la titrisation
– Montant à distribuer.
L’arrangeur. – Calcul des frais de la SGP.
Le cédant. Bilan.
Les établissements de crédit. Compte de résultat.
La société de gestion. Annexe avec les tableaux spécifiques.
Le dépositaire. Publications pour les investisseurs.
Les agences de notation. Reporting réglementaire.
Les sociétés de rehaussement de crédit.
L’agent payeur. Cas pratique
Les autorités de tutelle.
Fiche signalétique.
Les investisseurs.
Programme d’activité.
Exemples de schémas détaillés :
Exposé pratique sur un FCT
– Comptabilisation des actifs.
Exemple de titrisation au travers d’un FCT. – Émission et placement des titres.
Étapes, intervenants, documents de référence. – Évaluation/arrêté mensuel.
Agrément AMF/AIFM. – Provisions/cut-off/rémunération.
Analyse des supports juridiques et des publications. Arrêté annuel.
Recensement des informations utiles. Remboursement partiel ou total des parts du fonds.
Étapes de traitement.
Procédures de contrôle permanent. Maîtrise des risques
Les risques associés aux opérations de titrisation :
Normes comptables applicables au FCT
– Remboursement anticipé.
Coté cédant : – Défaillance des débiteurs.
– Réglementation sur le contrôle interne. – Évolution des taux.
– Impacts sur les comptes sociaux et consolidés. – Détérioration de la notation.
– Annexe avec les tableaux spécifiques. – Défaillance des intervenants.
– Publications des investisseurs. – Conformité.
PROGRAMME
Les techniques de réduction des risques liés à la titrisation : – Les techniques externes (garantie bancaire, nantissement ? Contrats
– Les techniques internes (subordination, surdimensionnement, fonds d’assurance, utilisation des produits dérivés, etc.).
de réserve, garanties, clauses spéciales d’amortissement, garantie du
cédant, etc.).
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One
to
One MIF 2/MIR
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre la directive MIF 2 entrée en vigueur en janvier 2018 en • Documentation en PowerPoint.
vue d’assurer la conformité des services d’investissement et améliorer • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
la protection clientèle. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Analyser les principaux impacts sur les différents volets d’activité et confirmer les acquis.
concernés : relations clients, infrastructure de marché, , reportings
règlementaires Connaissances requises
• Notions de gestion d’OPCVM.
Participants
• RCCI et RCSI, représentants des dépositaires.
• Administrateurs de fonds.
• Responsables de back-office.
• Comptables et gestionnaires des OPCVM et des sociétés de gestion.
PROGRAMME
Contexte règlementaire Renforcement de la protection des clients et investissements.
Responsabilité de la direction en matière de conformité des produits et de
Éléments de contexte : sommet du G20 de Pittsburg.
compétences des personnels.
Processus d’élaboration des réglementations.
Rôle des RCCI RCSI.
Textes de niveau 1 et de niveau 2.
Nouveaux pouvoirs des superviseurs.
Présentation du corpus MIF :
Changements liés au principe de « best execution » :
– Directive 2014/65/UE du 15 mai 2014.
– Nouvelles « places de marché ».
– Règlement 600/2014 du 15 mai 2014.
– Impacts sur les systèmes de traitement des ordres.
– Textes de niveau 3 : Guidelines RTS ITS de l’ESMA.
– Intégration des ID trader et ID client.
Principes de gouvernance entre producteurs et distributeurs.
La gestion des conflits d’intérêt :
Évolutions par rapport à MIFID 1.
– Éclaircissement sur la jurisprudence AMF.
Définir le conseil indépendant : statut du CIF.
– Rémunération des gérants et des CIF.
Nouvelles exigences en matière d’appropriateness.
– Contrôle de second niveau de la fonction commerciale.
Gestion sous mandat.
Impacts sur les relations producteurs/distributeurs.
Nouveautés fonction Compliance.
Mise en œuvre de la MIF
Conversations téléphoniques. Thématiques opérationnelles :
– Micro-structure de marchés.
Gouvernance des produits – Règles de transparence.
Évolution du périmètre des produits MIFID. – Obligations de reporting.
Liens avec les directives UCITS et AIFM. – Règles de négociation et de compensation.
Approbation des produits. – Accès aux plate-formes de négociation, MTF et OTF.
– Evolutions avec le règlement EMIR 2.
financiers
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Avoir une introduction générale sur les marchés financiers. • Documentation en PowerPoint.
• Connaître l’ensemble des actifs échangés sur les marchés. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Avoir une vision d’ensemble des marchés financiers et des risques • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
qui leur sont associés. et confirmer les acquis.
• Connaître l’organisation, la réglementation et les principaux acteurs
des marchés financiers. Connaissances requises
• Disposer du vocabulaire technique minimal sur les marchés • Connaissances financières et/ou comptables de base.
et les instruments financiers.
Participants
• Toute personne concernée par les marchés financiers et leur
fonctionnement et souhaitant s’initier à leurs mécanismes.
PROGRAMME
Introduction : présentation des marchés financiers Le marché des actions
Définition. Définition.
Marchés au comptant, à terme ferme, à terme optionnel. Les principaux types d‘actions.
Marchés de gré à gré, marchés réglementés. Les principaux marchés d’actions.
Produits dérivés. Organisation du marché actions.
Trading book et banking book. La directive MIF et les plates-formes de transactions.
Notion de position sur un actif financier. Conditions d’accès.
Les grandes catégories d’instruments financiers. Introduction en bourse.
Les infrastructures de marché. Marché secondaire des actions.
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PROGRAMME
Placement par des intermédiaires Les évolutions actuelles et futures :
– La digitalisation.
Le cadre juridique : SICAV, FCP.
– La blockchain.
Les acteurs du marché : sociétés de gestion, dépositaires.
– Les smarts contracts.
Définition des classes d’OPCVM.
Etc.
Les trackers (ou ETF).
de paiement
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Maîtriser les règles et les mécanismes des instruments de paiement • Documentation en PowerPoint.
SEPA, les SCT, les SDD. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Assimiler les règles de fonctionnement des autres opérations • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
de paiement (cartes ‘’CB’’, chèques, LCR). et confirmer les acquis.
