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vendredi 6 novembre 2020

FICHE DÉCONNEXION ELECTORALE

Introduction :

Contexte de la fin du quinquennat : impoularité d’hollande sur fond de crise


économique et d’attentas

Retour sur le très bref état de grâce dans lequel s’est trouvé hollande

Électeurs de gauches déçus sur le plan du libérliams culturel (et loi travail)

Centre : hollande n’a pas répondu au ras le bol fiscal

Mais plus globalement, rejet de l’ensemble de la classe politique => dû au chômage


structurel? Crises prétrolières?

Autres explications : jamais l’accès aux infos politiques n’a été aussi grand +
engagement des citoyens grandit + taux de diplôme énorme. 1968? 45% des
adultes pas de diplomes, aujourd’hui moins 20%.

Élites rechignent à plus de démocratie représentative, stratégie de conservation du


pouvoir . « démocratie d’élevage »

Plan du bouquin : s’appuie sur les élections régionales de décembre 2015 parce
« dernier rdv du cycle d’élection intermédiaire qui a rythmé la présidence
d’hollande »

P1/ contexte des élections (jte met le nom des gus)

s. Un contexte lourd, marqué par le souvenir des attentats (Vincent Tiberj), par l’organisation
de la COP21 (Simon Persico), par la persistance de la défiance (Emiliano Grossman), mais
aussi par la poursuite timide de la féminisation de compétition politique française (Anja
Durovic).

P2/explication des résultats du scrutin


La deuxième partie de l’ouvrage analyse les principales dynamiques qui ont fait les résultats
du scrutin, avec un chapitre sur la participation (Florent Gougou), un chapitre sur les
électeurs de gauche (Florent Gougou), un chapitre sur les électeurs de droite (Nicolas Sauger)
et un chapitre sur les électeurs Front national (Nonna Mayer).

P3/focus sur les logiques de vote


La troisième partie de l’ouvrage présente des focus sur les logiques de vote des électeurs
français, aux régionales et au-delà. Elle discute le poids de la compétence attribuée aux partis
pour traiter les enjeux de politiques publiques (Isabelle Guinaudeau), la question de la place

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de l’État (Adrien Degeorges), le poids de la morale traditionnelle (Léa Morabito, Manon
Réguer-Petit), la problématique de la « France périphérique » (Joël Gombin) et les
polarisations suscitées par la poussée du Front national (Raul Magni-Berton).

p4/perspectives de lé démocratie française


Enfin, la quatrième partie trace quelques perspectives sur le futur de la démocratie française.
Elle fait le point sur les perceptions du fonctionnement de la démocratie par les citoyens
(Camille Bedock), sur le poids de la dynamique d’intégration européenne (Céline Belot), sur
les effets du renouvellement des
générations (Vincent Tiberj) et
sur les nouvelles structures de
la compétition électorale qui se
dessinent suite à la percée du
Front national (Pierre Martin)

CHP1 : sur la spirale autoritaire


PREND 2_3 STATS SUR LES
TABLEAUX SI DESSOU
Question d’agenda médiatique
RÉCIT collectif central pour
comprendre les dynamiques de
vote
Malgré une montée de l’indice
de tolérance, montée du FN

CHP2 : mouvement écolo


Les films de Yann Arthus Berrtand favorisent le vote elle (????)ok bourgeois
Premiers mouvements écolos voulaient représenter la société civile . Ex 4 candidats de la
primaire écolo 2017 anciens cadres Greenpeace

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Paradoxe : parti écolo qui galère VS dynamisme du mouvement social (BASILE sachant que
pour justifier le dynamisme du mouvement social il parle du succès des AMAP PTDR et le
film de Cyril Dion c trop pour moi ça c de la sociologie de combat)
Fais un rapide historique (enfin des 3 dernières années) . EELV tensionns entre participation
au débat

CHP3/ les logiques de la défiance E. Grossman


-> deception répétée : depuis Mitterand, chaque candidat élu promet des lendemains qui
chantent, fou l’état de grâce

QUEL PLACE POUR LES ELECTIONS régionales?


