BUSINESS AND GOVERNMENT EXAMEN

1) NICOLA STURGEON « Les brexiters ont été ignorants du début à la fin »

Par SONIA DELESALLE- STOLPER Correspondante à Londres

INTERVIEW La Première ministre écossaise estime que le  Brexit, dont les négociations touchent à leur
terme, renforce l'envie d'indépendance de son pays. Elle évoque la possibilité d'organiser un
référendum sur cette question au sortir de la pandémie.

Les négociations sur un accord commercial entre l'Union européenne et le Royaume-Uni s'achèvent.
A treize jours de la fin de la transition, la cheffe de l'exécutif écossais, la « First Minister» Nicola
Sturgeon, s'est entretenue avec Libération, El País, La Repubblica, Die Welt et NRC. Elle évoque
le Brexit, « qui va contre la volonté de l'Ecosse» -opposée à une sortie de l'UE en 2016. La dirigeante
du Scottish National Party (SNP) aborde aussi la pandémie de Covid-19 et l'indépendance de son
pays. Sans exclure un référendum sur le sujet dès 2021.

Dans cet article de presse, il y a discussion du brexit pour savoir si UK préfère un « deal » ou un « no
deal », et parle aussi d’un référendum sur l’indépendance, en 2021, pour mettre au clair ce brexit et
cette pandémie.

Suite à la lecture de cet article nous pouvons faire le rapprochement avec le cours et les impacts du
Brexit, l’impact à court terme le plus important est l’équilibre du pays suite aux crises politiques
connues. Ensuite, l’impact à mi-parcours sera celui de l’indépendance, n’aura-t-il pas de perte
d’accès au marché ? UK interdépendant ? Quel sera le modèle que suivra le Royaume Unis, plutôt un
modèle norvégien, avec toutes les règles de l’UE, ou un modèle Suisse avec libre circulation ou
encore le modèle canadien, avec des négociation complexe et longue ? Tout comme vu, la Première
ministre écossaise partage l’envie du Royaume Unis de devenir dépends, et développeront leurs
idées durant le référendum de 2021

2) Singapour, 18 décembre 2020 -- Moody's Investors Service ("Moody's") révise

périodiquement toutes ses notations conformément à la réglementation - soit annuellement,
soit, dans le cas des gouvernements et de certaines organisations supranationales basées
dans l'UE, semestriellement. Cet examen périodique n'est pas lié à l'obligation de préciser les
dates auxquelles l'UE et certaines autres agences de notation souveraine et sous-souveraine
peuvent prendre des mesures.

Dans cet article, Moodys fait un examen sur les Fidji, le profil de crédit des Fidji a un équilibre de
potentiel de croissance solide à moyen terme et des revenus par habitant modérés avec la petite
échelle, la diversification étroite et la vulnérabilité de l'économie au changement climatique. La
gouvernance tient compte les progrès des réformes structurelles ainsi que de la crédibilité et de
l'efficacité des politiques qui soutiennent la gestion économique, bien que la voix et la responsabilité
restent limitées.

Suite à la lecture complète de cet article nous savons que la république des Fidj est une démocratie
parlementaire, et essentiellement bipartite. Comme nous avons pu le voir, les activités politiques se
déroulent via les partis politiques bien qu’ils soient généralement limités par le gouvernement. Nous
sommes ici, dans un système bipartite, en effet avec un gouvernement de coalition est une solution,
mais cela peut être très instable. Nous voyons ici que les Fidji essayent au mieux avec leur
gouvernement de correctement s’en sortir.

3) Observatoire de l'Amérique latine - Groupe andin : Analyse du risque politique - Les élections
législatives laissent le PSUV du Venezuela plus solidement ancré que jamais : 14 décembre
2020
Copyright 2020 Business Monitor International. Vue d'ensemble

Dans cet article, nous abordons la victoire écrasante du PSUV aux élections législatives du 6
décembre était largement attendue, et donne au parti un contrôle unifié sur le gouvernement
du Venezuela pour la première fois depuis 2015. Alors que le boycott de l'opposition, le faible
taux de participation et l'équité largement contestée du vote limiteront la reconnaissance
internationale des résultats, la perte de l'Assemblée nationale est un coup majeur porté au
pouvoir et à l'unité de l'opposition vénézuélienne. Le taux de participation n'a été que de 6,3
millions, soit 31,5 %, selon le conseil électoral du Venezuela.

