Chap I : La comptabilité

comptabi lité nationale - 1ans la m2me période #O34U3.#56 a $ait

C’est
’est une une repr eprésen
ésenta
tattion
ion simsimplif
plifée
ée et une
une prem premi" i"rre tent
tentatativ
ivee d’un
d’un tabl tableaeau u
chirée de toutes les opérations économique en introduisant la notion de
économiques réalisées pendant une année 7u* dans l’anal!se des choses
à l’intérieur d’une économie ou bien avec le économiques%
"me
reste du monde, elle permet des - .es ph!siocrates au 89  si"cle, recherche
comparaisons dans le temps et dans des
des prinprinci
cipe
pes s e*pl
e*plic icat
ati$
i$s
s et les les lois
lois de
l’espace et constitue un instrument $onctionnement économique au
irremplaçable de prévision détrim
détriment ent du simple
simple aspect
aspect quantiquantitat tati$
i$%%
Selon l’ONU  la CN se propose de saisir la /tableau économique de :uesna!0
"me
struc
tructture
ure d’un ’un s!st !st"me
"me éco économ ique à - ;u 89  si"cle la CN éprouve une éclipse
nomiqu
travers les transactions presque totale est cela du à l’émer+ence
Selon #auchert  elle $ournit une des pensées économiques /pensée
représentation simplifée de la vie économique libérale0
économique% 2- La pério
pér iode de compt
com ptabl able e:
Selon &arc'e(s)i  la CN est une branche - .a naissance véritable de la CN a lieu dans
de la science économique, branche les années 8<=>?8<@> comme produit de
spécia
spécialislisée
ée dansdans l’étud
l’étude e quanti
quantitat
tative
ive des la crise et de la révolution )e!nésienne%
)e!nésienne%
réseau* économiques inté+rés% - .a crise
crise économ
économiqu ique e 8<A<
8<A<  insuBs
insuBsanc ance e
Les caractéristiques
caractéri stiques de la C.N : des mécanismes du marché pour ré+ler
lle vise essentiellement l’activité l’économie%
- e!n
e!nes est est basé asé sur une lo+i lo+iqu quee des
économique  l’ob-et de la CN est de nature
quanti
quantitéstés +lobal
+lobales,es, les a+ré+aa+ré+ats ts selon
selon
économique
C’est une représentation chirée de la vie lui,
lui, on peut peut doncdonc pens penser er l’éc
l’écon
onomomie ie
économique  elle s’intéresse à la comm
comme e un tout tout%% t l’ap l’appapari
riti
tion
on d’un
d’une e
quantifcifcati
ation et à l’élaboration des approche macroéconomique qui cherche
opérations eectuées par les a+ents à déte
déterrmin
miner les les relatelatioionns entrentre e lesles
économiques en les rassemblant sous $orme diérents a+ré+ats% C!cle  D E 5 E 1%
des comp
comptes tes de de la nation
nation d’une
d’une mani"r
mani"re e Chap II : Les acteurs et opérations opération s de
chirée et simplifée l’écono
l’é conomie mie national
nati onale e:
C’est une technique comptable  il 1- La notion
noti on de l’unité
l’un ité
s’intéresse au principe de la partie double institu
ins titution
tionnel
nelle le :
pour
pour étabétablilirr les
les comp
compte tes
s en +ran+ranititisantt - Une unité
isan unité instit
instituti
utionn
onnelle
elle est une entité entité
l’équilibre économique dotée da la capacité
.a CN vise l’anal!se du circuit économique  auto
autono nome
me de poss posséd éder
er desdes actiacti$s$s,, de
elle anal!se les relations entre les souscrire des équipements et d’e*ercer
dié
diérrente
entes s +ran +randedeur
urss écon
économ
omiqique
ues s /le/le des activités économiques et de réaliser
comportement des ména+es, l’anal!se de la des opérations avec d’autres entités
production, le comportement des - Une unité est dite institutionnelle
entreprises, le parta+e du marché intérieur, lors
lorsqu
qu’e’ell
lle
e -oui-ouitt de l’au l’auto
tononomi
mie e de
la place de l’tat dans l’économie% décisi
décision on dans
dans l’e*e
l’e*erc rcice
ice de sa $onctio $onction n
Historique de la comptabilité nationale prin
princicipa
pale
le et avoi avoirr une une compcompta tabi
