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Perverse
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Perverse
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Chapitre I
Chapitre 1
Flavie vient de fêter ses seize ans. Il n'y a pas de fille plus belle et plus
attirante dans tout le pays; et si je le dis ce n'est pas parce que je suis sa
grand-mère, non. Quand nous nous promenons dans la rue, je me rends
bien compte de l'effet que ses petites fesses rondes et fermes produisent sur
les garçons. Je crois que Flavie ne s'aperçoit de rien mais moi, à mon âge,
je n'ai plus beaucoup de naïveté. Je sais voir le désir dans les yeux des
hommes.
Flavie a souri. Elle fait celle à qui aucun autre cadeau ne pourrait donner
autant de plaisir.
Flavie a déjà toutes les rondeurs d'une femme. Comme elle ne se gêne pas
pour se promener nue devant moi, j'ai pu constater la fermeté de ses seins
qui pointent orgueilleusement vers le haut, la finesse de sa taille et la
plénitude de ses hanches. Elle entretient soigneusement sa longue
chevelure châtain qui une fois déroulée lui arrive au ras des fesses. Ses
yeux noirs pétillent de malice et sa bouche ressemble à une petite cerise.
Son sac est un fouillis incroyable. Elle le vide sur la table pour mieux
chercher le rouge à lèvres en question. Il n'y est pas.
Chapitre I 2
Perverse
Flavie range ses affaires. C'est à dire qu'elle remet tout en vrac dans le sac.
- Il faut se protéger, dit Flavie avec un naturel qui me laisse sans voix.
- Bien sûr. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Il vaut mieux prévoir.
Surtout que les garçons n'en ont jamais.
Chapitre I 3
Perverse
- Voyons grand-mère! Tu ne penses tout de même pas qu'à seize ans je suis
encore pucelle?
Pendant que je regarde Flavie qui s'en va, insouciante, fraîche, vive, sa
minijupe au ras des fesses, je repense à ma jeunesse, si différente.
J'ai acheté un petit cahier d'écolier. Je vais tâcher d'y noter mes souvenirs
pour que Flavie puisse les lire un jour prochain.
Mes parents avaient sur l'éducation à donner aux filles des idées bien de
leur temps, et même du temps de leurs propres parents. Pas de mots
grossiers prononcés à la maison, pas d'attitudes équivoques, pas de gestes
ambigus et surtout jamais aucune allusion aux choses du sexe. Les filles
devaient arriver vierges au mariage sous peine de déshonneur et avec le
moins de connaissance possible. Pour eux la tendresse était une faiblesse.
Personnellement, je ne les ai jamais vus s'embrasser et, le soir, ils
fermaient la porte de leur chambre à clé pour éviter toute intrusion
intempestive de ma part. Je suis presque certaine qu'ils faisaient l'amour en
ayant toujours l'angoisse de faire grincer le sommier ou de laisser échapper
un gémissement intempestif.
Ils pensaient ainsi préserver mon enfance et faire de moi une petite fille
modèle. Et jusqu'à mes seize ans ils y étaient parvenus assez bien.
C'était sans compter sur l'apparition imprévue d'un oncle perdu de vue
depuis des années et de retour d'Afrique où il dirigeait une plantation de
café.
Un jour, tout à fait par hasard, J'étais tombée sur une bobine surprenante
Avec étonnement j'avais découvert sur l'écran une énorme verge en gros
plan. Cette monstruosité appartenait à mon oncle. C'était la première bite
que je voyais, n'ayant jamais eu de frères ou de cousins, et encore moins de
copains, étant donné le barrage qu'entretenaient mes parents pour m'éviter
tout contact avec les garçons. Je ne connaissais le sexe masculin que par
certaines reproductions de tableaux ou de sculptures trouvées dans le
dictionnaire.
Jamais bien sûr mon père ne s'était montré nu à mes yeux. Quant au sexe
féminin, je connaissais le mien, une fente à peine perceptible qui
ressemblait à un abricot et ne servait à rien d'autre qu'à faire pipi.
La négresse, sans jamais perdre son sourire, qui dévoilait une rangée de
dents blanches dans sa face noire, s'était agenouillée au-dessus de mon
oncle dont le long morceau de chair se dressait comme le mat d'un navire.
Elle avait guidé la tige vers son trou et s'était empalée. La saucisse avait
complètement disparu dans son ventre. Je m'attendais à voir la fille
grimacer de douleur. Mais pas du tout. Au contraire elle semblait très
satisfaite de cette introduction. Je la vis se soulever, puis se baisser en
cadence. Quand la tige ressortait, elle était luisante d'un liquide qui me
parut assez gras.
Mon oncle avait planté ses doigts dans les fesses noires et leur donnait
l'impulsion qu'il désirait. Dans le film en noir et blanc, ce corps noir qui se
mouvait en cadence sur celui de l'homme blanc avait un aspect esthétique
qui m'émut au plus haut point.
J'avançai mon doigt, hésitante, le cœur battant. Je tâtai les glandes. C'était
humide et chaud. Je glissai une phalange. Un fort sentiment de honte
m'envahit. Je pratiquais sur moi un acte ignoble. Je transgressais un tabou.
Le rouge me monta au front.
Mon fourreau était très étroit. Je poussai encore un peu le doigt mais un
début de douleur m'empêcha de continuer.
Sur l'écran la grosse colonne de chair de mon oncle allait et venait avec
une facilité étonnante entre les cuisses un peu maigrichonnes et largement
ouvertes de la fille. Je provoquais un peu la douleur en faisant pression
avec mon doigt, jouais avec elle comme à cache-cache, mais plus je
poussais et moins c'était supportable. Comme la jeune noire, certainement
beaucoup moins âgée que moi, devait souffrir! Peut-être même allait-elle
mourir, pensai-je en comparant la taille de mon doigt avec celle de la
saucisse.
Enfin, mon oncle sortit complètement son engin, palpitant, luisant, mouillé
d'un liquide qui semblait gluant. Je croyais qu'il en avait fini. Mais non.
Voilà qu'il dit quelques mots à la fille. Le film étant muet je ne pus que
supposer qu'il lui demandait quelque chose qui ne l'enchantait guère à en
juger par la grimace qu'elle fit.
Un peu à contre cœur, mais sans perdre son sourire face à la caméra, elle
s'agenouilla, présentant ses fesses, les écartant à deux mains pour montrer
Chapitre I 7
Perverse
son trou du cul. Incrédule, je vis mon oncle diriger sa saucisse vers le petit
trou et forcer pour s'y enfoncer. Visiblement la fille criait. Son sourire avait
disparu. Je vis la colonne de chair s'enfoncer peu à peu dans le derrière
noir.
A mon tour je poussai un doigt vers mon trou du cul. La chair était souple.
Le doigt s'enfonça facilement, sans provoquer la douleur redoutée. Au
contraire je trouvai ça assez agréable. Non pas que je ressentisse le
moindre plaisir, mais l'absence de douleur à elle seule était une invite à
continuer. Je fis seulement une légère grimace au moment d'expulser mon
doigt.
Voilà quelque chose que j'aurais aimé faire! J'avais toujours adoré sucer.
Le fait d'avoir seize ans ne m'empêchait pas de continuer à sucer mon
pouce par exemple comme quand j'étais encore au berceau.
Chapitre I 9
Perverse
- Mon père a une grosse bite et il la rentre tout entière dans la chatte de ma
mère.
Il m'avoua qu'il avait percé un trou dans la cloison des WC, chez lui, et que
par-là il pouvait espionner tout à son aise.
- Plusieurs fois j'ai vu mon père se toucher la bite, jusqu'à ce qu'elle crache
du sperme tellement fort que parfois il y a des gouttes qui giclent jusqu'à la
porte en face de la cuvette. Tu sais ce que c'est le sperme?
Chapitre I 10
Perverse
Un peu honteuse, je fus bien obligée de dire que je n'en avais aucune idée.
Rentrer deux doigts dans le trou! J'avais du mal à le croire. Je n'étais même
pas arrivée à faire pénétrer une première phalange.
- Une fois, ils étaient tous les deux dans les WC. Ma mère s'est penchée en
avant, en s'appuyant sur la cuvette. Mon père avait un énorme saucisson au
bas du ventre. Il l'a rentré d'un coup. Ma mère a dit "c'est bon! Fourre-moi
fort!"
- Dans la chatte, bien sûr. Dans le cul ce n'est pas possible. Sa queue est
trop grosse.
Je n'avais aucune idée de la taille que pouvait avoir cette "queue" mais elle
ne pouvait pas être beaucoup plus grosse que celle de mon oncle. Je fis
part de mes réflexions à Jean-Marc.
- Je t'assure que mon oncle enfonçait son engin dans le petit trou de la
noire. Et c'était vraiment un gros saucisson.
Chapitre I 11
Perverse
En même temps j'avais envoyé la main vers la bosse qui déformait son
pantalon et qui ne cessait de croître au fur et à mesure que notre
conversation se faisait plus chaude.
Je lui aurais envoyé un coup de poing à l'estomac qu'il n'aurait pas été plus
choqué. Son visage avait viré au rouge vif. Mon copain n'arrivait pas à se
décider. Il avait du mal à rompre dix ans d'amitié pour satisfaire sa
sexualité naissante. Je n'avais pas le même complexe et prenais plaisir à
toucher sa bite à travers le tissu du pantalon. Je la sentais gonflée comme
une grosse saucisse, à la fois tendre et ferme.
Au fond du jardin il y avait une vieille cabane en bois que mon père
m'avait construite lorsque j'étais petite fille. J'aimais m'isoler dans ce coin
secret que j'avais plus ou moins transformé en résidence d'été. Rien n'y
manquait. J'y avais installé un petit divan, une table, une coiffeuse
surmontée d'un miroir, et bien sûr l'indispensable électrophone Tepaz.
C'est dans cette cabane que Jean-Marc et moi passions des heures à écouter
nos disques préférés et à faire nos devoirs. Nous étions dans la même
classe, mais pas dans le même établissement puisque mes parents
Chapitre I 12
Perverse
m'avaient inscrite chez les sœurs tandis que Jean-Marc allait au lycée. En
ce temps-là la mixité n'existait pas.
- Laisse-moi la voir!
- Je suis sûre qu'elle est toute petite. Et c'est pour ça que tu veux pas la
montrer.
Je savais pertinemment qu'il n'en était rien. L'engin que j'avais tâté à même
le pantalon avait la taille d'une belle andouillette.
La bite de Jean-Marc tenait bien ses promesses. Elle n'était pas très longue
mais bien grasse, noueuse, palpitante, et surtout d'une fermeté qui
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Perverse
- Non, au contraire.
- Tu te la touches souvent?
- C'est bon. Je sens des picotements, là, au bout, et puis aussi dans les
reins.
D'autorité j'avais saisi dans ma main la bite de Jean-Marc. Elle était douce,
chaude et vivante comme un petit animal.
- C'est bien?
Chapitre I 16
Perverse
Jean-Marc avait trouvé le geste qu'il fallait, le même que mon oncle dans le
film. Il maintenait ma tête entre ses deux mains et la pressait contre son
bas-ventre.
Je crois que j'aurais pu sucer cette bite pendant des heures. C'était une
véritable révélation. Mon bonheur était complet.
- Voilà! Ça vient!
Mais Jean-Marc fit onduler ses reins, comme pour me rappeler à l'ordre.
- Suce fort!
Chapitre I 17
Perverse
Je m'étais mise à jouer avec le paquet qui pendait sous la bite molle. Avec
ravissement je faisais tourner entre mes doigts les petites boules qui étaient
à l'intérieur.
- A quoi ça sert?
J'allai m'asseoir sur le divan, les fesses bien au bord. Je soulevai ma jupe et
écartai les cuisses.
- Je crois que c'est comme la barbe chez les hommes. Il y en a qui ont
beaucoup de poils et d'autres presque pas. Chez moi c'est juste un petit
duvet. Touche comme c'est doux!
Chapitre I 18
Perverse
- Ma mère a une grosse touffe noire et frisée, dit-il. Mais cette semaine elle
s'est rasée.
- Ma chatte te plait?
Je regardais mon petit abricot ouvert, rose tendre à l'intérieur, les lèvres de
la blessure légèrement irritées par l'urine et le frottement de la culotte.
