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Le tissu conjonctif TC (derme sous épiderme/épit) comporte des cell non cohésive/jointive, non obligatoirement polarisé
et une matrice extracell (fibre + substance fondamentale + eau). Il a embryologiquement une origine mixte → vient
principalement du mésoblaste et du mésenchyme qui sont des tissus immatures intra et extra-embryo, et il y a les cell de
la crête neural (dérivé de l’ectoblaste) qui sont à l’origine du TC de la tête. Il existe une transition entre feuillet ecto et
méso appelé transition Epithélio-Mésenchymateuse. A l’inverse, des cellules souches mésenchymateuses peuvent
coloniser et remplacer certains épithéliums. Rappel : parenchyme= épit (partie noble responsable des fct) et
mésenchyme/stroma = TC vascu et innervé (sauf le cartilage et le stroma de la cornée). TC constitue une charpente
rigide des organes et des tissus. Il constitue les voies de communications des systèmes (vaisseaux, nerfs). Il relie les
tissus entre eux (comme le sang, tissu fluide) et il est le siège principal des phénomènes d’inflammation.
Le TC conjonctif commun (non spé) peut être lâche (pauvre en fibre) ou dense
orienté ou non orienté (riche en fibre) → selon aspect matrice.
Parmi les cell fixes, on a les familles du fibroblastes, les adipocytes, les chondrocytes (cartilage), ostéocytes, péricytes
(ils s’apparentent aux cell myoépithéliale/myofibroblaste. Ils se retrouvent accolé aux vaisseaux sanguins et sont entouré
de memb basale), les synoviocytes (capsule articulaire) et cell muscu lisse (prostate).
!! Les tissus conjonctifs sont le siège prédominant de l’inflammation !!
FAMILLE DU FIBROBLASTE
Le fibroblaste= cellule jeune. Au MO, il est allongée étoilée et actif, de taille variable avec un noyau unique clair,
ovalaire + nucléole + cytoplasme basophile et sans lame basale. Au ME, on voit des prolongements cytoplasmiques et
jonctions communicantes, un REG et golgi, ainsi que des vésicules d’exocytose et endocytose. A l’IHC, il est caractérisé
par l’expression de la vimentine+ et la perte d’expression de CD34-.
Parmi les cell mobiles, on a les macrophages (phagocyte : réside tjrs = fusion monocyte), cell dendritique, mastocyte
(basophile + histamine, vient Moelle O) et plasmocyte (vient lymphoide, RER pour produc AC) qui réside dans TC
issu de précurseur sanguin, puis les lymphocytes, polynucléaires neutrophiles et éosinophiles provenant du sang.
LES MACROPHAGES
→ TC lâche commun : composé de substance fondamental ++, fibre ++, cell ++, nerf et vaisseaux. Localisé dans TC
commun, derme superf, chorion des muqueuses, adventice des vaisseaux
→ TC lâche muqueux : composé de substance fondamentale ++++, fibres +/-, Cellules ± . localisé : cordon O
→ TC denses fibreux: Substance fondamentale +, fibres ++++, Cellules +
¤ non orienté : derme moyen, périoste, périchondre, capsules articulaires
¤ orienté unitendu (ligament, tendon), bitendu (aponévrose) et multitendu (centre phrénique diaphragme)
→ TC denses élastique : Substance fondamentale +, fibres élastique ++++, Cellules + :Ligament jaune (nuque), Média
des artères élastiques (Aorte et artère pulmonaire), Amortisseur de la systole cardiaque
¤ Artères élastiques : Intima, Média (fibres élastiq (visible HES, colora° orcéine) > CML), Adventice
¤ Artère musculaire :Intima, limitante élastique int et ext, Média (CML >fibres élastiq) et Adventice
→ TC cellulaire : Substance fondamentale ++, fibres ++, Cellules ++++ : décidual (endomètre -chorion- hormono-
sensible) et stroma des gonades (stroma ovarien, leydig → produc hormone )
→ TC réticulaire (non dense) : fibres de réticuline +++ : stroma moelle hémato, foie, ganglion lymphati, rate et adipeux
: le collagène fibrill
La fibre du collagène au niveau du derme (MO) est divisé en papillaire (1/5ème : superficiel, lâche,
fibres fines) et réticulaire (4/5ème : profond, plus dense, fibres grossières). Le papillaire est au-dessus
du réticulaire.
Observable avec dépôt de métaux au ME → zone claire (riche en tropocoll et métal) et sombre (pauvre
en tropo mais bcp métaux) → striation transversale visible que sur coupe longitudinal
LA FIBRE DE RETICULINE : réseau non anastomosé composé de collagène 3. Au MO+HES pas visible, il faut une
coloration spéciale : imprégnation argentique. En ME, on voit des fibrilles isolées ou en trousseau.
Localisation : organe lymphoïdes, moelle hématopoïétique, muscle, foie …
LES FIBRES ELASTIQUES (assure l’élasticité des tissus): au ME on voit 3grands types :
➢ Fibres élastiques matures : composé d’élastine en zone centrale et homogène (zone amorphe) et de
fibrilline (périf et fibrillaire) composant les microfibrilles anastomosées au niveau des bifurcations de
élastine. Ces fibres n’ont pas de striation. Les fibres élastiques sont constituées de microfibrilles entourant
et organisant la région centrale de l’élastine.
