Écologie et Écosystèmes

Marc.Girondot@universite-paris-saclay.fr
https://hebergement.universite-paris-saclay.fr/marcgirondot/

Ça fait parti de l’espace pédagogique commun en environnement, niveau de base pour tous
les domaines de l’environnement.
Exam : Samedi 4 novembre à 10h, le sujet est envoyé puis on doit le renvoyé à midi.

Année BP : before present, avant les années 50.

Il n’y a pas d’années 0 (sauf exception)
Les unités

L’écologie : dé nition :

Ça vient de deux mots grecs « oikos » (maison ou habit) et « logos » (discours, étude)
L’écologie est la science qui étude les organismes (leur distribution et leur abondance),
toutes les interactions qu’ils ont avec leur milieu milieu ainsi que les cons quences de ces
interactions.
Le niveau d’organisation et d’interaction consid r peut tre tr s variable.

La biologie s’occupe d’organisme alors que l’écologie stoppe que l’organisme et de son
environnement

Niveau d’organisation : Individus => population => communauté (différentes espèces au

même endroit au même moment) => écosystème => biosphère.

les écologistes doivent traité ses niveaux.

En dessous de l’individus il y a les organes et cellules, ça correspond à différent domaine de
l’écologie.

La physiologie : étude de la régulation du milieu intérieur, quand les biologiste L ils

essayent de se mettre dans des milieux controlé. Éco-physiologie : on fait varier
l’environnement.

À l’échelle de l’individus on fait biologie du comportement, de l’éthologie : utilisé par les

sciences humaines, on considère que l’individus est unique et le comportement moyen n’ a
pas de sens, alors qu’en écologie du comportement elle a un sens. Rapprochement : en
éthologie on essaye de comprendre avec des méthode scienti que et en écologie du
comportement on a remarqué que les individu dans les environnement naturel avaient un
trait de personnalité (alors qu’avant c’était considéré comme de l’anthropomorphisme,
comportement humain aux animaux) et on a vu ça chez les oiseaux qui embête, qui
soumettent, se bagarre.

Avien = oiseau. On parle de « dinosaure non avien » car les dinosaure était volant.

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 Écologie de la communauté comprendre les différentes espèces entres elles, comprendre
comment imaginé un écosystème avec 100 000 espèces.

Écologie du paysage : landscape ecology, différent écosystème avec des individus qui
passent de l’un à l’autres, réseau d’écosystème relié.

Étude de la biodiversité

Étude des changement globaux

L’écologie se fait selon 2 approches :

- écologie fonctionnelle : comprendre le fonctionnement du système. Le fonctionnement de

l’organisme ou l’ cosyst me est le sujet de l’ tude. Par fonctionnement on entendra en
particulier les ux de mati res et d’ nergie. (Qui mange qui). Ça traite de l’actuelle.
Échelle : saison
- Écologie évolutive : ne cherche pas comment ça marche mais pourquoi. Les m canismes
de l’ volution sont utilis s pour comprendre les diff rences observ es entre esp ces.
Traite du temps long. Échelle : million d’année.
On connait le rythme d’extinction des espèces depuis 500 ans. L’extinction Crétacé c’est
produit sur 200 000 ans

… qui re ètent deux dé nitions du vivant :

• Soit on dit qu’un organisme vivant doit se nourrir, un organisme vivant est une structure
qui n’est pas en quilibre thermodynamique avec le milieu. Vivant - lutter contre ce qui se
passerait naturellement. Notion fonctionnelle du vivant.

• Un organisme vivant se reproduit et évolue : notion évolutive du vivant.

Virus peut évoluer avec des mutations mais quand le virus est dans sa particule virale et pas
intégrer avec une cellule, c’est un amas de molécule. Première dé nition mais pas la
deuxième.

Hypothèse Gaïa : L'hypoth se Ga a, initialement avanc e par l' cologue anglais James
Lovelock en 1970, est que la Terre serait « un syst me physiologique dynamique qui inclut
la biosph re et maintient notre plan te depuis plus de trois milliards d'ann es en harmonie
avec la vie ».
Traité la terre comme un objet fonctionnel c’est de l’écologie fonctionnelle.
Gaïa était une déesse grecque qui avec 4 enfants qui étaient les 4 saisons.

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 Écologie scienti que et écologie politique :

La relation entre les deux, en pratique les activité sont séparé, les passerelle sont à l’échelle
individuelle. Les écologistes scienti que ne sont pas des politiques et l’inverse aussi. Dans
le domaines de l’écologie politique on a une pratique anti-science.

Pourquoi étudier l’écologie :

Pour comprendre comment les systèmes naturels fonctionnent.