Jean-Marc avait posé un doigt sur la minuscule fente bordée de rouge vif.
Le contact de ce doigt me fit frissonner. Le garçon chercha l'entrée de ma
chatte, mais je l'arrêtai tout de suite en saisissant son poignet.
- Tu as essayé?
- Pourtant ma mère n'a pas l'air d'avoir mal quand mon père lui fourre sa
bite.
Jean-Marc avisa soudain un crayon qui traînait sur la table basse devant le
divan. Il le saisit et le dirigea vers mon trou béant. Je n'étais qu'à moitié
rassurée.
- Tu as mal?
- Non.
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Perverse
En même temps j'avais relevé très haut mes jambes pour présenter mon
petit trou.
- Vrai? Je peux?
Il posa un doigt timide sur la rondelle souple qui tout de suite absorba la
première phalange.
- Enfonce-le!
Chapitre I 21
Perverse
Je riais comme une petite folle à voir sa mine déconfite. Je lui tendis un
mouchoir en papier.
- Essuie-toi, cochon!
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Chapitre 2
Flavie est assise sur une chaise, nue, les jambes écartées, face à la grande
glace de l'armoire. Elle ne m'a pas vue entrer. Son regard trouble se perd
dans la contemplation de sa chatte béante qu'elle maintient ouverte avec
deux doigts.
Dans le reflet de la glace je peux constater que Flavie s'est rasé le sexe, ne
laissant qu'une petite touffe, bien taillée, au sommet de la fente. La
muqueuse est déjà très tourmentée, les glandes congestionnées. Les lèvres
sexuelles ressemblent à un fin travail de dentellière. Un liseré sombre en
suit le contour, comme un trait d'encre noir qui délimiterait un dessin au
pastel très tendre. Le dégradé de rose se fait plus vif en allant vers la base.
La vulve est noyée de jus. Ma petite-fille le récupère à la pointe du doigt
qu'elle fait ensuite courir sur le clitoris maintenu érigé en pressant sur la
fine capuche qui le couvre.
Je vois ses jambes se tendre. Son regard est devenu vide. Elle accélère les
mouvements de son doigt sur le clito rouge d'excitation.
Chapitre 2 23
Perverse
presque une jouissance de femme mûre qui résonne jusque dans mes
ovaires.
Flavie s'est recroquevillée. Elle est comme tétanisée. Son corps est secoué
de spasmes incontrôlables. Elle a enfoncé un doigt au profond de sa chatte.
Les secousses s'espacent. Il n'y a plus que les pieds qui se contractent mais
ces contractions-là aussi s'espacent.
Une fois de plus Flavie vient de réveiller mon adolescence. J'ouvre mon
cahier et je me replonge dans mes souvenirs.
Chaque fois que nous le pouvions, Jean-Marc et moi nous retrouvions dans
la cabane. Peu à peu je me perfectionnais dans l'art de sucer et j'aimais de
plus en plus le faire. C'était devenu une drogue pour moi. J'avais besoin de
téter une bite. N'importe laquelle aurait fait l'affaire, mais pour l'instant
comme je n'avais que celle de Jean-Marc à me mettre sous la langue, je
m'en contentais.
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Perverse
C'était un peu frustrant, d'autant plus que Jean-Marc avait souvent des
anecdotes piquantes concernant ses propres parents, lesquels en revanche
semblaient avoir une sexualité débordante.
Jean-Marc s'ingéniait aussi à apporter dans la cabane les objets les plus
hétéroclites pour me les fourrer dans le cul. Ainsi j'avais eu droit à de
petites carottes, à des haricots verts, à toute une gamme de stylos divers, à
un fume cigarette et à un thermomètre avec lequel mon copain me prenait
régulièrement la température.
Mais ce qui nous avait le plus amusé c'était un petit pistolet à eau. Pendant
des semaines ce pistolet nous avait divertis un maximum. Jean-Marc le
remplissait d'eau puis il calait l'embout dans l'ouverture de ma chatte ou de
mon cul et il m'injectait le liquide que nous regardions toute suite après
s'écouler sur le plancher, moi accroupie, Jean-Marc allongé à plat ventre.
C'étaient des moments très jouissifs.
- Ça va sentir fort!
Je poussai sur mon ventre. Une goutte ambrée perla à l'ouverture du méat.
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Perverse
Le liquide chaud se mit à couler avec force. Il passait entre les doigts de
Jean-Marc, ruisselait le long de mes cuisses, se répandait sur le plancher.
- Essaye.
Mais, à prendre la bite dans ma main elle était tout de suite devenue raide.
- Ça va venir.
passer.
- C'est sale de boire le pipi, souffla Jean-Marc écœuré par ce que je venais
de faire.
- Pourquoi?
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Perverse
- Si, il m'en reste encore un peu, tu vas voir. Mets ta bouche sous ma
chatte.
Je poussai sur mon ventre et le jet ambré jaillit une nouvelle fois.
Heureusement pour Jean-Marc ce n'était qu'une toute petite envie qui
demeurait dans ma vessie, mais il y en eut assez pour remplir sa bouche. Il
eut un hoquet, faillit s'étrangler, toussa, cracha.
L'urine lui sortait par le nez.
Puis il ajouta :
S'il acceptait d'avance qu'il y eut une prochaine fois, c'est que la chose ne
lui avait pas trop déplu. Ce qu'il confirma aussitôt.
- C'était super!
Mais les adolescents n'ont pas la rancune tenace. Nous refîmes l'accord et
David fut admis dans l'intimité de la cabane.
Un jour, je vis arriver David et Jean-Marc, après les cours. Ils avaient des
mines de conspirateurs et se poussaient du coude en riant grassement et en
me regardant. Nous étions dans la cabane sous le prétexte d'écouter le
dernier disque d'Elvis Presley. Jean-Marc hésitait. Je le voyais qui tournait
autour du pot sans pouvoir se décider. J'étais déjà fine mouche et fis celle
qui ne voyait rien.
Chapitre 2 29
Perverse
- Tu sais, me dit-il, David a une bite qui crache vachement loin. Il s'est
masturbé devant moi et son jet va au moins deux fois plus loin que le mien.
- Ben quoi? dit Jean-Marc. Pourquoi tu veux pas? Tu as peur de quoi? J'ai
raconté à David ce qu'on fait tous les deux. Et puis dans la cabane
personne peut nous voir.
Vautrée sur le divan je montrais mon abricot, sans aucune sorte de pudeur,
avec un plaisir pervers, j'écartais les lèvres de la blessure sexuelle pour
révéler la muqueuse humide et odorante.
David était devenu tout rouge. Deux petites veines battaient sur ses
tempes. Il ouvrait de grands yeux et respirait avec difficulté.
Il fit glisser son doigt dans la fente, de bas en haut, pressa les glandes,
chercha le minuscule clitoris. Je n'aimais pas trop. Déjà quand Jean-Marc
me le touchait, je lui demandais vite d'arrêter. Le contact me produisait une
sensation désagréable, insupportable.
Je constatai que je ressentais la même chose avec le doigt de David. Je
demandai au garçon de cesser. Il prit aussitôt un de ces airs supérieurs qui
m'horripilaient.
- C'est parce que tu es encore une gamine. Les femmes adorent quand on
leur touche le clito.
David se rengorgea.
- Par-là c'est trop étroit, dis-je, mais si tu veux, tu peux le mettre dans mon
cul.
Chapitre 2 31
Perverse
Une lueur sale, vicieuse, dansait dans ses yeux. Il plongea son doigt d'un
trait dans mon anus.
- Doucement!
Avec une sorte de rage contenue, il faisait entrer et sortir son doigt. Ses
mâchoires étaient crispées, ses narines pincées, son regard vide.
Les deux garçons n'en menaient pas large. Ils tentaient de me rassurer.
Très rapidement j'essuyai quelques larmes qui avaient coulé sur mes joues,
pendant que le garçon ouvrait son pantalon.
- Regarde bien!
Lentement il fit sortir le gland que recouvrait une épaisse couche de gluant.
De son autre main il se massait les couilles. J'avais très envie de toucher
cette queue palpitante mais je n'osais pas, pas encore. Je me contentai de
regarder le gros champignon qui jouait à cache-cache.
J'aurais pu lui parler de mon oncle. Mais la bite de mon oncle n'était qu'une
image. Dans la réalité c'était vraiment la première bite de ce calibre que je
voyais.
La bite avait encore grossi. La peau du prépuce restait bloquée sous la base
évasée du gland.
- T'en fais pas, je vais pas te la fourrer. Elle est trop grosse pour toi. Je vais
seulement la frotter contre ta fente.
Avec la main il guida sa tige et son gland décalotté, rouge, dur comme du
bois. Il entreprit de se frotter. C'était extra de voir la grosse boule
disparaître et apparaître au bas de mon ventre. Le liquide qu'elle produisait
lubrifiait ma fente. La bite, dans le rail de mes lèvres, glissait d'une
manière exquise, chaude, vivante.
Sans discuter, je me laissai tomber à plat ventre sur le divan, le cul à l'air.
David tout aussitôt s'allongea sur moi. Il pesait de tout son poids. Je sentais
la saucisse dure et humide aller et venir dans ma raie. J'étais ravie.
Soudain, David se souleva, prit sa bite d'une main et la guida vers mon
anus déjà traumatisé par l'introduction de son doigt peu de temps
auparavant. Je sentis le gland qui tentait de forcer le passage.
Mais il était beaucoup trop gros et tellement gluant qu'il dérapa.
Je m'affolai.
Chapitre 2 34
Perverse
Mais Jean-Marc, effrayé par la tournure des événements, n'osait pas faire
un geste, ni pour obéir à son copain, ni pour me venir en aide.
- Ouvre la bouche!
Il passait son sexe baveux sur mes lèvres fermées. Une odeur forte
m'envahit les narines.
- Ouvre et suce !
- C'est bon! Suce! Je coule N'arrête pas de sucer pendant que j'éjacule!
Voilà!
J'eus bientôt la bouche pleine. Trop pleine pour pouvoir tout avaler.
David s'était retiré. Lui aussi, la phase de plaisir terminée, avait du mal à
supporter le moindre contact sur son gland.
J'étais assise sur le divan, et les deux garçons, debout devant moi, me
regardaient. Je devais avoir une drôle de tête avec mes joues gonflées et
mes lèvres pincées.
- Non, dit Jean-Marc, pas toutes. Ma mère, quand elle suce mon père, elle
recrache tout.
Chapitre 2 36
Perverse
C'était très excitant de voir cette purée jaillir brusquement, monter en arc
de cercle, s'écraser en petites flaques sur le plancher. Consciencieusement
je mesurais les jets. Je peux affirmer que jamais dans ma vie je n'ai vu un
homme avoir une telle pression dans la bite.
Chapitre 2 38
Chapitre 3
Flavie a un petit ami. Un de plus. Celui-là est bien le cinquième que je lui
connais. Mais Flavie n'a rien d'une amoureuse. Elle prend les garçons et les
jette avec une facilité qui me déconcerte. La rupture ne lui brise pas le
cœur, d'autant que c'est toujours elle qui la provoque et un nouveau
soupirant ne lui fait pas perdre la tête.
Chapitre 3 39
Perverse
Pas aussi rouges que le pauvre garçon qui ne sait où donner du regard.
Flavie ouvre sa fente. Elle presse sur la motte pour faire saillir le clitoris.
- C'est quand même pas la première fois que tu vois ma chatte! s'exclame
Flavie, exaspérée par l'attitude du garçon. C'est ma grand-mère qui
t'intimide?
Elle a extrait la bite et la branle d'une main ferme. Le garçon s'est laissé
glisser sur le canapé, la tête renversée, les jambes ouvertes. Il ne se
préoccupe plus de moi.
Chapitre 3 40
Perverse
Il est clair que le garçon ne sait pas encore contrôler son plaisir. Pour lui,
éjaculer est la jouissance suprême. En trois coups de poignets Flavie l'a
amené au point de non-retour.
Ils s'en vont au cinéma. J'en profite pour sortir mon cahier que je cache
soigneusement dans le tiroir secret du secrétaire. Et je me replonge dans
mes souvenirs.
- Laisse-moi t'enculer!
Cependant, comme il avait peur que mes cris n'alertent mes parents s'il me
forçait, il s'en tenait à nos jeux habituels.