PROGRAMME
Introduction – Le mandat TIP.
– Les centres bancaires, les échanges SDD TIP.
Les concepts et les instances SEPA.
– Le TIP RUBIS via Sepamail.
La Directive sur les Services de Paiement (DSP).
Le télérèglement SEPA :
– Mandat d’adhésion au télérèglement.
Le virement et le SEPA Crédit Transfert (SCT)
– Les échanges : SDD/B2B, SDD-CORE1.
Le SEPA Crédit Transfert (SCT) :
– Objectifs, champs d’application et acteurs. Les nouveaux protocoles d’échanges client banque
– La problématique BIC/IBAN et les règles d’échange.
EBICS.
– Les dates et délais.
SWIFTnet SAL.
– Les traitements d’exception : Rejet, retour,Recall, Answer recall.
– Le virement instantané (Instant payment : SCT Inst).
– Les données, attributs et messages ISO 20022.
La monétique et le SEPA Cards Framework (SCF)
– Les services additionnels (VAI-CAI, ACVS…). Le retrait DAB et le paiement CB.
– Les tables SEPA. 3D Secure.
Le SEPA Cards Framework (SCF).
Les prélèvements et le SEPA Direct Debit (SDD)
Le prélèvement SEPA (SDD) :
Les moyens de paiement non SEPA
– Objectifs, champs d’application et acteurs. L’effet de commerce (LCR) :
– Le mandat SDD papier et le mandat électronique. – La réglementation du droit commercial.
– Les types de SDD (COR1, B2B, One off). – Les règles bancaires.
– Les règles d’échange, les dates et les délais. Le chèque :
– Les traitements d’exception : révocations, demandes d’annulation, – La réglementation du droit civil.
reversements, refus, rejets, retours et remboursements. – L’image chèque et les règles de l’EIC.
– Les contestations. Les autres instruments de paiement nationaux (ODR/OCR).
– Les messages ISO 20022.
– Les services additionnels (AMI, CAI/VAI…). Synthèse
Le TIP S€PA : Tableau synthétique des moyens de paiement.
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PROGRAMME
Introduction – Le règlement.
STEP 2 :
Les normes Lamfalussy et le risque systémique.
– La participation et les opérations échangées.
– Les échanges STEP 2.
Rôles de SWIFT
– La compensation et les règlements.
Normalisation (BIC, messages FIN, Swiftnet).
Utilisation du réseau (Correspondant Banking, support systèmes de Les autres CSM
paiement).
Les autres systèmes de paiement SEPA (Equens…), l’interopérabilité.
Règlement des flux CB, Visa/Mastercard et des règlements titres (ESES).
Le système de paiement d’origine française : CORE
Le CSM Français : CORE-STET : TARGET 2 : système de règlement central
– La participation et les opérations échangées. de la BCE
– L’infrastructure CORE, les échanges et les HAJE(s).
– La compensation et le règlement. Les participants T2 et les comptes (RTGS, HAM).
– La gestion du CEPC. Les paiements, la fluidité des échanges et la journée T2.
La gestion du numéraire, de la liquidité bancaire et les facilités
Les systèmes de paiement de l’ABE permanentes (SF).
La Gestion Globale des Garanties (3G).
EURO 1 : Le déversement des systèmes exogènes.
– Les mécanismes d’échange et les limites de contreparties.
les fondamentaux
to
One
PROGRAMME
Rappels mathématiques TRI.
TEG, TAEG, taux de l’usure.
Les notations mathématiques.
TIE.
Les puissances.
Les progressions arithmétiques et géométriques.
Les dérivées.
Opérations du marché obligataire
Analyse des obligations à taux fixe (avis d’émission, taux de rendement,
Taux d’intérêts prix d’émission).
Particularités des obligations à taux révisable ou variable (cristallisation,
Les intérêts simples (définition, intérêts précomptés, postcomptés,
marge actuarielle).
escompte, exemple sur le marché monétaire).
Courbe de taux zéro.
Les intérêts composés (définition, taux périodiques proportionnels et
actuariels).
Les intérêts en continu.
Risque de taux
Problématique et approche mathématique.
Capitalisation et actualisation Notion de duration.
Notion de sensibilité.
Définition.
Modalités de calcul.
Tableau d’amortissement.
Applications à des instruments de couverture
Application aux barèmes de crédit à taux fixe (remboursements constants Options (présentation, utilisations, définitions des “Grecques”).
ou variables) et à taux variable. Swaps.
FRA.
Taux de rentabilité Cap.
Floor.
Concepts généraux.
Collar.
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One
to
One Mode d’emploi des systèmes
de règlement/livraison
et de paiement
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre l’organisation et le fonctionnement des systèmes • Documentation en PowerPoint.
de règlement/livraison et de paiement. • Alternance d’illustrations pratiques et d’exercices.
• Appréhender les acteurs de la chaîne titres et cash. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Intégrer les évolutions en cours et leurs conséquences et confirmer les acquis.
pour les banques.
• Maîtriser les risques opérationnels liés au traitement des opérations Connaissances requises
titres et cash. • Connaître les fondamentaux liés aux traitements titres
et cash par les back-offices.
Participants
• Opérateurs de middle et back-offices.
• Contrôleurs et auditeurs internes.
• MOA et gestionnaires de projet.
PROGRAMME
Acteurs de la chaîne titres et cash Architecture et principes de fonctionnement de Target 2.
CLS.
Organisation des marchés.
Correspondent banking.
Opérations traitées et filières de traitement : négociation, livraison
CORE.
et/ou règlement.
Projet SEPA.
Rôle des dépositaires centraux nationaux et internationaux.
Tour d’horizon des chambres de compensation, leurs missions :
– Missions traditionnelles dans les opérations achat/vente.
Les évolutions liées au niveau des techniques
– Compensation dans les opérations repo sur les souverains. numériques
Rôle des teneurs de compte conservateurs et plus spécifiquement des Principe de la Blockchain.
back et middle-offices titres dans le traitement des opérations. Les applications actuelles et futures de la blockchain dans les systèmes
de règlement-livraison.