Pour comprendre quel est l'impact des activit s humaines sur le fonctionnement des
cosyst mes.
Pour permettre de mettre en place des pratiques cologiquement correctes (ex:
d veloppement durable). On peut aussi parler aussi de dév soutenable. Le DD ne doit pas
mettre en péril le fonctionnement des écosystèmes. Il doit prendre ne compte la composante
écologie, la sociaux et l’économique. Pendant longtemps l’écologie politique refusait la
composante économique, et l’intégrer à été innovateur.
ERC : éliminer, comprendre, compenser.

Comment étudier l’écologie :

La méthode scienti que qui commence avec Aristote(son maître était Platon). Platon,
l’amour platonicien. Pour
Aristote le plus important est
ce qu’on ressent par les sens.
Ibn Al Haytham est un
physicien de l’optique et a fait
la fusion entre l’optique et la
mathématique. Roger Bacon
s’oppose a la scolastique, très
codi é par l’église. René
Descartes a fait le schéma

Science v/s Pseudoscience :

On a une méconnaissance du raisonnement et des faits scienti que. Un fait n’est pas
scienti que ou pas, que qui le rend est d’appliquer une (cette) méthode.

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 Observation et description :

Le naturaliste de terrains va consigner dans des carnets des observations.

La dif culté est de généralisé à partir des observations : « le pluriel des anecdote n’est pas
des donnés ». Si il ya des anecdote sur quelque années sur un terrains restreint on peut rien
faire, alors que sur 100 ans ou plus sur un large terrain on peut en faire quelque chose.

Hypothèse : canicule en France en 2003, les modèles ne le prévoyaient pas. La question est
ce que la canicule était exceptionnel oui en déjà eu ? => utiliser des données anecdotique de
vendange en Bourgogne (date de début), ce qui a produit des donnés intéressantes. Début en
2003 a été précoce de tout ce qu’on connait (vendange depuis 1370).
=> indicateur intégrateur (car intégré tout le climat de juin au vendange, au lieu d’avoir une
valeur contractuelle on pourrait prendre la température du 1er septembre ce qui n’est pas
intégrateur, l’intégrateur prend de juin à septembre en une valeur.

Des fois les donnés anecdotique ne servent à rien, mais replacé dans le temps long ça peut
donné quelque chose.

Test des hypothèses : on peut faire des expérience à petite, moyenne, grande échelle.

Explosion à Tchernobyl en 86 : radioactivité, on ne sait pas a quelle niveau ça affecte la

population. L’impact a Tchernobyl de la radioactivité : on a eu que 25 tumeurs sur les
oiseaux observés, plus les zone où la radiation est importante plus il y a de tumeurs et de cas
d’albinos. Donc même des radiations faible donne des effets sur la santé. On n’avons pas de
donné sur l’Homme. C’est une expérience naturelle pour répondre à une question.

• Modélisation :

L’écologie est le domaine des science du vivant qui utilise le plus la modélisation :
- permet des gérer la grande complexité des systèmes étudiés
- Permets de fabriquer des réplications alors que l’on ne dispose que d’une terre
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Il veut fournir un cadre cohérent pour expliquer comment ça marche.

L’évolution est un changement au cours du temps, ce n’est pas un progrès ou une

découverte.

L’espèce dans la classi cation :

Quand on parle d’espèce il faut préciser. Dans les textes de lois nous n’auront pas les
cétacés, nous avons des noms d’espèce.
Le premier nom est celui de genre, puis espèces et c’est stable.

Effet de la pollution lumineuse : femelle tortue viennent pondre leur oeuf et repartent. Pic de
température est de 60° dans une zone volcanique. Les toute sont hectoterme (dépend du
milieu). Les tortue fuient la lumière car la chaleur présente un risque. Sauf que toute les
espèces ne répondent pas pareil. Les bébés tortue pour trouver la mer un proxi (proche de ce
qu’on veut quand on a pas l’information) le fait que les étoiles se re ètent sur la mers alors
que de l’autre cote il y a de la végétation donc c’est noir, le bébé est attiré par la lumière aux
contraire des adultes. On aura selon les espèces des réponses à la couleur de la lumières.

Une espèces est dé ni par le premier individus (le type) portant le nom, qui est le premier
qui est décrit, il sert de référence pour le nom de l’espèce.

Le problème de la dé nition typologique :

Dimorphisme sexuelle : problème de la dé nition basé sur le type et donc la ressemblance.

Le problème de la polymorphisme intra-spéci que : plusieurs morphologie par rapport à

l’espèce (humains, chimpanzé, escargot …). Il existe dans toutes les espèces.

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Le problème des espèces jumelles : Exemple d’Heliconius charithonia et Heliconius
peruvianus. L'œuf de cet insecte contient du cyanure et d'autres l ments toxiques provenant
des plantes que les adultes ont mang es.
Il ya des individus qui on un type de gens, d’autres qui en on un autre et il n’y a jamais
d’hybride entre les deux.
Deux espèces qui se ressemble : c’est du mimétisme, l’une présentant un danger (du
cyanure ici) ça devient un mimétisme Batéssien, chez l’autre espèces on a un truc qui
différencie.

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