➢ Fibres élastiques immatures : composante microfibrillaire prédomine sur la composante amorphe (= élastine)
➢ Faisceaux de microfibrilles (= fibres oxytalanes vu en M.O) : Dépourvus de composante amorphe
Au MO, HES, les fibres élastiques sont peu colorées, translucides et réfringentes, donc coloration
spéciale comme la Coloration à l’orcéïne (Mise en évidence des fibres matures fines, rectilignes,
Anastomosées) et l’Oxydation des coupes suivi d’une coloration à l’orcéïne (Mise en évidence des
fibres oxytalanes dépourvu d’élastine présente dans le derme papillaire).
Les fibres élastiques sont synthétisées par les fibroblastes, cellules musculaires lisses,
chondroblastes. Elles ont une structure protéique revenant à son état initial après une déformation
(lié à l’élastine). Elles sont dégradé par l’Elastase des fibroblastes et polynucléaires.
b) La substance fondamentale
La substance fondamentale = Gel hydrophile entre cellules et fibres du tissu conjonctif, transparent en MO. Elle est
composé de protéoglycanes et GAG (glycosaminoglycane), d’acide hyaluronique et de protéines d’adhérence. Elle
permet le mouvement d’eau, électrolytes, métabolites et de cellule. Les protéoglycanes ont la capacité de fixer
certaines cytokines ou facteurs de croissances et modulent ainsi leur biodisponibilité. La charge négative élevée des
complexes de protéoglycanes leur permet de retenir une grande quantité d’eau.
➢ GAG : Longues chaînes polysaccharidiques non ramifiées constituer d’unités disaccharidiques répétées à
charge négative → répétition de 2 oses : hexosamine et autre ose. Selon la compo en sucre, il à 7 sous types de
GAG en 2 catégories :
¤ GAG non sulfaté : Acide hyaluronique (Récepteur CD44)
¤ GAG sulfaté : Chondroïtine sulfate, Dermatane sulfate, Héparane sulfate, Kératane sulfate
➢ protéoglycane : axe protéiq (synthétisé dans RER) + glycoaminoglycanes (GAG) latéraux sulfatés :
ceux de la substance Fondamental est le versicane (gros protéoglycane en amas avec Ac. Hyaluronique) et la
décorine (petit protéoglycane autour des fibres de collagène). Ceux memb ou cell intervient dans l’adhérence
cell et le stockage de ligands. Ils sont intégrés à la memb (syndécanes) ou liés à la memb (ancre GPI)
➢ Agrégats d’acide hyaluronique: l’acide est un polymère de 2 à 25µm qui s’agrège avec des protéoglycanes
(=agrégat). Ils sont distribué en fct de leur age et rigidité. Dans les TC lâche jeune, bcp d’acide et peu de GAG
sulfaté, mais si TC rigide, bcp de GAG sulfaté et peu d’acide H.
Il se fait par la Métalloprotéases matricielles (MMP), une protéases dépendantes du Zn2+, synthétisées sous forme
de précurseurs latents et activées par clivage. Les MMP dégradent la MEC et libèrent des fragments de
macromolécules, des facteurs de croissance liés et latents: VEGF, TGFβ, et des protéoglycanes → Rôles dans la
prolifération, différenciation et migration cellulaire (développement, inflammation, invasion des cancers). Il existe
plusieurs MMP : La collagénase (MMP1 dégradent les collagènes fibrillaires→ Sécrétées par fibroblaste, kératinocytes,
macrophages), stromélysine (dégradent lame basale et élastine), Gélatinase (dégrade le collagène IV) et MMP memb.
Les cell migre par protusion, adhésion, traction et dé-adhésion, tout en dégradant la MEC par les Métalloprotéases. Les
MMP peuvent être inhibé par les TIMMPs (inhibiteurs tissulaires des MMPs) ce qui régule la dégradation de la matrice.
I – LES OSTÉOBLASTES
Ils sont issu de la moelle hématopoïétique. Ils sont formé à partir de monocyte par fusion cell. Ils ont une durée de vie de
10-15jrs. Ils ont une grande taille 50 à 150 μm, multinucléée (4 à 15 noyaux) avec plusieurs Golgi, bcp mito et
lysosomes (phosphatase acide) pour chaque noyau. Les OC ont une fct de résorption / destruction osseuse. Il peut être
Inactifs (mobile, à distance des ostéoblastes : ext tissu) ou Activés (focal/amas, fixé sur l’os par podosome et
polarisés avec pôle latéral et apical/ext et pôle basal/contact os).
MÉCANISME RÉABSORPTION OSSEUSE : OC va se fixer sur la partie osseuse minéralisé grâce à la zone
d’adhérence de la MEC (podosome). Des invaginations se font au pole basale, forme des replis appelé bordure en
brosse = lacune de Howship formé dans OC. (aug sa taille). Des lysosomes vont fusionner et déverser leur produit. Les
pompes à protons sur la memb de la bordure en brosse libère H+ dans lacune, va acidifier la lacune et solubiliser les
cristaux de la matrice minérale. Le contenu acide va activer des enzymes collagénase et cathepsine qui vont cliver
localement le collagène 1 et autre mol organique pour induire une réabsorption. Il y a production de ion bicarbonate
éliminé au pole apical vasculaire de l’OC par exocytose et rejoindre capillaire. Qd la lacune arrive à un ostéocyte, il est
digéré.