bili
lité
té
1- La périod
pér iode e pr
pré-c
é-comp
omptabtable
le : compl"te%
- C’es
C’estt une
une pério
période de ou les les préo
préoccccup
upatatio ns - Un
ions secteur institutionnel re+roupe
étaient straté+iques et fscales relatives à l’ense
l’ensemblmble e des
des unités
unités instit
instituti
utionn
onnellelles
es
l’élaboration des statistiques /m2me comportement économique0
- .es unités institutionnelles ont les m2mes
économiques/les é+!ptiens, l es
ressources
ressources principales
bab!loniens, les +recs%etc%0
2 – Les concepts déterminant dans
8
- .e 8F "me ? 8G"me avec l’av"nement des la dé!nition d’"I :
th"ses mercantilistes et l’émer+ence des - .e territoire économique  c’est la 'one
tats ENations, dépassement du simple +éo+raphique administrée par les
stade de l’inventaire, /H% Dett!, est la pouvoirs publics et à l’intérieur de
notion d’arithmétique politique0 laquelle les biens circule librement
- tat cité, tat empire, tat nation constitué par 
- n +rand #reta+ne /8F99?8F<80, in+ • .e territoire +éo+raphique du pa!s
dresse un tableau récapitulati$ dans lequel• .’espace aérienne
il distin+ue deu* variables  le revenu • .es enclaves territoriales c%à%d% les
national, la dépense nationale, et la territoires situés dans le reste du monde
diminution annuelle de la richesse telles que les embrassades et consulats%
nationale due à la +uerre% - .a notion de la résidence  une U%3 est dite
- n Irance, le premier essai de comptabilité résidente lorsque son centre d’intér2t
National est celui de J;U#;N qui $ut économique se trouve sur le territoire
inspiré par la préoccupation de connaitre économique du pa!s%
le revenu national afn d’améliorer le
rendement du s!stem fscale% # - La production
Selon le SCN&  la production est l’activité
socialement or+anisé destinée à créer des
- Centre d’intér2t économique  on dit que biens et services% /production marchande,
une U%3 est réputée avoir un centre non marchande0
d’intér2t économique dans un pa!s DLCIMC3MI#CIMS
lorsqu’il e*iste à l’intérieur du territoire I#CI  Iormation brute de capital f*e
S  variation de stoc)
économique de ce pa!s un endroit
C3  consommation intermédiaire
/domicile, lieu de production0 dans le quel CI  consommation fnal
il e*erce et à l’intention d’e*ercer des #-1 é$aluations de la production
activités pendant une période supérieur à • Dri* du marché  deu* variantes à
une année% distin+ué 
- Une U%3 est résidente sur le territoire  Prix départ usine (PDU) 
économique, c%à%d% sur l’aspect spécial /D  D1UL C3M 5SM#M /3.D?S0
il $aut produire et création de la valeur 5S  rémunération des salariés
a-outée, 5  distribution des revenu et la 3.D  impKts liés à la production
redistribution, 1  sous $orme de dépense0 S  subventions d’e*ploitation
 - Les secteurs institutionnels :
 Prix d’acquisition (PA) 
• S:SNI  /Sociétés et :uasi? sociétés
non Iinanci"res0 D;L D1U M &C
- 3ls re+roupent l’ensemble des U%3 dont la &C  mar+e commerciale
$onction principale est la production de • Cout des $acteurs 
biens et services marchands%et dont les CIL D1U ? /3.D?S0
ressources principales se composent du • .a production des intermédiaires
produit de ventes de biens et services% fnanci"res 
- On distin+ue les S:SNI publiques contrKlés - .es banques rémun"rent leurs activités
par les pouvoirs publics et les S:SNI sous deu* $ormes 
privées non contrKlés par les pouvoirs  Irais directement $acturés au
publics /sau$ entreprise individuelles0 consommateur /$rais de compte, carte
- les S:SNI /capital publique, capital privé, à bancaire0
capital mi*te0%  .es mar+es sur intér2ts L services
• .e secteur des ména+es  d’intermédiations fnanci"res
A
- .a $onction principale est la consommation indirectement mesurés /S3I3&0 M
-   compris les entreprises individuelles dividendes reçus pour placement de
