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L’informatique qui est la science qui étudie le traitement automatique et rationnel des

informations, notamment à l’aide de la machine automatique de l’information


(l’ordinateur) est considérée de nos jours comme un outil incontournable dans le
quotidien de tout individu qui aspire être au parfum des évènements importants qui
se passent près ou loin de lui. Le développement de l’informatique a réduit
considérablement le temps d’exécution de plusieurs tâches et dans tous les
domaines. Les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication
(NTIC) sont présentes au quotidien dans toutes les tâches que l’homme effectue,
l’exemple simple des téléphones portables est très illustratif. Ainsi il est nécessaire à
chacun de s’acquérir des connaissances aussi minimum soit elle dans le domaine de
l’informatique pour ne pas être considérer comme un « analphabète du 21ème siècle
» comme on le dit souvent. De plus l’élément centrale du système informatique étant
l’ordinateur, il est alors nécessaire de connaitre les tâches courantes qu’il peut nous
permettre de faire afin d’être plus productif, élément indispensable pour nous les
pays en développement pour ne pas dire sous-développés. C’est ainsi que cet
exposé vient à point nommé pour fournir des éléments à la compréhension et à
l’utilisation des nouvelles avancées dans le domaine des logiciels de traitement de
l’information. Cet exposé aura pour but de montrer la différence dans l’utilisation de
Microsoft Word et Microsoft Excel. Ce document est subdivisé en trois (3) parties ;
D’abord nous présenterons l’historique des deux logiciels ci-présent, ensuite nous
mettrons à nue les différentes fonctions de ces deux logiciels et enfin nous
montrerons la différence dans l’utilisation de ces deux logiciels.

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I- HISTORIQUE

1- Historique Word

Microsoft Word est un logiciel de traitement de texte publié par Microsoft.


La version la plus récente est Word 2019.
Sa première version a été distribuée en 1983 sous le nom de Multi-Tool
Word (« Multi-Outil de traitement de texte ») pour le système d'exploitation Xenix qui
était une version du système Unix à la fin des années 1970.
Des versions ultérieures furent écrites pour plusieurs autres plates-formes dont IBM
PC sous système d’exploitation DOS en 1983, Apple
Macintosh en 1984, SCO UNIX, OS/2 et les premières versions Windowsen 1989.
Word a été intégré en tant qu’élément de la suite Microsoft Office depuis 1993,
même s’il était également vendu seul ou inclus dans la suite Microsoft Works.
Depuis 2003, la version de Word a vu son appellation changer du fait qu’il fasse
partie intégrante de la suite Microsoft Office ; Microsoft a donc décidé de le
renommer Microsoft Office Word au lieu de Microsoft Word. La dernière version en
date est la version 2019 ; elle fait partie de la suite Microsoft Office 2019 et est
incluse dans l'abonnement à Office 365.
Un logiciel de traitement de texte couvre deux notions, assez différentes en pratique :
un éditeur de textes interactif et un compilateur pour un langage de mise en forme de
textes (notions qui sont précisées dans Traitement de texte).
Au cours de son évolution, Word a intégré l’outil de dessin qui permet d’effectuer des
opérations de publication, comme l’ajout de graphiques (diagrammes, graphiques
économiques, formes géométriques, illustrations, équations) aux documents.
Microsoft Word 2007 intègre un système de menus d’un nouveau genre où les sous-
menus n’apparaissent pas sous forme de texte mais sous forme de barre
d’icône changeant de contenu. Ce jeu d'onglets se retrouve dans Microsoft Word
2010 et remplace intégralement les menus. Word 2013 apporte l'usage
tactile [archive] et un mode lecture3. Word 2016 intègre de nouvelles fonctionnalités
de collaboration en temps réel et de partage et simplifie la création de forme.

Word de 1981 à 1989


Word fut le premier logiciel de traitement de texte populaire pour compatibles PC à
utiliser le mode graphique pour montrer immédiatement les mises en forme.

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Beaucoup de concepts et d’idées sont issus du premier éditeur WYSIWYG implanté
en 1974 sur le système Bravo (le PC Xerox Alto). Cette machine originale de
traitement de texte développée par Xerox a permis à Word d’exister. Charles
Simonyi, le créateur de Bravo a quitté le Xerox PARC pour rejoindre et travailler chez
Microsoft en 1981.
Par la suite, Simonyi embaucha Richard Brodie, qui avait également travaillé avec lui
sur le projet Bravo, pour venir le rejoindre chez Microsoft.
Le 1er février 1983, le développement de ce qui allait être nommé Multi-Tool
Word commença.
Microsoft sortit le programme le 25 octobre 1983 pour IBM PC en le
rebaptisant Microsoft Word.
Des versions de démonstration furent distribuées avec le magazine PC World en
novembre 1983, faisant de Microsoft Word, le premier programme à être distribué
sur disquettes dans un magazine. Toutefois, le pli n’a pas bien pris et cette initiative
n’a pas eu de répercussions probantes sur les ventes face à des produits rivaux
comme WordPerfect.
Word a concrétisé le concept du WYSIWYG, en français, Ce que vous voyez est ce
que vous Obtenez. Il fut la première application offrant la possibilité d’afficher
les polices de caractères en gras et en italique sur système IBM et
autres compatibles PC. Par ailleurs, Word imposa l’usage généralisé de la souris, qui
était jusqu’alors inhabituel, et Microsoft proposa même une solution packagée Word
avec souris offerte.
Même si MS-DOS restait un système dit en mode caractères, Microsoft Word était le
premier traitement de texte pour l’IBM PC à pouvoir afficher de véritables sauts de
ligne ainsi que les différents styles de police de caractères comme la mise en gras
ou en italique directement sur l’écran. Pour autant, Word n’était pas un authentique
système WYSIWIG du fait que la résolution disponible des machines utilisées ne
permettait pas d’afficher la taille réelle des caractères.
Les précédents traitements de texte sous MS-DOS,
comme Wordstar et WordPerfect, utilisaient plutôt le mode texte (80 colonnes et 25 à
50 lignes) avec des codes de mise en page ou, quelquefois, des couleurs différentes.
Jusqu’alors, un éditeur de texte restait un programme qui permettait de saisir et
modifier interactivement des textes et n’était pas vraiment concerné par la mise en
forme.
Le 25 mars 2014, Microsoft décide de publier le code source de Word 1.1a via le site
Computer History.
Word de 1990 à 1995
Microsoft Word 5.1a
La première version de Word pour Windows a été publiée en 1989 au prix de
500 dollars US. Avec la parution de Windows 3.0 l’année suivante, les ventes ont

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commencé à reprendre (La version 1.0 de Word pour Windows a été conçue pour
être utilisée avec Windows 3.0 mais offrait des performances moindres que la
première version publiée auparavant avec la première de Windows disponible).

WordPerfect essuya à son tour un échec de sa version pour Windows et sa


commercialisation fut aussi une erreur fatale. Toutefois, la version 2.0 de Word finit
par voir le jour et se vit reconnue comme une version leader du marché.
Après MacWrite, Word pour Macintosh n’avait jamais eu de concurrents sérieux, bien
que les programmes comme Nisus Writer (Traitement de texte de l’époque
pour Apple Macintosh) proposaient déjà des caractéristiques comme la sélection non
contiguë qui n’a été implémentée qu’à partir de la version 2002 (XP) de Word. En
parallèle, plusieurs utilisateurs se sont plaints du fait que les mises à jour majeures
tardaient : deux ans restaient une durée bien trop longue pour les utilisateurs
professionnels en entreprise.
La version 5.1 de Word pour Macintosh, publiée en 1992, était un traitement de texte
populaire de par son ergonomie, sa facilité d’utilisation et l’ensemble de ses
caractéristiques. Cependant, la version 6.0 pour ce même Macintosh, publiée en
1994, devint une dérision, contrairement à la même version pour Windows. C’était la
première fois que Word pour Macintosh et pour Windows portèrent un même numéro
de version ; de nombreuses accusations tombèrent à l’égard de sa lenteur et sa
grosse consommation de ressource de mémoire. Pour répondre à la demande des
utilisateurs d’Apple, Microsoft offrit une version antérieure 5.1 gratuite à tous ceux
ayant acquis une version 6.0. Bien que le numéro de la version précédente pour
Windows était la 2.0, Microsoft préféra coordonner les numéros de version pour les
deux plates-formes.
Quand Microsoft fut informé du problème de l’an 2000, il mit à disposition une
version intégrale de Word 5.5 pour DOS au lieu de prioriser une mise à jour.
En août 2011, il est encore disponible en téléchargement sur le site Web de
Microsoft5.
Word 6.0
Word 6.0 fut la seconde tentative de développer une version commune de Word. La
première tentative, dont le nom de code était Pyramide, consista à envisager de
réécrire complètement la version existante de Word. Cette idée fut abandonnée
quand Microsoft se rendit compte du temps que cela nécessiterait vis-à-vis de ses
équipes de développement alors que de nouvelles fonctionnalités pouvaient très bien
être ajoutées dans ce même laps de temps pour améliorer les versions existantes.
Le projet Pyramide
Les partisans du projet Pyramide clamèrent qu’une nouvelle version aurait été plus
rapide, plus petite et plus stable que la version pour Macintosh déjà publiée et
compilée avec la version bêta 2.0 de Visual C++. À cause de cela, de nombreuses