RÉGULATION ACTIVITÉ : les ostéoBlastes limitent l’accès des OC à la MEC (empêche fixation) et activent les OC
en produisant de l’interleukine 6 suite à une stimulation de la parathormone. Ils vont aussi produire des cytokines
(équilibre ostéo-formation / ostéo-résorption) dont la RANKL (RANK ligand) qui stimule récepteur RANK présent à la
surface des précurseurs monocytaires (provoque fusion pour former new OC) et active ostéolyse qd stimule 1 OC
directement. A l’inverse, l’ostéoprotégérine OPG (récepteur soluble qui piège RANKL→ inhibiteur) produit des OB.
Régulation par les cell du stroma de la moelle : produit OPG et RANKL
Régulation métabolique : aug local de la concentration en Ca dans la lacune, ce qui inhibe l’activité et induit le
déplacement des OC.
Régularisation hormonal via récepteur : la parathormone stimule indirect l’ostéoréabsorption. La calcitonine inhibe
l’activité des OC direct. Et l’œstrogène, inhibe l’activité des OC.
1) ossification primaire
L’os primaire résulte d’une ossification primaire du cartilage hyalin (ossification endochondrale, cal osseux) et du
tissu conjonctif (ossification endomembraneuse ou périosté, cal osseux). Il s’agit d’un os immature et temporaire,
fragile qui disparaît quasi-totalement chez l’adulte (sauf Osselets, point d’insertion tendons, fracture) et est remplacé
secondairement par l’os lamellaire. Il est composé d’ostéocytes communiquant, d’une MEC peu minéralisé, et fibre
de collagène 1 non organisé (= os tissé).
L’ossification endochondrale concerne les os long, court et qq os plats comme os iliaque
ou cote. L’ossification se fait d’abord au niveau de la maquette cartilagineuse (foyer
d’ossification) chez l’embryon à partir du mésenchyme (=hyalin). Ce cartilage hyalin va
être au contact des vsx sanguins (vsx nourricier enclenche processus). Le vsx nourricier va
d’abord se localisé au niveau du périchondre (non-tangentiel) et pénètre le cartilage (excès
O2 et nutriment transforme le tissu), le périchondre va devenir le périoste créant une petite région osseuse (produit par
OB) appelé virole osseuse d’origine périosté → ossification endoconjonctive périphérique coexistant avec ossification
endochondrale. Ensuite, les vsx vont conduire à la dégénérescence locale du hyalin avec hypertrophie par excès de
nutrition et mort des chondrocytes par apoptose laissant des travées conjonctivo-vasculaire (espace creux). Ces travées
vont déposé des cell mésenchymateuses, ce qui va conduire à une calcification de la MEC cartilagineuse et à une
infiltration de la MEC par des bourgeon conjonctivo-vasculaire (centre puis s’étend). Pour finir, les cell
mésenchymateuses se différencient en OB + synthèse d’ostéoïde sur cartilage calcifié = os primaire.
Ex de l’ossification de l’os long : il y a en même temps production latérale de tissu et conversion du tissu cartilagineux
en tissé. Le 1er point d’ossification primaire à apparaître est au niveau diaphysaire et central. Après, des points
d’ossifications 2nd apparaissent au niveau de l’épiphyse (transformation plaquette cartilagineuse) sans attaquer le
hyalin. Latéralement, il y a des bandes de cartilage de conjugaison qui croit dans le sens épiphyse vers diaphyse
(s’oppose au front d’ossification → équilibre). Qd la croissance terminé, le tissu osseux détruit le cartilage de
conjugaison (totale) et rejoint le tissu des autres points. Os à sa taille définitive qd tout le cartilage est détruit. Le
remodelage (destruction tissu tissé) amène à l’os secondaire et à mettre en place la cavité centrale médullaire + os
spongieux (épiphyse) et compact (diaphyse). l’ossification périosté permet une croissance en largeur/épaisseur.
L’ossification primaire endoconj (ex de l’os plat de la voûte crânienne → ébauche conjonctive dérivé du mésoblaste)
se fait par condensations cellulaires centrales multiples, différentiation de cellules mésenchymateuses en ostéoblastes +
synthèse d’ostéoïde = os primaire. Puis, progression radiaire et centrifuge, différentiation du périoste en périphérie et
remodelage osseux (mise en place plaques osseuses indépendante limitées par sutures (syndesmoses) et croissance boite
crânienne). Enfin, ossification lente des sutures (synostoses chez sujets âgé).
L’ossification périostatique est la croissance du périoste. Le périoste est un Tissu conj dense. Il a une région externe
fibreuse (vsx, nerf, fibroblaste, cell précurseur ostéogénique et fibre de collagène= fibre de Sharpey) et une région
interne (couche ostéogénique qui se transforme en OB et produise l'ostéroide). Le périoste permet une croissance en
épaisseur et un remodelage des surfaces. Il a une activité importante lors de la croissance (peut être activé si pb). Chez
l’adulte, le périoste est quiescent.