- &éna+es ordinaires, population des $onds ou de dépKts%
institutions /internats, maison des - .e D3S# L intér2ts et dividendes reçus E
vieillards0, 3NC /non classés0 intér2ts versés
• .e secteur de l’administration publique D3S#  la production imputée des services
/;DU0  bancaires
- 3l re+roupe l’ensemble des U%3 dont la • .a production des services
$onction principal est la production du d’assurance?domma+es
service non marchand destiné à la - lle est évaluée par la diérence entre le
collectivité% montant des primes brutes acquises et
- ;dministration centrale, locales, sécurité le montant des indemnités services pour
sociale% sinistres%
• .es institutions fnanci"res  DL D#; ? 3S
- 3l re+roupe l’ensemble des U%3 dont la • .a production des services
$onction principal est l’intermédiation d’assurance?vie
fnanci"re% /collecter les $onds et accorder DL /prime acquise par la société
des crédits0, les banques, or+anismes assurance M revenus de placement0 E
d’assurance, services mutuelles, caisses /3ndemnités versés M variation des
de retraite% réserves mathématiques0
• .es institutions privées sans but • .a production des mutuels et des
lucrati$  caisses de retraite
- 3l re+roupe l’ensemble des U%3 qui DL cout de +estion E subventions
produisent des services non marchands d’e*ploitation
destinés au* ména+es /associations, • valuation de la production
clubs, s!ndicats, parties politiquesP0 marchande /D&0
• .e reste du monde  - .a D& est évalué par pri* base et
- 3l re+roupe l’ensemble des unités non pri* d’acquisition
économiques non résidents - .e pri* de base est la recette
%- les branches d’acti$ités eective du producteur par unité
- .a branche est le re+roupement produite
d’établissement produisant des produits - Le prix de base L montant pa!é par
homo+"nes l’acheteur pour chaque unité de
- Une entreprise $abriquant plusieurs produits produit E les impKts sur les produits
peut f+urer dans diérents branches mais M les subventions sur les produits%
elle ne peut appartenir qu’un seul secteur #-# les importations
institutionnel selon sa $onction principale% - .e $ret  cout de transport des
#-2 Imp&ts et sub$entions sur les marchandises par mer et par
produits et sur la production e*tension, par air ou par route, L le
- n CN on distin+ue deu* t!pes d’impKts  cout du transport des marchandises%
 .es impKts sur les revenus - .es importations ne comprennent
 .es impKts sur la production et les
pas 
importations /D et &0  #iens en transit direct
- .es impKts sur les produits qui se rattache  #iens entrant à titre provisoire
au pri* de vente /6J;, ta*es sur tabac0  .es eets personnels des
- .es autres impKts sur la production dont touristes
l’assiette ne dépend pas des entités  .es ventes de travau* en
produites mais les $acteurs de production bQtiment ou +énie civil par des
/ta*e pro$essionnelle, ta*e $onci"re%etc%0 entreprises étran+"res
=
 - .es subventions sur les produits versées
au* producteurs par unité produite et
a-outées au pri* de vente pour obtenir le
pri* de base%
- .es subventions d’e*ploitation dont
l’attribution n’est pas directement reliées
et qui ne $ont partie du pri* de base%
#- 'roduction pour emploi !nal
propre
- C’est la production destinée à la
consommation fnale ou à la I#CI de
l’ar+ent qui la produit%
- 3l comprend pour les ména+es 
 .a production a+ricole
autoconsommée
 .a production a+ricole dans les
pota+ers ou les -ardins $amiliau*
 .a production liée à l’emploi du
personnel /$emme de ména+e0
 .es propriétaires du lo+ement dans
lequel eectuent un service de
lo+ement qu’ils se rendent à eu*
m2me
- Dour les S:SNI et ;DU  la DID comprend
tout bien capital produit pour 2tre utilisés
dans leur propre unité de production
#-% La production non marchande
