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MATERIAUX ROUTIERS
07/03/2016 1
Qualité + Sécurité d’un Ouvrage
07/03/2016 2
PLAN
- Analyse grnulométrique
- Limites d’Atterberg
- Valeur au bleu de méthylène
- Teneur en carbonate (CaCO3)
- Fragmentabilité
- Dégradabilité
- Essai Proctor
- Essai CBR/IPI
07/03/2016 3
PLAN (suite)
- Equivalent de sable
- Propreté superficielle
- Los Angeles
- Fragmentation dynamique
- Micro-Deval
- Friabilité des sables
- Coefficient d’aplatissement
07/03/2016 4
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Référence:
P 18- 56O
07/03/2016 5
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Objet :
07/03/2016 6
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Principe :
Commentaire :
Essai contribue à :
- Classifier le matériau (LCPC, GMTR)
- Apprécier les qualités drainantes et la
sensibilité à l’eau
- Aptitude au compactage
07/03/2016 8
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Courbe granulométrique-Exemple
ARGIL SABLES
ES LIMONS FINS GROS GRAVIERS CAILLOUX
100
90
80
70
passants (%)
60
50
40
30
20
10
0
0,001 0,01 0,1 1 10 100
diamétre(mm)
07/03/2016 9
LIMITES D’ATTERBERG
Référence :
NF P 94 - 051
07/03/2016 10
LIMITES D’ATTERBERG
Objet :
Wl Wp
solide plastique liquide W (%)
IP= Wl - Wp
07/03/2016 11
LIMITES D’ATTERBERG
Principe :
07/03/2016 13
LIMITES D’ATTERBERG
Commentaire :
- permet d’apprécier le caractère argileux d’un
matériau.On distingue les seuils suivants:
IP < 12 : faiblement argileux
12 IP < 25 : moyennement argileux
25 IP < 40 : argileux
IP 40 : très argileux
- significatif pour les matériaux de plasticité
appréciable.
- contribue à la classification d’un matériau( GMTR)
07/03/2016 14
VALEUR AU BLEU DE METHYLENE
Référence :
- Sols ( VBS)
NF 94 – 068
- Granulats (VB)
P 18 - 592
07/03/2016 15
VALEUR AU BLEU DE METHYLENE
Objet :
07/03/2016 16
VALEUR AU BLEU DE METHYLENE
Principe :
L’essai se réalise sur :
- fraction 0/5 mm pour les sols.
- fraction 0/2 mm pour les granulats.
Il consiste à :
- mettre en suspension permanente un matériau
- Ajouter des quantités de bleu de méthylène
- Procéder au test à la tache
- Arrêter l’essai quand la tache garde une auréole
bleu claire.
07/03/2016 17
VALEUR AU BLEU DE METHYLENE
Commentaire :
07/03/2016 18
TENEUR EN CARBONATE
Référence :
NF P 94-048
07/03/2016 19
TENEUR EN CARBONATE
Objet :
07/03/2016 20
TENEUR EN CARBONATE
Principe :
Calcimétre - Exemple
07/03/2016 22
TENEUR EN CARBONATE
Commentaire :
07/03/2016 23
FRAGMENTABILITE
Référence :
NF P 94 - 066
07/03/2016 24
FRAGMENTABILITE
Objet :
07/03/2016 25
FRAGMENTABILITE
Principe :
L’essai consiste à déterminer la réduction de
D10 d’un échantillon de granularité d/D
donnée soumis à un pilonnage
conventionnel.
Cette réduction s’exprime par le coefficient
de fragmentabilité FR, définit par :
07/03/2016 27
FRAGMENTABILITE
Commentaire:
FR est un des paramètres d'identification
retenu dans la classification des matériaux de
remblais et de couches de formes (GMTR).