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optimisations furent arrêtées (La version 4.2.1 d'Office a été finalement compilée en
utilisant la dernière version du compilateur incluant une couche des API Windows).
Le projet Pyramide aura été un projet de réflexion faisant l’objet de nombreuses
polémiques, notamment sur le point de vue de la nécessité de redévelopper les
applications.
Les versions les plus récentes de Word pour Macintosh ne furent pas développées à
la hauteur de celles pour Windows ; pour autant, des fonctionnalités plus appropriées
pour tourner sous un environnement Windows furent portées sur les versions pour
Macintosh.
Évolution de Word
Au cours de l’évolution des versions, Word se vit enrichir de fonctionnalités et il
devint alors plus qu’un simple traitement de texte :

 Un ensemble d’outils permet d’effectuer des insertions d’objets graphiques


divers comme du texte en 3 dimensions, des formes géométriques de base
(rectangle, rond, trait...) avec quelques effets, des graphiques tels que des
diagrammes, des illustrations, des équations, etc. ;
 Un module des collaborations permettant la relecture selon différents
utilisateurs ;
 Un outil de comparaison de documents ;
 Un support de plusieurs langues au sein de différents paragraphes ;
Word 97
La version 97 possède de façon globale les mêmes caractéristiques et performance
que la version 2000. Elle fut la première version de Word pour laquelle Microsoft
implanta un Assistant Office (le Compagnon Office) sous forme de personnage
animé qui faisait son apparition au cours d’une session.
Ce fut une tentative de compensation de l’échec de l’interface Microsoft Bob. Celle-ci
était dédiée à être installé sur les plates-formes Windows 3.1 et 95 dans le but d’offrir
une interface non technique pour l’utilisation de Windows au quotidien dans l’objectif
de remplacer le Gestionnaire de programmes. Ce projet fut alors abandonné.
Word 98
La version 98 de Word, réservée aux plates-formes Macintosh, se vit octroyer le plus
grand nombre de caractéristiques de la version 97 pour Windows. Dans le but d’en
faire un allié commun aux deux environnements pourtant distincts, Microsoft mit en
place une règle de compatibilité entre les deux versions, ce qui ouvrit l’échange de
documents d’une plate-forme à l’autre. Malheureusement, cette mouture pour Mac
ainsi que les versions futures devinrent aussi vulnérables que les versions pour
Windows en ce qui concerne les virus potentiellement implantés dans les macros.
Cette nouvelle génération d’attaque jusqu’alors inconnue avait pour but de

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compromettre les documents Word (mais aussi les classeurs Excel) et cette
condition de multiplateforme facilita leur affluence.
Word 2000
Pour la plupart des utilisateurs, le changement le plus prépondérant de la version
2000 de Word fut le presse-papier qui pouvait contenir plusieurs éléments
restituables à souhait. Un second changement, non négligeable fut l’amélioration de
l’apparition exagérée du Compagnon Office qui ennuyait plus d’utilisateurs qu’il
rendait service : il devint plus discret.
Word 2001 et Word 2002 - Word 10
La version 2001 de Word, sortie en octobre 2000, fut empaquetée dans la suite
Microsoft Office pour les plates-formes Macintosh et possédait la plupart des
caractéristiques de la version 2000 pour Windows. Cette version fut également
proposée en version individuelle, dissociée de Microsoft Office ; elle fut rééditée en
2001 pour pouvoir être utilisée dans un environnement Mac OS X.
La version 2002 de Word pour Windows, sortie en octobre 2001, fut empaquetée
dans la suite Microsoft Office XP pour les plates-formes Windows. Bien que son
apparence autant que son interface ressemblât en beaucoup de points à la version
2000, cette version possédait déjà la plus grande partie des caractéristiques de la
future version 2003.
Word 2003 - Word 11

Logo de Word 2003.


Pour la version 2003 (Office 11), la suite Microsoft Office incluant Word fut éditée de
sorte que la marque Word entre en phase avec le nom de la suite pour devenir
officiellement Microsoft Office Word. Les utilisateurs, indifférents à ce changement,
continuent d’employer l’une ou l’autre appellation.
La version 2003 de Word a été l’une des plus utilisées. Microsoft a diffusé cette
version à la suite des commentaires et remontées de ses clients et associé les
innovations en rapport avec les versions précédentes en permettant de créer des
documents de manière plus efficace.
Word 2004
Une nouvelle mouture de Word pour Macintosh fut éditée en 2004. Quelques mises
au point substantielles des différentes applications de la suite Office
(Word, Excel, PowerPoint) furent effectuées pour s’accorder en partie avec la version
2003 pour Windows. À travers les années, Microsoft proposa différents patches
correctifs pour éliminer nativement les macros virus connues à partir de cette version
tandis qu’Apple publia différentes pages et une communauté Open Source
créa NeoOffice. Word restait le traitement de texte le plus largement utilisé sur
Macintosh.

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Word 2007
La version 2007 de Word est dotée d’un grand nombre de changements, notamment,
le nouveau format XML, une interface graphique totalement remodelée, un éditeur
d’équations intégré et un gestionnaire de livres. En parallèle à cela, un module
nommé Custom XML et conteneur de données XML a été implémenté dans le but
d’être accessible par le modèle objet et le format de fichier de Word, ce qui permet
une utilisation conjointe avec les nouvelles caractéristiques (Contrôle de contenu)
des documents structurés. La nouvelle interface graphique, de type ruban, agit sur
les onglets de façon contextuelle, ce qui permet d’offrir à l’utilisateur les différentes
fonctionnalités en fonction de ce qui est effectué sur le document ou en fonction du
contrôle qui possède le focus… Il existe beaucoup d’autres caractéristiques
avancées comme :

 une mini barre d’outils flottante qui fait son apparition sur un mot ou un
paragraphe afin d’en changer la mise en forme (ce qui réduit les manipulations
du clavier et de la souris),
 la gestion des styles, des jeux de couleurs, de polices, des thèmes,
indépendante du modèle, permettant de changer l'aspect d'un document par un
clic de souris,
 le remplacement des insertions automatiques par des composants
appelés Blocs de construction beaucoup plus évolués,
 une barre d’outils d’accès aux commandes courantes,
 des composants SmartArt (qui permettent une représentation graphique de
ses idées),
 de nouveaux contrôles de formulaires, nommés Contrôles de contenu,
 export au format PDF,
 etc.
Le nouveau format de document Word 2007 ne permet pas d’être exploité par les
anciennes versions de Microsoft Word, que ce soit dans un environnement Windows
ou bien Macintosh (respectivement les versions 2003 et 2004). Il existe cependant
un convertisseur à installer séparément sur ces anciennes versions de manière à
pouvoir lire ce format 2007, et même à pouvoir enregistrer sous ce format… 6
Pour pouvoir uniformiser la compatibilité des documents, il est préférable de
sélectionner le format Word 97-2003 au moment de la sauvegarde des documents.
La version 2008 de Microsoft Office pour Macintosh permet d’exploiter les
documents au format .docx, mais les plus anciennes versions de chacune des
plates-formes ne possèdent pas ce privilège.
Word 2008
À l’instar de la version 2007 de Word pour Windows, Word 2008 est la plus récente
version pour Macintosh ; elle a été publiée le 15 janvier 2008 et possède la plupart
des nouvelles caractéristiques de la version 2007, mais pas le ruban. Cette même

