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Pierre Fournier

Perverse

- Collection Romans / Nouvelles -

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Table des matières
Perverse.......................................................................................................1
Chapitre I.............................................................................................2
Chapitre 2..........................................................................................23
Chapitre 3..........................................................................................39
Chapitre 4..........................................................................................57
Chapitre 5..........................................................................................79
Chapitre 6..........................................................................................94
Chapitre 7........................................................................................110
Chapitre 8........................................................................................126
Chapitre 9........................................................................................142
Chapitre 10......................................................................................155

i
Perverse

Auteur : Pierre Fournier


Catégorie : Romans / Nouvelles

Date de publication originale : 2009

Confidences érotiques d'une grand-mère à sa petite fille

Licence : Licence Creative Commons (by-nc-nd)


http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/fr/

1
Chapitre I

Chapitre 1

Flavie vient de fêter ses seize ans. Il n'y a pas de fille plus belle et plus
attirante dans tout le pays; et si je le dis ce n'est pas parce que je suis sa
grand-mère, non. Quand nous nous promenons dans la rue, je me rends
bien compte de l'effet que ses petites fesses rondes et fermes produisent sur
les garçons. Je crois que Flavie ne s'aperçoit de rien mais moi, à mon âge,
je n'ai plus beaucoup de naïveté. Je sais voir le désir dans les yeux des
hommes.

Comme les parents, et encore moins les grands-parents, ne s'aperçoivent


jamais que leurs enfants grandissent, ma petite-fille reste une gamine pour
moi. J'ai toujours tendance à lui offrir des poupées pour Noël ou pour son
anniversaire. Ce que je viens de faire cette fois encore.

Flavie a souri. Elle fait celle à qui aucun autre cadeau ne pourrait donner
autant de plaisir.

Flavie a déjà toutes les rondeurs d'une femme. Comme elle ne se gêne pas
pour se promener nue devant moi, j'ai pu constater la fermeté de ses seins
qui pointent orgueilleusement vers le haut, la finesse de sa taille et la
plénitude de ses hanches. Elle entretient soigneusement sa longue
chevelure châtain qui une fois déroulée lui arrive au ras des fesses. Ses
yeux noirs pétillent de malice et sa bouche ressemble à une petite cerise.

- Je ne trouve plus mon rouge à lèvre, se plaint ma petite-fille.

Son sac est un fouillis incroyable. Elle le vide sur la table pour mieux
chercher le rouge à lèvres en question. Il n'y est pas.

Chapitre I 2
Perverse

- J'ai dû le laisser chez Françoise, me dit-elle. Tu me prêtes le tien?

J'ai l'habitude. Voilà longtemps que Flavie a commencé à emprunter mon


maquillage, mes chaussures et même mes vieilles robes. Avec la mode qui
revient constamment en arrière il se trouve que certaines de mes jupes des
années 50 sont tout à fait d'actualité.

Flavie range ses affaires. C'est à dire qu'elle remet tout en vrac dans le sac.

Un petit sachet carré attire mon attention.

- Qu'est-ce que c'est?

Flavie me fait son regard candide.

- Ça? C'est un préservatif. Tu n'en as jamais vu, grand-mère?

Non, je n'en ai jamais vu. Mais je sais à quoi ça sert.

Contrairement à Flavie qui m'annonce la chose sans aucune honte, je me


sens gênée. Il y a un abîme entre elle et la jeune fille que j'étais quand
j'avais son âge.

- Il faut se protéger, dit Flavie avec un naturel qui me laisse sans voix.

Je pense à ce qui se serait passé si mes parents avaient trouvé un


préservatif dans mon sac. Quel drame! Ils m'auraient traitée de fille des
rues et privée de sortie jusqu'à ma majorité.

- Tu as besoin de... cette chose?

Je n'arrive même pas à prononcer le mot.

- Bien sûr. On ne sait jamais ce qui peut arriver. Il vaut mieux prévoir.
Surtout que les garçons n'en ont jamais.
Chapitre I 3
Perverse

- Mais... tu t'en es déjà servi?

- Voyons grand-mère! Tu ne penses tout de même pas qu'à seize ans je suis
encore pucelle?

Seize ans! Je ne savais pratiquement rien du sexe à dix-sept ans. Je n'avais


même jamais eu encore l'idée de me toucher la mounine.

Pendant que je regarde Flavie qui s'en va, insouciante, fraîche, vive, sa
minijupe au ras des fesses, je repense à ma jeunesse, si différente.

J'ai acheté un petit cahier d'écolier. Je vais tâcher d'y noter mes souvenirs
pour que Flavie puisse les lire un jour prochain.

Mes parents avaient sur l'éducation à donner aux filles des idées bien de
leur temps, et même du temps de leurs propres parents. Pas de mots
grossiers prononcés à la maison, pas d'attitudes équivoques, pas de gestes
ambigus et surtout jamais aucune allusion aux choses du sexe. Les filles
devaient arriver vierges au mariage sous peine de déshonneur et avec le
moins de connaissance possible. Pour eux la tendresse était une faiblesse.
Personnellement, je ne les ai jamais vus s'embrasser et, le soir, ils
fermaient la porte de leur chambre à clé pour éviter toute intrusion
intempestive de ma part. Je suis presque certaine qu'ils faisaient l'amour en
ayant toujours l'angoisse de faire grincer le sommier ou de laisser échapper
un gémissement intempestif.
Ils pensaient ainsi préserver mon enfance et faire de moi une petite fille
modèle. Et jusqu'à mes seize ans ils y étaient parvenus assez bien.

C'était sans compter sur l'apparition imprévue d'un oncle perdu de vue
depuis des années et de retour d'Afrique où il dirigeait une plantation de
café.

Ce vieux colonial avait meublé sa solitude africaine en entretenant une


passion pour le cinéma d'amateur. Il avait accumulé ainsi des kilomètres de
Chapitre I 4
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pellicule qui retraçaient quarante ans de brousse, de chasse à l'éléphant, de


danses nègres, de voyages en pirogues.

J'adorais me rendre chez lui. Il racontait des histoires tellement


extraordinaires. Surtout il ne ratait jamais une occasion de me projeter
quelques films super8 en noir et blanc, émouvants par la nostalgie qui
émanaient de leurs images sautillantes et muettes.

J'avais appris à me servir du vieux projecteur et, souvent, même en


l'absence de mon oncle, j'allais piocher, dans le placard réservé à leur
conservation, un de ces films dont je ne me lassais pas et qui me faisaient
rêver.

Un jour, tout à fait par hasard, J'étais tombée sur une bobine surprenante
Avec étonnement j'avais découvert sur l'écran une énorme verge en gros
plan. Cette monstruosité appartenait à mon oncle. C'était la première bite
que je voyais, n'ayant jamais eu de frères ou de cousins, et encore moins de
copains, étant donné le barrage qu'entretenaient mes parents pour m'éviter
tout contact avec les garçons. Je ne connaissais le sexe masculin que par
certaines reproductions de tableaux ou de sculptures trouvées dans le
dictionnaire.
Jamais bien sûr mon père ne s'était montré nu à mes yeux. Quant au sexe
féminin, je connaissais le mien, une fente à peine perceptible qui
ressemblait à un abricot et ne servait à rien d'autre qu'à faire pipi.

Imaginez ma surprise en voyant cette saucisse tendue au bas-ventre de mon


oncle, encore jeune. Un gros sac fripé brimbalait sous la saucisse. J'étais
fascinée. Puis la caméra glissa sur le corps dénudé d'une jeune négresse
aux gros seins qui, en souriant de toutes ses dents, écartait ses lèvres
vaginales pour exhiber l'intérieur de sa vulve. Là encore je me sentis
quelque peu désorientée. Cette mounine ne ressemblait en rien à la mienne.
Alors que ma fente était fermée, pratiquement sans lèvres, celle que je
voyais sur l'écran s'ouvrait largement sur un trou béant, obscène, a la
muqueuse boursouflée, luisante de mouille. Les lèvres étaient comme deux
tranches de viande rouge qui pendouillaient.
Chapitre I 5
Perverse

La négresse, sans jamais perdre son sourire, qui dévoilait une rangée de
dents blanches dans sa face noire, s'était agenouillée au-dessus de mon
oncle dont le long morceau de chair se dressait comme le mat d'un navire.
Elle avait guidé la tige vers son trou et s'était empalée. La saucisse avait
complètement disparu dans son ventre. Je m'attendais à voir la fille
grimacer de douleur. Mais pas du tout. Au contraire elle semblait très
satisfaite de cette introduction. Je la vis se soulever, puis se baisser en
cadence. Quand la tige ressortait, elle était luisante d'un liquide qui me
parut assez gras.

Mon oncle avait planté ses doigts dans les fesses noires et leur donnait
l'impulsion qu'il désirait. Dans le film en noir et blanc, ce corps noir qui se
mouvait en cadence sur celui de l'homme blanc avait un aspect esthétique
qui m'émut au plus haut point.

La séance avait continué. Le couple changeait quelquefois de position.


Mais la fille noire ne perdait jamais la caméra de l'œil. Visiblement ça
l'amusait beaucoup d'être ainsi filmée. Beaucoup plus même que de se faire
fourrer par cette chose qui à moi me paraissait énorme - Je n'avais alors
jamais entendu parler de l'excision dont toutes ces femmes étaient victimes
dès leur plus jeune âge et qui leur ôtait toute possibilité de plaisir.

Je me demandais surtout comment le sexe de l'homme pouvait ainsi


s'enfoncer sans déchirer les chairs si tendres et si étroites du vagin

J'écartai l'échancrure de ma petite culotte. Ma fente me parut minuscule en


comparaison de la bouche molle et distendue qui aspirait si facilement le
membre de mon oncle. J'en entrouvris les lèvres, découvrant la muqueuse
rosée, lisse, à peine humide, et la minuscule ouverture du vagin obstruée
par l'excroissance des glandes.

Je touchai ma fente. C'était la première fois que je le faisais


intentionnellement. Jusqu'alors les seuls contacts que j'avais eus avec mon
sexe avaient été ceux que nécessitait ma toilette intime. Encore ne m'y
Chapitre I 6
Perverse

attardais-je pas trop, tellement mon éducation stricte et l'enseignement


religieux des bonnes sœurs avaient diabolisé cette partie de mon corps.
J'avais bien ressenti quelques frissons à passer le savon entre mes lèvres
mais sans que cela n'éveille ma curiosité outre mesure.
Il ne me serait jamais venu à l'idée par exemple de m'introduire la moindre
chose dans ce trou dont je n'ignorais pas complètement l'usage, mais d'une
façon très rudimentaire. Si j'avais eu à m'introduire un objet je l'aurais
plutôt enfoncé dans mon trou du cul. On m'y avait déjà souvent planté le
thermomètre, ce qui me produisait d'ordinaire des chatouillis pas
désagréables du tout. Mais dans la fente...

J'avançai mon doigt, hésitante, le cœur battant. Je tâtai les glandes. C'était
humide et chaud. Je glissai une phalange. Un fort sentiment de honte
m'envahit. Je pratiquais sur moi un acte ignoble. Je transgressais un tabou.
Le rouge me monta au front.

Mon fourreau était très étroit. Je poussai encore un peu le doigt mais un
début de douleur m'empêcha de continuer.

Sur l'écran la grosse colonne de chair de mon oncle allait et venait avec
une facilité étonnante entre les cuisses un peu maigrichonnes et largement
ouvertes de la fille. Je provoquais un peu la douleur en faisant pression
avec mon doigt, jouais avec elle comme à cache-cache, mais plus je
poussais et moins c'était supportable. Comme la jeune noire, certainement
beaucoup moins âgée que moi, devait souffrir! Peut-être même allait-elle
mourir, pensai-je en comparant la taille de mon doigt avec celle de la
saucisse.

Enfin, mon oncle sortit complètement son engin, palpitant, luisant, mouillé
d'un liquide qui semblait gluant. Je croyais qu'il en avait fini. Mais non.
Voilà qu'il dit quelques mots à la fille. Le film étant muet je ne pus que
supposer qu'il lui demandait quelque chose qui ne l'enchantait guère à en
juger par la grimace qu'elle fit.
Un peu à contre cœur, mais sans perdre son sourire face à la caméra, elle
s'agenouilla, présentant ses fesses, les écartant à deux mains pour montrer
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son trou du cul. Incrédule, je vis mon oncle diriger sa saucisse vers le petit
trou et forcer pour s'y enfoncer. Visiblement la fille criait. Son sourire avait
disparu. Je vis la colonne de chair s'enfoncer peu à peu dans le derrière
noir.

La fille pleurait maintenant et semblait demander à mon oncle de se retirer.


Mais celui-ci ne tenait pas compte de la souffrance que provoquait sa tige
qu'il faisait aller et venir avec brutalité, jouissant à la fois du canal étroit
qui emprisonnait son sexe, et des cris que poussait sa victime. Cris muets
pour moi mais d'autant plus émouvants qu'ils laissaient libre cours à mon
imagination.

A mon tour je poussai un doigt vers mon trou du cul. La chair était souple.
Le doigt s'enfonça facilement, sans provoquer la douleur redoutée. Au
contraire je trouvai ça assez agréable. Non pas que je ressentisse le
moindre plaisir, mais l'absence de douleur à elle seule était une invite à
continuer. Je fis seulement une légère grimace au moment d'expulser mon
doigt.

Un changement de plan présenta soudain le visage de la fille, en gros plan,


avec ses lèvres épaisses, ses yeux blancs et son sourire qui était revenu.
Mon oncle lui maintenait la tête à deux mains et dirigeait son saucisson
raide, à l'extrémité duquel pendait un épais filament de gluant, vers la
bouche déjà ouverte.

J'étais comme tétanisée. J'ouvrais des yeux immenses. La noire tétait


l'engin de l'homme comme un bébé tèterait la tétine de son biberon,
goulûment, avec une mine gourmande. Les lèvres épaisses enserraient la
colonne et donnaient à la scène un côté sordide, presque répugnant et
pourtant extrêmement excitant. Comme ça avait l'air bon de sucer cette
grosse chose palpitante!

La fille s'en remplissait la bouche. De la bave coulait aux commissures de


ses lèvres. La tête de la colonne de chair déformait ses joues. Elle levait le
blanc de ses yeux vers mon oncle avec un air de profonde imbécillité. Puis,
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elle sortait la saucisse luisante de salive, la léchait, par-dessous, par-dessus,


tout le long de la tige, passait sa langue sur le gros sac, revenait.

Tout à coup un jet puissant jaillit à l'extrémité du saucisson. C'était comme


du lait en tube expulsé avec violence. Vite la femme recueillit le liquide
dans sa bouche. Mais il y en avait tant qu'elle ne pouvait tout avaler. Elle
en avait plein la figure. Des gouttelettes pendaient comme des stalactites
accrochées à son menton. Elle continuait à rire de toutes ses dents, comme
une enfant espiègle, heureuse d'exhiber sa figure noire ruisselante du
liquide blanchâtre que mon oncle venait de lâcher.

Voilà quelque chose que j'aurais aimé faire! J'avais toujours adoré sucer.
Le fait d'avoir seize ans ne m'empêchait pas de continuer à sucer mon
pouce par exemple comme quand j'étais encore au berceau.

Les images visionnées ainsi m'obsédèrent pendant plusieurs jours. Je ne


pensais plus qu'aux scènes incroyables qui venaient d'éveiller en moi
quelque chose que je ne soupçonnais même pas quelque temps auparavant.
J'en vins à imaginer mon père avec entre les jambes un engin identique à
celui de mon oncle. Je tentai plusieurs fois de m'introduire à l'improviste
dans la salle de bain quand il faisait sa toilette. En vain. Fidèle à ses
principes, mon père ne manquait jamais de fermer la porte à clé quand il
prenait sa douche.

Poussée par ce désir brûlant et incontrôlable qui me tenaillait, non pas de


passer à l'acte mais seulement de me frotter à la sexualité d'une façon
perverse, j'avais tenté une reconnaissance manuelle. J'en ai encore honte
aujourd'hui. Comme par inadvertance ma main avait frôlé la bosse qui
m'intriguait tant au bas-ventre paternel, mais mon père avait tout de suite
pris ses distances.

Je surpris des bribes de conversation.

- Je te dis qu'elle a essayé de me la toucher.

Chapitre I 9
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- Mais non. Tu te fais des idées.

Alors je décidai d'entreprendre mon voisin, Jean-Marc, qui était un peu


plus jeune que moi et partageait tous mes jeux depuis l'enfance, le seul
garçon que mes parents toléraient. Sans doute, pour l'avoir toujours connu,
ne le considéraient-ils pas comme un male pouvant mettre en péril ma
virginité. Jean-Marc était timide comme une fille, de la même manière que
j'étais, moi, hardie comme un garçon. Sous le sceau du secret, je lui
racontai le film que j'avais vu.
Le pauvre garçon était devenu tout rouge.

Émoustillé par le thème que je venais d'aborder, encore un peu honteux,


avec la soudaine audace du puceau, il me révéla à voix basse, le regard
quelque peu inquiet, qu'il avait déjà vu ses parents "faire l'amour", même
assez souvent car ils n'étaient pas de ceux qui verrouillent les portes.

- Mon père a une grosse bite et il la rentre tout entière dans la chatte de ma
mère.

Du coup je venais d'apprendre deux mots. Je savais désormais que


l'appendice qui pend entre les jambes des hommes était une bite et que
l'abricot chez les femmes s'appelait une chatte.

Petit à petit, le timide Jean-Marc quittait son masque de bon garçon. Ce


petit ange à qui l'on aurait donné le Bon Dieu sans confession, selon l'une
des expressions favorites de mon père, était en réalité un démon à l'affût de
tout ce qui concernait le sexe.

Il m'avoua qu'il avait percé un trou dans la cloison des WC, chez lui, et que
par-là il pouvait espionner tout à son aise.

- Plusieurs fois j'ai vu mon père se toucher la bite, jusqu'à ce qu'elle crache
du sperme tellement fort que parfois il y a des gouttes qui giclent jusqu'à la
porte en face de la cuvette. Tu sais ce que c'est le sperme?

Chapitre I 10
Perverse

Un peu honteuse, je fus bien obligée de dire que je n'en avais aucune idée.

- C'est du jus qui coule de la bite quand on la touche et qui ressemble à du


lait concentré ou à du blanc d'œuf. .

Je me rappelai comment, dans le film super8, la "bite" de mon oncle avait


coulé dans la bouche de la jeune noire.

- Même ma mère se touche quand elle va sur la cuvette, avait poursuivi


Jean-Marc. Elle se rentre deux doigts dans le trou et elle les fait aller et
venir très vite. En même temps elle pousse des soupirs très forts tellement
elle jouit.

Rentrer deux doigts dans le trou! J'avais du mal à le croire. Je n'étais même
pas arrivée à faire pénétrer une première phalange.

- Une fois, ils étaient tous les deux dans les WC. Ma mère s'est penchée en
avant, en s'appuyant sur la cuvette. Mon père avait un énorme saucisson au
bas du ventre. Il l'a rentré d'un coup. Ma mère a dit "c'est bon! Fourre-moi
fort!"

- Il lui a mis dans la chatte ou dans le cul?

- Dans la chatte, bien sûr. Dans le cul ce n'est pas possible. Sa queue est
trop grosse.

Je n'avais aucune idée de la taille que pouvait avoir cette "queue" mais elle
ne pouvait pas être beaucoup plus grosse que celle de mon oncle. Je fis
part de mes réflexions à Jean-Marc.

- Je t'assure que mon oncle enfonçait son engin dans le petit trou de la
noire. Et c'était vraiment un gros saucisson.

Mais Jean-Marc ne fut convaincu qu'à moitié.

Chapitre I 11
Perverse

J'hésitai un peu avant de continuer et d'en venir à ce qui m'intéressait, non


pas par pudeur mais surtout pour ne pas heurter mon copain trop
brusquement. En ce qui me concernait, bizarrement je me sentais tout à fait
à l'aise. Je me surprenais à constater la transformation qui s'était produite
en moi depuis à peine quelques jours. Alors qu'avant la découverte du film
chez mon oncle je n'avais jamais entendu prononcer les mots bite ou chatte
ou encore sperme, voilà que je pouvais les utiliser en toute innocence.

- Fais-moi voir ta bite, demandai-je tout à coup à Jean-Marc.

En même temps j'avais envoyé la main vers la bosse qui déformait son
pantalon et qui ne cessait de croître au fur et à mesure que notre
conversation se faisait plus chaude.

Jean-Marc était devenu cramoisi. Il tenta de rire grassement sans vraiment


y parvenir. Il cherchait une échappatoire. Il ne s'attendait visiblement pas à
une demande aussi abrupte de ma part.

- Si tu me la fais voir, moi je te montrerai ma chatte, insistai-je.

Je lui aurais envoyé un coup de poing à l'estomac qu'il n'aurait pas été plus
choqué. Son visage avait viré au rouge vif. Mon copain n'arrivait pas à se
décider. Il avait du mal à rompre dix ans d'amitié pour satisfaire sa
sexualité naissante. Je n'avais pas le même complexe et prenais plaisir à
toucher sa bite à travers le tissu du pantalon. Je la sentais gonflée comme
une grosse saucisse, à la fois tendre et ferme.

Au fond du jardin il y avait une vieille cabane en bois que mon père
m'avait construite lorsque j'étais petite fille. J'aimais m'isoler dans ce coin
secret que j'avais plus ou moins transformé en résidence d'été. Rien n'y
manquait. J'y avais installé un petit divan, une table, une coiffeuse
surmontée d'un miroir, et bien sûr l'indispensable électrophone Tepaz.
C'est dans cette cabane que Jean-Marc et moi passions des heures à écouter
nos disques préférés et à faire nos devoirs. Nous étions dans la même
classe, mais pas dans le même établissement puisque mes parents
Chapitre I 12
Perverse

m'avaient inscrite chez les sœurs tandis que Jean-Marc allait au lycée. En
ce temps-là la mixité n'existait pas.

Ce jour-là, cependant, je découvris une autre utilité à notre vieille cabane.

- Personne ne peut nous surprendre, ici, dis-je à Jean-Marc pour


l'encourager. Tu sais bien que mes parents n'y viennent jamais.

Jean-Marc faiblissait. Je le sentais venir, comme un pêcheur qui ferre une


truite. Il avait très envie de ce que je lui proposais mais il avait encore à
lutter contre sa fierté de jeune mâle. Car je crois que ce qui le gênait le plus
c'était de me voir prendre l'initiative.

Sitôt assis sur le divan, et voyant qu'il ne se décidait pas, j'entrepris


d'ouvrir moi-même son pantalon.

- Laisse-moi la voir!

Jean-Marc riait bêtement.

- T'es vraiment folle.

- Je suis sûre qu'elle est toute petite. Et c'est pour ça que tu veux pas la
montrer.

Je savais pertinemment qu'il n'en était rien. L'engin que j'avais tâté à même
le pantalon avait la taille d'une belle andouillette.

Jean-Marc résista encore un peu, pour la forme, puis s'abandonna.


Fébrilement je dégrafai son Jean's et le fis glisser jusqu'à ses chevilles.
Comme le garçon ne se décidait toujours pas et restait figé comme une
statue, assis sur le divan, les fesses à ras du coussin, j'abaissai son slip.

La bite de Jean-Marc tenait bien ses promesses. Elle n'était pas très longue
mais bien grasse, noueuse, palpitante, et surtout d'une fermeté qui
Chapitre I 13
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m'étonna. Quand je l'avais touchée tout à l'heure à travers le pantalon, elle


m'avait semblé beaucoup plus souple.

J'avais saisi l'engin entre le pouce et l'index et je le détaillais avec


attention. Il ne ressemblait en rien à celui de mon oncle qui avait, lui, un
gros chapeau, semblable à un champignon. Chez Jean-Marc le bout de la
queue était entièrement recouvert d'une peau épaisse, qui s'ouvrait ainsi
qu'un petit bouton de rose et révélait à l'intérieur comme une pierre
précieuse encore protégée dans sa gangue.

Soudain il se passa un chose étrange. Je sentis qu'entre mes doigts la chose


prenait vie, se gonflait, s'allongeait, devenait encore plus dure. La pierre
précieuse qui jusque là se cachait, timide, en doublant de volume avait
écarté la peau fripée qui la protégeait et tentait une sortie.

- Qu'est-ce qui se passe? questionnai-je un peu inquiète.

- C'est normal, me rassura Jean-Marc. Dès qu'on la touche, elle bande.

Décidément mon vocabulaire sexuel s'enrichissait rapidement.

- Et quand tu bandes, ça te fait mal?

- Non, au contraire.

La bite de Jean-Marc était tendue à l'horizontale, si dure maintenant que je


frémis en pensant que sa destination était peut-être de se fourrer dans ma
chatoune, si petite, si tendre.

- Tu te la touches souvent?

- Tous les jours, et plusieurs fois par jour. J'adore.

Le garçon se libérait tout à fait. Il avait envie de me choquer, de devenir


trivial.
Chapitre I 14
Perverse

- Qu'est-ce que ça te fait?

- C'est bon. Je sens des picotements, là, au bout, et puis aussi dans les
reins.

- Fais-moi voir comment tu fais.

Jean-Marc, soumis désormais à toutes mes volontés, enserra sa bite dans sa


main et tira en arrière. La peau du prépuce s'écarta et mit le gland à vif.

De cette manière la bite de Jean-Marc, la peau du prépuce ramenée sous la


base du gland tuméfié, ressemblait maintenant à celle de mon oncle. Un
peu moins longue peut-être.

Je n'étais pas rassurée, mais, en même temps, de voir mon copain se


masturber m'excitait beaucoup. Il faisait coulisser sa main serrée autour de
la tige raide. Il tirait très fort, sortait tout le gland puis ramenait la peau
par-dessus, recommençait. J'étais fascinée. La vue de ce gros champignon
rouge qui apparaissait et disparaissait en cadence, et les halètements du
garçon déculotté dans le secret de ma cabane avaient provoqué chez moi
une forte chaleur qui me brûlait le front et m'enlevait toute force dans les
jambes. Il ne s'agissait pas encore d'une vraie pulsion sexuelle, mais bien
de cette sensation à la fois trouble et délicieuse qui vous envahit quand
vous faites quelque chose de défendu.

- Je peux te le faire? proposai-je.

Jean-Marc hésita à répondre. Il avait déjà surpris sa mère en train de


branler la bite paternelle mais il n'avait encore jamais imaginé que je
puisse lui faire la même chose. Cependant son hésitation fut de courte
durée. Il m'abandonna sa tige raide et ouvrit grand ses jambes.

- Quand j'étais petit, avoua-t-il, j'avais une nourrice qui me le faisait


chaque fois que je pleurais. Ça me calmait tout de suite. Même qu'à la fin
Chapitre I 15
Perverse

je faisais exprès de pleurer pour qu'elle me touche le petit oiseau.

- Avec moi c'est pas la peine de pleurer.

D'autorité j'avais saisi dans ma main la bite de Jean-Marc. Elle était douce,
chaude et vivante comme un petit animal.

J'étais tout de même un peu empruntée.

- C'est bien?

Je tirai la peau du prépuce en arrière, ainsi que je venais de le voir faire à


Jean-Marc.

- Tu peux tirer plus fort, me dit-il.

- J'ai peur de te faire mal.

- Mais non. C'est tout le contraire.

Je fis ce que Jean-Marc me demandait. Il poussa un soupir.

- Je fais pas comme il faut, demandai-je inquiète?

- Tais-toi, idiote, s'écria mon copain. Et branle-moi! Va très vite.

Je commençai à le branler, selon le mot qu'il employait, très fort et très


rapidement. J'étais aussi rouge que lui.

Des images de mon oncle et de sa négresse me revenaient en mémoire.

- Tu veux que je te la suce?

- Oui, souffla Jean-Marc. Suce-moi. Ma nourrice aussi me suçait.

Chapitre I 16
Perverse

Je m'agenouillai devant lui et approchai ma bouche de sa bite qui exhalait


une subtile odeur légèrement poivrée. Ce qui m'enchanta. J'avais très envie
de ce que j'allais faire. J'y avais pensé souvent depuis quelques jours.
C'était vraiment la chose qui m'attirait le plus, beaucoup plus que de me
faire fourrer.

Je pris le membre raide dans ma bouche et je me mis à le téter goulûment.


Après en avoir tellement rêvé, j'aurais été bien déçue si cette première
entrée en bouche m'avait incommodée. Il n'en fut rien. D'emblée je tirai
plaisir de ce gland sur ma langue, du goût salé du sperme que je diluais de
salive chaude, des palpitations de la verge prête à cracher son jus.

Jean-Marc avait trouvé le geste qu'il fallait, le même que mon oncle dans le
film. Il maintenait ma tête entre ses deux mains et la pressait contre son
bas-ventre.

- Putain que c'est bon! grommelait-il.

Je crois que j'aurais pu sucer cette bite pendant des heures. C'était une
véritable révélation. Mon bonheur était complet.

Soudain les doigts de Jean-Marc se crispèrent dans mes cheveux.

- Voilà! Ça vient!

J'étais un peu décontenancée. Qu'est-ce qui venait ? J'eus un moment


d'hésitation. Devais-je continuer?

Mais Jean-Marc fit onduler ses reins, comme pour me rappeler à l'ordre.

- Suce fort!

Il rentrait et sortait sa bite très vite, en haletant. Tout à coup il se plia en


deux, sa bite battait par saccades. Il m'attira vers lui à m'étouffer.

Chapitre I 17
Perverse

- C'est bon! Je coule!

Un liquide chaud et visqueux se répandit dans ma bouche.

Puis les secousses s'espacèrent. Ma bouche était pleine de sperme que je


laissais échapper par les commissures des lèvres, à gros bouillon. J'aurais
voulu continuer à sucer, provoquer une deuxième giclée, mais Jean-Marc
me repoussa.

- Non, maintenant ça me fait une sensation désagréable.

Je m'étais mise à jouer avec le paquet qui pendait sous la bite molle. Avec
ravissement je faisais tourner entre mes doigts les petites boules qui étaient
à l'intérieur.

- A quoi ça sert?

- Je ne sais pas vraiment, reconnut Jean-Marc.

J'allai m'asseoir sur le divan, les fesses bien au bord. Je soulevai ma jupe et
écartai les cuisses.

- Tu veux voir ma mounine?

En même temps j'avais écarté l'échancrure de ma petite culotte.

Jean-Marc, sans prendre le temps de remonter son pantalon, s'était


agenouillé entre mes jambes ouvertes.

- Tu n'as pas de poils? s'étonna-t-il.

- Je crois que c'est comme la barbe chez les hommes. Il y en a qui ont
beaucoup de poils et d'autres presque pas. Chez moi c'est juste un petit
duvet. Touche comme c'est doux!

Chapitre I 18
Perverse

Jean Marc avança la main pour effleurer ma motte. Ce contact me fit


frissonner.

- Ma mère a une grosse touffe noire et frisée, dit-il. Mais cette semaine elle
s'est rasée.

- Elle se rase la chatte?

- Oui. Même que maintenant on voit mieux la fente.

J'imaginai la mère de Jean-Marc en train de se raser, comme mon père


chaque matin devant son miroir.

- Ma chatte te plait?

- Je la vois pas bien, dit Jean-Marc. Enlève ta culotte.

Je ne me fis pas prier. J'étais certainement une exhibitionniste née. Mais


jusqu'alors je n'en avais pas pris conscience. Me montrer, dévoiler mes
parties intimes, me procurait un plaisir trouble, pervers, délicieux en
somme.

Je fis glisser ma culotte et écartai grand les cuisses. En même temps, à


deux mains, j'ouvris ma fente.

- Ta chatte sent le poisson, dit Jean-Marc.

Je regardais mon petit abricot ouvert, rose tendre à l'intérieur, les lèvres de
la blessure légèrement irritées par l'urine et le frottement de la culotte.

- On dirait une fleur, dit encore Jean-Marc.

- Tu vois le petit trou par où sort le pipi?

- Oui, il est là.


Chapitre I 19
Perverse

Jean-Marc avait posé un doigt sur la minuscule fente bordée de rouge vif.
Le contact de ce doigt me fit frissonner. Le garçon chercha l'entrée de ma
chatte, mais je l'arrêtai tout de suite en saisissant son poignet.

- Non, ne rentre pas ton doigt. Tu vas me faire mal.

- Tu as essayé?

- Oui. C'est trop étroit.

Jean-Marc paraissait sceptique.

- Pourtant ma mère n'a pas l'air d'avoir mal quand mon père lui fourre sa
bite.

