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UNIVERSITE KASDI MERBAH OUARGLA

Faculté des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication


Département d’Electronique et Des Télécommunications

RAPPORT DE STAGE

LICENCE PROFESSIONNELE

Domaine : Science de la technique


Filière : Electronique
Spécialité : Instrumentation Pétrolière

Thème:

Capteur de pression micro-capacitif

Type FKA

Réalisé par : Chargé d’encadrement :

 Chouchane Ahmed Mr.Rachedi


 Khenchoul Seyf Eddine
 Bouaichi Chouaib Nazim
 Hakmi Abderrahmane

Année Universitaire : 2016/2017


Dédicaces
Quoi que de plus que de pouvoir partager les
meilleurs moments de sa vie avec les êtres qu’on aime.

Arrivé au terme de nos études, On a le grand


plaisir de dédier ce modeste travail :

A nos chères mères, qui nous donnent toujours


l’espoir de vivre et qui n’ont jamais cessé de prier pour
nous.

A nos très chèrs pères, pour leurs soutiens,


surtout pour leurs sacrifices afin que rien n’entrave le
déroulement de nos études.

A nos frères à lesquels nous souhaitons le


bonheur dans leurs vies.

A toute nos grandes familles,

A tous nos camarades à l’université partout


chaque un a son nom.

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Remerciements

Nous remercions tout d’abord, Allah qui nous a donné la force Et le courage pour terminer nos études et élaborer
ce modeste travail.

Au terme de ce travail, nous tenons à exprimer notre profonde gratitude et nos sincères remerciements à nos
tuteurs de stage au CIS (Centre Industriel Sud) SONATRACH , Mr.Meddah et Mr.Sassi pour tout le temps qu’ils
nous ’ont consacré, leur directives précieuses, et pour la qualité de leur suivi durant toute la période de notre
stage.  

Nous aussi à remercier vivement le chef du service maintenance RHM2, Mr.Hamdaoui qui a accepté de nous
accueillir en stage au sein de son organisme.

On voudrai remercier également tout le personnel du CIS SONATRACH pour sa gentillesse et son soutien. Nos
profonds remerciements vont à notre encadrant Mr.Rachedi   qui a pris en charge l’encadrement de notre travail.

Nos plus vifs remerciements s’adressent aussi à tout le cadre professoral et administratif de l’université KASDI
MERBAH de Ouargla.

Nos remerciements vont enfin à toute personne qui a contribué de près ou de loin à l’élaboration de ce travail.

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Introduction Générale :

Les projets de fin d’études représentent une nouvelle occasion exprimant l’importance de la coopération entre
l’université et les sociétés industrielles. Ceci est dans l’objectif d’ajouter à la formation des étudiants un aspect
professionnel en confrontant des problèmes pratiques et essayant de les résoudre en complément des
connaissances théoriques déjà assimilées, ou c’est bien entendu, fortement requis par la prochaine vie
professionnelle de l’étudiant. C’est donc, une occasion pour chaque étudiant à la fin de sa formation de démontrer
son degré d’assimilation des connaissances et d’améliorer son savoir-faire.

La régulation dans le domaine des procédés industriels concerne la mise en œuvre de l'ensemble des moyens
théoriques, matériels et techniques pour maintenir chaque grandeur physique essentielle égale à une valeur désirée,
appelée consigne, par action sur une grandeur réglante, et ce, malgré l'influence des grandeurs perturbatrices du
système. Cette opération due suite des actions réalisées par un enchainement d’instruments appelé une boucle de
régulation, qui débute par une mesure prise par un intermédiaire entre le procès et le régulateur appelé un capteur,
qui est un dispositif de prélèvement d’information sur le comportement de la partie opérative.

Chapitre 1 : Présentation générale du lieu de stage 

I. Introduction :

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L’Algérie est un des pays les plus riches au monde dans le domaine de la production des hydrocarbures. C’est un
des pays incontournable de l’OPEC non seulement pour sa position géostratégique mais également pour la qualité
et le type de ses produits. Plusieurs champs de gaz et de pétrole existent en Algérie. Nous citerons, entre autres,
ceux de HMR et HMD qui renferment respectivement d’importants gisements de gaz et de pétrole.

Après l’indépendance, la SONATRACH a vu le jour et a pris en charge la production et la commercialisation des


hydrocarbures.

SONATRACH a, depuis quelques années sous la forme de partenariats, ouvert le marché des hydrocarbures
(exploration et production) aux compagnies et firmes étrangères.

Aujourd’hui, l’Algérie alimente, en dehors des USA et d’autres pays par des méthaniers, l’Europe en gaz par deux
conduites passant par la Tunisie, le Maroc et traversant la mer méditerranéenne.

II. Généralités sur le champ pétrolier de Hassi Messaoud :


1. Situation géographique :

Le champ de Hassi Messaoud est situé à 780 km Sud Est d'Alger et à 350 km de la frontière tunisienne. Les
dimensions du champ atteignent 2500 km² avec une surface imprégnée d’huile d’environ 1600 km².

