Plan pour études bibliques

Série N°2
Etudes dans le Nouveau Testament

Préambule

Ces études sont traduites des études de l’Association , avec leur autorisation… et nos remerciements !
Nous les mettons à la disposition des membres des GBE.
Elles sont destinées en premier lieu aux réunions de Groupes Bibliques d’Entreprises, mais elles peuvent être
aussi très utiles pour des études bibliques dans nos églises pour donner un questionnement relatif au monde du
travail qui est bien souvent absent de nos réunions paroissiales.
La version des textes bibliques est la NBS

Etude 1

« Je ne peux pas avoir de satisfaction »

Lire Jean 6.25 – 6.35

6:25 Ils le trouvèrent de l'autre côté du lac et lui demandèrent: Maître, quand es-tu venu ici?
6:26 Jésus leur répondit: Vraiment, je vous l'assure, si vous me cherchez, ce n'est pas parce que vous avez
compris le sens de mes signes miraculeux. Non! C'est parce que vous avez mangé du pain et que vous avez été
rassasiés.
6:27 Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui dure pour la vie éternelle. Cette
nourriture, c'est le Fils de l'homme qui vous la donnera, car Dieu le Père lui en a accordé le pouvoir en le
marquant de son sceau.
6:28 Et que devons-nous faire pour accomplir les oeuvres que Dieu attend de nous? lui demandèrent-ils encore.
6:29 L’œuvre de Dieu, leur répondit Jésus, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.
6:30 Sur quoi, ils lui dirent: Quel signe miraculeux nous feras-tu voir pour que nous puissions croire en toi? Que
vas-tu faire?
6:31 Pendant qu'ils traversaient le désert, nos ancêtres ont mangé la manne, comme le dit ce texte de l'Ecriture:
Il leur donna à manger un pain qui venait du ciel.
6:32 Mais Jésus leur répondit: Vraiment, je vous l'assure: ce n'est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du
ciel, c'est mon Père qui vous donne le pain du ciel, le vrai pain.
6:33 Car le pain qui vient de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde.
6:34 Seigneur, dirent-ils alors, donne-nous toujours de ce pain-là.
6:35 Et Jésus répondit: C'est moi qui suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n'aura plus jamais faim,
celui qui croit en moi n'aura plus jamais soif.

1. Quel est le sens donné à la satisfaction parmi nos collègues – pour la vie en général ? En regard du travail en
particulier ? Quel est votre propre notion de la satisfaction ?

2. Jésus a juste nourri 5000 personnes avec 5 petites miches de pain et deux poissons (Jn 6.1-15). Comment
pensez-vous que la foule a été impressionnée ?

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3. Pourquoi la foule a-t-elle été impressionnée et pourquoi suivent-ils Jésus ?

4. La foule était-elle motivée par son appétit de nourriture ? Une fois qu’ils y ont goûté, ils en voulaient
davantage !
Au sujet de votre travail et de vos motivations, quelle est la mesure de votre appétit pour le succès matériel /
la position hiérarchique / les gains ?

5. Pourquoi sommes-nous si facilement déçus par les choses promises comme l’argent, les possessions et la
position ? Pourquoi ces choses n’apporteront jamais qu’une satisfaction à court terme ? (verset 26)

6. Dans quel sens Jésus, le Pain de Vie, apporte la satisfaction ultime ? Si Jésus est le Pain de Vie, comment
pouvons-nous éprouver de la satisfaction dans notre travail ?

7. Considérez l’assertion suivante : « C’est une hérésie répandue au sujet du travail pour le Chrétien, de dire
que l’on peut trouver de la satisfaction dans notre travail à travers la foi en Dieu. La vérité est plutôt que
nous trouvons notre satisfaction en Dieu à travers l’expérience du travail. »
D’accord ou pas d’accord ?

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 Etude 2

Chercher à être satisfait

Lire 1 Timothée 6.6-12

6:6 Certes, c'est une grande source de profit que la piété, si l'on se contente de ce qu'on a.
6:7 Car nous n'avons rien apporté dans le monde, comme d'ailleurs nous n'en pouvons rien emporter.
6:8 Si donc nous avons la nourriture et le vêtement, cela nous suffira.
6:9 Mais ceux qui sont décidés à devenir riches tombent dans l'épreuve, dans un piège et dans beaucoup de
désirs stupides et pernicieux, qui plongent les gens dans la destruction et la perdition.
6:10 Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux, et quelques-uns, pour s'y être adonnés, se sont égarés
loin de la foi et se sont infligé à eux-mêmes bien des tourments.
6:11 Quant à toi, homme de Dieu, fuis ces choses; poursuis plutôt la justice, la piété, la foi, l'amour, la
persévérance, la douceur.
6:12 Mène le beau combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé et pour laquelle tu as fait le
bel acte de reconnaissance devant beaucoup de témoins.

