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UE : ALGEBRE
Chapitre 1 :Ensembles et applications
part 5
12 Juillet 2020
L1 EFREI 2020-2021 1 / 14
L1 EFREI 2020-2021 Groupes 2 / 14
Définition
Exemples
Puissance
Définition
Exemples
Sous-groupes de Z
Sous-groupes engendrés
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi = 2a
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
équation de degré 5 et plus ?
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
équation de degré 5 et plus ? : il n’existe pas en général une telle
formule
Évariste Galois (1811-1832) & Niels Abel (1802-1829)
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
équation de degré 5 et plus ? : il n’existe pas en général une telle
formule
Évariste Galois (1811-1832) & Niels Abel (1802-1829)
Notion de groupe
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
équation de degré 5 et plus ? : il n’existe pas en général une telle
formule
Évariste Galois (1811-1832) & Niels Abel (1802-1829)
Notion de groupe
À la base d’autres notions : anneaux, corps, matrices, espaces
vectoriels,...
√
−b± b 2 −4ac
équation de degré 2 ax 2 + bx + c = 0 xi =
q √ 2a q √
équation de degré 3 x 3 + 3x + 1 = 0 x0 = 5−1 5+1
3 3
2 − 2
équation de degré 4
équation de degré 5 et plus ? : il n’existe pas en général une telle
formule
Évariste Galois (1811-1832) & Niels Abel (1802-1829)
Notion de groupe
À la base d’autres notions : anneaux, corps, matrices, espaces
vectoriels,...
Applications : arithmétique, géométrie, cryptographie,...
pour tout x , y ∈ G x ?y =y ?x
Règles de calculs
x m ? x n = x m+n
(x m )n = x mn
(x ? y )−1 = y −1 ? x −1 attention à l’ordre !
Si (G, ?) est commutatif alors (x ? y )n = x n ? y n
x +y
3 (Plus dur) Soit G =] − 1, 1[. Pour x , y ∈ G on définit x ? y = 1+xy .
Montrer que (G, ?) forme un groupe : (a) Montrer que ? est une loi de
composition interne : x ? y ∈ G (b) Montrer que la loi est associative (c) Montrer
que l’élément neutre est 0 (d) Trouver l’inverse de x .
0 , M2 = ( 1 0 ), M3 = ( 3 4 ). Vérifier que
Soient M1 = 01 −1 12 12
1
M1 × (M2 × M3 ) = (M1 × M2 ) × M3 .
2 Calculer (M1 × M2 )2 et M12 × M22 . (Rappel : M 2 = M × M)
3 Calculer les déterminants des Mi ainsi que leurs inverses.
4 Montrer que l’ensemble des matrices 2 × 2 muni de l’addition +
a0 b 0 a+a0 b+b 0
définie par c d + c 0 d 0 = c+c 0 d+d 0 forme un groupe
a b
commutatif.
Assertions
Quantificateurs
Assertions
Quantificateurs
Assertions
Quantificateurs
langage de la logique
langage de la logique
langage de la logique
langage de la logique
Une assertion est une phrase soit vraie, soit fausse, pas les deux en même
temps
Une assertion est une phrase soit vraie, soit fausse, pas les deux en même
temps
Il pleut.
Je suis plus grand que toi.
Une assertion est une phrase soit vraie, soit fausse, pas les deux en même
temps
Il pleut.
Je suis plus grand que toi.
2+2=4
2×3=7
Une assertion est une phrase soit vraie, soit fausse, pas les deux en même
temps
Il pleut.
Je suis plus grand que toi.
2+2=4
2×3=7
Pour tout x ∈ R, on a x 2 ≥ 0.
Pour tout z ∈ C, on a |z| = 1.