« Second ordre »
Partis au pouvoir choisissent de pas faire campagne parce que savent que leurs électeurs se
mobiliseront pas (deception + désintérêt pour les régionales), et donc c dangereux pour eux
de faire campagne avec ue tête d’affiche

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Pourquoi cette méfiance ? : euh bah il répond pas il dit juste « la démocratie est très
soutenue » ok super

CHP4/ hommes et femmes face au politique Anja Durovic ct ma prof de socio elle est trop
chou espérons que son chapitre relève un peu les autres
Élections régionales de 2015 : parité, donc tournant vu que les meufs prennent plus de place
Interrogationn : est ce que homme et femme se disaitnguent encore dans leur rapport à la
politique?
Enquête britannique (Hilde Coffé, « Women Stay Local, Men Go National and Global?
Differences in Political Interest », Sex Roles, 69, p. 323-338, 2013), femmes s’interessent
plus au local et les hommes plus à l’international

Les femmes votent autant que ls hommes, mais s’engagent moins (nonnnnnnn?jen tombe de
ma chaise)

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14 % des femmes font partie du noyau dur des personnes « très » participatives contre 20 %
des hommes, soit un écart de 6 points

Conclusion: non

CHP5/dynamisme de la participation pour le moment c le seul chapitre potable accroche toi


bien

Pk l’effondrement de la gauche depuis 2012


->hypothèse du transfert d’électeurs : juste une opposition à la route
->mobilisation différentielle; les électeurs déçus de gauche par hollande s’abstiennent plus
que le FN (supposant que la gauche dispose toujours d’un socle d’électeurs massif)

Démobilisation de la gauche : c dur à mesurer en tant que chercheur car le non vite est un
« comportement socialement peu désirable » donc gens veulent pas trop avouer
Milieux populaires votent pas ok oui
Banlieues
ALORS que (attention c vite fait interessant)
Milieux ouvriers nord et de l’est favorables à la droite radicale genre haut de franec,
participation résiste assez bien

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Veut montrer les logiques individuelles derrière l’absentatention


NOUVELLE VARAIBLE : LA DISTANCE DU BUREAU DE VOTE MDRR

Conclu enlisant que la gauche est dans la merde


Peut pas attendre un remobilisation des abstentionnistes fiât se bouger ma grande

CHP6 / l’énigme des électeurs de gauche : pk votent pour le PS


-> ->

domination du PS sur la gauche (que depuis 73 avant ct le PC)


-> les gens de gauche qui votent pour le ps sont vieux et bourgeois oui

CHP7/ les électeurs de droite N. Sauger


Élections régionales de 2015 devaient être le grand retour de la droite. En fait non, jaune
victoire mais bof
Établit 4 profils : : des gens de droite, qui font des Républicains le parti pour qui ils ont le
plus de chances de voter et qui s’identifient avec les partis qui incarnent cette droite
gouvernementale

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Valeurs de la droite : la plus commune : moindre appétence pour la redistribution /libéralisme
éconmique/ xénophobie / conservatisme

Si nous pouvions imaginer des filiations entre les trois droites décrites par René Rémond et la
typologie des électorats de droite présentée ici, il faudrait surtout insister sur les évolutions
profondes de cette famille politique. Le cœur de l’électorat de droite se retrouve autour de
positions favorables au marché sur le plan économique, avec une appréciation modérée de la
redistribution et des réserves sur la question migratoire. C’est une droite fondamentalement
libérale mais dont la caractéristique reste une fidélité modérée aux partis de la droite de
gouvernement. Les plus fidèles sont à trouver chez les plus conservateurs, notamment du
point de vue des mœurs, et dans l’électorat catholique traditionnel. En revanche,
l’euroscepticisme ne fait plus partie de ses traits distinctifs. Ainsi, si l’électorat potentiel de la
droite semble bien majoritaire aujourd’hui en France, sa mobilisation lors d’un vote reste
tributaire de la capacité des partis et des candidats à concilier des demandes apparemment
opposées.

