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Avec Adam Smith il y’as eu une transition du fondalisme vers le capitalisme, c’est 18 siècle,

Ricardo c’est le 19 eme siècle

Marx 1 / 10 minute

I. Base du raisonnement classique


Adam Smith, le père fondateur de l’économie moderne et tête de file du courant des
classiques. Il publie en 1776 un célèbre ouvrage intitulé « recherche sur la nature et les
causes de la richesse des nations »

II. Fondement sur lesquelles les classiques vont construire leurs pensées
éco:
1) L’homme est rationnel est celui utilise les ressources rares afin d’atteindre une
satisfaction maximal.
2) L’homme est égoïste. Il vise, ses intérêts individuels (producteur et consommateur)
3) Il existe aucune opposition entre l’intérêt individuel et l’intérêt général. « Si
chaque un cherche à satisfaire son intérêt personnel, il contribue à l’intérêt général»
4) Les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de
consommation, de travail, etc.) sont nécessaires au bon fonctionnement de l'économie et
que l’intervention de l’État doit se limité à la sécurité, diplomatie, justice respect de la
concurrence.
Le libéralisme économique garanti l’efficacité économique, en d’autre terme, Il
devrait avoir aucun obstacle à la liberté économique pour que chaque individu assure
la rationalité « laissé faire les hommes, laissé passer les marchandises » la meilleur
chose que l’Etat puisse faire c’est de rien faire.
5) Les classiques raisonnent à long terme.
III. Les principaux thèmes de l’économie politique classique :

A. La valeur/ repartions du revenu national


B. La croissance
C. Evolution du capitalisme
A - La valeur / répartition dans la pensée économique. (classique, Marx et néo)

Pourquoi étudier la valeur ?

Sa relation avec la réparation ?

 L’objectif des classiques est comment réalisé la croissance ?


 La croissance et le développement ne peut se réaliser que grâce à l’échanges.
(Intérieur de l’économie ou entre pays), sans échange on ne peut pas avoir de
croissance.
 Si on doit faire l’échange ce sera sur qu’elle base ? Moi je produis de l’or et toi des
tomates, on va échanges 1kg d’or contre une tomate ? c’est de l’échange inégal.
 Il faut mettre un rapport d’échange 5 unité de ca = 3 unité de ça, On valorise les
deux produit à échanger, pour que l’échange se développe, pour que tout le monde
soit satisfait de l’échange i faut qu’il ait un rapport d’échange.

Pour eux la valeur signifie deux choses :

 La valeur d’usage est la condition de la valeur d’échange, il faut avoir besoin du bien
pour qu’il soit échangé. (Les pays qui vont accepter l’échange que si les deux produits
sont utiles pour les deux pays)

 La valeur d’échange : Elle est déterminée par le travail (quantité de travail nécessaire
à sa production) .Pour que l’échange se développe il faut qu’il ait un rapport
d’échange « Un prix est un rapport de quantités échangées à titre marchand. Un
poulet vaut 2 poissons, ce qui est équivalent à 2 poissons valent un poulet. 6 heures
pour faire ca 1 heures pour faire ça. L’homme est rationnel il achète ceux dont a
besoin.

Les classiques ont adopté une position objective de la valeur, en déterminant la valeur par la
quantité de travail nécessaire à la production d’un bien.

Transition :

Mais pour analyser la répartition les classiques vont se référer à 3 classes au niveau de la
société, Les travailleurs, les capitalistes et les propriétaires foncier.

Mais quand je détermine la valeur par le travail ça veut dire que c’est le travail qui créer se
bien, c’est le travail qui est le créateur de la richesse. Mais la répartition se fait entre 2
autres classes (les capitalistes et les propriétaires foncier)

Le revenu National sera répartis entre 3 types de revenu : Les salaires pour les travailleurs,
les profits pour les capitalistes et les rentre pour les propriétaires foncier. Ils repartissent en
terme de classe sociale c’est une analyse macroéconomique

 c’est ça la relation et c’est ça qui sera critiquer par Marx

Ils ont développé 3 théories :


 La théorie dès Les salaires : Comment déterminer la part qui va au travailleur
 Le salaire c’est la partie du revenu national qui sert à payer le travailleur.
 La théorie de la rente : Comment se détermine la rente
 La théorie des profits : Comment se détermine les Profit
La théorie dès Les salaires
On distingue deux types de salaire :

- Salaire naturel : C’est le revenu qui va permettre aux travailleurs de réalisé le


minimum vital qui doit assurer la survie et la reproduction.
- Le minimum vital depant d’une société à l’autre et d’une époque a l’autre
- Salaire Courant : C’est celui qui est déterminé selon la loi de l’offre est de la
demande dans le marché de travail.
- Quand on est en situation de chômage et que l’offre de main d’œuvre est abondante le
salaire va baisser, quand on est en période de croissance et que les entreprises cherchent
des travailleurs le salaire va augmenter donc le montant des salaires courant dépend de la
situation du marché de travail en fonction de l’offre est de la demande
NB : A long terme le salaire courant tend vers le salaire naturel.
*Deux situations se posent :

1) Le salaire courant > Salaire naturel : Salaire courant stipule un salaire


important ce qui signifie un bon état de santé est un taux de mortalité faible,
et un nombre plus d’enfants qui viennent encombrer le marché de travail et
font baissé le salaire courant et le ramené vers le salaire naturel.