Seuil retenu : FR = 7
Si FR < 7 Roche fragmentable
Si FR > 7 Roche peu fragmentable
07/03/2016 28
DEGRADABILITE
Référence :
NF P 94-067
07/03/2016 29
DEGRADABILITE
Objet :
07/03/2016 30
DEGRADABILITE
Principe :
L’essai consiste à déterminer la réduction de
D10 d’un échantillon de granularité d/D
donnée soumis à quatre cycles imbibition-
séchage conventionnels.
Cette réduction s’exprime par le coefficient de
fragmentabilité DG, définit par :
07/03/2016 32
DEGRADABILITE
Commentaire :
DG est un des paramètres d'identification
retenu dans la classification des matériaux de
remblais et de couches de formes (GMTR).
Seuils retenus: DG = 20 et 5
DG > 20 : matériau très dégradable
5 < DG < 20 : matériau moyennement dégradable
DG < 5 : matériau peu dégradable
07/03/2016 33
ESSAI PROCTOR
Référence :
NF P 94-093
07/03/2016 34
ESSAI PROCTOR
Objet :
07/03/2016 35
ESSAI PROCTOR
Principe:
L’essai s’effectue sur la fraction 0/20 mm.
Il consiste à :
- humidifier le matériau à plusieurs teneurs en
eau
- Compacter selon un procédé et une énergie de
compactage conventionnels
- Déterminer la masse volumique sèche(d)
- Tracer la courbe : d = f (W)
07/03/2016 36
ESSAI PROCTOR
07/03/2016 37
ESSAI PROCTOR
07/03/2016 38
ESSAI PROCTOR
rd (t/m3)
γdmax
1,7
5 10 15
Wopt W (%)
07/03/2016 39
ESSAI PROCTOR
Note :
07/03/2016 40
ESSAI PROCTOR
Modalités d’exécution des essais Proctor normal et modifié
07/03/2016 41
ESSAI PROCTOR
Commentaire:
07/03/2016 42
ESSAI CBR/IPI
Référence :
NF P 94-078
07/03/2016 43
ESSAI CBR/IPI
Objet :
07/03/2016 44
ESSAI CBR/IPI
Principe:
Il consiste à mesurer les forces à appliquer sur un piston
pour le faire pénétrer, à une vitesse normalisée, dans
une éprouvette de matériau dans un état de densité et
de teneur en eau. Les valeurs particulières des forces
ayant provoqué les enfoncements de 2.5 et 5 mm, sont
rapportées à des valeurs des forces observées sur un
matériau de référence pour les mêmes enfoncements
Par définition
CBR/IPI = Max { force à 2.5 mm(KN) ; force à 5mm (KN) }
13.5 20
07/03/2016 45
ESSAI CBR/IPI
07/03/2016 47
ESSAI CBR/IPI
Principe de poinçonnement
07/03/2016 48
ESSAI CBR/IPI
Commentaire:
07/03/2016 49
EQUIVALENT DE SABLE
Référence:
P 18 - 598
07/03/2016 50
EQUIVALENT DE SABLE
07/03/2016 51
EQUIVALENT DE SABLE
Objet:
07/03/2016 52
EQUIVALENT DE SABLE
Principe:
L’essai s’effectue sur la fraction 0/5 mm.Il
consiste à floculer la fraction à tester dans une
solution normalisée, et à mesurer, après un
temps de repos, les hauteurs du sédiment
(sable) et du floculat (fines).
Par définition :
Commentaire:
L’essai est difficile à interpréter puisque
interviennent simultanément la quantité et
la qualité des fines, la tendance actuelle
est faire l’essai sur un sable à teneur en
fine constante: Equivalent de sable à 10%
de fines(P 18-597), réalisé sur la fraction
0/2 mm .
07/03/2016 54
PROPRETE SUPERFICIELLE
Référence:
NF P 18-591
07/03/2016 55
PROPRETE SUPERFICIELLE
Objet :
07/03/2016 56
PROPRETE SUPERFICIELLE
Principe:
La propreté superficielle est définie comme
étant le pourcentage pondéral de particules
inférieures à 0.5mm (ou 1.6mm pour les
ballasts) mélangées ou adhérentes à la
surface des granulats supérieurs à 2mm.