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version inclut de façon native le nouveau format XML ouvert Office appelé Open
XML.
Word 2010
Word 2010 est la nouvelle version de Word qui est contenue dans Microsoft Office
2010, et dont le format est identique à la version 2007.
Cette fois, l'abandon du menu classique pour le ruban et ses onglets paraît définitif.
Si au premier abord, la version 2010 ressemble beaucoup à la version 2007, elle en
est une version aboutie et contient bon nombre d'améliorations par rapport à cette
dernière, entre autres :

 nouvelles fonctionnalités de gestion graphique (détourage, effets


artistiques, ...),
 facilité de navigation et de recherches dans le document,
 récupération simple de documents non enregistrés et de versions antérieures,
 gestion de la fonctionnalité OpenType, avec nouvelles possibilités de jeux
stylistiques sur les polices d'écriture,
 nouvelles options de traitement des images (suppression du contour,
corrections d'image...),
 vérification orthographique contextuelle,
 etc.
Word 2013
Word 2013, sortie le 29 janvier 2013, en même temps qu' Office 365 et qu' Office
2013 pour le grand public. L'interface reprend le ruban et ses onglets, sans changer
les repères de 2010. Au premier abord, elle paraît moins contrastée et plus épurée
que dans les versions précédentes. Quelques nouveautés notables :

 le logiciel peut désormais s'utiliser avec un appareil tactile, et l'utilisation est


facilitée par l'existence d'un mode tactile ;
 on peut désormais convertir des documents PDF en format Word éditables en
les ouvrant directement avec Word 2013, et les réenregistrer en PDF après
modification ;
 possibilité de passer en mode lecture, qui fait disparaître le ruban et les autres
icônes qui peuvent potentiellement gêner la lecture, et réadapte le texte et les
images à la taille de l'écran. En mode tactile, on peut lire comme sur un e-book
en faisant défiler les pages avec le doigt et en zoomant sur les images par un
simple contact avec l'écran ;
 écran de démarrage remodelé et personnalisé, avec un accès aux documents
récents et aux modèles (documents pré-remplis à adapter à son propre usage,
qui évitent de partir d'une page blanche) ;
 nouvel onglet dédié aux styles et aux thèmes, à l'image de PowerPoint ;
 partage sur les réseaux sociaux et sur OneDrive facilité ;
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 Apparition du marque-page, qui retient la page à laquelle l'utilisateur s'arrête,
et propose de reprendre directement à cet endroit la fois suivante (et qui
fonctionne aussi sur un appareil différent si le document est sauvegardé en ligne
dans le Cloud).
 possibilité d'insérer des vidéos en ligne dans les documents Word depuis le
menu Insertion, la lecture de la vidéo se lance lorsqu'on clique dessus ;
 gestion simplifiée du repositionnement du texte par rapport aux images,
notamment grâce à un système de prévisualisation dynamique.
En avril 2014, Microsoft annonce que Word 2013 est désormais disponible sur iPad,
iPhone, Windows Phone et bientôt sur les téléphones équipés d'Android (Début
2015). Cela entre dans la logique "Office mobile [archive]" de Microsoft de rendre ses
logiciels disponibles sur le plus grand nombre de supports (ordinateurs, tablettes,
smartphones).
Word 2016
Word 2016 est sorti le 22 septembre 2015, en même temps qu'Office 2016 pour le
grand public. L'interface reprend le ruban et ses onglets en apportant les
fonctionnalités suivantes :

 Recherche intelligente (recherche sur Internet directement dans Word)


 Collaboration en temps réel (affichage des modifications que chaque
personne a apporté au document en temps réel)
 Équations manuscrites (insertion d’équations mathématiques converties en
texte)
 Partage simplifié sur OneDrive, OneDrive Entreprise et SharePoint
 Elle améliore également l'historique des versions du fichier.
Word 2019
Word 2019 est la dernière version de Word, sortie le 24 septembre 2018, en même
temps qu'Office 2019 pour le grand public. Word 2019 reprend toutes les
améliorations apportées à la version 2016 pour les abonnements 365, parmi
lesquelles :

 la bibliothèques d'icônes et d'objets 3D,


 la possibilité de dicter,
 la lecture à voix haute en français et dans des langues étrangères,
 la conversion en formes et en texte d'entrées manuscrites,
 la prise en charge de la syntaxe LaTeX pour des saisies mathématiques.
2009 : démêlés juridiques
Pour avoir contrevenu au brevet no 5787499 concernant le XML et appartenant à la
société canadienne i4i, la vente de MS Word est interdite aux États-Unis (jugement
frappé d'appel)

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2- Historique Excel

Microsoft Excel est un logiciel tableur de la suite bureautique Microsoft


Office développé et distribué par l'éditeur Microsoft. La version la plus récente
est Excel 20191.
Il est destiné à fonctionner sur les plates-formes Microsoft Windows, Mac OS
X, Android ou Linux (moyennant l'utilisation de Wine). Le logiciel Excel intègre des
fonctions de calcul numérique, de représentation graphique, d'analyse de
données (notamment de tableau croisé dynamique) et de programmation, laquelle
utilise les macros écrites dans le langage VBA (Visual Basic for Applications) qui est
commun aux autres logiciels de Microsoft Office. Depuis sa création au début
des années 1980 mais surtout à partir de sa version 5 (en 1993), Excel a connu un
grand succès tant auprès du public que des entreprises prenant une position très
majoritaires face aux logiciels concurrents, tel Lotus 1-2-3. Les principaux formats de
fichiers natifs portent l'extension xls (1995→2003) et xlsx (2007→2016). Chaque
fichier correspond à un classeur, lequel contient des feuilles de calculs organisées.
Chaque feuille correspond à un tableau de lignes et de colonnes pouvant contenir
des valeurs (numériques ou non) ainsi que des formules permettant les calculs.
Suivant les versions, les classeurs peuvent aussi inclure les éléments de
programmation que sont les macros. Depuis avril 2014, l'application Excel 2013 est
disponible sur iPad, iPhone, Windows Phone et sur OS Android depuis 2015. Cela
entre dans la logique "Office mobile" de Microsoft de rendre ses logiciels disponibles
sur le plus grand nombre de supports (ordinateurs, tablettes, smartphones).
La dernière version en date est la version 2016; elle fait partie de la suite Microsoft
Office 2016 et est incluse dans l'abonnement à Office 365. Excel 2016 intègre de
nouvelles fonctionnalités dont la collaboration en temps réel, le partage et la mise en
forme des formes simplifiés.
À l'origine, Microsoft a commercialisé un tableur appelé Multiplan en 1982 qui fut
très populaire sur les systèmes CP/M (plus populaire que Lotus 1-2-3 en France,
mais pas dans le reste du monde). La première version d'Excel est sortie en 1985
(Multiplan ne fut pas réutilisé) pour les ordinateurs Apple Macintosh alors que la
première version pour Windows, la 2.05 (en ligne avec celle pour Macintosh), est
sortie en 1987. Elle incluait un Moteur d'exécution (Runtime) de la version 2.1 de
Microsoft Windows.
Avec l'introduction de Windows 3.0 en 1990, les ventes d'Excel dépassèrent celles
de Lotus 1-2-3 et il atteignit la première place dans la liste des ventes (en nombre de
licences). Cet accomplissement permit à Microsoft de détrôner le leader mondial du
logiciel en se positionnant comme un véritable concurrent et démontra ainsi ses
capacités à développer des logiciels avec interface graphique utilisateur (GUI).

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Les tableurs ont été les premières applications importantes pour les ordinateurs
personnels et lorsque Excel fut empaqueté avec Microsoft Word et Microsoft
PowerPoint dans la suite Microsoft Office (4.x), l'interface de ces deux derniers
programmes a dû être revue pour être conforme à celle d'Excel.
La version 14 pour systèmes Windows (XP SP2 et ultérieur) se nomme aussi
Microsoft Office Excel 2010 et la version pour Macintosh se nomme quant à elle,
Microsoft Excel 2011.
Victime de son succès
Très tôt, Excel a été la cible d'une attaque judiciaire sur le copyright par une société
qui, dans le domaine de la finance, commercialisait une suite de logiciels portant le
nom d'Excel. Microsoft fut d'autant plus ravie de se référer à son programme sous le
nom Microsoft Excel qu'elle venait justement de décider en interne de remplacer
toute mention de Word par Microsoft Word pour un meilleur positionnement de sa
marque. Toutefois, cette pratique a été peu à peu oubliée pour devenir finalement
permanente à partir du moment où Microsoft a racheté la marque déposée de l'autre
programme. Par ailleurs, Microsoft a apprivoisé l'usage des deux lettres XL pour
désigner ce programme et dessiner son icône dans l'environnement Windows et
Mac. En complément, l'extension des fichiers que le programme génère est XLS.
Bien après celui de RagTime il était le second tableur à offrir aux utilisateurs la
possibilité de définir l'apparence des tableaux en ayant un panel d'outils pour agir sur
la mise en forme ainsi que les attributs des polices de caractère et la mise en forme
des cellules elles-mêmes.
Il intégra des fonctionnalités graphiques étendues comme la possibilité d'effectuer
du publipostage à partir des données issues de tableaux sous forme de base de
données vers Microsoft Word.
Sa fonctionnalité essentielle est la consolidation de tableaux (cross référence), qui
resta en 2004, plus puissante que celle par exemple, du tableur
gratuit OpenOffice.org.
En 1993 naquit la première version de Microsoft Office, rassemblant la version 5.0 de
Microsoft Excel et les applications Word et PowerPoint. Ces derniers virent leur
interface graphique redessinée afin d'offrir une homogénéité graphique pour
l'ensemble des trois applications.
À partir de cette période, ce package se vit attribuer le sobriquet de "Killer App" qui,
dans le jargon des programmeurs informatiques signifie qu'un logiciel est si attrayant
ou populaire qu'il amène à lui seul l'achat ou à l'adoption d'un type particulier de
système
Évolution
Dès 1995, Excel intégra un module de programmation en Visual Basic for
Applications (VBA) se complémentant – mais ayant plutôt pour vocation de
remplacer – les macros instructions des versions 3.0 et 4.0 du même tableur.

