Objet d’étude : Roman et Récit / Parcours : « La célébration du monde »

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célébration du monde »
« Jour Gris » Les Roman - C. se lamente à M = déteste proximité - Thèmes = - Évocation du pays natal « J’appartiens à un pays
Vrilles de la mer/bruit du vent la harcèle célébration du se mêle = l’évocation de que j’ai quitté. »
Vigne, Colette - Dédicataire « M... » = passion fusionnelle paysage et l’être aimé
sensualité de l’être « Le parfum des bois de
- Paysage se confond ac être aimé = traits aimé - refuge terre natale = mon pays égale la fraise
humains « chevelure embaumée » offre 1 description mêle et la rose ! »
- Paysage aux accents sensuels = plaisir ≠ brusque retour à sensualité/onirisme
éprouvé au contact nature généreuse réalité = détruit (atmosphère mystérieuse « Il y a encore, dans mon
(corps/sens) => plaisir sensuel version idéale pays = rappelle rêve/renvoie à 1 pays, une vallée étroite
- Invitation être aimé = à travers voyage au = protège son souv monde lointain/étrange) = comme un berceau. »
cœur souvenirs/pensées = en fait 1 pers. (venue Missy éloigne du monde/réalité =
détruirait) => veille dimension irréelle « C’est une forêt
- Texte se ft poétique = s’affranchit de sur lieu enchanteur ancienne, oubliée des
réalisme = évocation lune / « azur mauve » qui n’existe que ds - se fait le chantre de la hommes... et toute
= poésie romantique ses rêves = arrête nature de sa Bourgogne pareille au paradis. »
- évocation non réaliste paysage enfance = ses rêveries natale
C. développe 1 rêverie = détachée de réalité
= invente 1 refuge propice aux amours - réf Perséphone - céléb lyrique originale du
clandestines / réprouvées par hommes retournantauprès pays natal
Hades = quitte
- Prose lyrique (plume/beauté mots) = chant Olympe jonché
entraîne/enivre Missy des souvenirs fleurs => vers 1
- saisit moindre beauté pays natal = enfer froid/dénué
couleurs/brouillard/frelons couleur

- forêt lointaine = jardin d’Éden = paysage

conte de fées/perdu dans un passé
immémorial
- Pays natal de Colette = souvent 1 refuge
imaginaire (exemple = forêt de Crécy ds
« En marge d’une plage blanche II)
« Sido » Sido Roman - fait revivre = 1 hiver de son enfance en - tempête hiver - triple célébration = « aucun été, sauf ceux
(L’enfance Bourgogne = âge d’or/période mythique enfance Colette enfance/nature = de mon enfance, ne
retrouvée), Colette - part à recherche ses souvenirs = sorte saisons/mère commémore le
d’introspection « si je ferme les yeux » géranium écarlate et la
- opposition saisons enfance ≠ celles ajd = - texte poét/lyrique = C. hampe enflammée des
intensité perdue célébre bonheur = se digitales » = enfance
- « commémore » = idée mort/disparition = remmémorer souvs période d’exception
démarche C. = célébrer mémoire d’1 période enfance / retrv
révolue / rendre hommage à enfance perdue impressions enfance « Mousse exalté du
(lutte ≠ oubli) navire natal » = invitation
- évocation 4 sens = toucher/odorat/ouïe/vue - célébre beauté voyage ds passé/enfance
=> C. immerge complèt lecteur = permet saisons/nature/ciel (jardin/maison) = période
réminiscence souvenir joyeuse = âge d’or
- mère « antennes » = animalisation = - célébration mère = 1
insecte à capteurs sensoriels => langage guide spirituel ds
nature/animaux = osmose/communion décryptage manifestations
- pythonisse (pythie) = douée d’1 don de climatiques / prêtresse de
prophétie/voyante nature = communiqué à sa
- possède un 6ème sens « goûtait le fille => amour pour
temps » = écriture sensuelle pusique nature/voie vers
rapport à nature = passe par ts sens émerveillement
- contact privilégié avec nature = tutoie
éléments de la nature
- grande envolée lyrique = C. enthousiaste
ds tempête neige = CL joie/adrénaline
« Les Vrilles de la Roman
vigne » Les Vrilles
de la vigne (La
fable du
rossignol), Colette
Métamorphoses, Poèmes - âge d’or = après création homme, temps - âge d’or - Célébration âge d’or = « Les populations
Ovide épiques heureux d’1 civilisation/époque idéale/passé mythe grec où est décrite vivaient dans la