Après analyse, nous observons que le Venezuela, suite à ce comportement contient beaucoup
de risques politiques. Nous sommes ici sur une instabilité gouvernementale, sur une
concurrence des pouvoirs, et une grande faiblesse du droit. Le Venezuela connaît alors une
crise, le PSUV s’élie seul, contre le grès des autres. C’est la politique interne qui n’est pas
bonne et amène un gros risque avec la politique externe du Venezuela, comme des pertes
d’investissements, et des pertes de marché. Le Venezuela est en grande faiblesse.

4) Analyse du risque politique - Vue d'ensemble : La réforme anti-corruption en Equateur

facilitera un financement supplémentaire du FMI 16 décembre 2020 Suivi des marchés
émergents EMDN Copyright 2020 Business Monitor International.

Les dernières nouvelles : Le 15 décembre, l'Assemblée nationale équatorienne a approuvé un

ensemble de réformes du code judiciaire du pays visant à lutter contre la corruption,
notamment dans les contrats du secteur public.
Nous savons que les mesures ont été adoptées par 127 voix pour et zéro voix contre au sein
de l'assemblée de 137 membres. La législation a été accélérée et approuvée le dernier jour de
la session législative 2020 de l'assemblée.

Nous pouvons analyser le risque politique, cette approbation ouvre la voie à la réception du
gouvernement d’une aide de financement de 2 milliards de dollars, pour stabiliser le risque
majeur du budget. En revanche, le gouvernement équatorien s'est engagé à adopter une loi
anticorruption d'ici la fin de l'année 2020, et l'échec de cette réforme pourrait avoir menacé la
poursuite des décaissements. En effet, cette insécurité, créer une incertitude entre le FMI et
l’équateur. Dans des endroits instables et dans des environnements incertains, les pays font
en sorte que leurs relations s’améliorent pour bénéficier de sécurité tels que celle-ci. Des
déficits importants et un accès limité au marché de la dette renforcent la dépendance à
l'égard des fonds du FMI, d’où l’importance pour l’Equateur de respecter cette règle
anticorruption pour éviter tout risque politique.
 5) Avec l'approbation du vaccin contre les coronavirus, des questions se posent Alex Jensen
14 décembre 2020 Daily Journal of Commerce (Oregon)
Copyright © 2020. La société Dolan.
Américains ont reçu l'injection du Vaccin Covid19. Samedi, le directeur des Centres américains
de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a accepté les recommandations selon
lesquelles le vaccin peut être administré aux personnes âgées de 16 ans et plus. Le processus
d'approbation est ainsi terminé.
L’inquiétude est devons-nous forcer le vaccin ? les entreprises se questionnent alors.
"Je ne pense pas que nous rendions un vaccin obligatoire", a déclaré M. Pearce. Si l'opinion
publique change et qu'une majorité d'entreprises commencent à exiger des vaccinations, les
employeurs devraient être prêts à accommoder les employés avec des exemptions
approuvées. Les employeurs peuvent craindre que les employés exemptés présentent un
risque pour la santé de leurs collègues. "En dehors d'une loi de la législature offrant aux
employeurs une certaine forme d'immunité, la responsabilité ne sera probablement jamais
nulle", a déclaré Stephen Scott.

Nous pouvons donc analyser, que les entreprises sont soumises aux lois de son pays, donc le
risque de ne pas obliger le vaccin aux entreprises, serait le risque de la responsabilité de
l’employeur. Un domaine de coopération peut être trouvé. Le système juridique américain va
pouvoir fournir des droits et des devoirs aux entreprises pour répondre aux questions de cette
crise. De plus, le questionnement continue sur les différentes lois dans les différents pays, et
les entreprises à l’international. Pour les entreprises, elles doivent le respect des normes
internationales, ici respecter si l’entreprise trouve préférable de travailler avec vaccination.
Des risques d’émeutes ou de grève peuvent arriver, si les employés ne sont d’accord avec les
employeurs, d’où l’idée d’une loi de législature offrant à l’employeurs une immunité, avec
responsabilité nulle.

