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ÉTAPE 1 : Introduction
taux activité féminine en baisse Maroc (en 2010 30% ≠ 20% 2023 activité femmes)
Q1 : Les principales inégalités économiques entre hommes et femmes sur les marché du
travail sont ségrégation professionnelle, secteur ( femmes privilégie dans le secteur de
service qui sont les - payés et les hommes privilégié dans les secteurs de l’industries qui
sont les mieux payés )inégalités salaire (réduction des salaire= temps de travail,
discrimination a poste égale , femme moins disponible à cause des enfants ou en aura donc
elles seront moins disponible ), le parcours de carrière et l’accès aux responsabilités
professionnel ( femme supposé être moins disponible donc ont des parcours pro différencie
par rapport aux hommes , elles accèdent beaucoup mon aux responsabilité pro, mais
également l’aspect de la précarité = instabilité sur le marché du travail / le temps partiel ce
sont près de 80% des femmes qui sont a temps partiel , ce temps partiel est majoritairement
imposes par les entreprises ou elles travaillent( donc revenu faible quand l’emploie est peu
qualifié )/ polarisation dans la place des femmes dans le MT , d’un cote des femmes dans
des conditions de précarité , d’autre part des femmes qui ont fait des études et qui ont un
emploi stable mais qui font fasse a un grade discrimination malgré leur savoir conséquent )
- depuis quelque années on a une recomposition des inégalités ( condition fondamental de
l’indépendance financière et de l’économie ): amélioration de la situation du taux de
chômage féminin , dorénavant le taux de chômage des hommes et supérieur a celui des
femmes = les choses s’améliorent mais très lentement )
Q3 : Ces différents types d’inégalités sont explicables par les pratiques de recrutement
(pratique de Claudia Goldin)
Q1 : L'égalité = principe général selon lql au sein d’1 société les individus doivent être traités
de la mm façon / le fait de recevoir dans ttes situations un accès aux même ressources
(écos, sociales, culturelles, pols )
Selon de Tocqueville : recherche d’égalité est le moteur du changement social dans sociétés
démocratiques
≠ notion pose problème au singulier CAR égalité recouvre diffs dimensions
Q4 : La justice sociale = 1 objectif largement partagé ≠ pas de consensus pour définir ce qui
est juste et le distinguer de ce qui est injuste notion difficile à définir CAR
- justice sociale revêt 1 dimension subjective
(ex : ce qui est perçu comme juste pour 1 individu ne l’est pas nécessairement pr d’autres)
- dépend des sociétés (soc fr et soc chinoise sont deux soc diffs et les conceptions de
justice sont très diffs)
- recomposition perpétuelle = ce qui est juste dépend du contexte : ds une mm soc le
changement social modifie perception de ce qui est juste ou injuste
(ex : en France la pénalisation homosex a pu paraitre juste ds le passé ≠ injuste aux
yeux du plus grd nb ajd)
Q5 : La conception de la justice sociale qui repose sur la correction des inégalités de départ
pour obtenir l’égalité réelle est l’égalitarisme stricte (idée de réduire au max les inégalités de
situation)
Q6 : Les caractéristiques de l’égalitarisme libéral : tous les H sont en liberté d’agir seulement
si leurs actes sont justifiés et ouvert à tous et surtout si ces inégalités causées par cette
liberté d’agir profitent aux plus défavorisés
C. Égalitarisme Strict
Cherche à corriger les inégalités de départ pour obtenir égalité réelle
(égalité situations)
Ex : Marx
D. Égalitarisme libéral
Libertés fondamentales pour tous (liberté expression, association) / Inégalités justifiées si
positions sociales ouvertes à tous ET si elles profitent aux plus défavorisés (principe de
différence)
(égalité chances)
Ex : Rawls
Q1 : En 2017, en France, le salaire brut mensuel moyen des footballeurs de Ligue 1 est
presque 17 fois supérieur à celui des femmes en D1 de football. En effet, les hommes de
Ligue 1 de football gagnent un salaire mensuel en moyenne de 50 000 euros bruts, tandis
que les footballeuses de D1 ne gagnent en moyenne que 3 000 euros bruts par mois (50
000/3 000 = 16,67).