- Chez les adultes c'est sans doute différent.

Jean-Marc avisa soudain un crayon qui traînait sur la table basse devant le
divan. Il le saisit et le dirigea vers mon trou béant. Je n'étais qu'à moitié
rassurée.

- Qu'est-ce que tu fais?

Il avait déjà enfoncé le crayon dans ma chatte. Étonnée, je regardais ce


morceau de bois qui dépassait de ma fente au bas de mon ventre.

- Tu as mal?

- Non.

- Qu'est-ce que ça te fait?

- Rien. C'est rigolo.

Chapitre I 20
Perverse

- Si le crayon rentre, mon doigt peut rentrer aussi.

- Non, je veux pas.

Jean-Marc semblait déçu.

- Moi, je t'ai laissé sucer ma bite.

- Si tu veux, proposai-je, tu peux me mettre un doigt dans le cul.

En même temps j'avais relevé très haut mes jambes pour présenter mon
petit trou.

- Vrai? Je peux?

- Mais oui, tu peux! Je l'ai déjà fait.

Jean-Marc était tout rouge. Il hésitait.

- Mets ton doigt! insistai-je.

Il posa un doigt timide sur la rondelle souple qui tout de suite absorba la
première phalange.

- Enfonce-le!

Jean-Marc poussa doucement et son doigt disparut complètement dans


mon trou du cul. Je sentais ce doigt s'agiter en moi. Ça me chatouillait. Je
n'irais pas jusqu'à dire que j'y prenais un plaisir extrême mais ce n'était pas
désagréable. En fait l'excitation était plus intellectuelle que physique.

- Arrête! Tu me donnes envie.

- Je te donne envie de quoi?

Chapitre I 21
Perverse

- D'aller au petit coin.

Jean-Marc retira son doigt. L'extraction fut un peu douloureuse, comme


toujours, mais je poussai sur mon ventre comme pour me soulager et le
doigt fut expulsé.

- C'est dégoûtant, dit Jean-Marc en regardant son doigt plein de merde.

Je riais comme une petite folle à voir sa mine déconfite. Je lui tendis un
mouchoir en papier.

- Essuie-toi, cochon!

Jean-Marc avait remonté son pantalon qu'il reboutonnait, sans cesser de


regarder l'intérieur de mes cuisses que je gardais obstinément ouverte.

- C'était super! dit-il.

- Pour moi aussi. J'aime bien sucer.

Chapitre I 22
Chapitre 2

Il est tard. Je rentre du cinéma. Il y a de la lumière dans la chambre de


Flavie. Encore une fois ma petite fille se sera endormie en oubliant
d'éteindre. Pour ne pas la réveiller, je pousse la porte tout doucement. Une
forte odeur de cyprine me monte au nez.

Flavie est assise sur une chaise, nue, les jambes écartées, face à la grande
glace de l'armoire. Elle ne m'a pas vue entrer. Son regard trouble se perd
dans la contemplation de sa chatte béante qu'elle maintient ouverte avec
deux doigts.

Dans le reflet de la glace je peux constater que Flavie s'est rasé le sexe, ne
laissant qu'une petite touffe, bien taillée, au sommet de la fente. La
muqueuse est déjà très tourmentée, les glandes congestionnées. Les lèvres
sexuelles ressemblent à un fin travail de dentellière. Un liseré sombre en
suit le contour, comme un trait d'encre noir qui délimiterait un dessin au
pastel très tendre. Le dégradé de rose se fait plus vif en allant vers la base.
La vulve est noyée de jus. Ma petite-fille le récupère à la pointe du doigt
qu'elle fait ensuite courir sur le clitoris maintenu érigé en pressant sur la
fine capuche qui le couvre.

Flavie gémit en continue. J'ai trop l'habitude de la masturbation pour ne


pas savoir qu'elle est au sommet de la courbe.

Je vois ses jambes se tendre. Son regard est devenu vide. Elle accélère les
mouvements de son doigt sur le clito rouge d'excitation.

Un râle sourd monte de la poitrine de Flavie. Cette plainte grave, profonde,


semble incongrue venant du corps frêle et délicat de l'adolescente. C'est

Chapitre 2 23
Perverse

presque une jouissance de femme mûre qui résonne jusque dans mes
ovaires.

Flavie s'est recroquevillée. Elle est comme tétanisée. Son corps est secoué
de spasmes incontrôlables. Elle a enfoncé un doigt au profond de sa chatte.
Les secousses s'espacent. Il n'y a plus que les pieds qui se contractent mais
ces contractions-là aussi s'espacent.

Le corps de Flavie se détend. Je sais ce que ma petite-fille doit ressentir.


Plus rien n'existe autour d'elle. Elle se sent légère, légère... Tous ses
membres se relaxent. Une sensation de vide a envahi son bas-ventre.

Je m'éclipse après avoir refermé la porte sans bruit.

Une fois de plus Flavie vient de réveiller mon adolescence. J'ouvre mon
cahier et je me replonge dans mes souvenirs.

Chaque fois que nous le pouvions, Jean-Marc et moi nous retrouvions dans
la cabane. Peu à peu je me perfectionnais dans l'art de sucer et j'aimais de
plus en plus le faire. C'était devenu une drogue pour moi. J'avais besoin de
téter une bite. N'importe laquelle aurait fait l'affaire, mais pour l'instant
comme je n'avais que celle de Jean-Marc à me mettre sous la langue, je
m'en contentais.

Ce qui n'empêchait pas ma curiosité. Je guettais les moments où mon oncle


s'absentait pour fouiller dans sa collection de films. J'en avais déjà déniché
quelques-uns uns assez chauds qui avaient contribué à parfaire mon
éducation sexuelle.

J'essayais toujours de surprendre mes parents, comme une petite souris


fureteuse, mais en vain. J'avais beau coller mon oreille à la porte de leur
chambre ou tenter de regarder par le trou de la serrure quand ils étaient
dans la salle de bain, rien à faire. J'en étais arrivée à croire que mes parents
ne faisaient pas l'amour, étaient asexués.

Chapitre 2 24
Perverse

C'était un peu frustrant, d'autant plus que Jean-Marc avait souvent des
anecdotes piquantes concernant ses propres parents, lesquels en revanche
semblaient avoir une sexualité débordante.

Jean-Marc s'ingéniait aussi à apporter dans la cabane les objets les plus
hétéroclites pour me les fourrer dans le cul. Ainsi j'avais eu droit à de
petites carottes, à des haricots verts, à toute une gamme de stylos divers, à
un fume cigarette et à un thermomètre avec lequel mon copain me prenait
régulièrement la température.

Mais ce qui nous avait le plus amusé c'était un petit pistolet à eau. Pendant
des semaines ce pistolet nous avait divertis un maximum. Jean-Marc le
remplissait d'eau puis il calait l'embout dans l'ouverture de ma chatte ou de
mon cul et il m'injectait le liquide que nous regardions toute suite après
s'écouler sur le plancher, moi accroupie, Jean-Marc allongé à plat ventre.
C'étaient des moments très jouissifs.

Ce jour-là, Jean-Marc venait de m'administrer une bonne décharge dans la


chatte avec le pistolet. Comme d'habitude je m'étais accroupie et l'eau
coulait entre mes jambes.

- On dirait une fontaine, dit Jean-Marc.

- J'ai envie de pisser, dis-je tout à coup.

- Oh oui! Pisse! Je veux voir couler ta pisse!

- Ça va sentir fort!

- On s'en fout. On ouvrira la fenêtre après.

Je poussai sur mon ventre. Une goutte ambrée perla à l'ouverture du méat.

- Attends! dit Jean-Marc. Pisse dans ma main!

Chapitre 2 25
Perverse

Il avait collé sa main ouverte à plat contre ma fente.

Le liquide chaud se mit à couler avec force. Il passait entre les doigts de
Jean-Marc, ruisselait le long de mes cuisses, se répandait sur le plancher.

Jean-Marc humait avec ravissement sa main encore humide. Moi, toujours


accroupie, je regardais entre mes jambes les dernières gouttes suinter de
mon abricot. Par les interstices du plancher la flaque d'urine s'évacuait.

- Pisse-moi aussi dans la main, dis-je en ouvrant la braguette de Jean-Marc


pour extraire sa bite.

- Je sais pas si j'ai envie.

- Essaye.

Mais, à prendre la bite dans ma main elle était tout de suite devenue raide.

- Je peux pas pisser quand je bande, dit Jean-Marc.

- Alors je vais te branler et après tu pisseras.

J'entrepris de secouer vivement sa tige pour qu'il arrive vite à la


conclusion. J'avais trop envie de sa pisse pour prendre mon temps.

- Suce-moi, demanda Jean-Marc.

- Non, si je te suce c'est trop long. Dépêche-toi.

- Ça va venir.

Je m'étais rendu compte que le sexe de Jean-Marc avait pris du volume


depuis la première fois que je l'avais vu et touché. Le gland était beaucoup
plus gros, surtout à sa base, et quand je remontais ma main pour le
recouvrir avec la peau du prépuce, quelquefois le bourrelet refusait de
Chapitre 2 26
Perverse

passer.

Une fois de plus je sentis une immense jouissance à voir Jean-Marc se


plier en deux sous l'effet du plaisir et à sentir palpiter sa bite dans ma main.
Le sperme jaillit avec force, par saccades. J'avais dirigé le tuyau vers le
rideau de la fenêtre et la semence du garçon vint s'y accrocher.

- Vas-y! Pisse, maintenant que ta bite est redevenue molle.

Jean-Marc contracta son ventre. Je tenais le membre mou, décalotté dans


ma main. Une première goutte apparut, resta en suspension, tomba, suivie
bientôt de plusieurs autres. L'odeur qui s'exhalait me parut délicieuse.
Soudain la pisse fusa violemment. Ma robe en fut toute mouillée. J'orientai
le jet vers le sol, comme j'aurais fait avec le tuyau d'arrosage. Puis un désir
soudain me prit. Vite, je pris la bite dans ma bouche qui fut tout de suite
pleine d'un liquide brûlant. Il y en avait trop pour que je puisse l'avaler,
aussi je le laissai s'écouler par les commissures de mes lèvres.
Le jet semblait ne jamais devoir cesser. En fait j'aurais voulu que cela dure
encore plus longtemps tellement j'y prenais de plaisir. Mais les meilleures
choses ont hélas une fin. La source se tarit. J'avalai avec délice les
dernières gouttes.

- C'est sale de boire le pipi, souffla Jean-Marc écœuré par ce que je venais
de faire.

- Pourquoi?

Il ouvrit de grands yeux et chercha désespérément une réponse.

- Je ne sais pas, finit-il par avouer.

- Alors tu vas boire le mien.

- Non! Pas question!

Chapitre 2 27
Perverse

Mais Jean-Marc ne pouvait rien me refuser. Il faisait toujours mes quatre


volontés. Il tenta pourtant un dernier effort pour se soustraire à cet acte qui
le répugnait.

- Tu viens de faire pipi. Tu n'as plus rien.

- Si, il m'en reste encore un peu, tu vas voir. Mets ta bouche sous ma
chatte.

Docile, vaincu, il s'allongea à même le sol et je m'accroupis au-dessus de


son visage.

- Tiens! Bois mon pipi!

Je poussai sur mon ventre et le jet ambré jaillit une nouvelle fois.
Heureusement pour Jean-Marc ce n'était qu'une toute petite envie qui
demeurait dans ma vessie, mais il y en eut assez pour remplir sa bouche. Il
eut un hoquet, faillit s'étrangler, toussa, cracha.
L'urine lui sortait par le nez.

Je riais à me tordre de le voir ainsi, le visage inondé de pisse, les yeux


pleins de larmes, suffocant.

- C'est trop dégoûtant, dit-il. Et ça coule trop fort.

Puis il ajouta :

- La prochaine fois je me laisserai pas surprendre.

S'il acceptait d'avance qu'il y eut une prochaine fois, c'est que la chose ne
lui avait pas trop déplu. Ce qu'il confirma aussitôt.

- C'était super!

Je partageais cet avis.


Chapitre 2 28
Perverse

Notre cursus scolaire se poursuivait. J'étais demi-pensionnaire au collège


de l'Immaculée Conception et Jean-Marc étudiait au lycée Pasteur. Après
les cours, je rentrais vite à la maison et sous prétexte de devoirs à faire
nous nous isolions tout de suite Jean-Marc et moi dans la cabane.

Cependant il me semblait que nos découvertes sexuelles s'essoufflaient.


Malgré notre imagination débordante, nous avions plus ou moins fait le
tour de la question. Jusqu'au jour où Jean-Marc arriva avec notre nouveau
voisin, David, un garçon de notre âge qui venait d'aménager dans le
quartier. Bien sûr David s'était joint à nous à l'insu de mes parents qui
n'auraient pas laissé ainsi un garçon inconnu approcher leur fille. Comme
je l'ai déjà dit, seul Jean-Marc trouvait grâce à leurs yeux.

David avait pris tout de suite sur Jean-Marc un ascendant qui ne me


plaisait qu'à moitié. En fait, Jean-Marc admirait ce garçon, très grand pour
son âge, mal élevé, sans gêne, et d'une vantardise qui me mettait les nerfs
en boule.

Je n'aimais pas voir mon copain s'abaisser devant ce grand dadais. La


première fois qu'il avait amené David dans notre cabane, notre coin secret,
je l'avais pris comme une trahison. De toute une semaine je n'avais plus
adressé la parole à Jean-Marc.

Mais les adolescents n'ont pas la rancune tenace. Nous refîmes l'accord et
David fut admis dans l'intimité de la cabane.

Un jour, je vis arriver David et Jean-Marc, après les cours. Ils avaient des
mines de conspirateurs et se poussaient du coude en riant grassement et en
me regardant. Nous étions dans la cabane sous le prétexte d'écouter le
dernier disque d'Elvis Presley. Jean-Marc hésitait. Je le voyais qui tournait
autour du pot sans pouvoir se décider. J'étais déjà fine mouche et fis celle
qui ne voyait rien.

Chapitre 2 29
Perverse

Comme David le bourrait de coups de coudes dans les côtes, Jean-Marc se


décida à parler.

- Tu sais, me dit-il, David a une bite qui crache vachement loin. Il s'est
masturbé devant moi et son jet va au moins deux fois plus loin que le mien.

- C'est vrai, confirma David, et si tu veux, on fait un pacte. Tu me montres


ta chatte et je te fais une démonstration.

Je haussai les épaules.

- Vous êtes pas un peu malades, tous les deux?

- Ben quoi? dit Jean-Marc. Pourquoi tu veux pas? Tu as peur de quoi? J'ai
raconté à David ce qu'on fait tous les deux. Et puis dans la cabane
personne peut nous voir.

Curieusement je n'éprouvais aucune honte. J'étais même assez fière de moi.


Et surtout l'idée de voir une bite nouvelle cracher son jus m'excitait comme
une puce. Je me fis encore un peu prier, pour la forme, puis, je cédai.
J'adorais ce moment où je faisais glisser ma petite culotte, retroussais haut
ma jupe et écartais les cuisses. Ça m'occasionnait toujours de délicieuses
bouffées de chaleur, mais plus encore ce jour-là où je m'exhibais devant un
étranger!

Vautrée sur le divan je montrais mon abricot, sans aucune sorte de pudeur,
avec un plaisir pervers, j'écartais les lèvres de la blessure sexuelle pour
révéler la muqueuse humide et odorante.

David était devenu tout rouge. Deux petites veines battaient sur ses
tempes. Il ouvrait de grands yeux et respirait avec difficulté.

- Je peux toucher? demanda-t-il en s'approchant.

- Oui, mais tu rentres pas le doigt.


Chapitre 2 30
Perverse

Il fit glisser son doigt dans la fente, de bas en haut, pressa les glandes,
chercha le minuscule clitoris. Je n'aimais pas trop. Déjà quand Jean-Marc
me le touchait, je lui demandais vite d'arrêter. Le contact me produisait une
sensation désagréable, insupportable.
Je constatai que je ressentais la même chose avec le doigt de David. Je
demandai au garçon de cesser. Il prit aussitôt un de ces airs supérieurs qui
m'horripilaient.

- C'est parce que tu es encore une gamine. Les femmes adorent quand on
leur touche le clito.

- Tu l'as déjà fait à une femme? demanda Jean-Marc admiratif devant le


savoir de son copain.

David se rengorgea.

- Bien sûr. Je le fais avec ma tante.

- Tu touches la chatte de ta tante.

- Je fais pas que la toucher, ajouta David avec un air entendu.

Il ne nous en dit pas plus ce jour-là.

Je repoussai sa main. Il essayait de m'introduire un doigt.

- Par-là c'est trop étroit, dis-je, mais si tu veux, tu peux le mettre dans mon
cul.

- Je t'avertis, dit Jean-Marc en riant, tu vas avoir le doigt plein de merde.

- Je m'en fous, dit David en haussant les épaules.

Chapitre 2 31
Perverse

Une lueur sale, vicieuse, dansait dans ses yeux. Il plongea son doigt d'un
trait dans mon anus.

- Doucement!

Avec une sorte de rage contenue, il faisait entrer et sortir son doigt. Ses
mâchoires étaient crispées, ses narines pincées, son regard vide.

- Arrête! J'ai mal!

J'avais saisi son poignet et tentais de le repousser. Mais le salaud insistait.


Je me mis à crier. Paniqué, craignant que mes plaintes n'attirent quelqu'un,
David s'arrêta. Son doigt était rouge.

- Tu m'as faite saigner! m'écriai-je.

J'étais horrifiée et surtout très inquiète.

Les deux garçons n'en menaient pas large. Ils tentaient de me rassurer.

- C'est rien. Ça ne saigne même plus, disait Jean-Marc en m'essuyant l'anus


avec un mouchoir en papier.

Effectivement la blessure devait être bénigne, tout juste un petit vaisseau


qui avait éclaté. Ce qui n'empêchait pas que j'avais un fort mal au ventre.

- Arrête de pleurnicher et je te fais voir ma bite, proposa David.

Très rapidement j'essuyai quelques larmes qui avaient coulé sur mes joues,
pendant que le garçon ouvrait son pantalon.

La bite de David bandait au maximum. C'était déjà une bite d'homme. A


côté d'elle, celle de Jean-Marc me paraissait minuscule. La peau du
prépuce recouvrait complètement le gland et au bout, dans le petit calice
fripé stagnait un liquide translucide. David avait pris son membre en main.
Chapitre 2 32
Perverse

- Regarde bien!

Lentement il fit sortir le gland que recouvrait une épaisse couche de gluant.
De son autre main il se massait les couilles. J'avais très envie de toucher
cette queue palpitante mais je n'osais pas, pas encore. Je me contentai de
regarder le gros champignon qui jouait à cache-cache.

- T'en as jamais vu des comme ça!

J'aurais pu lui parler de mon oncle. Mais la bite de mon oncle n'était qu'une
image. Dans la réalité c'était vraiment la première bite de ce calibre que je
voyais.

David se branlait d'un poignet nerveux. Un filament de bave pendait à


l'extrémité de son sexe. J'aurais aimé recueillir ce liquide sur mon doigt et
le porter à ma bouche pour le goûter, mais je restai comme hypnotisée.
Aujourd'hui encore, alors que tant d'années ont passé, je ne me lasse pas.
J'adore voir un homme se masturber.

- Je sens que ça vient, murmura David d'une voix roque.

Son visage avait viré au rouge coquelicot. Un tic nerveux déformait sa


bouche. On ne voyait plus que le blanc de ses yeux.

La bite avait encore grossi. La peau du prépuce restait bloquée sous la base
évasée du gland.

- Putain que c'est bon! soupira David.

Il avait recueilli le liquide qui suintait du petit trou à la pointe de sa bite,


semblable à du blanc d'œuf, et il passait son doigt lubrifié tout le long du
frein tendu à en devenir translucide et qu'il effleurait à peine.

- J'aime quand ça dure longtemps, dit-il.


Chapitre 2 33
Perverse

J'étais scotchée sur le divan, ma jupe encore retroussée par-dessus le


ventre, les cuisses ouvertes. David s'approcha de moi et s'agenouilla entre
mes jambes. Son sexe arrivait ainsi au niveau de ma chatte.

- Qu'est-ce que tu vas faire? m'inquiétai-je.

- T'en fais pas, je vais pas te la fourrer. Elle est trop grosse pour toi. Je vais
seulement la frotter contre ta fente.

Avec la main il guida sa tige et son gland décalotté, rouge, dur comme du
bois. Il entreprit de se frotter. C'était extra de voir la grosse boule
disparaître et apparaître au bas de mon ventre. Le liquide qu'elle produisait
lubrifiait ma fente. La bite, dans le rail de mes lèvres, glissait d'une
manière exquise, chaude, vivante.

- Tourne-toi, m'ordonna David. Maintenant je vais la faire coulisser entre


tes fesses.

Docile, je me retournai. J'étais agenouillée sur le divan, présentant haut ma


croupe.

- Allonge-toi! dit encore David, ce sera plus facile.

Sans discuter, je me laissai tomber à plat ventre sur le divan, le cul à l'air.
David tout aussitôt s'allongea sur moi. Il pesait de tout son poids. Je sentais
la saucisse dure et humide aller et venir dans ma raie. J'étais ravie.

Soudain, David se souleva, prit sa bite d'une main et la guida vers mon
anus déjà traumatisé par l'introduction de son doigt peu de temps
auparavant. Je sentis le gland qui tentait de forcer le passage.
Mais il était beaucoup trop gros et tellement gluant qu'il dérapa.

Je m'affolai.

Chapitre 2 34
Perverse

- Non, je veux pas! Pas dans mon cul! Ça va faire mal!

Je me débattais du mieux que je pouvais mais le poids de David sur moi


m'ôtait toute liberté de mouvement.

- Laisse-toi faire, grognait David. Laisse-moi t'enculer!

Le gland trouva ma rondelle, appuya, la distendit, pénétra légèrement.

- Aide-moi, cria David à Jean-Marc, tiens-lui les jambes!

Mais Jean-Marc, effrayé par la tournure des événements, n'osait pas faire
un geste, ni pour obéir à son copain, ni pour me venir en aide.

Le gland força encore un peu. La douleur décupla mes forces. Je gigotais


tellement que David ne put s'engloutir comme il en avait l'intention et sa
bite fut expulsée.

- Alors, dans ta bouche, cria-t-il rageur.

Il s'était relevé et, sans ménagement, il attirait ma tête au niveau de son


sexe. Il me tenait par les cheveux.

- Ouvre la bouche!

Il passait son sexe baveux sur mes lèvres fermées. Une odeur forte
m'envahit les narines.

- Ouvre et suce !

C'était dans mes cordes. Je gobai aussitôt le gland et le pompai comme


j'avais l'habitude de pomper celui de Jean-Marc. De prime abord, le goût
du sperme me surprit. Il était beaucoup plus salé que celui de Jean-Marc,
beaucoup plus sauvage. Mais d'emblée je fus séduite. Je tétais avidement
pendant que David poussait des cris de cochon qu'on égorge.
Chapitre 2 35
Perverse

- C'est bon! Suce! Je coule N'arrête pas de sucer pendant que j'éjacule!
Voilà!

Un liquide chaud, épais, se mit à couler dans ma bouche. La bite battait


comme un cœur, et à chaque battement lançait un jet abondant.

J'eus bientôt la bouche pleine. Trop pleine pour pouvoir tout avaler.

David s'était retiré. Lui aussi, la phase de plaisir terminée, avait du mal à
supporter le moindre contact sur son gland.

J'étais assise sur le divan, et les deux garçons, debout devant moi, me
regardaient. Je devais avoir une drôle de tête avec mes joues gonflées et
mes lèvres pincées.

- Tu peux avaler, me dit David. Quand je jute dans la bouche de ma tante,


elle avale tout. D'ailleurs toutes les femmes avalent.

- Non, dit Jean-Marc, pas toutes. Ma mère, quand elle suce mon père, elle
recrache tout.

David haussa les épaules.

- Fais comme tu veux, dit-il en reboutonnant son pantalon. Moi, je m'en


fous.

J'hésitai encore un court instant, puis, je me décidai à tout recracher. J'en


avais trop dans la bouche pour l'avaler sans risquer un haut le cœur. C'était
trop épais, trop visqueux.

J'entrouvris les lèvres et repoussai le liquide avec la langue. J'eus bientôt le


menton englué, puis ma robe. Les deux garçons riaient comme des bossus
de voir ma mine penaude.

Chapitre 2 36
Perverse

Je m'essuyai le visage avec ma petite culotte.

- Tu aimes boire le sperme? demanda David.

- Oui, mais le tien coule trop vite et trop fort.

- Je te l'avais dit, fit Jean-Marc.

J'esquissai une moue de dépit.

- Seulement j'ai pas vu s'il giclait aussi loin que tu l'affirmes.

- Attends! s'exclama David. Laisse-moi recharger les batteries.

J'étais un peu inquiète. Ma robe et ma culotte, imbibées de sperme,


exhalaient une odeur fade qui ne pouvait se confondre avec aucune autre.
Comment allai-je rentrer chez moi? Même en passant directement par la
buanderie et en y abandonnant mes vêtements souillés, ma mère risquait
d'avoir des doutes en mettant le linge dans la machine. Je me dis que la
prochaine fois je me mettrais toute nue, et que je m'essuierais avec des
mouchoirs en papier

Je faisais tourner ma langue dans ma bouche pour en nettoyer les recoins.


Je trouvais le goût du sperme délicieux.

A partir de ce jour les petites réunions dans la cabane, devinrent beaucoup


plus intéressantes. Bien sûr, je suçais toujours le sexe de Jean-Marc, mais
c'était surtout pour lui faire plaisir car je préférais, et de loin, boire le foutre
bien épais, bien goûteux, bien odorant de David. Je suçais sa bite comme
une gourmandise, le plus souvent possible, malgré le peu de sympathie que
j'avais pour lui.

Souvent Jean-Marc et David organisaient une compétition. Tous deux, le


pantalon sur les chevilles, se branlaient vigoureusement pour savoir lequel
des deux jutait le plus loin. Bien sûr David l'emportait toujours, et de loin.
Chapitre 2 37
Perverse

C'était très excitant de voir cette purée jaillir brusquement, monter en arc
de cercle, s'écraser en petites flaques sur le plancher. Consciencieusement
je mesurais les jets. Je peux affirmer que jamais dans ma vie je n'ai vu un
homme avoir une telle pression dans la bite.

Chapitre 2 38
Chapitre 3

Flavie a un petit ami. Un de plus. Celui-là est bien le cinquième que je lui
connais. Mais Flavie n'a rien d'une amoureuse. Elle prend les garçons et les
jette avec une facilité qui me déconcerte. La rupture ne lui brise pas le
cœur, d'autant que c'est toujours elle qui la provoque et un nouveau
soupirant ne lui fait pas perdre la tête.

Quand je vois ma petite-fille et l'un de ses amoureux s'embrasser à pleine


bouche, dans le salon, en ma présence, je me sens un peu gênée. Non pas
que je souffre d'un excès de pudeur, loin de là, mais bien parce que jamais
je n'ai pu occulter l'éducation sévère que me donnaient mes parents.

Ce sentiment peut paraître bizarre quand on pense qu'à l'âge où la plupart


de mes copines ne pensaient que Prince Charmant, mariage et fleur
d'oranger, j'avalais en douce des giclées de sperme, mais bien souvent
l'éducation produit des effets contraires à ceux que l'on avait espérés. Le
puritanisme exacerbé de mes parents m'avait poussée vers la perversité. Le
laxisme dans lequel baignait ma petite-fille depuis son plus jeune âge, n'en
avait fait qu'une adolescente équilibrée et saine qui abordait le sexe sans
aucun complexe.

Flavie et son copain regardent la télévision. Comme le programme ne


m'intéresse guerre, je lis un roman d'Agata Christie, sous l'abat-jour.

- J'ai la chatte qui de démange, annonce Flavie.

Tout naturellement elle retrousse sa jupe légère et tire sur l'échancrure de


sa petite culotte pour vérifier sa fente.

- Tu trouves pas que mes lèvres sont un peu rouges?

Chapitre 3 39
Perverse

Pas aussi rouges que le pauvre garçon qui ne sait où donner du regard.

Flavie ouvre sa fente. Elle presse sur la motte pour faire saillir le clitoris.

- Regarde si une bête ne m'a pas piquée.

Elle ouvre ses jambes pour exhiber toute sa viande.

Le garçon ne sait plus où se mettre. Il est tétanisé. Du coin de l'œil il guette


mes réactions. Je fais celle qui ne s'aperçoit de rien. Je continue à faire
semblant de lire. Une fois de plus je constate que les garçons ne sont
jamais autant délurés que les filles, aujourd'hui comme hier.

- C'est quand même pas la première fois que tu vois ma chatte! s'exclame
Flavie, exaspérée par l'attitude du garçon. C'est ma grand-mère qui
t'intimide?

Flavie a rabattu le pan de sa jupe. En riant, elle tente d'ouvrir la braguette


du garçon qui se défend faiblement.

- Il bande, le salaud! Et même il a commencé à juter! Regarde grand-mère,


son slip est tout imbibé de sperme!

J'esquisse un sourire sans quitter mon livre des yeux.

- Je vais le finir, annonce Flavie. C'est pas sain de rester à mi-chemin.

Elle a extrait la bite et la branle d'une main ferme. Le garçon s'est laissé
glisser sur le canapé, la tête renversée, les jambes ouvertes. Il ne se
préoccupe plus de moi.

Je ne peux m'empêcher de regarder cette jeune tige gorgée de sève. Droite


et dure dans la main de Flavie. C'est une belle andouillette, à peine
marquée de petites veines bleues.

Chapitre 3 40
Perverse

Il est clair que le garçon ne sait pas encore contrôler son plaisir. Pour lui,
éjaculer est la jouissance suprême. En trois coups de poignets Flavie l'a
amené au point de non-retour.

Flavie rit comme une petite folle.

- Regarde Grand-Mère! Regarde le geyser!

Le garçon crache son jus. La violence du jet me surprend. Le sperme


monte à la verticale, effectivement comme un geyser. Je n'ai jamais vu ça.
Une bonne dizaine de jets se succèdent et retombent en glaires épaisses sur
les cuisses du garçon, sur la main de Flavie qui n'a pas lâché la verge et tire
sur le frein sans ménagement.

Le garçon court dans la salle de bain pour se nettoyer. Flavie lèche le


sperme qui stagne sur sa main. Ma petite-fille a les mêmes goûts que moi.

Ils s'en vont au cinéma. J'en profite pour sortir mon cahier que je cache
soigneusement dans le tiroir secret du secrétaire. Et je me replonge dans
mes souvenirs.

David se faisait pressant. Il était comme obsédé par le désir de me mettre


sa bite dans le petit trou. Il ne se passait pratiquement pas un seul jour sans
qu'il ne me rejoigne dans la cabane, avec ou sans Jean-Marc. Et chaque
fois j'avais droit à la même chanson.

- Laisse-moi t'enculer!

Ce que je refusais obstinément.

- T'es vraiment pas chic.

Cependant, comme il avait peur que mes cris n'alertent mes parents s'il me
forçait, il s'en tenait à nos jeux habituels.

Chapitre 3 41
Perverse

Il me déshabillait complètement et jouait avec mes seins qui commençaient


à pointer et qu'il agaçait maladroitement avec la certitude de me procurer
un maximum de plaisir. Il pétrissait mes fesses rondes et fermes avec la
vigueur d'un boulanger malaxant sa pâte. Après quoi il sortait sa bite et la
frottait sur mon ventre ou la faisait coulisser entre mes fesses. Parfois il me
demandait de le masturber. Pour finir, je le laissais juter dans ma bouche
ou alors il se répandait sur moi. Ce que je n'aimais pas trop car, après,
l'odeur persistait longtemps, très forte, et j'avais toujours peur que mes
parents ne s'aperçoivent de quelque chose. Mais ils étaient tellement fiers
de la bonne éducation qu'ils me donnaient que l'idée ne leur vint jamais de
ce qui pouvait se passer dans la cabane, mon domaine réservé, mon
royaume.

- Si tu me laisses te la mettre dans le cul, je te lècherai la moule, me dit


David.

Nous étions seuls ce jour-là. Depuis quelque temps Jean-Marc se faisait


rare. J'étais nue sur le divan et je masturbais David qui s'était agenouillé
au-dessus de moi. Je tenais ses couilles d'une main, faisant rouler les
petites boules entre mes doigts pendant que de l'autre main je jouais avec
le gland gonflé de sève. Cette bite, si dure et si grosse, à mon avis, ne
pouvait que me faire saigner le trou du cul si elle tentait de s'y introduire.