2) l’ossification secondaire
L’os secondaire est composé de collagène 1 organisé en parallèle au sein de la lamelles concentriques avec les
ostéocytes entre les lamelles. Ce sont des structures bcp + résistante que le primaire. En fct de l’organisation et la
distribution des lamelles, on a l’os spongieux et compact (tjrs secondaire du 1 er ou encore du 2e → perpétuel modif). Ces
2 os ont une structure identique composé de lamelle osseuse hélicoïdale qui mesure entre 3 à 8 μm. Les collagènes sont
parallèle les uns aux autres dans 1 lamelle, lorsqu’on change de lamelle, il y a modif de l’orientation de ces fibres. De
+, entre lamelles, il y a les cristaux d’hydroxyapatite et ostéocytes qui vont communiquer par les canalicules avec autres.
OS COMPACT (haversien) : il se situe en périf des os. Il est épais, les lamelles sont
organisé en système cylindrique appelé ostéones ou système de Havers au niveau de l’os
compact diaphysaire. Les ostéones sont composé de 4 à 20 lamelles osseuses
concentriques (1cm x 1mm). Les lamelles anciennes sont les + à l’extérieur, les + jeunes
sont + vers le centre. La partie centrale est creuse et traversé par le canal de Havers
(partie ext : monocouche ostéoblastiques quiescente = endoste, et au centre : vsx et nerf
sensitif amyéliniques). La partie externe des ostéones contient une ligne cémentante
calcifié (pas perforé par canalicule car pas de communication). Les ostéones sont parallèles les uns aux autres au
niveau de la diaphyse + communication latérale entre canal H appelé canal de Volkmann (tapisse endoste, contient vsx
en continuité et innervation sensitive). Dans l’os compact, il y a au centre l’endoste (tapis cell ostéoblastique), à l’ext,
le périoste. l’endoste pénètre avec vsx par canal de volkmann et Havers. Latéralement, les lamelles autre que ostéones
forment le système fondamental externe et interne. Les lamelles sont
concentriques et forme des ostéones complet. Système de Havers incomplets =
systèmes interstitiels (ancien en remodelage)
I- LE CARTILAGE HYALIN
Chez l’adulte, il est localisé en extra-articulaire (larynx, trachée, bronches, nez, extrémités costales) et en cartilage
articulaire (diarthrose). Chez l’enfant, idem mais aussi les cartilages de conjugaison des os longs et les ébauches
osseuses non encore ossifiées. Et en vie intra-utéro, c’est variable en fonction du stade de développement, Idem adulte
mais avec aussi les ébauches. Le cartilage hyalin a au centre des groupes isogénique coronaire + bcp de SF, et en périf,
il y a le périchondre (tissu conj).
Les chondrocytes sont des cell arrondi de 10-20μm ayant un cyto rétracté. Ils sont logés dans le chondroplastes (1
chondroP = 1 chondroC mais il arrive d’en avoir 2 suite à une division ayant pas encore isolé leur MEC, ou même
aucun). Leur rôle est de synthétiser la MEC et la division cell (activité important lors de la croissance = cell
mitotique). Ils sont, chez l’adulte, quiescent (peu actif). Qd ils sont présent au centre des massifs cartilagineux → pas
actif et en périf → activité faible. Lors de la croissance, les chondrocytes dépendent de la disponibilité des vitamines A
et D. La division est favorisé par la présence de récepteurs hormonaux qui favorise l’entré en mitose après stimulation
(IGF1, parathormone, œstrogènes, hormones thyroïdiennes). Les chondrocytes peuvent se diviser de 2 manières :
¤ Groupe isogéniques coronaires : division non orientée → favorise croissance multidirectionnelle des cartilages
hyalins (se divise en 2, puis 4 et se regroupe dans une couronne/ sphère)
¤ Groupes isogéniques axiaux : division orientée → croissance unidirectionnelle du cartilage de conjugaison (en ligne)
La MEC cartilagineuse est composé de fibre de collagène 2 (spé des cartilages sauf corps vitré œil) + SF. Le collagène
2 forme des fibrilles qui sont visibles en ME mais invisible en MO. Ce collagène fibrillaire s’organise en triple hélice
et présente une striation périodique (ME) et ont un agencement en panier fibreux. La substance fondamental est
abondante, très hydraté (80 % d’eau), organiser sous forme de large agrégat d’acide hyaluronique et protéoglycane en
« brosse ». Les protéoglycanes sont très hydrophile, et latéralement associer à des GAG sulfaté.
Le cartilage hyalin articulaire a une densité en chondrocyte plus faible en surface, le nb de chondrocytes diminue
avec l’âge, il a une orientation particulière du collagène type II, la nutrition et apports oxygénés sont limités via le
liquide synovial et fine bande de cartilage calcifié à l’interface avec le tissus osseux. Ils forment une couche fine (qq
mm), la disposition des fibres favorise la répartition des forces. En surface, les fibres sont // à la surface + riche en acide
hyaluronique. En profondeur, les fibres sont perpendiculaire à la surface (diminue répartition force).
VIEILLISSEMENT DES CARTILAGES : le capital cartilagineux est limité. Il y a des contraintes mécaniques
excessive (compression, cisaillement, étirement), il y a usure progressive du cartilage hyalin, une absence de
régénération et destruction des cartilages par inflammation ou autre (arthrose : étape final vieillissement, cartilage
endommagé). Lors de l’arthrose, il y a des douleurs venant de l’os ou synoviale (pas cartilage car pas innervé),
impotence (coulisse moins bien), inflammation et déformation articulaire. Les recherches en Bio - ingénierie tissulaire
ont dév l’injection d’hydrogels , de cellules souches et bioprinting.
