Vous êtes sur la page 1sur 31

3. Le rapport Intelligence économique et stratégies des entreprises.

 Analyse de texte.

 Analyse de la bibliographie.

 Principaux schémas.
Analyse du "RAPPORT MARTRE"
Martre Henri (groupe présidé par), Intelligence économique et stratégie des entreprises,
Paris, La Documentation française, 1994, 213 pages.

Commissaire au Plan Jean Baptiste de Foucauld


Président Henri Martre Président de l'AFNOR, Président d'honneur d'Aérospatiale
Rapporteur général Philippe Clerc Commissariat général du plan
Conseiller Christian Harbulot Institut d'étude et de stratégie de l'intelligence économique
Rapporteurs Philippe Baumard New York University
Bernard Fleury Commissariat général du plan
Didier Violle Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie

ORGANISME ET FONCTION D'ORIGINE DES MEMBRES DU GROUPE

Organisme Fonction
Entreprises secteur public/privé
Aérospatiale Directeur de la politique industrielle
Air France Direction de la planification
Air Liquide Directeur
Bull SA Directeur des participations
Bayard Presse Directeur des ressources documentaires
EDF Direction des études -Economie industrielle
Elf Atochem (François Jakobiak) Chef du service information documentaire
France télécom Responsable de l'agence d'évaluation technologique
GAN Directeur général
Hewlett Packard Directeur du centre de formation
ICG Vice-président
Inforama (Robert Guillaumot) PDG
Directeur
JLB Partenaires Directeur
MATRA Directeur adjoint recherche et technologie
Péchiney (Guy Baron) Délégué sûreté industrielle immobilier et archives
Saint Gobain Direction du Plan
Schneider SA Chargée de mission
SEP (Jacques Villain) Chef des études stratégiques
SNECMA Responsable département veille et propriété industrielle
Société d'encouragement pour l'industrie Directeur général
nationale Secrétaire général
Société franco japonaise des techniques Directeur de la stratégie et de la communication
industrielles PDG
SODEXHO Directeur de l'information et de la formation
STRATCO/Cogepag Directeur marketing
Technodes Ciments français (Bruno Martinet) Responsable de la veille technologique
Thomson CSF
Tréfimétaux
Organismes public/parapublic, administrations, CCI, Syndicats
ACFCI Président de la Commission industrie
ADBS Secrétaire général
AFNOR Service efficacité
CFE-CGC Délégué national
Chambre de commerce et d'industrie de Lyon Direction internationale
Chambre syndicale des banques populaires Responsable de l'observatoire de la concurrence - Direction stratégie du groupe
Conseil général des Alpes Maritimes Délégué à la recherche et à la technologie
Commissariat général du Plan (Jean Louis Chef du service du développement technologique
Levet) Sous directeur affaires industrielles et internationales
DGA/SCAI-Mindef Directeur adjoint contentieux et lutte contre les fraudes
Douanes -Ministère du Budget Sous direction chargée du patrimoine
DST-Ministère de l’Intérieur Secrétaire fédéral
FO-Fédération des métaux Chargé de mission
INSEE Direction de la stratégie
Ministère de la défense Directeur adjoint
Observatoire des stratégies industrielles, Directeur
Ministère de l’Industrie
Observatoire des technologies stratégiques,
Ministère de l’Industrie Directeur
SERICS-Ministère de l’Industrie
UCCIFE

Consultants
Consultant en renseignement stratégique - Le Sagittaire
Consultant international
Consultant en management de l'information - Bureau Van Dijk
Consultant en sûreté industrielle
Armées - Général CR
Consultant international
PDG Stratco-Cogepag (Gal d'armée aérienne François Mermet)
Directeur Intelco-Cogepag (Gal Jean Pichot Duclos)

DÉTAILS DES DIRECTIONS D'ORIGINE DES MEMBRES DU GROUPE DE TRAVAIL

Domaines Intitulée des directions Cités / domaines


Stratégie-Politique industrielle- Direction de la politique industrielle - Service des études stratégiques - 8
Planification Direction des études - Direction de la stratégie et de la communication -
Direction stratégie du groupe - Direction de la stratégie - Direction de la
planification - Direction du Plan
RD - Veille technologique Agence d'évaluation technologique - Direction recherche et technologie - 6
Département veille et propriété industrielle - Veille technologique - Délégué
à la recherche et à la technologie - Service du développement technologique
Information Direction des ressources documentaires - Service information documentaire 3
- Direction de l'information et de la formation
Sûreté - Protection Délégation sûreté industrielle immobilier et archives - Sous direction 3
chargée du patrimoine - Direction contentieux et lutte contre les fraudes
International Direction internationale - Sous direction affaires industrielles et 2
internationales
Marketing Direction marketing 1
Formation Direction du centre de formation 1
LISTE DES INTERVENANTS EXTÉRIEURS