2. Situation géologique :

Le champ de Hassi Messaoud occupe la partie centrale de la province triasique à l'Est de la dépression d'Oued
M'ya dans le district IV qui, par sa superficie et ses réserves, est la plus grande province pétrogazeïfere .C'est le
plus grand gisement d'Algérie qui s'étend sur 53x44 km de superficie. Il est limité : Au Nord-Ouest par les
gisements de Ouargla [Gellala, Ben Kahla et Haoud Berkaoui].

 Au Sud-Ouest par les gisements d'El Gassi, Zotti et El Agreb.


 Au Sud-est par les gisements ; Rhourde El Baguel et Mesdar.
III. Infrastructures pétrolières de SH DP à HMD :

Le champ de HMD compte deux centres industriels de production de pétrole. Le premier est désigné par le CIS
(Centre Industriel Sud). Il est le plus important complexe pétrolier au monde du point de vue infrastructure. Le
second est le CINA (Centre Industriel Naili Abdelhalim). Il est situé au nord de HMD. Il est moins imposant que
le CIS. En dehors de l’ordre de grandeur des deux centres, le CIS contient une raffinerie. Les deux centres
reçoivent actuellement la production de 700 puits sur une totalité de prés de 1200 puits.

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Il existe également au niveau de HMD des puits injecteurs d’eau et de gaz. Le but de leurs existence et d’améliorer
la production des puits en chute de performances. Les puits producteurs situés à des kilomètres des centres de
traitements se réunissent au niveau des « MANIFOLD » collecteurs pour aller vers des stations de prés
séparation (Stations satellites) pour enfin finir au niveau du CIS et du CINA. HEH (Haoud El Hamra) et plusieurs
stations de pompage et de compression prennent le relais par la suite pour acheminer l’huile et le gaz jusqu’aux
différents ports d’Algérie et jusqu’à même en Europe.

La logistique des deux centres est à son tour répartie essentiellement sur deux bases. La première est celle de
IRARA et la seconde et celle du 24 février. Ces deux bases en plus des blocs administratifs, des logements, des
complexes de restauration, contiennent toutes les infrastructures pour permettre d’avoir un environnement de vie
agréable.

1. Direction de la maintenance à HMD :


1.1. Organigramme de la direction de la maintenance/SH/DP HMD :

La direction de la maintenance au niveau de HMD est divisée en deux grands entités qui sont respectivement les
départements d’intervention et les département de soutiens.

Direction de la
maintenance

Départements Départements
d’intervention de soutien

Département Département Département


CIS Compression CINA Méthodes MN Centrale
Figure 1:
Organigramme de la direction de la maintenance SH/DP HMD

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Complexe
CIS

Nouvelle Traitement
GPL 1 GPL 2
Raffinerie Sud
Figure 2: Organigramme du complexe CIS

1.2. Maintenance :
1.2.1. Organisation :

La Direction Maintenance est dédiée à la maintenance des installations du CINA, CIS et de la raffinerie. Le
Directeur de la Maintenance rapporte directement au Directeur Régional. Cette direction est structurée en trois
sections qui sont les suivantes :

- La première section: appelée ‘’Intervention’’ est en charge d’assurer la maintenance des machines
tournantes pour les trois sites et en particulier la raffinerie dont la maintenance dépend de la Direction
Maintenance du CIS.
- La seconde section : est appelée ‘’Support’’ et est organisée de manière à satisfaire à l’élaboration des
programmes de maintenance, la préparation des procédures, la gestion du personnel et le suivi des pièces
de rechange. Est compris le service Méthodes qui est en charge de préparer les plannings, de développer
les méthodes liées aux opérations de maintenance et d’organiser la documentation.
Un second service ‘’Maintenance Central’’ prépare et supervise les arrêts de maintenance des installations.
- La troisième section : est appelée ‘’Maintenance générale’’ assurant l’entretien courant. La maintenance
des infrastructures (fondations, bâtiments, caniveaux, etc.) est réalisée par la Direction Technique.
L’entretien des routes et des accès est assuré par la Direction Logistique. Pour les machines tournantes, la
maintenance préventive est basée sur le cumul des heures de fonctionnement de chaque machine prenant
en considération le type d’équipement, le nombre d’interventions, les rapports d’inspection,
l’enregistrement des avaries, l’expérience de NAFTEC et les recommandations formulées par les
fournisseurs. L’analyse des vibrations des équipements rotatifs est réalisée régulièrement. Le rebobinage
des moteurs électriques est sous-traité. Pour les petits moteurs électriques, l’entretien est réalisé sur le site.

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Les arrêts majeurs de maintenance sont réalisés tous les trois ans où tous les équipements sont inspectés, contrôlés,
réparés ou remplacés si nécessaire. La maintenance curative est faite en accord avec des travaux d’entretien qui
sont des travaux de routine ou d’urgence.