CHP9/ les lecteurs du front national N.MAYER


Ancrage à droite
60% veulent rétablir la peine de mort
Sur les meurs culturels pareil que la droit classique

Malgré une progeession, le niveau de suciez du FN garde des structures sociales stables

Base
: populaire chez les ouvriers crise et chômage
Mais premier parti lors des régionales ; abstention

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DANS LELECTORAT FN, retour du gendre gap

Ce sont les ouvriers non précaires qui votent FN avec un minimum de qualification et peur du
déclassement alors qu’ont galère à monter l’échelle social

Explications des votes :

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-> incompétence des partis : écolos et LR en meilleure muse de capitaliser sur cet effet
électoral

Yen a un qui veut dépasser les explications classiques du vote FN


De nombreux électeurs du FN se positionnent de part et d’autre des questions liées au rôle de
l’État : c’est le cas sur le recrutement des fonctionnaires, les modalités du licenciement et la
régulation des entreprises. Le premier électorat historique du FN (apparu dans les années
1980) est favorable aux dérégulations, il choisit toujours la compétitivité des entreprises
plutôt que la hausse des salaires et se plaint systématiquement de payer trop d’impôts.
Aujourd’hui plus âgé, il s’agit d’un électorat (anciennement) ouvrier ou indépendant, et qui
ne souffre pas (ou plus) de fins de mois difficiles. Il est par exemple souvent propriétaire. Le
second électorat du FN qui s’agrège à partir des années 1990, est, dit-on, plus « social ». Il est
composé d’actifs, ouvriers ou employés, plus jeunes79 . Les concernant, l’hypothèse est que
leurs attitudes plutô
Ainsi, au premier tour des régionales, parmi les Français favorables à ce que les richesses
soient redistribuées des riches vers les pauvres, 51 % ont choisi les listes de gauche (contre
36 % en moyenne au niveau national) et 31 % ont opté pour les listes FN (+ 3). Pour peu que
ces mêmes électeurs considèrent que la démocratie fonctionne mal en France, ce score tombe
à 37 % pour les listes de gauche, et grimpe à 48 % pour les listes frontistes.

TRES IMPORTANT :Depuis l’ascension du Front national au début des années 1980, la
littérature en science politique s’est attachée à expliquer ce phénomène par plusieurs
facteurs : les crises économiques, l’immigration ou la mondialisation. Ni la demande d’État
ni les craintes sur l’immigration ou la mondialisation ne semblent pourtant à elles seules
constituer des explications suffisantes des évolutions du comportement électoral des Français
dans la période récente. Ces explications omettent les transfor-mations profondes du rapport
au pouvoir étatique des Français – transformations entamées depuis plusieurs décennies.
Variable intermédiaire clé dans la psychologie des électeurs, le rapport au pouvoir étatique
des Français est venu systématiquement filtrer l’expression de leurs demandes (demande
sociale, demande d’autorité). Au-delà de l’apathie politique, du désintérêt, voire de
l’ignorance dont on tend trop souvent à les accabler, de nombreux citoyens sont simplement
devenus
sceptiques vis-
à-vis des
capacités de
l’État (national)
à œuvrer pour
le bien commun
et à créer du
bien-être pour
la société.

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-> importance de la manif our tous

-> france
périphérique :
Disparité
centre/périph
se réduisent

-> place du FN dans le système politique :

PERPSPECTIVES :

-> crise de la démocratie??? À nuancer car très attaché à la démocratie mais rejet du
fonctionnement actuel
-> question de l’intégration européenne : explique le paradoxe : le sentiment ambigu des
Français à l’égard de l’Union européenne et de la poursuite du processus d’intégration
européenne ne paraît pas surprenant. Près de deux tiers des Français reconnaissent fin 2015
que la France a bénéficié de son appartenance à l’Union européenne. Seule une faible
majorité d’entre eux considèrent cependant que c’est une bonne chose que la France fasse
partie de l’Union européenne

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-> la politique des babys boomers : P.139

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