+La main d’œuvre est rare ou il y’as croissance économique et donc le niveau
de salaire augmente et il dépasse le minimum vital, donc le bien être sera
améliorer, les travailleurs seront en bonne santé les longévités va augmenter,
la morbidité et la mortalité* va baisser et les enfants vont être en bonne santé
mieux encore, je vais avoir beaucoup d’enfants et qui vont rester longtemps.

Donc la conséquence de sur le marché de travail a long terme est


l’augmentation de la main d’œuvre est donc le salaire courant vont baisser

2) Le salaire courant < Salaire naturel : Inversement (1)

Dans une période de crise le chômage va augmenter, le salaire courant va


baisser inférieur au salaire naturel, les maladies vont se développer, le taux de
mortalité va augmenter.

A long terme cela va entrainer une baisser de la main d’œuvre qui va engendrer
une hausse des salaires courant qui va tendre vers le salaire naturel
 Quantité d'individus malades au sein d'un groupe durant un certain temps
La théorie de la rente : Comment se détermine la rente ?

La rente Absolu (Adam Smith)


 C’est une partie du revenu national ou de la production que l’on va donner aux
propriétaires fonciers pour cultiver leurs terres quel que soit la nature de leurs terres,
c’est la position d’Adam Smith. On le paye parce que il posse de droit de propriété.

Rente différentielle (David Ricardo)

 David Ricardo va avoir une autre position, il va dire que la rente différentiel, c’est un
revenu qui n’est pas absolu, que l’on paye et qui n’es pas fixe pour tous les
propriétaires.

 Ricardo va analyser la rente en fonction de la nature du sol, (dépend de la fertilité du


sol).
 La rente différentiel c’est-à-dire que la rente est différente selon la nature du sol.

On a deux théories de rente dans la même école, comment ça se fait ?


 Au niveau de la même école on a deux contextes diffèrent qui explique deux position
différentes.
 - Epoque 1776 pour Adam Smith et 1817 pour David Ricardo, cela explique en partie
cette différence.

 Dans la période d’Adam Smith l’agriculture joue un rôle déterminant, dans l’activité
éco, tant que l’agriculture est dominante on doit payer pour cultiver la terre, en cette
période-là les terres sont importantes est disponible, après le renforcement du
capitalisme, le rôle de l’agriculture commence à se réduire au profit de l’industrie et
donc la place du propriétaire commence à perdre de leurs importance. Donc plus les
terres sont fertile plus la rente est élevé.

 Autre raison les deux économistes n’appartienne pas à la même classe sociale, Adam
Smith était un grand propriétaire foncier et David Ricardo était un industriel, Cette
position sociale explique cette différence, chaque un défend sa classe sociale.

La théorie des profits : Comment se détermine les Profits

 Le profit c’est la différence entre la production et la somme des salaires et des rentes.
Croissance et Evolution du Capitalisme.

 La question de la population est fondamentale dans l’évolution de la richesse.


 Comment la population va influencer sur la croissance ?

Sa thèse est bien connue de tout le monde : la population croît selon les termes d’une suite
géométrique (, 2, 4, 8,16…), alors que les subsistances (la production agricole) croient selon
les termes d’une suite arithmétiques (1, 2, 3, 4,5…). D’où le fait est qu’il y aura
nécessairement pénurie ! Malthus ici se sert de la « loi des rendements décroissants » de la
production agricole pour expliquer ce décalage entre les ressources et la population.

Loi des rendements décroissants et des couts croissants

Il faut cultive plus de terres moins fertiles pour avoir plus de production agricole mais ses
terres sont de moins en moins fertile avec moins de rendements que les terres fertiles, si on
les exploite c’est parce que on a une population qui augmente, les terres les plus fertiles ne
suffisent, ses terres fertiles en un haut rendement sans beaucoup de travail, alors que les
terres qui sont pas fertiles on moins de rendements avec plus de travail.

Or ces nouvelles terres seront moins fertiles que les premières, donc moins productives. Le
prix des denrées alimentaires va alors grimper, faisant monter de même les salaires (le
salaire est un salaire de subsistance qui sert à payer le minimum vital au travailleur). La
hausse de salaire conduit à la baisse du profit, qui mène à un ralentissement de l’économie
et, à long terme, à l’état stationnaire. Heureusement le progrès technique et le commerce
international semblent avoir repoussés cet état stationnaire.

Plus la population augmente plus on exploite ses terres moins fertile donc les couts sont
plus élevée et plus les rendements sont moins élevée

DR et AS vont faire de l’échange le moteur de la croissance économique, Si on consomme


tous ceux dont nous produisons on peut ne pas faire d’échange.

Si on a une population qui augmente plus que ce que nous produisons, on ne pourra pas
échanger ni investir ni croissance.

Pour lui, la seule solution (radicale) reste la contrainte morale, c’est-à-dire l’abstinence et la
chasteté, puisqu’il faut à tout prix limiter la croissance démographique, pour éviter qu’elle
ne dépasse les potentialités de la production.

On peut résumer les crises en deux partie = surproduction et Etat stationnaire

Les pays sous dev ne peuvent pas supporter les charger d’une pop qui augmente (éducation,
logement, alimentation, santé..), il faut consacrée les fond pour IN et croissance. C’est donc ca la
relation étroite entre l’augmentation de la population est la croissance.
Comment les classiques vont analyser cette évolution ? Est-ce que les classiques imagine-t-il une
possibilité de déséquilibre est de crise ? Est-ce que la croissance sera permanente dans le
capitalisme ?