A l‘heure actuelle, la chaudière est à l’arrêt dans l’attente de pièces détachées. Son redémarrage devrait être
effectif dans quelques semaines. La première tour de réfrigération a été totalement réhabilitée et la réfection de la
seconde est en cours.

D’une manière générale, la maintenance des équipements est satisfaisante compte tenu de l’age de la raffinerie.

1.3. La raffinerie :
1.3.1. Introduction :

Dans le cadre du développement des industries algériennes de traitement des hydrocarbures et spécialement pour
mettre en valeur le grand sud dont les besoins en carburant devenaient de en plus important. En 1973 l’entreprise
algérienne SONARTRACH issue du ministère des industries pétrochimiques a lancé les travaux de construction de
la nouvelle raffinerie de Hassi Messaoud pour le traitement de 1 100 000 t/an de brut.

La raffinerie transforme sur place le pétrole brut provenant des centres de traitement en produits finis
commercialisables (gas-oil, kérosène, essence normale, essence super).

1.3.2. Historique :

La raffinerie d’HASSI MESSAOUD a été construite durant la période comprise entre 1976 et 1979. La conception
et la construction ont été réalisées par ALTEC et HYDROCARBONENGINEERING. Les travaux de génie civil
ont été assurés par ENGTP. La raffinerie est la propriété de NAFTEC. Durant environ 25 ans, les installations ont
été exploitées par le personnel NAFTEC. La capacité théorique de traitement de la raffinerie est de 1, 070,000
tonnes par an de pétrole brut.

Les installations de chargement camions de la raffinerie sont la propriété de NAFTEC. Cependant, il est à noter
que ces dernières sont exploitées par NAFTAL, la compagnie nationale en charge de distribuer des produits
pétroliers en Algérie.

1.3.3. Description du procédé :


1.3.3.1. Description générale :

La capacité théorique de traitement de la raffinerie d’HASSI MESSAOUD est basée sur 1.070.000 tonnes par an
de brut. Le brut est produit à partir des puits d’huile d’HASSI MESSAOUD et est acheminé par des lignes de

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collecte jusqu’aux installations de traitement d’huile du CIS (séparation, dessalement, stabilisation et stockage).
Après stabilisation, le brut est envoyé vers la raffinerie par un pipeline. La raffinerie produit du gas-oil, kérosène,
jet aviation, essence normale et super et réformât. Les unités de production et les capacités de production associées
sont les suivantes :

Produits Capacités tonnes/an

1 070 000

Charge Topping

Charge Reforming 120 800

Production de gas-oil 412. 000

Production de kérosène 40.500

Production essence normale 42.000

Production essence super 42.000

Production de réformat 100,000


Tableau 1: Capacité de production des éléments par an

1.3.3.2. Description de l’unité :

La nouvelle raffinerie transforme le brut stabilisé provenant de l’unité traitement en produits finis commerciaux,
pour arriver à cette finalité tout un procès est mis en œuvre en passant par plusieurs sections qui sont :

Section Désignation

200 Distillation atmosphérique (topping )----- démarrage en1979

300 Prétraitement de reforming --------------- démarrage en1979

800 Reforming catalytique

900 Stockage, transfert et utilités

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Tableau 2: Différentes sections de l'unité de production

Chapitre 2 : Capteur dans une chaine de mesure

I. Introduction

La traduction par un capteur d’un mesurande en grandeur n’est généralement pas appropriée à son exploitation.
Les capteurs sont les premiers éléments d’une chaîne de mesure ou chaîne d’acquisition de données. Ce sont les
interfaces entre le « monde physique » et le « monde électrique», ainsi que le rôle d’une chaine de mesure et de
recueillir les informations nécessaires à la connaissance de l’état d’un système et de délivrer ces informations sous
une forme appropriée à leur exploitation, sachant que l'état d'un système est caractérisé par des grandeurs
physiques ou chimiques appelées mesurandes et assigner à la fin une valeur (un nombre) à un mesurande.

II. Chaine de mesure

La grandeur physique objet de la mesure (température, pression...) est désignée comme le mesurande. L’ensemble
des opérations expérimentales qui concourent à la connaissance de la valeur numérique du mesurande constitue
son mesurage.

La chaîne de mesurage est constituée de l’ensemble des dispositifs, y compris le capteur, rendant possible dans les
meilleures conditions la détermination précise de la valeur du mesurande.

C’est l’étalonnage de la chaîne de mesurage dans son ensemble qui permet d’attribuer à chaque indication en sortie
la valeur correspondante du mesurande agissant à l’entrée.

Exemple :

1. Chaine de mesure simple : un thermocouple et un voltmètre

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Figure 3: Chaine de mesure simple

2. Chaine de mesure plus compliqué : un thermocouple, un circuit de compensation de soudure


froide, un circuit amplificateur et linéarisateur du signal, un convertisseur tension-courant et un
ampèremètre.