Chapitre 3 41
Perverse
- Laisse-moi fourrer ma bite dans ton cul et après je te mets la langue dans
le sexe.
- Ta bite est trop grosse, dis-je. Mais je veux bien essayer encore avec ton
doigt.
Chapitre 3 42
Perverse
Il était prêt à promettre n'importe quoi pour arriver à ses fins. Il posa son
doigt sur la bague légèrement boursouflée et ourlée de brun, ainsi que
j'avais pu le constater quand je me regardais le cul dans un petit miroir que
j'avais dans ma chambre.
Je savais mon anus très souple. Souvent je m'y introduisais de petits objets,
avec une facilité étonnante. Jean-Marc avait l'habitude de m'y fourrer son
doigt et de l'enfoncer complètement sans que je ne ressente aucune
douleur. Il lui arrivait même d'y planter son pouce. Pourtant je ne pouvais
me départir d'une certaine appréhension vis à vis de David. D'abord parce
que ses doigts étaient beaucoup plus gros que ceux de Jean-Marc, mais
surtout parce que je redoutais sa brutalité.
David crachait dans mon cul et tentait d'y pousser la salive avec la pointe
de sa langue. Je me tortillais de plaisir. Une sensation de chaleur se
répandit dans mon corps. C'était comme quand j'avais la fièvre. Je devais
être toute rouge. Le sang m'était monté au visage. J'aurais voulu que la
langue aille plus profond, pénètre complètement dans le conduit étroit.
Chapitre 3 43
Perverse
- Non, dit-il. Après. D'abord laisse-moi mettre mon doigt. C'est le pacte.
J'avais plus envie d'une langue que d'un doigt, mais c'était ce que nous
avions convenu. Je fermai les yeux, comme si le fait de ne rien voir eut pu
occulter ce qui allait suivre. Je sentis le doigt de David, forcer mon
derrière. La bague s'écarta. Le doigt fila d'un trait dans les profondeurs
chaudes.
- Pas trop.
- Ça me chatouille, avouai-je.
Je laissai David s'amuser un instant avec mon anus puis, je lui demandai
d'arrêter. A ma grande surprise, il ne se fit pas prier et vint plaquer sa
bouche sur ma fente sexuelle, la força de la langue et se mit à lécher la
muqueuse.
C'était aussi très agréable, bien que je fusse encore loin d'atteindre
l'orgasme. Je n'arrivais même pas à imaginer ce que cela pouvait être, et
mes masturbations, de plus en plus fréquentes, ne me donnaient que des
fragments de réponse. Je sentais monter le plaisir mais je restais tout le
Chapitre 3 44
Perverse
Il avait posé l'extrémité de son gland sur les glandes qui gardent l'entrée de
la grotte. Je regardais avec inquiétude cette tige raide, rouge, palpitante qui
semblait jaillir de mon propre corps. Le gland était à moitié enfoui dans
mon intimité. C'était à la fois très inquiétant mais aussi extrêmement
excitant.
Chapitre 3 45
Perverse
Je tenais la bite encore raide d'une main et, comme j'avais appris à le faire,
avec ma langue je fis la toilette du gland, récupérant les filaments de
sperme à l'extrémité du méat, tirant la peau du prépuce très fort en arrière
pour nettoyer la base du gros champignon.
souvent les deux garçons se retrouvaient ensemble dans la cabane et, dans
ces cas-là, je les suçais tous les deux pour ne pas faire de jaloux, même si
j'avais une préférence pour la queue de David.
Le fait de me trouver seule avec David avait fait naître chez Jean-Marc ce
que l'on peut bien considérer comme un accès de jalousie.
- A toi, lui dis-je en attrapant sa bite à travers la toile rêche de son short.
David avait son regard mauvais, celui qui parfois me donnait froid dans le
dos. Il passa son bras autour du cou de Jean-Marc qu'il immobilisa. Il était
beaucoup plus fort, beaucoup plus grand.
Chapitre 3 47
Perverse
Le ton était tellement autoritaire, David avait déjà pris sur moi une telle
emprise que je n'osai répliquer. Je m'agenouillai devant Jean-Marc,
toujours immobilisé, et avalai sa bite encore molle. David riait
méchamment.
- Maintenant c'est moi qui vais te le sucer ton petit sucre d'orge.
Il avala la petite tige dressée et la pompa avec des gros bruits de bouche.
Mais déjà David, une lueur sale au fond des yeux, avait planté son doigt
dans le petit trou.
A cet instant je pensai que souvent j'avais eu envie, moi aussi, de fourrer
mon doigt dans le cul de mon copain. Mais je n'avais jamais osé.
Il retira sans précaution son doigt qui était resté fiché dans le fourreau
étroit. Jean-Marc poussa un cri de douleur. Le sperme continuait à couler
de sa bite secouée de spasmes qui allaient en s'espaçant.
- Suce!
Il nous demanda, un jour, de venir chez lui. Ses parents étaient absents. Il
avait sorti de dessous son lit un lot important de revues pornographiques
dont il nous commenta longuement les photos. J'ouvris de grands yeux en
découvrant une femme qui suçait la bite énorme d'un cheval.
- Le cheval crache des litres de sperme à chaque fois, énonça David avec
l'assurance d'un qui connaît parfaitement le sujet.
Il nous fit aussi découvrir un gode qu'il était allé chercher dans la chambre
de ses parents. C'était une sorte de long cigare en ivoire, effilé, guère plus
épais que mon pouce, avec une petite molette à sa base. Quand on tournait
cette molette, un petit moteur se mettait en marche et produisait des
vibrations.
Chapitre 3 50
Perverse
- Va doucement, dis-je.
Il poussa sur le gode qui, effectivement, glissa sans aucun problème, sans
m'occasionner aucune douleur. David tourna la molette et les vibrations
commencèrent.
Jean-Marc n'était pas chaud pour se faire enfiler un objet dans le petit trou.
Mais il n'osa pas refuser. Il baissa son pantalon, écarta ses fesses à deux
mains et présenta sa rondelle.
Chapitre 3 51
Perverse
- Tu m'as tout fourré, se plaignit Jean-Marc. J'ai un peu mal dans le ventre.
Ça m'était déjà arrivé une fois. Je m'étais plantée une carotte et je l'avais
poussée si loin qu'elle avait disparu. Je m'étais affolée. Je ne savais plus
comment faire pour me débarrasser de ce légume encombrant, et je n'osais
pas appeler mes parents, bien sûr. J'avais alors pensé à pousser, comme
quand j'allais sur la cuvette des WC. La carotte était sortie. J'avais eu mal
pendant deux jours, mais j'avais expulsé le légume encombrant.
- Ma mère a aussi un gode qui ressemble à une vraie bite d'homme et qui
crache du jus, nous révéla David.. Seulement je ne sais pas où elle l'a
caché. La prochaine fois je vous le montrerai.
Souvent après les cours nous nous retrouvions chez David ou chez
Jean-Marc car chez moi il nous fallait user de ruses de sioux pour ne pas
attirer l'attention de mes parents qui commençaient à trouver suspects mes
séjours prolongés dans la cabane. J'avais fait à leur intention un faux
emploi du temps qui m'octroyait deux heures de cours supplémentaires par
Chapitre 3 52
Perverse
- Si on l'a mise chez les sœurs, c'est bien pour qu'elle bosse, non?
David, quoique peu attiré par les joies de la campagne, se joignait à nous
un peu à contrecœur. Il restait les mains dans les poches à nous regarder
d'un air dédaigneux. Ramasser les œufs était un amusement qu'il ne jugeait
pas digne de lui.
- Tu voudrais être coq? Ta zigounette est trop grosse pour les poules!
Il venait d'attraper une grosse poule blanche et la tenait par les pattes, la
tête en bas. La poule effrayée ne se débattait pas.
- Les poules ont un gros trou pour laisser passer les œufs.
Effectivement, certains des œufs que nous avions ramassés étaient plus
gros que le gland de David.
Chapitre 3 53
Perverse
Il fit mouvoir son doigt comme pour une masturbation. La poule restait
totalement impassible, sans doute trop effrayée pour réagir.
- Essaye! me dit-il.
A dire vrai je trouvais un peu répugnant de mettre un doigt dans cet orifice.
Mais la curiosité était (et est toujours) mon défaut majeur. Délicatement je
fis rentrer le doigt. Et je reconnais que c'était une sensation agréable. Ce
n'était pas comme dans mon cul, serré et sec, mais humide et souple.
David jetait des regards autour de nous. Il nous entraîna derrière le mur du
poulailler, à l'abri des regards indiscrets.
Chapitre 3 54
Perverse
- Qu'est-ce que t'es con! Tu vois pas qu'elle demande que ça.
J'étais un peu sceptique sur l'envie de la poule de se faire fourrer une bite
humaine dans le cul, mais j'avoue que l'idée m'excitait terriblement de voir
ce qui allait se passer.
David avait posé son gland décalotté sur l'ouverture qui restait béante à
force d'avoir été forcée, large comme une pièce d'un euro. Il attira la poule
vers lui et à notre grande surprise la tige raide s'engloutit dans le ventre de
l'animal qui se mit à caqueter et à battre des ailes.
Mais David la tenait ferme. Il faisait aller et venir sa bite. La poule avait
renoncé à toute rébellion Passive, le regard stupide, elle laissait le garçon
prendre son plaisir.
- Non, dit Jean-Marc. J'ai pas envie de le faire. Regarde, ta bite est toute
sale! Cochon!
Chapitre 3 55
Perverse
- C'est vrai que ma bite est toute sale! Alors tu vas me la nettoyer avec la
langue!
Il essaya d'attraper Jean-Marc. Mais celui-ci était sur ses gardes. Il s'enfuit
à toutes jambes. On ne le revit plus de plusieurs jours.
Chapitre 3 56
Chapitre 4
Elle me raconte qu'elle a essayé plusieurs fois mais que ses tentatives n'ont
jamais pu aller plus loin que l'introduction du gland, et encore avec
beaucoup de difficultés.
- Après, m'avoue Flavie, j'ai l'impression qu'un fer rouge s'enfonce dans
mon cul. Tu crois que je suis anormale?
- Il y a des femmes qui sont faites pour être enculées et d'autres qui ne
pourront jamais. Moi, j'avais le cul tellement souple que j'aurais pu m'y
enfiler une bite de cheval.
Chapitre 4 57
Perverse
- J'aimerais bien vérifier si ton trou du cul est vraiment plus souple que le
mien.
Flavie se fait câline. Elle sait que je ne peux pas lui résister. Elle en profite.
Je suis agenouillée sur le lit et j'écarte mes fesses à deux mains. Du bout du
doigt, Flavie apprécie l'élasticité de l'anus.
Elle fait pression avec son doigt qui, à sa grande surprise, glisse d'un trait
dans le conduit anal.
Chapitre 4 58
Perverse
- Je peux pas le croire, souffle Flavie en m'enfonçant trois doigts. Mon trou
est tellement étroit et tellement serré! Même le thermomètre me blesse.
Je déculotte Flavie. Elle a relevé ses jambes très haut, jusqu'à ce que les
genoux touchent les épaules. Quelle merveille de petit cul elle me
présente! Une pastille comme neuve, sans aucune boursouflure, à peine
colorée entre deux fesses rondes, fermes et lisses! Je tâte l'anus d'un doigt
léger. Il se contracte au moindre affleurement. Effectivement il me semble
incroyablement étroit. J'essaye d'y introduire la langue, en vain. Le
sphincter est dur comme du bois.
Je tente encore une fois de glisser un doigt, mais Flavie pousse un cri de
douleur.
Je suis de son avis. Même avec des litres de lubrifiant aucun homme ne
pourra jamais enculer ma petite-fille.
Un samedi, alors que nous étions dans sa chambre, David m'avait ainsi
rempli la chatte par deux éjaculations successives.
Jean-Marc en avait plein la bouche, mais aussi plein le visage. Ses yeux
étaient collés.
Puis David nous fit participer à son nouveau jeu favori. Il branlait son
chien.
C'était un gros berger allemand qui avait pris goût à la chose et accourait
dès que David l'appelait. Il se mettait alors sur le dos et se laissait toucher
le sexe avec semblait-il beaucoup de plaisir.