- Laisse-moi fourrer ma bite dans ton cul et après je te mets la langue dans
le sexe.

Jusqu'à présent, aucun des deux garçons ne m'avait embrassé l'abricot.


Pourtant je savais que c'était quelque chose qui se pratiquait et qui même
semblait plaire beaucoup aux femmes à qui on le faisait si j'en croyais les
films que je continuais à visionner en l'absence de mon oncle. J'avais très
envie d'éprouver cette nouvelle sensation.

- Ta bite est trop grosse, dis-je. Mais je veux bien essayer encore avec ton
doigt.

Chapitre 3 42
Perverse

Je relevai haut les jambes pour présenter ma petite rondelle dans la


meilleure position.

- Te mets pas à crier si je te le fais!

- D'accord, mais si j'ai trop mal tu arrêtes.

Il était prêt à promettre n'importe quoi pour arriver à ses fins. Il posa son
doigt sur la bague légèrement boursouflée et ourlée de brun, ainsi que
j'avais pu le constater quand je me regardais le cul dans un petit miroir que
j'avais dans ma chambre.

Je savais mon anus très souple. Souvent je m'y introduisais de petits objets,
avec une facilité étonnante. Jean-Marc avait l'habitude de m'y fourrer son
doigt et de l'enfoncer complètement sans que je ne ressente aucune
douleur. Il lui arrivait même d'y planter son pouce. Pourtant je ne pouvais
me départir d'une certaine appréhension vis à vis de David. D'abord parce
que ses doigts étaient beaucoup plus gros que ceux de Jean-Marc, mais
surtout parce que je redoutais sa brutalité.

- Mets de la salive sur ton doigt, lui demandai-je.

C'était ce que faisait Jean-Marc en ce cas-là.

A ma grande surprise David ne mouilla pas son doigt. Il m'écarta les


fesses, jusqu'à découvrir mon petit trou et approcha son visage. Je sentis sa
bouche qui se posait sur ma rondelle et sa langue qui s'attaquait à la
muqueuse. Une sensation de vertige m'envahit. C'était comme si le sol se
dérobait sous moi.

David crachait dans mon cul et tentait d'y pousser la salive avec la pointe
de sa langue. Je me tortillais de plaisir. Une sensation de chaleur se
répandit dans mon corps. C'était comme quand j'avais la fièvre. Je devais
être toute rouge. Le sang m'était monté au visage. J'aurais voulu que la
langue aille plus profond, pénètre complètement dans le conduit étroit.
Chapitre 3 43
Perverse

- Tu aimes que je te lèche le cul? me demanda David en se relevant.

- Oui, c'est bon. J'adore. Essaye aussi dans la chatte.

J'avais ouvert mon abricot à deux mains, espérant la langue de David.

- Non, dit-il. Après. D'abord laisse-moi mettre mon doigt. C'est le pacte.

J'avais plus envie d'une langue que d'un doigt, mais c'était ce que nous
avions convenu. Je fermai les yeux, comme si le fait de ne rien voir eut pu
occulter ce qui allait suivre. Je sentis le doigt de David, forcer mon
derrière. La bague s'écarta. Le doigt fila d'un trait dans les profondeurs
chaudes.

- C'est bon? demanda David d'un air suffisant.

- Pas trop.

Il se mit à faire coulisser son doigt dans le fourreau.

- Ça me chatouille, avouai-je.

Je connaissais déjà cette sensation. Je savais qu'après j'aurais une forte


envie de chier et une douleur sourde dans le ventre.

Je laissai David s'amuser un instant avec mon anus puis, je lui demandai
d'arrêter. A ma grande surprise, il ne se fit pas prier et vint plaquer sa
bouche sur ma fente sexuelle, la força de la langue et se mit à lécher la
muqueuse.

C'était aussi très agréable, bien que je fusse encore loin d'atteindre
l'orgasme. Je n'arrivais même pas à imaginer ce que cela pouvait être, et
mes masturbations, de plus en plus fréquentes, ne me donnaient que des
fragments de réponse. Je sentais monter le plaisir mais je restais tout le
Chapitre 3 44
Perverse

temps frustrée, espérant une conclusion qui ne venait pas, un apaisement


qui devait ressembler un peu à celui de Jean-Marc ou de David après
éjaculation.
Cependant, pour l'instant, je jouissais de la caresse qui me procurait des
frissons partout.

David essayait de faire pénétrer sa langue dans le trou. Bizarrement je ne


ressentais pas la douleur que m'occasionnaient d'habitude les tentatives
d'introduction avec le doigt ou avec des objets trop volumineux. Comme
dans le cul, j'aurais voulu que cette langue entre complètement, me lèche
les parois du fourreau, aille jusqu'au fond.

- Attends, ne bouge pas, m'ordonna David.

Il avait abandonné ma chatte. Sa figure luisait de mouillé. Il me releva très


haut les jambes et guida sa bite vers l'orifice béant de ma vulve.

- Non! criai-je. Je veux pas!

- Tais-toi! Je vais pas te la fourrer dedans. Je vais seulement éjaculer dans


ta petite fleur rouge.

Il avait posé l'extrémité de son gland sur les glandes qui gardent l'entrée de
la grotte. Je regardais avec inquiétude cette tige raide, rouge, palpitante qui
semblait jaillir de mon propre corps. Le gland était à moitié enfoui dans
mon intimité. C'était à la fois très inquiétant mais aussi extrêmement
excitant.

- Tu vas couler? demandai-je.

- Oui, souffla-t-il, j'y suis presque.

Il se masturbait tout en maintenant le gland dans ma vulve ouverte.

Chapitre 3 45
Perverse

Son visage contracté, parcouru de tics nerveux, avait quelque chose de


laid, et même de préoccupant. J'étais vraiment inconsciente. Le garçon,
excité comme il l'était, aurait pu me défoncer d'un coup de rein, me
déchirer.

Je sentis que le gland durcissait, augmentait de volume. Je savais ce que


cela signifiait. Mais d'habitude c'était dans ma bouche que la chose se
produisait.

David se renversa, son sperme coulait. Je le sentais très chaud. C'était


comme une sensation de brûlure dans ma chatte. La bite lançait par
saccades de grands jets qui pénétraient dans mon vagin.

- Vite! Donne ta bouche.

David s'était redressé et, debout à coté de moi, il me présentait sa bite


secouée des derniers spasmes. Je l'engloutis avec délice et la pompai pour
en extraire les ultimes gouttes. J'avalai tout.

- Nettoie bien le gland, ordonna David.

Je tenais la bite encore raide d'une main et, comme j'avais appris à le faire,
avec ma langue je fis la toilette du gland, récupérant les filaments de
sperme à l'extrémité du méat, tirant la peau du prépuce très fort en arrière
pour nettoyer la base du gros champignon.

Cette opération de nettoyage se prolongea peut-être un peu trop. Toujours


est-il que la saucisse de David, au lieu de redevenir molle reprit toute sa
vigueur.
Le salaud bandait comme un âne quand Jean-Marc nous rejoignit.

Quand il me vit avec la bite de David dans la bouche, en train de pomper,


le menton ruisselant de salive, Jean-Marc fit une drôle de tête. Visiblement
il n'appréciait pas la situation, comme si David l'avait dépossédé de
quelque chose qui lui appartenait. C'était d'autant plus surprenant que
Chapitre 3 46
Perverse

souvent les deux garçons se retrouvaient ensemble dans la cabane et, dans
ces cas-là, je les suçais tous les deux pour ne pas faire de jaloux, même si
j'avais une préférence pour la queue de David.

Le fait de me trouver seule avec David avait fait naître chez Jean-Marc ce
que l'on peut bien considérer comme un accès de jalousie.

Tout de suite il fit la tête.

Je laissai David décharger sa semence dans ma bouche. J'avalai le tout


avant de me tourner vers Jean-Marc.

- A toi, lui dis-je en attrapant sa bite à travers la toile rêche de son short.

- Non, dit-il en se reculant. J'ai pas envie.

Je n'insistai pas. Après tout nous avions d'autres occupations possibles. Je


proposai un jeu de société. Mais David n'était pas d'accord.

- Allez! Sors ta bite!

Jean-Marc secoua la tête en signe de dénégation.

David avait son regard mauvais, celui qui parfois me donnait froid dans le
dos. Il passa son bras autour du cou de Jean-Marc qu'il immobilisa. Il était
beaucoup plus fort, beaucoup plus grand.

- Laisse-moi, gémit Jean-Marc.

David, au contraire, resserra son étreinte pendant que de sa main libre il


dégrafait le short qui tomba bientôt aux pieds de Jean-Marc. Le slip suivit
le même chemin.

- Oh la belle petite queue! clama David.

Chapitre 3 47
Perverse

Sans relâcher sa prise, il avait saisi la fine tige de Jean-Marc et la branlait


vigoureusement.

- Je veux pas, cria encore Jean-Marc.

Il tentait bien de se libérer, mais à chaque mouvement l'autre resserrait


l'étau de son bras.

- Et moi, je veux! dit David d'une voix mauvaise.

- Laisse-le, dis-je en venant au secours de mon copain.

- Toi, ta gueule. Mets-toi à genoux et suce-le!

Le ton était tellement autoritaire, David avait déjà pris sur moi une telle
emprise que je n'osai répliquer. Je m'agenouillai devant Jean-Marc,
toujours immobilisé, et avalai sa bite encore molle. David riait
méchamment.

Il me regarda faire un moment, puis il me repoussa. La bite de Jean-Marc


par la magie de ma bouche était devenue raide.

- Regarde comme il bande le cochon!

Il attira Jean-Marc sur le divan.

- Maintenant c'est moi qui vais te le sucer ton petit sucre d'orge.

Il avala la petite tige dressée et la pompa avec des gros bruits de bouche.

- Tu es un salaud! pleurnichait Jean-Marc. Entre garçons c'est dégoûtant!


On va dire que je suis un PD!

David suçait toujours. Il semblait y prendre beaucoup de plaisir à en juger


par ses grognements. Son doigt chercha l'anus de Jean-Marc.
Chapitre 3 48
Perverse

- Non! Pas le cul! s'indignait le jeune garçon.

Mais déjà David, une lueur sale au fond des yeux, avait planté son doigt
dans le petit trou.

A cet instant je pensai que souvent j'avais eu envie, moi aussi, de fourrer
mon doigt dans le cul de mon copain. Mais je n'avais jamais osé.

Jean-Marc continuait de pleurnicher mais en silence. Bientôt il n'émit plus


que des soupirs de plaisir. La bouche de David s'activait. J'imaginai la bite
dure et les saccades qui n'allaient pas tarder. Effectivement, bientôt je vis
David se relever.

- Le cochon, dit-il en recrachant le sperme que Jean-Marc avait commencé


à libérer, il a juté dans ma bouche! Le petit salaud!

Il retira sans précaution son doigt qui était resté fiché dans le fourreau
étroit. Jean-Marc poussa un cri de douleur. Le sperme continuait à couler
de sa bite secouée de spasmes qui allaient en s'espaçant.

- Tu as de la chance que je ne bande pas encore, sinon je t'aurais enculé


petit salopard pour t'apprendre à éjaculer dans ma bouche! Mais on va
attendre un peu. Tiens, suce-moi! Fais-moi bander que je puisse défoncer
ton petit trou.

Je m'étais tapie dans un coin, un peu inquiète, ne sachant par la part de


plaisanterie qu'il y avait dans la soi-disant colère de David. Jean-Marc
gardait le silence. Il n'opposa aucune résistance quand David lui mit sa bite
dans la bouche.

- Suce!

A ce moment il y eut un bruit au dehors, dans le jardin. David sursauta.


Nous étions tous affolés, à remettre précipitamment nos vêtements. Ce
Chapitre 3 49
Perverse

n'était qu'une fausse alerte mais Jean-Marc en profita pour s'esquiver.

On pourrait croire que ces événements nous auraient incités, Jean-Marc et


moi à prendre nos distances avec David. Il n'en fut rien. En fait nous étions
totalement sous sa coupe. Plus il nous traitait en esclaves, plus il nous
attirait.

Il nous demanda, un jour, de venir chez lui. Ses parents étaient absents. Il
avait sorti de dessous son lit un lot important de revues pornographiques
dont il nous commenta longuement les photos. J'ouvris de grands yeux en
découvrant une femme qui suçait la bite énorme d'un cheval.

- Le cheval crache des litres de sperme à chaque fois, énonça David avec
l'assurance d'un qui connaît parfaitement le sujet.

Nous ne pouvions que nous émerveiller devant le phénomène.

Il nous fit aussi découvrir un gode qu'il était allé chercher dans la chambre
de ses parents. C'était une sorte de long cigare en ivoire, effilé, guère plus
épais que mon pouce, avec une petite molette à sa base. Quand on tournait
cette molette, un petit moteur se mettait en marche et produisait des
vibrations.

- Ma mère se le fourre dans la chatte, expliqua David, et les vibrations la


font jouir.

Je m'amusais comme une folle à mettre le moteur en marche et à l'arrêter.

- Baisse ta culotte, m'ordonna David.

- Qu'est-ce que tu vas me faire?

- Tais toi et fais ce que je te dis.

Chapitre 3 50
Perverse

Soumise, et curieuse, je baissai ma culotte et relevai ma jupe pour dévoiler


mes fesses. David avait pris le gode d'ivoire et le dirigeait entre mes fesses.
Avec la pointe il chercha mon trou du cul.

- Va doucement, dis-je.

- T'inquiète. C'est comme un suppositoire, ça rentre tout seul. Parfois je me


le mets.

Il poussa sur le gode qui, effectivement, glissa sans aucun problème, sans
m'occasionner aucune douleur. David tourna la molette et les vibrations
commencèrent.

- C'est drôle, dis-je en riant. Je le sens vibrer dans mon cul.


C'est bon.

- Tu veux essayer? proposa David à Jean-Marc.

Jean-Marc n'était pas chaud pour se faire enfiler un objet dans le petit trou.
Mais il n'osa pas refuser. Il baissa son pantalon, écarta ses fesses à deux
mains et présenta sa rondelle.

- Ne l'enfonce pas trop, murmura-t-il.

Visiblement il n'était pas rassuré.

David retira le gode de mon cul et le dirigea vers le petit trou de


Jean-Marc. Il fit pénétrer légèrement la pointe de l'engin, juste de quoi
écarter la bague élastique, et mit le moteur en route.

- Ça me chatouille, dit Jean-Marc.

David poussa le gode, jusqu'au fond, jusqu'à ce que ne dépasse du cul de


Jean-Marc que la molette plate et dentelée.

Chapitre 3 51
Perverse

- Tu m'as tout fourré, se plaignit Jean-Marc. J'ai un peu mal dans le ventre.

- Débrouille-toi, fit David. C'est pas mon problème.

Il riait en regardant Jean-Marc plié en deux, ne sachant que faire de cet


objet qui lui remplissait le cul.

- Retire-le! gémit Jean-Marc.

- Enlève-le toi-même, lui répondit David.

Jean-Marc tentait d'extraire le cigare d'ivoire de son fondement, mais il


n'avait pas assez de prise. Ses doigts glissaient sur la molette.

- Fais comme si tu chiais, lui conseillai-je.

Ça m'était déjà arrivé une fois. Je m'étais plantée une carotte et je l'avais
poussée si loin qu'elle avait disparu. Je m'étais affolée. Je ne savais plus
comment faire pour me débarrasser de ce légume encombrant, et je n'osais
pas appeler mes parents, bien sûr. J'avais alors pensé à pousser, comme
quand j'allais sur la cuvette des WC. La carotte était sortie. J'avais eu mal
pendant deux jours, mais j'avais expulsé le légume encombrant.

Jean-Marc fit comme je le lui conseillais. Bientôt le gode entama sa sortie,


doucement, comme une crotte bien dure.

- Ma mère a aussi un gode qui ressemble à une vraie bite d'homme et qui
crache du jus, nous révéla David.. Seulement je ne sais pas où elle l'a
caché. La prochaine fois je vous le montrerai.

Souvent après les cours nous nous retrouvions chez David ou chez
Jean-Marc car chez moi il nous fallait user de ruses de sioux pour ne pas
attirer l'attention de mes parents qui commençaient à trouver suspects mes
séjours prolongés dans la cabane. J'avais fait à leur intention un faux
emploi du temps qui m'octroyait deux heures de cours supplémentaires par
Chapitre 3 52
Perverse

jour. Ma mère trouvait que les sœurs me surchargeaient vraiment trop de


travail, mais mon père approuvait.

- Si on l'a mise chez les sœurs, c'est bien pour qu'elle bosse, non?

Les parents de Jean-Marc avaient une petite ferme. Il y avait là toutes


sortes d'animaux. Parfois nous allions à la recherche des œufs que les
poules ne pondaient pas toujours dans les nids mais derrière un buisson ou
au creux d'un arbre. Ces poules vivaient en liberté. Nous nous amusions
comme des fous. C'était à qui trouverait le plus grand nombre d'œufs.

David, quoique peu attiré par les joies de la campagne, se joignait à nous
un peu à contrecœur. Il restait les mains dans les poches à nous regarder
d'un air dédaigneux. Ramasser les œufs était un amusement qu'il ne jugeait
pas digne de lui.

Depuis un moment il contemplait un coq qui sautait consciencieusement


toutes les poules, les unes après les autres.

- Voilà un métier qui me plairait, dit-il.

- Tu voudrais être coq? Ta zigounette est trop grosse pour les poules!

- Qu'est-ce que tu en sais?

Il venait d'attraper une grosse poule blanche et la tenait par les pattes, la
tête en bas. La poule effrayée ne se débattait pas.

- Les poules ont un gros trou pour laisser passer les œufs.

Effectivement, certains des œufs que nous avions ramassés étaient plus
gros que le gland de David.

- Regardez comme c'est rigolo!

Chapitre 3 53
Perverse

David avait posé un doigt sur l'ouverture du cloaque qui se contracta. Il


répéta l'opération plusieurs fois. Nous riions en voyant l'orifice se fermer,
se relâcher, avoir des contractions. Puis la poule s'apaisa. Le cloaque resta
ouvert.

- Elle a envie que je lui mette le doigt, énonça doctement David.

- Tu vas lui mettre ton doigt?

- C'est comme quand je le fourre dans la chatte de ma tante. C'est chaud et


doux et tout humide.

Il avait planté complètement son doigt dans le cul de la poule.

- C'est vachement bon! J'aurais jamais cru.

Il fit mouvoir son doigt comme pour une masturbation. La poule restait
totalement impassible, sans doute trop effrayée pour réagir.

- Essaye! me dit-il.

A dire vrai je trouvais un peu répugnant de mettre un doigt dans cet orifice.
Mais la curiosité était (et est toujours) mon défaut majeur. Délicatement je
fis rentrer le doigt. Et je reconnais que c'était une sensation agréable. Ce
n'était pas comme dans mon cul, serré et sec, mais humide et souple.

Jean-Marc essaya à son tour.

- C'est vraiment comme la chatte d'une femme? demanda-t-il à David.

- Pas tout à fait, mais ça y fait penser.

David jetait des regards autour de nous. Il nous entraîna derrière le mur du
poulailler, à l'abri des regards indiscrets.

Chapitre 3 54
Perverse

- Qu'est-ce que tu vas faire? s'étonna Jean-Marc.

David avait ouvert sa braguette et sorti sa bite qui bandait.

- Je vais farcir la poule.

- Non, tu vas lui faire mal!

- Qu'est-ce que t'es con! Tu vois pas qu'elle demande que ça.

J'étais un peu sceptique sur l'envie de la poule de se faire fourrer une bite
humaine dans le cul, mais j'avoue que l'idée m'excitait terriblement de voir
ce qui allait se passer.

David avait posé son gland décalotté sur l'ouverture qui restait béante à
force d'avoir été forcée, large comme une pièce d'un euro. Il attira la poule
vers lui et à notre grande surprise la tige raide s'engloutit dans le ventre de
l'animal qui se mit à caqueter et à battre des ailes.

Mais David la tenait ferme. Il faisait aller et venir sa bite. La poule avait
renoncé à toute rébellion Passive, le regard stupide, elle laissait le garçon
prendre son plaisir.

- Je vais lui mettre une bonne giclé de sperme, grogna David.

Je connaissais son visage, et les crispations nerveuses qui l'agitaient quand


il éjaculait. Je sus tout de suite qu'il jutait, qu'il lâchait tout dans le cloaque.

Il relâcha la poule qui se secoua, et s'enfuit en caquetant.

- Trouve-t'en une pour toi, dit David à Jean-Marc. A celle-là je lui ai


tellement agrandi le trou que ta petite bite nagerait dedans.

- Non, dit Jean-Marc. J'ai pas envie de le faire. Regarde, ta bite est toute
sale! Cochon!
Chapitre 3 55
Perverse

David exhibait fièrement sa bite souillée.

- C'est vrai que ma bite est toute sale! Alors tu vas me la nettoyer avec la
langue!

Il essaya d'attraper Jean-Marc. Mais celui-ci était sur ses gardes. Il s'enfuit
à toutes jambes. On ne le revit plus de plusieurs jours.

Chapitre 3 56
Chapitre 4

Flavie en est encore à l'âge des découvertes. Elle me demande conseil. Je


m'efforce de lui répondre en spécifiant bien que chaque femme est
différente et que ce qui convient à l'une ne complait pas forcément à
l'autre.

- Tu aimes le faire par derrière? me demande-t-elle.

Je lui dis que j'adore ça. Elle a l'air surpris.

- Je ne comprends pas comment on peut aimer quelque chose qui fait si


mal.

Elle me raconte qu'elle a essayé plusieurs fois mais que ses tentatives n'ont
jamais pu aller plus loin que l'introduction du gland, et encore avec
beaucoup de difficultés.

- Après, m'avoue Flavie, j'ai l'impression qu'un fer rouge s'enfonce dans
mon cul. Tu crois que je suis anormale?

Je la rassure de mon mieux.

- Il y a des femmes qui sont faites pour être enculées et d'autres qui ne
pourront jamais. Moi, j'avais le cul tellement souple que j'aurais pu m'y
enfiler une bite de cheval.

Flavie éclate de rire. Elle m'imagine sodomisée par un étalon.

- C'est quand même gênant, murmure Flavie. Les garçons me regardent


bizarrement. Comme une anomalie.

Chapitre 4 57
Perverse

Flavie brûle de me demander quelque chose. Elle hésite. Pas trop


longtemps cependant. Nous n'avons pas de secret l'une pour l'autre.

- J'aimerais bien vérifier si ton trou du cul est vraiment plus souple que le
mien.

Décidément des jeunes gens d'aujourd'hui ont toutes les audaces.

- Ma petite-fille est complètement folle.

Flavie se fait câline. Elle sait que je ne peux pas lui résister. Elle en profite.

- Tu te rends compte, si quelqu'un t'entendait?

- Et alors? J'ai bien le droit de m'instruire, non?

Présenté de cette façon, il ne me reste plus qu'à m'exécuter. Je fais glisser


ma culotte.

- J'aimerais avoir un cul comme le tien, me dit Flavie en me flattant les


fesses qui restent effectivement très fermes pour leur âge et sans la
moindre trace de cellulite.

Je suis agenouillée sur le lit et j'écarte mes fesses à deux mains. Du bout du
doigt, Flavie apprécie l'élasticité de l'anus.

- Il y a plein de petites rides qui vont se perdre dans le cratère, constate


Flavie.

Elle fait pression avec son doigt qui, à sa grande surprise, glisse d'un trait
dans le conduit anal.

- Tu peux mettre plusieurs doigts, lui dis-je.

Chapitre 4 58
Perverse

- Je peux pas le croire, souffle Flavie en m'enfonçant trois doigts. Mon trou
est tellement étroit et tellement serré! Même le thermomètre me blesse.

Je déculotte Flavie. Elle a relevé ses jambes très haut, jusqu'à ce que les
genoux touchent les épaules. Quelle merveille de petit cul elle me
présente! Une pastille comme neuve, sans aucune boursouflure, à peine
colorée entre deux fesses rondes, fermes et lisses! Je tâte l'anus d'un doigt
léger. Il se contracte au moindre affleurement. Effectivement il me semble
incroyablement étroit. J'essaye d'y introduire la langue, en vain. Le
sphincter est dur comme du bois.

- C'est bon ce que tu me fais avec la langue, dit Flavie.

Je tente encore une fois de glisser un doigt, mais Flavie pousse un cri de
douleur.

- Pas la peine d'insister, soupire-t-elle.

Je suis de son avis. Même avec des litres de lubrifiant aucun homme ne
pourra jamais enculer ma petite-fille.

David était devenu un vrai tyran. Jean-Marc et moi devions le masturber,


le sucer, nous prêter à toutes ses lubies. Il n'avait pas abandonné l'idée de
nous sodomiser, l'un et l'autre, et nous avions beaucoup de mal à lui refuser
nos petits trous avec lesquels il adorait jouer. Quand nous étions chez lui il
nous fourrait avec le gode d'ivoire. Il avait même tenté de le faire avec le
gode de latex qui était soi-disant moulé sur un vrai sexe d'homme, mais la
taille du gland avait empêché toute pénétration malgré l'acharnement avec
lequel David avait agressé nos pastilles tendres. Nous avions eu mal au cul
pendant plusieurs jours.

Souvent, David, quand il n'éjaculait pas dans ma bouche, le faisait à


l'orifice de ma chatte ou de mon anus, en appuyant seulement le gland pour
écarter les tissus élastiques et balancer sa purée dans l'un ou l'autre conduit.
J'aimais la chaleur du sperme sur la muqueuse. J'aimais aussi, après,
Chapitre 4 59
Perverse

m'accroupir et regarder la semence dégouliner de mes trous.

Un samedi, alors que nous étions dans sa chambre, David m'avait ainsi
rempli la chatte par deux éjaculations successives.

- Accroupis-toi, me commanda David et fais tout couler dans la bouche de


Jean-Marc.

Celui-ci fit la grimace. Il n'aimait pas le goût du sperme. Cependant,


docile, il obéit et glissa sa tête entre mes cuisses. Je restai en appui sur mes
jambes pliées, ma fente à quelques centimètres de la bouche ouverte de
Jean-Marc, pour que David puisse voir les gouttes couler.

Le sperme était très épais. Il hésitait à tomber. Il restait en suspension,


arrêté au niveau des glandes, et formait une grosse glaire qui obstruait
l'entrée comme un tampon. Enfin la glaire se détacha, libéra le passage et
tout l'élixir se répandit..

Jean-Marc en avait plein la bouche, mais aussi plein le visage. Ses yeux
étaient collés.

David riait aux éclats.

- Vous êtes des dégueulasses tous les deux, se plaignit Jean-Marc en


recrachant le sperme dans la cuvette des WC et en se rinçant le visage avec
un gant de toilette.

Puis David nous fit participer à son nouveau jeu favori. Il branlait son
chien.

C'était un gros berger allemand qui avait pris goût à la chose et accourait
dès que David l'appelait. Il se mettait alors sur le dos et se laissait toucher
le sexe avec semblait-il beaucoup de plaisir.

Chapitre 4 60
Perverse

La première fois, je m'étais attendu à découvrir une bite un peu semblable


à celle d'un homme, avec un gland qui ressemblerait à un champignon,
mais j'avais été surprise en voyant sortir du fourreau poilu quelque chose
comme une grosse carotte informe, très rouge, pointue comme un chapeau
de sorcière.

David branlait alors l'animal jusqu'à ce que des jets de sperme fusent. Les
jets étaient puissants, longs, abondants. Parfois nous en avions plein les
vêtements, ce qui nous amusait beaucoup.

J'avais essayé moi aussi de masturber le chien, mais je n'étais jamais arrivé
à le faire juter.

- C'est pourtant pas difficile, soupirait David.

En quelques mouvements de poignets il arrivait à faire éjaculer l'animal.

David n'était jamais en mal de perversité quand il s'agissait de sexe.


D'autant plus qu'il avait à sa disposition deux souffre-douleur consentants
et ravis, la plupart du temps, de participer à ses jeux.

Ce jour-là David eut soudain une nouvelle idée.

- Suce la bite du chien, me dit-il.

- C'est trop sale, me récriai-je.

David haussa les épaules.

- C'est pas plus sale qu'une bite de garçon.

- C'est vrai, renchérit Jean-Marc. Et même ça sent moins mauvais.

Je reconnus que lorsque je touchais la bite de David ou celle de Jean-Marc


je gardais une odeur très forte sur les doigts alors que la tige du chien ne
Chapitre 4 61
Perverse

laissait pratiquement aucun relent désagréable.

Je protestai encore un peu, pour la forme. En fait j'étais très tentée par cette
longue langue rouge qui sortait de son fourreau, d'abord comme la pointe
d'un petit piment, pour devenir rapidement un gros légume.

J'approchai ma bouche. La seule odeur perceptible était celle du chien,


mais d'un chien très soigné, dont la toilette était faite régulièrement.

- Il y a des femmes qui se font mettre par des animaux, dit David comme
pour m'encourager à poursuivre.

J'avais déjà vu des photos, mais j'avais du mal à le croire.

- Vas-y! Fourre sa bite dans ta bouche!

J'avalai la tige d'un coup pour couper court à mes hésitations. L'enveloppe
extérieure était souple, presque molle, mais l'intérieur était dur, comme un
os, beaucoup plus dur qu'un sexe de garçon. Le goût ne me déplut pas.
J'étais très excitée comme toujours par le fruit défendu et je me mis à téter
l'engin à pleine bouche.

Pendant que je suçai le chien, David avait extrait sa bite de son pantalon.

- Toi, tu vas me sucer, ordonna-t-il à Jean-Marc.

En faisant la grimace, Jean-Marc obéit. Il était maintenant tout à fait


soumis à David et n'osait plus se rebeller. Il prit le gland de David dans sa
bouche et le téta consciencieusement.

David me caressait la raie, par l'échancrure de ma culotte. Je me creusai


légèrement pour lui permettre de plonger son doigt dans mon cul. Le doigt
entra facilement, jusqu'au fond. Je ne ressentais plus aucune douleur quand
il s'enfonçait ainsi. Au contraire, je trouvais l'introduction très agréable et
je mouvais ma croupe pour mieux sentir le doigt dans mon fondement.
Chapitre 4 62
Perverse

Le chien haletait.

- Il va cracher? demanda David.

- Je ne sais pas, dis-je la bouche pleine.

J'avais déjà constaté que le chien était beaucoup plus long que les garçons
à atteindre l'orgasme. Effectivement, David se répandait déjà dans la
bouche de Jean-Marc alors que le chien semblait encore loin de le faire
dans la mienne.

- Tu m'en as trop mis, se plaignit Jean-Marc en recrachant le sperme dans


le drap.

- T'es un gros sale! cria David.


Tu aurais pu aller cracher dans la salle de bain! Mes draps vont puer
maintenant!

- J'avais pas le temps, s'excusa Jean-Marc. Tu as lâché trop de jus dans ma


bouche et j'avais envie de dégueuler.

- Ta copine, au moins, elle avale! dit encore David. Mais si tu préfères, la


prochaine fois je juterai dans ton cul!

- Non, souffla Jean-Marc. Je préfère dans la bouche.

Tout à coup, la bite du chien se raidit, se contracta. Le liquide chaud jaillit


violemment, mais beaucoup moins épais que le sperme de David. Il avait
presque la consistance de l'eau. J'en gardai un peu dans ma bouche et je
laissai le reste s'épancher en jets saccadés sur ma robe.

- Quel pied! s'écria David.

Chapitre 4 63
Perverse

Jean-Marc riait comme le petit crétin qu'il était. Moi, j'étais surtout
tracassée pour ma robe.

- Quitte-là, dit David. On va la mettre à sécher sur le balcon.

- Et si tes parents arrivent?

- Mon père est en déplacement pour trois jours et ma mère rend visite à sa
tante qui est malade. Elle ne rentrera que tard dans la nuit.

Nous étions un mercredi, en début d'après-midi. Je me sentis un peu


rassurée et ôtai ma robe.

- Quitte aussi la culotte et fais-nous voir ta chatte!

J'avais l'habitude d'être nue devant les garçons, ce qui ne me provoquait


aucune gêne. Je retirai donc ma culotte, m'allongeai sur le lit, ouvrit grand
les cuisses pour les laisser jouer avec ma fente. Le chien vint me renifler.
J'eus un geste pour l'écarter, mais David le ramena vers moi.