Figure 4: Chaine de mesure compliquée

III. Généralités sur les capteurs :


1. Définition du capteur :

Un capteur est un organe de prélèvement d’information qui élabore, à partir d’une grandeur physique, une autre
grandeur physique de nature différente pneumatique ou électrique. Cette grandeur représentative d’une grandeur
prélevée est utilisable à des fins de mesure ou de commande.

On peut caractériser les capteurs selon deux critères :

- en fonction de la grandeur mesurée ; on parle alors de capteur de position, de température, de vitesse, de


force, de pression, etc…
- en fonction du caractère de l’information délivrée, on parle alors de capteur logique appelé aussi capteur
tout ou rien (TOR).

On peut alors classer les capteurs en deux catégories à savoir les capteurs à contact qui nécessitent un contact
direct avec l’objet à détecter et les capteurs de proximité. Chaque catégorie peut-être subdivisée en trois catégories
de capteurs : les capteurs mécaniques, électriques et pneumatiques.

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Figure 5: Constitution du capteur

2. Capteur actif :

Figure 6: Capteur actif, générateur de charge

Fonctionnant en générateur, un capteur actif est généralement fondé dans son principe sur un effet physique qui
assure la conversion en énergie électrique ou pneumatique de la forme de l’énergie propre à la grandeur physique à
prélever, énergie thermique, mécanique ou de rayonnement. Les plus classiques sont :

- Effet thermoélectrique : Un circuit formé de deux conducteurs de nature chimique différente dont la
jonction est à des températures T1 et T2 est le siège d’une force électromotrice e (T1, T2).
- Effet piézo-électrique :L’application d’une contrainte mécanique à certains matériaux dits piézo-
électrique (le quartz par exemple) entraîne l’apparition d’une déformation et d’une même charge
électrique de signe différent sur les faces opposées.
- Effet d’induction électromagnétique : La variation du flux d’induction magnétique dans un circuit
électrique induit une tension électrique.
- Effet photo- électrique : La libération des charges électriques dans la matière sous l’influence d’un
rayonnement lumineux ou plus généralement d’une onde électromagnétique dont la longueur d’onde est
inférieure à un seuil caractéristique du matériau.
- Effet Hall : Un champ B crée dans le matériau du champ électrique E dans une direction perpendiculaire.

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- Effet photovoltaïque : Des électrons et des trous sont libérés au voisinage d’une jonction PN illuminée,
leur déplacement modifie la tension à ses bornes.

Mesurande Effet Utilisé Grandeur de Sortie

Température Thermoélectricité Tension


Pyroélectricité Charge
Flux lumineux Photoémission Courant
Effet photovoltaïque Tension
Effet photoélectromagnétique Tension
Force Piézoélectricité Charge
Pression
Vitesse Induction magnétique Tension

Position Effet Hall Tension

Tableau 3: Comportement des capteurs actifs

3. Capteur passif :

Figure 7: Capteur passif, capteur de pression a jauge résistive

Il s’agit généralement d’impédance dont l’un des paramètres déterminants est sensible à la grandeur mesurée. La
variation d’impédance résulte :

- Soit d’une variation de dimension du capteur, c’est le principe de fonctionnement d’un grand nombre de
capteurs de position, potentiomètre, inductance à noyaux mobile, condensateur à armature mobile.
- Soit d’une déformation résultant de force ou de grandeur s’y ramenant, pression, accélération (armature de
condensateur soumise à une différence de pression, jauge d’extensiométrie liée à la structure déformable).

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Mesurande Caractéristique électrique Type de matériaux
utilisés
Température Résistivité [ρ ] Métaux : Pt, Ni, Cu
Très basse T Constante diélectrique [ε ] Semi-conducteur
Verre
Flux lumineux Résistivité [ρ ] Semi-conducteur

Déformation Résistivité [ρ ] Alliage de Ni, Si dopé


Perméabilité magnétique [µ ] Alliage ferromagnétique

Position (aimant) Résistivité [ρ ] Matériaux


Magnétorésistant

Humidité Résistivité [ρ ] Chlorure de lithium


Constante diélectrique [ε ] Alumine ; polymère

Niveau Constante diélectrique [ε ] Liquides isolants

Tableau 4: comportement des capteurs passifs

4. caractéristiques d’un capteur :

Les caractéristiques des instruments de mesure peuvent être classifiées en deux catégories:

‐ Les caractéristiques fonctionnelles

‐ Les caractéristiques de performance, statiques et dynamiques.

4.1. Caractéristiques fonctionnelles :

Les caractéristiques fonctionnelles décrivent des généralités relatives aux possibilités d'un instrument sans
mentionner la qualité des performances de cet instrument.

4.1.1. Limites d’utilisation :

Domaine nominal d’utilisation : Il correspond aux conditions normales d’utilisation du capteur. Il est défini par
les valeurs limites que peuvent atteindre et conserver de façon permanente ou temporaire, d’une part la grandeur à
mesurer, d’autre part les grandeurs d’influence, sans que les caractéristiques métrologiques du capteur soient
modifiées.