Nom Organisme d'origine Fonction


Alain d'iribarne CNRS Directeur de recherche
Alain Vassy ACFCI Directeur industrie et environnement
Bernard Bondoux CCIP Responsable du bureau scientifique et technique
Bruno Bazille Inforama Stagiaire expert
Edouard de Marolles Consultant Consultant
Franck Boulot Consultant Consultant
Frédérick Jambu Aditech
Gilles Polycarpe Conseil IGA-conseiller en stratégie technologique
Grégoire Postel Vinay OSI - Ministère de l’Industrie Chef de l'OSI
Guy Faure CCIP Responsable des centres d'études des marchés internationaux
Jacques Piquet MEFI Chef de la brigade de contrôle et de recherche
Jacques Rosselin Courrier international Directeur
Jean Michel Thillier Bureau de la lutte contre les fraudes, ministère du Budget Inspecteur principal
Jean Louis Bordinat DST, ministère de l’Intérieur Commissaire divisionnaire
Jean Marie Bonthous JMB International Président
Jean Meyriat ADBS Président
Jean Pierre Rémy Centrale management Directeur
Jean Sébastien Plate de forme de coopération est-ouest
Desjonqueres
Jean Pierre Quigniaux Société d'encouragement pour l'industrie nationale
Louis Chanlenset Innovation 128 PDG
Maurice Ronai EHESS Chef de travaux
Pascal Jacques Gustave Intelco-Cogepag
Patrick Bord EGIS Président
Philippe Caduc ADIT Directeur des relations extérieures
Philippe Dermigny CCI Languedoc Roussillon Directeur
Pierre Chapignac Conseil en entreprise
Pierre Fayard Université de Poitiers Maître de conférences
René Lafaye DST
Stevan Dedijer Université de Lund Professeur
Thierry Imbot French Trade Commission
COMPOSITION ET OBJECTIFS DES QUATRE SOUS-GROUPES

"Réflexion nationale, P : Gal François Mermet PDG, STRATCO/Cogepag 1- Evaluer les mesures pouvant être prises au niveau
prospective, action" R : Christian Harbulot Directeur Intelco/Cogepag gouvernemental pour dynamiser la réflexion
+ recenser une communauté d'intelligence économique
+ encourager une réflexion prospective sur le rôle de
l'information / intelligence dans la compétition /
coopération
2 - Proposer des mesures d'accompagnement concrètes
+ touchant à la formation initiale et continue en vue de
promouvoir une culture française de l'intelligence
économique
+ privilégiant la recherche d'axes d'alliance en termes de
politique économique
"Banques de données et P : Paul Dominique DRH, Groupe Bayard presse 1 - Détermination d'un noyau dur de banques de données à
intelligence VP : Eric Sutter Secrétaire général ADBS contenu "intelligence économique", c'est à dire utiles aux
économique" R : Bernard Fleury Commissariat général du plan entreprises dans la définition et la mise en oeuvre de leur
stratégie et fournissant des informations élaborées
2 - Evaluation des recommandations du rapport "La qualité
des produits et services d'information spécialisés destinées
à l'industrie : enjeux et problématique" Eric Sutter, MRT,
1991
"Analyse comparée des P : Jean Jacques Bonnaud Directeur général du GAN 1 - Analyse des expériences nationales
systèmes d'intelligence R : Philippe Baumard Enseignant associé, Institut 2 - Typologie des dispositifs d'approches des marchés
économique dans le du management, New york extérieurs pratiqués par les entreprises
monde" University 3 - Définition des caractéristiques des problèmes posés aux
entreprises par les nouvelles formes de compétition
"Comment encourager P : Guy Baron Directeur délégué de la sûreté 1 - Détermination d'un noyau dur de banques de données à
l'intelligence R : Didier Violle industrielle immobilier et contenu "intelligence économique", c'est à dire utiles aux
économique?" archives - Péchiney entreprises dans la définition et la mise en oeuvre de leur
Chargé d'études, Agence de stratégie et fournissant des informations élaborées
l'environnement et de la 2 - Evaluation des recommandations du rapport "La qualité
maîtrise de l'énergie des produits et services d'information spécialisé destinées à
l'industrie : enjeux et problématique" Eric Sutter, MRT,
1991
TABLE DES MATIÈRES

I. Analyse comparée des systèmes d'intelligence économique


Méthodologie
Emergence et histoire
Deux systèmes précurseurs Grande Bretagne
Suède
Tendances et mouvement de convergences de l'intelligence économique Critère de compétitivité
Matière première d'une nouvelle industrie
Fondement d'une culture écrite
Source de concertation Etat/entreprises/collectivités territoriales
Défense de l'intérêt national
Les grands systèmes contemporains Japon
Etats-Unis
Allemagne
Analyses comparée et synthèses Pourquoi les entreprises la pratique-t-elle  ?
Vers une implication culturelle
Des conceptions nationales ?

II. L'intelligence économique en France : atouts et lacunes


Histoire, émergence et caractéristiques du système
Pratiques des acteurs L'entreprise
Les banques
L'Etat
Les acteurs locaux
le Club Corée

PROPOSITIONS pour une pratique française de l'intelligence économique


Diffusion de la pratique de l'intelligence économique au sein des entreprises
Optimisation des flux d'information secteur pubilc/privé
Conceptions de banques de données
Mobilisation du monde de l'éducation et formation
ANNEXES
Terminologie Information utile
Acquéreur
source
Animateur
réseau
orientation
Cycle de l'intelligence économique
La Chine et l'intelligence économique - La mise en place d'un réseau d'information Réseau d'information FAX
scientifique et technique dans la province du Sichuan Réseau de coopération pour l'information commerciale
Synthèse établie par Nicolas Moinet Réseau d'échange global d'informations scientifiques et techniques,
économiques et d'entreprise
Service de collecte et de développement des échantillons et produits
étrangers
Schéma : Le marketing intelligence, service du SSTIC. Province du
Sichuan (Chine)
Le redéploiement du dispositif de collecte de l'information russe Schéma : Le dispositif de commerce extérieur italien, Intelco Cogepag
Le dispositif national de commerce extérieur italien
Le nouveau système de recouvrement de la TVA au sein de l'Union européenne
Le programme du "National Industry security program Operating manual" américain
Le technoglobalisme japonais, Philippe Caduc, Gilles Polycarpe
Les CCI et l'intelligence économique, Philippe Dermigny
ANALYSE DU TEXTE