Organisation et fonctionnement des systèmes Principaux problèmes et possibles solutions.
de règlement/livraison
Schéma récapitulatif du processus de règlement/livraison et différents
Risques opérationnels liés aux opérations
systèmes en place. titres et cash
Missions d’Euroclear France, dépositaire central national et gestionnaire Traitement et contrôle des opérations (exécution, livraison et règlement).
des systèmes de place : Rôle de SWIFT, garant de la sécurité des paiements.
– Missions traditionnelles. Confirmation des opérations.
– Gestion du collatéral repo triparty et plateforme EuroCGPlus. Rapprochements.
ESES, fonctionnement général et principales caractéristiques. Notions de cut-off time pour les paiements, gestion de la trésorerie.
Sous-systèmes d’ESES (contrôles de forme, SBI, SLAB, dénouement). Suspens de marché intraday et traitements.
Target 2 Securities, principales caractéristiques.
Acteurs de la chaîne titres aujourd’hui et demain, principaux
changements à venir.
caractéristiques, mécanismes
et utilisations
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les mécanismes et caractéristiques des marchés dérivés. • Documentation en PowerPoint.
• Présenter les produits dérivés fermes et optionnels. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender les utilisations des produits dérivés. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Présenter les évolutions réglementaires liées aux produits dérivés OTC. et confirmer les acquis.
• Savoir où trouver les sources d’information. • Fourniture de pricers.
PROGRAMME
Quelques généralités sur les marchés dérivés Panorama de quelques produits dérivés
Définition des produits dérivés. de taux
Principes de fonctionnement. FRA :
Différents marchés et règles de fonctionnement. – Caractéristiques.
Produits dérivés fermes vers produits dérivés conditionnels. – Utilisation.
Différence comptant versus terme. – Liquidation d’un FRA.
Produits de bilan versus produits de hors bilan. Futures court terme et long terme.
Dérivés vanille versus dérivés exotiques. Swaps de taux d’intérêt.
Les acteurs des marchés dérivés. Swaps de devises.
Les différentes stratégies de gestion et leurs objectifs. Asset swaps.
Caps, floors, collars.
Le fonctionnement des marchés dérivés fermes Swaptions.
Futures d’actifs financiers, de change et de commodities. Utilisation des dérivés de taux pour la protection contre les mouvements
Les futures : de taux.
– Définition.
– Standardisation. Panorama de quelques produits dérivés actions
– Livraison et dénouement. Options
– Rôle de la chambre de compensation. CFD.
– Fluctuations maximales autorisées, dépôt de garantie et appels de Total Return Swap
marge. Warrants.
Les forwards : Turbos.
– Définition.
– Collatéral management. Prise en compte des dérivés dans la comptabilité
Utilisation des futures et des forwards pour la couverture. Les dérivés dans le French GAAP.
Les dérivés dans les IFRS.
Le fonctionnement des marchés d’options
Définition. Les évolutions règlementaires liées aux produits
Mécanismes. dérivés OTC
Exemple du call.
Loi Dodd Frank Act.
In/at/out of the money.
EMIR.
Détermination du prix d’une option.
Utilisation des options pour la couverture.
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One
to
One Comprendre le rôle, les mécanismes,
les instruments et les infrastructures
des marchés financiers
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre le rôle et le fonctionnement des marchés financiers. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier les principaux intervenants sur les marchés financiers. • Alternance d’illustrations pratiques et d’exercices.
• Appréhender les différents instruments financiers. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Opérateurs de middle et back-offices. Connaissances requises
• Commerciaux et chargés de clientèle. • Avoir une connaissance théorique de la finance,
• Contrôleurs et auditeurs internes. des marchés et instruments financiers.
• Responsables en vue de la certification AMF.
PROGRAMME
Les marchés financiers Black pools.
Marché monétaire (marché des TCN et marché interbancaire).
Définition.
Marché des actions.
Finance directe versus finance indirecte.
Marché des obligations.
Quelques repères historiques à l’aune des principales crises financières.
Marché des OPCVM.
Marchés dérivés.
Les principaux intervenants sur les marchés
financiers Les évolutions réglementaires liées
Banque de Financement et d’Investissement (BFI) : aux marchés financiers
– Métiers au contact des clients.
Réorganisation des marchés financiers avec la directive MIFID 1 :
– Métiers au contact des marchés.
mise en place de nouvelles structures de négociation.
– Fonctions support.
MIF 2.
– Filière Risques.
Réglementations sur les produits dérivés OTC (EMIR, Dodd Frank Act).
Prestataires de services d’investissement.
La directive AIFMD (Alternative Investment Fund Managers Directive).
Brokers.
Post-marché :
– Middle-office.
La bourse
– Back-office. Modèles de marché.
L’infrastructure des marchés financiers : Intervenants.
– La compensation. Techniques de cotation.
– Le règlement livraison. Différents modes de transaction.
– Les conservateurs. Cotation.
– Les dépositaires centraux. Publication des cours.
Différents ordres de bourse.
Les différents marchés et instruments financiers Les évolutions actuelles et futures :
– La digitalisation.
Quelques rappels sur les marchés financiers.
– La blockchain.
Marchés organisés.
– Les smarts contracts.
Marchés réglementés.
– Les ICO.
Multi trading facilities.
– Etc.
Multilatéral Trading Facilities.
du back-office titres
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre le rôle et les missions du back-office titres. • Documentation en PowerPoint.
• Positionner le back-office titres dans la chaîne de traitement des titres. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Appréhender la réglementation associée au back-office-titres • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et à la tenue de compte conservation des titres financiers. et confirmer les acquis.
• Maîtriser la gestion opérationnelle des opérations par le back-office
titres. Connaissances requises
• Identifier les nouveaux défis du back-offices titres. • Connaître les fondamentaux liés aux marchés
et aux instruments financiers.
Participants
• Opérateurs de middle et back-offices.
• Contrôleurs et auditeurs internes.
• MOA et gestionnaires de projet.
• Responsables en vue de la certification AMF.
PROGRAMME
La place du back-office titres dans la chaîne Confirmation des opérations.
de traitement des titres Traitement des ordres de règlement-livraison.
Traitement des ordres cash.
