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Montaigne - « 

Des coches » – Les Essais – Livre III, ch. 6 – Guide de lecture

NOM : Beaudean Prénom : Ilan Classe : 611

Complétez les passages laissés vide en résumant le propos de Montaigne.


Les n° de lignes renvoient à la traduction en français moderne, sur les pages de droite de
l’édition Étonnants classiques.

Montaigne – « Des Coches » – Livre III, ch. 6 – Les Essais -

Mouvement du texte

l. 1 à 44 Réflexions sur la recherche des causes, et notamment celles de la coutume de bénir après
un éternuement, puis du mal de mer ou du mal de voyage. Réfutation de l'explication de la nausée
du voyage par la peur à partir de l'expérience personnelle de Montaigne.

l. 45 à 90 : Description de ce qu’est la prevoyance, dans plusieurs exemple médicaux, description


des emotion lors d’une bataille, la peur, la douleur, etc...

l. 91 à 109 Retour au sujet des coches que Montaigne ne supporte pas car ils lui donnent la nausée,
tout comme la litière ou le bateau.

l. 110 à 144 Réflexions sur l'usage militaire des voitures blindées puis sur l'usage des voitures de
parade dans l'antiquité (Marc-Antoine, Héliogabale...).

l. 144 à 188 : Description du soin apporté pour sa blessure faite au combat, avec un bout de tissus
afin de crér un garrot, ce qui suscita la douleur et la peu en lui, deux sentiments primaire, qui l’est
important de souligner pour Montaigne.

l. 189 à 377 : Critique de la générosité des Princes qui récompensent leurs sujets par un argent qui
n'est pas le leur mais celui des sujets eux-mêmes. Finalité extérieure des magistratures en général :
« Toute magistrature, comme tout art, jette sa fin hors d'elle » soit au service des usagers.
Conséquences funestes de la trop grande générosité des princes car elle favorise l'envie, la
convoitise et l'ingratitude. Exemple tirés de l'antiquité (Crésus et Cyrus, longue description ironique
des jeux romains). La seule excuse à la magnificence des jeux romains est « l'invention et la
nouveauté ».

l. 377 à 415 : Réflexions sur la vanité des connaissances humaines dans le temps et dans l'espace :
l'homme ne peut tout connaître et est ignorant de la totalité des savoirs et du monde : exemples de
l'artillerie et de l'imprimerie déjà connue en Chine mille ans avant qu'elles n'apparaissent en Europe.

l. 416 à 429 : Réflexions sur le décandentisme ou le discours décliniste sur le monde qui est erroné.

l. 451 à 534 : Description de la civilisation indigène présentée comme raffinée, intelligente : villes
de Cusco et Mexico.
Portrait moral élogieux des indigènes par antithèse avec celui des Européens qui ont exploité leur
naïveté et leur bonté. Blâme des Européens qui les ont asservis par leur supériorité technologiques
et par la ruse.
l. 576 à 601 : Récit de la capture du roi Atahualpa du Pérou et de la demande de rançon payée puis
de l'exécution du rois.

l. 602 à 633 : Présentation et description d’une haute muraille proche de Quito ( capitale de
l’équateur), on l’on y perçoit de grands murs, et paroisses. Description des élément jouxtant cette
muraille.

l. 634 à 675 :Description, évoquant de grands palais remplits de vivre, permettant l’apport en


nourritures en vetements et en armes a la population. Observation de la difficulté de conception de
ce palais.

l. 675 à 727 : Évocation des croyances apocalyptiques des populations indigènes (cinq âges et cinq
soleils). Retour sur la pompe et la magnificence qui ont permis la digression : la route reliant Quito
à Cusco.

l. 728 à 737 Retour sur les voitures : le mode de transport (brocards) des rois indigènes ; anecdote
du roi du Pérou prisonnier et mis à terre de sa « voiture » par un soldat européen à cheval.

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