CAS PARTICULIER DES CARTILAGES DE CONJUGAISON : ce sont des cartilages hyalins retrouvé au
niveau des métaphyses des os long et court lors de l’ossification (entouré de tissu osseux). Pour les os long, il y a 2
conjugaison car 2 métaphyse (court = 1). Ce sont des cartilages orienté (pas même morpho si épiphyse ou diaphyse).
Ils permettent la croissance en longueur des os longs et os court tubulaires. Ils disparaissent
totalement chez l’adulte. Lors de la croissance, il y a croissance unidirectionnel (épi → dia), puis,
croissance en longueur de l’os par transforma° du cartilage en os de la dia vers épi. Lors de la
croissance unidirectionnel, il y a plusieurs stades de l’épiphyse vers la diaphyse : cartilage hyalin
typique (proche épi), cartilage sérié (chondro stimulé et se divise de manière orienté formant des gr
isogénique axiaux) → cartilage hypertrophique (chondro grande taille, se rapproche vascu →
permet réabsorption de la MEC les entourant et produise une phosphatase alcaline favorisant le dépôt phosphocalcique =
travée conjonctivo-vascu direction dia vers épi). Lors de la croissance en longueur, entre cartilage hypertrophique et
les travée, se forme une fine bande de cartilage calcifié avec dépôt de cristaux, la zone entre cartilage calcifié et travé
s’appelle front d’ossification lieu de réabsorption et de remplacement de tissu → ce front va remonter vers l’épi.
Cartilage conjugaison : portion de cartilage hyalin, carti calcifié , possèdant gr isogénique axiaux
RÉGULATION HORMONALE : lors de l’enfance/ adolescence, il y a équilibre des croissances entre os/cartilage.
Cet équilibre est maintenu par des hormones via récepteur des chondrocytes. l’hypota produit la GHRH qui entraine
une libération d’hormone de croissance GH par l’hypophyse. La GH va stimuler les hépatocytes qui vont secréter la
IGF qui va entraîner l’aug de la division des chondrocytes du cartilage de conjugaison (si pas de GH= nanisme
harmonieux et si excès de GH = gigantisme). Les hormones stéroïdes sexuelles vont aussi agir en stimulant la division
des chondrocytes du cartilage de conjugaison et accélérer la vitesse du front d’ossification (ossification enchondrale) →
puberté : accélération croissance, la vitesse de croissance osseuse dépasse le cartilage ce qui entraine la disparition du
cartilage et l’arrêt définitif de la croissance en longueur des os. Les hormones thyroïdes vont aussi stimuler la
division (si déficit de ces hormones = nanisme dysharmonieux)
CARTILAGE FIBREUX : densité en chondrocyte inférieur au hyalin, possède peu collagène 2 et bcp de collagène 1
orienté // aux forces (absorbe choc), MEC peu abondante et non fibrillaire, produit par les chondrocytes. Il n’y a PAS de
périchondre en périf (limite croissance et régénération). Il est localisé partie ext des disques intervertébraux, symphyse
pubienne, ménisque genoux, tendon d’achille, et cal pré-osseux(temporaire, répare fracture). Ce cartilage est souple et
très résistant, il a un rôle d’amortisseur de pression mais sa régénération est nulle.
III- LE PÉRICHONDRE
C’est un tissu conj dense, non orienté. Il est constitué d’une zone externe
nourricière (composé de fibroblastes, vaisseaux, nerfs sensitifs, collagène 1, cell
souches mésenchymateuses multipotentes à division asymétrique) et d’une zone
interne chondrogène (composé de préchondroblastes et chondroblastes
fusiformes qui synthétise MEC). Il entoure les cartilages hyalins et élastiques
extra-articulaire. Il est disposé latéralement au niveau des cartilages articulaires
où il est en continuité avec le périoste et la capsule articulaire. Il apporte les
nutriments et échanges gazeux, apporte des cell nouvelle (différenciation pré-
chondro → chondroblaste→ chondrocyte : croissance par apposition des
cartilages). Chez l’adulte, l’activité de croissance lié aux périchondre est limité.
L’hématopoïèse
Les cell hématopoïétiques transitent dans différents tissus au cours du dév embryonnaire. Chez l’adulte, la moelle
osseuse est le site primaire hématopoïétique (lieu des 1ere étapes de maturation qui permette la fabrication de cell
sanguine), pour une moelle de 1,7L, il y a 10^12 cell hématopoïétique. Attention, il y a une différence entre moelle
osseuse (dans os) et moelle épinière (SNC) !
L’hématopoïèse est le processus qui permet la production régulée des cell mature sanguine toute la vie (maintient
le taux). Elle se déroule dans la moelle osseuse et nécessite 2 compartiments : le compartiment hématopoïétique
(contient cell souche, progéniteurs et cell hématopoïétique) et le compartiment de soutien (contient ostéoclaste,
ostéoblaste, macrophage, cell souche mésenchymateuse, adipocyte, cell endothéliale et neurale).
LE PROCESSUS : l’hématopoïèse nécessite la présence de cell souche hématopoïétique CSH capable de s’auto-
renouveler, reste quiescente ou se différencie en CSH engagé selon les signaux et l’environnement. La CSH engagé ou
commise se différencie et gagne le sang, elle se différencie en :
MOBILITÉ CELLULAIRE : la moelle osseuse (site production primaire cell) → sang (site de transit) → tissus (site
de localisation terminale ou transitoire : organe lymphoïde 2nd, conjonctif, épit, nerveux). Les lymphocytes T ne migre
pas directement dans les tissus, ils transitent d’abord par le thymus pour terminer la maturation puis migre dans tissus.