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Malheureusement, ce tout nouveau concept de langage fit de lui une cible privilégiée
des virus informatiques…
Visual Basic pour Applications est basé sur le langage de programmation Visual
Basic qui offre la possibilité d'automatiser, à l'instar des macros Multiplan et les
versions d'Excel précédant la 5.0, des exécutions de tâches de façon très souple et
avancée avec notamment le développement de ses propres fonctions pour les
utiliser à bon escient dans les feuilles de calcul.
VBA est un puissant complément qui, avec les années, s'est vu considérablement
amélioré en se transformant à partir de la version 8.0, en véritable environnement de
développement pour l'utilisateur (IDE). Excel offre la possibilité de générer du code
Visual Basic par l'intermédiaire de l'enregistreur de macros en reproduisant les
opérations effectuées par l'utilisateur et ainsi automatiser les tâches répétitives. VBA
permet aussi la possibilité de créer également des formulaires ou encore d'apposer
des contrôles directement sur les feuilles de calcul.
Dans les versions suivantes, ce langage autorisait l'utilisation de contrôles externes
de bibliothèques dynamiques (ActiveX DLL's) a technologie COM (Component
Object Model) et aussi l'usage de modules de classe qui permettent de coder avec
une technologie orientée objet.
D'autres fonctionnalités de liaisons dynamiques et incorporées par automatisme
(OLE Automation) firent de Microsoft Excel une cible de choix pour les virus-macro.
Ce fut un problème réel et sérieux pour les entreprises jusqu'à ce que les éditeurs de
logiciels anti-virus soient en mesure de détecter ce type de virus avec leurs produits.
Microsoft n'a réagi que tardivement face à ce fléau mais a fini par offrir les
possibilités aux applications telles que Microsoft Excel d'avertir et de pouvoir
désactiver les macros incluses dans les classeurs ou dans certains compléments.
Il appartenait alors à l'utilisateur de déterminer si les fichiers pourvus de macros qu'il
tentait d'ouvrir provenaient d'une source sûre. C'est pourquoi il existe depuis 2002 la
notion de signatures numériques sur les documents issus des applications Microsoft
Office qui sont le seul moyen de garantir que ces derniers sont dignes de confiance.
À partir de la version 2007, les classeurs Excel, les documents Word ou les
présentations PowerPoint pourvus de macros se voient greffés d'un m dans
l'extension du nom de fichier, qu'ils soient modèle ou document :

Exemple de comparaison des extensions Excel avant et après la version


2007

Type Extension < 2007 Extension ≥ 2007

Classeur sans macros .xls .xlsx

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Classeur avec macros .xls .xlsm

Modèle sans macros .xlt .xltx

Modèle avec macros .xlt .xltm

Add-in .xla .xlam

Chaque feuille de Microsoft Excel est composée :

 de 16 384 lignes sur 256 colonnes jusqu'à la version 95 (7.0); soit


en Hexadécimal $4.000 sur $100
 de 65 536 lignes sur 256 colonnes jusqu'à la version 2003 (11.0); soit
en Hexadécimal $10.000 sur $100
 de 1 048 576 lignes sur 16 384 colonnes pour les versions 2007 et 2010 soit
plus de 17 milliards de cellules par feuille (17.179.869.184 exactement); soit
en Hexadécimal $100.000 sur $4.000
La dernière cellule du tableur Excel est donc la case XFD1048576.
Depuis la version 2002 le nombre maximum de feuilles par classeur est limité par la
quantité de mémoire disponible mais, auparavant (depuis Excel 5.0), la limite du
nombre de feuilles était de 256 dans les paramètres d'ouverture des nouveaux
classeurs, avec la possibilité d'insérer des feuilles supplémentaires, manuellement.
En dehors de tout cela, les développeurs des versions 5.0 à 9.0 (5.0 – 95 – 97 –
2000) de Microsoft Excel ont inclus ce que l'on nomme des « œufs de Pâques »
(Easter Eggs), petits programmes ou fonctions cachés au sein du programme lui-
même comme des animations, des jeux ou encore des messages que l'on pouvait
activer à partir de mots-clé ou de combinaisons de touches associés à des jeux de
clics. Il y a eu un mini-simulateur de vol, un espace virtuel en 3D où l'on pouvait
découvrir le nom de chaque développeur etc.
À partir de la version 10 (XP ou 2002), Microsoft a décidé d'éliminer définitivement
ces fonctions cachées de ses logiciels.
Excel 2013
Dans cette nouvelle version, on retrouve le design typique du bandeau déjà présent
sur Excel 2010. Comme sur tous les nouveaux logiciels de la version 2013, Excel
propose un mode tactile qui permet une meilleure utilisation sur tablettes,
smartphones etc. Excel 2013 ajoute de nouvelles fonctionnalités :

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 l'"Analyse rapide", qui permet de convertir des données en graphique ou
tableau. La mise en forme conditionnelle offre quant à elle un aperçu instantané
des données.
 le remplissage instantané : Excel analyse les données des cellules et détecte
ce que vous voulez faire. Le remplissage instantané entre le reste de vos
données, en suivant le modèle qu’il reconnaît dans vos données. Néanmoins cela
ne marche qu'avec certains types de données.
 Excel 2013 facilite l'enregistrement de vos classeurs sur votre propre
emplacement en ligne, tel que votre OneDrive, Dropbox ou le service Office
365 de votre organisation. Il est également plus simple de partager vos feuilles de
calcul avec d’autres personnes. Quel que soit l’appareil utilisé ou l’endroit, tous
les utilisateurs utilisent la version la plus récente d’une feuille de calcul. En outre,
vous pouvez même travailler ensemble en temps réel.
Excel 2016
Excel 2016 est sorti le 22 septembre 2015, en même temps qu'Office 2016 pour le
grand public. L'interface reprend le ruban et ses onglets en apportant les
fonctionnalités suivantes :

 Six nouveaux types de graphiques : Compartimentage, Rayons de soleil,


Cascade, Histogramme, Pareto, Zone et valeur
 Obtenir et transformer une requête provenant d'une base de données =
Obtention de requêtes provenant de bases de données
 Établissement de prévisions en un clic
 Cartes 3D (outil de visualisation géo spatiale en 3D)
 Nouveaux modèles financiers
 Tableaux croisés dynamiques améliorés
 Publier et partager votre analyse avec Power BI = Partage des analyses avec
Power BI
 Effectuer des actions rapidement à l’aide de la fonctionnalité Rechercher
 Équations manuscrites (insertion d’équations mathématiques converties en
texte)
 Nouveaux thèmes
 Protection contre la perte de données dans Excel
 Elle améliore également l'historique des versions du fichier et simplifie la mise
en forme des formes.
 Partage simplifié sur OneDrive, OneDrive Entreprise et SharePoint
Excel 2019
Excel 2019 est la dernière version d'Excel, sortie le 29 septembre 2018, en même
temps qu'Office 2019 pour le grand public.

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II- LES DIFFERENTES FONCTIONS DE
MICROSOFT WORD ET EXCEL
1- Fonctions Excel

Microsoft Excel fait partie des logiciels les plus complets en matière de bureautique.
Il permet de créer des tableurs complexes et supporte de très nombreuses fonctions.
Pour effectuer certaines actions, vous devez passer par des formules assez
compliquées. Nous avons rassemblé 50 fonctions Excel variées, permettant de tirer
profit de l’ensemble des fonctionnalités du logiciel. Les fonctions Excel présentées ici
sont toutes disponibles au sein de Microsoft Excel 2010 en français. Assez peu de
différences existent avec l’autre version du logiciel, mais vous devrez traduire ces
fonctions si vous utilisez Excel en anglais ou dans une autre langue.
Mathématiques et trigonométrie

 ALEA.ENTRE.BORNES – Sur Excel, pour obtenir un nombre entier aléatoire


entre deux bornes spécifiées. Exemple : ALEA.ENTRE.BORNES
(1;42) renvoie un nombre aléatoire entre 1 et 42.