Pour les classiques tant que le libéralisme économique est réaliser, tant que l’individu est rationnel
est égoïste et avec le laisser faire les hommes, laisser passer les marchandises on atteindra la
croissance. Mais est ce que cette croissance va être permanant ? peut –il y’avoir problème de
déséquilibre et de crise ?

L’équilibre c’est offre globale = demande global, si il y’as inégalité il y’as alors déséquilibre et il peut
se transformer en crise, le problème le plus lourd c’est lorsque on a beaucoup d’offre est très peu
de demande c’est quand on produit et qu’on trouve personne pour achète nos produits, c’est le
phénomène de surproduction. Pour les classiques la situation de surproduction peut se produire
mais elle ne peut pas entrainer une crise qui menace le système capitaliste, donc on peut avoir un
déséquilibre mais qui est provisoire.

Pourquoi les classiques vont penser que la surpd ne va pas menacer le système ?

Pour deux raisons :


1) Il va se baser sur la loi des débouchés de JB SAY :
 Chaque offre créer sa propre demande, tout offreur est en même temps demandeur, je produis le
bien A, je vais l’échanger ou le vendre pour acheter un autre bien, Donc lorsque j’offre un produit je
vais demander un produit en même temps. , tout offreur est en même temps demandeur.

 Section des classiques concernant la monnaie :

2) - A partir de la loi des débouche la monnaie est un simple intermédiaire d’échange, en d’autre
terme pour eux la monnaie est considérer pour eux comme un simple voile, car on utilise la
monnaie que pour faciliter les échanges, cette monnaie nous cache cette véritables échange qui
est (A contre B). (conception de la monnaie voilà). La monnaie est neutre car elle va
uniquement faciliter les échanges. Elle ne va pas influencer l’activité économique et elle ne va
pas provoquer de déséquilibre.
*Pour Marx et Keynes c’est le contraire
Pour eux même si il y’as un déséquilibre il est provisoire, par exemple-moi si j’ai vendu est que
j’ai gardé la monnaie, jusqu’à quand je vais garder la monnaie ? Tôt ou tard il finira par la
dépenser (la monnaie n’as aucune valeur) il y’aura plus de surproduction et donc l’équilibre se
rétablira. (La monnaie n’as aucune valeur et celui qui la détient finira par la dépenser)
3) Le raisonnement à long terme. Déséquilibre provisoire, a long terme il ne peut avoir que la
croissance

2 ème volet
La classe des travailleurs peut-elle entretenir la croissance, il dire non car ils ont un salaire fixé au minimum
vital, il ne pourra pas épargner ni investir afin d’assurer la croissance, ils ne peuvent pas assurer IN et donc la
croissance.

Pour David Ricardo, les propriétaires fonciers ont que des terres et ils ne travaillent pas, il reçoit une partie
du revenue national uniquement parce qu’ils ont des terres donc c’est une classe improductive, elle ne peut
pas assurer la croissance, elle est parasite.

La classe des capitalistes vont utiliser leurs profit pour épargner et pour Investir et assurer la croissance,
donc la classe qui peut être qui le moteur de croissance sont les capitalistes. Pour épargner et pour investir
leurs revenus doit être élevée.

L’école Marxisme

Contexte : Qu’elle est la relation entre la pensée économique et le contexte socio historique ?

La révolution industriel a donné lieu à un développement industriel, mais se développement industriel n’as
pas valorisé les conditions de travail favorable pour les travailleurs.

 Homme femme est enfants vont se trouver dans des conditions de travail inhumain avec des
salaires misérable et des durée de travail très long, car dans cette période-là on assiste a une
implication de toute la famille dans le travail, il y’avais, ni association ni syndicat ni règlementation
pour défendre les travailleurs.
 Plusieurs voix vont se faire entendre pour défendre et pour protester contre cette situation mais au
début c’était par deux types de moyens :
1) Des penseurs qui vont protester contre cette situation de « L’état de malheur. »
2) Sous formes de discours religieux et de discours de morale, en protestant contre la façon de se
comporter avec les travailleurs, en fessant référence a la religion pour rejeter la misère sociale
et pour inviter les patron a se guérir de l’égoïsme, du matérialisme et il doivent être plus
raisonnable avec les travailleurs. Les discours n’a rien changé dans les conditions des
travailleurs.

On va assister à une grève de 4 semaines de la part des travailleurs dans l’industrie de la Grande
Bretagne, mais a la suite de ses 4 semaines ils ont reçu aucun salaire et cela a entrainé une
augmentation de la pauvreté, augmentation de la famine, il ont été obligé de retourne dans les
usine, sans avoir rien obtenu.

En général on va assister à des manifestations et a des grevés de la part des travailleurs, des
intellectuelles, des étudiants … Sans obtenir de résultat
 C’est en cette période-là que Marx qui était pas un économiste il était un philosophe, mais il s’est
intéresser a l’économie car ses toutes ses conditions-là ne peuvent pas être changé par discours
moralisateur par un discours pacificateur.
 Il en fini avec le discours moralisateur, avec les idées idéal, et la religion, c’est le quotient matériel
qui doit changer, et il ne peut changer que grâce aux conditions économiques, c’est pourquoi Marx
va s’intéresser à l’économie.