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Domaine de non-détérioration : Il est défini par les valeurs limites, hors du domaine nominal d’utilisation que
peuvent atteindre la grandeur à mesurer et conserver sans que les caractéristiques métrologiques du capteur soient
altérées après retour dans le domaine nominales.

Domaine de non destruction : Il est défini par les valeurs limites, hors du domaine de non détérioration, que
peuvent atteindre la grandeur à mesurer sans qu’il y a une destruction du capteur. La réutilisation du capteur dans
son domaine nominal, nécessite donc un nouvel étalonnage.

Figure 8: limites d'utilisation d'un capteur

4.1.2. Etendue de mesure :

L'étendue de mesure d'un instrument correspond à l'intervalle compris entre les deux valeurs extrêmes de la
grandeur mesurée perceptibles par l'instrument.

Les deux valeurs extrêmes s'appellent la portée maximale et la portée minimale.

La portée maximale (ou minimale) de mesure est la valeur extrême maximale (ou minimale) de la grandeur que
l'instrument est susceptible de mesurer dans des conditions déterminées.

4.1.3. Sensibilité :

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C’est le rapport de la variation du signal de sortie à la variation correspondante de la grandeur à mesurer. C'est à
dire à la pente de la courbe de réponse du capteur pour une valeur donnée :

S=ds/de

ds : variation de sortie

de : variation de l'entrée

Pour les capteurs à sotie linéaires, la sensibilité du capteur peut être définie par une valeur unique pour toute
l’étendue de mesure.

4.1.4. Résolution :

La résolution est la plus faible variation du signal de sortie que l'indicateur de l'instrument est capable de mettre en
évidence.

D'une façon générale la résolution est le plus petit intervalle que l'on peut évaluer entre deux détails ou
graduations.

4.2. Caractéristiques statiques et dynamiques de performance :

L'importance de la précision dans les mesures est bien illustrée par les deux affirmations suivantes:

- Dans le contrôle et la régulation d'un procédé, la précision de la correction n'a de sens que si l'information initiale
est elle-même précise;

- Da performance d'un système de contrôle ne peut en aucun cas dépasser celle de chacun des dispositifs qui le
constituent.

4.2.1. Erreurs et incertitudes de mesure :

La valeur mesurée par un capteur diffère de la valeur vraie du mesurande. L’écart entre la vraie valeur et la valeur
mesurée résulte des imperfections du capteur ou de son montage ou de la méthodologie de mesure.

- Erreur de mesure : L’écart qui ne peut être calculé et qui peut être (ou non) corrigé (ou compensé).
- Incertitude de mesure : L’écart qui provient de la variation de paramètre non contrôlé et qui ne peut être
qu’estimé.

4.2.2. Fidélité et justesse :

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Les qualités essentielles d’un capteur s’expriment par la fidélité et la justesse :

- La fidélité est la qualité d'un capteur dont les incertitudes de mesures sont faibles. Elle se traduit par des
valeurs mesurées groupées autour de leur valeur moyenne. L’écart- type des valeurs mesurées permet une
appréciation quantitative de la fidélité.
- La justesse est la qualité d’un capteur dont les erreurs systématiques de mesure sont réduites.
4.2.3. Précision d’un capteur. Erreur de précision :

La précision des mesures est le degré de conformité des lectures indiquées avec la valeur vraie.

Les erreurs de précision peuvent résulter:

- d'erreurs intrinsèques de l'instrument.


- d'erreurs liées à l'ambiance.
- d'erreurs d'utilisation.
4.2.3.1. Erreurs de précision intrinsèque :

Résultant des erreurs de conception ou de fabrication.

Les erreurs intrinsèques avec lesquelles un capteur est né sont:

- Les erreurs de linéarité :


L'erreur de linéarité correspond en fait à une réponse non-linéaire de l'instrument. Elle exprime l'écart entre
la courbe moyenne de réponse observée et la ligne droite théorique attendue. La courbe moyenne est celle
attendue expérimentalement à partir de plusieurs parcours de l'étendue entière de mesure dans les deux
directions.
- Les erreurs de mobilité (ou d'insensibilité) :
L'erreur de mobilité ou le seuil de mobilité est l'intervalle, aussi appelé zone morte, dans lequel le signal
d'entrée peut varier sans entraîner de changement observable dans le signal de sortie.
- Les erreurs d'hystérésis :
L’hystérésis est le phénomène représenté par une courbe caractéristique qui possède deux branches
distinctes : l'une ascendante pour des valeurs croissantes de la grandeur d'entrée, l'autre descendante pour
des valeurs décroissantes de cette même grandeur. Pour une même valeur mesurée, l'erreur d'hystérésis ΔY
représente l’intervalle entre les deux branches.