Q2 : Les inégalités de salaires bruts mensuels moyens entre les hommes et les femmes
dans le sport sont plus ou moins fortes selon la discipline sportive. En effet, les inégalités
salariales sont fortes dans le football ou le rugby tandis qu’elles sont plus faibles en volley-
ball. En effet, les joueurs masculins de volley-ball perçoivent un salaire brut mensuel moyen
40 % supérieur à celui des joueuses féminines. Toutefois, on remarque que la dotation de 2
millions d’euros pour le vainqueur du tournoi de Roland-Garros en 2016 est identique pour
les femmes et les hommes.
Q3 : Les inégalités de salaires dans le sport peuvent s’expliquer par plusieurs facteurs :
Q1 : Les trois conceptions de l’égalité sont les suivantes : égalité des droits, égalité des
chances et égalité des situations.
- égalité des droits correspond à la situation dans laquelle ce qui est légalement
possible pour un individu doit l’être pour tous les autres. Tous les citoyens sont donc
soumis aux mêmes lois.
- égalité des chances renvoie à la situation dans laquelle l’accès aux ressources rares
et socialement prisées est indépendant de l’origine sociale ou d’autres
caractéristiques de l’individu (âge, sexe, nationalité...). Les individus ont donc les
mêmes chances, les mêmes opportunités, indépendamment de leurs caractéristiques
ou origine sociale.
- égalité des situations (conditions ou positions), appelée aussi « égalité réelle »,
correspond quant à elle à la situation dans laquelle les individus disposent d’un
même accès effectif à une ressource socialement valorisée.
Q2 : L’égalité des droits ne suffit pas à garantir l’égalité des chances car elle ne garantit pas
que les procédures seront identiques pour tous, que les droits seront effectivement réalisés,
ni même que certains ne seront pas discriminés. Ainsi l’égalité des droits ignore les
inégalités économiques et sociales rencontrées par les individus qui les placent dans des
situations où leurs droits n’ont pas les mêmes chances de s’appliquer.
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Q1 :
Q1 : Il est nécessaire de placer individus derrière un « voile d’ignorance » pour définir des
principes acceptables par tous car ils ne connaissent pas leurs position sociale, capacités et
talents, conception du bien = ne sont donc pas influencés par leurs conditions d’existence
réelles. S’ils sont donc placés dans cette situation d’incertitude = peuvent former des
principes objectifs, neutres
Q2 : Selon Rawls, il faut donner la priorité à la liberté sur l’égalité : la liberté doit être égale
pour tous, et notamment les libertés de base = doit être garanti, avant même toute l’égalité
d’accès aux richesses.
Q3 : Dans cette conception de la justice sociale, les inégalités justifiées sont celles qui sont
liées à des fonctions et positions ouvertes à tous (« juste égalité des chances ») et qui
améliorent au maximum la situation des plus démunis, les plus désavantagés de la sociétés
(« principe de différence »).
1.) Principe de liberté égale : Chaque personne doit avoir un droit égal au système le
plus étendu de libertés de base compatibles avec un système similaire de liberté pour
tous. Cela signifie que les libertés fondamentales (comme la liberté d'expression, de
vote, etc.) doivent être garanties de manière égale pour tous les individus.
Ces principes seraient choisis par des individus dans une position originelle d'égalité, sous
un « voile d'ignorance » qui masque leurs caractéristiques personnelles et leur position dans
la société = cela vise à garantir l'impartialité et l'équité dans la détermination des principes de
justice.
Q4 : Un exemple d’inégalité qui serait justifiée : les profits des entreprises permettent de
financer des investissements ou de rémunérer des apporteurs de capitaux, ce qui génère de
l’activité économique qui peut bénéficier aux plus démunis. Les inégalités de revenus qui
proviennent du partage de la valeur ajoutée avec une part destinée au profit peuvent donc
bénéficier aux plus démunis.