- Il veut t'embrasser la moule, laisse-le faire.

Il ouvrit les lèvres de mon sexe pour offrir la muqueuse humide à la langue
du chien. Il me vint des frissons dans tout le corps. Cette langue n'avait
rien de comparable avec celle de David ou de Jean-Marc. Elle était
beaucoup plus longue, large et mobile, et surtout extrêmement râpeuse.

- Écarte bien tes cuisses!

Une incroyable sensation de chaleur m'envahit le bas-ventre. Le chien


lapait à grands coups de langue depuis le périnée jusqu'au clitoris.

- Des fois, je me fais lécher la bite, avoua David, et quand j'éjacule, le


chien lèche tout le sperme. Il en laisse pas une goutte. Je jouis vachement!

Chapitre 4 64
Perverse

Il se tourna vers Jean-Marc.

- Tu veux essayer? proposa-t-il.

Jean-Marc en avait effectivement très envie. Il avait sorti sa pine encore au


repos et la branlait vivement pour la faire bander.

- Laisse-moi faire, dit David.

Il prit la tige de Jean-Marc dans sa bouche et la téta goulûment, avec


beaucoup de salive. Il s'arrêta quand la bite eut pris suffisamment de
volume.

- Voilà, je crois que tu es prêt.

Le chien continuait de me lécher la moule à grandes lapées. A mon grand


regret, David le saisit par le collier et guida son museau vers la queue raide
et décalottée de Jean-Marc, me laissant en plan avec mes jambes ouvertes.
Aussitôt le chien se mit à lécher le nouvel objet qu'on lui présentait.

- Il faut que la langue râpe le frein, dit David. Le chien ne peut pas sucer
comme nous. Il ne tète pas.

Il tenait la bite de Jean-Marc d'une main, tirant sur la peau du prépuce afin
de tendre le frein au maximum. Je savais que de cette manière il ne faudrait
pas longtemps à mon copain pour éjaculer. De l'autre main, David guidait
la tête du chien pour que sa langue râpe bien tout le dessous de la tige.

- C'est bon! s'exclama Jean-Marc. Ça me fait plein de chatouilles!

Je me sentais un peu frustrée. Mais la vue de la scène me donnait aussi


beaucoup de plaisir. J'avais déjà éprouvé cette chaleur qui montait à ma
tête et cette faiblesse qui envahissait mes jambes. La même sensation
s'emparait de moi chaque fois que je me livrais à un acte supposé défendu.

Chapitre 4 65
Perverse

Je regardais de près cette énorme langue rouge qui s'activait sur la


membrane tendue comme une corde de violon reliant la peau du prépuce
au gland. Le petit sexe palpitait. Le gland avait pris une teinte sombre.
Jean-Marc tendait son bas-ventre, creusait ses reins. Ses mains
s'agrippaient nerveusement au drap.

Soudain, un jet de liquide translucide jaillit du méat, suivi de plusieurs


autres.

- Je coule! s'écria le garçon.

David et moi regardions très intéressés les jets successifs qui fusaient à
chaque contraction de la bite, le méat ouvert, le gland devenu très dur.

Le sperme avait coulé sur la main de David qui tenait toujours le membre
de notre copain. C'était un sperme très fluide. Le chien ne résista pas à
l'aubaine. En trois coups de langue il eut lapé l'éjaculation de Jean-Marc.

A ce moment, une voix retentit dans la maison.

- David? Tu es là?

Nous avions sursauté, comme des malfaiteurs pris en flagrant délit. Nous
ne savions que faire, où nous cacher. Moi surtout, qui était nue, ma robe
séchant sur le balcon. Vite je tentai de remettre ma culotte mais dans
l'affolement je n'arrivais pas à l'enfiler. Jean-Marc avait refermé
précipitamment sa braguette. David semblait indécis.

- Tu es là? insista la voix.

David nous fit signe de ne pas faire de bruit. Il nous désigna un grand
placard mural à porte coulissante qui servait de débarras. Silencieux, mais
inquiets, nous entrâmes tous les trois dans le placard. David referma la
porte.

Chapitre 4 66
Perverse

Presque aussitôt la porte de la chambre s'ouvrit.

- Il n'est pas là, fit une voix de femme. Il doit être chez ses copains.

Le chien se mit à aboyer joyeusement. De toute évidence il faisait fête à sa


maîtresse.

- Tu es là toi? s'étonna la mère de David. Pauvre bête! On t'avait laissé


enfermé dans la chambre!

- Il ne mord pas? s'inquiéta une voix d'homme.

- Non, il est très gentil.

La porte se referma.

- C'est ma mère, expliqua David à mi-voix.

- Et l'homme? C'est ton père?

- Non, je vous ai dit qu'il est parti pour trois jours. Il est représentant de
commerce.

- Alors qui c'est?

David haussa les épaules.

- Qu'est-ce que j'en sais moi?

Je m'empressai de récupérer ma robe sur le balcon et l'enfilai en vitesse,


ainsi que ma culotte.

- Comment on va faire pour sortir? s'inquiéta Jean-Marc.

Chapitre 4 67
Perverse

- C'est facile, le rassura David. Je connais le chemin. Il suffit de sortir sur


le balcon et de passer sur la grosse branche du platane qui est juste
dessous. Après on descend de branche en branche et on arrive dans la cour.

- Ce n'est pas dangereux?

Jean-Marc ne paraissait pas très rassuré. Je passai donc la première. Je


n'avais pas mon égale pour me mouvoir dans les arbres.

- Attends-moi, chuchota Jean-Marc.

David fermait la marche.

De la plus basse branche nous avions vue sur la cuisine éclairée par une
grande baie vitrée. La mère de David expliquait à l'homme qui
l'accompagnait que son lave-vaisselle ne fonctionnait plus.

- C'est le réparateur, nous dit David.

- Vous voyez, disait la femme, quand je le mets en marche, rien ne se


produit.

La mère de David était une très belle femme d'une quarantaine d'années,
brune, assez grande, dotée d'une forte poitrine et d'un cul très proéminent.
Elle portait ce jour-là une minijupe qui lui arrivait au ras des fesses - ce qui
lui permettait de montrer sa petite culotte blanche chaque fois qu'elle se
baissait un tant soit peu - et un corsage presque transparent qui ne cachait
rien de sa poitrine sans soutien-gorge.

L'homme avait ouvert le lave-vaisselle et s'était agenouillé pour regarder


soi-disant à l'intérieur. Mais, nous autres, sur la branche du platane, nous
nous rendions parfaitement compte que son regard cherchait par-dessous
l'entrejambe de la femme. Celle-ci s'en aperçut également et tira
légèrement sur le devant de sa jupe pour masquer le triangle de sa culotte.

Chapitre 4 68
Perverse

- J'ai bien peur, dit l'homme, que ce ne soit assez grave. Il faudrait
transporter l'appareil à l'atelier.

- C'est très embêtant dit la mère de David. Alors je vous ai fait venir pour
rien?

- Pour rien... c'est pas sûr, répondit l'homme.

- Enfin, dites-moi combien je vous dois pour le dérangement.

L'homme réfléchit.

- Vous me faites une pipe et ça ira, finit-il par dire.

- De quoi? s'indigna la femme. Comment osez-vous?

- Ben quoi? Si je vous facture le déplacement ça va vous faire dans les cinq
cents euros. Vous me sucez la bite et vous aurez économisé cinq cents
euros.

- Vous avez de la chance que mon mari ne soit pas là!

- C'est justement pour cette raison que je vous propose ce petit


arrangement. Vous me faites une petite gâterie, personne n'en saura jamais
rien, et votre budget ne sera pas grevé.

- Quel culot!

L'homme avait ouvert son pantalon et sa bite était sortie comme mue par
un ressort. C'était une tige assez longue, recourbée vers le haut comme un
arc.

- Aussi c'est votre faute, ajouta l'homme. Avec votre jupe au ras des fesses
vous m'avez fait bander.

Chapitre 4 69
Perverse

- Vous ne croyez tout de même pas que je vais vous sucer le nœud?

- Mais si, justement. Et peut-être même qu'après je vous enculerai.

- De mieux en mieux!

La femme s'était reculé, comme consciente tout à coup du danger qu'elle


courrait.

Sur la branche de l'arbre, nous étions scotchés tous les trois. C'était bien
mieux que la télévision.

L'homme avait décalotté son gland et tenait sa bite d'une main.

- Je vous préviens que je vais hurler au secours, dit la mère de David en


retrouvant un peu ses esprits.

- Quoi? Elle ne te plaît pas ma bite?

- La question n'est pas là.

- Ah! Vous n'aimez pas sucer?

La femme haussa les épaules.

- Si, j'adore. Mais je ne suce pas la première bite venue.

- Mais ce n'est pas la première venue, s'indigna le réparateur.


C'est du vingt-trois centimètres! Et ça a déjà tourné au cinéma!
Parfaitement.

La femme regardait la bite que l'homme branlait doucement.

- Vous faites du cinéma?

Chapitre 4 70
Perverse

- Pas moi. Ma bite seulement.

- Je ne comprends pas.

- Dans certains films, quand il y a des gros plans c'est Popol qui apparaît.
Mais pour le reste c'est un acteur.

L'homme avait accéléré sa masturbation.

- Alors? Vous vous décidez? Pensez que ce sont cinq cents euros vite
gagnés!

La mère de David donna l'impression d'hésiter. Elle regarda autour d'elle.

- C'est que mon fils pourrait arriver à l'improviste.

- Vous m'avez dit vous-même qu'il était chez des copains.

- Je n'en suis pas certaine.

L'homme s'était approché de la femme.

- Alors ne perdons pas de temps.

- Mais... vous ne vous lavez pas la queue avant?

- Ma queue est parfaitement propre. Vérifiez vous-même.

Il avait pris la main de la femme et d'autorité lui avait fourré la verge


dedans. La femme ne se rebella pas. Au contraire, d'un mouvement léger
elle entreprit de faire coulisser le membre dans sa main.

- Je suis folle de vous écouter, murmura-t-elle.

- Mais non, c'est que vous en avez autant envie que moi.
Chapitre 4 71
Perverse

- Mais... vous voulez que je le fasse là? Dans la cuisine?

- Pourquoi pas?

- Comment?

L'homme leva les yeux au ciel en signe d'exaspération.

- T'es pas un peu nunuche? Tu t'agenouilles et tu te fourres la saucisse dans


la bouche. Après... C'est quand même pas la première fois que tu suces? Tu
dois savoir comment faire.

La mère de David s'agenouilla devant la bite en érection.

- Bon, mais alors vite! Ne traînez pas!

- D'accord, dit le réparateur qui avait saisit la femme par les cheveux et
tentait d'approcher sa tête de la verge raide.

La mère de David absorba le gland. Elle l'enveloppa de sa langue qu'elle


faisait remonter le long de la hampe. Avec la pointe elle dessinait le
contour du gland, suivait le frein. Puis brusquement elle avalait la colonne
palpitante dont une bonne partie disparaissait dans sa bouche. De la salive
abondante coulait le long de la tige.

De dehors nous percevions les soupirs de l'homme et les bruits de bouche.

- Qu'est-ce que tu suces bien! On voit que t'as l'habitude!

La mère de David avait le regard vide, les mâchoires contractées.

- Ta bite est bonne! éructa-t-elle.

- Tu suces pas ton mari?


Chapitre 4 72
Perverse

- Si, mais il n'est pas souvent là.

- Je comprends. Tu es en manque.

Il releva la femme qui abandonna la pine avec regret, et il chercha sa


bouche. Je vis les langues qui se cherchaient, s'enveloppaient.

La main de l'homme se glissa sous la minijupe et tira sur le slip qu'il fit
descendre jusque sous les fesses. La femme se trémoussa, ondula du bassin
et le petit triangle de tissu glissa le long de ses jambes.

- On voit son cul, dit Jean-Marc à voix basse.

- Tais-toi, ordonna David sur le même ton. Il faut pas qu'on nous entende.

L'homme avait glissé sa main entre les cuisses de la femme.

- Salope! Tu mouilles comme une cochonne! Le jus te coule le long des


cuisses!

- J'ai trop envie, dit la mère de David. Fourre-moi ta queue! Ramone-moi


la cheminée.

Elle avait changé de voix. Alors que d'ordinaire elle avait une voix douce,
mélodieuse, tout à coup nous percevions une voix roque, au rythme haché,
vulgaire, obscène.

- Bourre-moi, je te dis!

Elle entraîna l'homme vers la table de la cuisine, le tenant d'une main par la
queue tandis que de l'autre main elle se déshabillait. Ce qui fut vite fait. Un
seul bouton-pression maintenait la minijupe. Quant au corsage il était déjà
plus qu'à moitié déboutonné.

Chapitre 4 73
Perverse

- Elle est belle ta mère, soufflai-je à l'oreille de David.

- Et elle a de sacrés nichons! s'extasia Jean-Marc.

- Vos gueules!

Je m'aperçus tout à coup que David avait sorti sa bite et qu'il se masturbait
tout en regardant sa mère allongée nue sur la table de la cuisine.

C'est vrai qu'elle avait des gros seins. On aurait dit deux ballons de
football. Les aréoles en étaient très larges, presque noires, d'aspect
granuleux, et les pointes très longues, érigées comme de petits pénis.

- Elle a pas de poils, s'étonna Jean-Marc pour qui toutes les femmes adultes
devaient être poilues.

- Elle se rase, expliqua David. Je l'ai déjà vu faire.

La mère de David était allongée sur la table de la cuisine, les jambes


pendantes, ouvertes à l'équerre. D'où nous étions nous avions une vue
plongeante sur sa chatte. Le capuchon du clitoris, extrêmement saillant
ressemblait à une grosse crête de coq et les lèvres entrouvertes pendaient
comme deux grosses tranches de viande rouge. Les nymphettes étaient
dentelées, comme déchiquetées et la muqueuse luisait d'un lubrifiant épais.
Une grosse glaire blanche s'était formée à l'entrée de la grotte.

Le réparateur, à deux mains, écarta complètement les lèvres.

- Laisse-moi boire ton jus!

- Oui, mais vite! dit la femme. J'ai peur que quelqu'un arrive.

L'homme s'était agenouillé entre les cuisses ouvertes. La moule gluante


arrivait exactement au niveau de sa bouche. Nous vîmes sa tête se caler
dans l'équerre des cuisses blanches, puis s'agiter de haut en bas.
Chapitre 4 74
Perverse

- Il boit le jus de la moule, nous expliqua David.

- Mon père fait pareil à ma mère, ajouta Jean-Marc.

Je ne pouvais malheureusement pas ajouter mon grain de sel. Il m'était


totalement impossible d'imaginer mon père en train de laper la vulve de ma
mère. Pour moi mes parents n'avaient même pas de sexes.

La mère de David, s'était mise à gémir, puis à pousser de véritables cris de


bête sauvage.

- Ça lui fait mal? m'inquiétai-je.

- T'es trop con, dit David en haussant les épaules.


Ça te fait mal à toi quand on te lèche la mounine?

- Non, c'est bon.

- Pour ma mère c'est pareil, mais beaucoup plus fort. Quand elle jouit, on
l'entend jusque dans la rue.

La femme avait saisi la tête du réparateur et la pressait contre sa chatte,


comme si elle avait voulu la faire entrer dedans.

- C'est bon, tu me fais jouir ordure! cria-t-elle. Vas-y! Suce-moi le clitoris!


Fourre-moi un doigt dans le cul!

L'homme obéit. Il glissa une main sous les fesses de la femme et son doigt
disparut dans les profondeurs de l'anus.

- Tu aimes qu'on te fourre par le cul? demanda-t-il.

- J'adore. Quand mon mari me suce, il me défonce aussi l'anus avec un


gode et je jouis comme une salope.
Chapitre 4 75
Perverse

L'homme, sans cesser de lécher la viande baveuse, faisait coulisser son


doigt dans le fourreau étroit.

- Je suis complètement folle, gémissait la femme. Si quelqu'un entrait...

Elle s'agrippait aux cheveux du réparateur, à les lui arracher.

- On n'a pas le temps de fignoler, soupira-t-elle. Bourre-moi maintenant.


Enfile-moi ta queue.

L'homme comme à regret quitta l'entrecuisse écartelé.

Nous vîmes son visage luisant de mouille. Des gouttelettes restaient


suspendues à son menton et le tour de sa bouche était maquillé de blanc.

La chatte de la femme baillait comme une huître. Les lèvres s'étalaient de


chaque coté comme les ailes d'un papillon. Le trou béant se contractait en
spasmes nerveux. Il débordait d'un liquide sirupeux.

Il me sembla que la bite de l'homme était encore plus longue et plus dure
depuis qu'il avait bu la liqueur vaginale. Il se la branlait doucement en
contemplant l'orifice offert. La tige tressautait dans sa main. Un
bouillonnement blanchâtre sourdait à l'extrémité du gland qu'il approcha
du vestibule. Nous le vîmes donner un violent coup de rein. La mère de
David poussa un hurlement sauvage.

- Il a foutu sa pine dans le vagin, nous expliqua encore David.

Aux mouvements de l'homme nous comprenions qu'il faisait dans la chatte


de la femme des va-et-vient rapides.

Celle-ci avait relevé ses jambes. L'homme passa ses bras dessous.

Chapitre 4 76
Perverse

- Oh! Oui! cria la femme. Dans cette position tu vas plus profond! Je sens
ta pine qui cogne au fond de moi. Vas-y! Plus fort! Baise-moi! Lime-moi!

La mère de David devenait véritablement hystérique. Elle se trémoussait


sur la table, ses mains agrippées à la taille de l'homme, donnant elle-même
le rythme de la pénétration, réglant les va-et-vient du piston de chair. Ses
pieds étaient secoués de spasmes nerveux.

Un long cri, un cri interminable, aigu, assourdissant s'exhala de sa poitrine.

- Je jouis! Bourre! Défonce-moi!

La table tanguait sous la violence des coups de boutoir que donnait


l'homme et l'agitation frénétique de la femme.

- J'ai peur, dis-je. Tu es sûr qu'elle est pas malade?

- Bien sûr idiote. C'est seulement l'orgasme.

La mère de David se calmait peu à peu, mais sa respiration restait


haletante. Cependant ses pieds avaient cessé de s'agiter. Seul l'homme
poursuivait ses mouvements.

- Ne jute pas dans ma chatte, ordonna la mère de David. Je prends pas la


pilule. Éjacule dans mon cul.

Précipitamment l'homme sortit sa bite.

- Je pars! cria-t-il. Je coule!

- Vite! Fourre ta bite!

L'homme avait saisi la saucisse, luisante, palpitante. De la main il la guida


vers l'anus, déjà lubrifié par tout le jus qui avait coulé de la chatte. Il
s'enfonça d'un trait.
Chapitre 4 77
Perverse

- Tiens! Prends tout!

- Ah! C'est chaud dans mon cul! Vas-y! Fais-moi le plein de super!

L'homme se cramponnait aux cuisses de la femme. A ses mouvements je


comprenais que le sperme jaillissait par saccades. J'aurais même pu
compter les jets. J'avais pris une telle habitude avec David et Jean-Marc.
Une bite en train de cracher son jus n'avait plus de secret pour moi.

- Vous êtes un beau salaud! disait la mère de David en se rhabillant à la


hâte. Maintenant il faut que j'aille au WC avant que le sperme coule de
mon cul.

- Vous êtes un coup d'enfer! disait le réparateur en s'essuyant la verge avec


une serviette en papier.

- Venez plutôt dans la salle de bain pour vous laver la queue, proposa la
femme. Elle est pleine de merde.

Tous deux sortirent de la cuisine.

Sur notre branche, nous étions tous les trois extrêmement troublés par le
spectacle auquel nous venions d'assister.

Chapitre 4 78
Chapitre 5

Flavie arrive avec un gode de latex que je reconnais tout de suite. C'est
celui que je garde dans le tiroir de ma table de nuit.

- Tu te sers de ce genre d'objet? s'étonne Flavie.

Je prends un air résigné qui la fait rire.

- Quoiqu'on en pense, la ménopause n'amoindrit pas le désir. Par contre à


cet âge-là on a de plus en plus de mal à trouver des hommes encore en état
de marche.

- Je ne te crois pas, dit Flavie. Je connais même quelques copains qui


tremperaient bien leur biscuit dans ta moule baveuse.

- Comment tu parles à ta grand-mère!

- En fait, conclut Flavie, tu es aussi vicieuse que moi.

- Non, c'est toi qui es aussi vicieuse que moi. Tu as tout pris de ta
grand-mère.

- Tant mieux, s'écrie Flavie en m'embrassant.

Elle ouvre l'échancrure de sa culotte et pose le gland de latex dans sa


conque humide. Elle donne une petite pression et le gode s'enfonce.

- C'est super, murmure Flavie en mettant en marche le vibrateur.

Il y a quelque chose d'obscène dans ces grosses couilles de plastique


luisant collées au bas-ventre de ma petite-fille. Mais le regard limpide de

Chapitre 5 79
Perverse

Flavie reflète une telle candeur que la masturbation avec un gode devient
un geste parfaitement naturel.

Flavie fait rentrer et sortir le gode luisant de mouille, sans complexe, sans
aucune pudeur. Le ronronnement du moteur fait naître des picotements
dans ma chatte. J'envoie la main dans mon entrejambe. Je suis inondée. Je
rentre trois doigts qui produisent en se mouvant un ignoble clapotis.
L'odeur très forte nous monte au nez. Nous fermons les yeux, alanguies,
totalement heureuses. Une minute d'éternité.

David continuait à nous raconter complaisamment les relations qu'il


entretenait avec sa tante. Nous ne le prenions guère au sérieux car à
plusieurs reprises nous avions eu la preuve de son penchant pour la
mythomanie.

Il me demandait souvent de lui prêter la cabane pour y venir avec la tante


en question, sœur de sa mère, et qui s'appelait Élise. Je n'y voyais aucun
inconvénient à condition que cela se passe en l'absence de mes parents.
Mais comme jamais la tante Élise ne venait, Jean-Marc et moi avions
vraiment fini par croire que tout cela n'était qu'invention de la part de
David.

Un après-midi, alors que je venais d'absorber la semence de Jean-Marc,


David arriva accompagné de la fameuse tante Élise. En fait c'était une
toute jeune fille, un peu plus jeune que moi, avec des seins ronds et fermes
qui tendaient la toile de son corsage et des fesses proéminentes qui
soulevaient sa jupe par-derrière. Elle était brune, cheveux coupés court,
avec des traits un peu ingrats et un regard inexpressif qui ne reflétait pas
une vive intelligence.

- C'est ma tante, nous annonça David.

Il me fallut un peu de temps pour m'habituer à cette idée. Pour moi une
tante était forcément quelqu'un d'âgé. C'est à dire quelqu'un ayant au moins
l'âge de mes parents.
Chapitre 5 80
Perverse

- C'est super cette cabane! s'exclama bêtement Élise.

- C'est mon père qui l'a faite, expliquai-je.

- Tu avais dit que tu nous la prêterais... dit David.

J'étais un peu irritée. Oui, je l'avais dit, mais en pensant que David et sa
tante ne viendraient jamais. J'étais de mauvaise humeur. Par-dessus tout, le
fait de ne pas avoir été avertie à l'avance, d'être en quelque sorte mise
devant le fait accompli, me dérangeait.

- Bon, dis-je un peu à contrecœur. Avec Jean-Marc on va aller voir la


télévision dans ma chambre.

Le neveu et la tante étaient en train d'échanger un long baiser. Je voyais la


langue d'Élise qui s'agitait, comme une langue de serpent, toute humide de
salive, elle fouillait la bouche de David. C'était écœurant. Bizarrement, moi
qui suçais des bites et avalais sans honte le sperme de mes deux copains,
moi qui avais même sucé la pine d'un chien, ce baiser me donna
l'impression de quelque chose de répugnant, d'abject.

Nous allions partir avec Jean-Marc quand Élise nous retint.

- Vous pouvez rester.

David ne semblait pas très heureux de la proposition. Sans doute pensait-il


qu'avec nous présents son après-midi était foutu. Il le pensa encore plus
quand Élise eût trouvé un de mes jeux de société.

- Si on jouait tous les quatre? J'adore ce jeu.

David arborait une drôle de tête.

Chapitre 5 81
Perverse

Nous fîmes cependant quelques parties. Je constatai que David s'efforçait


de perdre pour être plus vite débarrassé de ce qu'il considérait comme une
corvée alors qu'il avait d'autres projets en tête. Et j'étais ravie de le
contrarier.

- Bon, finit-il par dire excédé, j'ai plus envie de jouer.

- Alors qu'est-ce qu'on fait? demanda Élise.

David et Élise étaient assis côte à côte sur le divan, moi sur une chaise et
Jean-Marc à même le sol. Nous n'avions pas vraiment d'idées.

David s'amusait à soulever la jupe d'Élise.

- Arrête, disait-elle en rabattant prestement le pan de tissu.

Il lui touchait les seins par-dessus le corsage de fine toile.

- Montre-nous tes seins.

- Tu es fou? Pas devant eux!

- Qu'est-ce que t'en as à faire? C'est des copains.

- Quand même!

David avait passé une main par l'ouverture du corsage et palpait les globes
libres de toute entrave.

- Arrête, je te dis! Tu vas tout déchirer!

- Alors ouvre-le.

Élise soupira. Déjà David avait dégrafé, maladroitement deux boutons. A


contrecœur, la fille acheva de déboutonner le corsage dont elle écarta
Chapitre 5 82
Perverse

largement les deux pans.

Ses seins me parurent énormes en comparaison des miens. Ils étaient très
ronds, bombés par en dessous, avec des aréoles pratiquement inexistantes,
à peine marquées, et deux pointes de la grosseur d'un petit pois. Tout de
suite je me sentis des fourmis dans les mains et la salive afflua dans ma
bouche. J'avais envie de toucher ces seins! De les pétrir! D'en sucer les
bouts!

David avait pris les globes dans ses mains et les malaxait. Son visage
reflétait cette expression dure qui l'enlaidissait quand il éprouvait un désir
pervers, sale, quand lui venait une idée biscornue.

- Tu veux toucher? proposa-t-il à Jean-Marc.

- Ah non! s'indigna Élise. Je suis pas une pute!

. Allez! Sois cool! Laisse-le toucher.

Élise leva les yeux au ciel et soupira.

- Qu'est-ce que t'es chiant! Bon, d'accord!

Jean-Marc était devenu tout rouge. Il avança timidement les mains et palpa
les globes offerts. Elise gardait les yeux au ciel, exaspérée, comme si elle
voulait rester étrangère à ce qui se passait.

- Bon, assez! décida-t-elle tout à coup en repoussant les mains de


Jean-Marc. Tu sais pas toucher et tu me fais mal.

Elle rabattit les pans de son corsage, à ma grande déception.

- Attends, fit David comme s'il avait deviné mes pensées.

Il se tourna vers moi.


Chapitre 5 83
Perverse

- Tu veux toucher, toi aussi?

J'acquiesçai de la tête.

- Qu'est-ce que vous êtes casse-pieds! soupira Élise en ouvrant de nouveau


son corsage.

Elle reprit sa contemplation du plafond.

Les seins d'Élise étaient fermes et souples à la fois, comme ces matières
synthétiques qui inexplicablement donnent tant de plaisir à les toucher.
Mais en plus ils étaient vivants, semblables à deux petits animaux douillets
et chauds. Cette chaleur, tout de suite, me donna une bouffée de fièvre.
Une onde électrique parcourut ma colonne vertébrale et vint chauffer ma
nuque. Je m'aperçus qu'il se passait quelque chose aussi dans le corps de la
fille qui avait fermé les yeux et respirait un peu plus fort.

David avait pris la pointe d'un sein dans sa bouche et la tétait goulûment.
J'en fis autant avec l'autre sein.

A peine mes lèvres s'étaient-elles posées sur le globe rond, qu'Élise poussa
un long soupir. Je sentis son corps se tendre. Elle repoussa la tête de
David.

- Pas toi! Seulement elle!

Elle avait entremêlé ses doigts dans mes cheveux et pressait ma tête contre
elle. Elle ronronnait comme une chatte.

Un peu dépité, David avait glissé sa main sous ma jupe et cherchait mon
anus pour y introduire un doigt. Je me creusai pour faciliter le passage. Il
donna une poussée brutale mais je n'en ressentis aucune douleur. Mon cul
était visité si fréquemment par les doigts de mes deux copains ou par le
gode d'ivoire, qu'il était devenu extrêmement souple.
Chapitre 5 84
Perverse

J'embrassais les tétons d'Elise, les mouillais de ma langue chargée de


salive, tout en les pétrissant de mes mains.

Cependant, David se lassait vite de ne pas être le héros de la fête. Il


m'écarta d'Élise et lui souleva la jupe.

La fille encore troublée par l'émotion qu'elle venait de ressentir ne réagit


pas.

Elle portait une petite culotte rose agrémentée d'un nœud sur le devant.
David entreprit de la lui quitter. Elle ne dit rien et souleva même
légèrement ses reins pour que le triangle de tissu glisse plus facilement le
long de ses jambes.

David respira longuement le sous-vêtement qu'il tenait en boule dans sa


main.

- Ta culotte sent la pisse, dit-il.

Il passa la culotte sous le nez de Jean-Marc.

- Sens!

- Oui reconnut Jean-Marc, elle a dû pisser dans sa culotte.

- Vous êtes trop cons, s'indigna Élise. D'abord c'est pas de la pisse, c'est de
la mouille.

Moi je demeurais fascinée par l'entre jambe de la fille.

Sa chatte ressemblait un peu à la mienne. C'était juste une fente au


bas-ventre, lisse, nette, une fleur pas encore épanouie. On ne percevait
même pas l'amorce de la capuche qui recouvre le clitoris. Par contre la
motte était merveilleusement bombée. Aujourd'hui encore, après tant
Chapitre 5 85
Perverse

d'années et tant de rencontres, je ne crois pas avoir jamais vu une motte si


rebondie. Le coussinet graisseux enveloppait même la fente et se coulait
dans la raie du cul, gardant les deux orifices comme des joyaux dans un
écrin. Une épaisse toison sombre et frisée recouvrait le pubis.

J'envoyai la main pour toucher cette broussaille douce et soyeuse. Mais


David me repoussa.

- Regarde l'intérieur de sa foufounette!

Élise avait ouvert grand l'équerre de ses cuisses. David écarta les lèvres de
la blessure sexuelle et la muqueuse rosée apparut, cloquée, tapissée d'une
épaisse couche de mucus.
Les lèvres étaient presque inexistantes, du moins en comparaisons de
celles que j'avais déjà vues dans les films de mon oncle ou dans des revues
pornographiques. Je pensai aussi à la mère de David et à sa moule
épanouie, obscène de tant de viande étalée.

- Montre-nous le clito, fit David qui jouait avec les glandes gardant l'entrée
du vagin.

Élise porta les mains à son bas-ventre et tira la peau en arrière. Le fin
capuchon se retroussa et une petite bille ronde apparut dans la lumière. Je
hasardai un doigt pour l'effleurer. Le corps de la fille se contracta. Elle
resserra vivement ses cuisses, d'un mouvement incontrôlé. Puis elle les
ouvrit, très lentement. C'était comme une invite à continuer.

- Approchez, nous dit David. Qu'est-ce que vous dites de l'odeur?

- On dirait du poisson, énonça Jean-Marc.

Il promenait son nez à deux centimètres de la vulve ouverte. Quant à moi


je respirais voluptueusement le doigt que j'avais trempé dans la fente.

Chapitre 5 86
Perverse

- Ma tante a une grande conasse! Beaucoup plus grande que la tienne, me


dit David.

Il venait d'introduire un doigt dans la grotte et l'agitait en produisant un


bruit de mouillé.

- Tu exagères, souffla Élise

Cependant elle creusa ses reins comme une invite à poursuivre.

David ajouta un deuxième doigt dans la chatte de sa tante, puis un


troisième. Élise avait l'air de plus en plus idiot. Son regard sans expression
reflétait une sorte de vide, comme si toute pensée avait quitté son corps
abandonné au bon plaisir de trois adolescents vicieux.

Pendant que David faisait coulisser ses doigts dans le fourreau souple et
humide, Jean-Marc jouait avec la pointe des seins. Moi, j'étais attirée par le
clito qu'Élise faisait saillir en pressant sur le capuchon. J'hésitais. Je voyais
les doigts de David entrer et sortir en cadence de la plaie ouverte, gluants
de mouille. Ces va-et-vient sublimaient l'odeur forte de marée qui me
faisait tourner la tête.