1. MANDAT DU GROUPE

SUR
Compétitivité des entreprises repose capacité à accéder aux informations nécessaires CAR Anticiper les marchés à venir
capacité à traiter celles ci de façon efficace en interne Appréhender les stratégies des concurrents
Diffuser les informations en interne
= Préserver les avantages compétitifs
Activité désignée par
le terme

Intelligence économique :
Discipline relative à l'accès et à l'utilisation
des informations stratégiques par les entreprises

Réflexion sur ce thème au sein du CGP Prolongation des travaux de M. René Mayer réflexions sur les facteurs
Rapport du Groupe "Information et compétitivité, décembre 1990 immatériels de la compétitivité
S'inspire d'autres travaux comme le rapport "L'usine du futur", juin 1990

But Sensibiliser l'ensemble des acteurs sociaux Entreprises


Eclairer Organisations syndicales
Pouvoirs publics
Responsables locaux
PRÉFACE (Henri Martre)
L' Entreprise :

Attente vis à vis de l'entreprise assurer le dynamisme de l'économie


assurer le bien être du corps social

Son rôle prendre des initiatives


innover
investir
embaucher
se montrer compétitive
vendre

Nécessité de connaître son métier de base


ses clients
ses concurrents
ses fournisseurs
ses personnels
des contraintes de l'environnement

Sa conduite requiert s'informer


analyser
prévoir
organiser
établir des projets et des stratégies
lancer des actions
= DECIDER

Changement des dimensions de son champ

Globalisation des marchés multiplie nombres des acteurs


leur diversité
les types de contraintes COMPLEXITE Révision des modes de réflexion
des méthodes d'approche
Accélération des communications change le rythme des événements des comportements
impose des réactions rapides
Traits essentiels du rapport Information ouverte
Caractère national des organisations et pratiques
Lacunes françaises Devrait disposer d'un excellent réseau d'intelligence économique car
1. Histoire
2. Rayonnement dans le monde
3. Position de quatrième exportatrice

MAIS

Cloisonnement nécessité de Changer les états d'esprit


Individualisme Changer les comportements
INTRODUCTION

Partie introductive p.13

Organisation bipolaire du monde Organisation géoéconomique multipolaire dominée par L'internationalisation des économies
Les stratégies d'expansion des entreprises
Le renforcement des affrontements concurrentiels

Champs de réalités
Stratégies des acteurs économiques Entreprises International
Régions National Interaction complexe Nouvelle géographie concurrentielle
Etats Régional Logiques contradictoires

Un monde complexe et conflictuel pp.13-16

Quatre champs d'action dans le système économique mondial

A l'échelle planétaire, les rapports de force entre les 500 premiers groupes mondiaux
Logique dominante : coopération/concurrence
Moteur de la logique : maîtrise des technologies clés

Les zones économiques régionales : UE, ALENA, Asie Pacifique

Les dynamiques nationales


Renforcement des stratégies d'intérêt national dans les domaines stratégiques

Les réalités régionales

Nécessité d'élaborer une nouvelle grille de lecture déploiement de dispositifs de gestion stratégique de l'information
au coeur d'un système d'intelligence économique

cf. Jean Louis Levet, Jean Claude tourret , La révolution des pouvoirs. Les patrimoines économiques à l'épreuve de la mondialisation, Paris, Economica, 1992
L'intelligence économique : un instrument nouveau pp.16-17

Définition :

"L'intelligence économique peut être définie

comme l'ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement et de distribution en vue de son exploitation, de l'information utile aux acteurs économiques "

Entreprises
Etats
Collectivités locales
Actions menées légalement dont ont besoin les différents niveaux
avec toutes les garanties de de décision de l'entreprise ou de la
protection collectivité pour élaborer et mettre en oeuvre
de façon cohérente la stratégie et les tactiques

Désignées par
Notion Intelligence économique dépassement des actions partielles Documentation
Veille
Protection du patrimoine concurrentiel
Influence

- Intention stratégique et tactique


- Interaction entre tous les niveaux de l'activité Base : interne à l'entreprise
Niveaux intermédiaires : interprofessionnels, locaux
Niveaux nationaux : stratégies concertées entre les différents centres de décision
Niveaux transnationaux : groupes multinationaux
Niveaux internationaux : stratégies d'influence des Etats Nations
Typologie : intelligence économique par degrés de complexité pp.18-19

Déterminants Accessibilité de l'information


Rareté de l'information

Degrés de complexité ACCESSIBILITE RARETE


Niveau primaire la plus grande Supports papiers ou électroniques Moindre Varie selon le pays et l'industrie concernée*
Procédures élémentaires Ex : informations légales
Maîtrisable par un non spécialiste
Niveau secondaire aisée ou de difficulté Informations écrites et publiées Moyenne Etudes économiques faites par des institutions
Domaine public ou privé Etudes industrielles de cabinets privés
moyenne pouvant
être méconnue
Tactique dite "de terrain" plus difficile Informations primaires : interviews, Importante Information privée mise dans le domaine public (ex: entretien lors d'un
communication orale salon)
Traitement et effort de compréhension plus Rôle des courtiers en intelligence économique
important Traitement de l'analyse des données relevant de l'ie primaire et
secondaire
De Puissance ou stratégique sophistiquée, Rareté des sources Grande Compilation de nombreuses informations
Important effort d'analyse Risque de dérapage sur des moyens illégaux
difficile et délicate Dans un but de manoeuvre stratégique Nécessité d'une compréhension des jeux d'influence et rapports de force
Phénomènes exceptionnels aisée caractère stratégique d'une information mise
dans le domaine public
Information indirecte sur les intentions
concurrentielles d'une entreprise