- .a DN& est la production $ournie à
d’autre unités soit à titre +ratuit, soit
à un pri* si+nifcati$ /un pri* courant
moins de R> des couts de
production0 comprend les services
assurées par les administrations
publiques et les 3S#.S&%
- 1eu* +rands t!pes de SN& 
ceu* qui ne peuvent $aire l’ob-et
d’échan+e marchands et qui
proftent à l’ensemble des S3
/activités ré+aliennes de l’tat0,
consommation collective
ceu* qui sont non marchands
par choi* politique et
bénéfcient e*clusivement au S3
des ména+es, consommation
individualisable
 l’évaluation de la DSN&
DSN& L Consommation
intermédiaires M rémunération des salariés
M autres impKts sur la production nets des
@
 .es échan+es eectués entre
fliales d’une frme
multinationale
- .es importations tout comme les
e*portations peuvent 2tre estimées
soit Iranco à bord /I;#0 soit cout
;ssurance $ret /C;I0%
#-( les dépenses de consommation
!nales )*C+,
- 3ls représentent la valeur des biens
et services utilisés pour la
satis$action directe des besoins
humains que ce besoin soit
individuel ou collecti$%
- Seuls les = S3 ont une 1CI T
&éna+es, ;DU, 3S#.&%
R?F?8 les 1CI des ména+es 
-  6outes les dépenses en biens et
services des ména+es%
- 1épenses $aites sur le marché, achat
de bien et service marchand /m2me
le cout eecti$ n’est pas supporté
par les ména+es  *p, achat de
médicament qu’on se $ait
rembourser0
- 1épenses réalisés lors de la
consommation de service non
marchand /part à char+e pour le
ména+e d’un service produit par
l’administration, *p, Santé0
- .a 1CI des ména+es est enre+istrée
au pri* d’acquisition /ors 6J;
déductible0
- .e pri* d’acquisition des 1CI des
ména+es comprend tous les impKts
sur les produits /6J; /non
déductible0 et ta*e sur la
consommation%etc%0 et la mar+e
commerciale et de transport%
R?F?A les 1CI des ;DU et des
3S#S.& 
- .es ;DU ont une activité de DSN&
comme cette production n’est pas
vendue/ou à un pri* n’est pas
si+nifcati$0 T p il est diBcile de savoir
à qui attribuer cette consommation%
- Dar convention on suppose que les
DSN& des ;DU est consommée par
les ;DU elles m2mes et il $aut
subventions d’e*ploitation M consommation
de capital f*e /;mortissement0
ces services sont produits sans
rémunération du capital
- la 1CI des ;DU L DSN& des ;DU E
paiement partiel des autres S3
/surtout les ména+es0 M prestations
sociales en nature au service des
ména+es%
- On distin+ue dans les 1CI des ;DU,
les 1CI individualisables /santé,
éducation0 et 1CI collectives des ;DU,
ce qui permet de calculer un autre
indicateur de consommation des
ména+es, la consommation fnale
eective /CI0 des ména+es
qui int"+re la DSN& individualisable
des ;DU%
noncé :
.es ;DU assurent un service de santé
publique, le cout annuel de ce service
s Ve*plique par la rémunération des
ména+es médecins /8G>0, le paiement des
$ournitures /8A>0, l’usure naturelle des
locau* /amortissement0 évaluée à 88>, les
ména+es versent cependant un montant
s’él"vent au total à 8=>%
1ans cette économie, des services de santé
sont uniquement +érés par des médecins
libérau*%
.es recettes de ceu* aupr"s des ména+es
s’él"vent à 8R> chaque année mais une
partie /8@>0 est prise en char+e par la
sécurité sociale, or+anisme rattaché au*
;DU
8? Calculer la production marchande et
non marchande de cette économie%
A? Calculer les 1CI des ména+es et des
;DU%
éponse :
1- .a DN& et D&
- 8G>M8A>M88>L @>> donc la DN&L @>> E
8=> L AG>
- la D&L 8R> E 8@> L 8>
- la D6 L D& M WSN& L /8=>M8>0 M
/AG>M8@>0
A? la 1CI& et 1CI des ;DU 
R
soustraire la part de la DSN& qui a
été pa!és par les ména+es%
- .es ;DU eectuent des dépenses
pour supporter le cout eecti$ d’une
consommation réalisés par les
ména+es /remboursement des
médicaments ou allocation de
lo+ement0
Seule l’acquisition de lo+ement neu$ est
enre+istrée dans la I#CI des ména+es