Chapitre 4 60
Perverse
David branlait alors l'animal jusqu'à ce que des jets de sperme fusent. Les
jets étaient puissants, longs, abondants. Parfois nous en avions plein les
vêtements, ce qui nous amusait beaucoup.
J'avais essayé moi aussi de masturber le chien, mais je n'étais jamais arrivé
à le faire juter.
Je protestai encore un peu, pour la forme. En fait j'étais très tentée par cette
longue langue rouge qui sortait de son fourreau, d'abord comme la pointe
d'un petit piment, pour devenir rapidement un gros légume.
- Il y a des femmes qui se font mettre par des animaux, dit David comme
pour m'encourager à poursuivre.
J'avalai la tige d'un coup pour couper court à mes hésitations. L'enveloppe
extérieure était souple, presque molle, mais l'intérieur était dur, comme un
os, beaucoup plus dur qu'un sexe de garçon. Le goût ne me déplut pas.
J'étais très excitée comme toujours par le fruit défendu et je me mis à téter
l'engin à pleine bouche.
Pendant que je suçai le chien, David avait extrait sa bite de son pantalon.
Le chien haletait.
J'avais déjà constaté que le chien était beaucoup plus long que les garçons
à atteindre l'orgasme. Effectivement, David se répandait déjà dans la
bouche de Jean-Marc alors que le chien semblait encore loin de le faire
dans la mienne.
Chapitre 4 63
Perverse
Jean-Marc riait comme le petit crétin qu'il était. Moi, j'étais surtout
tracassée pour ma robe.
- Mon père est en déplacement pour trois jours et ma mère rend visite à sa
tante qui est malade. Elle ne rentrera que tard dans la nuit.
Il ouvrit les lèvres de mon sexe pour offrir la muqueuse humide à la langue
du chien. Il me vint des frissons dans tout le corps. Cette langue n'avait
rien de comparable avec celle de David ou de Jean-Marc. Elle était
beaucoup plus longue, large et mobile, et surtout extrêmement râpeuse.
Chapitre 4 64
Perverse
- Il faut que la langue râpe le frein, dit David. Le chien ne peut pas sucer
comme nous. Il ne tète pas.
Il tenait la bite de Jean-Marc d'une main, tirant sur la peau du prépuce afin
de tendre le frein au maximum. Je savais que de cette manière il ne faudrait
pas longtemps à mon copain pour éjaculer. De l'autre main, David guidait
la tête du chien pour que sa langue râpe bien tout le dessous de la tige.
Chapitre 4 65
Perverse
David et moi regardions très intéressés les jets successifs qui fusaient à
chaque contraction de la bite, le méat ouvert, le gland devenu très dur.
Le sperme avait coulé sur la main de David qui tenait toujours le membre
de notre copain. C'était un sperme très fluide. Le chien ne résista pas à
l'aubaine. En trois coups de langue il eut lapé l'éjaculation de Jean-Marc.
- David? Tu es là?
Nous avions sursauté, comme des malfaiteurs pris en flagrant délit. Nous
ne savions que faire, où nous cacher. Moi surtout, qui était nue, ma robe
séchant sur le balcon. Vite je tentai de remettre ma culotte mais dans
l'affolement je n'arrivais pas à l'enfiler. Jean-Marc avait refermé
précipitamment sa braguette. David semblait indécis.
David nous fit signe de ne pas faire de bruit. Il nous désigna un grand
placard mural à porte coulissante qui servait de débarras. Silencieux, mais
inquiets, nous entrâmes tous les trois dans le placard. David referma la
porte.
Chapitre 4 66
Perverse
- Il n'est pas là, fit une voix de femme. Il doit être chez ses copains.
La porte se referma.
- Non, je vous ai dit qu'il est parti pour trois jours. Il est représentant de
commerce.
Chapitre 4 67
Perverse
De la plus basse branche nous avions vue sur la cuisine éclairée par une
grande baie vitrée. La mère de David expliquait à l'homme qui
l'accompagnait que son lave-vaisselle ne fonctionnait plus.
La mère de David était une très belle femme d'une quarantaine d'années,
brune, assez grande, dotée d'une forte poitrine et d'un cul très proéminent.
Elle portait ce jour-là une minijupe qui lui arrivait au ras des fesses - ce qui
lui permettait de montrer sa petite culotte blanche chaque fois qu'elle se
baissait un tant soit peu - et un corsage presque transparent qui ne cachait
rien de sa poitrine sans soutien-gorge.
Chapitre 4 68
Perverse
- J'ai bien peur, dit l'homme, que ce ne soit assez grave. Il faudrait
transporter l'appareil à l'atelier.
- C'est très embêtant dit la mère de David. Alors je vous ai fait venir pour
rien?
L'homme réfléchit.
- Ben quoi? Si je vous facture le déplacement ça va vous faire dans les cinq
cents euros. Vous me sucez la bite et vous aurez économisé cinq cents
euros.
- Quel culot!
L'homme avait ouvert son pantalon et sa bite était sortie comme mue par
un ressort. C'était une tige assez longue, recourbée vers le haut comme un
arc.
- Aussi c'est votre faute, ajouta l'homme. Avec votre jupe au ras des fesses
vous m'avez fait bander.
Chapitre 4 69
Perverse
- Vous ne croyez tout de même pas que je vais vous sucer le nœud?
- De mieux en mieux!
Sur la branche de l'arbre, nous étions scotchés tous les trois. C'était bien
mieux que la télévision.
Chapitre 4 70
Perverse
- Je ne comprends pas.
- Dans certains films, quand il y a des gros plans c'est Popol qui apparaît.
Mais pour le reste c'est un acteur.
- Alors? Vous vous décidez? Pensez que ce sont cinq cents euros vite
gagnés!
- Mais non, c'est que vous en avez autant envie que moi.
Chapitre 4 71
Perverse
- Pourquoi pas?
- Comment?
- D'accord, dit le réparateur qui avait saisit la femme par les cheveux et
tentait d'approcher sa tête de la verge raide.
- Je comprends. Tu es en manque.
La main de l'homme se glissa sous la minijupe et tira sur le slip qu'il fit
descendre jusque sous les fesses. La femme se trémoussa, ondula du bassin
et le petit triangle de tissu glissa le long de ses jambes.
- Tais-toi, ordonna David sur le même ton. Il faut pas qu'on nous entende.
Elle avait changé de voix. Alors que d'ordinaire elle avait une voix douce,
mélodieuse, tout à coup nous percevions une voix roque, au rythme haché,
vulgaire, obscène.
- Bourre-moi, je te dis!
Elle entraîna l'homme vers la table de la cuisine, le tenant d'une main par la
queue tandis que de l'autre main elle se déshabillait. Ce qui fut vite fait. Un
seul bouton-pression maintenait la minijupe. Quant au corsage il était déjà
plus qu'à moitié déboutonné.
Chapitre 4 73
Perverse
- Vos gueules!
Je m'aperçus tout à coup que David avait sorti sa bite et qu'il se masturbait
tout en regardant sa mère allongée nue sur la table de la cuisine.
C'est vrai qu'elle avait des gros seins. On aurait dit deux ballons de
football. Les aréoles en étaient très larges, presque noires, d'aspect
granuleux, et les pointes très longues, érigées comme de petits pénis.
- Elle a pas de poils, s'étonna Jean-Marc pour qui toutes les femmes adultes
devaient être poilues.
- Oui, mais vite! dit la femme. J'ai peur que quelqu'un arrive.
- Pour ma mère c'est pareil, mais beaucoup plus fort. Quand elle jouit, on
l'entend jusque dans la rue.
L'homme obéit. Il glissa une main sous les fesses de la femme et son doigt
disparut dans les profondeurs de l'anus.
Il me sembla que la bite de l'homme était encore plus longue et plus dure
depuis qu'il avait bu la liqueur vaginale. Il se la branlait doucement en
contemplant l'orifice offert. La tige tressautait dans sa main. Un
bouillonnement blanchâtre sourdait à l'extrémité du gland qu'il approcha
du vestibule. Nous le vîmes donner un violent coup de rein. La mère de
David poussa un hurlement sauvage.
Celle-ci avait relevé ses jambes. L'homme passa ses bras dessous.
Chapitre 4 76
Perverse
- Oh! Oui! cria la femme. Dans cette position tu vas plus profond! Je sens
ta pine qui cogne au fond de moi. Vas-y! Plus fort! Baise-moi! Lime-moi!
- Ah! C'est chaud dans mon cul! Vas-y! Fais-moi le plein de super!
- Venez plutôt dans la salle de bain pour vous laver la queue, proposa la
femme. Elle est pleine de merde.
Sur notre branche, nous étions tous les trois extrêmement troublés par le
spectacle auquel nous venions d'assister.
Chapitre 4 78
Chapitre 5
Flavie arrive avec un gode de latex que je reconnais tout de suite. C'est
celui que je garde dans le tiroir de ma table de nuit.
- Non, c'est toi qui es aussi vicieuse que moi. Tu as tout pris de ta
grand-mère.
Chapitre 5 79
Perverse
Flavie reflète une telle candeur que la masturbation avec un gode devient
un geste parfaitement naturel.
Flavie fait rentrer et sortir le gode luisant de mouille, sans complexe, sans
aucune pudeur. Le ronronnement du moteur fait naître des picotements
dans ma chatte. J'envoie la main dans mon entrejambe. Je suis inondée. Je
rentre trois doigts qui produisent en se mouvant un ignoble clapotis.
L'odeur très forte nous monte au nez. Nous fermons les yeux, alanguies,
totalement heureuses. Une minute d'éternité.
Il me fallut un peu de temps pour m'habituer à cette idée. Pour moi une
tante était forcément quelqu'un d'âgé. C'est à dire quelqu'un ayant au moins
l'âge de mes parents.
Chapitre 5 80
Perverse
J'étais un peu irritée. Oui, je l'avais dit, mais en pensant que David et sa
tante ne viendraient jamais. J'étais de mauvaise humeur. Par-dessus tout, le
fait de ne pas avoir été avertie à l'avance, d'être en quelque sorte mise
devant le fait accompli, me dérangeait.
Chapitre 5 81
Perverse
David et Élise étaient assis côte à côte sur le divan, moi sur une chaise et
Jean-Marc à même le sol. Nous n'avions pas vraiment d'idées.
- Quand même!
David avait passé une main par l'ouverture du corsage et palpait les globes
libres de toute entrave.
- Alors ouvre-le.
Ses seins me parurent énormes en comparaison des miens. Ils étaient très
ronds, bombés par en dessous, avec des aréoles pratiquement inexistantes,
à peine marquées, et deux pointes de la grosseur d'un petit pois. Tout de
suite je me sentis des fourmis dans les mains et la salive afflua dans ma
bouche. J'avais envie de toucher ces seins! De les pétrir! D'en sucer les
bouts!
David avait pris les globes dans ses mains et les malaxait. Son visage
reflétait cette expression dure qui l'enlaidissait quand il éprouvait un désir
pervers, sale, quand lui venait une idée biscornue.
Jean-Marc était devenu tout rouge. Il avança timidement les mains et palpa
les globes offerts. Elise gardait les yeux au ciel, exaspérée, comme si elle
voulait rester étrangère à ce qui se passait.
J'acquiesçai de la tête.
Les seins d'Élise étaient fermes et souples à la fois, comme ces matières
synthétiques qui inexplicablement donnent tant de plaisir à les toucher.
Mais en plus ils étaient vivants, semblables à deux petits animaux douillets
et chauds. Cette chaleur, tout de suite, me donna une bouffée de fièvre.
Une onde électrique parcourut ma colonne vertébrale et vint chauffer ma
nuque. Je m'aperçus qu'il se passait quelque chose aussi dans le corps de la
fille qui avait fermé les yeux et respirait un peu plus fort.
David avait pris la pointe d'un sein dans sa bouche et la tétait goulûment.
J'en fis autant avec l'autre sein.
A peine mes lèvres s'étaient-elles posées sur le globe rond, qu'Élise poussa
un long soupir. Je sentis son corps se tendre. Elle repoussa la tête de
David.
Elle avait entremêlé ses doigts dans mes cheveux et pressait ma tête contre
elle. Elle ronronnait comme une chatte.