1. Pourquoi la piété avec le contentement est-elle d’un grand profit (versets 6-7) ?

2. En quoi notre culture du travail milite contre l’idée que le contentement est un gain ?

3. Si le contentement était une priorité pour le chrétien, sur quelles bases un chrétien demanderait une
promotion ?

4. Est-ce possible de vouloir bien réussir dans les affaires sans désirer devenir riche comme Paul le décrit au
verset 8 ?

5. De quelles façons, la quête de l’argent conduit-elle les individus à « s’infliger à eux-mêmes bien des
tourments » ?

6. Paul dit à Timothée de « fuir ces choses » ce qui semble impliquer que Timothée doit faire un effort.
Comment pouvons-nous ou devons-nous « fuir ces choses » ?

7. Comment un individu croyant poursuit la vertu, la piété, la foi, l’amour, l’endurance et la douceur dans sa
place au travail ? Comme pouvez-vous poursuivre ces choses dans votre place au travail ?

8. Que signifie saisir la vie éternelle (verset 12) dans l’activité de tous les jours ? Comment cela peut-il être
réalisé dans votre travail quotidien ?

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 Etude 3

Racheter le temps
Lire Ephésiens 5.15-21

5:15 Veillez donc avec soin à la façon dont vous vous comportez : que ce ne soit pas comme des fous, mais
comme des sages.
5:16 Rachetez le temps, car les jours sont mauvais.
5:17 Ne soyez donc pas sans intelligence, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur.
5:18 Ne vous enivrez pas de vin : il mène à la débauche. Au contraire, soyez remplis par l'Esprit;
5:19 parlez-vous par des cantiques, des hymnes et des chants spirituels; chantez et célébrez le Seigneur de tout
votre cœur;
5:20 rendez toujours grâce pour tout, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à celui qui est Dieu et Père.
5:21 Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte du Christ;

1. A votre avis, qu’est-ce qui constitue la sagesse/veiller sur son comportement ? Quelle serait une façon
« sage » de travailler ?

2. A votre avis, à quoi Paul fait-il allusion en particulier quand il parle des jours « mauvais » ? Est-ce votre
expérience dans votre travail ? Pourquoi les jours mauvais sont une raison importante « de racheter le
temps » (NBS) ou de « mettre à profit les occasions qui s’offre à vous » (Semeur) ? Les occasions de quoi ?

4. Comment pouvons-nous comprendre la volonté du Seigneur ? A votre avis, que veut dire Paul par « sans
intelligence » ? Est-ce que c’est vivre sans rechercher la volonté du Seigneur, ou est-ce que ça concerne des
attitudes ou des actions particulières ? Quelle relation voyez-vous entre les versets 15 et 16 afin de ne pas se
comporter comme des fous ?

5. En quoi la comparaison entre s’enivrer de vin, et remplit du Saint-Esprit est-elle instructive ? Pouvez-vous
donner des différences qui montrent que les deux expériences ne sont pas précisément opposées ?

6. Ces versets font-ils référence aux activités du culte, ou à une attitude personnelle, ou les deux, ou quelque
chose d’autre ?

7. Que signifie en pratique se « soumettre les uns aux autres » et en quoi cela montre la crainte de Christ ?
Comment cela peut-il être pratiqué dans la relation avec vos collègues chrétiens au travail (si vous en
avez ) ?

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 Etude 4

La solution au stress

Lire Philippiens 4. 4-7

4 Réjouissez–vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez–vous !

5 Que votre attitude conciliante soit connue de tous. Le Seigneur est proche.
6 Ne vous inquiétez de rien ; mais, en tout, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites
connaître à Dieu vos demandes.
7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera votre cœur et votre intelligence en Jésus–Christ.

Paul écrit à une église qui connaît des difficultés venant de l’extérieur (1. 27-30) et de l’intérieur (4. 2-3) et qui
est en contact avec lui en prison. Pour comprendre ce passage il est nécessaire de connaître l’arrière plan.