 Marx va commencer par lire les grands classiques, et il va les critiquer.

 Pour comprendre la situation des travailleurs, pour la faire changer il faut analyser les conditions
Matérielle, c’est pourquoi Marx va construire sa pensée sur une méthode nouvelle, sur le
matérialisme historique.
Fin du contexte

Les classiques avait une analyse en terme d’individus, l’individu rationnelle, égoïste qui
recherche sont intérêt …, L’analyse marxiste ce n’est pas en terme d’individu mais en terme
de classe sociale.
SELON Marx, Les contradictions du système capitaliste vont entrainer sans fautes des crises,
qui font entrainer la fin du système capitaliste.
Ila va développer les mêmes thèmes que les classiques : V/R, et l’évolution du Capitalisme.
I) Valeur et Repartissions :

Pour les classiques, la valeur est déterminer par le travail, c’est le travail qui est créateur de la valeur.

 Mais Marx estime qu’il y un problème à faire de ce temps de travail la source de la valeur, car, écrit-
il dans Le Capital, « Si la valeur de la marchandise est déterminée par le quantum de travail
dépensé, plus un homme est paresseux ou inhabile, et plus sa marchandise a de la valeur, parce
qu’il emploie plus de temps à sa fabrication
 Il y’as une différence entre les classiques et Marx, c’est que Marx va développer encore plus la
conception de la valeur travail, en disant que c’est le travail socialement nécessaire. C’est quoi le
TSN ?
 C’est la quantité de travail fourni par un ouvrier moyen dans des conditions de travail normal. C’est
l’ensemble du travail simple + travail complexe + travail vivant + travail mort.
 Travail simple : Main d’œuvre non qualifié
 Travail complexe : Main d’œuvre d’une spécialiste (ingénieur. Technicien)
 Travail vivant : C’est le travail intégrer de la machine
 Travail Mort : Travail de la machine

o Comment on va les évaluer et ajouter tout ce travail ?


 D’après Marx il faut tout convertir en travail simple (par exemple 1 d’un ingénieur = 4 h d’ouvrier
non qualifié).

 ! Mesurer la valeur d’une marchandise, pour procéder à l’échange et à la répartition, revient à


mesurer la quantité de travail socialement nécessaire pour la produire.
 Celle-ci peut être mesuré par la durée pendant laquelle la force de travail est mise en mouvement,
avec l’hypothèse que tous les types différents de travail peuvent être convertis à du travail simple. En
termes de temps de travail, il est supposé que le travail complexe est un multiple du travail simple

 Marx va utiliser la théorie de la valeur pour analyser la répartition ! et non pas pour régler le
problème de l’échange mais pour régler le problème de la répartition et ainsi démontrer que dans le
capitalisme la R est de l’exploitation, pour lui c’est cette théorie qui va expliquer la répartition. Pour
Marx le seul revenu légitime c’est celui des travailleurs et les autres revenus sont le résultat de
l’exploitation.

 Les classiques parle du mécanisme de la répartition Marx Parle du mécanisme de l’exploitation.


 Pour lui le capitalisme est basé sur l’exploitation, car il est basé sur la propriété privée des moyens
de productions. (chaque un fait ce qu’il veut chaque un peut avoir son entreprise, sa terre …)

 !La société est divisée en deux classe sociale ceux qui possède et ceux qui possède pas, donc c’est
les bourgeoisies est les prolétariats, les prolétaires sont obliger de vendre leurs force de travail aux
capitalistes pour vivre, quand on parle de vente et d’achat il s’agit d’une marchandise, donc la force
de travail est une marchandise et le salaire et le prix de vente de cette la marchandise. Et la plus-
value pour la bourgeoisie.

 Ils disent aussi que toutes marchandises à une valeur d’usage (utilité) et une valeur d’échange
(salaire),La seule marchandise qui peut avoir une valeur d’usage supérieur à la valeur d’échange et
la force de travail, car elle n’est pas payer en fonction de ce qu’il produit mais au mois. Par exemple
je produis 10 et on me payer 6, plus-value = 4. Elle a une double valeur d’usage utile pour le
prolétaire (salaire) et pour les bourgeois (plus-value).

 Donc Marx a utilisé la théorie de la valeur pour 1 que dans le système capitaliste la force de travail
est une marchandise qui se vend et qui s’achète, et qu’elle est la seule à créer une valeur supérieur à
ce qu’elle reçoit. Du moment que le prolétaire ne reçoit pas tout ce qu’il a créé, on dit qu’il est
exploiter.

L’évolution du Capitalisme chez Marx ou Problématique de la croissance et des crises

 Pour les classiques l’équilibre se réalise quand L’offre global = demande global, pour les classiques il
faut assurer la liberté économiques, tant que chaque individu est rationnelle… on peut avoir la
croissance et le développement, c’est vrai on peut avoir des déséquilibre, mais il ne peuvent pas
entrainer des crises qui menace le système capitaliste, car tout offre crée sa propre demande, avec
le rôle passif de la monnaie même si il y’as un déséquilibre il ne sera pas permanant, tôt ou tard, il
va disparaitre le l’équilibre se rétablira. David Ricardo a dit qu’il y’as possibilité dès l’Etat
stationnaire mais il y’as des solutions dans ce système. Ce sont des déséquilibres qui ne menacent
pas l’existence du système. On peut avoir un déséquilibre de surproduction mais les lois du marché
vont jouer et l’équilibre se rétablira.