 ARRONDI – Permet d’arrondir un nombre, selon le nombre de chiffres après


la virgule spécifié. Exemple : ARRONDI (42,1337;2) renvoie la valeur 42,13.
Variantes : ARRONDI.SUP permet d’arrondir à la valeur
supérieure, ARRONDI.INF permet d’arrondir à la valeur inférieure,
et ARRONDI.AU.MULTIPLE permet d’arrondir à un multiple spécifique (au 0,5
plus proche etc.).

 PGCD – Met en évidence le plus grand commun diviseur de plusieurs valeurs


entières. Exemple : PGCD (12;30) va renvoyer 6, car c’est le plus grand
diviseur commun.

 PI – Permet d’utiliser la valeur π dans une cellule sur Excel.


Exemple : ARRONDI (PI ; 2) = 3,14.

 PRODUIT – Multiplie les données. Exemple : PRODUIT (2;2;2) = 8.

 PUISSANCE – Calcule la puissance d’une donnée. Exemple : PUISSANCE


(4;2) = 4² = 16. Vous pouvez utiliser un autre paramètre à la place 2 pour
calculer des puissances complexes.

 ROMAIN – Permet de remplacer des chiffres arabes en chiffres romain. Pas


très utile, mais on ne sait jamais ! Exemple : ROMAIN (2013;0) = MMXIII.

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 SOMME – Fonction très connue, permettant de connaître la somme d’une
série de données. Exemple : SOMME (13;29) = 42.
Logique

 ET – Permet de tester plusieurs conditions et vérifier qu’elles sont vraies.


Exemple : ET (1337-42=1295;1295+42=1337) va renvoyer la valeur VRAI, car
1337-42=1295 et 1295+42=1337.

 OU – Renvoie la valeur VRAI si l’un des critères est exact. Exemple : OU
(1+1=2;1+1=3) est vrai parce que 1+1=2.

 SI – Permet de tester une condition et renvoyer une certaine valeur si c’est
vrai, une autre si c’est faux. Exemple : SI (moyenne (A1:A15) »j’ai la
moyenne »; »je n’ai pas la moyenne ») permet de savoir si on a la moyenne,
quand les notes sont comprises entre les cellules A1 et A15.
Recherche et matrices

 COLONNE – Permet d’obtenir le numéro de colonne.


Exemple : COLONNE(A42) renvoie la valeur 1, car la colonne A est la
première colonne. Variante : COLONNE renvoie la valeur correspondante à la
colonne où se situe la formule Excel.

 RECHERCHE – Dans certains cas, les formules de recherche peuvent sauver


des vies. Exemple : RECHERCHE (42;A:A;B:B) va chercher la valeur 42 dans
la colonne A, puis retranscrire son équivalent dans la colonne B (sur la même
ligne). RECHERCHE permet également de chercher dans une matrice ou un
vecteur.

 RECHERCHEH – Même principe que RECHERCHE, mais pour chercher des


valeurs selon la première ligne d’une matrice. Exemple : RECHERCHEH
(« ville »;A1:D10;2;VRAI) permet de renvoyer la deuxième ligne d’une
colonne dont la première ligne est ville au sein d’un tableau.

 RECHERCHEV – Même principe que RECHERCHEH, mais pour chercher


des valeurs selon la première colonne d’une
matrice. Exemple : RECHERCHEV (« ville »;A1:D10;2;VRAI) permet de
renvoyer la deuxième colonne d’une ligne dont la première colonne est ville au
sein d’un tableau.

 TRANSPOSE – Permet de transposer une matrice (transforme les lignes en


colonnes et vice-versa). Pensez simplement à valider votre formule en
utilisant Ctrl+Maj+Entrée, puisqu’il s’agit d’un calcul matriciel.

Date et heure

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 ANNEE – Pour obtenir l’année correspondante à une date plus précise.
Exemple : ANNEE (« 09/10/2013 ») renvoie l’année 2013.

 MOIS – Même principe, pour obtenir le mois. Exemple : JOUR


(« 09/10/2013 ») renvoie la valeur 10.

 JOUR – Même principe, pour obtenir le jour. Exemple : JOUR


(« 09/10/2013 ») renvoie la valeur 9.

 JOURSEM – Même principe, mais cette fonction permet de connaître le jour


de la semaine associée à la valeur. Exemple : JOURSEM (« 09/10/2013 »;2)
renvoie le chiffre 3, car le mercredi est le troisième jour de la semaine. Pour
commencer la semaine le lundi, il faut utiliser le paramètre 2 (comme dans
l’exemple ci-dessus).

 HEURE – Même principe, pour obtenir l’heure. Exemple : HEURE


(« 12:30:40 ») renvoie 12.

 MINUTE – Même principe, pour obtenir les minutes : Exemple MINUTE


(« 12:30:40 ») renvoie 30.

 AUJOURDHUI – Comme son nom l’indique, cette fonction permet d’afficher la


date du jour. Exemple : AUJOURDHUI pour afficher la date du jour. Vous
pouvez également afficher le lendemain en utilisant AUJOURDHUI+1 et ainsi
de suite.

 MAINTENANT – Encore plus précise, cette fonction permet d’obtenir la date


exacte (année, mois, jour, heure, minute, seconde). L’affichage dépend du
format de la cellule. Exemple : MAINTENANT pour afficher la date et l’heure
exactes.

 FIN.MOIS – Permet d’obtenir le dernier jour du mois en cours.


Exemple : FIN.MOIS (« 09/10/13 »;0) retourne le 31 octobre 2013. Vous
pouvez modifier le 0 en +1 pour obtenir le dernier jour du mois suivant, ou -1
pour obtenir le dernier jour du mois précédent et ainsi de suite.

 FRACTION.ANNEE – Permet de connaître la fraction d’une année qui


correspond à nombre de jours donnés. Exemple : FRACTION.ANNEE
(« 01/01/98″; »01/01/99 »;1) va renvoyer 1, car cette durée correspond à une
année entière. La dernière variable permet de choisir comment sont comptés
les jours : 1 pour la valeur réel, 2 pour une base 360, 3 pour une base 365 etc.

 NB.JOURS.OUVRES – Comme son nom l’indique, cette fonction permet de


compter le nombre de jours ouvrés. Exemple : NB.JOURS.OUVRES
(« 09/10/2013″; »31/12/2013 ») renvoie le nombre 60, car il y reste 60 jours
ouvrés avant la fin de l’année. Vous pouvez ajouter des jours fériés de cette
façon : NB.JOURS.OUVRES (« 09/10/2013″; »31/12/2013″; »25/12/2013 »).

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 NO.SEMAINE – Renvoie le numéro de semaine correspond à une date.
Exemple : NO.SEMAINE (AUJOURDHUI ; 2) renvoie le nombre 41, car nous
sommes à la semaine 42. Le paramètre 2 permet d’indiquer que les semaines
commencent le lundi.
Texte

 CNUM – Si une chaîne de caractère comporte un nombre et du texte, seul le


nombre est retranscrit. Pratique pour supprimer les € ! Exemple : CNUM
(« 42€ ») = 42.

 CONCATENER – Une fonction très utile permettant d’assembler plusieurs


chaînes de caractères. Exemple : CONCATENER (« Le blog du
Modérateur »; », « ; »c’est super ») permet d’obtenir : Le blog du Modérateur,
c’est super. Vous pouvez bien évidemment rapatrier les textes de certaines
cellules en utilisant leur code : A42, B1337 etc.

 MAJUSCULE – Pour convertir un texte en majuscules sur Excel.


Exemple : MAJUSCULE (« Excel, c’est génial ») renvoie la valeur suivante :
EXCEL, C’EST GÉNIAL.

 MINUSCULE – C’est exactement l’inverse. Exemple : MINUSCULE


(« EXCEL ») renvoie Excel.

 NBCAR – Permet de compter le nombre de caractères contenus dans une


chaîne de texte, espaces compris. Exemple : NBCAR (« Neque porro
quisquam est qui dolorem ipsum ») renvoie le nombre 42, puisque cet extrait
comporte 42 caractères, espaces compris.

 NOMPROPRE – Transforme la première lettre de tous les mots d’une chaîne


de caractères. Exemple : NOMPROPRE (« le blog du modérateur ») permet
d’obtenir Le Blog Du Modérateur.