Un exemple d’inégalité qui ne serait pas justifiée : Des revenus qui proviennent d’une rente
ne conduisent pas à de nouveaux investissements. Ainsi, les profits des entreprises peuvent
augmenter avec une concentration des entreprises par rachat des concurrents, ce qui leur
permet d’extorquer une rente liée à une position dominante non contestée, donc qui ne
nécessite pas d’investissements pour être maintenue. Ce sont donc des inégalités qui ne
bénéficient pas au plus grand nombre. = patrimoine héritier position fermés à tous = position
héritier capte tt patrimoine d’un pays = positions fermées aux autres = non stimulant pour les
autres = aucune incitation à l’effort.
Q1 : Les libéraux qui fondent leur conception de la liberté sur l’égalité se rattachent à la
conception de la justice sociale de l’égalitarisme libéral.
Q3 : La mise en place de la redistribution peut sacrifier la liberté car elle est opérée par
pouvoirs publics = nécessite l’intervention de l’État et perturbe fonctionnement libre du
marché :
- Fiscalité sur la propriété limite la liberté de jouir de ce bien du propriétaire
- Mise en place d’un impôt sur le revenu sacrifie la liberté des plus riches à utiliser
leurs revenus comme ils le souhaitent au profit d’un accroissement des revenus des
plus pauvres ou de la réduction des inégalités
Les inégalités de situation se réfèrent aux disparités qui existent entre les individus ou les
groupes sociaux en termes de conditions de vie et d’accès aux ressources matérielles et
immatérielles (économiques ou valorisées socialement). Ces inégalités peuvent être
considérées comme justes selon certaines conceptions de la justice sociale. En effet, selon
l’égalitarisme libéral de Rawls, ces inégalités sont justifiées uniquement si elles profitent aux
membres les plus défavorisés de la société, en accord avec le principe de différence.
Prenons l’exemple d’un système fiscal dans lequel les personnes ayant des revenus plus
élevés paient un pourcentage plus important de leurs revenus en impôts. Cette inégalité est
justifiée car les revenus générés seront utilisés pour financer des programmes sociaux,
comme l’éducation ou les soins de santé, qui bénéficient aux individus moins favorisés. Et si
les positions sont ouvertes à tous. De plus, cette théorie renvoie au mérite individuel afin de
favoriser l’égalité des chances. Les inégalités sont justifiées dans la mesure où tous les
individus partent de conditions économiques et sociales similaires. D’autre part, dans
l’égalitarisme strict, les inégalités de situation ne sont pas considérées comme justes. En
effet, cette conception cherche à corriger les inégalités de départ afin d’atteindre une égalité
réelle, se rattachant donc à une égalité des situations. Ainsi, toute inégalité est injuste
puisqu’elle crée un déséquilibre dans les conditions de vie des individus. Par exemple, un
accès inégal à une éducation de qualité engendre un cycle de pauvreté dans lequel les
individus les moins favorisés se retrouvent avec des opportunités moindres concernant leur
réussite professionnelle. De plus, dans la théorie utilitariste, les inégalités de situation sont
considérées comme justes uniquement si elles maximisent le bonheur du plus grand
nombre, le bien-être collectif. Un exemple serait la rémunération basée sur les compétences
ou l’éducation. Payer plus les individus ayant des compétences demandées (comme les
médecins ou les ingénieurs) peut être justifié si cela encourage les gens à poursuivre une
formation longue et difficile, ce qui à terme profite à l’ensemble de la société par des services
médicaux de meilleure qualité. Enfin, dans le libertarisme, les inégalités de situation peuvent
être justifiées car elles ont un effet incitatif. Une personne qui fait face à des difficultés
économiques et sociales doit tout mettre en œuvre pour essayer d’améliorer sa situation, il y
a une remise de question du rôle de l’État providence (politique allocations, aides sociales).