Ces particules sont séparées par lavage sur
le tamis correspondant.
07/03/2016 57
PROPRETE SUPERFICIELLE
Commentaire:
07/03/2016 58
LOS ANGELES
Référence :
P 18-573
07/03/2016 59
LOS ANGELES
Objet :
07/03/2016 60
LOS ANGELES
07/03/2016 61
LOS ANGELES
Principe:
mesurer la quantité d’éléments inférieurs à
1.6 mm produite en soumettant le matériau
aux chocs de boulets normalisés dans une
machine Los Angeles
07/03/2016 62
FRAGMENTATION DYNAMIQUE
Référence:
NF P 18-574
07/03/2016 63
FRAGMENTATION DYNAMIQUE
Objet :
07/03/2016 64
FRAGMENTATION DYNAMIQUE
Principe:
L’essai s’effectue sur les gravillons entre 4 et
14 mm. Il consiste à mesurer la quantité
d’éléments inférieurs à 1.6mmproduits, en
soumettant le matériau aux chocs d’une
masse normalisée.
07/03/2016 65
MICRO DEVAL HUMIDE
Référence :
P 18-574
07/03/2016 66
MICRO DEVAL HUMIDE
Objet :
07/03/2016 67
MICRO DEVAL HUMIDE
07/03/2016 68
MICRO DEVAL HUMIDE
Principe:
L’essai s’effectue sur les gravillons entre 4 et
14mm et entre 25 et 50mm. Il consiste à mesurer
la quantité d’éléments inférieurs à 1.6mm
produite par frottements réciproques, dans un
cylindre en rotation, en présence des charges
abrasives et de l’eau.
Référence:
P 18-576
07/03/2016 70
FRIABILITE DE SABLES
Objet:
07/03/2016 71
FRIABILITE DE SABLES
Principe:
L’essai s’effectue sur la fraction 0.2/2mm ou
0.2/4mm. Il consiste à mesurer l’évolution
granulométrique des sables produite par
fragmentation dans un cylindre en rotation à
l’aide d’une charge en présence d’eau.
Référence :
NF P 18-561
07/03/2016 73
COEFFICIENT D’APLATISSEMENT
Objet :
07/03/2016 74
COEFFICIENT D’APLATISSEMENT
Principe:
07/03/2016 76
COEFFICIENT D’APLATISSEMENT
Le coefficient d’aplatissement :
CA(%) = ∑ Me x 100
∑Mg
07/03/2016 77
COEFFICIENT D’APLATISSEMENT
Commentaire:
07/03/2016 78
Stabilité des assises non traitées
07/03/2016 80
L’angularité
Exemple :
si une grave 0/20 est obtenue par concassage de la grave
brute 20/D, le rapport de concassage est de 1.
Si un granulat 0/10 est obtenue à partir du concassage de la
grave brute 40/D, les rapport de concassage est égale à 4 et
dans ce cas on dit que le concassage est pure.
07/03/2016 81
Les assises en GNT
la faiblesse majeure des couches d’assises
non traitées provient de leur manque de
rigidité d’où la nécessité de :
• ne les utiliser que pour des trafics faibles à
moyens ;
• les utiliser avec des épaisseurs fortes.
07/03/2016 82
Les assises en GNT
Les couches d’assises en graves non traitées se
comportent comme des solides élastiques, ce
comportements (dû au fait que la GNT est « en coffrée »
dans la chaussée) n’est atteint en fait qu’à environ 1 m du
bord de la chaussée.
07/03/2016 83
a-Trafic
Sous l’effet du trafic l’assise peut s’altérer par attrition (manque de
dureté) et peut se déformer par manque de stabilité dû à une
Angularité insuffisante.
b-Ségrégation
La ségrégation accroît la probabilité d’apparition de dégradations de
Toutes natures. En effet dans la partie sableuse, la stabilité et la
compacité seront insuffisantes par contre dans la partie où
prédominent les gros éléments, le pourcentage des vides sera
important d’où sensibilité à l’eau et compacité insuffisante.
c-granularité
Un défaut en fines peut entraîner une diminution de la cohésion.
d-Propreté
En présence d’eau la stabilité peut être compromise si les granulats
ne sont pas propres.
