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[ 14 AVRIL 2011 – N° 14 ]
Les hauts salaires et les bonus échauffent les esprits
Ne pas céder à la surenchère
La transparence sur la rémunération des CEO,
que nous avons à l'époque introduite nous-
mêmes dans le Code de gouvernance d’entre-
prise, a eu de nombreux effets bénéfiques,
mais recèle parallèlement un double risque de
surenchère.
Tout d'abord, dans un monde où le talent fait
de plus en plus souvent la différence, l'appari-
tion de listes de ‘personnalités de haut vol’
dans un nombre croissant de pays implique
immanquablement un risque d'emballement
et de dynamique haussière. Par ailleurs, un
second danger de surchauffe menace : celui
de voir se démultiplier les initiatives législa-
tives et les prises de position relatives à cette
thématique dans certains milieux politiques et
syndicaux. Il y a lieu d'endiguer autant que
possible ce double danger de surenchère.
Depuis toujours, les directeurs du personnel
sont confrontés aux tableaux que leur oppo-
sent les associations d'ingénieurs ou autres
quant à la rétribution ‘conforme au marché’
de leurs membres et l'on a vu apparaître tous
azimuts une pratique de consultance sur les
À ÉPINGLER
> > Pour un programme
GOUVERNANCE ÉCONOMIQUE
national de réforme ambitieux !
ÉNERGIE > Vers une vision commune
GOUVERNANCE D'ENTREPRISE
de l’Union européenne
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
La newsletter pour décideurs
tendances en matière de rémunération pour
de multiples fonctions et secteurs. Par
ailleurs, on peut se demander si l'on a pris
dans ce cadre une juste proportion de PME et
d'entreprises de plus grande taille. Quoi qu’il
en soit, je ne me rappelle pas avoir jamais vu
ce type d'informations servir à revoir les pac-
kages salariaux à la baisse. Aujourd'hui, des
informations plus circonstanciées sur les
rémunérations des CEO sont mises à disposi-
tion. Dans les sociétés cotées, cette situation
génère inévitablement davantage de pression.
Une pression pour attirer et conserver les
meilleurs éléments en leur offrant une rétribu-
tion qui soit attractive par rapport au ‘mar-
ché’…
Les comités de rémunération des sociétés
cotées doivent prendre conscience qu'ils ris-
quent très vite de devenir eux-mêmes un fac-
teur de pression à la hausse exercée sur ‘le
marché’. La surenchère guette bien souvent
lors du recrutement d'un CEO, a fortiori
lorsque l'oiseau rare doit être déniché dans un
laps de temps très court et plus encore si l'en-
treprise traverse une période de turbulences.
Dans ce genre de situations, il est crucial que
le comité de rémunération compte en ses
rangs des personnes à l'envergure suffisante,
des gens qui ne s'attachent pas seulement à
ce qui serait acceptable pour les actionnaires,
mais qui tiennent aussi compte d'un contexte
plus large. À cet égard, il n'est donc pas inop-
LE CHIFFRE DE LA SEMAINE
Travailleurs occupés dans des entreprises multirégionales
> Une nouvelle consultation
510.101
www.feb.be > publications > chiffres et faits
portun que l'on pose aujourd'hui, en toute
sérénité, la question de savoir si, dans le
contexte de la politique des bonus, l'attention
prêtée au rôle de modèle et à la fonction
d'exemple du CEO est bien suffisante.
La surenchère est contre-
productive et ne sert qu'à
souffler sur les braises de la
‘réglementite’, de la jalousie
et de l'envie.
Au sein de nos entreprises, c'est certainement
la règle plutôt que l'exception, sans parler de
l'importante part des bonus qui s'envole vers
le Trésor public et la sécurité sociale, l’un et
l’autre ayant pour effet de rattacher la
Belgique au groupe des pays les plus égali-
taires d'Europe. Mais c'est surtout à l'échelon
international que la surenchère doit être
enrayée, surtout parmi les têtes brûlées de
Wall Street et de la City londonienne, où l'on
trouve encore des bonus à sept zéros en dépit
des récentes débâcles. La FEB a du reste
insisté, par le biais de l’organisation patronale
européenne BUSINESSEUROPE, pour que ce
point soit inscrit en meilleure place à l'agenda
du G8 et du G20.
Le second risque de surenchère résulte du
populisme que l'on voit surgir chez un certain
nombre d'hommes politiques et de leaders
syndicaux. Ils amalgament tout pêle-mêle et si >
Il ressort des bilans sociaux que 1.147 entre-
prises possèdent des établissements dans 2
ou plusieurs régions du pays. Ces entreprises
occupent 510.101 travailleurs, soit 18% de
l'emploi privé.
[ INFOR FEB 14 — 14 AVRIL 2011 ]
> l'on pousse leur raisonnement un peu plus
loin, il faudrait que les CEO belges des grands
groupes mondiaux gagnent un salaire qui ne
représenterait qu'une fraction de celui des
managers américains qu'ils chapeautent. À
cela s’ajoute la surenchère d'initiatives législa-
tives. Prenons l'exemple de la rémunération
variable des administrateurs non exécutifs. Le
Code de gouvernance d’entreprise préconise
de ne pas y avoir recours et stipule que si on
le fait malgré tout, il faut en expliquer la rai-
son. Une étude réalisée par les pouvoirs
> ÉNERGIE
Vers une vision commune
Le 28 mars dernier, les ministres belges de l’É-
nergie (fédéral et régionaux) ont décidé de réa-
liser une évaluation socio-économique de
