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Introduction :
Retour sur le très bref état de grâce dans lequel s’est trouvé hollande
Électeurs de gauches déçus sur le plan du libérliams culturel (et loi travail)
Autres explications : jamais l’accès aux infos politiques n’a été aussi grand +
engagement des citoyens grandit + taux de diplôme énorme. 1968? 45% des
adultes pas de diplomes, aujourd’hui moins 20%.
Plan du bouquin : s’appuie sur les élections régionales de décembre 2015 parce
« dernier rdv du cycle d’élection intermédiaire qui a rythmé la présidence
d’hollande »
s. Un contexte lourd, marqué par le souvenir des attentats (Vincent Tiberj), par l’organisation
de la COP21 (Simon Persico), par la persistance de la défiance (Emiliano Grossman), mais
aussi par la poursuite timide de la féminisation de compétition politique française (Anja
Durovic).
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de l’État (Adrien Degeorges), le poids de la morale traditionnelle (Léa Morabito, Manon
Réguer-Petit), la problématique de la « France périphérique » (Joël Gombin) et les
polarisations suscitées par la poussée du Front national (Raul Magni-Berton).
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Paradoxe : parti écolo qui galère VS dynamisme du mouvement social (BASILE sachant que
pour justifier le dynamisme du mouvement social il parle du succès des AMAP PTDR et le
film de Cyril Dion c trop pour moi ça c de la sociologie de combat)
Fais un rapide historique (enfin des 3 dernières années) . EELV tensionns entre participation
au débat
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Pourquoi cette méfiance ? : euh bah il répond pas il dit juste « la démocratie est très
soutenue » ok super
CHP4/ hommes et femmes face au politique Anja Durovic ct ma prof de socio elle est trop
chou espérons que son chapitre relève un peu les autres
Élections régionales de 2015 : parité, donc tournant vu que les meufs prennent plus de place
Interrogationn : est ce que homme et femme se disaitnguent encore dans leur rapport à la
politique?
Enquête britannique (Hilde Coffé, « Women Stay Local, Men Go National and Global?
Differences in Political Interest », Sex Roles, 69, p. 323-338, 2013), femmes s’interessent
plus au local et les hommes plus à l’international
Les femmes votent autant que ls hommes, mais s’engagent moins (nonnnnnnn?jen tombe de
ma chaise)
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14 % des femmes font partie du noyau dur des personnes « très » participatives contre 20 %
des hommes, soit un écart de 6 points
Conclusion: non
Démobilisation de la gauche : c dur à mesurer en tant que chercheur car le non vite est un
« comportement socialement peu désirable » donc gens veulent pas trop avouer
Milieux populaires votent pas ok oui
Banlieues
ALORS que (attention c vite fait interessant)
Milieux ouvriers nord et de l’est favorables à la droite radicale genre haut de franec,
participation résiste assez bien
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Valeurs de la droite : la plus commune : moindre appétence pour la redistribution /libéralisme
éconmique/ xénophobie / conservatisme
Si nous pouvions imaginer des filiations entre les trois droites décrites par René Rémond et la
typologie des électorats de droite présentée ici, il faudrait surtout insister sur les évolutions
profondes de cette famille politique. Le cœur de l’électorat de droite se retrouve autour de
positions favorables au marché sur le plan économique, avec une appréciation modérée de la
redistribution et des réserves sur la question migratoire. C’est une droite fondamentalement
libérale mais dont la caractéristique reste une fidélité modérée aux partis de la droite de
gouvernement. Les plus fidèles sont à trouver chez les plus conservateurs, notamment du
point de vue des mœurs, et dans l’électorat catholique traditionnel. En revanche,
l’euroscepticisme ne fait plus partie de ses traits distinctifs. Ainsi, si l’électorat potentiel de la
droite semble bien majoritaire aujourd’hui en France, sa mobilisation lors d’un vote reste
tributaire de la capacité des partis et des candidats à concilier des demandes apparemment
opposées.
Malgré une progeession, le niveau de suciez du FN garde des structures sociales stables
Base
: populaire chez les ouvriers crise et chômage
Mais premier parti lors des régionales ; abstention
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DANS LELECTORAT FN, retour du gendre gap
Ce sont les ouvriers non précaires qui votent FN avec un minimum de qualification et peur du
déclassement alors qu’ont galère à monter l’échelle social
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-> incompétence des partis : écolos et LR en meilleure muse de capitaliser sur cet effet
électoral
TRES IMPORTANT :Depuis l’ascension du Front national au début des années 1980, la
littérature en science politique s’est attachée à expliquer ce phénomène par plusieurs
facteurs : les crises économiques, l’immigration ou la mondialisation. Ni la demande d’État
ni les craintes sur l’immigration ou la mondialisation ne semblent pourtant à elles seules
constituer des explications suffisantes des évolutions du comportement électoral des Français
dans la période récente. Ces explications omettent les transfor-mations profondes du rapport
au pouvoir étatique des Français – transformations entamées depuis plusieurs décennies.
Variable intermédiaire clé dans la psychologie des électeurs, le rapport au pouvoir étatique
des Français est venu systématiquement filtrer l’expression de leurs demandes (demande
sociale, demande d’autorité). Au-delà de l’apathie politique, du désintérêt, voire de
l’ignorance dont on tend trop souvent à les accabler, de nombreux citoyens sont simplement
devenus
sceptiques vis-
à-vis des
capacités de
l’État (national)
à œuvrer pour
le bien commun
et à créer du
bien-être pour
la société.
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-> france
périphérique :
Disparité
centre/périph
se réduisent
PERPSPECTIVES :
-> crise de la démocratie??? À nuancer car très attaché à la démocratie mais rejet du
fonctionnement actuel
-> question de l’intégration européenne : explique le paradoxe : le sentiment ambigu des
Français à l’égard de l’Union européenne et de la poursuite du processus d’intégration
européenne ne paraît pas surprenant. Près de deux tiers des Français reconnaissent fin 2015
que la France a bénéficié de son appartenance à l’Union européenne. Seule une faible
majorité d’entre eux considèrent cependant que c’est une bonne chose que la France fasse
partie de l’Union européenne
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-> la politique des babys boomers : P.139
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