hors entreprises individuels%
.a I#CI ne comprend pas les dépenses de
recherche et développement et les
dépenses de publicité%
valuée au pri* d’acquisition hors 6J;
déductible en revanche les impKts et ta*es
liés à l’achat de ces biens sont inclus  $rais
de notaire T droit d’enre+istrement%%%etc%
#-/ les $ariations des stoc0s
- .es stoc)s sont constitués de biens
intermédiaires, de produits semi fnis
ou fnis%
- On décompose les variations de
stoc) en deu* postes 
  .es sorties de stoc)s  qui
participent à l’ore de biens et
devraient à ce titre f+urer coté
X ressources V
 .es entrées en stoc)s  qui
correspondent à des biens produits
mais qui n’ont pas trouvé d’emploi
correspondant%
- n comptabilité n’évalue ni les
entrées ni les sorties mais seulement
les évolutions de stoc) qui sont
enre+istrées coté X emploi V quel
que soit leur si+ne
- Si les entrés Y sorties variation est
positive% production non emplo!é
sinon le contraire donc on à un
déstoc)a+e, la production n’a pas
suB à répondre à la demande%
- .es variations sont évaluées au pri*
de base
#-1 les acquisitions nettes d’obets
 - 1CI& L 8=>M8> L 8@> de $aleur
- 1CI des ;DU L AG>M8@>L @8> - 3ls concernent l’acquisition de biens
- 1CI6 L 8@>M@8> L RR> de valeur /bi-ou* et antiquité%%etc%0
#-3 la consommation intermédiaire qui ne sont ni consommés ni inté+ré
- Se sont les biens entrant dans un processus à un processus producti$ mais
producti$ et dont la durée de vie est détenus comme réserve de valeur%
in$erieur à un an T ! compris les biens - I#C L I#CI M JS M ;NOJ
durables de $aible valeur /les petites #-11 de la production au 'I5
$ournitures0% quilibre mplois E 5essources au niveau
- .a C3 est une consommation productive et
d’un produit
seuls les a+ents producteurs peuvent donc
n principe, on doit avoir une é+alité entre
eectuer des C3%
les emplois /1CI, C3, I#CI, etc%0 et les
- .’usure du capital /amortissement0 ne $ait
ressources /D, 3&0%
parti des C3 mais du poste consommateur
Drobl"me ressources et emplois ne sont
de capital f*e%
pas estimés, valorisés de la m2me $açon 
- .a valeur des C3 est estimée au cout
la production est valorisée au pri* de base
d’acquisition hors 6J; déductible T si une
tandis que la plupart des emplois sont
entreprise ach"te des $ournitures, elle pa!e
valorisés au pri* d’acquisition%
la 6J; mais celle?ci sera déduite de la 6J;%
Comment passer du pri* de base au pri*
#-4 la +5C+
d’acquisition \ .e pri* de base ne
;cti$s corporels ou incorporels issus de
comprend pas 
-
processus de production et utilisés de $açon
• les impKts sur les produits /3D0 de t!pe 6J;
répétée ou continue dans d’autres
/non perçus par le producteur mais pa!é
processus de production pendant au moins
par l’acheteur0 T en revanche, ce pri*
d’un an%
int"+re les subventions sur les produits
• les mar+es commerciales /&C0 et de
/SD0 perçues par le producteur mais non
transport /&60, non perçues par le
pa!ées par l’acheteur%
producteur mais pa!ées par le
consommateur fnal
- On a donc 
3l $aut donc a-outer au* ressources ce qui
D3# L D E C3 M /3D E SD0
est pa!é par les acheteurs mais non inclus
dans le pri* de base /3D M &C M &60 et 1ans la section précédente, on a vu
déduire ce qui n’est pas pa!é par l’acheteur
que 
mais inclus dans le pri* de base /SD0% D M 3& M /3D E SD0 L C3 M 1CI M
quilibre mplois E 5essources du bien i
I#CI MZStoc)s M [
Soit 
Di M 3&i M /3Di E SDi0 M /&Ci M &6i0 L
D EC3M /3D ESD0 L 1CI M I#CI
C3i M 1CIi M I#CIi MZStoc)si M [i
MZStoc)s M [ E3&
/80
Dar conséquent, on a 
D3# L 1CI M I#CI MZStoc)s M [ E
Soit
3&

Di M 3&i M /3Di E SDi0 M /&Ci M &6i0 L Dlaçons nous, pour simplifer, dans une
C3i M 1CIi M I#Ci M [i /A0 économie $ermée% On a alors  D3# L 1CI M
- Cette é+alité est valable pour tous les I#C
produits sau$ A le commerce et le On l’e*prime à la date t et tM8 