L'utilité de l'intelligence économique

Face à la complexité 2 démarches Réduction synthèse de l'ensemble des éléments d'un projet
Appréhension pratique de l'intelligence économique

Relie et met en corrélation


différents facteurs clés :
Individus
Evènements
Technologies
Stratégies
Savoir-faire
Quatre exemples pp.20-25

MOYENS Sources Accessibilité


La connaissance des acteurs Veille scientifique Analyse des brevets, des communications Bases de données Aisée
Ex : intention d'une entreprise sur RD d'une scientifiques des experts, du portefeuille des
technologies
Revue de presse Information publique
technologie nouvelle
Reverse engineering Informations légales...

Profils des Croisement des expériences, des compétences, des Articles scientifiques Aisée
réalisations passées
carrières bases de données Information publique
Informations légales
Un grand groupe Intelligence Eviter de réinventer la roue Publications scientifiques
pharmaceutique scientifique Brevets
But : rechercher l'existence d'effets Bibliométrie sur les familles de
secondaires contrariants le développement,
l'approbation, le succès commercial futur du sciences
médicament
Intelligence Activités des laboratoires concurrents Communications faites par les
concurrentielle chercheurs
Résultats des tests cliniques
disponibles
Profils d'intention et de capacité Intelligence Analyse des intentions liées aux actions identifiées
Profil psychologique
économique Comparaison intention/capacités
Rapports d'étonnement Intelligence Mémos contenant ce qui a étonné la personne
économique

CHAPITRE I. Analyse comparée des systèmes d'intelligence économique dans le monde


Objectif du chapitre : la compréhension de la production par des économies de marché d'ingénieries stratégiques performantes

Introduction pp.27-30

Durcissement de la compétition économique mondiale 2 pratiques Maîtrise de la connaissance scientifique et technologique interviennent au niveau Macro économique
Multiplication des enjeux Maîtrise des techniques offensives et défensives propres Micro économique
à la gestion de l'information concurrentielle

Système d'intelligence économique Pratique et stratégies d'utilisation de l'information utile


Développées au coeur d'un pays à ses différents niveaux d'organisation :
Etat
Gouvernement
Industrie
Entreprises
Education
Population

Composé par des Mise en oeuvre et coordination Permet


Système d'intelligence économique Sous systèmes Ingénierie stratégique de l'information meilleure visibilité des enjeux aux
différents niveaux d'une nation
La formulation de stratégies
appropriées
Développement d'un système d'intelligence économique par certains pays orienté vers la défense des parts de marché
de leur emploi
de leurs industries
Création d'un modèle impossible absence de pérennité dans les stratégies
dispersion des pratiques
manque de continuité dans l'utilisation et la diffusion des techniques

Déficit de connaissances sur le rôle de l'information dans la compétition économique


Traitent des questions fonctionnelles, les aspects techniques
Absence d'analyse comparative des ingénieries stratégiques de l'information des économies nationales
Acteurs économiques rarement pris en compte
Mauvaise appréciation des causes d'un déficit de gestion de l'intelligence économique
Nécessité de penser à l'échelle européenne

Méthodologie pp.30-31
Investigation sur les pratiques de l'intelligence économique dans le monde de septembre 1991 à juillet 1993

critères choix des pays Performance globale de l'ingénierie stratégique de l'information


Modes de concertation entre les dispositifs d'ie des secteurs privés et publics
Innovation
Utilisation de l'ie comme levier dans la compétition économique
Développement d'un marché privé de l'ie
Intégration du management de l'ie dans la vie des entreprises

Pays répondant à ces critères Grande Bretagne


Suède
Japon
Etats-Unis
Allemagne

Emergence et histoire p.31

Pratiques de l'intelligence économique liées à la culture


l'histoire politique

Efficacité d'une ingénierie stratégique de l'information veille technologique des grandes entreprises Economies nationales les plus
circulation de l'information entre entreprises, administrations, collectivités territoriales agressives

Deux systèmes précurseurs : le cas de la Grande Bretagne pp.31-34

Lier l'histoire géopolitique


l'histoire géoéconomique

Déterminants Maîtrise de l'innovation technique


Influence par une synergie monde du renseignement et monde industriel
Elites ont intégré la fonction "intelligence économique" dans leur système de décision
Systèmes d'information ont toujours soutenu les intérêts économiques de l'Empire
Culture de l'intelligence se retrouve à la City, et dans les entreprises avec les services de "business intelligence" et "marketing intelligence"
Marché privé de l'information spécialisée

Deux systèmes précurseurs : le cas de la Suède pp.34-38

Déterminants Fragilité de sa position géo économique


Sécurité économique : priorité concertation entre les milieux politiques, sociaux et économiques
Cohésion culturelle de la population
Grandes entreprises performantes en matière d 'ingénierie de l'information : ex ABB, Ericsson, Tetra Pak
Réflexion sur la communauté d'intelligence économique
Formation universitaire : Université de Lund, Stevan Dedijer