Je m'enhardis jusqu'à poser mes lèvres sur la petite bille. Élise tressaillit de
nouveau mais ne referma pas ses cuisses cette fois. Au contraire elle
cambra les reins comme pour mieux jouir d'une caresse trop superficielle.
Je tentai une timide approche avec la langue.

Élise émit une sorte de feulement et posa une main sur ma nuque qu'elle
pressa. Les doigts de David se mouvaient sous mon nez libérant des
effluves enivrants.

- J'ai envie de tremper mon biscuit, annonça David. Je vais fourrer le con
de ma tante avec ma grosse bite.

- Non! Je veux pas! se récria Élise.


Chapitre 5 87
Perverse

- Allez! Sois chic! Laisse-moi te la mettre!

- Non, fit encore Élise d'une voix ferme.


Je veux plus que tu me le fasses.

- Pourquoi? s'étonna le garçon.

Élise hésita un moment à répondre. Puis elle se décida.

- C'est trop risqué. Je ne veux pas me retrouver enceinte. Ou alors tu mets


une capote.

- J'ai pas de capote. Mais je me retirerai avant de juter.

Élise n'était pas vraiment convaincue.

- Tu dis ça et puis après tu peux pas te retenir et tu lâches tout ton jus dans
la chatte.

- Alors laisse-moi venir dans ton cul, insista David.

Élise soupira.

- Qu'est-ce que tu es pénible! Tu sais que j'aime pas me faire mettre par le
derrière.

- Allez! Laisse-toi faire. Je te promets d'aller très vite.

- Vite ou pas vite, tu vas encore me faire mal, gémit Élise.

- Ma petite tante chérie, laisse-moi t'enculer. J'en ai trop envie. Même que
ma bite est douloureuse.

- Bon, mais tu me mouilles d'abord avec ta langue.


Chapitre 5 88
Perverse

Élise s'agenouilla, la croupe haute, offerte. A deux mains elle écarta ses
fesses. L'anus était très proéminent, comme le cône d'un petit volcan, un
peu brunâtre, entouré lui aussi par le bourrelet graisseux qui continuait la
motte et bordait la fente sexuelle.

- Oh! Le joli cul de ma petite tante! bêtifia David en posant un doigt sur le
cratère qui se contracta aussitôt.

- Mouille d'abord, dit Élise.

C'était très excitant de voir ce trou du cul ainsi exposé à notre convoitise.
Personnellement je n'en ressentais qu'une onde de chaleur, indéfinie,
provoquée surtout par le sentiment coupable d'assister à quelque chose de
pervers, d'interdit. Chez Jean-Marc par contre l'effet était plus visible, plus
concert. Il avait ouvert son pantalon pour libérer sa queue raide et dure. Il
se branlait doucement pendant que la langue de David chargeait de salive
l'anus d'Élise.

Bientôt David se releva, le visage ruisselant. Lui aussi avait sorti sa bite
qui autant en grosseur qu'en longueur était bien double de celle de
Jean-Marc.

- Mouille encore, conseilla Élise en regardant avec quelque angoisse


par-dessus son épaule ce manche raide et dur, prêt à la perforer.

David se tourna vers Jean-Marc.

- Vas-y, toi! Bouffe-lui l'oignon!

Jean-Marc ne se fit pas prier. Son visage s'enfouit entre les deux fesses
écartées.

- Essaye de rentrer la langue, demanda Élise.

Chapitre 5 89
Perverse

- Laisse-moi faire un peu, demandai-je, lassée de regarder en simple


spectatrice.

Jean-Marc me laissa la place.

Je plongeai voluptueusement dans la vallée inondée de salive, tiède,


odorante. J'aspirai le relief de la rondelle brune tout en poussant ma langue.
Tout de suite je m'aperçus que la bague d'Élise était dure, contractée, pas
du tout aussi souple et élastique que la mienne. Je compris pourquoi la
tante de David n'aimait pas se faire enculer.

C'était la première fois que je léchais un cul. J'en ressentais un plaisir


trouble, certainement malsain. J'aurais voulu ramoner la muqueuse sur
toute sa longueur mais l'étroitesse du conduit ne me permettait pas d'aller
bien profond malgré mes efforts. Je le déplorais un peu. Néanmoins c'était
un super pied.

David avait continué à se toucher la bite, laquelle avait atteint à présent sa


taille et sa raideur maximale. Le gland était décalotté, rouge, gluant.

- Je vais te bourrer le cul, dit David à sa tante.

En même temps il me repoussa et prit ma place derrière Élise.

- Fais doucement! s'inquiéta la fille.

David venait de poser la pointe de sa bite sur le cratère du petit volcan. Il


tenait son membre d'une main ferme. Il poussa légèrement. Je voyais les
tissus se tendre, s'écarter, absorber une bonne moitié du gland.

- J'ai mal! hurla Élise. J'ai trop mal! Laisse-moi!

- Arrête de crier, dit David.


C'est quand même pas la première fois que tu te fais enculer. Toute la
classe y est passée.
Chapitre 5 90
Perverse

- Mais j'aime pas, gémit Élise. J'ai jamais aimé. Et ça fait toujours aussi
mal.

David continuait à pousser, mais sans grand résultat. La peau distendue


était devenue rouge.

- Ne serre pas ton cul! s'énerva David.

- J'y peux rien. Arrête! Je te sucerai si tu veux.

- Non, rétorqua David un sourire mauvais au coin des lèvres. Je veux juter
dans ton trou.

- Alors jute sans t'enfoncer.

Mais David jouissait trop de la douleur qu'il provoquait pour ressentir la


moindre compassion. Il donna un violent coup de rein et le gland disparut
d'un trait, absorbé comme par une bouche.

Élise hurla de plus belle.

- J'ai mal! Salaud! Tu m'as déchirée!

Elle s'agitait, tentait de se dégager, d'expulser ce pieu qui la torturait, mais


David la maintenait ferme et toutes ses gesticulations n'arrivaient qu'à
augmenter sa douleur. La peau distendue faisait comme un manchon qui
s'était refermé derrière la base du gland.

- Arrête de gueuler! dit David. Le plus dur est passé.

Il poussa encore. Mais le sphincter d'Élise était si resserré que la tige ne


pouvait coulisser.

Élise avait les yeux pleins de larmes.


Chapitre 5 91
Perverse

- Ne va pas plus loin! Tu vas me faire saigner! J'ai mal!

Mais aucune supplique n'était capable d'arrêter David que cette résistance
excitait au plus haut point.

Je commençais à m'inquiéter des cris déchirants que poussait la pauvre


Élise. D'abord parce que j'avais peur qu'ils n'alertent quelqu'un mais aussi
parce qu'ils faisaient naître en moi un sentiment de panique. Panique
devant la douleur des autres, mêlée à - il faut le reconnaître - une certaine
volupté a voir souffrir. C'était le plaisir trouble de ceux qui jadis se
repaissaient des tortures infligées en place publique aux condamnés, roués,
écartelés, empalés.

- Tu es un salaud! Tous les hommes sont des salauds, se lamentait Élise.

Tout à coup, ce fut comme si une barrière avait cédé. La bite glissa d'un
trait et disparut. Les cris d'Élise redoublèrent. Mais David n'en tenait aucun
compte. Son visage, déformé par le désir, la jouissance qui naissait dans
ses couilles et le plaisir de faire souffrir, était horrible à voir.

Avec violence le garçon poursuivait des mouvements de piston. La bite


entrait et sortait du fourreau et le ventre du neveu claquait contre les fesses
de sa tante.

Agrippé aux hanches d'Élise, David s'agitait comme un possédé.

- Il est bon ton cul! Je te le défonce avec ma grosse bite! Tiens! Avale ma
queue!

Avec Jean-Marc nous regardions étonnés cette saucisse qui se mouvait


dans le cul torturé d'Élise. La bite sortait, palpitante, luisante, entraînant le
manchon élastique qui l'enserrait, puis elle rentrait de nouveau, d'un trait,
ne rencontrant plus aucune résistance.

Chapitre 5 92
Perverse

- Salaud! continuait à gémir Élise.

- Voilà, j'y suis! C'est bon! Je coule!

David se renversa, tendu comme un arc, un peu comme je l'avais déjà vu


faire aux lapins dans le clapier. A chaque spasme ses doigts se plantaient
dans le ventre d'Élise qui essuyait ses larmes.

David se retira sans ménagement. Élise fit encore la grimace quand le


gland eut de la peine à s'extraire, à passer la bague toujours aussi resserrée.
Enfin le garçon se laissa retomber, épuisé, rouge, suant, sur le divan.

Élise s'essuya le trou du cul avec sa culotte. Elle continuait de sangloter.

- C'est toi qui as voulu que je t'encule, lui dit David.

- C'est que je veux pas avoir d'enfants. Mais la prochaine fois tu mettras un
préservatif. Pas question de me la remettre dans le cul.

Chapitre 5 93
Chapitre 6

Flavie est en vacances. Quand j'avais son âge, j'aimais passer les vacances
chez ma grand-mère. J'y trouvais une liberté qui me faisait défaut tout le
long de l'année chez mes parents.

Flavie n'a pas ce problème, mais elle aime venir chez moi. Nous sommes
très proches l'une de l'autre. Nous avons des moments de fou rire délicieux.

J'ai récupéré les vieux films de mon oncle et quelques fois nous les
regardons, Flavie et moi. Déjà dans ma jeunesse ces images sautillantes, et
muettes, me paraissaient désuètes. Aujourd'hui elles ont un charme
incomparable.

Toutes ces jeunes noires, à peine pubères pour la plupart, montrent leur
sexe à la caméra avec une telle naïveté, une telle joie même, que le coté
sordide, graveleux, des scènes a disparu. Loin des débordements auxquels
nous a habitués le cinéma érotique contemporain, c'est presque un bain de
fraîcheur que nous prenons quand nous voyons l'oncle colonial tenter de
faire absorber sa tige raide à une jeune fille qui roule des yeux blancs et
fait de son mieux pour satisfaire le monsieur blanc sans perdre de vue
l'objectif de la caméra.

- Il ne s'ennuyait pas mon grand-oncle au temps des colonies, commente


Flavie. Dire que nous avons peut-être là-bas des petits cousins métis.

J'explique à Flavie certaines traditions de ces pays rencontrées dans les


carnets intimes de l'oncle. En fait les femmes n'ont pas l'habitude de sucer.
C'est un privilège réservé aux jeunes garçons car ingurgiter du sperme leur
communique la force, en fait des guerriers courageux et développe leurs
facultés sexuelles.

Chapitre 6 94
Perverse

- Voilà pourquoi les femmes tètent la bite de l'oncle avec tant de plaisir,
plaisante Flavie.
Il leur fait don de la liqueur sacrée qui jusque là leur était refusée.

Et elle ajoute :

- Je m'avalerais bien une gorgée de sperme. Toutes ces images m'ont donné
soif.

Un peu plus tard, quand Flavie s'en est allée en discothèque avec ses amis,
je me retrouve seule avec mon cahier. Je relis les pages déjà écrites. Je rêve
à ce passé déjà lointain.

Traditionnellement je passais toujours les grandes vacances chez ma


grand-mère qui avait une villa au bord de la mer, sur la Côte d'Azur.

Étant gamine, j'adorais aller chez ma grand-mère. Elle racontait toujours


des histoires effrayantes, pas du tout pour les enfants. Elle était tout le
contraire de ma mère, sa fille. Extravertie, sans complexe, parlant cru, elle
faisait aussi des tartes sublimes et m'associait à leur fabrication. Un
bonheur total. Plus tard, à l'âge de l'adolescence je trouvais dans sa
fréquentation une liberté que me refusaient mes parents, toujours aussi
rigides et coincés.

C'était encore une très belle femme qui pouvait avoir dans les cinquante
ans à l'époque où se sont passé les faits que je vais raconter. Comme elle
prenait énormément soin d'elle, elle en paraissait à peine quarante. Ce qui
souvent était cause de quiproquos quand on la voyait en compagnie de ma
mère, si stricte, si sévère d'aspect et que l'on prenait même souvent pour sa
sœur aînée.

Par certaines conversations surprises à la maison, entre mes parents, et


surtout par ces silences subits et ces non-dit qui marquaient ma présence,
je soupçonnais que ma grand-mère n'avait pas eu une vie exemplaire, du
moins aux yeux de sa fille et de son gendre.
Chapitre 6 95
Perverse

Une fois, mon père, en parlant d'elle, avait employé le terme de


nymphomane. Ma mère l'avait fait taire aussitôt en me désignant du regard.
Ce qui avait bien entendu excité ma curiosité.

En fait aujourd'hui je dirais que ma grand-mère - qui refusait d'ailleurs ce


nom - aimait tout simplement le cul et n'en avait aucune honte.

Quand nous allions à la plage toutes les deux, et que Caroline - c'était son
nom et c'est ainsi que je l'appelais - s'exhibait en maillot de bain sur le
sable chaud, je me sentais très fière du regard que les hommes lui
adressaient. Cela même quand j'eus l'âge à mon tour d'exciter leur
convoitise.

Elle avait ces formes pleines, épanouies, qu'ont les femmes mûres, sans
aucune graisse superflue. Ses chairs étaient souples, élastiques, et son
ventre un peu rond faisait un merveilleux coussin. Elle avait une poitrine
confortable et ferme, et des fesses larges, charnues, mais bien
proportionnées.

Une chose étrange, c'est que ma curiosité pour ce qui concernait le sexe
n'était pas aussi forte quand j'étais chez Caroline que lorsque je vivais chez
moi. Etait-ce le fait de pouvoir parler librement, de n'avoir pas à se
cacher ? mais j'étais moins obsédée. Comme je n'avais pas encore ressenti
un vrai plaisir physique, ma jouissance venait surtout du sentiment trouble
de faire quelque chose de sale, de défendu - semblable à certains enfants
qui mangent leurs excréments.
La séparation d'avec David et Jean-Marc ne me mettait pas en état de
manque

J'avais fait quelques révélations à Caroline, sans entrer trop dans les
détails, et ma chère grand-mère avait bien ri de voir que sa petite-fille
marchait sur ses traces. Elle m'avoua qu'elle-même, à mon âge, en faisait
autant et qu'elle en gardait des souvenirs merveilleux.

Chapitre 6 96
Perverse

- La masturbation, m'avait-elle dit un jour, est une excellente pratique. Elle


te permet de bien connaître ton corps et, plus tard, de ne pas passer à côté
du plaisir.

Je n'avais pas attendu ce conseil pour me toucher la foufounette. Je me


masturbais très souvent, sous la douche, dans mon lit, aux toilettes. Ces
attouchements me procuraient une sorte de douce chaleur dans tout le
corps, un état de relaxation bien agréable, et des contractions nerveuses
quand j'effleurais le clitoris. Même, parfois j'obtenais une petite secousse
qui pouvait s'apparenter à un mini orgasme. J'aimais aussi presser les
petites glandes à l'orée du vagin. J'arrivais même à présent, en faisant très
attention, à rentrer un doigt dans la gaine veloutée et humide.

Je me divertissais aussi beaucoup avec mon petit trou, lequel me posait


moins de problèmes. Je m'y fourrais des objets de plus en plus gros, jusqu'à
une carotte de belle taille, sans ressentir aucune douleur. Il m'arrivait de
penser à David et à Jean-Marc. S'ils avaient été là, je me serais volontiers
laissé enculer car j'avais le pressentiment que l'introduction d'une bite,
souple et chaude, me donnerait à présent plus de plaisir que ces objets durs
et sans vie.

J'avais trouvé dans la salle de bain une poire à lavement. Tout de suite je
n'avais plus eu qu'une envie : essayer l'engin. Contrairement au pistolet
avec lequel nous jouions Jean-Marc et moi, cette poire avait un embout
très fin que je pouvais m'enfoncer très facilement et profondément.

Ma première tentative n'avait pas été très concluante. J'avais rempli la


poire d'eau froide et l'injection dans mes entrailles avait été assez
désagréable. Depuis, je prenais bien soin de n'user que de l'eau tiède et je
trouvais le jeu extrêmement amusant.

Je m'asseyais sur une chaise, devant le grand miroir de la salle de bain,


j'ouvrais grand les cuisses et délicatement je plantais l'embout dans ma
chatte. J'aimais voir le tube sombre glisser, s'enfoncer lentement dans le
vagin. Après quoi je demeurais quelques secondes à contempler ce petit
Chapitre 6 97
Perverse

ballon greffé à mon bas-ventre.

- J'ai une drôle de bite! me disais-je en riant.

Puis j'appuyais sur la poire et je sentais le liquide qui se répandait inondant


ma mounine. Je m'imaginais que c'était du sperme qu'un homme crachait
dans mon ventre.

Pour faire de même par-derrière, sans rien perdre du spectacle que me


renvoyait la glace, je relevais mes jambes, les genoux contre ma poitrine,
les pieds sur le rebord de la chaise. Dans cette position la pastille de l'anus
était facile d'accès.

Je faisais le plein de liquide puis j'allais sur la cuvette des WC pour


l'évacuer.

Je m'étais aperçue que l'eau ainsi rejetée, celle qui sortait de mon cul, était
très souillée, mais que si je renouvelais l'expérience deux ou trois fois, elle
finissait par couler tout à fait limpide. Ce qui me fit penser que si je faisais
cela avant que David ou Jean-Marc ne me mettent les doigts dans le trou ça
leur éviterait de les ressortir souillés comme cela arrivait fréquemment.

Un matin, je pénétrai dans la chambre de ma grand-mère que je trouvai


allongée, nue, sur le lit, les jambes à l'équerre. Elle se masturbait avec un
énorme gode. Surprise par mon intrusion, elle tenta de ramener le drap sur
elle mais elle n'y parvint pas. Elle abandonna l'idée. Elle était en plein dans
la phase ascendante et le plaisir qu'elle sentait monter en elle l'empêchait
de raisonner clairement.

Elle regardait avec des yeux exorbités l'énorme bite de latex qui entrait et
sortait de sa chatte distendue.

Caroline avait un sexe épanoui, obscène avec ses lèvres larges, ramollies
pas le plaisir, tuméfiées, luisantes, étalées sur le côté et dont la teinte rouge
vif contrastait avec la peau couleur miel des cuisses. La motte était
Chapitre 6 98
Perverse

recouverte d'une épaisse toison sombre et le capuchon du clitoris s'érigeait


droit, épais, comme une voile de navire. Il émergeait de la broussaille au
bas du ventre, surmontant la fente béante, distendue par le gode.

Caroline se poignardait littéralement la moule, plantant le gode avec rage.


Ce gode était la réplique exacte d'un sexe d'homme. Son diamètre
m'impressionna beaucoup. Le gland était aussi gros que mon poing. Il avait
à sa base de grosses couilles qui avaient la même fonction que la poire à
lavement.

Chaque fois que le gode entrait dans la chatte baveuse - et avec quelle
violence! - le trop plein de mouille s'échappait par les côtés en écume
blanchâtre. Cette écume s'épaississait par le baratement incessant et
devenait peu à peu une véritable crème.

Je me repaissais de la scène. J'étais fascinée par cet objet qui pénétrait ma


grand-mère sans lui procurer aucune douleur. Au contraire, les tics de son
visage, la fixité de son regard rivé sur le gode, étaient révélateurs du plaisir
qui l'envahissait. De temps en temps elle passait sa langue sur ses lèvres
desséchées.

Sans se soucier de ma présence, Caroline s'était mise à gémir, d'abord tout


doucement, puis de plus en plus fort. Je n'en fus pas effrayée. Le souvenir
de la mère de David se faisant enfiler par le réparateur était encore bien
présent dans ma mémoire.

Ma grand-mère accéléra les va-et-vient. Maintenant elle accompagnait ses


mouvements par de grandes ondulations du bassin. Elle gonflait son ventre
comme un petit ballon. Ses gros seins ronds se balançaient au rythme des
saccades imprimées au gode.

Le corps de Caroline se tendit comme un arc, ses jambes s'agitèrent Un


long râle de plaisir s'exhala de sa poitrine. Elle gardait le gode planté
fortement en elle, jouissait du spasme, replantait l'objet d'un geste brusque,
faisait rouler ses hanches. Et chaque fois elle expirait bruyamment.
Chapitre 6 99
Perverse

Les secousses s'espacèrent. Ma grand-mère relâcha tous ses muscles. Son


corps se détendit, apaisé. Ce n'était plus qu'une poupée de chiffon étalée
sur le lit, inerte.

- Il faut absolument que je me trouve un homme, me dit Caroline quand


elle fut un peu remise de ses émotions.

Puis elle ajouta :

- Qu'est-ce que tu dois penser de ta grand-mère?

Moi, j'avais posé ma tête sur sa poitrine et je me saoulais de l'odeur


légèrement épicée qui en émanait. Ces seins étaient souples et fermes à la
fois, avec des aréoles très larges, granuleuses et presque noires. Les pointes
n'étaient pas très longues et ressemblaient à deux petits pois écrasés à leur
sommet.

Ma grand-mère soupira encore puis, avec précaution, retira le gode de sa


fente et le posa sur sa table de nuit. Je pus constater au passage qu'il était
recouvert d'une épaisse couche de mouille blanchâtre.

- Ça sent le jus des huîtres, constatai-je.

Caroline eut un petit rire gêné.

- C'est un peu dégoûtant, non?

- Je trouve pas. Moi, j'aime bien cette odeur.

Elle me regarda d'un air pensif.

- Toi, tu seras comme ta grand-mère...

Chapitre 6 100
Perverse

Elle n'en dit pas plus, mais j'eus l'impression très nette que cette idée
l'enchantait.

C'est ma grand-mère qui m'expliqua les mystères de la sexualité, car,


bizarrement, malgré les jeux auxquels je m'étais livrée avec mes deux
petits copains, malgré les films de mon oncle et en dépit de mon âge, j'étais
extrêmement ignorante en ce domaine. (si je racontais ça à Flavie, ça la
ferait bien rire) Je n'irais pas jusqu'à dire que je croyais encore que les
garçons naissent dans les choux et les filles dans les roses, mais mes
connaissances concernant la reproduction restaient bien vagues.

Caroline me parla aussi du plaisir, de l'orgasme. Si bien qu'à la fin des


vacances, j'avais largement rattrapé mon retard. D'ailleurs, je crois qu'en ce
temps là la plupart des filles de mon âge en savaient encore moins que
moi.

Caroline habitait une jolie villa, toute blanche, au sommet d'une falaise
surplombant la mer. Un jardin fleuri de mimosas et de lauriers roses
flanquait la villa. Par un escalier taillé dans la roche, on descendait jusqu'à
une petite crique privée, accessible seulement par la mer ou par le dit
escalier. Il y avait là une agréable plage de sable fin et un embarcadère où
une petite barque à l'ancre se balançait au gré des vagues.

Nous descendions sur cette plage tous les après-midi Caroline et moi, aussi
nues l'une que l'autre, et nous profitions du soleil et de la température
idéale de la mer en cette saison.

Dans la villa voisine de la nôtre était venu s'installer pour le temps des
vacances un couple de parisiens, avec leur fils, un garçon un peu timide et
renfermé qui avait le même âge que moi.

Ce garçon solitaire m'intriguait. Je le voyais toujours seul, se promenant


dans son jardin, pareil à un Rimbaud réincarné (car j'avais tout de suite
décidé que c'était un poète), se parlant à lui-même et fuyant chaque fois
que je tentais de m'approcher. Puis, un après-midi Caroline invita ces
Chapitre 6 101
Perverse

nouveaux voisins à goûter et je pus enfin faire la connaissance de Bruno.

Tout de suite je l'avais trouvé idiot et tout à fait inintéressant. Le mythe du


poète s'était écroulé. Ce n'était plus qu'un adolescent boutonneux et
puceau, cela va sans dire. Il rougissait dès qu'on lui adressait la parole,
n'aimait ni la danse, ni la musique qui faisait normalement vibrer les jeunes
de notre âge et, j'en étais certaine, n'avait jamais encore embrassé une fille.

Le seul avantage qu'il présentait à mes yeux c'était d'être l'unique garçon
du voisinage. Je résolus de l'entreprendre.

Un jour, pendant que ses parents et Caroline étaient sur la terrasse à


prendre l'apéritif, j'entraînai Bruno dans ma chambre sous prétexte de lui
montrer une statue africaine qu'un explorateur, ami de ma grand-mère,
nous avait envoyée récemment.
Cette statue, en bois d'ébène, très naïve, représentait un guerrier africain
doté d'un énorme sexe en érection.

- C'est un fétiche qui vient du Congo, expliquai-je à Bruno. Il parait que


lorsqu'un homme ne bande plus il lui suffit de mettre sa main comme ça, et
il retrouve toute sa vigueur.

D'un geste naturel, pour illustrer ce que je venais d'inventer, j'avais saisi la
bite en bois et faisais mine de la masturber.

Le garçon était devenu tout rouge. Il n'osait pas regarder.

- Touche-la, lui dis-je sur le ton de la plaisanterie. On va voir si ça


fonctionne.

Le pauvre Bruno ne savait plus où se mettre. Je le vis prêt à s'enfuir pour


retrouver ses parents. Mais je le retins par la main.

- Tu te branles jamais?

Chapitre 6 102
Perverse

Il était tétanisé.

Ce garçon m'énervait tellement que j'avais une envie irrésistible de le


choquer. Je l'attirai vers le lit au bord duquel je m'assis. Avec la plus
parfaite impudeur, je soulevai ma jupe et écartai le tissu de ma culotte.
D'un doigt léger et rapide je commençai à me frotter le clitoris.

- Moi je me touche souvent. C'est que j'en ai tout le temps envie.

A travers mes paupières mi-closes, je pouvais voir le visage de Bruno


absolument décomposé. Le pauvre garçon restait planté devant moi,
partagé entre l'envie irrésistible de regarder entre mes cuisses ouvertes, et
la répulsion que lui causait mon indécence.

Je relevai très haut les jambes pour dévoiler la petite pastille brune et
boursouflée de mon anus. J'abandonnai un instant mon clito pour ouvrir
mes fesses à deux mains.

- Mets-moi un doigt dans le trou du cul.

La grossièreté de l'expression choqua encore Bruno. Pourtant il s'approcha


du lit.

- Tu l'as jamais fait? m'enquis-je déjà certaine de la réponse.

- Non, avoua-t-il. C'est trop sale.

- Mais non ! Je me suis bien lavée ce matin! Fourre ton doigt, tu vas voir.
Y-a pas un brin de merde.

Comme il restait planté sans oser le moindre geste, je lui saisis la main et
la guidai vers mon entrejambe.

- Rentre ton doigt! lui dis-je impatientée, voyant qu'il hésitait encore à aller
plus loin.
Chapitre 6 103
Perverse

Je creusai mes reins pour faciliter l'introduction. Enfin Bruno se décida. Je


sentis la pointe de son doigt qui cherchait maladroitement l'entrée interdite.

Le moment d'émotion passé, le garçon avait perdu un peu de la rougeur qui


lui était montée au front. Il s'était agenouillé entre mes cuisses ouvertes.
J'eus l'impression un instant que les yeux allaient lui sortir de la tête
tellement il regardait fixement mon intimité, ma vulve ouverte et mon
doigt qui avait repris son office sur le clito que je faisais saillir en appuyant
sur ma motte.

Il exerça une timide pression qui détendit un peu le sphincter mais me


laissa insatisfaite. Je voulais sentir le doigt coulisser complètement dans le
fourreau anal.

- Enfonce-le! Qu'est-ce que tu attends?

Il osa enfin. Je sentis le doigt qui s'enfonçait dans mon cul déjà humide,
délicieux frottement sur la muqueuse. D'un mouvement de reins
j'accompagnai l'introduction.

- Fais comme ça! lui dis-je.

Avec la main je lui montrai le mouvement que je désirais. C'est à dire des
va-et-vient rapides. Il s'exécuta mais si maladroitement qu'il me blessa un
peu avec son ongle.

- Touche-moi plutôt la moule, lui conseillai-je. Mai attention, de ce côté tu


rentres pas le doigt. Seulement tu touches.

Je venais à deux doigts d'écarter les lèvres sexuelles pour dévoiler l'entrée
du vagin. Le pauvre Bruno eut un autre accès de honte qui lui chauffa le
visage. Mais peu à peu il se prenait au jeu. Il avait posé ses doigts dans le
calice débordant de mouille et il jouait avec le gluant. Visiblement il ne
savait rien de ce qui pouvait générer le plaisir chez une femme.
Chapitre 6 104
Perverse

- Tu te masturbes parfois? lui demandai-je brusquement.

Son visage se ferma. J'insistai.

- Tu te touches la zigounette? Tu te fais couler?

S'il avait pu se cacher dans un trou de souris, je crois qu'il l'aurait fait. Mais
il était véritablement pris au piège. Il ne pouvait plus s'esquiver.

- Oui, finit-il par avouer bien à contre cœur. Quand je vais aux WC.

- Jamais dans ton lit?

- Non, après mes draps sont tout mouillés. C'est trop dégoûtant.

Décidément c'était pas gagné. Exaspérée, je plantai la dernière banderille.

- Tu veux que je te fasse une branlette?

Il était sidéré par mon culot et surtout par ce qu'il devait considérer comme
un manque total d'éducation. Il n'était pas préparé à rencontrer une fille
comme moi.

Je n'attendis pas sa réponse et entrepris tout de suite de faire glisser le zip


de sa fermeture éclair.

Bruno résista un peu.

- Non, il ne faut pas! Mes parents pourraient entrer.

- Tes parents discutent avec ma grand-mère. N'aie pas peur. T'es une poule
mouillée ou quoi?

Chapitre 6 105
Perverse

Je venais d'extraire sa bite par l'échancrure du slip. C'était un très bel


engin, et en totale érection bien sûr. Avec le mal que je venais de me
donner pour arriver à ce résultat il n'aurait plus manqué que je trouve un
macaroni trop cuit dans sa culotte. En fait sa queue me sembla beaucoup
plus grosse que celle de David. A chaque nouvelle bite je me retrouvais
avec un engin de taille supérieure. Il est difficile parfois de faire des
comparaisons, mais le gland de Bruno par exemple était plus évasé à la
base et enflé à l'extrémité comme si c'était le résultat d'une piqûre d'insecte.
Ce qui donnait un peu l'impression d'un deuxième gland posé sur le
premier. La tige, une fois décalottée, présentait l'aspect d'un gros
champignon.

Je tirais fortement sur le frein, comme j'avais l'habitude de le faire avec


Jean-Marc ou David.

Bruno se cambrait, avançait son bas-ventre.

- Tu aimes?

Il opina de la tête?

- C'est bon? Tu jouis?

Les questions étaient superflues. Son plaisir se lisait sur son visage tendu.
Son regard avait pris une fixité que je connaissais bien pour l'avoir
rencontrée si souvent chez mes petits copains. Ses lèvres se crispaient en
tics nerveux.

J'avais envie de sucer ce gland, d'en extraire le jus, de l'avaler, mais je


brûlais aussi du désir de le voir cracher. Aussi quand je sentis, au
durcissement de la tige dans ma main, que l'éjaculation était proche, je
pressai le mouvement.
Bruno poussa un gémissement un peu étouffé pour ne pas alerter la
maison, et son sperme jaillit. Du gland qui avait alors atteint sa taille et sa
dureté maximale, jaillit par saccades un sperme abondant, très épais.
Chapitre 6 106
Perverse

C'était presque une crème qui giclait et retombait sur ma robe. Les derniers
jets roulèrent sur ma main. J'étais ravie.

Je pris le gland de Bruno dans ma bouche pour le nettoyer des dernières


gouttes qui continuaient à perler à l'extrémité du gland.

- Non! s'exclama Bruno en se retirant.

- Pourquoi?

- C'est sale!

Décidément ce garçon avait encore beaucoup à apprendre.

Dans les jours qui suivirent, Bruno sembla m'éviter. Parfois je grimpais sur
une échelle pour jeter un coup d'œil par-dessus le mur qui séparait les deux
maisons. Le garçon avait repris ses promenades de rêveur solitaire. Quand
il me voyait, il me disait un bonjour gêné et détournait tout de suite les
yeux. Chaque fois que je lui proposais d'aller au cinéma, ou à la plage, ou
encore de venir écouter un disque dans ma chambre, il trouvait toujours un
prétexte pour refuser.

Heureusement que ses parents et ma grand-mère étaient devenus très amis


et se rendaient souvent visite. Un jour que nous étions tous réunis dans le
jardin pour prendre l'apéritif, j'avais réussi à attirer Bruno dans la salle de
bain.