transport, pour lesquels on a par défnition  D3#tM8L 1CItM8M I#CtM8
F
 Commerce  DCL &C /=0 D3#t L 1CIt M I#Ct
 6ransport  D6L &6 /@0 On peut donc écrire 
quilibre mplois E 5essources  au niveau
/D3#tM8E D3#t0 L /1CItM8 E 1CIt0 M
a+ré+é /I#CtM8EI#Ct0
Considérons tous les secteurs inde*és par i
On divise alors les deu* cKtés de l’é+alité
hors commerce et transport .’équation /A0
par D3#t et on obtient 
s’écrit alors  D3#tM8E D3#t0 ` D3#t0 L /1CItM8 E 1CIt0 `
] Di M ] 3&i M ] /3Di E SDi0 M ] /&Ci M D3#t0 M /I#CtM8EI#Ct0 ` D3#t0
&6i0 L ] C3i M ] 1CIi M ] I#Ci M ]
[i L 1CIt ` D3#t /1CItM8 E 1CIt ` 1CIt0 M
Or, par défnition, la somme des &C sur tous I#Ct ` D3#t /I#CtM8EI#Ct ` I#Ct0
les produits i correspond e*actement à la
production /au* recettes0 de la branche  Z D3#t ` D3#t L  /Z1CIt ` 1CIt0 M
commerce% &2me principe pour les &6% On a 8? /ZI#Ct ` I#Ct0
donc  .e tau* de croissance du D3# entre t et
Commerce  DCL ] &C /=0 tM8est la mo!enne pondérée des postes
 6ransport  D6L ] &6 /@0 composant le D3#, les pondérations
On peut donc réécrire /A’0 en ! substituant correspondant au poids de chacun de ces
les valeurs de /=0 et /@0  postes dans le D3# à la date t/initiale0%
Cette démonstration est menée à partir
] Di M ] 3&i M ] /3Di E SDi0 M DC M D6
d’un équilibre en valeur% Néanmoins, on
L ] C3i M ] 1CIi M ] I#Ci M ] [i montre sans diBculté que, si on
décompose la croissance du D3# en
#-12 *e la 675 au 'I5 volume, les variables de tau* croissance
^ .es productions sont estimées au pri* de sont en volume, tandis que les poids
base et les C3, au pri* d’acquisition, c’est?à? restent en valeur%
dire hors 6J; /déductible0% #-12 *étermination des $ariables :
^ 1onc la J;# est enre+istrée X au pri* de $aleur8$olume
base V, c’est?à?dire hors 3D /6J;, etc%0 mais :uand on étudie l’évolution d’une
SD comprises% +randeur en valeur, on mesure l’évolution
^ Comme on cherche à estimer le D3# /la de deu* éléments bien distincts
richesse produite0 non au pri* de base mais E l’évolution des quantités produites
au pri* d’acquisition, on doit penser à E l’évolution des pri*, à savoir l’in7ation%
a-outer les 3D /non compris dans les J;#0 et .ien entre variable en valeur et variable en
à déduire les SD /comprises dans les J;#0  volume 
D3# L _J;# M /3D E SD0 Jariable en valeur *L Jariable en volume
! Niveau des pri* '
^ Soient trois variables *, ! et ' telles que
* L !'% On a 
[tLtt à la date t [tM8LtM8tM8 en
• .e C& de la variable en valeur est é+al au
tM8
produit des C& de la variable en volume et
1onc
des pri*
.e coeBcient multiplicateur
• On appelle indice /d’une variable0 base 8
9t1 8 9t L tM8 ` t  tM8 ` t
pour l’année n la série des coeBcients
multiplicateurs de cette variable pour toutes
les dates considérées mais tou-ours par

G
 rapport à l’année de ré$érence n%
^ Un indice en base 8>> est l’indice base 8
multiplié par 8>>%
^ Un indice base 8>> répond à la
question  si une variable avait une valeur
de 8>> l’année n, quelle est sa valeur en
nMt, ou n?t\
.e lien entre coeBcient multiplicateur
/C&0 et tau* de croissance
^ 6au* de croissance de * en  L
9t1 - 9t 8 9t ; 1 L ) 9t18 9t -1 ,
8>>
1’o 
 6au* de croissance en  L )C< –
1,;1
• Un indice base 8>> pour l’année de base est
un C& /multiplié par 8>>0, mais
uniquement par rapport à l’année de base,
 -amais par rapport à une autre année%
^ Dar e*emple, on ne peut pas connatre
sans calcul l’évolution du pri* du D3# entre
A>>G et A>>9 en re+ardant l’indice de pri*
base 8>> en A>>R%
^ Dour calculer l’évolution des pri* entre
A>>G et A>>9, il suBt de rapporter l’indice
de pri* en A>>9 à l’indice de pri* en A>>G 
on obtient alors le C& des pri* entre ces
deu* dates, et on en déduit $acilement le
tau* de variation des pri* entre ces deu*
dates /in7ation en A>>90%