 REMPLACER – Permet de remplacer les caractères d’une plage de données.


Exemple : REMPLACER (« coucou »;4;3; »leuvre ») va remplacer coucou
par couleuvre. Le second paramètre (4) permet de commencer le
remplacement au quatrième caractère, le troisième paramètre (3) correspond
au nombre de caractères remplacés.

 SUBSTITUE – Souvent plus pratique que la fonction REMPLACER, elle


permet de rechercher une valeur puis remplacer les occurrences par une
autre valeur. Exemple : SUBSTITUE (D1;6;10) va renvoyer le chiffre 10, si la
cellule D1 est égale à 6. Ceci fonctionne aussi avec les textes.
Statistiques

 ECARTYPE – Vous l’aurez compris, cette fonction permet de calculer l’écart-


type d’une population. Exemple : ECARTYPE (42;1337;42) renvoie la valeur
52,54.

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 GRANDE.VALEUR – Permet de connaître la valeur la plus grande d’une
matrice de données. Exemple : GRANDE.VALEUR (A:B;1) renvoie la valeur la
plus grande des colonnes A et B. Vous pouvez utiliser 2 plutôt que 1 pour
connaître la seconde valeur la plus grande et ainsi de suite.

 MAX – À peu près le même principe, mais : la fonction renvoie toujours la
valeur maximale, et vous pouvez ajouter un argument supplémentaire.
Exemple : MAX (A:B;42) permet d’obtenir la valeur maximale des colonnes A
et B ou 42 si ce nombre est supérieur.

 PETITE.VALEUR – C’est l’inverse de GRAND.VALEUR.


Exemple : PETITE.VALEUR (A:B;1) va renvoyer la plus petite valeur située
dans les colonnes A et B.

 MIN – C’est exactement l’inverse de MAX. Exemple : MIN (1337;42) permet


d’obtenir la valeur 42.

 MEDIANE – Permet de calculer la médiane d’une série de données sur Excel.


Exemple : MEDIANE (10;40;30) renvoie la valeur 30, puisqu’il s’agit de la
médiane de la série.

 MODE – Permet de connaître le nombre présentant le plus d’occurrences


dans une série de données. Exemple : MODE (42;1337;42) renvoie le nombre
42.

 MOYENNE – Permet de calculer la moyenne d’une série de données.


Exemple : MOYENNE (42;1337) renvoie le nombre 689,5. Vous pouvez
également calculer une MOYENNE.GEOMETRIQUE, une
MOYENNE.HARMONIQUE, une MOYENNE.REDUITE et une MOYENNE.SI
(arithmétique).

 NB.SI – Très utilisée, cette fonction permet de compter le nombre de cellules


selon certains critères. Exemple : NB.SI (A:B; »Rennes ») permet de compter
le nombre de cellules qui contiennent le mot « Rennes » au sein des colonnes
A et B. NB.SI.ENS permet de compter le nombre de cellules répondant
favorablement à l’ensemble des critères.

 NB.VIDE– Cette fonction compte le nombre de cellules vide au sein d’une


plage donnée. Exemple : NB.VIDE(A) renvoie le nombre 1048576 si la
colonne A est entièrement vide.

 PREVISION – Une fonction simple qui permet d’obtenir un résultat parfois


complexe. Vous devez spécifier une matrice de données indépendante, une
matrice de données dépendante, et le point de donnée pour lequel vous
souhaitez connaître la valeur prévisionnel. Exemple : si pour chaque valeur
d’une série A, les valeurs correspondantes de la série B sont égales à 10 fois
la valeur de la série A, la fonction PREVISION (4,2; B; A) est égale à 42.

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 RANG – Permet de connaître le rang d’une valeur dans une série de
données. Exemple : si une matrice comporte les chiffres 2, 4, 6,8 et 10, RANG
(6;matrice;1) va renvoyer le chiffre 3, car le il s’agit du troisième chiffre dans
l’ordre croissant (compte-tenu du paramètre 1).
Ingénierie

 BINDEC – Permet de convertir un nombre binaire en nombre décimal.


Exemple : BINDEC(1100100) renvoi la valeur 100, l’équivalent de 1100100 en
nombre décimal. Vous pouvez utiliser DECBIN pour convertir un nombre
décimal en nombre binaire.

 CONVERT – Pour convertir une valeur d’une unité à une autre : mètres (m) en
milles nautiques (mn), années (Aa) en jours (jj), degré Celsius (C) en degré
Fahrenheit (F)… Vous pouvez même convertir une cuillère à café (clt) en
tasse (Ta), en litre (l) et même en pinte (pt). Exemple : CONVERT
(1; »l »; »pt ») permet de savoir combien de pintes sont contenues dans un
litre.
Informations

 CELLULE – Permet de connaître certaines caractéristiques liées à une cellule


en particulier. Exemple : CELLULE (type;A42) permet de savoir si la cellule
est vide (i), contient du texte (l) ou une valeur (v). D’autres informations sont
récupérables : col pour obtenir le numéro de colonne…

 EST – De nombreuses fonctions commencent par EST sur Excel : elles
permettent de vérifier une information. ESTVIDE permet de savoir si une
cellule est vide, EST.PAIR permet de savoir si le chiffre contenu dans une
cellule est pair, ESTTEXTE pour savoir si une cellule contient du texte
(uniquement), ESTNUM pour s’assurer qu’une valeur est bien un nombre etc.
Exemple : ESTNUM(42) va renvoyer VRAI, car 42 est un nombre.

 INFORMATIONS – Permet d’obtenir des informations liées à son


environnement de travail. Exemple : INFORMATIONS (« version ») pour
connaître la version d’Excel. Utilisez systexpl pour connaître le système
d’exploitation, répertoire pour connaître le chemin d’accès etc.

Les fonctions de feuille de calcul sont classées selon leurs fonctionnalités. Cliquez
sur une catégorie pour parcourir ses fonctions. Vous pouvez aussi appuyer sur Ctrl +
F pour rechercher une fonction en tapant les premières lettres ou un mot descriptif.
Pour obtenir des informations détaillées sur une fonction, cliquez sur son nom dans
la première colonne.

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2- Fonctions de Word
Pour créer des documents et rédiger des textes, Microsoft Word fait partie des
logiciels indispensables. Dans un contexte professionnel ou personnel,
les .doc et .docx sont presque devenus la norme. Le logiciel de traitement de texte a
été lancé en 1983 sous le nom de Multi-Tool Word avant d’intégrer le Pack Office en
1993.  Si l’outil est excellent, c’est parce qu’il est facile à prendre en main. Mais il
regorge des fonctions à connaître pour maîtriser l’outil de traitement de texte. Nous
nous sommes basés sur Microsoft Word 2010 pour réaliser notre recueil de
fonctionnalités à connaître. Mais celles-ci sont compatibles avec la plupart des
versions récentes.

Les raccourcis clavier sur Microsoft Word


Comme de nombreux logiciels, Microsoft Word propose des raccourcis clavier pour
améliorer sa productivité. Voici les 15 principaux raccourcis à connaître :
 CTRL+S : sauvegarder le document
 F2 : enregistrer sous…
 CTRL+O : ouvrir un document
 CTRL+N : créer un nouveau document
 CTRL+F : chercher du texte dans le document. F5 fonctionne aussi.
 CTRL+Z : annuler une action, revenir en arrière
 CTRL+Y : rétablir ou répéter une action
 CTRL+P : imprimer le document. CTRL+F2 fonctionne aussi.
 CTRL+G : mettre un texte en gras. CTRL+I pour l’italique et CTRL+U pour
souligner.
 CTRL+SHIFT+V : coller uniquement le texte. CTRL+V pour utiliser le collage
par défaut.
 CTRL+F4 : fermer la fenêtre. CTRL+W et ALT+F4 fonctionnent aussi.
 ALT+IMP ÉCR : permet d’effectuer une capture d’écran de la fenêtre active
uniquement.
 TAB : pour passer à la cellule suivante dans un tableau. SHIFT+TAB pour
revenir en arrière.
 CTRL+Flèche latérale : permet de déplacer le curseur, mot à mot.
 SHIFT+Flèche latérale : permet de sélectionner du texte.
Les deux derniers raccourcis peuvent être combinés. Ainsi, CTRL+SHIFT+Flèche
latérale permet de sélectionner du texte rapidement. CTRL+BACKSPACE permet de
supprimer un mot entier, etc. La plupart des raccourcis cités dans cette liste sont
disponibles pour tous les logiciels de la suite Microsoft Office et de nombreux
logiciels Windows. Vous pouvez également utiliser la touche ALT : des lettres vont
alors apparaître, vous permettant d’accéder à diverses sections du logiciel. Ainsi,
presser la touche ALT puis la touche 1 permet d’enregistrer le document.