6) Zone de libre-échange continentale - Le Cameroun y est

Cameroon Tribune 16 décembre 2020 AllAfrica AFNWSF © 2020 AllAfrica, All Rights Reserved
Le pays a rejoint, il y a peu, les membres de cet espace dont l'entrée en vigueur est prévue le
1er janvier prochain.

Le 1er janvier 2021, la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), entrera

finalement en vigueur, après un report de six mois, du fait de la pandémie du Covid-19. Le 1er
décembre dernier, exactement un mois avant cette date historique, le Cameroun a déposé, à
l'Union africaine, les documents de ratification de l'accord de création de ce marché commun.
Le pays devenait ainsi le 33e Etat à ratifier la Zlecaf. La décision du Cameroun intervient après
celle du Lesotho et de la Tunisie qui ont soumis leurs instruments le 27 novembre dernier. Il
ne reste donc plus que 21 pays qui doivent répondre à l'appel de ce traité. Il s'agit du Bénin,
du Botswana, du Burundi, du Cap-Vert, de la République centrafricaine, des Comores, de la
République démocratique du Congo, de la Guinée-Bissau, du Libéria et de la Libye.

En rejoignant la ZLECAF, le Cameroun s’intègre économiquement, en effet il rentre dans un espace

économique qui offre des arrangements préférentiels entre les pays d’Afrique. En s’intégrant dans
cet espace de libre-échange, cela améliorera leur nature et leur qualité de relations économiques. En
effet, la zone de libre-échange élimine les barrières tarifaires entre les pays membres, cela aidera le
Cameroun à être considéré et bien intégré. Cette entrée au sein de la zone de libre-échange
continentale africaine est l'aboutissement d'un ambitieux processus, savamment conçu et mûri,
auquel notre pays a pris une part active de bout en bout.

7) Maroc/Brésil - 2020, une année d'affirmation d'un rapprochement politique inédit

Khalid Attoubata Maghreb Arabe Presse 15 décembre 2020 AllAfrica
© 2020 AllAfrica, All Rights Reserved

Pays phares dans leurs régions respectives, le Maroc et le Brésil ont donné durant l'année qui touche
à fin, la mesure de leur rapprochement politique et de leur entente diplomatique à travers un
soutien mutuel à leurs intérêts politiques et économique, mais aussi en élargissant davantage
l'éventail de la coopération bilatérale.

La dernière manifestation de ce rapprochement inédit fut la position claire prise par le pays-
continent en faveur de l'intervention du Maroc pour rétablir la circulation civile et commerciale à El
Guerguerat. En fait, le Brésil exprime à chaque fois son soutien aux efforts "sérieux et crédibles" du
Maroc pour résoudre ce conflit artificiel, à travers une solution réaliste et mutuellement acceptable.

Après analyse de cet article, le Brésil et le Maroc sont devenus de bons partenaires stratégiques et
ont conclus sur un marché commun, ils ont une harmonisation des normes de produits et ont
nécessité d’encourager la mobilité des facteurs. En effet, les deux pays connaissent une dynamique
d'échanges commerciaux sans précédent ces dernières années. Entre janvier et juillet 2020, le Maroc
a exporté 600 millions USD de produits vers le Brésil, soit une hausse de 20%, ils ont donc mis en
place une politique commerciale commune. En créant cette diversification du commerce, ils ont créé
un échange libéraliste des échanges, entraînant une baisse de prix et une intégration économique
qui leurs augmentent la taille de leurs marchés. Pour conclure, le Brésil cherche à accélérer la
signature d'un accord de libre-échange avec le Maroc en vue de donner un grand élan aux échanges
commerciaux.