Tendances et mouvements de convergences : L'intelligence économique, critère de compétitivité p.38

Nombreuses conférences sur l'importance de l'ingénierie stratégique de l'information dans la résolution des rapports de force concurrentiels

Tendances et mouvements de convergences : L'intelligence économique, matière première d'une nouvelle industrie p.39

Caractéristiques de cette industrie de l'information maximum 50 personnes


taux de cadre élevé
2 types de fondateurs anciens fonctionnaires du renseignement (ex : Jan Herring ancien agent de la CIA, Futures
Group, Robert Steele, ancien membre du corps des
marines, OSS)
experts en télécommunications, pétrochimie, informatique

Tendances et mouvements de convergences : L'intelligence économique, fondement d'une culture écrite p. 41

Information bien immatériel à l'outil de travail source collective de profit


garanties de la pérennité de l'entreprise

Tendances et mouvements de convergences : L'intelligence économique, source de concertation Etats/Entreprises/Collectivités territoriales pp.41-42

Circulation opérationnelle de l'information entre les entreprises


les collectivités territoriales facteur clé de compétitivité
les administrations

Tendances et mouvements de convergences : L'intelligence économique et défense de l'intérêt national pp.42-43

Débats aux Etats Unis sur les sources ouvertes menées par Robert Steele depuis 1993
Sources ouvertes incluent les services de renseignement
les brokers privés
Universités
Bibliothèques
Médias
Entreprises
Structures associatives
Pouvoirs publics

Les grands systèmes contemporains : le Japon pp.43-47

Information Levier de son développement


Ressource collective
Liée à un comportement social
Usage intensif pour jeter les bases de leur appareil industriel
Techniques offensives dans le cadre d'une politique de conquête des parts de marché mondial
Synergie stratégies technologiques, industrielles, commerciales

Organisation actuelle du système d'intelligence économique japonais est le produit de l'histoire du Japon
des conséquences de la seconde guerre mondiale

Forces de l'ingénierie stratégique de l'information Approche globale et locale du marché mondial


Pénétration commerciale adaptée au contexte économique et au de vie de chaque pays
Stratégie à long terme de maîtrise des grands flux d'intelligence économique
Démarche prospective intégrée au management
Politique de communication sélective de l'information

relais à l'extérieur : puissants moyens de désinformation et d'influence

Les grands systèmes contemporains : les Etats-Unis pp.47-55

MAIS
Arsenal Dispersé
Visait avant tout la concurrence américaine
Marché axé sur le court terme
Logique individuelle
"Business intelligence", "competitive intelligence " : savoirs centrés sur l'étude de la concurrence

L'administration face au problème de la perte de compétitivité définition d'une politique de sécurité économique renforcer la compétitivité du tissu industriel
apporter des réponses aux agressions concurrentielles menées par
certaines puissances contre des intérêts américains
aides aux entreprises
meilleure coordination des canaux d'information existants
circulation plus opérationnelle de l'information recueillie par les administrations fédérales vers le pouvoir exécutif

Atouts du système actuel Capacité propre des grands groupes


Marché de professionnels
Nombreuses agences fédérales produisant de l'information technologique et commerciale

Les grands systèmes contemporains : l'Allemagne pp.55-62

Facteurs de la réussite Esprit de discipline


Capital technique
Système d'intelligence économique

Modèle allemand d'ingénierie de l'information Sentiment collectif de patriotisme économique


Centre vers lequel converge les flux d'information
Synergie décisionnelle entre les banques et les grands groupes (fondement historique) et les sociétés d'assurance
Rôle des Landers dans le financement d'opérations de positionnement commercial, du Sénat et des syndicats, structures
associatives
Réflexion sur l'information économique hors du cadre de rapports de force
Sources d'information très nombreuses

Analyses comparées et synthèses : Pourquoi les entreprises pratiquent elles l'intelligence économique ? pp.63-64

Caractéristiques des entreprises pratiquantes contraintes à une compréhension globale de leur environnement par la nature mondial de leur marché
soumises à des risques politiques forts
dépendantes d'horizons technologiques longs

Moyens Poste spécialisé en interne


Sociétés de conseils Sociétés de conseil spécialisées dans l'intelligence économique
Grands cabinets mondiaux

Analyses comparées et synthèses : vers une implication culturelle pp.64-68

Explications complémentaires de l'existence de ces dispositifs à l'étranger motivation et désir de s'en servir
fortes mesures d'incitation
implication culturelle

L'intelligence économique compréhension de l'économie dans un autre langage que celui de la simple compétitivité
ajoute à la dimension compétitive, celle de la pérennité, de l'accompagnement d'un mouvement profond de l'économie mondiale
ne propose ni modélisation ni vision miraculeuse des échanges

Question Complexe
Importante
Politique : regard sur l'économie qui n'est pas neutre

Analyses comparées et synthèses : des conceptions nationales de l'intelligence ? pp.68-69

2 niveaux d'analyse Préservation de l'emploi et souveraineté nationale Contre intelligence économique affichée
Protection d'une industrie menacée Soutien en terme d'informations économiques et industrielles

Problème de sa nature

Débats américains Intervention de l'Etat peut biaiser les règles de concurrence


Certaines entreprises en position de concurrence déloyale
Incite les autres pays à faire de même

CHAPITRE II. L'intelligence économique en France : atouts et lacunes


Histoire et émergence pp.73-74
MAIS
Passé long en matière d'intelligence économique pratique systématique du non dit lacunes dans le système d'intelligence économique français embryonnaire
mal encadré