Les cell sanguine se déplace tjrs. La mobilité des cell de lignage hématopoïétique est médié par des mol d’adhésion et
des chimiorécepteurs, les chimiokines vont attirer les cell dans différents tissus.
ÉTUDE MORPHOLOGIQUE ET CELLULAIRE : on étudie la moelle osseuse qd les données cliniques et analyses
du sang révèle une anomalie de fonctionnement. Pour évaluer le type, la quantité et la maturité des cell, on va faire un
frottis médullaire (examen cytologique). Pour analyser sa structure, on fait une biopsie ostéo-médullaire BOM.
• FROTTIS : on fait une ponction sternale (rapide, aiguille, aspiration), fait le frottis (cell moelle dissocié et
étalé sur lame), fixation et coloration au May-Grunwald Giemsa, observation au MO (se base sur morpho,
couleur, taille et granulation des cell), enfin, un myélogramme est obtenu (% de chaque pop hématopoïétique).
Le myélo quantifie les cell (ceux nuclée, mature… : granuleux > éry > mononuclé > méga). la fixation et
l’observation se fait au service d’hématologie biologie. La présence de mégacaryocytes sur frottis est
caractéristique du médullaire (absent sur frottis périf du sang), ils sont rare mais gros→ facilement observable.
• BIOPSIE BOM : Elle se fait au niveau de la crête iliaque postérieur à l’aide d’un trocart (grosse aiguille) et
rapporte une carotte (fragment cylindrique de 2mm). L’analyse nécessite une fixation au formol, décalcification
EDTA, inclusion ds paraffine, section longitudinal fine de 3μm, déparaffinage, coloration HES qui colore
noyau (hématéine), cyto (éosine) et conjonctif (safran). Les résultats se font en 48-72h (- rapide que frottis,
l’empreinte ou l’apposition permet d’être + rapide). L’avantage, c’est qu’on peut observer la structure osseuse
(travée osseuse et sinusoïde), mais, la quantification des cell est difficile. La biopsie permet d’étudier la
richesse en % des cell hémato et adipocyte, l’architecture de la moelle (présence de fibrose ou nodules),
anomalie (métastase cancer) et la maturation des lignées.
• HISTOLOGIE CLASSIQUE : on peut voir l’os cortical en périf, l’os trabéculaire (travée), logettes inter
osseuse entre lamelle et interosseuse sous-cortical.
MOELLE OSSEUSE : constitué de tissu conjonctif lâche et réticulé, très vascu avec
bcp de capillaires sinusoïde (facilite cell sanguine). Elle contient des adipocytes
uniloculaires, des cell hématopoïétiques, et des cell venant se relocaliser dans la moelle
(macrophage, lymphocyte, plasmocyte et mastocyte). La vascularisation se fait par les
sinus veineux (=capillaires), il en existe 3 : les continus, fenêtrés et discontinu/sinusoïde.
Les capillaires sinusoïdes se trouvent dans la rate, le foie et la moelle. La lame basale est
discontinue et souvent absente. Ils ralentissent le courant sanguin, autorise le passage
facile d’éléments figuré du sang car orifices grands où passent les pseudopodes et cell S.
Ensuite, il y a 2 types de moelle osseuse : la rouge/ hématopoïétique (dans os spongieux
de l’épiphyse, face interne projeté dans cavité médullaire/travée) et la jaune/ adipeuse
(canal médullaire de la diaphyse, riche en adipocyte, formation moelle + importante avec l’age, lors d’hémorragie elle se
convertit en moelle rouge). Le périoste recouvre la surface des os et l’endoste recouvre la surface interne de l’os. Les
espaces interosseux de l’os spongieux contiennent un mélange des 2 moelles selon l’age. Avec le temps, la proportion de
moelle rouge diminue au profit de la jaune.
RÉGULATION DE L’HEMATOPOIESE : homéostasie du tissu sanguin (maintient taux sanguins constant). Cette
régulation fait intervenir:
• Les propriétés des cell souches hématopoïétiques : peu nombreuse et difficile à détecter (pas identifier sur
frottis ou biopsie, mais par cytométrie en flux par marqueur CD34), capable d’auto-renouvellement (division
asymétrique + diff = maintient stock cell), peuvent rester quiescente longtemps (phase G0) et sont multipotente
• Les propriétés des progéniteurs : caractérisé par une diminution progressive d’auto-renouvellement et
multipotence, une augmentation de l’entré en cycle cell, capacité à former des colonies en in vitro et a avoir
des phénotypes différents (vu en cytométrie)
• Des facteurs de régulation intrinsèque à la moelle (cell de soutien : paracrine/juxtacrine) : les cell de soutien
appartient au compartiment de soutien. Il y a une forte interaction entre cell hémato et de soutien. L’interaction
est directe quand communication juxtacrine (entre cell adjacente) et interaction indirecte pour communication
paracrine (grâce messager). Par exemple, l’interaction directe des cell souche hémato et ostéoblastes permet sa
rétention et quiescence dans la moelle (OB permet gestion stock cell souche) et la communication paracrine
peut se faire par les cytokines (petite glycoprot) qui stimule la prolif/auto-R et diff des cell souche, la
régulation peut être locale (production érythrocyte par cytokine produit par macrophage).