réunissant idéalisé = expression référence aux 5 âges - Mythe de l’Éden une époque idéale = paix, tranquillité et les
mythes et de mythologie grecque = temps justice, abondance, sans loisirs. »
légendes innocence/justice/abondance/bonheur + souffrir ni vieillir
recueil expression généralisée = exprime 1notion de « La terre, fertile,
bonheur et idéal - Pour Colette âge d’or = donnait tout d’elle-
- Mythe de l’Éden (paradis terrestre dont l’enfance même. »
Adam et Ève ont été chassés dans récit
biblique de la Genèse) = jardin merveilleux « Le printemps était
comparé au Paradis éternel et, de leur
- Utopie = univers imaginaire où hommes souffle tiède, les doux
vivent en harmonie ds 1 société idéale zéphyrs caressaient les
- Mythe décrit par opposition avec un fleurs. »
présent négatif/critiqué = difficultés vécues
comme perte de pureté/intégrité primitive
- Avancée dans le temps perçue =
décadence de l’humanité = à l’âge d’or
succèdent des âges tjs plus éloignés de
l’idéal originel
- On se contentait de ce que nature
produisait spontanément et généreusement
Regain, Jean Gino Roman - Éloge nécessité pour homme = reconnaître - Thème nature - Exalte avec lyrisme « Il est tout embaumé de
fusion qu’il doit opérer avec la terre = y omniprésent sensuel liens profonds = sa joie. »
retrouver son essence/y évoluer lient paysans à la nature
- Parfaite harmonie avec terre - nature belle/ « C’est une joie dont il
- Début 20ème siècle = France fort exode rural purificatrice - Dépeint avec lyrisme veut mâcher toute
= paysans quittent campagnes en croyant rapport de l’homme à l’odeur et saliver
que vie sera plus aisée/confortable ds - nature nature ambivalente (tantôt longtemps le jus. »
paysage urbain ≠ roman de Giono prend accueillante/chaleu conflictuel ou harmonieux)
contrepied tendance = présente retour à reuse/divine « Il lui a passé devant
nature du personnage Panturle = vient les yeux, l’image de la
reconquérir droit à nature (retourne vie - nature = entité terre ancienne »
sauvage) vivante =
- En pleine période où vie rurale tend à être conception
assimilée à une vie rétrograde/arriéré = paysanne/animiste
auteur assène au lecteur son amour pour la monde
Provence rurale
- Nature = à l’image du dieu pan (dieu
bergers et troupeaux) dotée de volonté/de
vie = permet retrouver vraies valeurs =
amour/simplicité/complicité
Illuminations, Recueil de - Début = nature caractérisée par silence et - Éveil nature sous - Rapport « J’ai embrassé l’aube
« Aube », Rimbaud poèmes en immobilité « Rien ne bougeait encore » action du poète sensuel/dialogique avec d’été. » = évoque
prose ou en « L’eau était morte » - Symbolisme nature dans œuvre Colette sensualité/annonce un
vers libres ≠ arrivée poète va insuffler la vie à paysage nature/onirisme = Sido où Colette raconte texte qui va exalter union
inanimé = nature s’éveille/personnifiée = promenades solitaires à entre « je » du poète et
acquiert caractéristiques humaines l’aube nature
- Sous action poète = nature s’anime/se
transforme = chef d’orchestre de cet éveil - Référence tableau Van
- Narrateur-poète = pouvoirs magiques/son Gogh Champ labouré au
seul mouvement provoque réveil nature soleil levant = soleil levant
« J’ai marché, réveillant... » rend paysage simple beau
- Référence lettre de Rimbaud à Paul = amour de nature a
Demeny = poète doit « se faire voyant » = sauvé peintre des
poète a pouvoir de dévoilement de la vérité expériences difficiles = en
- Champ lex sensualité = image longs mettant ordre dans ses
 cheveux blonds/déshabillage sentiments = semble
déesse/rapprochement de deux corps exprimer amour dans
- Référence à la nymphe Daphné « laurier » paysage avec une
= nymphe mythologie grecque d’1 grande atmosphère = paix /
beauté tranquillité
- Aube = personnifiée en femme-déesse =
muse/source inspiration
- Sentiment d’1 élan vital = permet à
Rimbaud exprimer puissance poésie =>
poète voyant = dévoile vérité du monde
Du côté de chez Extrait du - Madeleine = symbole du passé qui surgit - Retour - Souvenir d’un rituel de « Et tout d’un coup le
Swann, « La roman « À la de manière involontaire inconscient à son enfance a ressurgi en souvenir m’est apparu.