Logique de médiation étatique relative proximité avec les entreprises


visibilité économique indissociable d'une visibilité sociale
Existence de grands corps : formation d'espaces d'entente entre agents économiques publics et privés

Les caractéristiques du système français d'intelligence économique pp.74-76

Caractéristiques Pratique liée à une culture de métier, culture avant tout orale
Culture mal maîtrisée du secret
Terme "intelligence économique" rarement utilisé en France. Entreprises préfèrent une notion moins dynamique "veille"
Tentatives de mimétisme d'expériences comme celle du Japon

Les pratiques des acteurs : atouts et lacunes : l'entreprise et l'intelligence économique pp.76-91

atique au sein des grands groupes


PME-PMI innovantes

Gestion offensive de l'information économique un des moteurs essentiels dans la conduite des stratégies industrielles
Le concept de veille image passive
fonction dynamique pose les questions pertinentes
oriente le décideur
animation de réseaux internes et externes de collecte, traitement et diffusion de l'information

Exemple Elf Atochem : système stratégique d'ingénierie de l'information s'apparente à une démarche
d'intelligence économique
Dépasse la démarche de veille
Pratique large de l'intelligence économique : volonté de partager et de diffuser expérience et savoir-faire

Extension internationale de la contrefaçon mobilisation sur la protection activité défensive de prévention et d'anticipation des menaces

Maîtrise des modalités juridiques de la protection industrielle et intellectuelle


Suivi et innovation en matière de systèmes techniques d'identification de produits
véritables
Mise au point de secret de fabrication

Gestion élaborée de l'information Veille active et offensive mobilisent commerciaux


Cabinets extérieurs spécialisés experts

Implication des directions générales


Par ces pratiques les spécialistes des entreprises accumulent une
connaissance approfondie des cultures, des pratiques et des structures
économiques des marchés tiers
Les entreprises développent des stratégies d'influence diversifiées et efficaces
Blocages structurels et organisationnels Gestion individuelle de l'information
Mode organisationnel hiérarchique
Méconnaissance nature et enjeux de l'intelligence économique
Recherche d'information perçue comme une activité de spécialistes
Assimilée à l'espionnage, peur d'un pouvoir parallèle au sein de l'entreprise
Manque d'intérêt pour l'analyse des différentes cultures

Conséquences

Cécité stratégique des entreprises


Gestion de l'information mal appréciée
Méconnaissance des mécanismes des systèmes productifs offensifs, évaluation floue des menaces
Pratique fragmentée à l'intérieur des organisations

Conditions pour l'action La fonction intelligence économique devra favoriser la décentralisation de l'action et du savoir
Evolution de la fonction de veille technologique vers une veille active étape en direction de l'intelligence économique
Partir de l'existant (activités de veille ou protection)
Impliquer les dirigeants
Favoriser la création de réseaux Passage d'une conception de l'information connaissance à une conception de
Protection des résultats acquis l'information action
Caractère informel de la démarche
Création d'un poste d'animateur
Adhésions et préparation des salariés

Les pratiques des acteurs : atouts et lacunes : la banque et l'intelligence économique pp.91-97

Constat Cloisonnement entre institutions héritées de l'histoire et de la réglementation de la profession Lacunes dans la
Rupture historique dans la pratique des marchés internationaux et absence de transfert de savoir-faire originel pratique offensive de l'information

Caractéristiques du système d'ingénierie de l'information Manque de pérennité dans les stratégies


Dispersion des pratiques
Culture peu développée de la pratique collective de l'information
Coexistence de plusieurs systèmes d'information
Information utile orientée vers une approche sécuritaire
Culture du secret
Les pratiques des acteurs : atouts et lacunes : l'Etat et l'intelligence économique pp.98-103

Rôle de l'Etat organise la gestion de l'information économique


veille à la protection du patrimoine économique et technologique Contribue à la "défense des entreprises et des forces économiques"
mobilise les gisements d'information de l'administration

Information économique offre publique dominante mais dispersée et inadaptée aux besoins, et règles de confidentialité
logique administrative, communication peu opérationnelle
dispositif de collecte à l'étranger et de diffusion dispersé

Protection du potentiel économique et technologique ordonnance du 7 janvier 1950 sur la défense économique Cadre juridique inadapté
nouveau code pénal qui renforce la défense du patrimoine public et privé
Les pratiques des acteurs : atouts et lacunes : les acteurs locaux et l'intelligence économique pp.103-113

Logique des rapports de force développement de l'innovation technologique, organisationnelle et sociale démarche globale d'interaction entre la gestion de
l'information
la démarche stratégique

Défis renouer avec des stratégies volontaristes de densification du tissu économique local
consolider et redéployer l'activité industrielle existante

POUR
Elaboration d'un dispositif d'ingénierie stratégique de l'information Renforcer les capacités locales de RD
Encourager les partenariats d'entreprises
Promouvoir leur coopération avec les centres de recherches et l'université
Dynamiser l'exportation

Degré d'exigence élevé Requiert une capacité d'expertise sophistiquée Mobilisation des acteurs locaux CCI
Associations de développement
Rôle d'éclaireur à l'Etat Elabore une vision stratégique Centres de recherche
Optimise les capacités d'expertise Fédérations professionnelles
Mise à disposition d'information Cabinets conseils

Faiblesses Manque d'expériences économiques des collectivités régionales difficile synergie entre entreprise, environnement institutionnel
Rivalités de pouvoirs entre acteurs et nation
Fragmentation, surabondance des données