Table de vérité
P \Q V F
V
F
Table de vérité
P \Q V F
V V
F
Table de vérité
P \Q V F
V V F
F
Table de vérité
P \Q V F
V V F
F F
Table de vérité
P \Q V F
V V F
F F F
Table de vérité
P \Q V F
V V F
F F F
Exemple
P est l’assertion Cette carte est un as
Q l’assertion Cette carte est cœur
P et Q est vraie si la carte est l’as de cœur
P et Q est fausse pour toute autre carte
P \Q V F
V
F
P \Q V F
V V
F
P \Q V F
V V V
F
P \Q V F
V V V
F V
P \Q V F
V V V
F V F
P \Q V F
V V V
F V F
P V F
non P F V
P \Q V F
V
F
P \Q V F
V V
F
P \Q V F
V V F
F
P \Q V F
V V F
F V V
P \Q V F
V V F
F V V
√
0 ≤ x ≤ 25 =⇒ x ≤ 5 est vraie
P \Q V F
V V F
F V V
√
0 ≤ x ≤ 25 =⇒ x ≤ 5 est vraie
x ∈] − ∞, −4[ =⇒ x 2 + 3x − 4 > 0 est vraie
P \Q V F
V V F
F V V
√
0 ≤ x ≤ 25 =⇒ x ≤ 5 est vraie
x ∈] − ∞, −4[ =⇒ x 2 + 3x − 4 > 0 est vraie
sin(θ) = 0 =⇒ θ = 0 est fausse
P \Q V F
V V F
F V V
√
0 ≤ x ≤ 25 =⇒ x ≤ 5 est vraie
x ∈] − ∞, −4[ =⇒ x 2 + 3x − 4 > 0 est vraie
sin(θ) = 0 =⇒ θ = 0 est fausse
si P est fausse alors l’assertion P =⇒ Q est toujours vraie
P \Q V F
V V F
F F V
P \Q V F
V V F
F F V
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
4 non(P et Q) ⇐⇒ (non P) ou (non Q)
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
4 non(P et Q) ⇐⇒ (non P) ou (non Q)
5 non(P ou Q) ⇐⇒ (non P) et (non Q)
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
4 non(P et Q) ⇐⇒ (non P) ou (non Q)
5 non(P ou Q) ⇐⇒ (non P) et (non Q)
P et (Q ou R) ⇐⇒ (P et Q) ou (P et R)
6
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
4 non(P et Q) ⇐⇒ (non P) ou (non Q)
5 non(P ou Q) ⇐⇒ (non P) et (non Q)
P et (Q ou R) ⇐⇒ (P et Q) ou (P et R)
6
P ou (Q et R) ⇐⇒ (P ou Q) et (P ou R)
7
Proposition
1 P ⇐⇒ non(non(P))
2 (P et Q) ⇐⇒ (Q et P)
3 (P ou Q) ⇐⇒ (Q ou P)
4 non(P et Q) ⇐⇒ (non P) ou (non Q)
5 non(P ou Q) ⇐⇒ (non P) et (non Q)
P et (Q ou R) ⇐⇒ (P et Q) ou (P et R)
6
P ou (Q et R) ⇐⇒ (P ou Q) et (P ou R)
7
8 P =⇒ Q ⇐⇒ non(Q) =⇒ non(P)
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F V V
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F V V
P \Q V F
V
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F V V
P \Q V F
V F
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F V V
P \Q V F
V F V
F
Démonstration.