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IV. Capteur-transmetteur de pression type FKA de ‘Georgin’:
1. La Pression :
1.1. Définition de la pression :

Un corps liquide ou gazeux enfermé dans un récipient, qu’il remplit entièrement, exerce sur toutes les parois de
celui-ci une force dite de pression. Celui-ci dépend de la nature du fluide, du volume qu’il occupe avant et après
remplissage c'est-à-dire des conditions de transfert et de la température.
Du point de vue phénoménologique, la pression p se définit comme le quotient d’une force par une surface.
P pa = F N / S m2
Ce quotient est indépendant de l’orientation de la surface élémentaire mais ne dépend que de sa position dans le
fluide.
Les fluides sont soumis à la force de pesanteur, c’est pourquoi dans le cas d’une colonne liquide, par exemple,
contenue dans un tube ouvert, placé verticalement, la pression en point M, à la distance h de la surface libre, est
égale à la pression atmosphérique Po augmentée du poids de la colonne s’exerçant sur l’unité de surface, soit :
P = Po + ρ g h
Avec : ρ est la masse volumique du fluide
g l’accélération de la pesanteur à l’endroit de mesure.
De même, pour un fluide soumis à une accélération quelconque, il y a lieu de tenir compte de l’influence de la
force d’inertie sur la pression.

1.2. Les types de pressions :


- La pression absolue : c’est la pression mesurée au-dessus du vide total ou
du zéro absolu qui représente une absence de pression.
- La pression atmosphérique ou pression barométrique : C’est la pression exercée par l’atmosphère de la
terre. La pression atmosphérique moyenne au niveau de la mer est de 1,012 bar .Elle peut varier de +/-
25 mbar avec la pluie ou le beau temps. Elle est en fonction de l’altitude (hydrostatique), c’est-à-dire, La
valeur de la pression décroît lorsque l’altitude augmente.
- La pression relative : C’est la pression au-dessus de la pression atmosphérique. Elle représente la
différence positive entre la pression mesurée et la pression atmosphérique existante. C’est celle qui est la
plus souvent utilisée parce que la plupart des capteurs sont soumis à la pression atmosphérique. Pour faire
une mesure en absolue, il leur faut un vide poussé dans une chambre de référence (pression de gonflage
d’un pneu par exemple).

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- La pression différentielle : c’est la différence entre deux pressions dont l’une sert de reference.Une
pression différentielle peut prendre une valeur négative.
- Le vide : Théoriquement, il correspond à une pression absolue nulle. Il ne peut être ni atteint ni dépassé.
Quand on s’en approche, on parle alors de vide poussé.
- La pression de service ou pression dans la conduite : c’est la force par unité de surface exercée sur une
surface par un fluide s’écoulant parallèlement à la paroi d’une conduite.
- La pression hydrostatique : C’est la pression exercée au-dessous de la surface d’un liquide par le liquide
situé au-dessus, quand le fluide est au repos.
A l’intérieur d’une colonne de fluide se crée une pression due au poids de la masse de fluide sur la surface
considérée. Cette pression est P = ℓ .g .h avec ℓ la masse volumique du fluide.

1.3. Les différentes unités de pression :

Figure 9: Les unités de la pression

2. Présentation du Capteur FKA:

Le capteur de pression relative, transmetteur électronique de la série ProcessX est un appareil qui mesure avec
précision une pression relative et la convertit en un signal de sortie 4-20 mA cc directement proportionnel.

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Le cœur de l’élément de mesure est constitué par un capteur micro-capacitif au silicium, déporté dans le col de la
cellule.

Par ailleurs, l’unité électronique bénéficie des dernières technologies en matière de microprocesseur.

Figure 10: Capteur de pression type FKA sur site

Figure 11: Capteur de pression type FKA

3. Principe utilisé dans ce capteur :

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Le capteur utilisé est un capteur de pression capacitif c'est à dire que son capteur agit comme un condensateur
sensible à la pression

3.1. Unité de mesure de la capacité :

D’après nos cours d'électricité, nous pouvons caractériser chaque condensateur par la quantité d'électricité qu'il
peut posséder. Cette quantité d'électricité Q (unité : le coulomb) dépend de la tension U et de la capacité électrique
(symbole C) du corps.

Q = C ⋅U

La capacité électrique C se mesure donc en coulomb par volt, unité de mesure à laquelle fut donné le nom de farad
(symbole F). Toutefois cette unité correspond à des capacités gigantesques. En pratique, nous utilisons
principalement les sous-multiples du farad soit :

- Le microfarad (symbole µF) qui équivaut à un millionième de farad (10-6 F).


- Le nanofarad (symbole nF) qui équivaut à un milliardième de farad (10-9 F).
- Le picofarad (symbole pF) qui équivaut à un MILLIONIEME DE MILLIONIEME DE FARAD (10-12F).
3.2. Condensateur plan :

La capacité d'un condensateur plan est donnée par la formule :

- C : Capacité en F
- ε : Constante diélectrique absolue en F / m
- S : Surface des électrodes en m²
- d : Distance entre les électrodes en m

4. Caractéristique fonctionnelle du capteur :


- Type: FKA : Smart, 4-20mA cc + signal numérique Georgin/Hart®.
- Service: Liquide, gaz ou vapeur.
- Étendue de mesure, gamme et surpression admissible :

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Figure 12: Etendue de mesure du capteur

- Signal de Sortie : 4-20 mA cc avec signal numérique superposé au signal analogique.