Stratégie régionale élaborée trois champs opérationnels le développement régional (rôle des CCI)
l'aide à l'export (ex de la Chine)
les relations interrégionales (ex de l'Alsace)

Les pratiques des acteurs : atouts et lacunes : le Club Corée ou une démarche offensive et collective à l'export pp.113-116

Expérience instructive décision d'un grand groupe industriel d'apporter son expérience des marchés asiatiques aux PME-PMI exportatrices
possibilité d'élaborer un marché de l'information dès lors si motivations de quelques acteurs économiques nationaux
révèle les faiblesses du dispositif national d'accompagnement
CONCLUSIONS pp.117-118
Compétitivité économique d'une Nation découle du potentiel d'innovation technologique de ses entreprises
de la capacité productive de son appareil industriel
de la qualité de gestion et d'organisation du travail collectif et individuel
des rapports de force entre nations et dans les relations conflictuelles entre entreprises

Défis pour la France Impact de la concurrence internationale


Répercussions sur les stratégies des entreprises
Le taux de chômage

Gestion stratégique de l'information économique outil de compréhension de la réalité des marchés


des techniques
des modes de pensée des concurrents, de leur culture, leurs intentions, leurs capacités

Faiblesses françaises Dispersion des efforts Entraves à la gestion cohérente et collective de l'information utile
Manque de coordination dans les approches des marchés extérieurs
Conflits entre les services d'une même entreprise
Cloisonnements administratifs

Deux freins majeurs Inconscience des acteurs nationaux en matière de gestion stratégique de l'information comme levier essentiel de la compétitivité
conception partielle de l'intelligence économique réduite à la protection et la veille technologique

Rôle d'impulsion de la puissance publique réforme des administrations et de leurs capacités à organiser une diffusion coordonnée d'information stratégiques utiles
réforme de la capacité des entreprises à coordonner leur savoir-faire, à collecter et diffuser l'information

Réformes indissociables de la définition d'une politique stratégique


Propositions pour une pratique française de l'intelligence économique pp. 119-127
"...une volonté claire de la puissance publique, seule, pourra donner l'impulsion nécessaire qu'appelle l'urgence des réformes" p.127
Préalable Constats Objectifs Actions prioritaires
Diffuser la pratique de  Absence de prise en 1.Implication de la direction dans la formulation des orientations,
l'intelligence compte de ses enjeux besoins, rôle de chacun
économique dans stratégiques 2. Organisation flexible en réseaux
l'entreprise  Absence d'engagement 3. Création de la fonction d'animateur
humain et financier 4. Sensibilisation du personnel
5. Formation de spécialistes
6.Adoption de standards éthiques
7. Dispositif de contrôle et de rentabilité du système
8. Désignation d'une personnalité compétente en charge d'une mission
d'évaluation de la mise e oeuvre de ces propositions
Optimiser les flux  Etat, administrations, Mesures concrètes de 1. Dans l'administration création d'une mission ad hoc
d'informations entre entreprises, collectivités promotion d'une Objectifs : évaluation du potentiel et des réseaux d'information,
le secteur public et le locales disposent de capacités gestion collective de définition des structures et moyens de maillage, mise en place de
secteur privé de collecte, traitement et l'information procédures communes, choix de secteurs expérimentaux, modalités de
diffusion de l'information coopération entre experts publics et privés
utile 2. Rôle incitatif puissant de l'Etat : création d'une fondation pour
 MAIS complémentarité peu l'intelligence économique, création d'un réseau de concertation entre les
valorisée organismes d'aide à la RD et l'innovation, inciter l'ANVAR, ouverture
 Débats en Suède et aux USA des FRAC aux prestations d'informations, lancement d'un plan de
sensibilisation du personnel des administrations et formation de
spécialistes
Concevoir les banques  Outil essentiel mais non 1. Programme de production de bases de données
de données en exclusif 2. Former et sensibiliser les acteurs
fonction des besoins  Exploitation rentable 3. Développer et promouvoir les outils méthodologiques
de l'utilisateur dépend des choix 4. Développement de la qualification des professions intermédiaires et
stratégiques des prestataires de service (rôle des arist)
 Intermédiaires : rôle 5. Nécessité d'intermédiaires spécialisés dans l'aide à la sélection des
d'interface bases et banques de données
Mobiliser le monde de  Offre de formation aux 1. Effort de formation continue pour de futurs responsables de
l'éducation et de la métiers de l'information l'intelligence économique
formation spécialisée disparate et ciblée 2. Création de formations spécialisées et diplomantes à l'intelligence
sur des créneaux pointus économique (création d'un pôle à Poitiers)
 Manque d'intérêt des grandes
écoles et universités
REFERENCES DANS LE TEXTE