8) EURASIAN ECONOMIC UNION: PROSPECTS AND OBSTACLES Adam Saud and Inayat Kalim

Pakistan Journal of European Studies Copyright © 2020. Area Study Centre for Europe, University of
Karachi

L'idée d'une organisation économique régionale en Eurasie à l'ère post-soviétique a été donnée par
le président kazakh Nursultan Äbishuly Nazarbayev en 1995. Cependant, il a fallu deux décennies
pour établir l'Union économique eurasienne (EAEU), qui a été inaugurée le 1er janvier 2015 avec le
traité signé précédemment le 29 mai 2014 dans la capitale kazakhe Nur-Sultan. Parmi les membres
fondateurs et signataires figuraient la Russie, le Kazakhstan et le Belarus, auxquels se sont joints
l'Arménie et le Kirghizstan un an plus tard. Cette Union est issue de l'Union douanière eurasienne
(UCE) et de l'Espace économique eurasien (EEE) ou Espace économique unique (EES) établis
respectivement en 2010 et 2012.1 L'objectif principal de cette Union est de créer un marché unique
avec "quatre libertés", à savoir les biens, les capitaux, les services et les personnes, en mettant
l'accent sur la création d'un marché commun de l'électricité, du pétrole et du gaz.

Après analyse, Moscou cherchait désespérément à créer un espace économique commun qui
pourrait contrer l'équilibre économique contre la pénétration économique chinoise et occidentale
dans leur "arrière-cour". L’EAEU est un bloc commercial qui fait participer à une relation spéciale
établie par leur accord qui favorise, facilite et accélère le commerce du marché commun de
l'électricité, du pétrole et du gaz. En effet, ils tentent d’être coordonnés les politiques économiques
nationales pour minimiser les perturbations des transactions et de créer le marché unique entre la
Russie, le Kazakhstan, le Belarus, l'Arménie et le Kirghizstan. Pour certains membres, l'EAEU est
également importante en raison de sa politique étrangère à plusieurs facteurs et de sa diversification
économique, avoir comme objectif de déclaré l’approfondissement du commerce de libération ou
d’intégration dans un but précis.

9) Implementation of non-regulatory food safety management schemes in New Zealand: A

survey of the food and beverage industry Copyright © 2020 science direct

À l'aide d'une enquête par questionnaire, ce document examine les motivations, les défis et
les impacts, ainsi que le rôle des organismes de certification tiers (OC) dans la mise en œuvre
de programmes de gestion de la sécurité alimentaire (FSMS) non réglementaires dans
l'industrie alimentaire et des boissons en Nouvelle-Zélande. L'enquête a porté sur 115
entreprises manufacturières, dont 95,7 % ont indiqué qu'elles avaient mis en place un ou
plusieurs FSMS, et 43,5 % ont déclaré avoir mis en œuvre un ou plusieurs FSMS non
réglementaires. Trois grandes catégories de SMSA non réglementaires ont été mises en
œuvre en Nouvelle-Zélande : les régimes publics de normes internationales, les régimes du
secteur de l'industrie publique et les régimes des entreprises individuelles privées.

Apres analyse, nous pouvons donc mettre en lien avec la non réglementation du gouvernement. En
effet, cet article nous expose Faits marquants que dix-sept programmes non réglementaires de
gestion de la sécurité alimentaire (FSMS) ont été mis en œuvre en Nouvelle-Zélande. Les principaux
défis rencontrés lors de la mise en œuvre de la SMSA non réglementaire ont été l'augmentation de la
paperasserie et des coûts. La non réglementation du gouvernement de Nouvelle-Zélande influence
sur les affaires, les fonctions publiques actuelles de Nouvelle-Zélande doivent être remis au privé. Ici,
le gouvernement a utilisé des outils de politique impliquant des combinaisons d’incitations et de
pénalités pour inciter les citoyens à agir de manières à atteindre les objectifs politiques.

10) Virus: l’UE tente d’harmoniser l’isolement du Royaume-Uni et vaccinera dès dimanche
Lexpress.mu

LEXPMU

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L’Union Européenne doit tenter mardi d’harmoniser les mesures mises en place par ses Etats
membres pour empêcher la variante du coronavirus détectée au Royaume-Uni de se propager, alors
que plusieurs pays prévoient de commencer à vacciner dès dimanche.

L’objectif est «une réouverture des frontières de manière coordonnée», a indiqué lundi une source
diplomatique européenne, et notamment de permettre les «retours ciblés» de voyageurs et de
chauffeurs de camions qui se sont trouvés bloqués par les mesures mises en oeuvre brutalement
depuis ce week-end.