Un peu dépité, David avait glissé sa main sous ma jupe et cherchait mon
anus pour y introduire un doigt. Je me creusai pour faciliter le passage. Il
donna une poussée brutale mais je n'en ressentis aucune douleur. Mon cul
était visité si fréquemment par les doigts de mes deux copains ou par le
gode d'ivoire, qu'il était devenu extrêmement souple.
Chapitre 5 84
Perverse
Elle portait une petite culotte rose agrémentée d'un nœud sur le devant.
David entreprit de la lui quitter. Elle ne dit rien et souleva même
légèrement ses reins pour que le triangle de tissu glisse plus facilement le
long de ses jambes.
- Sens!
- Vous êtes trop cons, s'indigna Élise. D'abord c'est pas de la pisse, c'est de
la mouille.
Élise avait ouvert grand l'équerre de ses cuisses. David écarta les lèvres de
la blessure sexuelle et la muqueuse rosée apparut, cloquée, tapissée d'une
épaisse couche de mucus.
Les lèvres étaient presque inexistantes, du moins en comparaisons de
celles que j'avais déjà vues dans les films de mon oncle ou dans des revues
pornographiques. Je pensai aussi à la mère de David et à sa moule
épanouie, obscène de tant de viande étalée.
- Montre-nous le clito, fit David qui jouait avec les glandes gardant l'entrée
du vagin.
Élise porta les mains à son bas-ventre et tira la peau en arrière. Le fin
capuchon se retroussa et une petite bille ronde apparut dans la lumière. Je
hasardai un doigt pour l'effleurer. Le corps de la fille se contracta. Elle
resserra vivement ses cuisses, d'un mouvement incontrôlé. Puis elle les
ouvrit, très lentement. C'était comme une invite à continuer.
Chapitre 5 86
Perverse
Pendant que David faisait coulisser ses doigts dans le fourreau souple et
humide, Jean-Marc jouait avec la pointe des seins. Moi, j'étais attirée par le
clito qu'Élise faisait saillir en pressant sur le capuchon. J'hésitais. Je voyais
les doigts de David entrer et sortir en cadence de la plaie ouverte, gluants
de mouille. Ces va-et-vient sublimaient l'odeur forte de marée qui me
faisait tourner la tête.
Je m'enhardis jusqu'à poser mes lèvres sur la petite bille. Élise tressaillit de
nouveau mais ne referma pas ses cuisses cette fois. Au contraire elle
cambra les reins comme pour mieux jouir d'une caresse trop superficielle.
Je tentai une timide approche avec la langue.
Élise émit une sorte de feulement et posa une main sur ma nuque qu'elle
pressa. Les doigts de David se mouvaient sous mon nez libérant des
effluves enivrants.
- J'ai envie de tremper mon biscuit, annonça David. Je vais fourrer le con
de ma tante avec ma grosse bite.
- Tu dis ça et puis après tu peux pas te retenir et tu lâches tout ton jus dans
la chatte.
Élise soupira.
- Qu'est-ce que tu es pénible! Tu sais que j'aime pas me faire mettre par le
derrière.
- Ma petite tante chérie, laisse-moi t'enculer. J'en ai trop envie. Même que
ma bite est douloureuse.
Élise s'agenouilla, la croupe haute, offerte. A deux mains elle écarta ses
fesses. L'anus était très proéminent, comme le cône d'un petit volcan, un
peu brunâtre, entouré lui aussi par le bourrelet graisseux qui continuait la
motte et bordait la fente sexuelle.
- Oh! Le joli cul de ma petite tante! bêtifia David en posant un doigt sur le
cratère qui se contracta aussitôt.
C'était très excitant de voir ce trou du cul ainsi exposé à notre convoitise.
Personnellement je n'en ressentais qu'une onde de chaleur, indéfinie,
provoquée surtout par le sentiment coupable d'assister à quelque chose de
pervers, d'interdit. Chez Jean-Marc par contre l'effet était plus visible, plus
concert. Il avait ouvert son pantalon pour libérer sa queue raide et dure. Il
se branlait doucement pendant que la langue de David chargeait de salive
l'anus d'Élise.
Bientôt David se releva, le visage ruisselant. Lui aussi avait sorti sa bite
qui autant en grosseur qu'en longueur était bien double de celle de
Jean-Marc.
Jean-Marc ne se fit pas prier. Son visage s'enfouit entre les deux fesses
écartées.
Chapitre 5 89
Perverse
- Mais j'aime pas, gémit Élise. J'ai jamais aimé. Et ça fait toujours aussi
mal.
- Non, rétorqua David un sourire mauvais au coin des lèvres. Je veux juter
dans ton trou.
Mais aucune supplique n'était capable d'arrêter David que cette résistance
excitait au plus haut point.
Tout à coup, ce fut comme si une barrière avait cédé. La bite glissa d'un
trait et disparut. Les cris d'Élise redoublèrent. Mais David n'en tenait aucun
compte. Son visage, déformé par le désir, la jouissance qui naissait dans
ses couilles et le plaisir de faire souffrir, était horrible à voir.
- Il est bon ton cul! Je te le défonce avec ma grosse bite! Tiens! Avale ma
queue!
Chapitre 5 92
Perverse
- C'est que je veux pas avoir d'enfants. Mais la prochaine fois tu mettras un
préservatif. Pas question de me la remettre dans le cul.
Chapitre 5 93
Chapitre 6
Flavie est en vacances. Quand j'avais son âge, j'aimais passer les vacances
chez ma grand-mère. J'y trouvais une liberté qui me faisait défaut tout le
long de l'année chez mes parents.
Flavie n'a pas ce problème, mais elle aime venir chez moi. Nous sommes
très proches l'une de l'autre. Nous avons des moments de fou rire délicieux.
J'ai récupéré les vieux films de mon oncle et quelques fois nous les
regardons, Flavie et moi. Déjà dans ma jeunesse ces images sautillantes, et
muettes, me paraissaient désuètes. Aujourd'hui elles ont un charme
incomparable.
Toutes ces jeunes noires, à peine pubères pour la plupart, montrent leur
sexe à la caméra avec une telle naïveté, une telle joie même, que le coté
sordide, graveleux, des scènes a disparu. Loin des débordements auxquels
nous a habitués le cinéma érotique contemporain, c'est presque un bain de
fraîcheur que nous prenons quand nous voyons l'oncle colonial tenter de
faire absorber sa tige raide à une jeune fille qui roule des yeux blancs et
fait de son mieux pour satisfaire le monsieur blanc sans perdre de vue
l'objectif de la caméra.
Chapitre 6 94
Perverse
- Voilà pourquoi les femmes tètent la bite de l'oncle avec tant de plaisir,
plaisante Flavie.
Il leur fait don de la liqueur sacrée qui jusque là leur était refusée.
Et elle ajoute :
- Je m'avalerais bien une gorgée de sperme. Toutes ces images m'ont donné
soif.
Un peu plus tard, quand Flavie s'en est allée en discothèque avec ses amis,
je me retrouve seule avec mon cahier. Je relis les pages déjà écrites. Je rêve
à ce passé déjà lointain.
C'était encore une très belle femme qui pouvait avoir dans les cinquante
ans à l'époque où se sont passé les faits que je vais raconter. Comme elle
prenait énormément soin d'elle, elle en paraissait à peine quarante. Ce qui
souvent était cause de quiproquos quand on la voyait en compagnie de ma
mère, si stricte, si sévère d'aspect et que l'on prenait même souvent pour sa
sœur aînée.
Quand nous allions à la plage toutes les deux, et que Caroline - c'était son
nom et c'est ainsi que je l'appelais - s'exhibait en maillot de bain sur le
sable chaud, je me sentais très fière du regard que les hommes lui
adressaient. Cela même quand j'eus l'âge à mon tour d'exciter leur
convoitise.
Elle avait ces formes pleines, épanouies, qu'ont les femmes mûres, sans
aucune graisse superflue. Ses chairs étaient souples, élastiques, et son
ventre un peu rond faisait un merveilleux coussin. Elle avait une poitrine
confortable et ferme, et des fesses larges, charnues, mais bien
proportionnées.
Une chose étrange, c'est que ma curiosité pour ce qui concernait le sexe
n'était pas aussi forte quand j'étais chez Caroline que lorsque je vivais chez
moi. Etait-ce le fait de pouvoir parler librement, de n'avoir pas à se
cacher ? mais j'étais moins obsédée. Comme je n'avais pas encore ressenti
un vrai plaisir physique, ma jouissance venait surtout du sentiment trouble
de faire quelque chose de sale, de défendu - semblable à certains enfants
qui mangent leurs excréments.
La séparation d'avec David et Jean-Marc ne me mettait pas en état de
manque
J'avais fait quelques révélations à Caroline, sans entrer trop dans les
détails, et ma chère grand-mère avait bien ri de voir que sa petite-fille
marchait sur ses traces. Elle m'avoua qu'elle-même, à mon âge, en faisait
autant et qu'elle en gardait des souvenirs merveilleux.
Chapitre 6 96
Perverse
J'avais trouvé dans la salle de bain une poire à lavement. Tout de suite je
n'avais plus eu qu'une envie : essayer l'engin. Contrairement au pistolet
avec lequel nous jouions Jean-Marc et moi, cette poire avait un embout
très fin que je pouvais m'enfoncer très facilement et profondément.
Je m'étais aperçue que l'eau ainsi rejetée, celle qui sortait de mon cul, était
très souillée, mais que si je renouvelais l'expérience deux ou trois fois, elle
finissait par couler tout à fait limpide. Ce qui me fit penser que si je faisais
cela avant que David ou Jean-Marc ne me mettent les doigts dans le trou ça
leur éviterait de les ressortir souillés comme cela arrivait fréquemment.
Elle regardait avec des yeux exorbités l'énorme bite de latex qui entrait et
sortait de sa chatte distendue.
Caroline avait un sexe épanoui, obscène avec ses lèvres larges, ramollies
pas le plaisir, tuméfiées, luisantes, étalées sur le côté et dont la teinte rouge
vif contrastait avec la peau couleur miel des cuisses. La motte était
Chapitre 6 98
Perverse
Chaque fois que le gode entrait dans la chatte baveuse - et avec quelle
violence! - le trop plein de mouille s'échappait par les côtés en écume
blanchâtre. Cette écume s'épaississait par le baratement incessant et
devenait peu à peu une véritable crème.
Chapitre 6 100
Perverse
Elle n'en dit pas plus, mais j'eus l'impression très nette que cette idée
l'enchantait.
Caroline habitait une jolie villa, toute blanche, au sommet d'une falaise
surplombant la mer. Un jardin fleuri de mimosas et de lauriers roses
flanquait la villa. Par un escalier taillé dans la roche, on descendait jusqu'à
une petite crique privée, accessible seulement par la mer ou par le dit
escalier. Il y avait là une agréable plage de sable fin et un embarcadère où
une petite barque à l'ancre se balançait au gré des vagues.
Nous descendions sur cette plage tous les après-midi Caroline et moi, aussi
nues l'une que l'autre, et nous profitions du soleil et de la température
idéale de la mer en cette saison.
Dans la villa voisine de la nôtre était venu s'installer pour le temps des
vacances un couple de parisiens, avec leur fils, un garçon un peu timide et
renfermé qui avait le même âge que moi.
Le seul avantage qu'il présentait à mes yeux c'était d'être l'unique garçon
du voisinage. Je résolus de l'entreprendre.
D'un geste naturel, pour illustrer ce que je venais d'inventer, j'avais saisi la
bite en bois et faisais mine de la masturber.
- Tu te branles jamais?
Chapitre 6 102
Perverse
Il était tétanisé.
Je relevai très haut les jambes pour dévoiler la petite pastille brune et
boursouflée de mon anus. J'abandonnai un instant mon clito pour ouvrir
mes fesses à deux mains.
- Mais non ! Je me suis bien lavée ce matin! Fourre ton doigt, tu vas voir.
Y-a pas un brin de merde.
Comme il restait planté sans oser le moindre geste, je lui saisis la main et
la guidai vers mon entrejambe.
- Rentre ton doigt! lui dis-je impatientée, voyant qu'il hésitait encore à aller
plus loin.
Chapitre 6 103
Perverse
Il osa enfin. Je sentis le doigt qui s'enfonçait dans mon cul déjà humide,
délicieux frottement sur la muqueuse. D'un mouvement de reins
j'accompagnai l'introduction.