• Des facteurs de régulations extrinsèques : sécrétion hormone comme érythropoïétine EPO et la
thrombopoiétine TPO en endocrine. La TPO, qd il y a diminution du taux de plaquette, va être produite et
sécrété par le foie, il va se fixer sur son récepteur à la surface de cell immature → maturation des méga et
production de new plaquette. L’EPO, quand les reins détectent une réduction du transport d’O2, est sécrété,
véhiculé par le sang jusqu’à moelle pour stimuler érythrocyte qui vont aug O2 (arrêt du stimulus).
La leucémie est lié à un défaut d’hématopoïèse (origine génétique). La leucémie regroupe bcp de maladie et forme des
cancers différents se manifestant par une prolif anarchique des leucocytes. Cette pathologie touchent la différenciation
des cell hémato. Pour la leucémie aiguë, affectation au cours de la maturation (survie courte car grosse prolif) et pour la
leucémie chronique, affectation des + mature (prolif lente) → atteinte au niveau de la moelle ou tissu hémato (ex : rate).
Le tissu sanguin
Le sang a pour fonction le transport et les échanges (gazeux, ion et
nutriment, déchet, hormone, cytokine et médoc), la circulation cellulaire
(élément figuré), l’épuration immunologique et cell via la rate et le
transport de chaleur. Chez l’adulte, il y a 5L de sang en moy. C’est un tissu
conjonctif spécialisé constitué de cell et de plasma. Le plasma est une
MEC liquide constitué d’albumine, de fibrinogène, immunoglobuline, de
lipoprotéine, d’hormone, de vitamine et de sel minéraux. Dans le plasma
baigne des globules blanc, rouge et plaquette. Les 45 % d’hématies dans le
sang permet de définir le taux d’hématocrite.
ANALYSE DU SANG : il est demandé sur prescription médicale, pour évaluer l’état de santé général et pour
chercher divers troubles (anémie, infection, état nutritionnel, subst toxique) → examen biologique de routine. Le tissu
sanguin est facile d’accès, le prélèvement peut se faire par ponction veineuse ou artérielle (mesure gaz). On peut faire
une analyse biochimique (analyse MEC/ plasma), analyse cytologique (élément figuré analyser et obtient la numération
formule sanguine ou hémogramme qui permet de détecter, identifier et compter les types cell). Selon le type d’analyse
souhaité, cela se fera de manière automatisé, manuelle ou les 2. Les résultats sont généralement présenté en 3 parties :
l’hémogramme, la formule leucocytaire et la numération plaquettaire.
L’analyse automatisé est rapide et précise mais la détection des cell n’est pas précise (surtout morpho).
Plusieurs principes sont utiliser : le principe de Coulter (se base sur la détection volumétrique des cell → évalué par
variation d’impédance/ contenu électrolytique), le principe optique (se base sur diffraction lumineuse → faisceau dévié
selon taille et forme cell) et la cytométrie en flux quand la numération est anormale (fait soit observation directe par
frottis soit cytométrie), cela permet de caractériser les marqueurs de surface (quantifie différents type cell).
L’utilisation du cytomètre en flux (immunocytochimie des cell en suspension) nécessite 3 étapes : marquage cell,
acquisition et analyse résultat. D’abord le marquage cellulaire, à partir d’échantillon sanguin prélever, on fait un
marquage ou une lyse d’hématie. La suspension cell récupéré est placé dans du tampon phosphate salin PBS sans Ca et
mg (empêche agrégation : analyse 1 par 1). la suspension est incubé pdt 30min à 4°c avec AC couplé à fluorochrome →
lavé avec PBS et centrifugé → cell marqué en suspension dans PBS. Ensuite, il y a l’acquisition au cytomètre connecté
à un ordi pour visualisé en temps réel les résultats (détecte jusqu’à 18 marqueurs au microscope à fluo). Les cell sont
aspiré par une aiguille et passe individuellement devant les lasers qui excitent le fluorochrome, si AC fixé il y a émission
de fluorescence qui est détecté par l’ordi = graphe en nuage de point avec seuil de positivité si émission appelé Dot plot.
Pour finir, lecture du dot plot soit avec l’ag CD3 (présent sur LT T mature) ou l’ag CD62L (mol adhésion cell) par ex.
La suspension cell à analyser est incubé avec AC dirigé contre CD3 avec fluo et avec AC contre CD62L avec autre fluo.
Les résultats du graphe montre 4 pop isolé : pop exprimant aucun marqueur, pop exprimant CD3, pop exprimant CD62L
et exprimant les 2 marqueurs. Sur le compte rendu clinique, les résultats sont présenté en % pour tous les marqueurs.
L’analyse manuelle au frottis sanguin permet d’obtenir une microphotographie du frottis coloré au MGG en cas de
suspicion pathologique. Il permet de déterminer la morpho et le nb de cell (pour + précis → immunocytochimie).
D’abord, on réalise le frottis, une goutte de sang est déposé et étalé sur une lame avec lamelle.