Elles ont eu notamment pour effet que «de nombreux routiers français mais également étrangers
sont bloqués au Royaume-Uni dans des conditions « inhumaines », ont dénoncé des syndicats
français dans un communiqué.
Nous pouvons analyser dans cet article, que l’union européenne s’entraîne pendant cette dure crise
sanitaire. Cette union, a pour souhait d’ouvrir le plus rapidement possible les barrières et rouvrir
cette zone de libre-échange. Malgré le Brexit, l’UE est en avant pour aider ses confrères anglais et
protéger l’Union. Nous pouvons aussi voir l’importance de cette Union Européenne pour l’Union des
barrières, comme vu, les barrières tarifaires et contingentaires entre les pays sont éliminées, là nous
pouvons voir avec cette crise les transporteurs se retrouvent bloqués au Royaume Unis dans des
conditions plus que délicates. Ce Brexit, entraîne pour la zone de libre-échange et cette union
douanière de lourdes difficultés qui entraîne de lourdes conséquences sur le marché auparavant
commun.

11) Pologne : le Tribunal constitutionnel restreint encore le droit à

l'avortement
EURNFR
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Le Tribunal constitutionnel polonais a donné un feu vert très controversé à un

nouveau durcissement de la loi sur l'avortement, déjà parmi les plus
restrictives de l'UE, en proscrivant l'IVG en cas de malformation grave du
foetus. Cette décision est a priori définitive, même si elle est d'ores et déjà
contestée par l'opposition libérale et des organisations de défense des droits
des femmes dans ce pays considéré comme profondément ancré dans la
tradition catholique. La présidente de la Cour, Julia Przylebska, a déclaré que
la législation existante autorisant l'avortement de foetus mal formés était
"incompatible"avec la Constitution du pays. Cette décision a provoqué une
réaction critique immédiate de la Commissaire aux droits de l'Homme du
Conseil de l'Europe, Dunja Mijatovic.
Nous pouvons en analyser que la Pologne est une loi de réglementation, c’est en effet le
gouvernement polonais qui devient impliqué dans cette loi de l’avortement ne doit avoir lieu
que quand le fœtus est mal formé, et pas à un autre moment. On parle ici d’une
réglementation sociale, en effet elle est destinée à avoir des objectifs sociaux tels que la
diminution de l’avortement en Pologne sauf fœtus mal formé. Cette réglementation
s’applique ici à toutes les polonaises. En controversant cette loi, la pologne a fait une réforme
de la loi, et cette réglementation fait référence à une diminution autorisée dans les
réglementation de l’avortement en Pologne.

12) Article de recherche.

The Costs of Economic Nationalism:

Evidence from the Brexit Experiment.
Images
Authors:

Born, Benjamin1
Müller, Gernot J2  gernot.mueller@uni-tuebingen.de
Schularick, Moritz3
Sedláček, Petr4

Source:

Economic Journal. Oct2019, Vol. 129 Issue 623, p2722-2744. 23p. 1 Chart, 9 Graphs.

Economic nationalism is on the rise, but at what cost? We study this question using the
unexpected outcome of the Brexit referendum vote as a natural macroeconomic experiment.
An expectations-augmented VAR suggests that these costs are, to a large extent, driven by a
downward revision of growth expectations in response to the vote. Linking quasi-experimental
identification to structural time-series estimation allows us not only to quantify the aggregate
costs but also to understand the channels through which expected economic disintegration
impacts the macroeconomy.

Dans cet article de recherche sur le Brexit, nous pouvons analyser qu’après avoir voté ce
referendum, nous pouvons observer une perte de production au Royaume Unis de 1.7% à
2.5%. Cette perte de production était un impact du Brexit qui été attendu à court terme avec
une dépréciation de la monnaie, avec des exportations moins chères et des importations bien
plus coûteuse. De plus, ce référendum a amené un effet négatif sur les IDE et les autres
investissements. Puis, attendons-nous à d’autres impacts tels qu’une perte d’accès au marché
des chaînes d’approvisionnement perturbé et des prix plus élevés.