- Je vais te montrer quelque chose.

- Quoi? me demanda-t-il légèrement inquiet.

Je lui montrai la poire à lavement.

- Qu'est-ce que c'est?

Chapitre 6 107
Perverse

- Tu vas voir.

Je remplis la poire au robinet d'eau chaude, fixai l'embout, et donnai le tout


à Bruno. Puis, je me retournai, fis glisser la culotte sur mes chevilles,
troussai ma robe par-dessus les reins et me courbai en avant, prenant
appuis sur la cuvette des WC.

- Tu fais comme avec un thermomètre, expliquai-je à Bruno. Tu mets le


bout dans mon cul.

Le pauvre garçon n'était pas rassuré. Je me rendais compte qu'il guettait les
bruits venant du salon. Il avait une trouille bleue d'être surpris. Pourtant il
fit ce que je lui demandais. J'adorais quand le tube de bakélite s'insinuait
dans mon trou du cul. Je tortillais même des hanches pour jouir encore plus
de l'introduction, du frottement sur la muqueuse.

- Maintenant, tu presses sur la poire.

Bruno, docile, obéit. Je sentis le liquide chaud envahir mes entrailles. Puis,
je m'assis sur la cuvette et évacuai avec un bruit obscène qui fit faire la
grimace au garçon.

- De cette manière mon cul est tout propre, lui expliquai-je en tirant la
chasse. Tu veux essayer?

Il se récria. Mais il ne pouvait me résister longtemps. L'instant d'après je


lui avais baissé le pantalon et il avait pris ma place, en appuis sur la
cuvette.

Je ressentis une fois de plus ce sentiment trouble de faire quelque chose


d'interdit, de sordide. Une douce chaleur m'avait envahi le corps.

J'écartai les fesses de Bruno. Je ne résistai pas au plaisir de poser mon


doigt sur l'anus qui se contracta. Puis tout doucement je poussai l'embout.
Le cul du garçon n'était pas aussi souple que le mien. Il résistait.
Chapitre 6 108
Perverse

- Ça me fait un peu mal.

- Attends, je vais te mouiller.

Sans attendre son assentiment j'avais enfoui ma tête entre ses fesses et avec
ma langue je poussais de la salive dans le trou du cul contracté par
l'angoisse.

- Tu es dégoûtante, souffla Bruno. C'est sale ce que tu fais.

C'était peut-être sale mais à voir comme il creusait ses reins et poussait sa
croupe vers moi, il était évident qu'il appréciait.

Je tentai de nouveau d'introduire l'embout qui, cette fois, glissa d'un trait
dans le canal bien lubrifié. Je pressai sur la poire.

- C'est rigolo, avoua Bruno.

Je demandai alors à Bruno de faire comme je venais de le faire moi-même,


c'est à dire de s'asseoir sur la cuvette et de pousser pour évacuer le liquide.

- Retourne-toi, me dit Bruno.

- Pourquoi? demandai-je étonnée.

- J'aime pas qu'on me regarde quand je suis en train.

Je fis ce qu'il me demandait. Avec un bruit aussi obscène que le mien, il se


répandit dans la cuvette.

Chapitre 6 109
Chapitre 7

Je suis assise à mon bureau. J'écris. Flavie arrive à l'improviste. Elle lit
par-dessus mon épaule. Je n'aime pas ça et je le lui dis.

Elle ne tient pas compte de ma gêne.

- C'est chaud!

- Laisse-moi.

- Tu as des secrets pour moi?

- Non mais je te le donnerai à lire quand ce sera fini.

Flavie lève les yeux au ciel pour bien signifier qu'elle n'aura jamais la
patience d'attendre.

Précipitamment elle s'empare de quelques feuillets puis, aussi agile qu'un


petit écureuil, elle bondit à pieds joints sur le lit qu'elle transforme en
trempolin.

Je ris. Je suis trop faible avec Flavie.

Debout sur le lit, elle parcourt les feuillets noircis de ma petite écriture
appliquée. Elle a glissé une main dans sa culotte et je me rends compte
qu'elle se masturbe en lisant.

Bruno avait vraiment beaucoup de peine à se décoincer. Je m'étais mis en


tête de faire son éducation sexuelle en lui enseignant ce que je savais déjà
ou que j'apprenais de ma grand-mère. Hélas, dès que j'abordais le sujet, le
pauvre garçon se montrait mal à l'aise, rougissait, cherchait des

Chapitre 7 110
Perverse

échappatoires.

Parfois j'arrivais à le masturber mais ce n'était jamais sans beaucoup de


réticence de sa part. Quant à le sucer, il ne fallait pas y penser. Chaque fois
que j'avais tenté de le faire, il m'avait repoussée sous le prétexte que c'était
quelque chose de malpropre qui pouvait me donner des maladies.

Alors nous continuions à nous divertir avec la poire à lavement, mais une
certaine lassitude me prenait peu à peu. Je n'étais pas faite pour la routine.

Un dimanche après-midi, alors que ma grand-mère recevait les parents de


Bruno pour une partie de scrabble, nous avions été conviés à une
surprise-partie, Bruno et moi, dans le voisinage. Nous devions
normalement y rester jusqu'au soir, mais ces adolescents, prétentieux et
stupides pour la plupart, s'étaient révélés tellement désagréables que nous
avions décidé de les laisser en plan et de revenir à la maison.

Curieusement il n'y avait personne dans le salon où avaient lieu d'ordinaire


les parties de scrabble. La maison semblait déserte. Nous étions sur le
point d'aller voir chez Bruno quand des bruits attirèrent notre attention
dans la chambre de ma grand-mère, au premier étage.

Nous grimpâmes l'escalier en silence. La porte de la chambre était restée


entrebâillée. Par l'ouverture nous découvrions le lit sur lequel Caroline et
Béa, la mère de Bruno, étaient assises. Ma grand-mère avait passé son bras
autour des épaules de la jeune femme. Franck, le père, debout à côté du lit
tenait la main de sa femme.

- J'ai un peu honte, souffla celle-ci.

- Honte de quoi? dit Franck.


Il n'y a aucune raison puisque je suis là et que je suis d'accord. C'est même
moi qui te le demande.

Chapitre 7 111
Perverse

- Ma chérie, murmura Caroline, c'est mignon tout plein cette petite rougeur
qui colore tes joues.

A ma grande surprise, les lèvres des deux femmes se joignirent et je vis la


langue de Caroline, très distinctement, s'insinuer entre les lèvres de Béa
qui résistèrent un court instant avant de s'ouvrir et d'accepter le baiser. Il
me sembla que mon cœur s'arrêtait de battre.

En même temps la main de Caroline s'insinuait entre les jambes serrées de


la jeune femme, remontant la jupe. Lentement les jambes cédèrent,
s'ouvrirent, et la main arriva jusqu'au triangle d'une petite culotte noire
frangée de dentelles.

- Si les enfants arrivaient... dit Béa.

- Mais non, il n'y a pas de risque, la rassura son mari. Ils vont rester jusqu'à
la fin de l'après-midi chez leurs copains.

- Tout de même...

Son hésitation se termina par un long soupir. D'un doigt léger Caroline
effleurait la fente sexuelle par-dessus le tissu de la culotte.

- Laisse-toi aller, conseilla Franck, je sais que tu vas aimer ça.

- Elle aime déjà ça, constata Caroline. La coquine a mouillé sa culotte.

Elle tira sur l'élastique de l'échancrure pour dévoiler le sexe.

- Mais regarde-moi cette friponne! La mouille déborde!

Caroline écartait le tissu noir pour que Franck puisse constater par
lui-même à quel point la chatte de sa femme était inondée.

Chapitre 7 112
Perverse

De notre poste d'observation nous-mêmes pouvions nous en rendre compte


par la lumière qui se reflétait sur la viande largement offerte à notre vue.
Les lèvres sexuelles de Béa étaient entrouvertes. Elles me semblèrent très
épaisses, comme tuméfiées, d'un rose saumon assez vif et bordées d'un
large liseré noir. Elles avaient mis à jour en s'ouvrant une muqueuse
tourmentée qui formait un petit calice dans lequel stagnait un liquide épais,
presque blanc. Une goutte s'était formée à la base de la fente et glissait
avec une lenteur extrême vers l'anus caché entre deux fesses somptueuses
qui se découvrirent quand Béa replia ses jambes en se laissant basculer sur
le lit..

Caroline repoussa la jupe de Béa pour dénuder complètement le ventre.


C'était un ventre de femme ayant déjà enfanté, légèrement bombé, souple,
d'une blancheur laiteuse presque anachronique. La main couleur miel de
ma grand-mère, posée sur ce ventre, contrastait étonnamment avec cette
pâleur diaphane. Le nombril était très profond.

Une délicate toison frisée, assez claire et soigneusement taillée, les bords
dessinés au rasoir, recouvrait le bas du ventre. La fente sexuelle semblait
rentrer dans une sorte de grotte que faisait un petit bourrelet de graisse au
bas de la motte.
Les nymphettes s'en échappaient comme un foisonnement de corail et le
capuchon qui recouvrait le clitoris émergeait, obscène, comme une
protubérance, un morceau de chair en trop.

- Mais c'est qu'elle sent bon cette petite chatte! gloussa Caroline en
approchant son visage.

De la pointe de la langue elle effleura la fente, depuis le périnée où elle


recueillit une goutte de mucus qui perlait, jusqu'au clitoris qui pointait
légèrement sous l'épaisse capuche couleur de pelure d'oignon.

Le corps de Béa se cambra. Elle avança son bas-ventre. Ses mains vinrent
s'entremêler dans la chevelure de Caroline.

Chapitre 7 113
Perverse

- On ne devrait pas faire ça, murmura-t-elle. Ce n'est pas convenable.

Mais ses mains qui pressaient la nuque de ma grand-mère pour l'attirer à


elle, démentait ses propos.

- Elle est bonne ta mouille, s'exclama Caroline qui plongea d'un coup sa
langue dans la coupe pleine du précieux nectar.

Béa poussa un cri, a la fois de surprise et de contentement.

Ma grand-mère s'était agenouillée sur le lit, la tête enfouie entre les cuisses
blanches de Béa, la croupe haute. Franck venait de lui retrousser la robe
jusque par-dessus les reins. Caroline, comme cela lui arrivait souvent, ne
portait pas de culotte.

Je connaissais bien ces fesses rondes, un peu trop volumineuses selon


l'opinion de Caroline, fendues d'une raie très profonde, vallée mystérieuse,
fascinante. Par-dessous on voyait la fente entrouverte, tellement rouge
dans le bouillonnement sombre qui l'encadrait.

Frank glissa un doigt dans la fente et l'enfonça. Caroline avait creusé ses
reins et remuait son bassin sur le doigt planté dans son intimité.

- Ce n'est plus la moule d'une jeunette, dit-elle. C'est de la viande qui a


beaucoup servi. Fourre-moi deux doigts, il y a de la place.

Franck s'exécuta. Il ajouta même un troisième doigt qui trouva sa place


sans difficulté. Il entreprit alors une série de va-et-vient très lents, tout en
caressant les fesses de sa main libre. Quand ses doigts ressortaient de la
chatte gluante, ils étaient luisants de mouille.

Caroline avait fait saillir le clito de Béa en tirant sur le capuchon, comme
elle l'aurait fait avec le prépuce d'une verge pour mettre à l'air le gland. Le
petit bouton ressemblait à un minuscule piment rouge, érigé, impatient.
Elle l'agaçait avec la pointe de la langue. Le corps de Béa se tendait. La
Chapitre 7 114
Perverse

mère de Bruno laissait échapper un gémissement continu qui allait en


s'amplifiant. Elle avait glissé ses mains par l'échancrure du corsage de
Caroline dont elle pétrissait les seins libres de tout soutien. Bientôt gênée
par le vêtement, nerveuse, impatiente, mais aussi maladroite, elle tenta de
retirer la robe de ma grand-mère en la faisant passer par-dessus sa tête.

- Attends, fit Caroline, je vais t'aider.

La robe roulée en boule tomba sur la descente de lit.

Bruno et moi, le cœur battant, le souffle coupé, les jambes molles,


jouissions du spectacle. Un peintre aurait trouvé là un sujet précieux. Béa,
allongée sur le lit, troussée par-dessus la ceinture, ses cuisses blanches
encadrant le visage de Caroline qui lui broutait la chatte; le corps dénudé
de ma grand-mère, exposé en pleine lumière, épanoui, charnu, bronzé, la
croupe haute; les gros seins qui ballottaient par en dessous au rythme des
doigts que Franck, debout derrière, faisait coulisser en cadence dans la
moule ouverte, ruisselante; tout cela aurait fait un super tableau.

Caroline avait gobé le clito de Béa et le tétait avec un fort bruit de succion.
Le gémissement de Béa s'était transformé en râle incontrôlé.

Soudain Caroline retira sa tête d'entre les cuisses blanches, parcourues d'un
léger tremblement. Elle regardait par-dessus son épaule Franck qui la
masturbait ardemment.

- Je vais jouir! annonça-t-elle. Vas-y! N'arrête pas! Oui! Finis-moi!

Franck accéléra encore le mouvement. Béa s'était assise prés du couple et


regardait la scène, le regard brillant d'excitation. Elle pétrissait les seins de
Caroline, lui caressait le ventre, les fesses.

Ma grand-mère donnait de violentes ruades. Les doigts de Franck dans sa


fente produisaient un clapotis sordide.

Chapitre 7 115
Perverse

- Plus fort! Plus vite!

Le visage de Caroline était déformé par l'intensité du plaisir. Elle se


mordait les lèvres. Son regard avait la fixité de celui d'un bovin.

Elle poussa un véritable hurlement. Franck venait d'ajouter un quatrième


doigt et il secouait vivement sa main dans la viande ramollie par le plaisir.

- Je jouis!

En même temps un liquide abondant jaillit à gros jets, inondant la main de


Franck, ruisselant le long des cuisses brunes de ma grand-mère. Un flot
interminable, ambré, odorant qui se répandit sur le lit.

- Une femme fontaine! s'exclama Franck d'un air ravi. C'est la première
que je vois !

- Je croyais que c'étaient des racontars, s'étonna Béa.

Celle-ci avait placé sa main entre les cuisses de Caroline pour recueillir un
peu de l'offrande.

- Ça m'a excité, avoua Franck. Je bande comme un taureau.

- Fais-nous voir si c'est bien vrai! s'exclama Béa.

Sans attendre, elle ouvrit le pantalon de son mari, baissa le slip, libéra une
bite de gros calibre, tendue à l'horizontale, parcourue de grosses veines
bleues.

- Oh! Le bel engin! s'étonna ma grand-mère.

Elle avait saisi la colonne de chair entre ses doigts et décalotté le gland.

- Nous allons nous occuper de cette belle andouillette, poursuivit-elle.


Chapitre 7 116
Perverse

Elle approcha sa bouche et déposa sur la queue tendue une série de petits
baisers, sur la pointe, sur le frein, sur toute la longueur de la tige. Pendant
ce temps Béa tripotait les couilles en les faisant rouler entre ses doigts.

- Quel pied d'enfer! s'exclama Franck. Sucez-moi! Sucez-moi toutes les


deux!

Les deux femmes étaient agenouillées devant la bite tendue comme une
offrande. Caroline absorba le gland pendant que Béa tentait par-dessous de
faire pénétrer le sac fripé et brun dans sa bouche. Elle s'aidait de ses doigts
pour l'enfourner complètement. Mais le paquet était trop abondant. Elle se
contenta de sucer les boules l'une après l'autre.

Caroline jouait avec la verge qui tressautait. Elle nettoyait le gland de toute
la largeur de sa langue, mordillait la tige, agaçait le frein, récupérait le
bouillonnement qui se pressait à l'extrémité.

A son tour la langue de Béa vint se mêler au jeu. Les langues des deux
femmes se mélangeaient quand elles se rencontraient.

- Vous êtes mes salopes chéries! bêtifia Franck. Vous sucez comme de
vraies putes!

Béa venait de récupérer le gland. Sans quitter son mari du regard elle
avança son visage. La tige s'enfonça lentement jusqu'à disparaître
complètement, jusqu'à ce que les lèvres de la femme viennent se mêler aux
poils du pubis.

Caroline avait écarté les fesses de l'homme et lui titillait l'anus du bout du
doigt. Puis elle avança sa langue.

- Si tu me fais ça, je vais juter tout de suite.

- Jute mon chéri. Donne-moi ma potion magique! dit Béa.


Chapitre 7 117
Perverse

Caroline léchait la rondelle de Franck tout en lui maintenant les fesses


ouvertes. Il avait fléchi légèrement les jambes et creusé ses reins.

- Oui! Pompez-moi! Léchez-moi le cul!

- Laisse-toi aller dans ma bouche! dit Béa.

- Non, dans la mienne s'exclama Caroline en revenant vers la bite prête à


cracher.

En riant, elle extirpa la verge qui allait se répandre dans la bouche de Béa
et la happa.

- Vas-y! Balance ta purée! cria-t-elle la bouche pleine.

- Laisse-m'en un peu! supplia Béa en riant, elle aussi.

- Voilà, je coule!

De l'écume blanche apparaissait aux commissures des lèvres de ma


grand-mère.

- Un peu à moi, dit Béa en saisissant la bite à son tour. Un jet de sperme lui
ferma un œil.

Vite elle engloutit l'engin qui crachait ses derniers jets.

Je constatai que ma grand-mère avalait le sperme abondant qu'elle avait


gardé dans sa bouche. Avec sa langue elle se nettoya les lèvres, récupéra
un filet gluant qui tentait de s'échapper vers son menton.

Pendant ce temps Franck avait achevé de se répandre dans la bouche de


Béa. Celle-ci, par jeu ouvrait et fermait ses lèvres pour faire voir le liquide
onctueux qui stagnait sur sa langue, s'accrochait à ses dents. Elle ferma la
Chapitre 7 118
Perverse

bouche, repoussa le sperme pour qu'il produise une écume épaisse et


blanchâtre sur ses lèvres, récupéra le tout d'un coup de langue, l'avala.

- Vous m'avez vidé les couilles! annonça Franck en se laissant tomber sur
le lit, épuisé, le pantalon au bas des chevilles, la bite molle.

Béa achevait de se dévêtir.

J'avais déjà pu juger de la blancheur de son corps par l'intérieur de ses


cuisses, mais quand elle fut complètement nue, le contraste entre ma
grand-mère et elle, était encore plus saisissant. Sans aucun doute Béa ne
devait jamais s'exposer au soleil.

Elle était assez menue, mais extrêmement bien proportionnée, avec des
attaches fines, un galbe parfait. Ses seins étaient petits, ronds et fermes,
sans aréoles visibles. Les pointes étaient comme deux petites billes à peine
teintées de brun. Le ventre bombé et les fesses rebondies achevaient de
donner à ce corps l'apparence d'une statue antique. L'illusion aurait été
complète sans cette viande obscène qui ornait le bas de son ventre. Les
lèvres rouges et tuméfiées étaient tout extérieures, pendantes comme les
bajoues d'un coq. D'ailleurs la capuche du clito faisait aussi penser à la
crête de cet animal.

- Finis ce que tu avais commencé! susurra-t-elle à Caroline en se laissant


tomber sur le lit, les jambes relevées et largement écartées.

Les lèvres sexuelles s'étaient ouvertes sur la muqueuse tourmentée,


boursouflée, gluante. L'orifice vaginal était bordé de rouge vif et se
contractait de temps en temps, lentement, comme la bouche infâme d'une
pieuvre.

- Alors, toutes les deux, proposa Caroline.

Elle s'était placée au-dessus de Béa, dont elle avait encadré le visage de ses
cuisses brunes.
Chapitre 7 119
Perverse

Elle posa sa bouche sur le sexe tuméfié de Béa et en même temps offrit le
sien à la langue de la jeune femme.

Pendant un long moment les deux femmes se gougnotèrent, avec une


extrême lenteur, par effleurement de la langue sur les zones sensibles. Puis
Caroline aspira le clito de Béa, laquelle poussa un cri de plaisir et planta
ses ongles dans les fesses qu'elle tenait écartées pour jouir de la vallée
profonde où se cachait la petite pastille brune et froissée.
A son tour elle happa le clito à sa portée. Ma grand-mère, perdant toutes
mesures se mit à bredouiller une suite de paroles ordurières.

Franck suivait la scène d'un regard attisé par le désir qui l'envahissait et lui
faisait de nouveau durcir la bite. Quand celle-ci eut atteint une bonne taille,
l'homme se plaça derrière Caroline. D'une main ferme, il dirigea sa tige
vers l'entrée du vagin.

- Oui, dit Caroline, bourre-moi la chatte!

Franck se planta d'un trait. Son ventre claqua contre les fesses de ma
grand-mère.

- C'est bon ta queue dans ma viande. Vas-y! Donne-m'en!

Franck entreprit alors une série de mouvements très lents, sortant sa pine
complètement, la rentrant ensuite en creusant légèrement ses reins pour
amplifier la sensation produite par le frottement. Chaque fois que le gland
émergeait du trou dilaté, Béa par-dessous léchait le frein du bout de la
langue puis retournait exciter le clitoris de Caroline.

- Va un peu plus vite! conseilla ma grand-mère.

Elle avait rentré un doigt dans l'anus de Béa qu'elle masturbait sans
cependant cesser de lui sucer le clitoris comme elle l'aurait fait d'un petit
bonbon.
Chapitre 7 120
Perverse

Franck se démenait dans la chatte de Caroline. Celle-ci l'aidait par de


puissantes ruades.

- Je vais jouir! annonça-t-elle.

- Oui! dit Franck qui était devenu tout rouge tout à coup.
Prends ton plaisir. Moi, je me retiens encore un peu.

Des gouttelettes de sueur perlaient sur son front.

Caroline sous l'intensité du plaisir qui la submergeait, abandonnée à


l'orgasme qui naissait dans son ventre, avait délaissé la chatte de Béa. Son
visage ruisselant de mouille, crispé, déformé au point d'en devenir laid, sa
bouche tordue, ses yeux exorbités, exprimaient clairement sa jouissance.

Béa abandonnée dans la phase ascendante se masturbait d'un doigt


nerveux, avide, comme si elle craignait de laisser retomber la mayonnaise.

- Bourre-moi! Défonce-moi! se mit à hurler Caroline. Je jouis.

Chaque fois que Franck donnait un coup de rein, sans ménagement,


comme pris soudain d'une rage trop longtemps contenue, le corps de ma
grand-mère était projetée en avant, ses seins se balançaient. Elle planta ses
ongles dans les cuisses blanches et tendres de Béa. La bouche ouverte, elle
poussa un hurlement aigu, interminable. Par saccades elle s'empalait sur le
membre planté en elle.

Elle hoquetait, agitait sa croupe dans tous les sens. Et ce furent de nouveau
les grandes eaux. Le liquide ambré coula sur le visage de Béa. Puis, peu à
peu, la crise se calma. Les spasmes s'espacèrent.

- Finis-moi! supplia Béa. J'y suis presque. Mais vite !

Chapitre 7 121
Perverse

Caroline prit le clito de Béa dans sa bouche et fit mouvoir sa tête de haut
en bas, très rapidement pendant que Franck poursuivait ses va-et-vient.

- J'y suis, criait Béa. Encore un peu! Voilà!

Elle tendit les jambes, souleva ses reins, gonfla son ventre. Ses mains
agrippées au drap tremblaient.

- A moi maintenant, lança Franck. Je lâche tout.

- Vas-y! Balance ta purée! cria Caroline.

Béa gémissait comme un chiot, incapable de se calmer, de reprendre ses


esprits, affolée par les battements trop rapides de son cœur.

- Balance! cria encore Caroline.

Mais, pris d'une soudaine inspiration, Franck, d'un coup de rein, se retira.
Sa bite luisante de mouille tressautait, prête à cracher. Le gland était
énorme, presque noir sous l'afflux de sang.

- Je vais juter dans ton cul annonça-t-il.

Sans attendre l'assentiment de Caroline, il écarta les fesses, chercha l'anus


dans la vallée si profonde, plaça la pointe de sa queue sur la pastille brune,
boursouflée, ridée, et poussa d'un effort continu. La bite pénétra sans peine
et glissa d'un trait dans le fourreau étroit mais certainement très souple.

- Oui, c'est bon dans le cul! cria Caroline au moment où l'homme se


répandait.

A chaque jet il claquait violemment les fesses de ma grand-mère.

- Il est bon ton cul!

Chapitre 7 122
Perverse

Béa lui malaxait les couilles pendant qu'il les vidait dans le trou du cul de
Caroline.

- J'ai joui comme une salope, avoua ma grand-mère en se laissant tomber


sur le lit à coté de Béa. Elle gardait toutefois la queue de Franck
prisonnière dans son anus.

- Ma bite coulait comme un robinet ouvert. J'ai cru que ça ne s'arrêterait


jamais, dit Frank en se laissant entraîner sur le corps de Caroline.

- C'était super, conclut Béa. Il faudra qu'on le refasse le plus souvent


possible.

Je fis signe à Bruno que nous devions nous éclipser en silence. Il semblait
ahuri. La scène à laquelle il venait d'assister lui avait véritablement
embrouillé les esprits. Il marchait comme un somnambule. Je remarquai la
bosse qui déformait son pantalon. J'envoyais la main et à travers le tissu
rêche du vêtement. Je pus constater qu'il bandait dur comme du bois.

- Tu veux que je te suce? proposai-je.

Cette fois il ne refusa pas. De la tête il me fit signe qu'il en avait envie. Je
l'entraînai aussitôt vers ma chambre.

Aussitôt refermée la porte, comme Bruno ne semblait pas prêt à prendre


l'initiative et restait planté droit, les bras ballants, au milieu de la pièce, je
lui déboutonnai son pantalon qui glissa sur ses chevilles.
Je remarquai que le slip était imbibé de sperme. Je tirai sur l'élastique et la
bite surgit, raide, tressautante, le calice formé par la peau du prépuce
débordant de jus. Tout ce que j'aimais!

Je m'agenouillai, saisi la bite d'une main et poussai la pointe de ma langue


pour recueillir le liquide gluant qui sentait un peu l'amande amère. Puis, je
décalottai le gland et entrepris de le lécher, nettoyant la base, l'enveloppant
de salive chaude.
Chapitre 7 123
Perverse

- Tu es une cochonne! bredouilla Bruno. C'est sale ce que tu fais.

- C'est trop bon! Si tu veux couler dans ma bouche, tu peux.

Bruno me regardait faire d'un air un peu dégoûté. Mais en même temps le
plaisir montait de ses couilles, envahissait sa tige, chauffait ses reins, lui
ôtait toute force dans les jambes. Il était obligé de prendre appui sur ma
tête pour ne pas tomber.

Voluptueusement je tétais la bite fortement serrée dans ma bouche, ma


langue exerçant de petites pressions sur le frein. Du jus continuait à suinter
du méat. Je l'avalais avec délice dès qu'il y en avait trop.

- Tu l'as déjà fait? s'enquit Bruno.

En fait, je ne lui avais jamais rien raconté de mes expériences passées et


des petites réunions dans la cabane. La bouche pleine, je lui répondis que
oui.

- Et tu avales le sperme? s'inquiéta-t-il.

- Bien sûr.
C'est bon. Et puis ça fait pousser les seins.

C'est David bien sûr qui m'avait raconté ce bobard et j'y croyais dur
comme fer.

- Le gluant te donne pas envie de vomir?

- Quelquefois, quand il y en a trop.

Je passais ma langue sur toute la longueur de la tige, allais jusqu'à


embrasser les couilles avant de revenir pour vite recueillir la gouttelette qui
se formait à la pointe, effleurant le frein au passage. Chaque fois, Bruno
Chapitre 7 124
Perverse

tressaillait, sa bite se tendait comme dans un spasme, cherchait à


m'échapper. Vite je la récupérais et l'enfournais dans ma bouche.

- Ça te plaît? demandai-je en cessant un moment de sucer mais tout en


continuant de branler la queue d'un poignet rapide.

- Oui, concéda-t-il. Je crois que je vais couler.

- Vas-y! Fais la fontaine!

J'avais sorti ma langue et posé le gland dessus en le maintenant ferme avec


ma main. Je gardais la bouche ouverte, prête à recevoir l'offrande.

- Voilà! Je jute! annonça Bruno en resserrant l'emprise de ses mains sur ma


nuque.

Le premier jet atterrit sur ma langue. Bruno poussait ses reins en avant
pour tenter de fourrer toute sa bite. Les jets se succédaient rapidement.
Quelques-uns allaient jusqu'au fond de ma gorge. D'autres coulaient tout
simplement en grosses glaires qui s'accumulaient.
Je gardais le frein tendu à rompre.

Les jets s'espacèrent. Il y eut un dernier soubresaut.

Je jouai un moment avec le liquide épais qui avait envahi ma bouche. Je


m'amusais à le faire sortir par les commissures des lèvres, le récupérais
ensuite d'un coup de langue. Je le mélangeais de salive pour le fluidifier.

Enfin, je l'avalai d'un trait.

Chapitre 7 125
Chapitre 8

Les vacances s'achevèrent et je retournai chez mes parents. Une grosse


déception m'y attendait. David et ses parents avaient déménagé. Quant à
Jean-Marc, il avait fait une nouvelle connaissance et, tout nouveau tout
beau, il ne s'intéressait plus du tout à moi. Je me sentis un peu trahie dans
mon amour-propre, mais la peine fut de courte durée. J'eus bientôt d'autres
sujets de préoccupation, et surtout de satisfaction. Cette nouvelle rentrée
scolaire s'annonçait pleine d'imprévu. C'en était fini des écoles de garçons
et des écoles de filles. Tous les établissements scolaires étaient devenus
mixtes. J'étais tout excitée à l'idée de me retrouver en classe avec des
garçons. Par contre mes parents n'appréciaient pas trop le changement.

- C'est honteux! disait mon père.

Il fut même question de me retirer complètement de l'école et de me faire


suivre des cours par correspondance. Heureusement le projet n'eut pas de
suite.

En fait, je fus un peu déçue de cette nouvelle vie dont pourtant je m'étais
fait une fête. La vérité c'est que j'étais beaucoup trop mure dans ma tête.
Les autres filles de mon âge m'exaspéraient par la puérilité de leurs
préoccupations. Leurs jeux ne m'intéressaient pas, leur conversation me
déprimait et leur ignorance des choses du sexe me navrait. Elles ne
s'intéressaient qu'aux chanteurs en vogue, aux dernières danses à la mode.
Pour ma part j'avais dépassé ce stade. Il me fallait plus. J'avais tenté
quelques travaux d'approche auprès des garçons mais ceux-ci s'étaient
révélés encore moins intéressants, plus attirés par le football que par les
filles qu'ils semblaient même mépriser.

Pourtant je m'aperçus très vite que l'un d'eux me regardait bizarrement


chaque fois qu'il me rencontrait.

Chapitre 8 126
Perverse

Il se passa cependant presque un mois avant qu'il ne m'adresse la parole.


En sortant du cours de mathématique, je me trouvai nez a nez avec lui dans
le couloir. J'eus comme l'impression qu'il m'attendait.

Il s'approcha de moi, un sourire un peu niais au coin des lèvres. Avec des
mines de conspirateur il m'entraîna à l'écart pour me dire à voix basse :

- Je suis un copain de David...

Il semblait avoir beaucoup de mal à poursuivre. Il changea de ton, essaya


une allure dégagée, se fit vulgaire.

- Il paraît que tu suces?

J'étais un peu estomaquée par le culot du gars. Je fis mine de m'enfuir mais
il me retint fermement par le bras.

- Fais pas ta bêcheuse. David m'a raconté ce que vous faisiez dans la
cabane.

- Laisse-moi, dis-je en essayant de me dégager.

Mais il me tenait ferme.

- Viens dans les WC avec moi.

- Je veux pas.

- Si tu viens pas, je raconte à toute la classe que tu es une salope.

Je protestai faiblement.

- J'ai pas envie.

Chapitre 8 127
Perverse

- Tu vas me faire une pipe, salope! Et gare à toi si tu me suces pas comme
il faut!

Le garçon m'entraînait vers les WC qui étaient déserts, tous les élèves étant
déjà en cours.

- Il faut que j'aille en classe de science naturelle.

- On s'en fout des sciences naturelles.

J'aurais dû crier, réclamer du secours, mais j'étais comme tétanisée,


vaincue d'avance.