On utilise une coloration au May-grunwald giemsa (séchage lame, fixation au méthanol,
coloration avec affinité où bleu de méthylène et bleu azur a affinité pour acide, et éosine pour
basique → montage → observation au MO). l’observation permet de déter le % de chaque pop
cell, elles sont distingués selon leur taille, morpho, et noyau/granulation par coloration. On peut
ainsi observer des hématie et plaquette (pas de noyau, prolif pas), les polynucléaires (1 noyau → neutrophile,
éosinophile, basophile ont granulations différentes) et les monocyte/lymphocyte qui ont 1 noyau unique. Enfin, on
analyse, on peut distinguer pop différentes selon l’aspect de la chromatine (motté/condensé → LT ou lâche →
monocyte) et selon la granulation : les neutrophiles ont petite granulation violette, l’éosinophile moyenne orangé et
basophile grande violettes.
LES PLAQUETTES (ou thrombocyte) : nb moyen de 150-400.10⁹/L et mesure 2μm. c’est un élément anuclée mais
avec des organites. Sa fonction est l’hémostase (arrêt du saignement d’un vsx lésé → arrêt naturel d’hémorragie)
Les macrophages sont doué de phagocytose, ils sont destiné soit à la digestion/dégradation des éléments étrangers (fct
épuration et détruite hématie âgée) soit à l’activation de d’autre cell immunitaire par la formation de peptide ag lors de
la phagocytose (base immuno) → MÉCANISME : l’ag est phagocyté/internalisé, dégradation partielle avec production
de peptide ag qui s’associe aux mol de CMH, expression complexe CMH-peptide à la surface et reconnaissance du
complexe par récepteur LT, ce qui l’active et initie la réponse adaptative.
LES LYMPHOCYTES : les lymphocytes naïf entrent dans le ganglion par vsx
lymphatique afférent ou par les veinules du paracortex. Les lymphocytes B sont guidé dans
les follicules et les LT T dans le paracortex via des chimioattractant. Qd les cell sont activé
par un ag, ils sortent par le vsx lymphatique efférent. L’immunité adaptative dépend des LT T
et B qui possède un récepteur spécifique d’un Ag.
Les LT B possède un récepteur BCR, reconnaît les ag natif soluble. Une fois activé, il secrète des AC
qui attaquent/détruisent les éléments étrangers (= réponse humorale). Il exprime des immunoglobine
memb, il reconnaît, s’active, devient mémoire ou plasmocyte qui secrète des AC activant rep
immunitaire.
Les LT T ont un récepteur TCR, détruise direct ou active autre celle (=réponse cellulaire), il reconnaît
ag par complexe CMH d’1 CPA. Pour TCD8, il s’active localement, reconnaît ag sur CMH1 et entraine
la lyse. Pour TCD4 auxiliaire, il active d’autre cell après activé par CMH2, produise facteur qui
activent la CPA pour favoriser destruction.
III- HISTOLOGIE DES VAISSEAUX
il y a 2 réseaux circulatoires complémentaires sanguins et lymphatiques.
Les vaisseaux sanguins possède une lumière centrale et 3 tuniques concentriques :
l’intima (=endothélium et TC lache sous endothélial au centre), le
média (tissu muscu lisse avec lame élastique entre I et A) et l’adventice
(à l’ext : TC lache vascu et innervé). L’organisation des parois varie
selon le type de vaisseaux (artères, capillaires et veines) et du diamètre
du vaisseaux. Les parois sont responsable des propriétés mécaniques
de chaque type de vaisseaux (transport du sang) et des échanges sang-tissus.
ARTÈRE : conduit le sang, module le débit sanguin, peu d’échange sang-tissu. 3 types d’artères : Artères
élastiques, Artères musculaires et Artérioles. Les artères élastiques correspondent aux grosses artères (aorte, tronc
brachio-céphalique, artères pulmonaires), le médias est le + épais, possède des Lames élastiques concentriques,
Léiomyocytes peu dense orientés vers la production d’élastine et de collagène I, l’adventice possède un
vasa et nervi—vasorium. Les artères musculaires correspondent aux petites artère → voir schéma. Les
artérioles ont un trajet souvent associées aux veines et nerfs « paquet vasculo-nerveux ». L’athérome
est la pathologie des artères, au début, les strie lipidique de l’intima sont chargé de macrophage, puis
extension de la média en plaque d’athérome par inflammation et fibrose. Si complication, cela amène a
une Sténose, Ulcération endothélium, Thrombose, obstruction, embolies, Anévrysmes ou Dissection.
La terminaison des artères peut se faire par mode anastomotique/suppléance (court circuit du système
capillaire, le + fréquent, obstruction – grave car connexion entre vsx, sport ++), mode terminal (cœur,
rein, cerveau, rate, rétine → obstruction vascu provoque Ischémie puis nécrose des tissus en aval) et le lit
capillaire (la terminaison artérielle est composé de métartériole et de manchon muscu lisse qui borde la
terminaison avant de rejoindre les veinules post-capillaires → anastomose artério-veineuse).
VEINE : trajet associé aux artères, les veinules ont une lumière plus large, une paroi et média plus fine. Il y a la
petite veine (0,5-1mm), la veine moyenne (1mm-1cm → présente des valvules) et la grosse veine (1-3cm → absence
de lame élastique→ sert de propulsion et de drainage). La valvule est un replis de la paroi des veines disposés à
intervalle régulier dans les veines de la partie basse du corps, elles contribuent au retour veineux vers le cœur en
limitant le reflux lié à la pesanteur.