Définition du post-marché et du back-office titres.
Gestion des OST.
Vue d’ensemble de l’environnement autour du back-office titres :
Fiscalité et récupération fiscale.
différents acteurs et leurs interactions.
Gestion des référentiels.
Traitement des suspens.
Le rôle et les missions du back-office titres Gestion du collatéral.
Les principales missions du back-office titres. Reportings client et services à valeur ajoutée.
L’organisation et les moyens du back-office titres.
Les autres missions du back-office titres (gestion du passif, service La réglementation associée au back-office titres
émetteur, etc.).
Réglementation-synthèse.
Les missions des autres fonctions autour du back-office titres.
Actualité réglementaire.
Les différents marchés et instruments financiers Les nouveaux défis du back-office titres
Quelques rappels sur les marchés financiers.
Les différents choix stratégiques (recentrage d’activité, sous-traitance,
Marché des actions.
externalisation, partenariat).
Marché des obligations et des titres de créances
Marchés des dérivés.
Marché des OPC.
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One
to
One Maîtriser les caractéristiques
et le fonctionnement des
Opérations Sur Titres (OST)
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Comprendre les principes généraux et de gestion des OST. • Documentation en PowerPoint.
• Appréhender les évolutions à venir sur les OST. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Étudier de façon pratique quelques OST. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
et confirmer les acquis.
Participants
• Opérateurs de middle-offices et back-offices. Connaissances requises
• Contrôleurs et auditeurs internes. • Avoir une connaissance théorique des opérations de
• MOA et gestionnaires de projet. back-offices.
PROGRAMME
Les OST Les contrats de cessions temporaires et les OST
Définition et objectifs des OST. Pension livrée.
Les différents intervenants dans une OST. Prêt de titres.
Les risques opérationnels associés aux OST. Gestion des OST dans le cadre de ces contrats.
Le service aux émetteurs.
Les OST d’office. Les évolutions à venir sur les OST
Les OST obligatoires à options. Projet HDR.
Les OST volontaires. Évolution des rôles.
Les paiements espèces Étude pratique de quelques OST
Le paiement des dividendes. Augmentations de capital :
Les intérêts sur obligations. – Attributions gratuites d’actions.
Les intérêts sur TCN. – DPS.
– Augmentations simultanées.
Les principes de gestion des OST Offres publiques :
Décision des OST. – OPA.
Annonces obligatoires. – OPE.
Obligations d’informations périodiques. – OPRA.
Formalités de publicité. – OPR.
Diffusion de l’information. Obligations convertibles en actions.
Prospectus et note d’information. TCN.
Notion d’ex date, de record date et de payment date.
PROGRAMME
Rappel des éléments de calcul des obligations – Risque de réinvestissement.
– Risque d’optionalité.
La notion de taux. Taux proportionnel, actuariel, continu. La notion
La couverture des risques d’un portefeuille obligataire :
d’actualisation.
– Couverture du risque de taux (risque systématique) par assets swap
Les courbes de taux.
structuré et non structuré, par future et par floor ; etc...
Les taux zéro coupon, et forward.
– Couverture du risque de défaut par CDS.
L’évaluation des obligations :
– Couverture du risque de réinvestissement par option de taux cap ou
– valeur de marché, taux actuariel (taux de rendement à l’échéance),
option obligataire.
taux au pair.
– Couverture contre une rentabilité insuffisante : les produits structurés.
Les courbes de taux, les taux sans risques.
La courbe des taux zéro-coupon.
Les stratégies de gestion dynamique
Analyse systématique et Sensibilité des obligations Facteurs affectant le rendement d’un portefeuille obligataire :
changements dans les niveaux des taux d’intérêt, dans la forme de la
La sensibilité mesure du risque systématique :
courbe des taux, dans les spreads entre deux ou plusieurs secteurs du
– Sensibilité des produits de taux (DV01-dollar value-, convexité,
marché obligataire, dans les caractéristiques spécifiques des obligations.
duration modifiée).
Les stratégies basées sur les anticipations de taux : swap d’anticipation de taux.
– Sensibilité par time buckets (périodes).
Approche de modèles de taux.
Sensibilité, duration, convexité et rendement d’un portefeuille obligataire
Les stratégies basées sur les mouvements des courbes de taux d’intérêt :
d’un portefeuille obligataire
– Types de déplacements de la courbe des taux (twist et butterfly ; sans
mouvement).
Les produits obligatoires
– Stratégies bullets, barbells et ladders.
Caractéristiques des produits obligataire : cours, coupon, maturité , date Les stratégies basées sur les écarts de taux.
de remboursement, différence entre le prix coupon couru inclus (gross Les stratégies basées sur les caractéristiques propres de chaque obligation.
price) et le prix pied de coupon (clean price), etc..
Les produits obligataires : Les stratégies de gestion passives
– Obligations à taux fixe, variables (FRN), à coupon zéro.
La gestion indicielle d’un portefeuille obligataire.
– Obligations convertibles.
L’immunisation des portefeuilles sous une ou plusieurs contraintes.
– Obligations callables.
Les différentes stratégies de gestion passive.
– Obligations corporate et obligations d’État : OAT, BTAN, Bund, Gilts, Tbond.
Re-balancement des portefeuilles immunisés.
– Obligations indexées.
L’immunisation conditionnelle.
– Obligations issues de la titrisation.
Immunisation multi-périodique.
– Obligations sécurisées (covert bonds).
Appariement des flux d’encaisse.
Origination obligataire :
– Syndication.
– Adjudication.
Les stratégies hybrides
– Rang des obligations : senior, mezzanine, junior, subordonnée etc. Combinaisons des deux types de stratégies.
– Notations.
–… Construction et suivi d’un portefeuille
Les objectifs du gestionnaire obligataire :
Objectifs, risques et couverture des risques – Les différends cadres de la gestion obligataire.
de la gestion obligataire – Liaisons entre différends cadres et stratégie de gestion.
Les objectifs du gestionnaire obligataire : Choix des obligations à mettre en portefeuille.
– Les différends objectifs de la gestion obligataire. Gestion par la duration.
Les risques de la gestion obligataire : Suivi du rendement.