madeleine », recherche du l’enfance trempant une madeleine Ce goût c’était celui du
Proust temps perdu » - Madeleine Proust illustre = caractère dans du thé petit morceau de
involontaire de la réminiscence - Extase souvenir = madeleine. »
expérience - Mémoire involontaire = « La vue de la petite
- Surgissement d’1 souvenir provoqué par extraordinaire/magi revivre passé et de se madeleine ne m’avait
une sensation = odeur / goût d’1 madeleine que = extrême l’approprier = se manifeste rien rappelé avant que je
plaisir par 1 sensation éprouvée n’y eusse goûté. »
- 1 morceau = évoquer l’édifice immense du à la fois dans le passé et « Mais, quand d’un
souvenir = esprit doit retrouver souvenir le présent = rendu passé ancien rien ne
tandis que sens le font ressurgir = Proust possible par la subsiste, (...) l’odeur et
doit faire appel à la sensation imprévue complémentarité de la saveur restent encore
l’imagination et de la longtemps, comme des
- Épisode insignifiant à première vue mais réalité âmes, à se rappeler, à
en réalité = point de départ de tout un attendre, à espérer, (...)
monde de souvenirs - Proust décrit comment l’édifice immense du
réminiscence involontaire souvenir. »
= inaugure reconstruction « Toutes les fleurs de
du passé et aboutit = au notre jardin et tout
temps retrouvé Combray et ses
environs, tout cela est
sorti, ville et jardins, de
ma tasse de thé. »
Du côté de chez Roman - Contemplation narrateur = relève de - rapport à nature = - Référence = poème
Swann, Proust l’adoration religieuse/désir charnel marqué par Anna de Noailles « La vie « Leur parfum s’étendait
frustration = profonde » dans Le Cœur aussi onctueux »
- Fleurs humanisées/dimension sensuelle de narrateur ne peut innombrable =
la nature approfondir contemplation nature « Elles m’offraient
mystère fleurs aboutit aussi au désir de indéfiniment le même
- Nature = envisagée à partir d’1 forme d’art comprendre les mystères charme avec une
= la musique = fleurs forment un « rythme » / - Beauté poétique du monde profusion inépuisable. »
« intervalles musicaux » = illustre le fait que = évocation du
nature reste mystérieuse = frein à coquelicot devenu - Description poétique et
communion avec nature navire sensuelle des fleurs
appartenant au paysage
- Présence de fleurs = fait susciter un désir de l’enfance = se retrouve
insatiable de connaissance tout au long de la première
partie de Sido
- Beauté poétique = évocation du coquelicot
devenu navire
Enfance, Nathalie Autobiographie - Raconte dans 1 dialogue entre elle et son - innocence - Construit récit à partir de « quelque chose
Sarraute double plus jeune = recherche souvenirs enfantine/amour = fragments d’unique... qui ne
d’enfance enfouis = à travers le temps plein filial et parental/de souvenirs/images et reviendra plus jamais de
d’émotions/doutes/analyse la famille situations qui l’ont cette façon, une
- voix de Sarraute fait plonger le lecteur dans marquée = célébration sensation d’une telle
sa famille - Thème enfance = enfance violence qu’encore
- Combat mental = rappeler à sa conscience prétexte pour maintenant, après tant
instants de jeunesse enfouis ds sa mémoire fouiller sensations de temps écoulé, elle
- sorte d’introspection où = s’interroge sur de mémoire / faire revient »
véritable nature de sa mère = froide et remonter émotions
distante ressenties « Allons, un peu de
- registre lyrique voire élégiaque = exprime courage, il est temps
sentiments / développe impressions d’aborder la vie en
- livre ses impressions/sentiments au sujet adulte. »
d’évènements plus importants de enfance
(rapports difficiles avec père / belle-mère) ( = besoin de courage
- interrogation face aux souvenirs et à la pour donner au monde
mémoire ses souvenirs si intimes)
- Enfance relate nbx souvenirs =
 jeux/lectures enfantines/sensations
gustatives
- pose la question de ce qu’est le souvenir =
une conformité exacte aux faits ou bien une
recomposition subjective de la réalité ?