Le garçon ouvrit la porte de la cabine, me poussa dedans, entra à son tour


et referma la porte au verrou derrière lui.

Il avait ouvert son pantalon et sorti une grosse bite rougeâtre, bosselée de
petites veines.

- Ouvre la bouche et avale ma queue! m'ordonna-t-il.

Je ne pouvais que m'exécuter. Je me baissai vers la bite secouée de


spasmes nerveux. D'une main hésitante je la décalottai. Le gland était
luisant, visqueux, et sentait fort le poisson. Un peu à contre cœur, je le pris
dans ma bouche.

- Vas-y! Suce! Fais vite. Quelqu'un peut venir.

Je commençai à téter à pleine bouche, râpant ma langue sur le frein,


branlant la tige bien serrée dans ma main. Sucer n'avait plus aucun secret
pour moi. Je l'avais fait si souvent.
Peu à peu mes réticences s'estompaient et je prenais plaisir à pomper le
gland, à sentir les battements du sang qui affluait dans la verge, à avaler les
gouttelettes un peu salées qui perlaient en permanence à l'orifice du méat.

Chapitre 8 128
Perverse

Le garçon avait encadré mon visage de ses deux mains et lui imprimait un
rythme de plus en plus rapide.

- Je vais balancer la sauce, me dit-il en resserrant l'étau de ses mains.

Presque aussitôt je ressentis les jets qui se succédaient par saccades dans
ma bouche. Le sperme était très abondant. J'eus des difficultés à tout
avaler.

- Tu suces bien, dit le garçon en rangeant sa bite, molle à présent, dans son
slip. Mais je te préviens, ajouta-t-il, si tu vas te plaindre, je te casse la tête.

Je demeurai seule dans l'étroite cabine des WC, la langue pâteuse, les
lèvres frangées d'une fine croûte blanche, et je me rendis compte que je ne
savais même pas le nom du garçon dont je venais d'avaler le sperme.
J'appris bientôt qu'il s'appelait Yannick.

Le lendemain, Yannick réussit à me coincer de nouveau et m'entraîna


encore dans les WC, sans trop d'opposition de ma part, il faut l'avouer.
Comme toujours, le fruit défendu me tentait, mais ce qui me gênait dans
cette relation c'était une désagréable sensation de n'être qu'un objet, une
sorte de réservoir à sperme. De plus le lieu n'avait rien d'enchanteur.
L'odeur qui se dégageait de ces toilettes, pas toujours très propres, me
soulevait le cœur.

Yannick avait sorti sa bite et je la branlais doucement.

- Tu t'es déjà fait mettre?

- Qu'est-ce que tu veux dire?

- On t'a déjà enfilé une pine dans ta mounine?

- Non.

Chapitre 8 129
Perverse

- Alors tu es encore pucelle?

Presque honteuse, j'acquiesçai de la tête.

Le garçon venait de glisser sa main dans ma culotte et d'un doigt pressé


tentait de forcer l'entrée de ma chatte. L'appréhension seule de la douleur
me tira un cri strident.

- Ta gueule ou je te cogne!

- Je veux pas que tu me fourres le doigt. Tu vas me faire saigner.

Il n'insista pas. Il n'était tout de même pas tranquille à l'idée que quelqu'un
puisse m'entendre.

- Fais vite, dit-il. Suce-moi!

J'aspirai son gland et le pompai tout en branlant la queue d'un mouvement


rapide du poignet. Le résultat ne se fit pas attendre. Yannick se répandit.
Un flux abondant envahit ma bouche. Tellement que je fus incapable de
l'avaler. Je restais toute bête, les lèvres pincées, ne sachant que faire de
cette purée épaisse et chaude. Le liquide commençait à sourdre aux
commissures de mes lèvres. J'ouvris la bouche et la grosse glaire blanche
roula sur mon menton, mouilla le devant de ma robe.
Je m'essuyai tant bien que mal avec le revers de ma manche, puis avec du
papier toilette.

- Tu sens une drôle d'odeur, constata ma voisine, en classe.

Je lui dis qu'il s'agissait d'une pommade contre le rhume.

A la récréation suivante, je vis que Yannick me cherchait. Je tentai de me


cacher, mais la cour était petite. Le garçon me retrouva bien vite.

- Fais-moi encore une pipe, me dit-il.


Chapitre 8 130
Perverse

Il était accompagné de deux autres garçons de son âge.

- Ils feront le guet, me dit Yannick. Nous serons tranquilles.

- Non, je veux pas. Je t'ai déjà sucé tout à l'heure.

- J'en ai encore envie. Allez! Viens!

- Tu es fou! A cette heure là il y a toujours quelqu'un dans les WC.

- La cloche va bientôt sonner. Nous n'aurons qu'à attendre que tout le


monde soit rentré en classe.

Il avait refermé sa main sur mon bras qu'il serrait très fort. Je ne pus faire
autrement que d'obéir.

Nous nous enfermâmes une fois de plus dans les WC et je me penchai sur
la bite raide de Yannick. Le sperme fut plus long à couler, et moins
abondant. Je l'avalai sans difficultés.

- Reste-là me dit Yannick, maintenant tu vas sucer mes copains.

Affolée, je tentai de fuir, mais le garçon me retint brutalement.

- Si tu le fais pas, je te rentre le doigt dans la chatte et je te fais saigner.

J'avais des larmes plein les yeux.

Yannick sortit de la cabine.

- A toi, dit-il à l'un de ses copains.

Le garçon était rouge d'excitation. Il entra et referma la porte derrière lui


tandis que les deux autres veillaient au dehors.
Chapitre 8 131
Perverse

Il ouvrit lui-même son pantalon et sortit sa bite en faisant glisser son slip
par-dessous les couilles.

C'était une grosse andouillette, pas très longue, beaucoup moins que celle
de Yannick, mais gorgée de sang. Le gland était décalotté, luisant et
baveux. Je le pris dans ma bouche.

- T'es une vraie salope, me dit le garçon qui pour le coup était devenu
cramoisi. Tu aimes sucer?

Le mec était plutôt gonflé. J'étais en train de lui téter la queue sous la
contrainte, et il osait me demander si j'aimais ça!

Cependant, à bien y réfléchir, et ce que je n'allais pas avouer, oui, j'y


prenais un certain plaisir. J'étais plus mortifiée d'avoir cédé à la force que
de pomper cette bite qui se répandait peu à peu dans ma bouche. Le garçon
allait vider ses couilles avant même d'éjaculer vraiment.

- C'est la première fois que je me fais sucer, avoua-t-il.

Je pressai le mouvement, triturant en même temps les couilles comme


David m'avait enseigné à le faire.

Une parfaite expression de stupidité bestiale s'étalait sur la face du garçon.

- C'est bon, je jouis! répétait-il comme une litanie imbécile.

Je sentis la bite se tendre et le jus coula dans ma bouche, encore assez


abondant en dépit de ce qui déjà s'était répandu en cours de route.

Je me précipitai sur la cuvette des WC pour cracher la semence que je


n'avais pas le courage d'avaler.

Le troisième garçon entra, un sourire égrillard au coin des lèvres.


Chapitre 8 132
Perverse

- Paraît que t'es la reine pour les fellations?

Je n'avais jamais entendu ce mot mais, vu les circonstances, je l'associai


tout de suite au fait de pomper une bite et d'en extraire le jus.

- Tiens! Prends-là me dit-il en extirpant de son pantalon une verge gonflée.

Puis il ajouta :

- C'est la plus grosse de l'école. Elle fait déjà quinze centimètres. Et quand
je serai grand elle en fera au moins vingt!

Il était très fier de sa virilité.

En fait c'est vrai que cette bite me parut énorme, c'était la plus grosse de
celles que j'avais déjà tétées. Il me fallut distendre mes lèvres pour
l'absorber. Je la tenais ferme dans ma main, qui n'en faisait pas
complètement le tour, pour éviter que le gars ne me la plante tout à coup
dans la gorge.

- J'ai déjà fourré une maîtresse, me dit le garçon avec orgueil. Je lui ai
défoncé la chatte un soir après la classe.

Pendant que j'agitais ma langue le long de son frein, il me raconta que la


maîtresse lui avait demandé de rester après les cours pour l'aider à ranger.
Puis elle l'avait embrassé, lui avait mis la main au paquet s'extasiant devant
l'abondance de la chose. Après quoi elle s'était assise sur le rebord du
bureau, la jupe troussée.

- Elle n'avait pas de culotte, me dit le garçon. Et sa moule était tout ouverte
et baveuse.

La maîtresse avait sorti la queue raide du garçon et l'avait guidé vers sa


bouche sexuelle.
Chapitre 8 133
Perverse

- Elle m'a dit de m'enfoncer, poursuivit le garçon.

J'agitais ma tête d'avant en arrière tout en compressant très fort la tige


gorgée de jus, pour le faire éjaculer très vite.

- Putain que c'était bon! conclut-il. C'était tout mouillé et chaud. La salope
criait que je la faisais jouir, que j'étais un vaurien, et aussi son petit chéri.
Quand je lui ai balancé la purée, j'ai cru qu'elle allait s'évanouir.

A cet instant il se laissa aller. Les jets tenaient la promesse de la bite. Je


crus que jamais le gros tuyau n'allait cesser de couler. Ce n'étaient pas
vraiment des saccades, mais presque un jet continu, comme quand
j'appuyais sur la poire à lavement.

Une fois de plus je me précipitai sur la cuvette pour cracher la matière


épaisse et chaude.

Le garçon riait bêtement en me voyant cracher ainsi le jus de ses couilles.

- Quand on fait le concours avec les copains, c'est toujours moi qui jute le
plus.

Pendant les jours qui suivirent, les séances se succédèrent. D'autres copains
de Yannick s'étaient joints au groupe. Je séchais de plus en plus les cours.
Un jour je suçai ainsi jusqu'à dix garçons d'affilé. La chose peu à peu avait
fini par se savoir. Mes copines me regardaient d'un drôle d'air, et même
s'éloignaient de moi sous prétexte que j'avais trop mauvaise haleine. Car il
n'était pas question pour moi de me laver les dents après chaque fellation.
Pendant des heures je restais avec ce goût de sperme dans la bouche, goût
que même les bonbons à la menthe n'arrivaient pas à estomper. Le soir en
rentrant chez moi, je me précipitais dans la salle de bain et me lavais
complètement car j'avais l'impression que l'odeur du sperme séché
imprégnait ma peau. Je changeai aussi chaque jour de vêtements.

Chapitre 8 134
Perverse

- Notre fille se fait coquette, plaisantait ma mère.

Cependant mes fréquentes absences ainsi que celles des garçons avaient
alerté les autorités du collège. Je fus convoquée chez le directeur à qui je
ne pus que donner des explications vaseuses qui ne le convainquirent pas.
Ce proviseur était un brave homme et il ne donna pas suite, n'avertit pas
mes parents, contre la promesse formelle de ne plus m'absenter sans raison
valable.

L'alerte avait été assez forte pour inquiéter Yannick et ses copains. Ils se
firent plus discrets. Je retrouvai pour un temps une certaine tranquillité.

Pourtant je n'en avais pas fini avec Yannick. Un dimanche à midi, ma mère
m'avertit que nous aurions des invités, un collègue de travail et sa femme,
accompagnés de leur fils.

Le fils c'était Yannick.

- Tu me fais visiter ta cabane? me demanda-t-il après le dîner. David m'a


dit que c'était super.

- Mais oui, vas-y! avait insisté ma mère. Et emportez ce qui reste de


gâteau. Vous le mangerez là-bas.

Je ne pouvais vraiment pas refuser.

Curieusement, Yannick me sembla différent du garçon hâbleur et macho


que j'avais connu jusqu'alors. Il était presque gêné de se trouver en
tête-à-tête avec moi. Jusqu'alors nous n'avions pas échangé dix mots. Notre
relation se limitait à quelques giclées de sperme avalées à la hâte dans les
toilettes du lycée.

Nous avions posé les parts de gâteau au chocolat sur la table.

Chapitre 8 135
Perverse

- J'ai lu un livre érotique, hier, dit Yannick après avoir hésité un instant sur
la manière d'aborder le sujet. Le type tartinait de chocolat la chatte de la
fille et après il la léchait.

Comme il ne s'agissait pas d'une question et que je n'avais pas d'opinion


sur le sujet, je me contentai de secouer la tête pour bien signifier que je
participais à la conversation.

- Tu veux qu'on essaye? proposa Yannick.

L'idée était amusante.

- Pourquoi pas.

- Baisse ta culotte.

C'était un geste que j'avais déjà accompli si souvent en ce lieu que je n'eus
aucune hésitation. Je me déculottai, relevai ma jupe et m'assis sur le rebord
du divan, les jambes repliées contre ma poitrine, les cuisses bien ouvertes.

Yannick semblait très intéressé par mon petit abricot imberbe. Je suis
certaine que jusqu'alors les seules chattes qu'il avait vues étaient celles des
revues spécialisées achetées en douce dans les kiosques à journaux. En ce
temps-là le cinéma porno n'existait pas (pas ouvertement) et l'Internet
n'était pas encore inventé. Et surtout les filles ne s'exhibaient pas aussi
facilement qu'elle le font aujourd'hui. Pour qu'une fille montre son intimité
il fallait pour le moins une promesse de mariage. J'étais vraiment très en
avance sur mon temps.

Yannick m'ouvrit la fente pour découvrir mes petits trésors, la muqueuse


rosée, brillante, le minuscule bouton du clitoris recouvert de sa capuche et
sous lequel se joignaient les lèvres en un ravissant petit triangle presque
brun, et l'ouverture vaginale encore si étroite.

Chapitre 8 136
Perverse

Le souffle court, le visage envahi d'une soudaine rougeur, le garçon


commença d'une main un peu tremblante à me tartiner la moule de crème
au chocolat. Je faisais pression de mes mains sur le pubis pour bien faire
saillir le clito qui n'était alors qu'un toute petite bille.

C'était très excitant de voir ma motte couverte de chocolat, et ma vulve


remplie à ras bord comme une coupe.

Yannick s'agenouilla entre mes cuisses et entreprit de lécher le chocolat. Il


léchait à grands coups de langue, fouillait la blessure sexuelle, recueillait la
crème qui était rentrée jusque dans le fourreau, l'extirpait, l'avalait avec
une satisfaction évidente.

Moi, je me laissais faire, ravie.

Yannick se redressa. Il avait le visage barbouillé de chocolat. Ce qui me fit


rire.

- Si tu te voyais...

Mais ça ne semblait pas le préoccuper. Il avait sorti sa bite qui bandait à


l'horizontale.

- Tu veux une bite au chocolat?

Sans attendre ma réponse, Yannick commença à s'enduire la verge de


crème. On aurait dit la queue d'un black que j'avais vue récemment dans un
des films de mon oncle. Il s'allongea sur moi, tête-bêche, plaça son sexe au
niveau de ma bouche et revint caler son visage entre mes cuisses.

Je pris la bite dans la bouche. C'était délicieux ce mélange de sperme et de


chocolat. Je suçais avidement, goulûment. Avec ma langue je nettoyais la
hampe, la base du gland. Du bout des lèvres, comme un baiser abject,
j'aspirais les gouttes gluantes qui suintaient à l'extrémité de la tige.

Chapitre 8 137
Perverse

- C'est super, non?

Je devais être belle à voir, moi aussi, avec moustaches et barbe.

- Je vais t'en mettre aussi dans la raie du cul, annonça Yannick.

Il me retourna, m'ouvrit les fesses et me badigeonna de crème. Il jouait


avec ma rondelle, faisant mine d'y pousser son doigt. Comme je ne
manifestais aucune réaction négative, il insistait, faisait entrer la crème
dans le conduit étroit. Puis il s'arrêtait, léchait le tout, recommençait. Il
rentra une première phalange dans le trou, puis il fit pénétrer tout son
doigt. La crème au chocolat se révélait un lubrifiant précieux.

- Bouge pas, me dit-il, je vais te mettre ma queue.

- Non, elle est trop grosse! Elle va me faire mal.

- Dis pas de conneries. Elle va glisser dans ton cul comme dans du beurre.

Je ne résistai pas. J'étais trop curieuse de savoir quelle sensation pouvait


me procurer une vraie bite. J'étais un peu lasse des carottes.

Yannick guida sa tige vers mon trou du cul.

- Va doucement surtout.

Mais sa bite dérapa dans la raie.

Yannick s'énervait. Il posait bien la pointe du gland sur ma rondelle mais,


dès qu'il poussait, le gland, au lieu de dilater l'anus et de s'insinuer dans le
canal, glissait.

Le visage de Yannick ruisselait de sueur. Sa mâchoire se contractait. Sa


respiration s'accélérait.

Chapitre 8 138
Perverse

- Tu vas te laisser pénétrer? Oui? me cria-t-il exaspéré.

Comme si c'était de ma faute!

Il essaya encore de me pénétrer mais ne réussit qu'à s'exciter d'avantage.

- Mets-toi à genoux, me suggéra-t-il.

Docile, j'obéis.

Il écarta mes fesses et plongea son visage entre les lobes charnus. Sa
langue fouillait mon trou du cul, me le remplissait de salive mêlée à la
crème au chocolat. Il me fourra un doigt qui ne rencontra aucune
résistance. Mon sphincter était très souple, je le savais par expérience.

J'avais enfoui ma tête dans les coussins du divan et je creusais mes reins
pour présenter mon trou du cul dans la meilleure position possible.
Yannick s'agenouilla derrière moi. D'une main il maintenait mes fesses
ouvertes, de l'autre il guidait sa tige.

Je sentis mes chairs écartelées, distendues. Le gland venait de forcer le


passage. La bague s'était resserrée comme pour l'emprisonner. Mais la
douleur était supportable.

La bite de Yannick, à se sentir ainsi aspirée, pressée, s'était encore durcie.


Ce qui ne facilitait pas l'introduction.

- Fais pas trop fort, demandai-je à Yannick. Ta bite est trop grosse.

Mais le garçon ne pensait plus qu'à me bourrer jusqu'au fond. Je l'aidais de


mon mieux en remuant ma croupe, cherchant l'angle qui faciliterait
l'introduction en m'occasionnant le moins de douleur possible.

- Voilà, constata Yannick. On y est!

Chapitre 8 139
Perverse

La grosse saucisse venait de s'introduire d'un trait. Elle avait coulissé dans
le canal avec une facilité qui m'étonna. Le ventre de Yannick claqua contre
mes fesses.

Si je ne ressentais pas un vrai plaisir de femme par les va-et-vient de la bite


dans mon cul, par contre, je trouvais ça très agréable. La douleur avait
disparue. Je crois que ce qui me plaisait le plus c'était la facilité avec
laquelle cette queue glissait en moi.

- Je vais juter, m'avertit Yannick.

Presque aussitôt je constatai que le membre se tendait, le gland se dilatait


au fond de mon cul. Je pris mon premier lavement de sperme. Par saccades
le jus se répandait dans mon ventre. Yannick donnait de violents coups de
reins qui me projetaient en avant. Il me tenait par la taille et ses doigts se
plantaient dans ma peau, laissant des marques rouges.

- C'est bon le cul! Tiens! Prends toute ma purée!

J'étais ravie de cette liqueur qui se déversait en moi, de ce membre qui


distendait le fourreau, de ces couilles qui battaient contre mes fesses.

- Comment on va faire? s'inquiéta Yannick. On est tout barbouillé de


chocolat.

J'étais en train de lui nettoyer la bite avec un mouchoir en papier. Mais ce


qui préoccupait le plus Yannick c'était nos visages. Nous avions beau
frotter nous ne faisions qu'amplifier le désastre car je n'avais pas d'eau dans
ma cabane.

- Il y a le tuyau d'arrosage dans le jardin, lui dis-je pour le rassurer.

Nous nous débarbouillâmes tant bien que mal pour cacher le plus possible
les traces de notre débauche. Nous n'y réussîmes qu'à moitié. Quand nos
parents nous virent, ils ne purent s'empêcher d'éclater de rire.
Chapitre 8 140
Perverse

- On voit que le gâteau vous a plu!

Je ne me sentais pas très à l'aise avec ma moule et ma raie tartinées de


chocolat, et le sperme de Yannick qui s'échappait de mon trou du cul et
imbibait ma petite culotte.

On nous envoya dans la salle de bain pour achever le débarbouillage. Je


ressentais de fortes coliques mais j'étais bien heureuse d'avoir été enculée
pour la première fois.

Chapitre 8 141
Chapitre 9

J'abordais maintenant la terminale. J'étais toujours un peu isolée parmi mes


camarades. En fait, je n'avais jamais réussi à m'intégrer. Les garçons ne me
cherchaient que pour se faire sucer ou pour m'enculer, et les filles me
méprisaient, me regardaient comme une bête répugnante. J'avais ma place
au fond de la classe, assise seule à un petit bureau que personne ne voulait
partager avec moi. Jusqu'au jour où Manuella fit son apparition.

Manuella était gitane et vivait avec ses parents dans une caravane. Elle
suivait une scolarité épisodique, allant d'un lycée à l'autre au grès des
pérégrinations familiales, un jour ici, un autre là, un mois dans un lycée,
quinze jours dans l'autre.

Nous sympathisâmes tout de suite. Nous avions le même âge, mais comme
toutes les filles de sa race qui sont très précoces, elle semblait déjà une
femme faite. De petits seins ébauchaient de jolies rondeurs sous son
corsage alors que ma poitrine tardait à se développer. Elle était très brune,
de cheveux et de peau, avec des yeux très grands, d'un noir profond.

Manuella avait choisi de venir s'asseoir au fond de la classe et de partager


mon banc. Aucune des filles n'avait recherché son amitié. Toutes
méprisaient autant la "gitane" que la "salope". Ce qui nous avait forcément
rapprochées Manuella et moi.

Nous nous intéressions fort peu à la classe et passions notre temps à


bavarder à voix basse, au grand dam des professeurs.

- Tu sais, me dit un jour Manuella pendant que le prof de mathématique


tentait de nous expliquer un problème complexe d'algèbre, je ne suis plus
pucelle.

Chapitre 9 142
Perverse

- Tu l'as déjà fait?

- Oui,avec mon cousin. C'est un homme. Il a vingt et un ans.

J'écarquillai les yeux. Elle l'avait fait avec un vieux de vingt et un ans!

- Raconte-moi.

- Au début ça fait mal. Mais après ça va.

- Et tu le fais souvent?

- Tous les jours. Mon cousin a sa caravane dans le même campement que
mes parents.

Je fis alors quelques confidences à ma copine.

- Tu mets les bites dans ta bouche? s'étonna-t-elle. C'est dégoûtant. Jamais


je ferais une cochonnerie pareille.

- Et j'avale le jus, dis-je avec une pointe d'orgueil.

Manuella fit la grimace.

- T'es vraiment sale.

- T'as jamais sucé ton cousin?

- Tu es folle! Ça se fait pas chez nous!

- Tu te fais pas enculer, non plus?

Manuella me regarda d'un air étonné.

- Qu'est-ce que ça veut dire?


Chapitre 9 143
Perverse

- Au lieu de te fourrer la bite dans la mounine, on te la met dans le cul.

- La bite peut rentrer, complètement?

- Bien sûr.
Jusqu'au fond.

Manuella semblait sceptique.

- Je te crois pas. Le trou est trop étroit.

- Mais non! Tu veux me mettre un doigt dans le cul pour voir?

- Grosse sale!

Manuella resta un moment silencieuse. Je venais d'ouvrir pour elle une


fenêtre sur un monde qu'elle ne soupçonnait même pas. Pour elle le sexe
était quelque chose de naturel, d'animal, mais qui ne faisait appel ni à
l'imagination, ni à la fantaisie.

- Mais quand un garçon te la fourre dans le derrière, il la ressort pas pleine


de merde?

- Si, quelquefois. Mais après il se lave.

- Et tu aimes te faire enculer?

Je haussai les épaules.

- C'est rigolo. Tu sens la grosse saucisse qui te remplit le trou et qui glisse.
Les garçons adorent ça. La bite est serrée très fort. Alors ils crachent vite
leur purée.

Chapitre 9 144
Perverse

- Dans la mounine c'est pareil, m'avoua Manuella. Mon cousin fait sortir et
rentrer sa queue très vite. On dirait qu'il perd la tête parce qu'il dit des mots
idiots et il me plante ses ongles dans les épaules quand il coule.

- C'est bon?

Manuella hésita.

- Au début j'aimais pas trop. J'avais trop mal. La première fois j'ai saigné.
Beaucoup. Maintenant ça va. C'est bien amusant.

- Tu as pas peur d'avoir un enfant?

- Non! Mon cousin dit que je ne risque rien parce qu'il se retire chaque fois
au dernier moment. Il se fait couler sur mon ventre.

A ce moment, furieux de nos messes basses, le professeur nous ordonna


d'aller toutes les deux au tableau.

- Puisque ce que je dis n'a pas l'air de vous intéresser c'est que sans doute
vous connaissez déjà parfaitement le sujet. Alors s'il vous plaît prenez
chacune un bâton de craie et résolvez le problème suivant.

Après quoi il aligna sur le tableau quelques signes qui ne nous inspirèrent
pas, Manuella et moi. Si bien qu'une fois de plus nous nous trouvâmes en
butte aux railleries de nos camarades.

A la sortie de l'école, Manuella me proposa de venir chez elle, dans sa


caravane. C'était tentant. Pourtant j'hésitai un moment avant d'accepter.
Depuis le début de cette année scolaire mes parents me permettaient bien
de rentrer seule à la maison - qui en fait n'était pas très éloignée du lycée -
mais ils s'inquiétaient toujours du moindre de mes retards.

Je finis pourtant par accepter l'invitation de Manuella.

Chapitre 9 145
Perverse

- D'accord, mais avant il faut que je prévienne mes parents.

Manuella m'accompagna jusque chez moi. Je savais qu'en sa présence mes


parents ne pourraient pas refuser. Je leur dis que ma copine et moi avions
un devoir commun à faire pour le lendemain, que nous allions le faire chez
elle et que je rentrerais avant la nuit. Bien sûr je ne leur révélais pas que
Manuella habitait dans une caravane au campement gitan. Je dis seulement
que c'était dans le quartier et j'ajoutai que les parents de Manuella n'avaient
pas le téléphone, pour éviter les appels inquiets toutes les dix minutes.

La mère de Manuella entretenait un feu de bois devant la grande caravane


qui servait de maison à la famille. Le père grattait la guitare, entouré d'une
nombreuse marmaille.

- Nous allons faire nos devoirs dans ma chambre, annonça Manuella.

Car Manuella avait sa propre chambre dans la caravane.

Je fus surprise de l'ordre et de la propreté qui régnaient là, ainsi que du


confort dont jouissait la famille de la gitane. Après les ragots que j'avais
entendus à l'école concernant la façon de vivre des gitans, je m'attendais à
rentrer dans un capharnaüm infect, sale, rempli de toiles d'araignées.

En fait la chambre de Manuella était beaucoup mieux entretenue que la


mienne. Le lit était fait, les affaires de classe étaient soigneusement
rangées sur des étagères. Un tapis couvrait le sol et des posters ornaient les
murs.

- C'est super chez toi! m'exclamai-je admirative.

Comme j'aurais aimé moi aussi vivre dans une caravane!

- Je vais te montrer, me dit aussitôt Manuella après avoir fermé la porte de


sa chambre à clé.

Chapitre 9 146
Perverse

Sans la moindre pudeur, elle retroussa sa jupe et baissa sa culotte. Puis elle
s'assit sur le lit, les genoux ramenés sur sa poitrine. Une broussaille sombre
frisait au bas de son ventre et cachait la fente sexuelle. Manuella, comme
une écolière appliquée, écarta les poils et offrit à ma vue des lèvres
épaisses, noires, fripées, qui ressemblaient à deux grosses limaces
endormies côte à côte. Quelle différence avec ma chatoune! Chez moi tout
était à l'intérieur, bien caché, un véritable petit abricot pas encore tout à fait
mûr.

Manuella avait écarté ses lèvres. La muqueuse était d'un rouge vif,
sanglant, obscène par le contraste qu'elle faisait avec la peau presque noire
de la gitane.

Les nymphettes froissées, dentelées, rejoignaient un clitoris déjà de belle


taille qui pointait sous une capuche épaisse.

- Regarde! me dit Manuella.

D'un trait elle s'introduisit un doigt dans la chatte.

J'étais émerveillée de voir avec quelle facilité ce doigt avait glissé dans le
fourreau humide. Pour arriver au même résultat il me fallait user de mille
précautions et c'était toujours un peu douloureux.

- Tu vois, dit Manuella. Plus de problèmes! L'hymen s'est déchiré et


maintenant le passage est libre.

Pour bien illustrer sa démonstration, elle fit coulisser son doigt très vite,
plusieurs fois de suite. Puis elle ajouta un deuxième doigt et poursuivit sa
masturbation.

- Tu veux essayer de me mettre ton doigt? me proposa-t-elle.

C'était trop tentant.

Chapitre 9 147
Perverse

Manuella maintenait sa fente ouverte à deux mains. La bouche du vagin


restait béante. J'y glissai un doigt. L'intérieur était souple, chaud, gluant.
Une bouffée de chaleur se répandit dans tout mon corps. Je sentis le sang
battre à mes tempes, très fort.

- Branle-moi, dit la petite gitane.

Je commençai des mouvements de va-et-vient.

- J'adore, soupira Manuella. Je me le fais plusieurs fois par jour.

- Ton cousin ne te masturbe jamais?

- Non! Lui il me fourre sa bite tout de suite et il lâche sa purée. Après je


me touche, quand il est parti, pour me finir. J'aime tremper mes doigts dans
ma chatte quand elle est pleine de jus. Ça fait un joli bruit.

- Tu veux que je t'embrasse la mounine?

- C'est sale!

Je haussai les épaules.

- Mais non! Et c'est vachement bon.

- Essaye, souffla Manuella. Je te dirai si j'aime.

Elle se laissa tomber sur le lit, les bras croisés sous sa tête, les cuisses
relevée et ouvertes en grand. J'approchai ma bouche de la fente déjà
refermée. Avec le nez je me frayai un chemin dans la touffe de poils et je
posai mes lèvres sur les lèvres vaginales. Manuella frissonna.

Je déposai tout d'abord quelques baisers légers, puis, je me frayai un


passage à la pointe de la langue. Le mucus de Manuella était très épais, très
odorant, quelque peu acide. Je le léchai avec avidité. Je glissai ma langue
Chapitre 9 148
Perverse

dans la grotte. Les glandes qui en gardaient l'entrée sécrétaient un suc


abondant dont je me délectais. En même temps j'avais glissé une main sous
les fesses de la fille et d'un doigt je lui titillais l'anus.

La gitane roucoulait comme un petit pigeon.

- Qu'est-ce que c'est bon! C'est meilleur que la bite! J'aime ce que tu me
fais! Continue.

Peu à peu je faisais pénétrer mon doigt dans son trou du cul. Manuella
tortillait du bassin pour faciliter l'introduction.

- Oui! Fais-moi ça!

Soudain, sans prévenir, j'aspirai son clitoris et me mis à le téter goulûment.


La surprise fut telle que Manuella ne put réprimer un cri.

- Tais-toi, dit-je. Ta mère va se demander ce qu'on fait!

- C'est trop bon! répondit Manuella à mi-voix. J'ai senti comme de


l'électricité dans la chatte et puis c'est monté dans mes reins.

J'agaçais le petit bouton avec la pointe de ma langue. J'avais maintenant un


doigt complètement planté dans l'anus de la gitane.

Je continuai à lécher et à sucer pendant un long moment. Les soupirs de


Manuella allaient croissant.

- J'y suis presque, murmura la gitane.

Elle agitait bras et jambes, incapable de se contrôler tandis que le plaisir


l'envahissait. Les dents serrées, elle réprimait la violente envie de hurler
qui lui venait avec l'orgasme. Elle donnait des coups de pied dans le vide,
se cramponnait au drap.

Chapitre 9 149
Perverse

Enfin son corps retomba, épuisé, anéanti. Elle semblait à bout de souffle.

Au bout de quelques secondes, elle se retourna vers moi.

- Tu veux bien que je te fasse la même chose? me proposa-t-elle.

Je n'allais tout de même pas refuser.

En rien de temps ma culotte alla rejoindre celle de Manuella sur le


plancher de la caravane.

- Tu n'as pas de poils? s'étonna Manuella en découvrant ma motte imberbe.

Elle effleurait ma fente d'un doigt léger. J'avais des frissons dans tout le
corps.

- Ta chatte est trop belle. J'adore.