 Avec Marx le système capitaliste est condamné à des crises qui vont entrainer sa destruction.
(différence entre les classiques et Marx)

 L’objectif des capitalistes c’est la plus-value, avec l’évolution des capitalistes on va assister à une
concurrence entre les capitalistes, chaque un veut grossir sa plus-value.

 Le capitalistes exploites le prolétaire, mais il y’as des limites, alors il va chercher d’autres moyens, il
utiliser de plus en plus de machines, au de produit 1 unités il va produire 3 unités, c’est pour
augmenter la productivité du travail.

 La plus-value va baisser parce que le nombre de travailleur va baisser, il y’aura deux conséquence :

La plus-value va baisser parce que le nombre de travailleur prolétaire va baisser sachant


que c’est lui qui crée la plus-value.
Augmentation du chômage, Plus le capital fixe augmente, plus la plus-value diminue.

La formule du taux de profit : PL/ (C+V)

 À terme le dénominateur de la fraction va être plus important que le numérateur, le


résultat va donc être inférieur à une fraction au rapport plus équilibré. On voit bien dès
lors que ce sont les mêmes facteurs qui conduisent à la fois au gonflement de la
composition organique du capital et à la baisse tendancielle du taux de profit.

 c’est à dire en favorisant le travail mort des machines au dépit du travail vivant des
travailleurs, le capitalisme atteint ses limites. On en arrive donc à la tendance à la baisse du
taux de profit, génératrice de crises, qui est, en tant que telle, la principale limite du
capitalisme

La monnaie chez Marx

1. La monnaie n’est pas neutre, elle est active a deux niveau (Marx veut montrer qu’il y’as exploitation
et que il y’aura une crise qui va mener vers la fin du capitalisme), en tant que moyen d’exploitation
et en tant que facteur qui va entrainer des crises donc elle n’est pas passif).

- En tant que moyen d’exploitation, pour produire il nous faut la force de travail et un capital initial, le tout
pour avoir une capitale finale supérieur au capital initial sachant que seul le travailleur peut créer une valeur
supérieur à ce qu’il reçoit (salaire qui est inférieur à la valeur qu’elle crée), la valeur payé – valeur crée =
plus-value qui est la preuve de l’exploitation.

Le capitaliste a utilisé la monnaie pour acheter tout ça, donc pour exploiter le prolétaire a fin de bénéficier
d’une plus-value. Elle joue dans le capitalisme le moyen de l’exploitation.

2. Comment la monnaie va influencer les crises ?

Le capitaliste va réinvestir après le processus de production, sachant qu’on est dans un contexte de
concurrence entre capitaliste, donc il a tendance a utiliser beaucoup plus de machine que de travail vivant
or le seul créateur de la valeur c’est le prolétaire, donc on a abouti a une baisse tendancielle du taux de
profil, ce qui a générer crise de suraccumulation. (On investit mais il y’as pas de retour d’investissement)
donc la monnaie est active. (Concept de baisse tendancielle du taux de profit)

L’école de néoclassique

L’école néoclassique vient afin la fin de la deuxième moitié du dix-neuf siècle, une école qui veut revivre la
pensée classique, une école qui en reprenant les fondements de l’école classique veut compléter combler les
insuffisances de l’Eole classiques, une école qui va voir le jour dans un objectif bien particulier rejeter les
conclusions Marxiste et restaurer le libéralisme et la pensée classique.

Une réaction contre les thèses marxistes de l’exploitation et des crises.

Contexte socio-historique de l’apparition et du développement de l’école néoclassique :


Deuxième moitié du dix-neuf siècle, une époque caractérisée par un climat intellectuelle très développé ou
niveau de toutes les sciences surtout au niveau des sciences exactes qui on connut une progression
considérable.

Une époque caractérisé par un développement économique important, les industries ont connu un essor très
important, comme caractéristique principale un développement de la productivité, c’est la conséquence de
la révolution technologique, avec une effervescence sociale tous ses éléments combiné aux conclusions de
Marx vont favoriser l’apparition d’une nouvelle école de pensée pour restaurer.

C’est cause de la critique des classique est du système capitaliste de la part de Marx que va apparaitre
nouvelle pensée (néoclassique) afin de restaurer la crédibilité de la pensée classique.

Fin du contexte

Ils vont reprendre les grand fondements économiques (le libéralisme économique, les lois de marché …)

Ils vont se donner d’autre fondements, ils vont faire une analyse micro économique c’est comme les
classiques l’homme est égoïste … mais quand ils ont voulu traiter la répartition ils ont analysé en terme
Marco économique et ils ont traite la répartition en terme de classe social.

Pour les néoclassique néo toute l’analyse va se situer au niveau MICRO ECONOMIQUE, on sait que l’un des
fondements c’est l’homme est rationnelle, donc l’objectif des agents économique c’est de maximiser son
utilité en tant que consommateur et sa productivité en tant que producteur.

L’un des fondements de base c’est la concurrence pure et parfaites, il faut que le marché respect certaines
conditions a fin d’obéisse à la concurrence pure et parfaite : Atomicité, Homogénéité des produits,
transparence de l’information, Libre entrée et sortie sur le marché, Libre circulation des facteurs de
production.