L’Été, Camus - Essai - livre réflexions / émotions que lui inspirent - Préserver beauté - nous emmène vers les « Je retrouvai
- Recueil de paysages méditerranéens = ceux de son du monde beautés de sa exactement ce que
textes lyriques Algérie natale Méditerranée natale = fait j’étais venu chercher
et passionnés - Nature = propice entendre 1 fidélité dans cette nature
- un passage = revient à Tipasa, ville près aux délices des indéfectible déserte. »
d’Alger qu’il aime retrouvailles
- Saison de l’été renvoie à « J’écoutais en moi un
- A travers description paysages - Ville où = cœur Camus 1 nostalgie = bruit presque oublié,
méditerranées/lieux lumineux/gorgés de trouvera tjs son rappelle bons moments comme si mon cœur
soleil/peuplés plantes odorantes = exalte accord jeunesse arrêté depuis
nature = source grand bonheur ≠ origine longtemps, se remettait
profond malheur doucement à battre. »

- homme par sa proximité avec nature = « Sentir ses liens avec

revient vers celle qui lui a donné naissance une terre, son amour
(comme l’indique étymologie latine pour quelques hommes,
« nascor » signifiant naître/provenir) qu’il est toujours un lieu
où le cœur trouvera son
- Suivre nature = retrouver harmonie accord. »
originelle

Nouvelles, « Une - Nouvelle - Récit = nature anticonformiste/dérangeante - Allégorie passion - Sentiments/passion « Le Provençal et la
passion dans le = relation étrange faite de peur et d’affection mutuelle entre animal et panthère se regardèrent
désert », Balzac soldat français l’un et l’autre. »
- fable transgresse tous interdits = union homme et animal « Cette compagnie
permit au Provençal
- Narrateur = qualités féminines sur panthère d’admirer les sublimes
dont il garde = 1 souvenir ému/admire sa beautés du désert. »
beauté « cette reine des sables » « Il découvrit dans le
lever et le coucher du
 - Soldat = amoureux de la panthère « il se soleil des spectacles
passionna pour sa panthère » inconnus au monde. »
« Il passait des heures
entières à se rappeler
des riens, à comparer sa
vie passée à sa vie
présente. »
Poésies - poème - R. se déplace ds nature douce / humble = - nature cœur - Communion entre poète « Rêveur j’en sentirai, la
« Sensation », printanier crée 1 union avec elle = évocation plus sens poème = et nature fraîcheur à mes pieds »
Rimbaud - De cette communion = naît 1 sensualité du personnifiée/déifiée
paysage - Livre ses rêves - Nature accompagne « par la Nature, -
- Aspect bio : jeune poète fugueur = diffuse poète et le protège = heureux comme avec
ds poème son amour pour liberté - Thème bohème = prend apparence d’une une femme. »
- adolescence aventureuse = poème illustre envie de partir femme maternelle = seule
envies fuir/évader sans but/ à sa présence lui suffit
- se qualifie lui-même de « rêveur » l’aventure
- liberté liée au bonheur = besoin - Lyrisme =
vagabonder/se laisser porter ds 1 espace évocation
sans limites sentiments
- Titre « sensation » joue sur polysémie
terme = éveil sens + effet merveilleux / - Dimension
soudain provoqué par nature = ft sensation onirique
- annonce besoin liberté/évasion = rêveur a
besoin de communier ac nature pour se - Adolescent en
retrouver = évocation lyrique de nature = quête de liberté,
dimension sensuelle poème (nature et bonheur et éveil à
femme liées) sensualité
La Mare au diable, Roman - exalte forces spirituelles = animent nature - Thèmes = nature - célèbre nature/s’inscrit « Et je me promenais
George Sand comme objet de ds mouv romantique = dans la campagne,
- Évocation du travail des champs = contemplation exalte sentiment de rêvant à la vie des
débouche sur une célébration poétique du communion directe ac champs. »
monde - Description nature « contemplation et la
« les champs dorés, les belles prairies, nature = marquée reproduction des
les animaux superbes. » par une envolée « Une sainte harmonie beautés de la nature. »
lyrique existerait entre la
- Véritable jouissance de la nature passe = munificence de Dieu et « La nature est
« par le cœur et par le cerveau » - Célébrer nature les ravissements de éternellement jeune,
de façon l’âme humaine. » belle et généreuse. Elle
- Chez Colette = personnage Sido (par son hyperbolique verse la poésie et la
rapport privilégié à la nature) = possède beauté à tous les êtres »
instinctivement rapport heureux à la nature
