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Biographie générale :
Né le 25 janvier 1875 à PARIS, cet homme distingué est un véritable autodidacte qui est parti de rien. Sa
mère décède en 1886 d’une maladie indéterminée à l’époque. L’école n’est pas tellement son fort. Il
s’éloigne de son père, lequel était le rédacteur en chef d’un journal aux idées extrêmes (…)Il fait plusieurs
petits métiers et se rapproche finalement de sa passion pour les courses hippiques. Simple guichetier dans
un premier temps, il a l’opportunité de connaître du beau monde et devient un conseiller hippique privilégié
d’un propriétaire de chevaux prestigieux (…). Il va entraîner notamment un cheval appelé Quo Vadis lequel
gagne le grand prix de Paris en 1903 et n’arrêtera pas de remporter des prix partout dans le monde.
D’autres succès hippiques vont couronner le travail de DRUMONT. Celui-ci est reconnu par ses pairs.
Pronostiqueur compétent, il est recruté en 1909 par un journal parisien afin de faire des articles sur le monde
hippique et ce, parallèlement à son métier d’entraîneur de chevaux de course. Il se marie en 1913 avec une
belle anglaise, antiquaire de son état, …divorcé et mère de 2 enfants (au grand désespoir de son père,
lequel décède 6 mois après). Fortuné, il place son argent judicieusement à l’étranger et dans des courses
avant que la guerre n’éclate. C’est un grand tournant car, pendant cette période, il va devenir une sorte de
journaliste – diplomate dans les relations franco-anglo-américaines grâce à des relations avec le monde
politique (il veut laver le nom de sa famille après les choix extrémistes de feu son père). Au sortir de la
guerre, il est vivement remercié pour ses services et décide d’investir ses économies dans une belle
propriété dans le Tarn. Son rêve est de créer un centre équestre dans la région. Après un fulgurant coup de
cœur, il rachète aux enchères le château de Mont près d’Albi en 1919 : cette affaire est exceptionnelle
puisque l’état de la demeure nécessite peu de travaux et que tous les meubles de valeur ont été laissés
(l’Etat ne s’est pas occupé du manoir pendant la guerre)… Il va organiser la Saint Sylvestre 1920 dans sa
demeure.
Bonne 1 : Emeline DUPRE (35 ans) : cette admirable femme est habituée à travailler durement. Toujours à
l’écoute des autres, elle essaye d’arranger les choses.
Bonne 2 : Sylvianne ENQUELIN (22 ans) APP : 17 ! INT : 14 : cette superbe femme s’intéresse à tout…
Elle aide exceptionnellement son père ce soir ; sinon, elle souhaite travailler dans la recherche et
notamment la Chimie (50 % !) ; son idole : Marie CURIE.
Majordome : Alfred ENQUELIN (48 ans) : surveille sa fille de près / très chic (style Alfred dans « Batman »)
Cuisinier : Georges RANQUEVERT (40 ans) : fin cuisinier très jovial
MALLEUS MALIFECARUM
Dominicains fanatiques et dangereux (nazis d’avant-garde) servant pour la bonne cause ! Leurs méthodes
sont terribles : elles s’appuient sur le MALLEUS MALIFECARUM, un livre du XIIème siècle dont l’objet est
de faire disparaître toutes traces des Cultus Malifecarum dangereux pour les religions humaines ; les
méthodes d’inquisition sont prodiguées pour lutter contre les cultes de Manès (cf. Albigeois et la 4ème
croisade)! Une fois prévenus par le Vatican, ils arrivent le 5ème jour après la disparition de l’avocat du diable
et vont sournoisement enquêter, brûler, liquéfier tous ceux qui ont eu contact de près ou de loin avec le
Culte. Dans le cercueil tout d’abord, DRUMONT sera retrouvé dans un état monstrueux (acide chlorhydrique
versé directement sur le corps, odeur horrible)