Avec la main je lui montrai le mouvement que je désirais. C'est à dire des
va-et-vient rapides. Il s'exécuta mais si maladroitement qu'il me blessa un
peu avec son ongle.
Je venais à deux doigts d'écarter les lèvres sexuelles pour dévoiler l'entrée
du vagin. Le pauvre Bruno eut un autre accès de honte qui lui chauffa le
visage. Mais peu à peu il se prenait au jeu. Il avait posé ses doigts dans le
calice débordant de mouille et il jouait avec le gluant. Visiblement il ne
savait rien de ce qui pouvait générer le plaisir chez une femme.
Chapitre 6 104
Perverse
S'il avait pu se cacher dans un trou de souris, je crois qu'il l'aurait fait. Mais
il était véritablement pris au piège. Il ne pouvait plus s'esquiver.
- Oui, finit-il par avouer bien à contre cœur. Quand je vais aux WC.
- Non, après mes draps sont tout mouillés. C'est trop dégoûtant.
Il était sidéré par mon culot et surtout par ce qu'il devait considérer comme
un manque total d'éducation. Il n'était pas préparé à rencontrer une fille
comme moi.
- Tes parents discutent avec ma grand-mère. N'aie pas peur. T'es une poule
mouillée ou quoi?
Chapitre 6 105
Perverse
- Tu aimes?
Il opina de la tête?
Les questions étaient superflues. Son plaisir se lisait sur son visage tendu.
Son regard avait pris une fixité que je connaissais bien pour l'avoir
rencontrée si souvent chez mes petits copains. Ses lèvres se crispaient en
tics nerveux.
C'était presque une crème qui giclait et retombait sur ma robe. Les derniers
jets roulèrent sur ma main. J'étais ravie.
- Pourquoi?
- C'est sale!
Dans les jours qui suivirent, Bruno sembla m'éviter. Parfois je grimpais sur
une échelle pour jeter un coup d'œil par-dessus le mur qui séparait les deux
maisons. Le garçon avait repris ses promenades de rêveur solitaire. Quand
il me voyait, il me disait un bonjour gêné et détournait tout de suite les
yeux. Chaque fois que je lui proposais d'aller au cinéma, ou à la plage, ou
encore de venir écouter un disque dans ma chambre, il trouvait toujours un
prétexte pour refuser.
Chapitre 6 107
Perverse
- Tu vas voir.
Le pauvre garçon n'était pas rassuré. Je me rendais compte qu'il guettait les
bruits venant du salon. Il avait une trouille bleue d'être surpris. Pourtant il
fit ce que je lui demandais. J'adorais quand le tube de bakélite s'insinuait
dans mon trou du cul. Je tortillais même des hanches pour jouir encore plus
de l'introduction, du frottement sur la muqueuse.
Bruno, docile, obéit. Je sentis le liquide chaud envahir mes entrailles. Puis,
je m'assis sur la cuvette et évacuai avec un bruit obscène qui fit faire la
grimace au garçon.
- De cette manière mon cul est tout propre, lui expliquai-je en tirant la
chasse. Tu veux essayer?
Sans attendre son assentiment j'avais enfoui ma tête entre ses fesses et avec
ma langue je poussais de la salive dans le trou du cul contracté par
l'angoisse.
C'était peut-être sale mais à voir comme il creusait ses reins et poussait sa
croupe vers moi, il était évident qu'il appréciait.
Je tentai de nouveau d'introduire l'embout qui, cette fois, glissa d'un trait
dans le canal bien lubrifié. Je pressai sur la poire.
Chapitre 6 109
Chapitre 7
Je suis assise à mon bureau. J'écris. Flavie arrive à l'improviste. Elle lit
par-dessus mon épaule. Je n'aime pas ça et je le lui dis.
- C'est chaud!
- Laisse-moi.
Flavie lève les yeux au ciel pour bien signifier qu'elle n'aura jamais la
patience d'attendre.
Debout sur le lit, elle parcourt les feuillets noircis de ma petite écriture
appliquée. Elle a glissé une main dans sa culotte et je me rends compte
qu'elle se masturbe en lisant.
Chapitre 7 110
Perverse
échappatoires.
Alors nous continuions à nous divertir avec la poire à lavement, mais une
certaine lassitude me prenait peu à peu. Je n'étais pas faite pour la routine.
Chapitre 7 111
Perverse
- Ma chérie, murmura Caroline, c'est mignon tout plein cette petite rougeur
qui colore tes joues.
- Mais non, il n'y a pas de risque, la rassura son mari. Ils vont rester jusqu'à
la fin de l'après-midi chez leurs copains.
- Tout de même...
Son hésitation se termina par un long soupir. D'un doigt léger Caroline
effleurait la fente sexuelle par-dessus le tissu de la culotte.
Caroline écartait le tissu noir pour que Franck puisse constater par
lui-même à quel point la chatte de sa femme était inondée.
Chapitre 7 112
Perverse
Une délicate toison frisée, assez claire et soigneusement taillée, les bords
dessinés au rasoir, recouvrait le bas du ventre. La fente sexuelle semblait
rentrer dans une sorte de grotte que faisait un petit bourrelet de graisse au
bas de la motte.
Les nymphettes s'en échappaient comme un foisonnement de corail et le
capuchon qui recouvrait le clitoris émergeait, obscène, comme une
protubérance, un morceau de chair en trop.
- Mais c'est qu'elle sent bon cette petite chatte! gloussa Caroline en
approchant son visage.
Le corps de Béa se cambra. Elle avança son bas-ventre. Ses mains vinrent
s'entremêler dans la chevelure de Caroline.
Chapitre 7 113
Perverse
- Elle est bonne ta mouille, s'exclama Caroline qui plongea d'un coup sa
langue dans la coupe pleine du précieux nectar.
Ma grand-mère s'était agenouillée sur le lit, la tête enfouie entre les cuisses
blanches de Béa, la croupe haute. Franck venait de lui retrousser la robe
jusque par-dessus les reins. Caroline, comme cela lui arrivait souvent, ne
portait pas de culotte.
Frank glissa un doigt dans la fente et l'enfonça. Caroline avait creusé ses
reins et remuait son bassin sur le doigt planté dans son intimité.
Caroline avait fait saillir le clito de Béa en tirant sur le capuchon, comme
elle l'aurait fait avec le prépuce d'une verge pour mettre à l'air le gland. Le
petit bouton ressemblait à un minuscule piment rouge, érigé, impatient.
Elle l'agaçait avec la pointe de la langue. Le corps de Béa se tendait. La
Chapitre 7 114
Perverse
Caroline avait gobé le clito de Béa et le tétait avec un fort bruit de succion.
Le gémissement de Béa s'était transformé en râle incontrôlé.
Soudain Caroline retira sa tête d'entre les cuisses blanches, parcourues d'un
léger tremblement. Elle regardait par-dessus son épaule Franck qui la
masturbait ardemment.
Chapitre 7 115
Perverse
- Je jouis!
- Une femme fontaine! s'exclama Franck d'un air ravi. C'est la première
que je vois !
Celle-ci avait placé sa main entre les cuisses de Caroline pour recueillir un
peu de l'offrande.
Sans attendre, elle ouvrit le pantalon de son mari, baissa le slip, libéra une
bite de gros calibre, tendue à l'horizontale, parcourue de grosses veines
bleues.
Elle avait saisi la colonne de chair entre ses doigts et décalotté le gland.
Elle approcha sa bouche et déposa sur la queue tendue une série de petits
baisers, sur la pointe, sur le frein, sur toute la longueur de la tige. Pendant
ce temps Béa tripotait les couilles en les faisant rouler entre ses doigts.
Les deux femmes étaient agenouillées devant la bite tendue comme une
offrande. Caroline absorba le gland pendant que Béa tentait par-dessous de
faire pénétrer le sac fripé et brun dans sa bouche. Elle s'aidait de ses doigts
pour l'enfourner complètement. Mais le paquet était trop abondant. Elle se
contenta de sucer les boules l'une après l'autre.
Caroline jouait avec la verge qui tressautait. Elle nettoyait le gland de toute
la largeur de sa langue, mordillait la tige, agaçait le frein, récupérait le
bouillonnement qui se pressait à l'extrémité.
A son tour la langue de Béa vint se mêler au jeu. Les langues des deux
femmes se mélangeaient quand elles se rencontraient.
- Vous êtes mes salopes chéries! bêtifia Franck. Vous sucez comme de
vraies putes!
Béa venait de récupérer le gland. Sans quitter son mari du regard elle
avança son visage. La tige s'enfonça lentement jusqu'à disparaître
complètement, jusqu'à ce que les lèvres de la femme viennent se mêler aux
poils du pubis.
Caroline avait écarté les fesses de l'homme et lui titillait l'anus du bout du
doigt. Puis elle avança sa langue.
En riant, elle extirpa la verge qui allait se répandre dans la bouche de Béa
et la happa.
- Voilà, je coule!
- Un peu à moi, dit Béa en saisissant la bite à son tour. Un jet de sperme lui
ferma un œil.
- Vous m'avez vidé les couilles! annonça Franck en se laissant tomber sur
le lit, épuisé, le pantalon au bas des chevilles, la bite molle.
Elle était assez menue, mais extrêmement bien proportionnée, avec des
attaches fines, un galbe parfait. Ses seins étaient petits, ronds et fermes,
sans aréoles visibles. Les pointes étaient comme deux petites billes à peine
teintées de brun. Le ventre bombé et les fesses rebondies achevaient de
donner à ce corps l'apparence d'une statue antique. L'illusion aurait été
complète sans cette viande obscène qui ornait le bas de son ventre. Les
lèvres rouges et tuméfiées étaient tout extérieures, pendantes comme les
bajoues d'un coq. D'ailleurs la capuche du clito faisait aussi penser à la
crête de cet animal.
Elle s'était placée au-dessus de Béa, dont elle avait encadré le visage de ses
cuisses brunes.
Chapitre 7 119
Perverse
Elle posa sa bouche sur le sexe tuméfié de Béa et en même temps offrit le
sien à la langue de la jeune femme.
Franck suivait la scène d'un regard attisé par le désir qui l'envahissait et lui
faisait de nouveau durcir la bite. Quand celle-ci eut atteint une bonne taille,
l'homme se plaça derrière Caroline. D'une main ferme, il dirigea sa tige
vers l'entrée du vagin.
Franck se planta d'un trait. Son ventre claqua contre les fesses de ma
grand-mère.
Franck entreprit alors une série de mouvements très lents, sortant sa pine
complètement, la rentrant ensuite en creusant légèrement ses reins pour
amplifier la sensation produite par le frottement. Chaque fois que le gland
émergeait du trou dilaté, Béa par-dessous léchait le frein du bout de la
langue puis retournait exciter le clitoris de Caroline.
Elle avait rentré un doigt dans l'anus de Béa qu'elle masturbait sans
cependant cesser de lui sucer le clitoris comme elle l'aurait fait d'un petit
bonbon.
Chapitre 7 120
Perverse
- Oui! dit Franck qui était devenu tout rouge tout à coup.
Prends ton plaisir. Moi, je me retiens encore un peu.
Elle hoquetait, agitait sa croupe dans tous les sens. Et ce furent de nouveau
les grandes eaux. Le liquide ambré coula sur le visage de Béa. Puis, peu à
peu, la crise se calma. Les spasmes s'espacèrent.
Chapitre 7 121
Perverse
Caroline prit le clito de Béa dans sa bouche et fit mouvoir sa tête de haut
en bas, très rapidement pendant que Franck poursuivait ses va-et-vient.
Elle tendit les jambes, souleva ses reins, gonfla son ventre. Ses mains
agrippées au drap tremblaient.
Mais, pris d'une soudaine inspiration, Franck, d'un coup de rein, se retira.
Sa bite luisante de mouille tressautait, prête à cracher. Le gland était
énorme, presque noir sous l'afflux de sang.
Chapitre 7 122
Perverse
Béa lui malaxait les couilles pendant qu'il les vidait dans le trou du cul de
Caroline.
