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Clive : pour moi ? Hin, hin. Les gens ne m’ont pas oublié ? Qui peut bien vouloir me
rencontrer ?
Inconnus : personne, je suis rentré tout seul. Vous me prenez pour un attarder ? Je sais
franchir une porte.
Agent Finn : Layton ! Je vous prie de retourner dans la salle de visite et de….
Layton : Layton ? Ah, oui, je me souviens maintenant. Non appeler moi plutôt : Arlequin. Sur
ce mon cher Finn, je suis au regret de devoirs vous faire taire. Je ne voudrais pas qu’une autre
personne que ce très cher clive, sache mon identité.
Arlequin sortis un couteau ensanglanter et le plantas dans le torse de l’agent Finn. Puis il reprit
la parole :
Arlequin : venez avec moi mon cher clive. Il ne nous reste très peu de temps.
Arlequin : voulez-vous que nous reparlions de votre passer ? Non je ne crois pas. Je crois assi
savoir que vous ne supportez pas qu’on touche a Flora ? Quel dommage, son unique chance de
survie étais de vous revoir. Mais je vais vous laisser seul. Après tout, qui voudrait d’une file
aussi inutile, que stupide, qu’elle ? Personne n’est-ce-pas mon cher clive ?
Clive : Flora ? Non attendez, dite moi qu’est-ce que vous lui avez fais ?!
Arlequin : il est trop tard mon cher clive. Voyez-vous ce que ce monde vous a fait. Voyez le
genre de personne qu’il a créé ! Ah, ah, ah !!! Je me dois de vous laisser.
Arlequin : toujours obstinez à ne pas venir ? Imaginez le désastre si je racontais tous ce que je
sais sur vous……ou plutôt sur vos parents. Regardez ce que vous êtes devenus, une épave.
Venez plutôt voir avec moi, mais au moindre faux pas, je vous réserve le même sort que Finn.
Clive et Arlequin traversent le petit couloir qui mène jusqu’à la salle d’attente. Une fois arrivés,
clive découvre une dizaine d’agent à terre, le visage ensanglanter, tous transpercer d’un coup
de couteau à la poitrine, mais aussi deux femmes et trois enfants inertes, sans vies.
Clive : c’était des enfants ! Et tous ses visiteurs, des innocents ! Pourquoi les avez-vous tués ?
Pourquoi ?!
Arlequin : ah, eux ? Je ne sais pas…pour passer le temps probablement. Hi, hi, hi, voyez
pourquoi je pense que vous faite erreur en refusant de me suivre. D’ailleurs, ou est cette chère
Flora dans les décombres ? Vous avez cinq minutes. Sinon….je pense devoirs la tuée. Ce serait
du gâchis. Vous ne pensez pas ?
Clive : pourquoi ?! Pourquoi moi ?! Qu’est-ce que je vous ai fait ?! DITE LE MOIS !!!!
Arlequin : mais rien voyons. Toi riens, mais tes parents, eux oui. Quel dommage qu’ils ne soient
plu la pour te protéger. Je suis malheureusement obligé de me rabattre sur toi. Entre nous,
c’est justice, tu ne trouves pas ? Le fils paie pour les parents. S’ils t’avaient aimé, peut-être ne
seraient-ils pas morts durant ce tragique incident. A oui au fait, l’horloge tourne.
Clive : je n’ai pas assez de temps. Minute seize et dix-sept. Mais oui je suis dans la cellule
numéro seize, elle doit être dans la dix-sept. Vite !
Clive arrive dans la cellule numéro quatorze et découvre arlequin, un pistolet sur la tempe de
Flora.
Clive : Non !!!
Arlequin : zéro !
Arlequin tire. Après quelques minutes de silence, clive, immobilisez jusqu’à maintenant,
s’écroule par terre et rampe jusqu’à la dépouille de Flora. Il fond en larme.
Arlequin : pathétique. Quel dommage, toute les preuves vont se retournez contre toi. Il n’y a
aucune preuve contre moi, tu sais pourquoi ? Je n’existe pas ! Allez j’espère que ce pistolet
pourras t’aider à prendre la bonne décision, je te le laisse.