– Risque systématique ou risque de taux. L’utilisation d’indicateur.
– Risque de défaut. Suivi de la performance.
– Risque de liquidité. Var d’un portefeuille obligataire.
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One
to
One Technique de la titrisation
Objectif général Participants
• Présenter les principes de bases relatifs à la titrisation. • Directeurs financiers, trésoriers, gestionnaires d’actifs, front-office,
• Détailler les objectifs de la titrisation : côté cédant et côté investisseur. back-office, auditeurs, contrôleurs de risques.
• Présenter les différents acteurs de la titrisation.
• Faire prendre conscience des paramètres d’une titrisation et en Supports et moyens pédagogiques
particulier du tranching. • Documentation en PowerPoint.
• Identifier les principaux risques liés à la titrisation et les techniques • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
de réduction des risques associées. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et confirmer
• Donner une méthodologie d’approche des produits de titrisation les acquis.
et de leur évaluation. • Sites Internet.
• Permettre de trouver les sources d’information sur les produits de titrisation. • Cahier d’exercices Excel.
• Permettre une première évaluation de la structure et des risques • Utilisation de pricers fournis.
d’un produit de titrisation. • Documentation sur titrisations réelles.
Connaissances requises
• Pas de connaissance particulière.
PROGRAMME
Les principes de base de la titrisation Analyse de la documentation.
Évaluation des obligations issues de la titrisation.
Les notions de base de la titrisation.
Utilisation de la Wal.
Les mots clés de la titrisation.
Aspect du tranching.
Le processus de titrisation.
Émission et placement.
Les différentes formes de titrisation (RMBS, CDO, CDO², ABS, etc.) et les
Aspects de l’origination obligataire.
actifs sous-jacents.
Collatéraux.
Les avantages et limites de la titrisation.
Les techniques de garanties liées à la titrisation :
Les nouveaux domaines de la titrisation : commerce international,
– Les techniques internes (subordination, surdimensionnement,
financement des PME, etc.
fonds de réserve, de réserve de première perte, clauses spéciales
La titrisation versus les autres sources de financement : augmentation de
d’amortissement, garantie du cédant, etc.).
capital, émission d’obligations, obligations sécurisées (covered bonds), etc.
– Les techniques externes (garantie bancaire, nantissement, contrats
Quelques chiffres clés.
d’assurance, utilisation des produits dérivés, rehaussement du crédit
etc.).
Les objectifs de la titrisation
Objectifs du recours à la titrisation coté cédant.
Objectifs pour les investisseurs.
Titrisation, reporting et normes prudentielles
Structure juridique et financière d’une opération. La titrisation STS (Simple, Transparente, standardisée) ou STD en anglais.
Notion de risques de crédit Bâle II et III.
Les risques de la titrisation pour chaque acteur Bâle II et III : prise en compte de la titrisation et de re-titrisation dans la
CRD IV et la CRR et conséquences sur les ratios.
Les acteurs :
La nouvelle titrisation : La titrisation STS/STC : Simple, Transparente,
– L’arrangeur.
Standardisée et ses conséquences.
– Le cédant.
Le Règlement Du Parlement Européen et du Conseil.
– La société de gestion.
Le reporting réglementaire concernant la titrisation :
– Le dépositaire.
– Les états COREP :
– Les agences de notation.
• Reforme COREP, déclarations des expositions en matière de titrisation.
– Les sociétés de rehaussement de crédit.
• États CRS ECSA, CR SEC IRB, CR SEC DETAILS.
– L’agent payeur.
– Les états FINREP.
– Les autorités de tutelle.
Le règlement (UE) 2015/534 de la BCE.
– Les investisseurs.
– Le système SURFI.
Les risques liés pour chaque acteur.
Liens entre les reporting réglementaires.
La structuration d’une titrisation sur un exemple
Titrisation et normes comptables
pratique
Titrisation et normes IFRS.
Exemple réel d’une titrisation (ABS) :
Titrisation et French GAAP.
– Mise en place d’une SPV.
Les règles de déconsolidation.
– Émission d’obligations titrisées.
Documentation obligatoire.
PROGRAMME
Impact de la titrisation sur l’organisation Pratique de la couverture d’une titrisation
administrative Recours aux CDS (Credit Defaut Swap).
Les principaux services impactés et les tâches attribuées à ces services : Définition et mécanismes des CDS.
– Département structuration. Évaluation du spread de taux de la SPV.
– Département juridique. La couverture du risque de spread de la SPV par les swaps.
– Département informatique. La gestion du collatéral du swap.
– Direction financière.
– Département recouvrement. Exercice pratique (Cas) montage d’une titrisation
Montage d’une titrisation.
Les risques liés à la titrisation et les techniques
de réduction des risques associées Titrisation synthétique
Les risques associés aux opérations de titrisation au niveau de la SPV : Immunisation du risque de crédit d’un portefeuille.
– Risque de remboursement anticipé. Création d’un CDO à partir de CDS.
– Risque de défaillance des débiteurs.
– Risque de perturbation des flux financiers.
– Risque de détérioration de la notation.
– Risque de défaillance des intervenants.
– Risque réglementaire.
– Risque de corrélation.
– Etc.
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One
to
One Produits de taux fermes et dérivés
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Présenter les produits et les marchés de taux. • Documentation en PowerPoint.
• Savoir reconnaître les principaux produits de taux. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Savoir identifier les produits de taux correspondant à un besoin donné. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
• Apprendre les principes d’évaluation et de valorisation des produits et confirmer les acquis.
de taux. • Cahier d’exercices Excel.
• Identifier les principaux risques liés à la gestion des produits de taux • Exercice sur pricer fourni.
et les techniques de réduction des risques associées. • Sites Internet.
• Donner une méthodologie d’approche des produits de taux.
• Permettre de trouver les sources d’information sur les produits de taux. Connaissances requises
• Acquérir les notions de la gestion obligataire. • Pas de connaissance particulière.
Participants
• Trésoriers, gestionnaires d’actifs banque et assurances, gestionnaires
ALM, front-office, back-office, auditeurs, contrôleurs et gestionnaires de
risques, direction financière corporate.