Je fis signe à Bruno que nous devions nous éclipser en silence. Il semblait
ahuri. La scène à laquelle il venait d'assister lui avait véritablement
embrouillé les esprits. Il marchait comme un somnambule. Je remarquai la
bosse qui déformait son pantalon. J'envoyais la main et à travers le tissu
rêche du vêtement. Je pus constater qu'il bandait dur comme du bois.
Cette fois il ne refusa pas. De la tête il me fit signe qu'il en avait envie. Je
l'entraînai aussitôt vers ma chambre.
Bruno me regardait faire d'un air un peu dégoûté. Mais en même temps le
plaisir montait de ses couilles, envahissait sa tige, chauffait ses reins, lui
ôtait toute force dans les jambes. Il était obligé de prendre appui sur ma
tête pour ne pas tomber.
- Bien sûr.
C'est bon. Et puis ça fait pousser les seins.
C'est David bien sûr qui m'avait raconté ce bobard et j'y croyais dur
comme fer.
Le premier jet atterrit sur ma langue. Bruno poussait ses reins en avant
pour tenter de fourrer toute sa bite. Les jets se succédaient rapidement.
Quelques-uns allaient jusqu'au fond de ma gorge. D'autres coulaient tout
simplement en grosses glaires qui s'accumulaient.
Je gardais le frein tendu à rompre.
Chapitre 7 125
Chapitre 8
En fait, je fus un peu déçue de cette nouvelle vie dont pourtant je m'étais
fait une fête. La vérité c'est que j'étais beaucoup trop mure dans ma tête.
Les autres filles de mon âge m'exaspéraient par la puérilité de leurs
préoccupations. Leurs jeux ne m'intéressaient pas, leur conversation me
déprimait et leur ignorance des choses du sexe me navrait. Elles ne
s'intéressaient qu'aux chanteurs en vogue, aux dernières danses à la mode.
Pour ma part j'avais dépassé ce stade. Il me fallait plus. J'avais tenté
quelques travaux d'approche auprès des garçons mais ceux-ci s'étaient
révélés encore moins intéressants, plus attirés par le football que par les
filles qu'ils semblaient même mépriser.
Chapitre 8 126
Perverse
Il s'approcha de moi, un sourire un peu niais au coin des lèvres. Avec des
mines de conspirateur il m'entraîna à l'écart pour me dire à voix basse :
J'étais un peu estomaquée par le culot du gars. Je fis mine de m'enfuir mais
il me retint fermement par le bras.
- Fais pas ta bêcheuse. David m'a raconté ce que vous faisiez dans la
cabane.
- Je veux pas.
Je protestai faiblement.
Chapitre 8 127
Perverse
- Tu vas me faire une pipe, salope! Et gare à toi si tu me suces pas comme
il faut!
Le garçon m'entraînait vers les WC qui étaient déserts, tous les élèves étant
déjà en cours.
Il avait ouvert son pantalon et sorti une grosse bite rougeâtre, bosselée de
petites veines.
Chapitre 8 128
Perverse
Le garçon avait encadré mon visage de ses deux mains et lui imprimait un
rythme de plus en plus rapide.
Presque aussitôt je ressentis les jets qui se succédaient par saccades dans
ma bouche. Le sperme était très abondant. J'eus des difficultés à tout
avaler.
- Tu suces bien, dit le garçon en rangeant sa bite, molle à présent, dans son
slip. Mais je te préviens, ajouta-t-il, si tu vas te plaindre, je te casse la tête.
Je demeurai seule dans l'étroite cabine des WC, la langue pâteuse, les
lèvres frangées d'une fine croûte blanche, et je me rendis compte que je ne
savais même pas le nom du garçon dont je venais d'avaler le sperme.
J'appris bientôt qu'il s'appelait Yannick.
- Non.
Chapitre 8 129
Perverse
- Ta gueule ou je te cogne!
Il n'insista pas. Il n'était tout de même pas tranquille à l'idée que quelqu'un
puisse m'entendre.
Il avait refermé sa main sur mon bras qu'il serrait très fort. Je ne pus faire
autrement que d'obéir.
Nous nous enfermâmes une fois de plus dans les WC et je me penchai sur
la bite raide de Yannick. Le sperme fut plus long à couler, et moins
abondant. Je l'avalai sans difficultés.
Il ouvrit lui-même son pantalon et sortit sa bite en faisant glisser son slip
par-dessous les couilles.
C'était une grosse andouillette, pas très longue, beaucoup moins que celle
de Yannick, mais gorgée de sang. Le gland était décalotté, luisant et
baveux. Je le pris dans ma bouche.
- T'es une vraie salope, me dit le garçon qui pour le coup était devenu
cramoisi. Tu aimes sucer?
Le mec était plutôt gonflé. J'étais en train de lui téter la queue sous la
contrainte, et il osait me demander si j'aimais ça!
Puis il ajouta :
- C'est la plus grosse de l'école. Elle fait déjà quinze centimètres. Et quand
je serai grand elle en fera au moins vingt!
En fait c'est vrai que cette bite me parut énorme, c'était la plus grosse de
celles que j'avais déjà tétées. Il me fallut distendre mes lèvres pour
l'absorber. Je la tenais ferme dans ma main, qui n'en faisait pas
complètement le tour, pour éviter que le gars ne me la plante tout à coup
dans la gorge.
- J'ai déjà fourré une maîtresse, me dit le garçon avec orgueil. Je lui ai
défoncé la chatte un soir après la classe.
- Elle n'avait pas de culotte, me dit le garçon. Et sa moule était tout ouverte
et baveuse.
- Putain que c'était bon! conclut-il. C'était tout mouillé et chaud. La salope
criait que je la faisais jouir, que j'étais un vaurien, et aussi son petit chéri.
Quand je lui ai balancé la purée, j'ai cru qu'elle allait s'évanouir.
- Quand on fait le concours avec les copains, c'est toujours moi qui jute le
plus.
Pendant les jours qui suivirent, les séances se succédèrent. D'autres copains
de Yannick s'étaient joints au groupe. Je séchais de plus en plus les cours.
Un jour je suçai ainsi jusqu'à dix garçons d'affilé. La chose peu à peu avait
fini par se savoir. Mes copines me regardaient d'un drôle d'air, et même
s'éloignaient de moi sous prétexte que j'avais trop mauvaise haleine. Car il
n'était pas question pour moi de me laver les dents après chaque fellation.
Pendant des heures je restais avec ce goût de sperme dans la bouche, goût
que même les bonbons à la menthe n'arrivaient pas à estomper. Le soir en
rentrant chez moi, je me précipitais dans la salle de bain et me lavais
complètement car j'avais l'impression que l'odeur du sperme séché
imprégnait ma peau. Je changeai aussi chaque jour de vêtements.
Chapitre 8 134
Perverse
Cependant mes fréquentes absences ainsi que celles des garçons avaient
alerté les autorités du collège. Je fus convoquée chez le directeur à qui je
ne pus que donner des explications vaseuses qui ne le convainquirent pas.
Ce proviseur était un brave homme et il ne donna pas suite, n'avertit pas
mes parents, contre la promesse formelle de ne plus m'absenter sans raison
valable.
L'alerte avait été assez forte pour inquiéter Yannick et ses copains. Ils se
firent plus discrets. Je retrouvai pour un temps une certaine tranquillité.
Pourtant je n'en avais pas fini avec Yannick. Un dimanche à midi, ma mère
m'avertit que nous aurions des invités, un collègue de travail et sa femme,
accompagnés de leur fils.
Chapitre 8 135
Perverse
- J'ai lu un livre érotique, hier, dit Yannick après avoir hésité un instant sur
la manière d'aborder le sujet. Le type tartinait de chocolat la chatte de la
fille et après il la léchait.
- Pourquoi pas.
- Baisse ta culotte.
C'était un geste que j'avais déjà accompli si souvent en ce lieu que je n'eus
aucune hésitation. Je me déculottai, relevai ma jupe et m'assis sur le rebord
du divan, les jambes repliées contre ma poitrine, les cuisses bien ouvertes.
Yannick semblait très intéressé par mon petit abricot imberbe. Je suis
certaine que jusqu'alors les seules chattes qu'il avait vues étaient celles des
revues spécialisées achetées en douce dans les kiosques à journaux. En ce
temps-là le cinéma porno n'existait pas (pas ouvertement) et l'Internet
n'était pas encore inventé. Et surtout les filles ne s'exhibaient pas aussi
facilement qu'elle le font aujourd'hui. Pour qu'une fille montre son intimité
il fallait pour le moins une promesse de mariage. J'étais vraiment très en
avance sur mon temps.
Chapitre 8 136
Perverse
- Si tu te voyais...
Chapitre 8 137
Perverse
- Dis pas de conneries. Elle va glisser dans ton cul comme dans du beurre.
- Va doucement surtout.
Chapitre 8 138
Perverse
Docile, j'obéis.
Il écarta mes fesses et plongea son visage entre les lobes charnus. Sa
langue fouillait mon trou du cul, me le remplissait de salive mêlée à la
crème au chocolat. Il me fourra un doigt qui ne rencontra aucune
résistance. Mon sphincter était très souple, je le savais par expérience.
J'avais enfoui ma tête dans les coussins du divan et je creusais mes reins
pour présenter mon trou du cul dans la meilleure position possible.
Yannick s'agenouilla derrière moi. D'une main il maintenait mes fesses
ouvertes, de l'autre il guidait sa tige.
- Fais pas trop fort, demandai-je à Yannick. Ta bite est trop grosse.
Chapitre 8 139
Perverse
La grosse saucisse venait de s'introduire d'un trait. Elle avait coulissé dans
le canal avec une facilité qui m'étonna. Le ventre de Yannick claqua contre
mes fesses.
Nous nous débarbouillâmes tant bien que mal pour cacher le plus possible
les traces de notre débauche. Nous n'y réussîmes qu'à moitié. Quand nos
parents nous virent, ils ne purent s'empêcher d'éclater de rire.
Chapitre 8 140
Perverse
Chapitre 8 141
Chapitre 9
Manuella était gitane et vivait avec ses parents dans une caravane. Elle
suivait une scolarité épisodique, allant d'un lycée à l'autre au grès des
pérégrinations familiales, un jour ici, un autre là, un mois dans un lycée,
quinze jours dans l'autre.
Nous sympathisâmes tout de suite. Nous avions le même âge, mais comme
toutes les filles de sa race qui sont très précoces, elle semblait déjà une
femme faite. De petits seins ébauchaient de jolies rondeurs sous son
corsage alors que ma poitrine tardait à se développer. Elle était très brune,
de cheveux et de peau, avec des yeux très grands, d'un noir profond.
Chapitre 9 142
Perverse
J'écarquillai les yeux. Elle l'avait fait avec un vieux de vingt et un ans!
- Raconte-moi.
- Et tu le fais souvent?
- Tous les jours. Mon cousin a sa caravane dans le même campement que
mes parents.
- Bien sûr.
Jusqu'au fond.
- Grosse sale!
- C'est rigolo. Tu sens la grosse saucisse qui te remplit le trou et qui glisse.
Les garçons adorent ça. La bite est serrée très fort. Alors ils crachent vite
leur purée.
Chapitre 9 144
Perverse
- Dans la mounine c'est pareil, m'avoua Manuella. Mon cousin fait sortir et
rentrer sa queue très vite. On dirait qu'il perd la tête parce qu'il dit des mots
idiots et il me plante ses ongles dans les épaules quand il coule.
- C'est bon?
Manuella hésita.
- Au début j'aimais pas trop. J'avais trop mal. La première fois j'ai saigné.
Beaucoup. Maintenant ça va. C'est bien amusant.
- Non! Mon cousin dit que je ne risque rien parce qu'il se retire chaque fois
au dernier moment. Il se fait couler sur mon ventre.
- Puisque ce que je dis n'a pas l'air de vous intéresser c'est que sans doute
vous connaissez déjà parfaitement le sujet. Alors s'il vous plaît prenez
chacune un bâton de craie et résolvez le problème suivant.
Après quoi il aligna sur le tableau quelques signes qui ne nous inspirèrent
pas, Manuella et moi. Si bien qu'une fois de plus nous nous trouvâmes en
butte aux railleries de nos camarades.