l’impact des politiques énergétiques par caté-
gorie de consommateurs. L'objectif est de
mettre en place un processus d’évaluation
ACTION FEB
> La Commission PME reçoit
le MR, la N-VA et le PS
Comme chaque premier jeudi du mois, la
Commission PME de la FEB s’est réunie le 7
avril. Des représentants de la ministre des PME
(Carole de Vergnies), de la N-VA (Karel
Uyttersprot et Sven De Neef) et du PS
(Christophe Collignon et Philippe Boïketé) ont
été invités à présenter la vision de la ministre ou
de leur parti sur l’importance des PME dans le
tissu économique belge, la compétitivité des
PME et les principaux défis futurs dans ce
domaine. L’interaction avec les membres de la
commission fut des plus passionnantes.
Frederic Teerlynck – ft@vbo-feb.be
publics montre que, parmi les plus de 120
sociétés cotées, 11 ont quand même opté
pour l’octroi d’une rémunération variable, dont
8 expliquent pourquoi elles le font.
Que constate-t-on ? Il s'agit généralement de
jeunes entreprises biotechnologiques qui, en
agissant de la sorte, entendent rétribuer leurs
dirigeants sans devoir puiser dans les liquidités
disponibles dont elles ont un besoin vital. Y a-t-
il le feu au lac ? En aucune façon. Mais l'un de
ces cas a été grossi, si bien qu’il est désormais
de bon ton, au parlement, d’examiner les
biennale. Les ministres organiseront également
des états généraux en vue d’identifier les obs-
tacles aux investissements, tout en proposant
des solutions en vue d’accélérer et de faciliter
les investissements en matière énergétique.
Ces états généraux porteront sur les méca-
nismes de soutien, les procédures administra-
tives et 'l’état du marché' et rassembleront tous
les acteurs impliqués. Enfin, les ministres sou-
haitent, d’une part, établir une liste des capa-
cités de production existantes et de leur
évolution et, d’autre part, réaliser un scénario
permettant à notre pays d’être approvisionné à
100% par des sources d’énergie renouvelables
à l’horizon 2050.
La FEB est ravie que les différents
ministres de l’Énergie agissent ensemble et
favorisent de la sorte l’émergence d’une vision
commune et cohérente dans le domaine éner-
gétique. L’évaluation socio-économique est une
occasion unique de faire prendre conscience
au monde politique de l’impact des politiques
fédérales et régionales – qui, en termes de
coûts, ont tendance à s’additionner – sur nos
entreprises. Par ailleurs, il serait plus qu’op-
> Institutions et procédures
du droit de la concurrence
Le fait qu’une matière soit difficile n’entame en
rien son caractère indispensable. Il renforce plu-
tôt la position de celui qui la maîtrise. La pro-
cédure en droit européen de la concurrence en
est une bonne illustration. Sa complexité trou-
ve son origine dans le fait qu’elle doit articuler
l’intervention des autorités nationales et celle de
la Commission ainsi que le contrôle juridiction-
nel des décisions qui en découlent. Pour acqué-
rir une bonne connaissance de la matière, les
participants au programme de la Brussels
School of Competition (BSC) ont bénéficié de
l’expérience de deux praticiens aguerris, le pro-
salaires à la loupe et qu’une intervention légis-
lative est revendiquée coûte que coûte…
Ces deux formes de surenchère – à l'échelle
internationale pour certaines catégories de
hauts salaires et à l'échelon national au
niveau du populisme que cette situation sus-
cite – sont contre-productives et ne servent
qu'à souffler sur les braises de la ‘réglementi-
te’, de la jalousie et de l'envie, toutes choses
qui n'ont jamais rendu un homme, une organi-
sation ou une société meilleur(e).
RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ
portun que les ministres profitent de ces ren-
contres pour fixer un modèle de marché pour
les bornes de rechargement pour véhicules
électriques.
Olivier Van der Maren – ovm@vbo-feb.be
> GOUVERNANCE
D'ENTREPRISE
Une nouvelle consultation
de l’Union européenne
La Commission européenne vient de lancer une
consultation publique (*) sur la gouvernance
d'entreprise. L’objectif est de voir comment en
améliorer certains aspects. Le débat s’articule
autour de trois axes. Le premier concerne les
moyens d’assurer le bon fonctionnement des
conseils d’administration : mixité des genres,
coexistence de nationalités, disponibilité et
rémunération des administrateurs… Le deuxiè-
me a trait aux techniques visant à améliorer
l’implication des actionnaires dans la gouver-
nance d’entreprise : comment éviter les com-
portements à court terme ou encore comment >
fesseur Fernando Castillo de la Torre (Commis-
sion européenne, Service juridique) et le
professeur Luis Ortiz Blanco (Garrigues LLP).
Pour les participants, c’est un atout majeur qui
permet d’affiner l’évaluation d’une situation au
regard des règles de concurrence.
Pierre Sabbadini – psa@vbo-feb.be
> L’Association belge des rela-
tions de travail à la FEB
L’Association belge des relations de travail était
invitée à la FEB le 31 mars dernier. Des repré-
sentants du monde universitaire, des partenaires
sociaux, de hauts fonctionnaires et des magis-
trats s’y penchent régulièrement sur des sujets
 [ INFOR FEB 14 — 14 AVRIL 2011 ]
> GOUVERNANCE ÉCONOMIQUE