PROGRAMME
Les taux – La plateforme Euro General Collateral Plus (Euro GC+).
– Les BTAN (Bon du Trésor à Intérêt annuel.
La notion de taux. Taux proportionnel, actuariel, continu. La notion
Les produits intermédiaires :
d’actualisation.
– EMTN.
Les courbes de taux.
– Les produits structurés à base d’EMTN.
Les taux zéro-coupon et forward.
– Euro-Commercial Paper (ECP).
Notions des modèles de taux.
Les produits obligataires :
– Obligations à taux fixe, variables (FRN), à coupon zéro.
Éléments de calcul des produits de taux et Bases
– Obligations convertibles.
de calcul et conventions – Obligations callables.
L’évaluation et pricing des obligations : valeur de marché, taux actuariel – Obligations corporate et obligations d’État : OAT, BTAN, Bund, Gilts,
(taux de rendement à l’échéance), taux au pair. Tbond.
Base exact/360 money market. – Obligations indexées.
Base exact/exact actuarielle. – Les obligations issues de la titrisation.
Normes AFB et ISDA. – Obligations.
Base 30/360 bond basis. – Les ESNI (Euro Secured Notes Issuer).
Base Exact/365. Les marchés obligataires.
Conventions de dates de paiement : Le marché des Esni.
– Preceeding, following et modified following.
Les produits dérivés fermes de taux
La sensibilité des produits de taux Les FRA (Forward Rate Agreement).
Sensibilité des produits de taux (DV01, convexité, duration modifiée). Les futures de taux.
Sensibilité par time buckets (périodes). Les CFD de taux.
Sensibilité et rentabilité d’un portefeuille de taux. Taux forward et taux futures.
Facteur de concordance et obligation moins chère à livrer.
Les produits comptant de taux fermes :
les produits monétaires et obligataires Les produits dérivés optionnels de taux
Caractéristiques des produits : cours, coupon, maturité, date de Rappel des principales caractéristiques des options : les grecques.
remboursement, différence entre le prix coupon couru inclus (gross price) Les options sur obligations.
et le prix pied de coupon (Clean price), etc. Les caps et les floors :
Les produits monétaires : – Cap digital ou binaire.
– BTF, Tbill. – Cap spread, à degré, contingent etc.
– Titres de Créance Négociables (TCN). – Autres options de seconde génération.
– Titres à court terme (anciens certificats de dépôts et les billets de Les options sur swap : les swaptions.
trésorerie). Principe de hedging (Couverture des options de taux).
– Les billets à moyen terme négociables (BMTN). Les surfaces de volatilité.
– Le label STEP. Les stratégies optionnelles.
– Le marché des titres négociables à court terme (NEU CP -Negotiable
EUropean Commercial Paper) et à moyen terme (NEU MTN -Negotiable L’organisation des marchés des taux
EUropean Medium Term Note).
Acteurs et intervenants (investisseurs, émetteurs).
PROGRAMME
Marché OTC. Couverture des risques de défaut par CDS.
Marchés régulés. Réduction du risque de contrepartie.
Libor, Euribor, Eonia.
Les REPO et les tri parti repo. Les produits structurés de taux
Plateformes. Problématique des structurés de taux : besoins et rationalité.
Régulation : ISDA, organismes de compensation, etc. Exemples : EMTN cappé, corridor, steepener, corridor, obligations
synthétiques et Credit Linked Notes.
Les risques liés aux portefeuilles de taux
Risque de révision de taux. Comptabilisation des produits de taux
Risque de déformation de la courbe de taux. Comptabilisation selon french GAAP.
Risque de base. Comptabilisation selon IFRS.
Risque de clauses optionnelles.
Risque de liquidité. Approche de la gestion obligataire
Risque de contrepartie.
Risque de défaut. Facteurs affectant la gestion des obligations.
Les stratégies (mouvements et déplacements des courbes de taux) :
Les impasses de taux – Stratégies liées aux déplacements de la courbe des taux (bullet, barbell,
ladder).
Définition. – Stratégies basées sur les spreads.
Analyse et couverture des impasses de taux. – Stratégies basées sur les caractéristiques des obligations.
Couverture du risque de base. – Stratégies passives.
Couverture des portefeuilles de taux
Couverture des risques de taux :
– Par FRA.
– Par options.
– Par futures.
– Par swaps.
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One
to
One Swaps de taux
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Donner aux participants les éléments de base nécessaires à la • Documentation en PowerPoint.
compréhension des mécanismes des swaps de taux. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Donner une méthodologie d’approche des swaps et de leur évaluation. • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser et
• Permettre de trouver les sources d’information sur les swaps de taux. confirmer les acquis.
• Permettre une première évaluation de la structure et des risques d’un • Cahier Excel.
swap de taux. • Sites Internet.
• Donner une approche pratique de la construction de swaps. • Fourniture de pricers.
• Donner les principes de l’utilisation des swaps pour la couverture, la • Documentation complémentaire : ISDA, accord-cadre FBF,
gestion d’actifs et de dettes. etc.
PROGRAMME
Rappel sur les taux Options sur taux et sur swap
Rappel : éléments de calcul actuariels, taux et portage, taux à coupon Rappels sur les options.
zéro, forward et futures, conventions monétaires. Les grecques.
Les options vanilles : caps et caplets et floors et floorlet. Caption et floortion.
Les taux et les courbes de taux Pricing des caps et floors.
Les taux : construction des courbes de taux (courbe zéro-coupon, Les options exotiques de deuxièmes générations : option à barrières,
courbes swaps, taux forward…). digitales, sur moyenne.
Introduction aux modèles de taux. Les swaptions vanilles et les swaptions exotiques (bermudiennes,
compound option).
Les swaps de taux
Gestion des swaps
Swap de taux : besoins, justification et principes.
Les différentes sortes de swap de taux : swap classique, le basis swap, L’évaluation des risques en matière de swaps :
amortizing swap, swap zéro coupon, swap différé, swap à maturité – Risque de taux et risque de spread :
constante (CMS), cross currency swap, swap de spread, OIS, swap • Sensibilité des swaps au taux (DV01, convexité, duration).
quanto, les swaps annulables etc. • Sensibilité par time buckets (échéances).