- Alimentation :
10,5 à 45 Vcc aux bornes de l’appareil.

10,5 à 32 Vcc aux bornes de l’appareil avec l’option dispositif parasurtenseur.

5. Caractéristiques de performance :
- Précision : (y compris linéarité, hystérésis & répétabilité) Étendues de mesure > à 1/10 de
l’échelle max: ±0.2% de l’étendue de mesure réglée ou Étendues de mesures < à 1/10 de l’échelle
max: ± (0.1 + 0.1 0.1 x Ech.max /EMR) % de l’EMR
- Stabilité : ±0.2% de l’échelle max. pendant 10 ans

Chapitre 3 : Déroulement de Stage :

I. Introduction :

Ce stage, d’une durée de dix jours, a consisté à connaitre et mettre en place des instruments d’une boucle de
régulation dans le procédé de la raffinerie.

Ce rapport présente le travail que nous avons effectué lors de notre stage au sein de CIS et. Il s’est déroulé du 18
au 28 mars 2017. Pendant cette période, nous nous sommes familiarisés avec un environnement technique et un

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ensemble d’applications technique. Ceci nous a permis ensuite, mettre en place les instruments de mesure et de
régulation.

Le but de ce rapport n’est pas de faire uniquement une présentation exhaustive de tous les aspects techniques que
nous avons pu apprendre ou approfondir, mais aussi, de manière synthétique et claire, de faire un tour d’horizon
des aspects techniques et humains auxquels nous avons été confronté.

II. Découverte du métier :

Avec son accord, nou nous sommes intéressé à un membre du personnel dans sa fonction au sein de l’entreprise.
Cela nous a permis de l’observer dans son travail quotidien ou t’entretenir avec lui en ayant préparé des questions
à l’avance. L’objectif était de :

- Découvrir ses missions, ses tâches quotidiennes, son lieu de travail, son équipement
- Analyser ses rapports avec ses collègues, sa hiérarchie
- Connaître les conditions de travail (avantages, inconvénients, rythme, contraintes, horaires, salaire,
…)
- Savoir comment on accède au métier : niveau d’étude et diplôme requis, formations existantes,
qualités requises (physiques, intellectuelles, humaines), débouchés et évolution professionnelle.
III. Activités réalisées :

Jours Jour 1 Jour 2 Jour 3 Jour 4


Secteur de Complexe CIS Service Service Service
L’entreprise RHM2 RHM2 RHM2
(raffinerie) (Raffinerie) (raffinerie)
Travaux Découverte Découverte de Voire et Visite à la salle
Observés ou Du complexe et La raffinerie et manipulation de de contrôle de la
Effectués ses différentes Connaitre sa différents raffinerie
stations mission instruments de
régulation au
sein de la
raffinerie
Difficultés Non présence
Rencontrés / des EPI nous a / /
posé un
problème avec
les agents HSE
J’ai aimé ou J’ai aimé J’ai aimé J’ai aimé J’ai aimé
Je n’ai pas aimé
Pourquoi ?
Tableau 5: Calendrier de Stage

22
Jours Jour 5 Jour 6 Jour 7 Jour 8
Secteur de Service Service Service Service
L’entreprise RHM2 RHM2 RHM2 RHM2
(raffinerie) (raffinerie) (Raffinerie) (raffinerie)
Travaux Etalonnage du Etalonnage du Séance théorie Changement du
Observés ou capteur- Capteur- Avec notre capteur-
effectués transmetteur de transmetteur de dirigent transmetteur
débit FT803 Niveau LT805 FT801 a cause
Et de pression d’une
PT803 défaillance

Difficultés
Rencontrés / / / /

J’ai aimé ou J’ai aimé J’ai aimé J’ai aimé J’ai aimé
Je n’ai pas aimé
Pourquoi ?

IV. Conclusion :

La réalisation de ces activités nous a permis de travailler dans des environnements techniques différents. On a
utilisé différents outils et divers manipulation selon les besoins. Le fait de travailler avec différentes équipes nous
a permis de voir que des améliorations pouvaient être apportées au système.

Conclusion générale :

23
Pendant le déroulement de notre stage, on a eu l'opportunité de travailler sur différents aspects avec des équipes
différentes. Le travail réalisé s'est avéré très enrichissant pour notre expérience professionnelle aussi bien en ce qui
concerne le domaine technique que l’aspect humain. Le fait de travailler avec des entités différentes nous a permis
d'avoir une vision détaillée de la supervision et de la gestion de système.

En effet, ce stage au CIS SH/DP, nous'a permis de savoir comment fonctionne une boucle de régulation.

Ainsi que dans ce stage au CIS SH/DP, nous avons découvert comment était assurée la maîtrise et le contrôle des
différentes unités de la raffinerie. Dans les travaux réalisés, on a pu apporter nos connaissances théoriques et
approfondir certains domaines que nous nous connaissions pas encore, on a pu découvrir un ensemble d’outils
employés dans l’administration. On a pu aussi nous familiariser avec le matériel constructeur.