1. Quelles sont les sortes de stress que les Chrétiens doivent affronter aujourd’hui, au travail, à la maison et à
l’église ? Vous arrive-t-il d’être pris par ce type de pression ? Comment précisément vous affecte-t-elle ?

2. Paul exhorte les Philippiens à être toujours joyeux. Notons qu’il ne leur dit pas d’être joyeux dans les
épreuves, mais dans leur relation afin de « se réjouir en Dieu ». Quelles raisons avons-nous de faire de
même ? Est-ce difficile ou facile pour vous de se réjouir dans le travail ?

3. En pratique pouvez vous laisser aller de manière évidente votre gentillesse vers vos collègues ? Paul
encourage une gentillesse spirituelle en affirmant que le Seigneur « est proche ». Est-ce que le Seigneur est
proche ou loin de vous quand vous êtes au travail ? Que pouvez-vous faire pour expérimenter la présence de
Jésus sur votre lieu de travail ?

4. « Ne vous en faites pas ... priez ! » C’est évidemment un conseil avisé mais est-il si facile à mettre en
pratique ? Serait-il vrai que la prière de la foi éloigne les soucis ? Qu’est-ce qui encourage ce genre de
prière ? L’action de grâce est importante ici - est-elle importante dans nos prières ? Si non, pourquoi ?

5. Considérez le résultat de ces prières décrit par Paul au verset 7. Qu’est-ce que cela signifie d’avoir la paix
de Dieu qui garde notre cœur et nos pensées en Christ ? Comment cela contribuera à notre témoignage au
travail ?

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 Etude 5

Un modèle de travail

Lire Philippiens 2.1-12

1 ¶ S’il y a donc quelque encouragement dans le Christ, s’il y a quelque réconfort de l’amour, s’il y a quelque
communion de l’Esprit, s’il y a quelque tendresse et quelque magnanimité,
2 comblez ma joie en étant bien d’accord ; ayez un même amour, une même âme, une seule pensée ;
3 ne faites rien par ambition personnelle ni par vanité ; avec humilité, au contraire, estimez les autres supérieurs
à vous–mêmes.
4 Que chacun, au lieu de regarder à ce qui lui est propre, s’intéresse plutôt aux autres.
5 Ayez entre vous les dispositions qui sont en Jésus–Christ :
6 lui qui était vraiment divin, il ne s’est pas prévalu d’un rang d’égalité avec Dieu,
7 mais il s’est vidé de lui–même en se faisant vraiment esclave, en devenant semblable aux humains ; reconnu à
son aspect comme humain,
8 il s’est abaissé lui–même en devenant obéissant jusqu’à la mort –– la mort sur la croix.
9 C’est pourquoi Dieu l’a souverainement élevé et lui a accordé le nom qui est au–dessus de tout nom,
10 pour qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,
11 et que toute langue reconnaisse que Jésus–Christ est le Seigneur à la gloire de Dieu, le Père.
12 ¶ Ainsi, mes bien–aimés, comme vous avez toujours obéi, non pas seulement en fonction de ma présence
mais d’autant plus maintenant, en mon absence, mettez en œuvre votre salut avec crainte et tremblement.

1. Peut-on étendre ce que Paul dit aux versets 1-2 et l’appliquer à nos relations avec nos collègues chrétiens ?
Si oui, comment ?

2. Au verset 3 Paul parle de l’ambition égoïste. Où placez-vous la limite entre l’ambition égoïste ou non dans
votre carrière ou votre travail ?

3. Donner la différence entre « considérer les autres supérieurs à vous -même » et la fausse modestie qui
empêche l’utilisation des véritables dons, des compétences et des aptitudes dans le contexte du travail.

4. Quoique les versets 5-12 décrivent le travail propre de Jésus, comment définir les mots « égalité, serviteur,
humilié, obéissant » pour la vie du chrétien dans le monde chaotique du travail ?

5. Les mots ci-dessus sont en relation avec « travailler » à votre salut. qu’est-ce que « crainte et tremblement »
signifie dans ce contexte, et pourquoi devriez-vous l’expérimentez ?