07/03/2016 84
e- Nature des fines
Ne doit pas être argileuses ou plutôt nocive .
f-Dureté
La caractéristique essentielle pour garantir la permanence des
qualités de l’assise
g-Angularité
La présence insuffisante d’arêtes vives ne va pas permettre une
bonne interaction des matériaux entre eux et favorisera l’instabilité
de l’assise
h-Forme
un excès d’éléments plats ou allongés nuit à la compacité et à la
stabilité de la couche.
i-Teneur en eau
Les GNT obéissent aux règles du PROCTOR.
Comme les courbes Proctor sont plates, une faible variation de la
teneur en eau n’entraîne qu’une très faible variation de la densité
sèche. 07/03/2016 85
les liants hydrocarbonés
la composition élémentaire du bitume est en
moyenne la suivante (Élément % massique ) :
carbone 82-88
hydrogène 8-11
soufre 0-6
oxygène 0-1.5
azote 0-1
07/03/2016 86
les liants hydrocarbonés
les liants hydrocarbonés sont des substances
constituent essentiellement d’assemblage d’atomes de
carbone et d’hydrogène et en faible quantité de soufre
et d’oxygène ; qui au contact de particules solides
(granulats) développent des forces d’adhésion et de
cohésion qui assurent une certaine rigidité , des
résistances à la déformation en traction, compression et
cisaillement. les liants hydrocarbonés sont
imperméables à l’eau et y sont insolubles. Ces produits
ont des structures chimiques très complexes , ce sont
des colloïdes : ils comprennent une phase continu et
une phase dispersée. On distingue trois familles de
liants hydrocarbonés :
07/03/2016 87
les goudrons :
les goudrons : des produits qui dérivent de la
houille , c’est à dire qui proviennent du
traitement industriel de certains charbons. La
houille étant elle même issue de la
transformation géologique (par pression et
température) de dépôts constitués par des débris
végétaux.
Le goudron est une suspension de carbone dans
une phase huileuse aromatique.
07/03/2016 88
les goudrons :
Goudron
07/03/2016 89
les bitumes
les bitumes : des produits qui dérivent du
raffinage du pétrole brut.
Le bitume : la phase continue est une huile
visqueuse appelée maltènes. la phase
dispersée dite asphaltènes est plus au
moins mobile au sein des maltènes, elle est
responsable de la couleur noire du bitume
comme le carbone pour le goudron, et de ses
propriétés mécaniques bien particulières.
07/03/2016 90
les bitumes
résine
maltène
asphaltène
Bitume
07/03/2016 91
l’asphalte
l’asphalte : des matériaux naturels
rigides constitués par une roche
imprégnée d’hydrocarbures jusqu’à
20%. Ils sont extraits par abattage et
transformés par concassage et broyage.
L’asphalte est utilisé sous forme de
poudre ou sous forme de mastic (
étanchéité, voirie, enrobés bitumineux
peut apporter bitume et fines)
07/03/2016 92
Essais sur liants
hydrocarbonés
Pénétrabilité
Ductilité
Pseudo viscosité
07/03/2016 93
Pénétrabilité
07/03/2016 95
Point de ramollissement ou
température bille anneau (TBA)
avant Après
chauffag
e
07/03/2016 97
Ductilité
07/03/2016 98
Les bitumes purs
CLASSES
DESIGNATION
80/100 60/70 40/50
Point de ramollissement
41 à 51 43 à 56 47 à 60
bille et anneau en degré centigrade
07/03/2016 99
Bitumes fluidifiés
La consistance des bitumes fluidifiés est appréciée par un essai de
pseudo viscosité qui consiste à mesurer le temps d’écoulement en
secondes de 50cm3 de bitume à travers un orifice circulaire et à une
température normalisées (25°C ou 40°C).