Les néo-classique ne raisonne pas en terme de classe sociale.

Les néo-classique vont reprendre les thèmes développer par les classiques et par Marx,

Les classiques se sont intéressés à la problématique de la croissance qui les a envoyé à l’échange et pour
faire de l’échange il faut régler le problème de la valeur qui ont régler en se référant a la théorie objectif de
la valeur pour ce qui est de la répartition ils ont fait une analyse au niveau des classes sociales, il ont
Flash distinguer 3 classes avec 3 théories, (théories des salaires, rente est profit) qu’il ont vite régler en se référant
Back au minimaux vital, a la lois des rendements décroissants et des couts croissant et avec la rente Absolu et la
rente différentielle et ainsi que la différence entre la production les salaires et la rente.

On sait que la pensée de Marx est basée sur la critique des classiques et du capitalisme, il a critiqué la
problématique de la répartition, la problématique de la monnaie, la problématique de l’évolution du
capitalisme, il rejeter toute la pensée classique.
Marx va approfondir les choses, pour lui cette relation c’est le fondement du capitalisme il rejoint les
classiques pour la valeur- travail, il dit puisque c’est le travail qui détermine la valeur, pourquoi il ne reçoit
pas toute la valeur qui a créer ? Il justifie cette relation à partir de la possession de la propriété privée des
moyens de productions, et, donc nous avons deux classes une qui possède (capitaliste) et une qui possède
Flash pas (prolétaire), il vend sa force de travail en contrepartie d’un salaire, donc le salaire c’est le prix de vente
Back de la force de travail, quand on parle de prix de vente donc c’est une marchandise car on est dans le
capitalisme, donc cette classe qui ne possède rien est obligé de vendre sa force de travail pour survivre. Donc
Marx va utiliser la théorie de la valeur pour montrer que dans le capitalisme le prolétaire est le seule
créateur de la valeur et il ne reçoit pas l’intégralité de la valeur créer, et la différence entre ce qui a été créer
et le salaire c’est la plus-value qui est prise par bourgeois revenu non légitime qui est le fruit de
l’exploitation, donc les prolétaire sont exploiter. CAR Ils ont une double valeur d’usage : utile pour le
prolétaire (salaire) et pour les bourgeois (plus-value). Et du moment que c’est un système de l’exploitation il
ne peut évoluer que vers des crises qui vont mener à la fin du capitalisme.

(Sujet d’examen possible : les liens entre les écoles de pensée ?)

I) Valeur répartition :

La détermination de la valeur dépend de l’utilité, sur le marché ce qui déterminer la décision du


consommateur c’est l’utilité, elle n’est pas déterminer par le travail mais par l’utilité.

On peut avoir des biens qui sont très utiles mais qui n’as pas de valeur exemple : Air, eau …

Contre-exemple : œuvre d’art

Donc pour les néo-classique c’est l’utilité est la rareté relative qui détermine la valeur, ce n’est plus le travail.

 Les néo classiques s’inspirent de la distinction que fait Smith entre valeur d’usage et valeur
d’échange mais affirment que ce qui fait la valeur d’un bien, c’est son utilité marginale : notion qui
a le mérite de traduire à la fois la notion d’utilité et de rareté dans la mesure ou plus le bien est
abondant, moins l’utilité marginale est forte. La notion d’utilité marginale parvient par exemple à
expliquer pourquoi un diamant est cher. C’est la valeur de la dernière unité de bien consommé
qu’il faut considérer.

Ce qui fait la valeur d’une marchandise, c’est la capacité qu’elle a à satisfaire un besoin : plus ce besoin est
fort, plus le prix est élevé. Ce qui fait la valeur d’un bien c’est donc son utilité aux yeux du consommateur,
et non l’effort de production que ce bien a nécessité.

 Comment les néo-classique vont utiliser la théorie de la valeur-utilité pour traiter la problématique
de la répartition ?

Pour les néo-classique la répartition n’est pas traiter en terme de classe sociales, pour les néo-classique la
production ne peut être tenu que part la combinaison de deux facteurs de production, le travail ne peut pas
à lui seul faire la production, il doit être combiné aux capital pour produire, les deux facteurs sont
nécessaires et utiles pour produire, donc ils doivent tous les deux être payer, chaque un va recevoir un prix
de facteur. Ils seront payés en fonction de leurs productivités. (Rendement)

Ont rejeté la théorie des classiques et de Marx, le travail ne peut pas à lui seul produire et créer de la valeur,
Si il y’as respect de la concurrence pure et parfaite. Si tous les facteurs de travail sont
nécessaire pour produire, les deux sont utile, chaque facteurs et payer selon sa productivité
(rendement), il y’aura pas d’exploitation. (lien entre la valeur et la répartition).

II) La monnaie chez les néoclassique :

Pour ce courant de penser le seule Motif de détention de la monnaie est le motif de transaction :

La Monnaie n’est jamais demander pour elle-même mais uniquement pour ce qu’elle permet d’acquérir .Elle
constitue un simple intermédiaire des échanges sans aucune influence sur l’économie réel.

La masse monétaire crée doit correspondre au volume des transactions si elle est créé en quantité
abondante elle va provoquer l’inflation

Ainsi si la monnaie est neutre, une augmentation de l’offre de monnaie ne doit pas modifier le volume de la
production se traduisant uniquement par une augmentation du niveau général des prix (si les prix absolu ont
doublé, les prix relatif n’ont pas changé)

Exemple : T0 1A=100dh et 1B=200dh donc 1A= 1/2B et 1B=2A

(Prix relatif) T1 : A1 = 200 dh et 1B = 400 DH donc 1A = 1B.

