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Devin Matthews

Professeur Thompson
French 3090
17 Avril 2015
Commentaire compose
Le poète Yves Bonnefoy était né en 1923 en France. Ayant étudié les mathématiques, la

philosophie et histoire de l'art, Bonnefoy est un érudit complète. Ses oeuvres poétiques

examinent souvent les thèmes de la présence, la quête, du réel, le rêve, et la mythologie, et

souvent suggèrent l'influence du surréalisme. Son style poètique n'est pas très traditionnel; il

utilise souvent les vers libres, poésie en prose, et une irregularité métrique. Son poème "La

maison natale" etait publié en 2001 dans sa collection de poèmes "Les Planches courbes,” et est

une oeuvre onirique, nostalgique, et mélancolique, réfléchissant à la mémoire et le passage du

temps.

Le poème commence avec "Je m'éveillais, c'était la maison natale," une phrase indiquant

que le poème va réfléchir à les memoirs du narrateur. Les descriptions qui suivre suggère

l'isolement et la nostalgie, et aussi le désir de échapper cette situation. Par exemple, la

description du paysage et la maison décrire la solitude et l'isolement du narrateur avec les mots

“Pas un oiseau, le vent seul à ouvrir et fermer la vague.” Son désir d’échappe est symbolisé

quand il tournait la poignée mais ne peut pas ouvrir la porte; il doit rester, écoutant les rires des

autres.

Le temps du poème est vague; peut-être il reste dans un rêve, ou ses memoires, mais

probablement un mélange des deux. Les images du poème sont vagues et un peu bizarres, mais

aussi clairs et ordinaires, symbolisant les deux domaines des rêves et des memoires. Les

quatrième à sixième et neuvième à douzième lignes sont onirique et mysterieux (“les collines
cachaient un feu Qui ailleurs consumait un univers,” et “la sans-visage…”), contrairement à les

lignes 2-3 et 7-8 qui sont des descriptions littérals et banals, décrivant les choses très ordinaires.

Ces lignes soulignent la juxstaposition des rêves et des memoires, des choses mystiques et

insipides.

Certainement, ce poème évoque notre envie de retourner à le passé et aussi le désir d'être

ailleurs dans le futur; le narrateur peut souhaiter qu'il est dans le passé ou la futur, mais les deux

va être inaccessible toujours. Cette thème est évident dans la phrase, "L'odeur de l'horizon de

toutes parts, Cendre, comme si les collines cachaient un feu Qui ailleurs consumait un univers."

Cette phrase exprime que le temps est constamment consommé, de sorte que l'univers de notre

passé est détruit et existe seulement dans des volutes de mémoire et la perception juste au-delà de

nos sens.

De plus, le souhait d'être ailleurs dans le futur est évident dans la fin du poème, où le

narratuer revient sur le sentiment de souhaitant d'avoir le bonheur d'autres: “J’entendais presque

les rumeurs de l’autre rive, Ces rires des enfants dans l’herbe haute, Ces jeux des autres, à jamais

les autres, dans leur joie.” Le poète se souvient son envie d’avoir quelque chose inaccessible.

“La maison natale,” par Yves Bonnefoy, est un poème qui examine les contrasts entre les

rêves et les memoires concrétes, le passage du temps, et la nostalgie de le passé et l'avenir. Un

thème populaire, ces sont des sentiments qui tout le monde connaît au cours de leur vie. “La

maison natale” évoque ce thème dans une manière unique et bizarre, mélangeant le réel et le

surréel, en créant un aperçu vivant d’émotion humaine.

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