- Tu peux l'ouvrir.

Délicatement, comme si elle ouvrait une belle figue mure, Manuella écarta
les lèvres de la blessure sexuelle. Elle découvrit la muqueuse à peine rosée,
tellement différente de la sienne. En écartant la viande, elle fit béer
l'ouverture du vagin et s'amusa un moment avec la membrane de l'hymen.

- Tu voudrais pas que mon cousin te dépucelle?

- J'ai trop peur de souffrir.

- Mais non, c'est rien. Tu vas avoir un peu mal quand la bite va rentrer et
puis au bout d'une minute tu n'y penseras plus.

J'hésitais. Souvent mes copains de l'école, ceux qui me fourraient par le


cul, s'étaient montrés pressants pour me dépuceler, mais j'avais toujours
refusé. Uniquement par peur de la douleur. Cependant l'envie me travaillait
Chapitre 9 150
Perverse

le ventre. Parfois je tentais de m'enfiler un doigt avec l'idée d'agrandir


l'ouverture mais c'était toujours douloureux et plus j'insistais plus je
souffrais.

- Tu n'as pas de clitoris? s'étonna Manuella en retroussant le petit


capuchon.

- Bien sûr que si. Mais il est minuscule.

Maladroitement, Manuella posa sa bouche sur ma moule. Elle hésitait à


mettre la langue. Peu à peu, pourtant, elle s'enhardit et trouva les points
sensibles. Pour moi ce n'était pas une découverte. Bien des garçons me
l'avaient déjà fait. Mais souvent d'une manière un peu sauvage, un peu
brutale, bien différente de la douceur dont faisait preuve la gitane.

Je me laissais faire, le corps entièrement abandonné au plaisir qui


m'envahissait, les cuisses écartées, les doigts crispés sur la nuque de ma
compagne.

- Viens au-dessus de moi, murmurai-je. Ainsi on peut se le faire toutes les


deux en même temps.

Manuella avait déjà compris. Ses cuisses vinrent encadrer mon visage et sa
chatte se posa sur ma bouche. Aussitôt je me remis à sucer son clitoris
pendant que la gitane fouillait ma grotte de sa langue pour en extraire tout
le jus.

Je m'amusais avec le trou du cul de Manuella. J'y fourrais un doigt puis le


ressortais complètement. Alors je jouissais de voir la petite rondelle
sombre qui tardait à se refermer. De son coté, Manuella, inspirée et
encouragée par ce que je lui faisais, devenait entreprenante. Elle copiait
chacun de mes gestes. Je l'aidais de mon mieux, en soulevant ma croupe.

Elle n'était pas encore très habile et me blessa légèrement en mettant son
doigt. Mais mon cul était tellement souple pour avoir été visitée tant de
Chapitre 9 151
Perverse

fois, que le doigt trouva quand même son chemin.

- C'est un peu dégoûtant, avoua Manuella. Le cul c'est jamais bien propre.
Mais tu es sûre qu'une bite peut rentrer? C'est pourtant plus gros qu'un
doigt!

- Je te dis que je l'ai fait souvent. Je me fais enculer dans les cabinets.

- Moi, j'oserais pas.

- Après, quand je rentre en classe, y a le sperme qui coule dans ma culotte


et je suis toute mouillée.
Et l'odeur! Je te dis pas! Toutes les filles font la grimace. Elles ne veulent
pas s'asseoir à côté de moi.

Manuella se mit à rire.

- Ce sont toutes des hypocrites. Elles feraient une drôle de tête si elles nous
voyaient en ce moment.

Mais le rire de Manuella se transforma bientôt en un râle sourd, continue.

- Encore! N'arrête pas! C'est bon!. Je vais encore jouir.

J'accentuai la pression de ma bouche sur le clitoris qui avait atteint une


taille honnête. Je le suçais comme une petite verge. Manuella plantait ses
ongles dans mes fesses.

- C'est la première fois que j'ai autant de plaisir, dit-elle.

Elle agitait sa croupe en tous les sens, sans pour autant cesser de me
gougnoter.

Elle se laissa aller pour la seconde fois. Un jus épais coula de sa moule
dans ma bouche.
Chapitre 9 152
Perverse

Elle jouissait si fort qu'elle me blessait les lèvres dans les mouvements
violents qu'elle imprimait à ses reins. Elle perdait toute contenance. Pour
éviter de crier, elle mordit le drap.

Ses nerfs à vif ne pouvaient plus supporter le moindre effleurement. Je dus


abandonner sa chatte qui se contractait par saccades.

- Arrête, me dit Manuella. Maintenant ça me fait comme le crissement de


la craie sur le tableau.
Mais c'était super.

Elle m'embrassa à pleine bouche et nous mélangeâmes nos langues en un


long baiser.

- Ton doigt dans le cul m'a donné envie d'aller au cabinet.

- C'est normal, lui expliquai-je. Au début j'avais toujours l'impression qu'il


me fallait aller chier.

- Viens avec moi au WC, me proposa-t-elle.

Sans remettre nos culottes, mais en laissant retomber nos jupes, nous nous
rendîmes dans le petit réduit qui renfermait la cuvette des WC, au fond de
la caravane. Nous avions de la peine à tenir toutes les deux là dedans.

Manuella la première s'assit sur la cuvette.

- Je n'y arrive pas, remarqua-t-elle au bout de quelques secondes. J'ai envie


et y a rien qui vient.

- C'est normal, la rassurai-je. On a l'impression qu'on a envie mais il ne


sort rien.

Manuella me laissa la place.


Chapitre 9 153
Perverse

- Moi j'ai seulement envie de faire pipi, dis-je.

- Je peux te toucher quand tu fais pipi?

- Si tu veux.

Manuella plaqua sa main sur ma chatte et j'ouvris grand les vannes. La


pisse coula d'un jet ininterrompu et violent.

- C'est chaud! constata Manuella.

Nous sortîmes du réduit en riant comme deux folles. Manuella respirait sa


main humide.

- Ça sent fort le pipi!

- Va te laver.

- Non! J'aime trop cette odeur.

Chapitre 9 154
Chapitre 10

Manuella et moi étions devenues inséparables. Chaque soir à la sortie du


lycée nous allions soit dans sa caravane, soit dans ma cabane. Mes parents
ne voyaient pas cette fréquentation d'un bon œil. Aussi la plupart du temps
Manuella me rejoignait en secret. Ou alors j'inventais un devoir à faire
avec telle copine ou telle autre. Par contre j'étais bien acceptée par les
gitans, à l'exception de ce fameux cousin Tonio qui avait défloré ma
copine et continuait à avoir des rapports presque journaliers avec elle.

Tonio était encore plus noir que Manuella. Il me faisait un peu peur car il
avait de petits yeux sournois, et les regards qu'il me jetait me mettaient
toujours mal à l'aise.

Tonio me détestait. Il faut dire que l'heure d'après la classe était celle où il
avait le plus de facilité pour coincer Manuella dans un coin, la trousser et
la bourrer à la vite vite, derrière un arbre ou même cachés entre les tombes
du cimetière voisin. D'après ce que me racontait ma copine, ces
copulations n'excédaient guère cinq minutes. Le garçon ne lui retirait
même pas sa culotte. Il la prenait le plus souvent debout, par-derrière et
lâchait sa purée entre ses fesses après deux ou trois va-et-vient.

Ma présence était un empêchement pour lui. Souvent il venait rôder autour


de la caravane, appelait Manuella ou pénétrait dans la chambre sous un
prétexte quelconque, s'adressait à sa cousine dans une langue que je ne
comprenais pas. Manuella lui répondait alors que nous étions occupées,
qu'il fallait qu'il attende, ce qui le mettait de fort mauvaise humeur.

Parfois il n'en pouvait plus d'attendre, alors il entraînait Manuella dans les
WC. Peu de temps après je la voyais revenir, une lueur malicieuse dans ses
yeux noirs. Elle se troussait et me montrait le sperme que Tonio avait fait
couler en pressant sa bite entre les globes ronds et fermes de ses fesses.

Chapitre 10 155
Perverse

Nous le recueillions à la pointe du doigt que nous portions ensuite à la


bouche, comme une gourmandise. Car j'avais réussi à faire partager à la
gitane mon goût pour la liqueur séminale.

- On est de vraies cochonnes, disait Manuella en suçant ses doigts


poisseux.

Tonio ne manquait jamais une occasion d'être désagréable avec moi.

Un jour, j'attendais Manuella que sa mère avait envoyée faire une


commission. Je me promenais dans le camp alors désert. C'était l'époque
de la cueillette des cerises et toute la famille était aux champs. Soudain je
tombai sur Tonio en train de bricoler sur une vieille Chevrolet que depuis
quelques jours il tentait de remettre en état.

Quand il me vit, il eut un regard mauvais.

- Viens voir par ici, toi! me lança-t-il.

Pas très rassurée, je m'approchai.

- Tu as déjà vu le diable? me demanda-t-il.

Je lui répondis que non.

- Eh bien, regarde!

Il ouvrit sa braguette et extirpa sa bite raide, par l'échancrure du slip.


C'était une tige très noire, assez courte, fine et terminée par un gland
encore plus noir, que le gitan avait violemment décalotté.

Tonio pensait m'effrayer en exhibant sa queue. Il ne pouvait pas savoir que


j'avais déjà une grosse pratique des garçons et que ce spectacle loin de me
faire fuir m'enchantait.

Chapitre 10 156
Perverse

- Et quand le diable est en colère tu sais ce qu'il fait? Il te crache dessus.

Il s'astiquait la bite vigoureusement et presque aussitôt les jets de sperme


fusèrent. Le garçon était debout, les jambes un peu fléchies, sa bite noire
fortement enserrée dans la main. Il tirait sur le frein avec force. Les jets
étaient si violents que toute la purée vint s'accrocher à mon corsage.

Tonio riait d'un rire parfaitement idiot pendant que je m'essuyais avec un
mouchoir en papier. Mais il n'ajouta pas un mot. Il rengaina son engin.
Manuella arrivait.

Depuis ce jour, Tonio ne perdit jamais une occasion de me provoquer.


Soit, il me montrait sa pine ou ses couilles, soit, furtivement, par-dessus le
pantalon, il se prenait le paquet et le secouait.

Je racontais tout à Manuella et nous riions toutes deux comme des petites
folles.

- J'ai dit à Tonio que tu t'étais déjà fait pénétrer par le derrière, m'avoua la
petite gitane.

- Et alors?

- Alors il a dit que tu étais une salope et une grosse sale parce que le cul
c'est pas fait pour ça, et que lui jamais il fourrerait sa bite dans de la merde.

- C'est un con.

Pourtant je savais que Manuella n'était pas loin de partager l'opinion de


Tonio. Même si elle ne refusait pas mon doigt dans son petit trou, elle avait
toujours quelques réticences à me rendre la pareille.

Les grandes vacances approchaient. J'allais bientôt retrouver ma


grand-mère. Quant à Manuella, avec toute sa famille elle devait gagner un
autre campement à l'autre bout du pays. Donc pendant au moins deux mois
Chapitre 10 157
Perverse

nous ne nous verrions plus.

La gitane me mettait la pression. Chaque jour elle se faisait plus insistante


pour que je consente à sacrifier ma virginité sur l'autel du cousin Tonio.
J'étais à la fois tentée et réticente. Le regard sournois du gitan ne m'incitait
pas à lui ouvrir mes cuisses. De plus je le savais brutal ou, pour le moins,
peu raffiné.

- C'est l'affaire de cinq minutes, insistait Manuella. Il te déchire la


membrane, tu vas faire une petite grimace, un peu de sang va couler de ta
chatoune et tu seras tranquille. Après, au lieu de te faire enculer, tu pourras
te faire mettre par-devant.

- J'aimerais mieux que ce soit un autre que Tonio.

Quand je répondais ça, Manuella haussait les épaules. Comme elle avait
été déflorée par son cousin, elle pensait que nul autre ne pouvait être plus
efficace que lui pour cet acte, chirurgical en quelque sorte.

Cependant, l'idée faisait du chemin dans ma petite tête. Souvent à l'aide


d'un miroir j'observais mon abricot. Je l'ouvrais en grand, un peu
désespérée devant sa texture si lisse, si pâle, comparée à la chatte juteuse,
tourmentée, colorée de ma grand-mère ou même à la figue déjà bien mûre
de Manuella. J'avais beau presser sur les glandes, il en sortait bien peu de
jus. J'effleurais du bout du doigt cette membrane, objet de toutes mes
préoccupations. Je tentais délicatement de glisser un doigt dans mon vagin
mais avec une telle appréhension d'une possible douleur que le canal se
serrait, empêchait toute pénétration.

Un jour, lasse des moqueries de Manuella, je lui dis que j'étais d'accord
pour perdre mon pucelage si elle-même acceptait de se faire sodomiser.
Elle grimaça.

- Tonio ne voudra jamais me la mettre dans le petit trou, dit-elle comme


soulagée.
Chapitre 10 158
Perverse

Mais je ne me tenais pas pour battue. Tonio n'était pas le seul mâle du
pays. Yannick par exemple possédait à présent une bonne pratique de la
sodomie. Il suffisait pour moi d'arranger un rendez-vous. Ce qui me fut
facile.

J'invitai Manuella et Yannick le même jour pour un goûter dans ma


cabane. Ils ne se connaissaient pas. Quoique de même niveau scolaire,
nous étions dans des classes différentes.

Les parents de Yannick ayant développé une bonne relation amicale avec
les miens, je rencontrais souvent le garçon et nous avions continué nos
jeux sexuels, le plus souvent dans ma cabane.

Quand Manuella arriva, elle fut surprise de découvrir ce garçon déjà


installé sur mon divan et ayant toutes les apparences d'un habitué des lieux.

- Si tu veux, dis-je à Manuella, Yannick peut te faire voir sa bite.

La gitane était soudain devenue cramoisie.

- T'es vraiment folle!

- Mais non! Regarde.

Sans aucune honte j'avais ouvert le pantalon de Yannick, baissé son slip et
extirpé sa verge encore molle.

- On dirait une limace, tu trouves pas?

Je riais tout en tripotant la queue du garçon qui, les yeux au ciel, les
jambes tendue, se laissait faire avec un contentement évident. Déjà la tige
se raidissait. Le gland se gonflait, se faisait dur.

- Tu n'aurais pas envie de sucer la bite de Yannick?


Chapitre 10 159
Perverse

- C'est trop dégoûtant, dit Manuella.

- Mais non, c'est vachement bon!

Je me penchai sur le sexe maintenant en totale érection et je pris tout le


gland dans la bouche. Je ne quittais pas Manuella des yeux. Une grosse
bosse déformait ma joue. Je me mis à téter avec un fort bruit de salive.
Déjà des filaments gluants suintaient à l'extrémité de la verge. Je jouais
avec eux, les prenant sur ma langue, les étirant jusqu'à ce qu'ils rompent,
les reprenant.

Je sentais que Yannick ne pourrait pas tenir longtemps à ce rythme.


Rapidement je quittai ma culotte, troussai ma jupe par-dessus mes reins et
m'agenouillai sur le tapis, la tête basse, la croupe haute. A deux mains
j'écartais mes fesses. De la pointe d'un doigt je titillais mon anus qui à
chaque pression se contractait.

Yannick avait compris ce que j'attendais. Il s'était agenouillé derrière moi


et déjà dirigeait sa pine vers mon petit orifice. Manuella ne perdait rien du
spectacle. Elle s'était approchée pour voir le gland forcer la rondelle,
distendre les chairs avant de disparaître d'un trait, absorbé par le sphincter
qui venait de se refermer après lui.

Yannick poussa d'une pression régulière, sans à coups et le membre


s'engloutit complètement. Je creusais même mes reins pour qu'il aille au
plus profond. Je sentais la boule du gland très dure qui se lovait dans les
profondeurs et se mouvait lentement cherchant le meilleur contact pour
arriver à la jouissance.

- Tu n'as pas mal? s'inquiéta Manuella en constatant que la bite sortait de


tout son long avant de replonger dans mes entrailles.

- Non, c'est super bon! Tu veux pas essayer?

Chapitre 10 160
Perverse

- Certainement pas.

Yannick se cramponnait à ma taille. A sa manière d'enfoncer ses doigts


dans mon ventre, je sentis qu'il n'allait pas tarder à lâcher sa purée. Je
tortillais des fesses, de haut en bas. Je savais que c'était le meilleur moyen
pour le faire cracher. Ce qui ne tarda pas.
Il lâcha dans mon cul un flot de liqueur chaude. Je me laissai tomber à plat
ventre, entraînant le garçon avec moi. Nous restâmes un moment rivés l'un
à l'autre. Puis, sa bite perdit de son volume et sortit toute seule de mon
anus.

- C'était le pied! annonça Yannick.

- Fais-le avec ma copine!

- Il faut attendre un peu, s'excusa Yannick. Il faut attendre que je bande


une autre fois.

Je jouais avec la bite molle du garçon.

- Regarde, dis-je à Manuella, sa bite est toute propre. Pas une trace de
merde. C'est que je m'étais lavé le cul soigneusement.

- Comment tu as fait?

- Viens, dis-je.

J'attirai Manuella à moi et sans tenir compte de ses protestations, je lui


baissai la culotte.

- On va laver ce petit cul, dis-je.

- Qu'est-ce que tu vas me faire?

Chapitre 10 161
Perverse

Manuella n'était pas rassurée. Et encore moins quand elle me vit avec la
poire à lavement en main.

- Tu vas voir, c'est trop rigolo!

Je remplis la poire dans une bassine d'eau déjà prête pour cet usage.

- Baisse-toi, dis-je à Manuella.

Le ton employé ne souffrait aucune résistance. Manuella me présenta sa


croupe.

J'écartai ses fesses. Son anus était cerclé de brun, semblable au dôme d'un
petit volcan. C'est dans le cratère de ce volcan que j'introduisis la canule.

- Ne te contracte pas! Laisse-toi faire.

Je poussai la canule qui glissa d'un trait dans le canal étroit. Puis, je pressai
sur la poire.

- Ça fait drôle! s'exclama Manuella.

Avec beaucoup de précautions je retirai la canule, car je savais que


l'expulsion est souvent plus douloureuse que l'introduction.

- Maintenant, tu vas te vider, dis-je.

- Comment?

- Tu mets ton cul par la fenêtre et tu pousses comme pour chier.

Docilement, Manuella obéit. Elle s'assit sur le rebord de la fenêtre et très


vite expulsa un flot de matière qui alla engraisser le gazon au pied de la
cabane.

Chapitre 10 162
Perverse

- Il faut t'en remettre une giclée, dis-je.

Trois fois de suite je remplis la poire, jusqu'à ce qu'un liquide parfaitement


limpide s'écoule enfin des entrailles de Manuella.

Entre temps la bite de Yannick avait retrouvé sa raideur.

- Je suis sûre que ça va me faire mal, gémit Manuella.

- Je te dis que non. Agenouille-toi sur le divan. Voilà, baisse la tête.

Avec mon index j'éprouvai la souplesse du sphincter.

- Ne te contracte pas!

Avec ma langue je poussai de la salive dans le trou du cul pour le lubrifier.


Je savais que ce contact sur sa muqueuse excitait au plus haut point la
gitane qui commençait à glousser.

Pour compléter la préparation, j'avais pris sur mon doigt un peu de graisse
que je conservais dans une boite et j'en avais enduit la pastille.

- Fourre-toi un doigt, conseillai-je à Manuella. Tu vas voir comme il rentre


facilement.

Manuella porta un doigt à son trou du cul et l'enfonça d'un trait.

- Bon soupira-t-elle. Mais va doucement, dit-elle à Yannick.

Celui-ci, debout derrière Manuella, tenait sa bite d'une main et la dirigeait


vers la petite pastille brune.

J'avais un peu forcé sur le lubrifiant. Le gland dérapa. Yannick fit plusieurs
essais infructueux. Jusqu'à ce que je prenne moi-même la tige en main. Je
posai la pointe du gland dans le cratère luisant de graisse et je forçai. Le
Chapitre 10 163
Perverse

gland disparut d'un trait.


L'anus avait absorbé le membre et l'enserrait comme dans un manchon
élastique.

- C'est un peu douloureux, gémit Manuella.

- Pousse, dis-je à Yannick.

La queue fila tout doucement dans le canal.

- Ne bouge plus, dit Manuella. Attends un peu.

Yannick resta un moment immobile, planté au plus profond. C'est


Manuella elle-même qui amorça le mouvement. Elle avançait et reculait
ses reins avec précaution, comme dans l'attente d'une possible douleur.

Mais le cul avait été bien lubrifié.

- Ça te fait mal? m'inquiétai-je.

- Non, dit Manuella rassurée. C'est trop bien. J'aime me faire enculer.

Elle accéléra un peu le mouvement.

Yannick fut un peu plus long à éjaculer. Mais bientôt il se cambra, son
visage se fit dur, ses yeux perdirent toute expression. Il se laissait aller
dans les flancs de la gitane.

- C'est chaud dans mon ventre, constata Manuella.

Par saccades le sperme du garçon se répandait en elle.

- Il est bon ton cul! râlait Yannick.

Un dernier spasme le mena au bord de l'évanouissement.


Chapitre 10 164
Perverse

Ainsi Manuella avait perdu son pucelage anal. Et selon nos conventions
c'était à moi de sacrifier ma petite fleur.

***

**

- Vous êtes deux petites salopes, nous dit Tonio. Vous finirez sur le
trottoir.

Et il ne savait pas encore tout de notre projet.

Ça avait été toute une histoire pour que Tonio accepte de me faire entrer
dans sa caravane. Ici aucune comparaison avec le décor agréable dans
lequel vivaient Manuella et sa famille. C'était une minuscule caravane,
assez sordide, d'une seule pièce, avec un lit recouvert seulement d'une
couverture rapiécée, sans draps. Le parquet était jonché de canettes de
bière, la vaisselle sale débordait de l'évier crasseux, des vêtements
traînaient, éparpillés un peu partout.

- Ma copine voulait voir où tu vivais, dit Manuella à son cousin.

- Bon, maintenant elle a vu, qu'elle se tire!

Il ajouta en retenant Manuella par le bras :

- Toi, tu restes. J'ai envie.

- Ma copine peut rester aussi pour nous voir faire?

- T'es pas malade?

Chapitre 10 165
Perverse

- Elle racontera rien à personne.


Promis.

Et c'est là que Tonio avait conclu :

- Vous êtes deux petites salopes.

Ce qui était en quelque sorte une acceptation.

Manuella, en habituée, avait déjà retiré sa culotte et s'était allongée sur le


lit, les jambes écartées, les genoux ramenés sur sa poitrine. Sa fente s'était
ouverte sur la muqueuse à vif, blessure rouge dans la touffe sombre des
poils qui couvraient le bas-ventre et entouraient la fente jusqu'à se perdre
dans la raie du cul.

- Tu aimes la bite, me demanda Tonio avec un sourire mauvais.

Il venait d'extraire son membre noir de son pantalon et il le tripotait pour le


faire bander correctement, ce qui ne tarda pas.

- Regarde bien ma pine. T'en verras jamais de plus belles.

Je ne me risquai pas à le vexer en lui avouant que j'en avais déjà vu de plus
impressionnantes. La sienne bandait à la verticale, recourbée comme un
arc.

Tonio était très fier de son appareil génital qu'il exhibait avec une
satisfaction évidente.

- Et avec ma pine je sais faire jouir les femmes, annonça-t-il au comble de


l'orgueil.

Manuella me fit un clin d'œil significatif concernant le degré de jouissance


que cette saucisse pouvait lui apporter.

Chapitre 10 166
Perverse

Tonio avait des gestes de matador face au taureau. Il était prêt à planter sa
banderille. Il s'agenouilla entre les cuisses ouvertes de Manuella et dirigea
sa queue, au bout de laquelle pendaient déjà quelques filaments de sperme,
vers la vulve rouge et luisante de mucus.

- Je vais bourrer ta copine, m'annonça-t-il. Je vais lui faire savoir ce que


c'est un homme.

Il donne un coup de rein qui projeta le corps de Manuella en arrière. La


tête de la gitane, sous la violence du choc, était allé cogner contre la paroi
de la caravane. La verge noire de Tonio s'était engloutie jusqu'aux poils.

Le gitan pesait de tout son poids sur le corps juvénile de sa cousine qui
gardait les jambes levées, enserrant l'homme par la taille.

Tonio s'agitait comme un forcené dans la chatte de Manuella. Il donnait de


brutales secousses, entrait et sortait sa bite de plus en plus vite. A chaque
coup la tête de Manuella ébranlait la vieille caravane.

- Je vais couler, annonça Tonio. Putain que c'est bon

Il s'était agenouillé, avait saisi le corps frêle de Manuella par les hanches et
il le faisait mouvoir d'avant en arrière sur sa queue raide. La gitane
ressemblait à une poupée désarticulée.

- Voilà! Prends tout mon jus!

Il se retira vivement, peu soucieux d'engrosser sa cousine. D'une main il


saisit sa bite qui déjà lâchait les premières giclées. Le sperme épais
retombait sur le ventre couleur miel de Manuella, remplissait le nombril,
roulait en rigoles blanchâtres de chaque côté du jeune corps.

Sans aucune trace d'émotion, Manuella remit sa culotte pendant que Tonio
se laissait aller sur le lit, la bite à la main, la pressant pour en extirper les
dernières gouttes.
Chapitre 10 167
Perverse

- Alors le spectacle t'a intéressé? me demanda le gitan.

J'acquiesçai d'un signe de tête..

- Elle voudrait bien que tu lui fasses la même chose, hasarda Manuella.

Tonio se redressa sur son séant. Il me jeta un regard chafouin.

- Tu veux que je te baise?

Puis il secoua la tête.

- Vous êtes complètement folles toutes les deux. Et d'abord c'est


certainement une pucelle.

- Elle a le même âge que moi, insista Manuella.

- Oui mais c'est pas pareil. Chez les gitans les femmes sont plus précoces.

Il me regarda un moment silencieux.

- Tu es vierge? finit-il par me demander.

Je fus bien obligée d'avouer la vérité.

- Alors compte pas sur moi, dit-il. Je ne baise plus de pucelles. Ça fait trop
mal à la queue.

- Tu l'as bien fait avec moi, dit Manuella.

- Toi tu es une gitane et je savais que tu irais pas te plaindre. Mais ta


copine, je la connais pas. Elle est capable d'aller me dénoncer aux flics.

Je protestai vivement, appuyée par Manuella.


Chapitre 10 168
Perverse

- Fous-toi à poil, finit par me dire Tonio.

Un peu hésitante tout de même je quittai ma robe et fis glisser ma petite


culotte sur les chevilles.

- Putain, fit Tonio, elle a même pas de poil. Et sa chatte est toute fermée.

- Mais non, fit Manuella. Sa chatoune s'ouvre aussi bien que la mienne.

Pour appuyer sa démonstration, elle écarta mes lèvres et révéla la


muqueuse et l'ouverture vaginale.

Visiblement Tonio commençait à être tenté. Même s'il protestait encore


pour la forme, sa bite qui s'était remise à bander, démentait ses dire.

- Allonge-toi, finit-il par me dire. Mais je t'avertis, t'as pas intérêt à gueuler
et à pleurer si ça te fait mal.

Il avait écarté mes cuisses et du doigt appréciait la texture de ma moule.

- Elle est vachement étroite, soupira-t-il.

Il se retourna vers Manuella.

- Passe-moi la bouteille d'huile qui est près de la cuisinière.

Manuella se précipita.

- Tu vas lui mettre de l'huile pour bien lubrifier?

- Il vaudrait mieux du beurre, mais j'en ai pas.

Il avait débouché la bouteille et il faisait couler un filet d'huile dans mon


vagin contracté par l'angoisse.
Chapitre 10 169
Perverse

Il rendit la bouteille à Manuella.

Tout à coup je fus prise de panique. Je regardais l'engin que Tonio


continuait à branler et voilà qu'il ne me semblait plus aussi insignifiant
qu'auparavant. Il me paraissait même énorme. C'était un terrible saucisson
que le gitan s'apprêtait à me planter dans la mounine. Je voulus fuir, mais
déjà Tonio était sur moi. Son poids m'ôtait toute possibilité de mouvement.
Je sentis qu'il guidait sa pine de la main vers ma fente. Mais l'huile avait
rendu le terrain glissant. Plusieurs fois le gland dérapa, m'irritant la vulve
et augmentant l'impatience de l'homme.

- Laisse-toi faire conasse! hurla-t-il.

J'étais bien en peine d'agir, que ce soit pour l'aider ou pour me dégager.

Enfin, Tonio réussi à caler son gland dans l'ouverture.

- Attention, dit-il encore. Je veux pas t'entendre!

En fait ses avertissements ne faisaient qu'augmenter mon angoisse.

Tonio donna un violent coup de rein.

J'eus l'impression qu'un poignard se plantait dans ma chatte. La douleur fut


horrible. La tige raide me déchirait, me défonçait. Je me mis à hurler de
toutes mes forces.

- Ta gueule!

Fermement, Tonio posa sa main en guise de bâillon sur ma bouche.


Muette, à la limite de l'étouffement, j'agitais bras et jambes, mais le gitan
m'écrasait de son poids et me maintenait ferme. Et plus je bougeais plus je
souffrais.

Chapitre 10 170
Perverse

Sans aucune pitié Tonio faisait mouvoir sa pine dans mon vagin
heureusement lubrifié par l'huile. Il bourrait ma chatte d'adolescente
comme il l'aurait fait avec celle d'une putain d'abattage

Manuella s'inquiétait.

- Laisse-là, disait-elle affolée. Tu vois pas qu'elle a mal?

Mais Tonio n'était plus en mesure de se contrôler. Heureusement il arriva


très vite à la conclusion et il me balança son foutre en exhalant de profonds
soupirs de jouissance.

Il sortit de ma vulve une bite rouge de sang.

J'étais en larme. Le sexe me faisait terriblement mal. Des douleurs


intolérables me tordaient les entrailles.

Avec horreur je découvris mes cuisses ruisselantes du sang qui s'échappait


en abondance de ma moule martyrisée.

- La salope, s'exclama Tonio, elle va foutre du sang partout!

- Il faut appeler un docteur, s'écria Manuella affolée par le flot qui coulait
entre mes cuisses écartelées.

- Et puis quoi! s'exclama Tonio. Tu veux que les flics rappliquent?

Manuella avait pris un rouleau de papier hygiénique et me bourrait le trou


de papier. Tout le rouleau y passa.

- C'est une belle conasse ta copine, râlait Tonio.

L'hémorragie finit par s'arrêter. Mais j'étais dans un état épouvantable.


J'avais du sang séché sur le ventre, à l'intérieur des cuisses, mes fesses
baignaient dans le sang qui imbibait le matelas.
Chapitre 10 171
Perverse

- Elle m'a tout pourri, se désespérait Tonio.

Manuella m'aida à enfiler ma robe et, sans remettre ma culotte, nous nous
faufilâmes vers sa caravane pour que je puisse prendre une douche.
Heureusement, le camp était désert à cette heure-là et les parents de
Manuella étaient absents.

L'eau chaude ruisselant sur mon corps traumatisé me fit du bien. Manuella
me retira le papier qui faisait tampon dans le vagin. La membrane déchirée
était encore sanguinolente. La douleur restait vive.

Je m'allongeai quelques instants dans le lit de Manuella.

- Pauvre petite chatoune, murmurait la gitane.

Elle s'était agenouillée entre mes cuisses ouvertes et léchait délicatement la


blessure à vif, comme un animal l'aurait fait pour son petit. Avec la pointe
de la langue elle effleurait la déchirure, buvait le sang qui continuait à
sourdre des chairs brutalisées.

Je finis par m'endormir, secouée de sanglots sporadiques, la tête de


Manuella posée sur ma motte.

La douleur cuisante persista quelques jours, puis s'estompa et disparut tout


à fait. Je testai le fourreau avec mon doigt, tout semblait normal. Je
pouvais faire coulisser le doigt sans aucune douleur. Et même avec un
certain plaisir. J'épluchai une banane et me l'introduisis délicatement. Le
fruit s'enfonça avec une facilité qui me ravit.

J'étais enfin une femme. Et j'allais en profiter.

FIN

Chapitre 10 172
Perverse

Je laisse le cahier sur la table du salon. Flavie pourra le lire, tout à l'heure
en rentrant de boîte. Certainement que demain nous aurons une longue
discussion, ma petite-fille et moi.

Chapitre 10 173
PDF version Ebook ILV 1.4 (décembre 2009)

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