-Il s’agit de l’équation de l’échange formulé par Fisher en 1911. M.V=P.Q (Niveau de transaction=Q, P=niveau général
des prix).

III) L’évolution du capitalisme chez les néoclassique : (déséquilibre et crise)

Pour les néoclassique, le système capitaliste et le meilleurs système, il ne peut pas y’avoir de crise, tant
que la concurrence pure est parfaite, tant que les facteurs de production sont payer selon leurs
productivités alors il ne peut pas y’avoir de crise.
L’école keynésienne

I) Contexte socio historique :

Une période de crise économique crise monétaire, politique ses problèmes ont engendre la 1 guerre
mondial, qui a menacé le système capitaliste avec la présence d’un nouveau système socialiste à la suite de
la révolution de 1917 ce qui menace directement la survie du système capitaliste.

Crise économique qui se manifeste par la surproduction par le chômage une baisse considérable du pouvoir
d’achat et du revenu suite à toute les crise le marché n’as pas pu régler ses problèmes, le chômage n’es plus
volontaire, les prix on baisser les salaires ont baissé ses deux problèmes n’ont pas régler ni la surproduction
ni le problème du chômage cela a aggravé la crise et elle a apporté un coup du a la vision classique pour le
qu’elle tous les problèmes économique peut être régler par le jeux du marché, cependant le jeux du marché
n’as rien régler.

- Keynes en analysant se contexte a vu que la crise menace le système a vu que le socialisme qui est en URSS
peut contaminer les autres pays donc c’est la survie du capitalisme qui est en jeux alors pour Keynes les
choses peuvent être régler dans le capitalisme mais en changeant de vision la vision classique n’est capable
d’expliquer des solutions à cette crises tous les fondements des classique doivent être remis en cause.

- Les classiques disaient qu’il ne fallait pas intervenir en période de crise tout ou tard avec le jeu des lois du
marché l’équilibre se rétablira, Cette confiance aveugle dans le marché qui est critiqué par Keynes et cette
vision de raisonnement à long terme qui est critiqué par Keynes.

-Keynes n’es pas contre le marché et n’es pas contre le capitalisme mais si les lois ne jouent pas il faut qu’il
ait un agent économique qui puissent régler les problèmes « ETAT» l’état, car le K connait une situation de
crise économique et si on laisse le marché même si il y’as équilibre il va toujours y’avoir chômage car c’est un
équilibre de sous-emploi ainsi la seule sortie de cette crise est l’intervention de l’Etat.
Cette intervention comment va-t-elle se faire par qu’elle moyen ?

Théorie de demande

Keynes conclus que la principale cause de la crise est la demande, si la demande est insuffisante selon va se
manifesté par une crise de surproduction « On arrive pas à vendre parce que il y’as pas de demande, cette
faiblesse de la demande va entrainer une baisse de la production, et une baisse de l’investissement et une
baisse de l’emploi, une baisse des revenu et donc la demande va encore baisser » le cercle vicieux va
s’aggraver, donc la demande c’est le centre de tous les problèmes, il faut que la demande effective et la
demande anticipé soit soutenu par l’Etat.

La sortie de la crise l’Etat doit venir un agent économique et doit mener une politique de demande, Pour
Keynes sortir de la crise signifie agir sur la demande par le biais d’une politique de demande.

La politique économique est l'ensemble des interventions des administrations publiques sur l’activité
économique pour atteindre des objectifs. (Croissance, plein-emploi, justice sociale)

Keynes suggère de faire intervenir l’Etat. Par une politique demande (hausse du salaire minimum, des
allocations sociales, baisse du taux d’intérêt), la production serait relancée ce qui éviterait une récession.

Exemple : Si on baisse le taux d’intérêt (on va encourager l’octroi des crédits) donc on va augmenter
l’investissement cela va entrainer une augmentation des revenus donc augmentation de la demande.

Pour lui, le marché ne peut se réguler seul sans risques de dysfonctionnements. Ainsi, l’État doit mener une
politique volontariste pour relancer la croissance économique en période de crise. Ses idées seront mises en
place pendant les 30 glorieuse (1945-1975) et seront en partie à l’origine de la forte croissance de cette
époque.
Une théorie de la monnaie fondée sur la préférence pour la liquidité

En situation de crise la confiance baisse et l’agent économique garde la monnaie en tant que réserve de
valeur la (préférence pour la liquidité) augmente, donc l’investissement baisse et c’est la demande qui baisse
donc La monnaie n’es pas neutre car elle agit sur l’investissement et sur la demande.

L’intérêt de ce raisonnement est d’expliquer qu’une partie de la monnaie en circulation peut être retirée du
circuit par certains de ses détenteurs ( en tant que réserve de valeur préférence pour la liquidité ) mais alors,
s’il y a moins de monnaie en circulation, cela va se répercuter sur la demande (il y aura moins de demande
de biens et services) et moins de production de biens et services donc Les entrepreneurs vont donc diminuer
leur offre et ce qui va provoquer un déséquilibre.