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Mettre en forme le texte et reproduire la mise en forme
Pour mettre en forme un texte sur Word, vous devez utiliser l’onglet Accueil sur le
ruban. Le ruban est le nom donné à la barre horizontale, placée en haut de votre
logiciel. Elle regroupe l’ensemble des possibilités offertes par Microsoft Word, et
prend la forme d’un bandeau. Divers onglets sont disponibles : Fichier, Accueil,
Insertion, Mise en page… Ces onglets sont ensuite découpés en sections : presse-
papiers, police, paragraphe… La section Police de l’onglet Accueil du ruban permet
donc de modifier l’apparence du texte : police d’écriture, taille du texte, gras,
souligné, italique, barré, exposant, indice, couleur de police, effet de texte, couleur
de surbrillance… Vous pouvez également effacer la mise en forme grâce à l’icône
Gomme, situé en haut à droite de la section.

Pour reproduire la mise en forme, sélectionnez d’abord le texte source (celui mis en
forme comme vous le souhaitez). Cliquez ensuite sur le bouton Reproduire la mise
en forme de la section Presse-papiers (onglet Accueil), puis sélectionnez le texte à
mettre en forme. C’est pratique !

Encadrer un texte ou un paragraphe


Dans certains cas, encadrer un paragraphe peut être utile. Pour ce faire, il suffit de
sélectionner le morceau choisi, avant de cliquer sur cet icône de la
section Paragraphe du ruban Accueil. Vous pourrez alors ajouter une bordure
inférieure, supérieure, latérale, ou encadrer entièrement un texte. Pour aller plus loin,
vous pouvez cliquer sur Bordure et trame pour personnaliser le fond et vos bordures.

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Appliquer un thème Word à son document
Avant d’appliquer des styles à votre texte, vous pouvez choisir un thème prédéfini.
Utilisez le bouton dédié, situé à gauche de l’onglet Mise en page. Plusieurs thèmes
sont disponibles, vous pouvez également changer les couleurs, les polices et les
effets. Si vous le souhaitez, il est tout à fait possible d’enregistrer la mise en forme
actuelle pour la mettre en place facilement sur un autre document.

Uniformiser la mise en forme d’un document Word avec les styles


Les styles, sur Microsoft Word, sont très importants. Ils sont accessibles via
l’onglet Accueil, et permettent d’organiser un document. Vous pouvez ainsi appliquer
le style « Titre » au titre de votre document, le style « Titre 1 » aux titres de premier
niveau et ainsi de suite. Cette fonctionnalité organise votre document, uniformise sa
mise en forme et permet au logiciel de hiérarchiser vos contenus pour le sommaire.
Nous vous conseillons d’utiliser les styles dès la création de votre document.

Ajouter une page de garde et sauvegarder un modèle


Sur Microsoft Word, vous pouvez ajouter une page de garde pour illustrer votre
document. Il suffit de cliquer sur le ruban Insertion. Elle se place logiquement avant
les autres pages de votre fichier. De nombreux modèles sont disponibles. Vous
pouvez également créer vous-même votre page et la sauvegarder. Ainsi, vous
pourrez ajouter cette même page de garde sur de futurs documents !

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Insérer un tableau et utiliser une mise en forme prédéfinie
Si Word ne remplacera jamais Excel, vous pouvez insérer un tableau au sein d’un
document Word. Il suffit de cliquer sur le bouton Tableau et choisir le nombre de
lignes et de colonnes. Vous pouvez également insérer un tableau Excel au sein d’un
document Word et choisir un style prédéfini pour votre tableau : avec sous-titres,
calendrier, listes tabulaires, matrices ou tableaux doubles. Si vous le souhaitez, vous
pouvez enregistrer un style, comme pour la page de garde.

Mettre en forme un tableau


Si vous le souhaitez, vous pouvez personnaliser entièrement la mise en forme de
votre tableau. La fonctionnalité a été grandement améliorée depuis les premières
versions du logiciel. Une fois inséré, sélectionnez votre tableau. Une nouvelle partie
va apparaître sur le ruban : Outils de tableau. Utilisez ensuite les
onglets Création et Disposition pour mettre en forme votre tableau. Vous pouvez

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également effectuer un clic droit sur votre tableau, puis Bordure et trame, pour
personnaliser davantage la mise en forme de votre tableau. Pour conserver une
cohérence entre vos différents documents et gagner en productivité, n’hésitez pas à
enregistrer un nouveau style de tableau !

Créer un schéma, un organigramme, une pyramide, un cycle…


Microsoft Word permet d’intégrer de nombreux schémas. Il s’agit de la
fonctionnalité SmartArt, disponible sur le ruban, onglet Insertion. Vous pouvez
personnaliser les couleurs, les textes, la forme… De nombreux modèles sont
disponibles : liste, processus, cycle, hiérarchie, relation, matrice, pyramide, image…
Une bonne manière d’illustrer ses documents.

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Créer un graphique : courbes, histogramme, barres…
Rappelons-le, Word n’est pas voué à remplacer Excel. Mais vous pouvez tout de
même créer des graphiques basés sur des données chiffrées, et c’est pratique dans
de nombreuses situations. Il suffit de cliquer sur le bouton Graphique, à droite du
bouton SmartArt. De nombreux types de graphiques sont disponibles : histogramme,
courbes, secteurs, barres, aires, nuage de points, boursier, surface, anneau, bulles
et radar. Vous pouvez choisir quel type de graphique vous souhaitez utiliser par
défaut, et gérer différents modèles pour personnaliser votre représentation.

Insérer un numéro de page


L’insertion des numéros de page est très utilisée. Mais ce n’est pas la fonctionnalité
la plus accessible sur Microsoft Word, surtout depuis l’arrivée du ruban en 2007. Sur
les nouvelles versions du logiciel, vous devez sélection l’onglet Insertion du ruban,
puis Numéro de page. Vous pouvez ajouter un numéro de page en bas, en haut, ou
sur les marges de la page. Plusieurs formats sont disponibles et vous pouvez même
ajouter le numéro du chapitre.

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Supprimer le numéro de page de la première page
Souvent, il est bon de numéroter les pages, sauf la page de garde. C’est tout à fait
possible sur Microsoft Word. Insérer d’abord vos numéros de pages. Ensuite, double
cliquez sur la numérotation de la première page. Des options vont alors apparaître
dans le ruban : Outils En-têtes et pieds de page. Cochez la case Première page
différente, et le tour est joué !

Word Art : insérer un texte en relief avec des effets, une ombre…
Souvenez-vous, en 1999. Vous veniez d’installer Word 97, et vous découvriez les
Word Art : ces textes en relief, très modernes à l’époque. Aujourd’hui, ils ont un peu
vieillis, mais ils existent toujours ! À droite de l’onglet Insertion du ruban, cliquez
sur Word Art et choisissez votre modèle. Heureusement, ceux-ci ont été largement
revus depuis l’arrivée de l’effet Word Art sur le Pack Office !

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Dater un document Word (date et heure)
Vous pouvez insérer la date du jour et/ou l’heure dans un document Word. Cette
fonctionnalité est utile si vous imprimez le document, puisqu’elle peut être actualisée
en temps réel. Dans le ruban, onglet Insertion, sélectionnez Date et heure. Une
fenêtre s’ouvre ; de nombreux formats sont disponibles, les données correspondent
au jour et à l’heure indiquée sur votre ordinateur.

Insérer un symbole ou un caractère spécial sur Word


É majuscule, œ collé, Ç cédille majuscule… Ces symboles ne sont pas présents sur
un clavier d’ordinateur. Pourtant, rappelons-le : en français, les accents ont pleine
valeur orthographique. Pour insérer un symbole ou un caractère spécial, un bouton
dédié est présent à droite de l’onglet Insertion du ruban. Les symboles Copyright ©,
n’égale pas ≠, les flèches → et ← sont également disponibles.

Ajuster les marges et changer l’orientation portrait/paysage


Par défaut, les marges d’un document Word font 2,5 centimètres. Vous pouvez
rendre ces marges plus étroites ou plus larges via l’onglet Mise en page du ruban. Si
vous éditez un ouvrage, vous pouvez également choisir l’emplacement de la reliure.
Il est possible de changer l’orientation du document Word (portrait ou paysage)
changer le type de papier de l’imprimante, et l’alignement vertical. Une fonctionnalité
utile pour centrer un texte au milieu d’une page.

