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Intro au droit
CM 1
Qu'est-ce-que le droit ?
Le mot « droit » a pour origine latine « directum » c.à.d la ligne droite ; la ligne de conduite ; la
trajectoire à suivre par les individus.
• A) Droit et morale
Le droit génère une sanction extérieure donné par le juge, la police → peine encourue.
La morale génère une sanction intérieure. Il n'y a pas vraiment de sanction. Exemple si on est pas
poli ça nous concerne (mauvaise conscience...).
S’il y a un non respect d'une règle de droit on peut s'appuyer sur la loi, il y a un texte écrit. Au
contraire s’il y a non respect d'une règle morale il n'y a pas de loi. La règle morale est libre et
individuelle, ce n'est pas la même pour tout le monde.
• B) Droit et religion
I. Définition du droit
• B) Le droit subjectif est une prérogative que les personnes tirent du droit objectif.
Prérogative = diff petites règles à partir du droit objectif
« Subjectif » → titulaire du droit, désigne des personnes qui utilise le droit objectif.
Exemple : le droit commercial (organise les affaires), parmi ce droit il y a des règles qui
régissent le bail (action commercial local...), le droit du travail parmi ce droit il y a des règles
35h, smic...).
Ce droit objectif est utilisé en subjectif.
A) Caractère abstrait
Définition : c'est une règle non édictée pour une personne en particulier, elle s'applique à tous →
égalité entre les citoyens.
Exemple : loi relative aux accidents de circulation, piétons/automobilistes peut utiliser la loi.
Les entreprises en difficultés doivent respecter les façons de faire comme les autres.
Situation identique = traitement identique.
B) Caractère extérieur
– Règle supplétive : pas vraiment obligatoire. Elle ne s'oppose qu'à manifestation d'un
individu, il peut décider qu'elle s'applique ou pas. Elle sert pour remplacer le silence de
la personne. Résoudre le problème quand on n’a pas anticipé un problème
Exemple : le contrat de mariage est une possibilité lors d'un mariage. Pour ceux qui
n'en ont pas fait et qui divorcent leurs biens sont alors communs sauf si les deux
individus se présentent devant un notaire et veulent séparer leur bien. La loi ne
s'applique donc pas.
Supplétive car on peut l’écarter mais si on ne prévoit rien, il n’y aura pas
de conséquence
Pour aider les juges, il y a un critère : est ce qu’il y a un objet d’ordre public dans le texte
(est-il là pour protéger, cela va-t-il impacter la société)
L’exécution :
La réparation :
La réparation d'un préjudice qu'on a fait subir à quelqu'un → indemnisation (juge rembourser qlq)
dommages et intérêts.
La punition/la répression
1. Les faits
2. Une question juridique : trouver + la formuler
3. La règle juridique : énoncer de la règle (théorique), appliquer la règle (pratique)
4. Conclusion (répondre à la question posée)
Accord orale d’un vendeur et d’un acheteur sur la vente d’une télévision, puis désistement du
vendeur car selon lui l’acheteur n’aurait pas payé la somme de 300€ contre le bien.
Pouvons-nous donc considéré qu’une vente/accord ait été formuler entres les deux parties ?
Y’a-t-il un accord ?
Le contrat est un accord de volonté, dès lors qu’un accord, même verbale, a été passé il est
impératif de le respecter.
Oui il y a un contrat puisqu’il y a eu un accord de passé donc il existe, même si ici il y a une absence
de preuve.
La livraison de la télé doit donc être faite.