Pour un programme national de réforme ambitieux !

Le 6 avril dernier, une rencontre a été organisée au Cabinet du Premier sance. À cet égard, le PNR ne peut consister en un simple inventaire
ministre en présence des membres du Conseil central de l’Économie, de mesures existantes mais doit faire montre d’une vision claire pour
du Conseil national du Travail ainsi que du Conseil fédéral du déve- 2020, assortie d’objectifs ambitieux à réaliser aux niveaux tant fédéral
loppement durable. La FEB y a fait part de ses préoccupations relatives que régional. Le PNR doit, plus précisément, répondre aux 10 défis
au ‘Programme national de réforme’ (PNR), que la Belgique doit pré- identifiés par la Commission européenne dans son ‘Annual Growth
senter prochainement à la Commission européenne. Strategy’ ainsi que les 4 priorités définies dans le ‘Pacte pour l’Euro
La FEB a rappelé son soutien en faveur des initiatives de la Plus’. Cela concerne notamment le coût unitaire de la main-d’œuvre,
Commission européenne visant à réduire les déficits macro-écono- dont la Belgique doit démontrer à l’UE sa capacité d’en maîtriser l’évo-
miques, à assainir les finances publiques ainsi qu’à stimuler la crois- lution. Un débat relatif à l’indexation ne peut, à cet égard, plus être évi-
té. Par ailleurs, force est de
constater que peu de mesures ont
été prises jusqu’ici pour se prépa-
rer au vieillissement de la popula-
Force est de constater que tion. Si l’on veut éviter de
peu de mesures ont été transmettre les coûts du vieillisse-
prises jusqu’ici pour se ment aux générations futures, il
préparer au vieillissement s’agit de débattre impérativement
de la population. des systèmes de fin de carrière et
de pension.
Arnaud Thysen – at@vbo-feb.be