– Le risque de liquidité.
Construction pratique des swaps – Le risque de contrepartie.
Collatérisation et gestion du collatéral des swaps.
Construction pratique de swap : choix de l’indice variable, date de Gestion d’un book de swaps.
commencement, choix de la base de calcul (convention), date de
détermination du taux variable, fréquence de refixation du taux variable, Couverture des risques de swaps
choix du jour ouvré (following et preceeding), ajustement des périodes
d’application, etc. Couverture du risque de taux.
Cadre juridique et conceptuel : Les outils disponibles (futures et futures sur euribor et libor, options,
– Master agreement ISDA et accord cadre FBF. obligations, etc.).
– ISDA Schedule. Couverture et gestion du risque de liquidité (échéancier, les roller-
– Credit support annex (CSA). coaster swaps, etc.).
Annulation et assignation des swaps. Couverture de risque de contrepartie.
Valorisation des swaps de taux. Rôle des chambres de compensation pour les swaps standards.
Taux de swap forward.
Calcul du discount factor. Les swaps structurés et dans les structures
Swaps et EMTN, snowball, subzidized swap, etc.
Analyse pratique de swaps
Issue swap de taux. Les swaps de taux dans la gestion de trésorerie,
Swap de courbe. d’actifs et de dettes
Asset swap. Utilisation des swaps dans la gestion de trésorerie d’une
banque.
PROGRAMME
Utilisation des swaps dans la gestion obligataire pour le rendement Les swaps, environnement et évolution
(par exemple steepener, issue swap de taux (sous forme d’exercice) et de la régulation
couverture).
Les intervenants.
Utilisation des swaps dans la gestion de la dette par issue swap.
Les swaps et le marché OTC.
Les SDRs (Les swaps data repositories).
Comptabilisation des swaps de taux Rôle de l’ISDA, et autres organismes.
La comptabilisation des swaps selon les normes IFRS. Quels changements entraînent EMIR et la loi Dodd Franck ?
Comptabilisation selon french GAAP :
– Règlement N° 2015 -05 Du 2 Juillet 2015.
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One
to
One Gestion des risques de positions
de taux (prêts, investissements,
dettes ou dérivés) et couverture
contre le risque de taux
Objectif général Supports et moyens pédagogiques
• Présenter les principes de bases relatifs à la gestion des risques de taux. • Documentation en PowerPoint.
• Maîtriser les méthodes d’évaluation des risques des produits de taux. • Alternance d’illustrations et d’exercices pratiques.
• Maîtriser les techniques de couvertures des risques de taux pour • Exercices sous Excel.
chaque type de produit. • Exercices sous pricer fournis.
• Disposer des éléments de réponses pour la clientèle particulièrement • QCU, synthèses, questions/réponses pour vérifier, réviser
institutionnelle. et confirmer les acquis.
• Permettre de trouver les sources d’information. • Pricers.
• Note : cette formation a été particulièrement conçue pour résoudre les • Sites Internet.
problèmes de variations de taux dans le contexte actuel.
Connaissances requises
Participants • Idéalement connaissance des produits de taux,
• Gestionnaires de risques, gestionnaires d’actifs, back et middle-office, connaissance des options.
sales, trésoriers, directions financières d’entreprises.
PROGRAMME
Rappel des éléments de calculs financiers Analyse et couverture des positions FRA
indispensables a la gestion de taux et forward-forward
Produits de taux et leurs caractéristiques : FRA, swaps, obligations, TCN, Valorisation, pricing et typologie des risques des FRA.
futures, dépôts, FRN, options de taux. Analyse d’une position en FRA.
Taux actuariels (TRE taux de rendement à l’échéance), taux continus, Arbitrage FRA/forward-forward.
calculs des taux zéro coupon, calcul des taux forward.
Calcul de la valeur de marché d’une obligation, taux actuariel. Pricing et gestion de position de swaps
La WAL (Weighted Average Life). Rappel sur les swaps de taux.
Sensibilité des produits de taux : duration et convexité. Valorisation des swaps par méthode obligataire et par taux forward.
Delta, gamma et DV01. Sensibilité des positions swaps par échéances (time buckets).
Duration d’un portefeuille de taux. Évaluation des risques.
Convexité d’un portefeuille de taux. Utilisation de la VAR.
Rentabilité d’un portefeuille de taux. Vecteurs de sensibilité.
Couverture mono et multi actorielles, couverture « Var Best Hedge ».
Taux et courbes de taux. Impact sur position Couverture par time buckets (barbéllisation et agrégation de l’échéancier).
de taux Analyse d’une position obligataire : risques et P/L.
Les taux du marché : taux des swaps, taux des CMS, taux zéro coupon, Calculs des paramètres d’une position obligataire (greeks).
taux repo. Couverture d’une position obligataire par un asset swap :
Évolution des courbes de taux : déplacements parallèles (shift) et non – Utilisation du spread apparent (swap non structuré).
parallèles (twist et butterfly). – Swap structuré.
Trading directionnel et trading d’arbitrage. – Stratégies Barbells versus Bullets.
Modèle de taux. – Biais de convexité.
Analyse technique.
Principes généraux de pricing et de couverture des portefeuilles de Analyse et couverture de portefeuille obligataire
produits de taux. Rappel des notions de la veille.
Analyse en composante principales.
Analyse du risque sur une position ferme. Analyse et couverture de gap de taux
Gap de taux : par les produits dérivés
– Méthode des impasses.
– Méthode de la duration. Utilisation des swaps de taux standards.
– Méthode de la simulation. Utilisation de swaps hybrides.
Utilisation des options.
PROGRAMME
Analyse et couverture d’un portefeuille de dettes – La gestion du gamma de taux : principe et pratique.
par produits dérivés de taux et structures – L’analyse en composantes principales (ACP).
– Smile et nappes de volatilité.
Utilisation des produits dérivés pour couvrir un risque de taux à la hausse
La gestion du Véga : principe et pratique.
ou profiter d’une baisse de taux.
Structuration de la dette en utilisant des structures classiques, steepener,
boule de neige, obligations callables, etc.