07/03/2016 100
Cinq classes de bitumes fluidifiés sont définies dans la norme
NF T 65-002 selon leur pseudo-voscosité.
Classe
Caractéristique Essai normalisé
0-1 10-15 150-250 400-600 800-1400
Pseudoviscosité mesurée
NF T 66-005
au viscosimètre
— d’orifice 4 mm, à 25 °C
< 30
(s)
— d’orifice 10 mm, à 25 °C
10 à 15 150 à 250 400 à 600
(s)
— d’orifice 10 mm, à 40 °C
80 à 200
(s)
Densité relative à 25 °C (au
NF T 66-007 0,90 à 1,02 0,90 à 1,02 0,92 à 1,04 0,92 à 1,04 0,92 à 1,04
pycnomètre)
Distillation fractionnée
(résultats exprimés
NF T 66-003
en pourcentage du volume
initial)
Fraction distillant au-
dessous de :
190 °C <9
225 °C 10 à 27 < 11 <3 <2 <2
315 °C 30 à 45 16 à 28 6 à 15 5 à 12 3 à 11
360 °C < 47 < 32 < 20 < 15 < 13
Pénétrabilité (à 25 °C, 100
NF EN 1426
g, 5 s) du résidu à 360 °C 80 à 250 80 à 250 80 à 200 80 à 200 80 à 200
(NF T 66-004)
de la distillation (1/10 mm)
A : 21 < 55 A : 21 < 55
Point d'éclair (vase clos)
NF T 66-009 °C °C > 55 °C > 55 °C > 55 °C
(°C)
B : > 55 °C B : > 55 °C
07/03/2016 101
Bitumes fluidifiés
07/03/2016 102
Viscosimètre pour bitumes
fluidifiés
07/03/2016 103
Essai Marshall
07/03/2016 104
Presse Marshall
07/03/2016 105
Essai Marshall
07/03/2016 106
Presse Marshall
07/03/2016 107
Essai Duriez
07/03/2016 109
Equipements pour essais Duriez
07/03/2016 110
Presse à cisaillement giratoire : PCG
07/03/2016 112
Presse à cisaillement giratoire : PCG
07/03/2016 113
Essai d’orniérage
07/03/2016 114
Essai d’orniérage
07/03/2016 115
Essai de module de rigidité sur EB
07/03/2016 116
Essai de module en traction indirecte
EN 12 697 - 26
T
L’expression du module de rigidité en appliquant la formule (A) est:
Em= L(+0,27)
DT
Avec :
L : Force verticale appliquée exprimée en N.
D : Amplitude du déplacement horizontal en mm.
T : L’épaisseur de l’éprouvette en mm.
: Coefficient de Poisson (généralement égal à 0.35 à 20°).
07/03/2016 117
07/03/2016 118
07/03/2016 119
07/03/2016 120
QUELQUES RESULTATS
CNER
Moy : Kθ 1.39
07/03/2016 121
Essai de fatigue sur EB
07/03/2016 122
Essais de fatigue
L'objectif de cet essai est double :
07/03/2016 123
Critères retenus pour le dimensionnement des chaussées souples
Rappel
critère à vérifier :
L’allongement t à la base des couches bitumineuses doit être
inférieure à une valeur admissible : (NE, eq,f)Kr.Kc.Ks
Avec (NE, eq,f) = 6 (eq,f) (NE/106 )b
b : pente de la droite de fatigue
Kr : coefficient lié au risque de calcul, dispersion de l’épaisseur et
dispersion des résultats des essais de fatigue
07/03/2016 124
07/03/2016 125
Essai de fatigue : flexion à 4 points
NF EN 12 697-24
Psin(t)
Pince externe Pince interne Éprouvette
Détecteur de
déplacement
a a a
L=3a
07/03/2016 126