Ajouter une couleur de fond à un document Word


Le blanc vous ennuie ? Pour ajouter une couleur de fond à un document Word, il
suffit d’utiliser le bouton dédié, disponible via l’onglet Mise en page. De nombreuses
couleurs sont disponibles par défaut, vous pouvez même choisir la couleur exacte de
votre choix. Des motifs et des textures sont également disponibles, et vous pouvez
ajouter une bordure à votre page pour aller plus loin. Prévoyez simplement quelques
cartouches d’encre si vous comptez imprimer votre document !

Changer l’alignement d’une image par rapport au texte


Sur Microsoft Word, il est très simple d’insérer une image (onglet Insertion du ruban).
Néanmoins, le comportement souhaité des images n’est pas toujours le même.
Parfois, on souhaite que l’image soit sur le texte. Parfois, on souhaite qu’elle soit

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alignée sur le texte, ou derrière le texte. Ces options sont facilement paramétrables :
sélectionnez votre image, un onglet Format va apparaître. Utilisez les
boutons Position et Renvoyer à la ligne automatiquement pour modifier l’alignement
de votre image.

Imiter un article de presse en utilisant les colonnes


Microsoft Word permet d’écrire sur plusieurs colonnes. De cette manière, votre
document va ressembler à un article de presse. Pour ce faire, il suffit d’utiliser le
bouton Colonnes de l’onglet Mise en page. Plusieurs configurations sont possibles :
2 colonnes, 3 colonnes, 4 colonnes… Vous pouvez aussi créer des colonnes de
différentes tailles, pour aller plus loin.

Insérer une note de bas de page ou ajouter une note de fin

Dans certains cas, expliquer une notion ou faire référence à un ouvrage


n’est pas simple à insérer au sein du texte. D’où l’intérêt des notes de bas de page et

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des notes de fin. Vous pouvez les insérer via un bouton dédié de
l’onglet Références, dans le ruban. Pratique !

Ajouter un sommaire / une table des matières sur Word


Une fois votre document organisé grâce aux styles, vous pouvez ajouter un
sommaire. Utilisez le bouton Table des matières de l’onglet Références. Des
modèles sont disponibles, mais n’hésitez pas à cliquer sur Insérer une table des
matières. Les possibilités de personnalisation sont nombreuses, du style des textes
aux caractères de suite en passant par les niveaux à afficher. Ensuite, vous devrez
mettre à jour la table à la main, en cliquant sur le bouton dédié ou via un clic droit sur
le sommaire.

Modifier le type d’affichage : page, plein écran, plan, brouillon…


Plusieurs types d’affichage sont disponibles sur Microsoft Word :
 Page : pour afficher les pages des documents, les unes à la suite des autres
 Lecture plein écran : conseillé pour lire un document Word sans le modifier
 Plan : pour mieux cerner la construction d’un document en visualisant sa
hiérarchie

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 Brouillon : pour écrire du texte au kilomètre sans modifier sa mise en forme.
Le type Web est également disponible mais peu utilisé. Ces options sont disponibles
au sein de l’onglet Affichage du ruban horizontal. D’autres options sont disponibles,
pour afficher une règle, un quadrillage, une seule page ou deux par écran, etc.

Comparer et combiner deux documents


Une fonction pour comparer ou combiner deux documents fait partie intégrante du
célèbre logiciel de traitement de texte. Cette fonction s’avère fort utile lorsqu’une
personne envoie par courriel un document à un destinataire et que celui-ci y apporte
des corrections ou qu’il en complète des parties qui seront, par la suite, jointes au
document initial.
Voici la marche à suivre pour y faire appel :
1- Lancez Word ;
2- Cliquez sur l’onglet Révision ;

   
3- Sélectionnez Comparer ;

 
 
4- Choisissez Comparer ou Combiner selon ce que vous désirez ;

    

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5- Une nouvelle fenêtre flottante apparaît afin que vous puissiez ouvrir vos deux
documents ;
Consulter les statistiques d’un document
Parfois, nous devons écrire un texte comportant un nombre précis de mots ou de
caractères. Il est possible de suivre l’évolution de notre production en utilisant la
fonction Statistiques du logiciel Word. Voici la marche à suivre pour y faire appel :
1- Lancez Word ;
2- Ouvrez votre document ;
3- Cliquez sur l’onglet Révision ;
4- Cliquez sur Statistiques ;

 
 
5- Une nouvelle fenêtre flottante apparaît et vous pourrez consulter les statistiques
de votre document !

Quelques règles de typographie à ne pas oublier, et bien appliquer

Nous pouvons vite être amenés à les oublier si notre outil favori n'est pas paramétré
convenablement.

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Les majuscules accentuées

Elles sont obligatoires, et Word est heureusement censé te signaler une faute si tu
écris ETAT au lieu d’ÉTAT.

Mais à condition qu'il soit bien paramétré ! C'est à vérifier dans Options Word /
Vérification / Majuscules accentuées en anglais.

Et il peut être utile de retenir les raccourcis claviers pour les principales majuscules
accentuées.

III- DIFFERENCE DANS L’UTILISATION


DE MICROSOFT WORD ET
MICROSOFT EXCEL

Microsoft Excel et Microsoft Word sont deux logiciels de la suite Microsoft Office.
Bien qu'ils soient faits pour travailler ensemble, ils ont chacun des forces différentes.
Word est d'abord et avant tout un traitement de texte, tandis qu’Excel est
principalement pour des calculs numériques.
1- Word Poignées texte Better

Word est fait pour les documents texte, y compris des lettres, des livres et des
documents universitaires. Texte dans Excel est habituellement un bref extrait utilisé
pour décrire la signification d'un nombre.
2- Word est pour l'impression
Un document Word est formaté pour tenir sur une page spécifique de taille avec le
texte qui coule automatiquement d'une page à l'autre. Excel prend en charge
l'impression, mais ses sauts de page ne sont pas évidents, et parce la zone
d'impression peut prolonger plusieurs pages aussi bien horizontalement que
verticalement les sauts de page peuvent être difficile à gérer.
3- Calculs numériques d'Excel
Excel vous permet d'effectuer des calculs complexes où la modification d'un numéro
provoque de nombreux autres nombres calculés pour changer ainsi. Excel comprend
une vaste bibliothèque de formules intégrées pour vous aider à effectuer ces calculs.
4- Fichier Excel est un tableau
Un affichage de fichiers Excel sous forme de lignes et de colonnes qui vont bien hors
de la page verticalement et horizontalement, qui lui permet d'accueillir des tables qui
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vont de seulement un couple de colonnes et de lignes à grandes tables avec des
centaines de colonnes et des milliers de lignes. Bien que Word prend en charge les
tables, il ne peut pas gérer de grandes tables, ainsi que Excel.
5- Word prend en charge les notes
Parce que mot est la page orientée, il supporte des fonctionnalités, telles que les
notes et la table des matières qui ne font pas de sens pour une table. D'autres
concepts de page orientée, y compris le centrage du texte horizontalement sur une
page, sont très faciles dans Word, mais ne font pas de sens dans Excel.

Word est une application de traitement de texte utilisée pour écrire des documents
tels que des lettres ou des essais dans lesquels le formatage du texte est essentiel
pour fournir un document imprimable pouvant être lu très facilement. Excel, en
revanche, est un tableur dans lequel vous pouvez saisir des données dans des
tableaux dans le modèle de votre choix. À partir du tableau, vous pouvez déduire ou
calculer comment les informations sont liées les unes aux autres et vous pouvez
même créer des graphiques pour représenter visuellement ladite relation.

Les deux applications peuvent créer des documents imprimables et il est donc
possible d'utiliser l'une pour simuler la fonction de l'autre dans une certaine mesure.
Vous pouvez insérer des tableaux dans un document Word ou écrire des
paragraphes entiers dans une seule cellule Excel. Mais chaque application possède
des atouts qui les rendent bien adaptés aux tâches qu’elles effectuent. Les options
de mise en forme de police, de paragraphe et de page de Word facilitent la création
de documents fluides et conversationnels, ce qui est assez difficile dans Excel. Une
fonctionnalité d'Excel que beaucoup d'utilisateurs trouvent très pratique est sa
capacité à analyser et à calculer des formules et des instructions conditionnelles.
Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de créer des documents pré-formatés ne
nécessitant que certaines données et dérivant le reste. Cela peut être aussi simple
que la somme de toutes les données saisies, en prenant leur moyenne, à des
équations encore plus complexes. Vous ne trouverez pas ce type de capacité dans
Word.

Bien que les deux applications servent un objectif différent, il est souvent courant de
voir des personnes les utiliser en tandem pour créer leurs documents. Selon les
circonstances, vous devrez peut-être rédiger une lettre, un tableau ou peut-être un
rapport de fin d'année contenant une combinaison des deux.

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