Chapitre 9 145
Perverse
Chapitre 9 146
Perverse
Sans la moindre pudeur, elle retroussa sa jupe et baissa sa culotte. Puis elle
s'assit sur le lit, les genoux ramenés sur sa poitrine. Une broussaille sombre
frisait au bas de son ventre et cachait la fente sexuelle. Manuella, comme
une écolière appliquée, écarta les poils et offrit à ma vue des lèvres
épaisses, noires, fripées, qui ressemblaient à deux grosses limaces
endormies côte à côte. Quelle différence avec ma chatoune! Chez moi tout
était à l'intérieur, bien caché, un véritable petit abricot pas encore tout à fait
mûr.
Manuella avait écarté ses lèvres. La muqueuse était d'un rouge vif,
sanglant, obscène par le contraste qu'elle faisait avec la peau presque noire
de la gitane.
J'étais émerveillée de voir avec quelle facilité ce doigt avait glissé dans le
fourreau humide. Pour arriver au même résultat il me fallait user de mille
précautions et c'était toujours un peu douloureux.
Pour bien illustrer sa démonstration, elle fit coulisser son doigt très vite,
plusieurs fois de suite. Puis elle ajouta un deuxième doigt et poursuivit sa
masturbation.
Chapitre 9 147
Perverse
- C'est sale!
Elle se laissa tomber sur le lit, les bras croisés sous sa tête, les cuisses
relevée et ouvertes en grand. J'approchai ma bouche de la fente déjà
refermée. Avec le nez je me frayai un chemin dans la touffe de poils et je
posai mes lèvres sur les lèvres vaginales. Manuella frissonna.
- Qu'est-ce que c'est bon! C'est meilleur que la bite! J'aime ce que tu me
fais! Continue.
Peu à peu je faisais pénétrer mon doigt dans son trou du cul. Manuella
tortillait du bassin pour faciliter l'introduction.
Chapitre 9 149
Perverse
Enfin son corps retomba, épuisé, anéanti. Elle semblait à bout de souffle.
Elle effleurait ma fente d'un doigt léger. J'avais des frissons dans tout le
corps.
- Tu peux l'ouvrir.
Délicatement, comme si elle ouvrait une belle figue mure, Manuella écarta
les lèvres de la blessure sexuelle. Elle découvrit la muqueuse à peine rosée,
tellement différente de la sienne. En écartant la viande, elle fit béer
l'ouverture du vagin et s'amusa un moment avec la membrane de l'hymen.
- Mais non, c'est rien. Tu vas avoir un peu mal quand la bite va rentrer et
puis au bout d'une minute tu n'y penseras plus.
Manuella avait déjà compris. Ses cuisses vinrent encadrer mon visage et sa
chatte se posa sur ma bouche. Aussitôt je me remis à sucer son clitoris
pendant que la gitane fouillait ma grotte de sa langue pour en extraire tout
le jus.
Elle n'était pas encore très habile et me blessa légèrement en mettant son
doigt. Mais mon cul était tellement souple pour avoir été visitée tant de
Chapitre 9 151
Perverse
- C'est un peu dégoûtant, avoua Manuella. Le cul c'est jamais bien propre.
Mais tu es sûre qu'une bite peut rentrer? C'est pourtant plus gros qu'un
doigt!
- Je te dis que je l'ai fait souvent. Je me fais enculer dans les cabinets.
- Ce sont toutes des hypocrites. Elles feraient une drôle de tête si elles nous
voyaient en ce moment.
Elle agitait sa croupe en tous les sens, sans pour autant cesser de me
gougnoter.
Elle se laissa aller pour la seconde fois. Un jus épais coula de sa moule
dans ma bouche.
Chapitre 9 152
Perverse
Elle jouissait si fort qu'elle me blessait les lèvres dans les mouvements
violents qu'elle imprimait à ses reins. Elle perdait toute contenance. Pour
éviter de crier, elle mordit le drap.
Sans remettre nos culottes, mais en laissant retomber nos jupes, nous nous
rendîmes dans le petit réduit qui renfermait la cuvette des WC, au fond de
la caravane. Nous avions de la peine à tenir toutes les deux là dedans.
- Si tu veux.
- Va te laver.
Chapitre 9 154
Chapitre 10
Tonio était encore plus noir que Manuella. Il me faisait un peu peur car il
avait de petits yeux sournois, et les regards qu'il me jetait me mettaient
toujours mal à l'aise.
Tonio me détestait. Il faut dire que l'heure d'après la classe était celle où il
avait le plus de facilité pour coincer Manuella dans un coin, la trousser et
la bourrer à la vite vite, derrière un arbre ou même cachés entre les tombes
du cimetière voisin. D'après ce que me racontait ma copine, ces
copulations n'excédaient guère cinq minutes. Le garçon ne lui retirait
même pas sa culotte. Il la prenait le plus souvent debout, par-derrière et
lâchait sa purée entre ses fesses après deux ou trois va-et-vient.
Parfois il n'en pouvait plus d'attendre, alors il entraînait Manuella dans les
WC. Peu de temps après je la voyais revenir, une lueur malicieuse dans ses
yeux noirs. Elle se troussait et me montrait le sperme que Tonio avait fait
couler en pressant sa bite entre les globes ronds et fermes de ses fesses.
Chapitre 10 155
Perverse
- Eh bien, regarde!
Chapitre 10 156
Perverse
Tonio riait d'un rire parfaitement idiot pendant que je m'essuyais avec un
mouchoir en papier. Mais il n'ajouta pas un mot. Il rengaina son engin.
Manuella arrivait.
Je racontais tout à Manuella et nous riions toutes deux comme des petites
folles.
- J'ai dit à Tonio que tu t'étais déjà fait pénétrer par le derrière, m'avoua la
petite gitane.
- Et alors?
- Alors il a dit que tu étais une salope et une grosse sale parce que le cul
c'est pas fait pour ça, et que lui jamais il fourrerait sa bite dans de la merde.
- C'est un con.
Quand je répondais ça, Manuella haussait les épaules. Comme elle avait
été déflorée par son cousin, elle pensait que nul autre ne pouvait être plus
efficace que lui pour cet acte, chirurgical en quelque sorte.
Un jour, lasse des moqueries de Manuella, je lui dis que j'étais d'accord
pour perdre mon pucelage si elle-même acceptait de se faire sodomiser.
Elle grimaça.
Mais je ne me tenais pas pour battue. Tonio n'était pas le seul mâle du
pays. Yannick par exemple possédait à présent une bonne pratique de la
sodomie. Il suffisait pour moi d'arranger un rendez-vous. Ce qui me fut
facile.
Les parents de Yannick ayant développé une bonne relation amicale avec
les miens, je rencontrais souvent le garçon et nous avions continué nos
jeux sexuels, le plus souvent dans ma cabane.
Sans aucune honte j'avais ouvert le pantalon de Yannick, baissé son slip et
extirpé sa verge encore molle.
Je riais tout en tripotant la queue du garçon qui, les yeux au ciel, les
jambes tendue, se laissait faire avec un contentement évident. Déjà la tige
se raidissait. Le gland se gonflait, se faisait dur.
Chapitre 10 160
Perverse
- Certainement pas.
- Regarde, dis-je à Manuella, sa bite est toute propre. Pas une trace de
merde. C'est que je m'étais lavé le cul soigneusement.
- Comment tu as fait?
- Viens, dis-je.
Chapitre 10 161
Perverse
Manuella n'était pas rassurée. Et encore moins quand elle me vit avec la
poire à lavement en main.
Je remplis la poire dans une bassine d'eau déjà prête pour cet usage.
J'écartai ses fesses. Son anus était cerclé de brun, semblable au dôme d'un
petit volcan. C'est dans le cratère de ce volcan que j'introduisis la canule.
Je poussai la canule qui glissa d'un trait dans le canal étroit. Puis, je pressai
sur la poire.
- Comment?
Chapitre 10 162
Perverse
- Ne te contracte pas!
Pour compléter la préparation, j'avais pris sur mon doigt un peu de graisse
que je conservais dans une boite et j'en avais enduit la pastille.
J'avais un peu forcé sur le lubrifiant. Le gland dérapa. Yannick fit plusieurs
essais infructueux. Jusqu'à ce que je prenne moi-même la tige en main. Je
posai la pointe du gland dans le cratère luisant de graisse et je forçai. Le
Chapitre 10 163
Perverse
- Non, dit Manuella rassurée. C'est trop bien. J'aime me faire enculer.
Yannick fut un peu plus long à éjaculer. Mais bientôt il se cambra, son
visage se fit dur, ses yeux perdirent toute expression. Il se laissait aller
dans les flancs de la gitane.
Ainsi Manuella avait perdu son pucelage anal. Et selon nos conventions
c'était à moi de sacrifier ma petite fleur.
***
**
- Vous êtes deux petites salopes, nous dit Tonio. Vous finirez sur le
trottoir.
Ça avait été toute une histoire pour que Tonio accepte de me faire entrer
dans sa caravane. Ici aucune comparaison avec le décor agréable dans
lequel vivaient Manuella et sa famille. C'était une minuscule caravane,
assez sordide, d'une seule pièce, avec un lit recouvert seulement d'une
couverture rapiécée, sans draps. Le parquet était jonché de canettes de
bière, la vaisselle sale débordait de l'évier crasseux, des vêtements
traînaient, éparpillés un peu partout.
Chapitre 10 165
Perverse
Je ne me risquai pas à le vexer en lui avouant que j'en avais déjà vu de plus
impressionnantes. La sienne bandait à la verticale, recourbée comme un
arc.
Tonio était très fier de son appareil génital qu'il exhibait avec une
satisfaction évidente.
Chapitre 10 166
Perverse
Tonio avait des gestes de matador face au taureau. Il était prêt à planter sa
banderille. Il s'agenouilla entre les cuisses ouvertes de Manuella et dirigea
sa queue, au bout de laquelle pendaient déjà quelques filaments de sperme,
vers la vulve rouge et luisante de mucus.
Le gitan pesait de tout son poids sur le corps juvénile de sa cousine qui
gardait les jambes levées, enserrant l'homme par la taille.
Il s'était agenouillé, avait saisi le corps frêle de Manuella par les hanches et
il le faisait mouvoir d'avant en arrière sur sa queue raide. La gitane
ressemblait à une poupée désarticulée.
Sans aucune trace d'émotion, Manuella remit sa culotte pendant que Tonio
se laissait aller sur le lit, la bite à la main, la pressant pour en extirper les
dernières gouttes.
Chapitre 10 167
Perverse
- Elle voudrait bien que tu lui fasses la même chose, hasarda Manuella.
- Oui mais c'est pas pareil. Chez les gitans les femmes sont plus précoces.
- Alors compte pas sur moi, dit-il. Je ne baise plus de pucelles. Ça fait trop
mal à la queue.
- Putain, fit Tonio, elle a même pas de poil. Et sa chatte est toute fermée.
- Mais non, fit Manuella. Sa chatoune s'ouvre aussi bien que la mienne.
- Allonge-toi, finit-il par me dire. Mais je t'avertis, t'as pas intérêt à gueuler
et à pleurer si ça te fait mal.
Manuella se précipita.
J'étais bien en peine d'agir, que ce soit pour l'aider ou pour me dégager.
- Ta gueule!
Chapitre 10 170
Perverse
Sans aucune pitié Tonio faisait mouvoir sa pine dans mon vagin
heureusement lubrifié par l'huile. Il bourrait ma chatte d'adolescente
comme il l'aurait fait avec celle d'une putain d'abattage
Manuella s'inquiétait.
- Il faut appeler un docteur, s'écria Manuella affolée par le flot qui coulait
entre mes cuisses écartelées.
Manuella m'aida à enfiler ma robe et, sans remettre ma culotte, nous nous
faufilâmes vers sa caravane pour que je puisse prendre une douche.
Heureusement, le camp était désert à cette heure-là et les parents de
Manuella étaient absents.
L'eau chaude ruisselant sur mon corps traumatisé me fit du bien. Manuella
me retira le papier qui faisait tampon dans le vagin. La membrane déchirée
était encore sanguinolente. La douleur restait vive.
FIN
Chapitre 10 172
Perverse
Je laisse le cahier sur la table du salon. Flavie pourra le lire, tout à l'heure
en rentrant de boîte. Certainement que demain nous aurons une longue
discussion, ma petite-fille et moi.
Chapitre 10 173
PDF version Ebook ILV 1.4 (décembre 2009)