Le fait de travailler en équipe et utiliser des applications existantes nous a permis de nou intégrer dans un groupe
de travail et de voir en quoi consistait le travail d'ingénieur au sein d'une structure comme Sonatrach.

Sommaire

Introduction Générale :.......................................................................................................................3
Chapitre 1: Présentation du lieu de stage
I. Introduction.........................................................................................................................4

24
II. Généralités sur le champ pétrolier de Hassi Messaoud.......................................................4
1. Situation géographique  ..................................................................................................................4
2. Situation géologique........................................................................................................................4
III. Infrastructures pétrolières de SH DP à HMD......................................................................5
1. Direction de la maintenance à HMD  ..............................................................................................5
1.1. Organigramme de la direction de la maintenance/SH/DP HMD  ..........................................5
1.2. Maintenance ............................................................................................................................6
1.2.1.Organisation.....................................................................................................................6
1.3. La raffinerie.............................................................................................................................7
1.3.1.Introduction......................................................................................................................7
1.3.2.Historique.........................................................................................................................8
1.3.3.Description du procédé.....................................................................................................8
1.3.3.1. Description générale...................................................................................................8
1.3.3.2. Description de l'unité..................................................................................................9
Chapitre 2 : Capteur dans une chaine de mesure
I. Introduction.......................................................................................................................10
II. Chaine de mesure..............................................................................................................10
III. Généralités sur les capteurs...............................................................................................11
1. Définition du capteur………………………………………………………………………………11
2. Capteur Actif.................................................................................................................................12
3. Capteur Passif................................................................................................................................13
4. Caractéristiques d'un capteur.........................................................................................................14
4.1. Caractéristiques fonctionnelles...............................................................................................15
4.1.1.Limite d'utilisation..........................................................................................................15
4.1.2.Etendue de mesure..........................................................................................................16
4.1.3.Sensibilité.......................................................................................................................16
4.1.4.Résolution......................................................................................................................17
4.2. Caractéristiques statiques et dynamiques de performance......................................................17
4.2.1.Erreurs et incertitudes de mesure………………………………………………………..17
4.2.2.Fidélité et justesse……………………………………………………………………….17
4.2.3.Précision d'un capteur…………………………………………………………………...18
4.2.3.1 Erreurs de précision intrinsèques………………………………………………….18
IV. Capteur-transmetteur de pression type FKA……………………………………………...19
1. La pression……………………………………………………………………………………19
1.1. Définition de la pression……………………………………………………………………..19
1.2. Les types de pressions…………………………………………………………………..........19

1.3. Les différentes unités de pression…………………………………………………………...20


2. Présentation du capteur……………………………………………………………………………21
3. Principe utilisé dans ce capteur……………………………………………………………….....22
3.1. Unité de mesure de capacité………………………………………………………………..22
3.2. Consensateur plan………………………………………………………………………….23

25
4. Caractéristiques fonctionnelles de ce capteur…………………………………………………..23
5. Caractéristique de performance………………………………………………………………….24
Chapitre 3: Déroulement de stage
I. Introduction……………………………………………………………………………………..24
II. Découverte du métier…………………………………………………………………………...24
III. Activités réalisées………………………………………………………………………………25
IV. Conclusion……………………………………………………………………………………...26
Conclusion générale

Liste des figures:

Figure : Organigramme de la direction de la maintenance SH/DP HMD……………………6


Figure : Organigramme du complexe CIS……………………………………………………..6
Figure : Chaine de mesure simple…………………………………………………………… 10
Figure : Chaine de mesure compliquée……………………………………………………… 11
Figure : Constitution du capteur.……………………………………………………………...12
Figure : Capteur actif, générateur de charge …………………………………………………12
Figure : Capteur passif, capteur de pression a jauge résistive……………………………….. 13
Figure : limites d'utilisation d'un capteur …………………………………………………….16
Figure : Les unités de la pression …………………………………………………………….20
Figure : Capteur de pression type FKA sur site……………………………………………. 21
Figure : Capteur de pression type FKA ……………………………………………………..22
Figure : Etendue de mesure du capteur ……………………………………………………..23

Liste des tableaux:

Tableau 1: Capacité de production des éléments par an………………………………………..8


Tableau : Différentes sections de l'unité de production……………………………………… 9
Tableau : Comportement des capteurs actifs……………………………………………….. 12
Tableau : comportement des capteurs passifs………………………………………………. 14
Tableau : Calendrier de Stage………………………………………………………………. 25

Annexes :

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 Documents fournies par la direction maintenance SH/DP Hassi Messaoud
 Livre de Patrick Prouvost d’instrumentation et régulation
 Document fourni par IAP-CU de mesure de P, N, D,T
 Document de Total des capteurs capacitifs
 Document fourni par Georgin corporation (Fiche technique du capteur FKA)
 Cours de Mesures2 de l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla

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