Pour empêcher ça, Keynes suggère de faire intervenir l’Etat. Par une politique de relance de la demande
(hausse du salaire minimum, des allocations sociales, baisse du taux d’intérêt), la production serait relancée
ce qui éviterait une récession.

Exemple : Si on baisse le taux d’intérêt (on va encourager l’octroi des crédits) donc on va augmenter
l’investissement cela va entrainer une augmentation des revenus donc augmentation de la demande, et on
aura plus de crise

-Par conséquent la monnaie n’est pas neutre et joue un rôle actif particulier notamment à travers le taux
d’intérêt qui est déterminer dans la sphère monétaire et a une influence considérable sur l’activité
économique.

Cette vision porte un coup aux :

Mécanisme de la loi de la marche


La vision classique
Raisonnement à long terme

Keynes n’as jamais rejeter le capitalisme il n’as jamais rejeter le marché mais il a rejoint Marx il ont vue tous
les deux qu’il y’as des crise de surproduction, crise de l’investissement et de l’accumulation , activité de la
monnaie mais Keynes a rompu avec la vision Marxistes , pour Marx il y’as pas de solution toute ses crise
vont aboutir à la destruction du capitalisme pour Keynes non avec une intervention de l’Etat à travers une
politique de demande en intervenant sur le marché donc on peut trouver des solution sans disparition du
système capitaliste.

- Contrairement à ce qu’as dit David Ricardo les salaires ne doivent plus être les liée à la libre concurrence du
marché sans intervention aucune, pour Keynes non l’Etat doit intervenir pour augmenter les salaires elle doit
intervenir pour distribué les revenu de transfert donc ce n’est pas dans un but sociale mais c’est plutôt pour
augmenter la demande.

L’Etat en tant qu’agent économique va devenir employeur, investisseur, il va aider les entreprises.
Le libéralisme (monétariste) Milton Friedman

Deux niveaux d’analyse (comme pour Keynes avec la monnaie et la demande et PPL)
1) Monétaire
2) De l’offre
La monnaie
Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la
monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques, et les
monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie

Pour les Libéraux l’inflation s’explique que par la monnaie. D’après eux l’inflation est toujours et partout un
phénomène monétaire la cause de celle-ci est la création excessif de la monnaie et le développement du
crédit.

L’objectif de Milton Friedman, c’est de lutter contre l’inflation, parce que l’inflation ne permet pas de faire
des prévisions donc on ne peut plus faire des investissements car la visibilité et nos prévisions seront faussé
à cause de l’inflation elle diminue la compétitivité des pays, leurs produits deviennent plus cher à
l’international, L’inflation réduit le pouvoir d’achats, et donc la demande baisse et donc on va se retrouver
dans une situation de surproduction.

Donc l’objectif est de lutter contre l’inflation et puisque l’inflation est d’origine monétaire la seule arme pour
lutter contre l’inflation est la politique monétaire.

Théorie de L’offre : Pour M.F, la politique de demande aggrave l’inflation.

C’est une théorie qui privilégie l’entreprise. C’est l’entreprise qui est devenue la variable clé car c’est
l’entreprise qui produit c’est l’entreprise qui investit, c’est l’entreprise qui emploi et qui distribue les
revenus, elle est donc le poumon de l’économie. Cette théorie de l’offre ne date de M.F, car M.F et les
libéraux vont emprunter et se référer aux classiques pour la théorie de l’offre elle ne concerne pas que les
nouveau libéraux, on la trouve déjà avec les classiques car c’est l’un des fondements des classiques c’est la
loi de J.B.S, l’offre crée sa propre demande, il ne faut pas se préoccuper de la demande il faut se préoccupe
de l’offre car pour eux chaque offre créer automatiquement sa demande. Les classiques aussi donné
beaucoup d’importance à l’offre.
L’Etat doit se désengager de l’activité économique afin de ne plus concurrencer les entreprises.
Trop d’impôt tue l’impôt, il faut alléger le fardeau de l’entreprise en allégeant les charges.

La politique monétaire restrictive : le seul objectif est la stabilité de la valeur de la monnaie via la maîtrise de
l’inflation en augmentant par exemple les taux d’intérêt

Les libéraux vont suggérer une politique économique (politique de l’offre), appliquer une politique
monétaire restrictive pour lutter contre l’inflation en contrôlant la masse monétaire qui circule dans
l’économie à travers la distribution de crédits accordés par les banques. en baissant ou augmentant les
taux d’intérêt.

Exemple :

Proposer une politique de l’offre avec moins d’impôts, avec une flexibilité du marché du travail, avec un
désengagement de l’Etat qui était un concurrent est donc un soutien à l’entreprise.
Pour Keynes ce n’est pas un problème au contraire ils ont appelle ca une huile de la machine économique
cad que étant que investisseur si je vois que les prix augmente je serai inciter à produire + pour vendre +
c’est un stimulant)

Questions potentiel :

Les salaires dans la pensée économiques ?

La théorie de la demande ?

I. Valeur et répartition dans la pensée économique ?

II. La théorie de la demande ?

III. La monnaie dans la pensée économique ?

IV. La théorie de la demande ?


V. L’évolution du Capitalisme ou Problématique de la croissance et des crises et déséquilibres ?

….

Problématique de la valeur dans l’école classique et néoclassique (sujet 2013/2014)

Attention : Le sujet de la valeur est intimement lié a celui de la répartition donc il faut traite la valeur/
répartissions chez les deux écoles

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