> promouvoir la coopération entre actionnaires
d’une même société ? Enfin, la troisième par-
tie a trait à l’amélioration du suivi et de l’ap-
plication des codes nationaux de gouvernance
d’entreprise. Les explications fournies par les
entreprises qui ne se conforment pas aux
recommandations des codes doivent-elles être
régies par des règles plus détaillées ? Faut-il
renforcer les compétences des organismes de
contrôle nationaux en ce qui concerne les
déclarations de gouvernance d’entreprise ? La
consultation est ouverte jusqu’au 22 juillet
2011. La FEB y participera. Une synthèse
d’actualité sociale, comme la réforme des juri-
dictions du travail et les discussions en cours
sera présentée en automne et c'est sur cette
base que la Commission décidera si des pro-
positions législatives sont nécessaires.
Christine Darville – cda@vbo-feb.be
(*) La consultation est disponible sur le site
http://ec.europa.eu/internal_market/company
> SÉCURITÉ ET SANTÉ
Des accords internationaux
pour une sous-traitance
sûre
Lors d’une réunion qui s’est tenue le 4 avril à
Francfort, les organisations nationales de ges-
tion des systèmes de management de la sécu-
rité des sous-traitants de Belgique
(BeSaCC-VCA), des Pays-Bas (VCA), de France
(MASE), d’Allemagne (SCC) et d’Autriche
(SCC) ont conclu des accords en vue de la
création d’une organisation coupole interna-
tionale. L’objectif est d’élaborer une approche
harmonisée dans laquelle tous les systèmes
répondant à un certain nombre de critères
minimums seraient considérés comme équi-
valents et pourraient coexister.
De cette manière, les donneurs d’ordre sau-
raient avec certitude quels sont les systèmes
équivalents et les sous-traitants éviteraient des
obligations redondantes. Les entreprises du
réseau pour la sécurité et la santé de
l’Organisation internationale du travail (OIT)
se sont réjouies de cette nouvelle démarche
lors de leur réunion des 7 et 8 avril à Paris, pla-
cée sous le signe des comportements sûrs et >

sur l’index. Conformément à la tradition, la FEB,

hôtesse du jour, s’est chargée d’introduire
quelques points d’intérêt social. Bart Buysse a
notamment exposé les difficultés de la concer-
tation sociale et commenté l’image négative
dont souffrent abusivement les employeurs qui
sont pourtant créateurs d’emploi et de prospé-
rité. Il a appelé au sens des responsabilités pour
les négociations qui seront menées prochaine-
ment au niveau des secteurs et des entreprises,
mais par la suite aussi, vu les réformes fonda-
mentales dont notre pays a besoin.
Bart Buysse – bb@vbo-feb.be
COMMENT PRÉPARER LES ÉLECTIONS SOCIALES 2012
DANS VOTRE ENTREPRISE ?
La FEB vous apporte son expertise !
Les prochaines élections sociales pour le conseil d'entreprise (CE) et le comité de prévention et de
protection au travail (CPPT) se tiendront probablement entre le 7 et le 20 mai 2012. Pour vous permettre
de mieux vous y préparer, la FEB vous propose un package unique, enrichi de son expertise : brochure,
séminaires et flashes d'information se suivront à un rythme régulier entre mai 2011 et mai 2012.
• Save already the first date! 16 mai 2011
• LIEU : FEB, Bruxelles
• INFO : Nathalie Petit, T 02 515 09 64, np@vbo-feb.be
• www.feb > Manifestations & séminaires
[ INFOR FEB 14 — 14 AVRIL 2011 ]

AGENDA Specialised Study Programme (LL.M.) in Competition Dates and theme: Venue: FEB, Brussels
Law and Economics 29 April, 6, 13 May – Information & Inscription:
Competition Law and the www.brusselsschoolofcompetition.eu,
This course is divided into 12 'learning blocks': with 15 hours of taught Regulation of Network info@brusselsschoolofcompetition.eu
seminar for each learning block, this programme seeks to offer the Industries
strongest possible training in the various disciplines of competition From 12.30 p.m. to 6.30 p.m.
policy. From October 2010 to June 2011.