Table de vérité de non(P et Q)
P \Q V F
V F V
F V V
P \Q V F
V F V
F V V
L’assertion
∀x ∈ E P(x )
est vraie lorsque les assertions P(x ) sont vraies pour tous les éléments x
de l’ensemble E
L’assertion
∀x ∈ E P(x )
est vraie lorsque les assertions P(x ) sont vraies pour tous les éléments x
de l’ensemble E
L’assertion
∀x ∈ E P(x )
est vraie lorsque les assertions P(x ) sont vraies pour tous les éléments x
de l’ensemble E
L’assertion
∀x ∈ E P(x )
est vraie lorsque les assertions P(x ) sont vraies pour tous les éléments x
de l’ensemble E
L’assertion
∃x ∈ E P(x )
est une assertion vraie lorsque l’on peut trouver au moins un x de E pour
lequel P(x ) est vraie
L’assertion
∃x ∈ E P(x )
est une assertion vraie lorsque l’on peut trouver au moins un x de E pour
lequel P(x ) est vraie
∃z ∈ C (z 2 + z + 1 = 0)
∀z ∈ C (z 2 + z + 1 6= 0)
∃z ∈ C (z 2 + z + 1 = 0)
∀z ∈ C (z 2 + z + 1 6= 0)
∀x ∈ R (x + 1 ∈ Z)
∃x ∈ R (x + 1 ∈
/ Z)
∃z ∈ C (z 2 + z + 1 = 0)
∀z ∈ C (z 2 + z + 1 6= 0)
∀x ∈ R (x + 1 ∈ Z)
∃x ∈ R (x + 1 ∈
/ Z)
Remarques
L’ordre des quantificateurs est très important
∀x ∈ R ∃y ∈ R (x + y > 0) est vraie
∃y ∈ R ∀x ∈ R (x + y > 0) est fausse
Remarques
L’ordre des quantificateurs est très important
∀x ∈ R ∃y ∈ R (x + y > 0) est vraie
∃y ∈ R ∀x ∈ R (x + y > 0) est fausse
∃x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe au moins un réel pour lequel f s’annule
∃! x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe un unique réel pour lequel f s’annule
Remarques
L’ordre des quantificateurs est très important
∀x ∈ R ∃y ∈ R (x + y > 0) est vraie
∃y ∈ R ∀x ∈ R (x + y > 0) est fausse
∃x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe au moins un réel pour lequel f s’annule
∃! x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe un unique réel pour lequel f s’annule
la négation de l’inégalité stricte < est l’inégalité large ≥
Remarques
L’ordre des quantificateurs est très important
∀x ∈ R ∃y ∈ R (x + y > 0) est vraie
∃y ∈ R ∀x ∈ R (x + y > 0) est fausse
∃x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe au moins un réel pour lequel f s’annule
∃! x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe un unique réel pour lequel f s’annule
la négation de l’inégalité stricte < est l’inégalité large ≥
Les quantificateurs ne sont pas des abréviations
Pour tout réel x , si f (x ) = 1 alors x ≥ 0.
∀x ∈ R (f (x ) = 1 =⇒ x ≥ 0)
N’écrivez pas ∀x réel, si f (x ) = 1 =⇒ x positif ou nul
Remarques
L’ordre des quantificateurs est très important
∀x ∈ R ∃y ∈ R (x + y > 0) est vraie
∃y ∈ R ∀x ∈ R (x + y > 0) est fausse
∃x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe au moins un réel pour lequel f s’annule
∃! x ∈ R (f (x ) = 0) : il existe un unique réel pour lequel f s’annule
la négation de l’inégalité stricte < est l’inégalité large ≥
Les quantificateurs ne sont pas des abréviations
Pour tout réel x , si f (x ) = 1 alors x ≥ 0.
∀x ∈ R (f (x ) = 1 =⇒ x ≥ 0)
N’écrivez pas ∀x réel, si f (x ) = 1 =⇒ x positif ou nul
Ces symboles n’existent pas 6 ∃, =⇒
6
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Cas par cas
Contraposition
Absurde
Contre-exemple
Récurrence
Raisonnement direct
Pour montrer que l’assertion P =⇒ Q est vraie :
on suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q est vraie
Raisonnement direct
Pour montrer que l’assertion P =⇒ Q est vraie :
on suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q est vraie
Raisonnement direct
Pour montrer que l’assertion P =⇒ Q est vraie :
on suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q est vraie
Raisonnement direct
Pour montrer que l’assertion P =⇒ Q est vraie :
on suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q est vraie
donc a + b ∈
Raisonnement direct
Pour montrer que l’assertion P =⇒ Q est vraie :
on suppose que P est vraie et on montre qu’alors Q est vraie
p p0 pq 0 + qp 0
a+b = + 0 =
q q qq 0
or pq 0 + qp 0 ∈ Z, qq 0 ∈ N∗
donc a + b ∈
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Premier cas : x ≥ 1.