6. Relisez les versets 12-13 et considérez leur prolongement dans le fait que Dieu est quotidiennement à votre
travail.

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 Etude 6

Travailler pour Jésus

Lire Colossiens 3. 17 - 4.1

17 Quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâce par lui
à Dieu, le Père.
18 Femmes, soyez soumises à votre mari, comme il convient dans le Seigneur.
19 Maris, aimez votre femme, et ne vous aigrissez pas contre elle.
20 Enfants, obéissez en tout à vos parents, car cela est agréé dans le Seigneur.
21 Pères, n’exaspérez pas vos enfants, de peur qu’ils ne se découragent.
22 Esclaves, obéissez en tout à vos maîtres selon la chair ; non pas seulement sous leurs yeux, comme s’il
s’agissait de plaire à des humains, mais avec simplicité de cœur, dans la crainte du Seigneur.
23 Quoi que vous fassiez, travaillez–y de toute votre âme, comme pour le Seigneur, et non pour des humains,
24 sachant que vous recevrez du Seigneur l’héritage en récompense. Servez comme des esclaves du vrai
Seigneur, le Christ.
25 Car celui qui agit injustement recueillera l’injustice qu’il a faite : il n’y a pas de partialité.
1 ¶ Maîtres, accordez à vos esclaves ce qui est juste et équitable, sachant que, vous aussi, vous avez un Maître
dans le ciel.

1 Que signifie faire quelque chose dans le nom du Seigneur Jésus ? (voir Col 3.17) Comment cela changerait-
il la façon de faire votre travail si vous le faisiez consciencieusement dans le nom du Seigneur Jésus ?

2 Est-ce plus facile de faire quelque chose dans le nom du Seigneur Jésus qu’autrement ? Pourquoi est-ce le
cas ? (Comment pouvez-vous taper une lettre ou répondre au téléphone ou rencontrer un client dans le nom
du Seigneur Jésus ?)

3 Paul relie la reconnaissance et faire des choses dans le nom de Jésus ? Est-ce que c’est quelque chose que
vous oubliez plus particulièrement au travail ? Pourquoi ?

4 Dans les versets 22-25 Paul s’adresse aux esclaves, mais ce qu’il dit s’applique à tout employé. Pourquoi
est-ce si important que nous « obéissions ... » ?

5 Paul dit « en toute chose ». Pensez-vous qu’il parle littéralement ?

6 Que signifie « travailler pour le Seigneur, pas pour les homme » ? Est-ce que Jésus est un contremaître plus
dur que nos patrons terrestres ?

7 Ne pas travailler à quelque chose de tout son cœur, serait-il la solution pour ne pas tomber « accro » au
travail ?

8 Pourquoi l’équité et la justice (voir Col 4.1) sont elles si importantes pour un employé ? Comment le fait de
savoir que vous avez « un maître dans le ciel » influencerait la politique et la philosophie de votre entreprise
si vous en étiez le patron Chrétien ?

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 Etude 7

Une question d’identité

Lire Luc 10.38-42

38 ¶ Pendant qu’ils étaient en route, il entra dans un village, et une femme nommée Marthe le reçut.
39 Sa sœur, appelée Marie, s’était assise aux pieds du Seigneur et écoutait sa parole.
40 Marthe, qui s’affairait à beaucoup de tâches, survint et dit : Seigneur, tu ne te soucies pas de ce que ma sœur
me laisse faire le travail toute seule ? Dis–lui donc de m’aider.
41 Le Seigneur lui répondit : Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour beaucoup de choses.
42 Une seule est nécessaire. Marie a choisi la bonne part : elle ne lui sera pas retirée.

1. Comment décririez-vous le travail de Marthe ?

2. Comment décririez-vous son attitude vis a vis de son travail ?

3. Quelles étaient les choses contre lesquelles Marthe était en colère ? Avez-vous de la sympathie pour
Marthe ?

4. Pensez-vous qu’il y a une relation entre une partie de l’identité de Marthe et son travail ?

5. Une idée de l’addiction au travail : « L’addiction au travail est la condition des personnes dont l’estime de
soi est liée à ce qu’il font, au lieu de ce qu’ils sont. Les bourreaux de travail ne travaillent pas pour gagner
plus, mais pour prouver quelque chose d’eux-mêmes. » Pourquoi est-il si facile de relier notre identité avec
notre travail ? Courrez-vous ce risque ?

6. Comment le travail de Marthe affectait sa relation avec Marie ? Dans quel sens notre travail et notre attitude
par rapport au travail peuvent affecter notre relation avec nos proches ? De quelle façon notre travail peut-il
nous faire rater l’expérience de la présence de Jésus ?

7. Par rapport à quelles « règles » Marthe juge-t-elle Marie ? Par rapport à quelles règles Jésus juge-t-il
Marie ? Quelle leçon en tirez-vous ?

8. Est-il possible de s’asseoir aux pieds de Jésus, et dans le même temps continuer son travail quotidien ?

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