Couverture de positions de taux et synthèse
de l’utilisation des instruments de couverture
Valorisation, sensibilité et couverture d’un book Utilisation de l’ensemble de dérivés de taux pour la protection de position
d’options de taux de taux en fonction des courbes de taux, de l’appétence au risque
et du coût : Cette partie sera essentiellement pratique.
Rappel des caractéristiques (greeks) des options de taux : cap et floor,
swaptions etc.
Pricing d’options de taux : option sur obligations, cap et floor, swaption,
Couverture par échéances : stripping et stacking
etc. à partir des futures
Sensibilité du book en fonction des greeks. Techniques de couvertures par stripping et/ou stacking à partir d’un
Analyse du risque et gestion d’un portefeuille d’options de taux : exercice pratique.
– Le delta : principe et pratique.
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202
Informations client
108 Application des IFRS dans l’assurance
2 jours l 1450 € :
Établissement
Nom : .......................................................................................
110 Comptabilité d’assurance Prénom :....................................................................................
Fonction
2 jours 1450 €
l : ...................................................................................................................................................................................
Téléphone : ..............................................Télécopie : ............................................. e-mail : ........................................................
111 Adresse
Impacts:.....................................................................................................................................................................................
des IFRS sur l’analyse
finanacière des corporates
...................................................................................................................................................................................................
NOUVEAUTÉ 2 jours l 1450 €
Nom de la personne à indiquer sur la convention de formation, si différente : .................................................................................
108 Personne
Application à quides IFRS dans
la facture l’assurance
doit être adressée : ...............................................................................................................................
2 jours l 1450 €
110 Comptabilité d’assurance
Formation(s)
2 jours l 1450 €
choisie(s) et nom(s) du (des) participant(s)
111 Formations
Impacts des IFRS sur l’analyse Participants Dates Montants
2 jours l 1450 €
...................................................................... ........................................................ .................... ...................................
108 ......................................................................
Application des IFRS dans l’assurance ........................................................ .................... ...................................
......................................................................
cation des IFRS dans l’ass ........................................................ .................... ...................................
2 jours l 1450 €
...................................................................... ........................................................ .................... ...................................
Joindre obligatoirement
110 Comptabilité d’assurance pour chaque personne inscrite une fiche individuelle de renseignements.
2 jours l 1450 €
111 Ouvrages desur
Impacts des IFRS nos éditions
l’analyse (optionnel)
finanacière des corporates
NOUVEAUTÉ 2 jours l 1450 €
H.T après remise de 25 % Qté Montant
Facturation
Une facture acquittée sera adressée à l’établissement, dès réception du paiement, sur demande.
Les frais de repas sont inclus dans le prix de nos formations.
Règlement
Par le client à réception de la facture ou d’un devis Par un organisme paritaire collecteur agréé (OPCA)
Par virement (RIB communiqué sur demande) Nom de l’organisme paritaire : .........................................
Par chèque ( à l’ordre de AFGES FORMATION) Contact : .........................................................................
Adresse : ........................................................................
Code postal : ................. Ville : .......................................
Téléphone : .....................................................................
Les annulations doivent nous être communiquées par écrit au moins 8 jours avant la date de la formation.
Dans le cas contraire, les frais de participation resteront dus en totalité et devront être payés.
Intitulé : ......................................................................................................................................................................................
Date(s) : .....................................................................................................................................................................................
Intitulé : ......................................................................................................................................................................................
Date(s) : .....................................................................................................................................................................................
Intitulé : ......................................................................................................................................................................................
Date(s) : .....................................................................................................................................................................................
Intitulé : ......................................................................................................................................................................................
Date(s) : .....................................................................................................................................................................................
Intitulé : ......................................................................................................................................................................................
Date(s) : .....................................................................................................................................................................................
Coordonnées
Informations client
Établissement : ...........................................................................................................................................................................
Contact : ……………………….........…………….....….. Fonction : ......................................................................................
e-mail : ............................................................................................. Téléphone : .......................................................................
Télécopie : ..................................................................................................................................................................................
Adresse : ....................................................................................................................................................................................
Coordonnées de facturation si différentes : ...................................................................................................................................
...................................................................................................................................................................................................
Personne à indiquer sur la convention, si différente : .....................................................................................................................
Informations participant
Joindre obligatoirement pour chaque personne inscrite une fiche individuelle de renseignements. Les annulations doivent nous être communiquées par écrit au moins 8 jours avant la date de la formation.
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Informations client
Établissement : ...........................................................................................................................................................................
Contact : ……………………….........…………….....….. Fonction : ......................................................................................
e-mail : ............................................................................................. Téléphone : .......................................................................
Télécopie : ..................................................................................................................................................................................
Adresse : ....................................................................................................................................................................................
Coordonnées de facturation si différentes : ...................................................................................................................................
...................................................................................................................................................................................................
Personne à indiquer sur la convention, si différente : .....................................................................................................................
Informations participant
Tarifs
• Cycle complet de 18 jours y compris l’examen : 10 867 € HT dont 1 000 € de frais d’examen exonérés de TVA.
• Révision, préparation, entraînement et passage de l’examen : 3 247 € HT dont 1 000 € de frais d’examen exonérés de TVA.
• Parcours personnalisé : révision, préparation, entraînement et examen : 3 247 € HT + formations au choix au prix catalogue
avec une réduction de 10 %.
Facturation Règlement Organisme collecteur
Une facture acquitée sera adressée À réception de la facture. Coordonnées de l’OPCA :
à l’établissement, à réception du Paiement par le client Nom de l’organisme : .................................................
paiement, sur demande. Par virement Par chèque
Les frais de repas sont inclus dans le Adresse : .....................................................................
prix de nos formations. Paiement par un organisme Code postal : ................................................................
Seules les inscriptions payées sont paritaire collecteur agréé (OPCA), Ville : ............................................................................
considérées comme définitives. remplir les coordonnées ci-contre Téléphone : .................................................................
Contact : .................................................................
Joindre obligatoirement pour chaque personne inscrite une fiche individuelle de renseignements. Les annulations doivent nous être communiquées par écrit au moins 8 jours avant la date de la formation. 207
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