« Elle possède le secret
du bonheur, et nul n’a su
le lui ravir. »
Sido, « Sido », - récit autobio - Description mère = s’émerveille devant - Thèmes = - Colette ne fait pas que « Je la chante, de mon
Colette (La merle et beauté de son jardin / spectacle du monde contemplation / célébrer Sido = suggère mieux. »
les cerises) vivant = rapport privilégiée/hors du commun nature et mépris que exceptionnalité d’un
à nature/éléments/saisons des conventions être peut avoir pour « Je célèbre la clarté
humaines par Sido conséquence = une originelle qui, en elle,
- Mère surhumaine paraît inhumaine = sorte certaine difficulté à vivre refoulait, éteignait
de prophétesse en communion totale ac dans le monde ordinaire = souvent les petites
nature aspect moins louable dans lumières péniblement
- Sido = opposée au « commun des son rapport avec humains allumées au contact de
mortels » = inhumanité se profile dans son ce qu’elle nommait « le
rapport aux autres - ajout = narration par commun des mortels. »
Colette adulte = célèbre à
- Dialogue mère/fille = chacune appartient à son tour beauté du merle « Je trouvais ma mère
1 monde différent/communication semble = comme pour montrer sous l’arbre,
impossible = l’une absorbée par la qu’elle a finalement retenu passionnément
contemplation du merle ≠ l’autre s’inquiète à leçons de sa mère immobile, la tête à la
l’idée que le merle mange les cerises rencontre du ciel d’où
- Sido considère = fille incapable de elle bannissait les
 comprendre nature/ses mystères et ses lois religions humaines... »
- Autres passages livre le démontrent = le
« meurtre » de chrysalide par petite Colette « un besoin d’échapper
= sa mère dit qu’elle ne comprend rien à la à tout et à tous, un bond
nature vers le haut, vers une loi
écrite par elle seule,
pour elle seule. »
Sido, « Sido », - récit autobio - Léo confie = retourné à St-Sauveur = - Thèmes = poésie - Opposition paysage
Colette (La village enfance ≠ rien plus comme autrefois monde de idéalisé enfance
nostalgie de - Paysage autrefois = paysage l’enfance / trivialité d’autrefois / celui
Léopold) naturel/poétique « cœurs-de-jeannette et du monde d’aujourd’hui
des pavots » d’aujourd’hui = occasion d’1 satire
≠ paysage ajd = termes triviaux « pommes violente
de terre »
- réssuréction passé = évocation grille crée =
1 moment communion = par les sens
(vue/ouïe = grincement grille)
- Musique enfance dont adulte = désormais
privé = monde perdu tte magie
- txt mélancolique/poétique = exprime
souffrance face à perte d’1 monde à jamais
disparu
- Tonalité élégiaque = regret monde perdu
- Léo = adulte resté prisonnier monde
enfance = nostalgie se communique/texte
émouvant
Les Vrilles de la - chronique - Texte censé = rendre compte aversion C. - Thèmes = - digression où C. = « Beau Midi, tu me plais,
vigne, mondaine = envers le Midi = tourne finalement à sensations célèbre pays en mais je ne t’aime pas. »
« Printemps de la bal au casino célébration de son pays désagréables/ expliquant/exposant pq
Riviera », Colette nice et monte- - Le Midi = paysage vide/placé sous le signe décevantes ≠ elle n’aime pas le Midi « Midi trompeur, Midi
(Colette et le Midi) carlo du manque/inodore/sans saveur sensations empressé. »
- Pays sans parfums (odorat sens le plus satisfaisantes - pays natal = occupe tt txt
puis devient important chez C.) = fait que Midi soit 1 pays = sources sensations « Midi menteur »
sans parfums = élément-clé de sa profondes ≠ opposées à
- poème en détestation superficialité du Midi « Dans le pays que
prose - Odorat = relié directement à « l’âme j’aime, la neige bleuâtre
forestière » - on s’attend à 1 portrait fond lentement à l’ombre
- Évocation poétique = transforme txt => dépréciatif du Midi avec 1 des haies »
poème en prose = contraste avec chronique chronique mondaine
mondaine précédente satirique = C. écrit un
- Manière de retrouver raisons de texte tourné vers
s’émerveiller ds situations plus triviales célébration du monde
(ex = « Music-halls » = saynète comique - Colette ne ft pas que « Il y a moins de
puis une galerie impressionniste de célébrer monde = souvent printemps parmi ces
personnages attachants) se lance dans 1 satire roses, sous ces
féroce = exprime orangers lumineux que
dégoûts/déceptions dans un seul jour de
dégel là-bas, en mon
pays aux collines
voilées ! »