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Premier cas : x ≥ 1.
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Premier cas : x ≥ 1. Alors |x − 1| = x − 1
x 2 − x + 1 − |x − 1| = x 2 − x + 1 − (x − 1)
= x 2 − 2x + 2
= (x − 1)2 + 1 ≥ 0
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Premier cas : x ≥ 1. Alors |x − 1| = x − 1
x 2 − x + 1 − |x − 1| = x 2 − x + 1 − (x − 1)
= x 2 − 2x + 2
= (x − 1)2 + 1 ≥ 0
Démonstration.
Soit x ∈ R. Distinguons deux cas
Premier cas : x ≥ 1. Alors |x − 1| = x − 1
x 2 − x + 1 − |x − 1| = x 2 − x + 1 − (x − 1)
= x 2 − 2x + 2
= (x − 1)2 + 1 ≥ 0
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Soit n ∈ N. Montrer que si n2 est pair alors n est pair
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Soit n ∈ N. Montrer que si n2 est pair alors n est pair
Démonstration.
Supposons que n n’est pas pair
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Soit n ∈ N. Montrer que si n2 est pair alors n est pair
Démonstration.
Supposons que n n’est pas pair
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Soit n ∈ N. Montrer que si n2 est pair alors n est pair
Démonstration.
Supposons que n n’est pas pair
Contraposition
Basée sur l’équivalence entre les assertions P =⇒ Q équivaut à
non(Q) =⇒ non(P)
Pour montrer l’assertion P =⇒ Q, on suppose que non(Q) est vraie et
on montre qu’alors non(P) est vraie
Soit n ∈ N. Montrer que si n2 est pair alors n est pair
Démonstration.
Supposons que n n’est pas pair
Démonstration.
Raisonnons par l’absurde en supposant a
1+b = b
1+a et a 6= b
Démonstration.
Raisonnons par l’absurde en supposant a
1+b = b
1+a et a 6= b
Démonstration.
Raisonnons par l’absurde en supposant a
1+b = b
1+a et a 6= b
Démonstration.
Raisonnons par l’absurde en supposant a
1+b = b
1+a et a 6= b
Contre-exemple
Montrer que ∀x ∈ E P(x ) est fausse
équivaut à montrer ∃x ∈ E non P(x ) est vraie
Contre-exemple
Montrer que ∀x ∈ E P(x ) est fausse
équivaut à montrer ∃x ∈ E non P(x ) est vraie
Contre-exemple
Montrer que ∀x ∈ E P(x ) est fausse
équivaut à montrer ∃x ∈ E non P(x ) est vraie
Contre-exemple
Montrer que ∀x ∈ E P(x ) est fausse
équivaut à montrer ∃x ∈ E non P(x ) est vraie
Démonstration.
Un contre-exemple est 7
Contre-exemple
Montrer que ∀x ∈ E P(x ) est fausse
équivaut à montrer ∃x ∈ E non P(x ) est vraie
Démonstration.
Un contre-exemple est 7 : les carrés inférieurs à 7 sont 0, 1, 4 mais avec
trois de ces nombres on ne peut faire 7
Récurrence
Pour montrer qu’une assertion P(n) est vraie pour tout n ∈ N
Récurrence
Pour montrer qu’une assertion P(n) est vraie pour tout n ∈ N
Récurrence
Pour montrer qu’une assertion P(n) est vraie pour tout n ∈ N
Récurrence
Pour montrer qu’une assertion P(n) est vraie pour tout n ∈ N
2n+1 = 2n + 2n
> n + 2n car par P(n) : 2n > n
> n+1 car 2n ≥ 1
2n+1 = 2n + 2n
> n + 2n car par P(n) : 2n > n
> n+1 car 2n ≥ 1