Auteurs Titres page


INTRODUCTION De Guerre patrick Politique de concurrence et stratégies industrielles, colloque 14
CEDECE, paris, Octobre 1992
"Washington à la rescousse des multinationales américaines", Le 14-15
Figaro, 6 octobre 1993
Levet Jean Louis, Jean Claude La révolution des pouvoirs. Les patriotismes économiques à 16
Tourret l'épreuve de la mondialisation, Paris Economica, 1992
I . Analyse comparée des systèmes d'intelligence
économique
Deux systèmes précurseurs : la Suède Bonthous Jean Marie Analyse de la Suède, Présentée à l'Université de New York, 35
septembre 1993, JMB International
Baumard Philippe "Les fondements culturels de la gestion stratégique de 35
l'information dans un groupe fortement institutionnalisé"
Research Paper, New York University, juin 1993
Les grands systèmes contemporains : Japon Schweitzer Peter Friendly Spies, The Atlantic Monthly Press, 1993 44
Les grands systèmes contemporains : Etats-Unis Baumard philippe Stratégie et surveillance des environnements concurrentiels, 47
Paris, Masson, 1991
Dumaine Brian "Corporate Spies snoop to conquer", in Fortune, 7 novembre 51
1988
Les grands systèmes contemporains : Allemagne Harbulot Christian La machine de guerre économique, Paris, Economica, 1992 58
"S'informer : des sources multiples et inattendues", article paru 62
dans Le MOCI du 14 juin 1993
II. L'intelligence économique en France : atouts et
lacunes
Histoire, émergence et caractéristiques du système Burton Eric Histoire des horloges, montres et pendules, Paris, Editions 71
Atlas, 1980
Pratiques des acteurs : L'entreprise Jakobiak François Pratique de la veille technologique, Paris, Editions 78
d'organisation, 1991
Référence aux recommandations faites par le groupe "Veille 81
technologique et politique de brevets, Commission Riboud du
Xème plan
"PMI 93, les comportements stratégiques des entreprises 85
industrielles de taille moyenne en France et en Allemagne face
aux espaces de concurrence européens et mondiaux", Ministère
de l’Industrie et CGP, MER, ministère de l'agriculture, par
Algoe management, Roland berger partner
L'usine du futur, l'entreprise communicante et intégrée, rapport 86
du groupe de prospective présidée par Bernard Irion, La
documentation française, juin 1990
Genelot Dominique Manager dans la complexité, réflexions à l'attention des 86
dirigeants, Paris, INSEP Editions, 1992
France, le choix de la performance globale, Rapport du groupe 88
présidé par Jean Gandois, préparation du Xième plan, La
Documentation française, Paris, décembre 1992
Pratiques des acteurs : Les banques "Les banques françaises dans le monde", revue Banque, n°533, 92
décembre 1992
Pratiques des acteurs : L'Etat Information et compétitivité, rapport du groupe présidé par René 100
Mayer, CGP, 1991
CES, Information économique et sociale, 1992 101
Pratiques des acteurs : Les acteurs locaux Warusfel Bertrand Industrie, technologie et défense, paris, la documentation 103
française, Paris, 1993
Information et compétitivité, rapport du groupe présidé par René 108
Mayer, CGP, 1991
Pratiques des acteurs : le Club Corée Colletis Gabriel, Kukawka Les quatre moteurs pour l'Europe, IEP Grenoble, 1991 113
Pierre
RÉFÉRENCES DANS LE TEXTE PAR TYPE DE DOCUMENT
Rapports du Référence aux recommandations faites par le groupe "Veille technologique et politique de brevets", Commission Riboud du Xème plan 81
Commissariat L'usine du futur, l'entreprise communicante et intégrée, rapport du groupe de prospective présidée par Bernard Irion, La documentation 86
française, juin 1990
général du Plan
Information et compétitivité, rapport du groupe présidé par René Mayer, CGP, 1991 100-108
France, le choix de la performance globale, Rapport du groupe présidé par Jean Gandois, préparation du Xième plan, La Documentation 88
française, Paris, décembre 1992
PMI 93, les comportements stratégiques des entreprises industrielles de taille moyenne en France et en Allemagne face aux espaces de 85
concurrence européens et mondiaux, Ministère de l’Industrie et CGP, MER, ministère de l'agriculture, par Algoe management, Roland berger
partner
Rapport du CES CES, Information économique et sociale, 1992 101

Ouvrages français Baumard philippe Stratégie et surveillance des environnements concurrentiels, paris, Masson, 1991 47
"Les fondements culturels de la gestion stratégique de l'information dans un groupe 35
fortement institutionnalisé", Research Paper, New York University, juin 1993
Bonthous Jean Marie Analyse de la Suède, Présentée à l'Université de New York, septembre 1993, JMB 35
International
Burton Eric Histoire des horloges, montres et pendules, Paris, Editions Atlas, 1980 71
Colletis Gabriel, Kukawka Pierre Les quatre moteurs pour l'Europe, IEP Grenoble, 1991 113
De Guerre Patrick Politique de concurrence et stratégies industrielles, colloque CEDECE, paris, Octobre 14
1992
Genelot Dominique Manager dans la complexité, réflexions à l'attention des dirigeants, Paris, INSEP 86
Editions, 1992
Harbulot Christian La machine de guerre économique, Paris, Economica, 1992 58
Jakobiak François Pratique de la veille technologique, Paris, Editions d'organisation, 1991 78
Levet Jean Louis, Jean Claude Tourret La révolution des pouvoirs. Les patriotismes économiques à l'épreuve de la 16
mondialisation, Paris Economica, 1992
Warusfel Bertrand Industrie, technologie et défense, paris, la documentation française, Paris, 1993 103
Références anglo Schweitzer Peter Friendly Spies, The Atlantic Monthly Press, 1993 44
saxonnes Dumaine Brian "Corporate Spies snoop to conquer", in Fortune, 7 novembre 1988 51
Articles "Les banques françaises dans le monde", in revue Banque, n°533, décembre 1992 92
"S'informer : des sources multiples et inattendues", article paru dans Le MOCI du 14 juin 62
1993
"Washington à la rescousse des multinatinales américaines", Le Figaro, 6 octobre 1993 14-15

Vous aimerez peut-être aussi