Dates et lieux : Info : Laurent Sempot,

Comment remplir correctement votre bilan social ?
13 mai – FEB, Bruxelles T 02 515 09 83, ls@vbo-feb.be
En collaboration avec le CRFRT 19 mai – Mont-Saint-Guibert
Il est essentiel de compléter correctement le bilan social, car les
employeurs doivent démontrer que, tous ensemble, ils consacrent au
moins 1,9% de la masse salariale à la formation.

9th EUROPEAN BUSINESS SUMMIT Date and theme: Venue: Brussels

18 & 19 May – Information: www.ebsummit.eu
Europe's key meeting place for business leaders and Europe in the World:
decision makers leading or lagging?
Join us with Jürgen R. Thumann, President BUSINESSEUROPE,
Herman Van Rompuy, President European Council, Viktor Orbãn,
Prime Minister Hungary, and Connie Hedegaard, European
Commissioner for Climate Change.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> de la sécurité des contractants. Au vu de l’in-
térêt concret manifesté par l’Espagne, la
Grande-Bretagne et les États-Unis, ainsi que
quelques entreprises multinationales, la voie
semble définitivement ouverte pour une
approche plus effective et plus efficace des
risques lors de travaux ou d’entretiens réalisés
par des sous-traitants.
Kris De Meester – kdm@vbo-feb.be
> ENTREPRENEURIAT
La FEB soutient le projet
“CTRL-ALT-START'
Dans le cadre du soutien qu’elle apporte à
des projets en faveur de l’entrepreneuriat dans
notre pays, la FEB a accueilli le lancement du
portail 'CTRL-ALT-START' (C-A-S) créé par
GUIDO, une plateforme de communication, à
l’intention des étudiants. Ce fut l’occasion
pour la FEB de souligner que notre pays
compte trop peu d’entrepreneurs, comme l’a
encore démontré l’édition 2010 du Global
Entrepreneurship Monitoring. Notre pays
compte moins de 3% de sa population entre
18 et 64 ans propriétaire d'une entreprise,
contre 7% en moyenne dans les pays indus-
trialisés, et il se situe juste dans la moyenne
en ce qui concerne les candidats entrepre-
neurs. De plus, comme l’a rappelé la FEB, en

Fast Forward
raison du départ à la retraite progressif des
CEO 'papy-boomers', des milliers d’entreprises
devront dans les 5 à 10 années à venir trou-

to Growth ver un successeur ou un repreneur sous pei-

ne de disparaître.
La FEB a plaidé à cette occasion pour
Renforcez la position concurrentielle de votre PME et favorisez votre croissance ! un changement de mentalité à l’égard de l’ac-
Dolce, La Hulpe | 14 juin 2011 - de 14H00 à 18H00 te d’entreprendre, de même que pour une for-
mation spécifique sur la création ou la reprise
d’une entreprise dans les cursus, pour des
Une initiative de : Avec le soutien de :
efforts de communication sur les opportunités
www.kmofocuspme.be
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

liées à la reprise d’entreprises existantes, et

pour plus d'audace à l’international. Afin de
contribuer à ce vaste défi sociétal, la FEB
Le prochain Infor FEB paraîtra le vendredi 29 avril 2011 publiera prochainement, en collaboration avec
BDO, une brochure consacrée à la transmis-
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL sion d’entreprise. Par ailleurs, elle actualise
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
fréquemment son portail (*), lancé en 2007
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be et destiné aux candidats entrepreneurs.
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be Olivier Joris – oj@vbo-feb.be
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be (*) www.ta-propre-entreprise.be
COPYRIGHT : Reproduction autorisée moyennant mention de la source

L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de l'écosystè-
me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue économique.