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Chapitre 6 :

Couche réseau

Présentation des réseaux v6.0


Benmaouche smail
Fevrier 2018
6.0 Introduction
6.1 Protocoles de couche réseau
6.2 Routage
6.3 Routeurs
6.4 Configuration d'un routeur Cisco
6.5 Résumé

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À la fin de cette section, vous saurez :
• Décrire l'utilité de la couche réseau dans le cadre de la communication de
données
• Expliquer pourquoi le protocole IPv4 nécessite d'autres couches pour
garantir la fiabilité du réseau (Inclure : indépendant des supports, non fiable
et sans connexion)
• Expliquer le rôle des principaux champs d'en-tête dans le paquet IPv4

• Expliquer le rôle des principaux champs d'en-tête dans le paquet IPv6

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Transport de bout en bout
•Adressage des périphériques finaux
•Encapsulation
•Routage
•Désencapsulation

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Il existe plusieurs protocoles de couche réseau. Toutefois, seuls les deux
protocoles suivants sont couramment utilisés :

Remarque : les anciens protocoles de couche réseau ne sont pas représentés


sur la figure et ne sont pas abordés dans ce cours.

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Aucune connexion avec la IP n'est pas fiable, car la livraison des
destination n'est établie avant paquets n'est pas garantie ainsi que
l'envoi des paquets de à la gestion du flux de paquets. La
données. fiabilité est assurée par les
protocoles de couche supérieure
(comme TCP)

Le fonctionnement est indépendant du support qui transporte les données


(cuivre, fibre optique ou sans fil).

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 Ce qui signifie qu'aucune connexion de bout en bout dédiée n'est créée avant
l'envoi des données .(aucun échange initial d'informations de contrôle n’est
etablie)
 Il ne nécessite pas de champs supplémentaires dans l'en-tête pour maintenir
une connexion établie.
 Cependant, les expéditeurs ne savent pas si les périphériques de destination
sont présents et fonctionnels lors de l'envoi des paquets.
 Ils ne savent pas non plus si le destinataire reçoit le paquet ni s'il peut y
accéder et le lire.

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 Le terme « non fiable » signifie que le protocole IP n'a pas la capacité de
gérer, ni de récupérer, les paquets endommagés ou non remis.
 Les paquets peuvent arriver endommagés ou dans le désordre à destination,
voire ne pas arriver du tout. L'expéditeur se saura pas que les paquets non
pas bien été reçus.
 Le protocole IP n'est pas en mesure de renvoyer les paquets en cas d'erreur.
 Si des paquets sont remis dans le désordre ou s'ils sont manquants, ces
incidents doivent être résolus par les applications qui utilisent les données ou
par les services de couche supérieure.

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Le transport des paquets IP ne se limite pas à un support particulier.
Toutefois le support présente une caractéristique essentielle qui est la taille
maximale de la PDU qu’il peut transporter , appelée unité de transmission
maximale (MTU).
La couche liaison de données transmet la MTU à la couche réseau. La couche
réseau détermine alors la taille maximale des paquets.
Dans certains cas, un périphérique intermédiaire, généralement un routeur,
doit scinder un paquet lors de sa transmission d'un support à un autre de MTU
inférieure. On appelle ce processus la fragmentation du paquet ou simplement
fragmentation.

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• Version = 0100 (IPv4)

• Services différenciés
ou DiffServ (DS) =
priorité du paquet
• Time-to-live (TTL) =
limite la durée de vie
du paquet
• Protocole = protocole
de la couche
supérieure tel que TCP
• Source IP Address =
source du paquet
• Destination IP Address
= destination du paquet

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• La pénurie d'adresses IP :

l'IPv4 a un nombre limité d'adresses IP publiques disponibles. Bien qu'il


existe environ 4 milliards d'adresses IPv4, le nombre croissant de
périphériques IP, les connexions permanentes et la croissance potentielle des
pays en voie de développement entraînent une hausse du nombre
d'adresses devant être disponibles.
• Croissance de la table de routage Internet :

Le nombre de routes de réseau augmente parallèlement au nombre de


serveurs connectés à Internet. Ces routes IPv4 consomment beaucoup de
mémoire et de ressources processeur sur les routeurs Internet.
• Absence de connectivité de bout en bout:

La technologie de traduction d'adresses réseau (NAT) est généralement


implémentée dans les réseaux IPv4. Elle permet à plusieurs périphériques de
partager une adresse IPv4 publique unique. Cependant, étant donné que
l'adresse IPv4 publique est partagée, l'adresse IPv4 d'un hôte interne du
réseau est masquée, ce qui peut poser problème pour les technologies
nécessitant une connectivité de bout en bout.
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• Espace d'adressage plus important : Les adresses IPv6 sont basées sur un
adressage hiérarchique 128 bits (au lieu de 32 bits pour l'IPv4).
• Amélioration du traitement des paquets :l'en-tête IPv6 a été simplifié et
comporte moins de champs
• Élimination du besoin d'adresses réseau (NAT) :la technologie NAT n'est plus
nécessaire entre une adresse privée et publique. Cela évite certains des
problèmes rencontrés par les applications nécessitant une connectivité de bout
en bout.

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• Version = 0110
• Classe de trafic = priorité
• Étiquetage de flux = tous
les paquets portant la
même étiquette de flux
doivent être traités de la
même manière par les
routeurs.
• Longueur des données
utiles = indique la longueur
de la partie données (utiles)
du paquet IPv6.
• En-tête suivant =
protocole de la couche 4
• Limite du nombre de
tronçons = remplace le
champ TTL
• Adresse source IPv6
• Adresse IPv6 de
destination
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À la fin de cette section, vous saurez :
•Expliquer comment un périphérique hôte utilise les tables de routage pour
diriger les paquets vers les périphériques, une destination locale ou une
passerelle par défaut
•Comparer une table de routage d'hôte à une table de routage de routeur

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•Lui-même :un hôte peut s'envoyer une requête ping en envoyant un paquet à
une adresse IPv4 spécifique, 127.0.0.1, appelée interface de bouclage.
Cela permet de tester la pile de protocoles TCP/IP sur l'hôte.
•Hôte local :il s'agit d'un hôte sur le même réseau local que l'hôte émetteur.
Les hôtes partagent la même adresse réseau.
•Un hôte distant :il s'agit d'un hôte sur un réseau distant. Les hôtes ne
partagent pas la même adresse réseau.

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• La passerelle par défaut correspond au périphérique réseau capable
d'acheminer le trafic vers d'autres réseaux.
• C'est le routeur qui peut acheminer le trafic en dehors du réseau local.

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 Lorsqu'une passerelle par défaut est configurée , une route par défaut est
créée dans la table de routage du PC.
 La route par défaut est la route ou le chemin que votre ordinateur
emprunte lorsqu'il essaie de contacter un réseau distant.

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Sur un hôte Windows, les commandes route print ou netstat -r permettent
d'afficher la table de routage de l'hôte.

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La table de routage d'un routeur peut stocker des informations sur :
•Les routes directement connectées
•Routes distantes
•Route par défaut :

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 La commande show ip route permet d’afficher la table de routage IPv4 du routeur

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 Origine de la route : indique comment le réseau a été découvert par le
routeur.
 Réseau de destination : identifie le réseau de destination et la façon dont il a
été appris.
 Interface de sortie : identifie l'interface de sortie à utiliser pour transférer un
paquet vers laun
• C : signale destination finale.directement. sont automatiquement créés
réseau connecté
lorsqu'une interface est configurée avec une adresse IP et activée.
• L : indique qu'il s'agit d'une interface locale. Cette entrée fournit l'adresse IPv4
de l'interface sur le routeur.
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 Lorsqu'un paquet destiné à un réseau distant arrive au niveau du routeur, ce
dernier compare le réseau de destination à une route de la table de routage.
 S'il trouve une correspondance, le routeur transfère le paquet à l'adresse du
tronçon suivant à l'aide de l'interface indiquée.

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À la fin de cette section, vous saurez :
•Décrire les interfaces et les composants courants d'un routeur

•Décrire le processus de démarrage d'un routeur Cisco IOS

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 Il existe de nombreux types de routeur d'infrastructure.
 Les routeurs Cisco sont conçus pour répondre aux besoins de nombreux types
d'entreprises et de réseaux :
• Les filiales : télétravailleurs, petites entreprises et filiales de taille moyenne. Il s'agit
notamment des routeurs à services intégrés Cisco de la deuxième génération
(ISR G2).
• Les réseaux étendus (WAN) : grandes entreprises et organisations. Il s'agit
notamment des commutateurs de la gamme Cisco Catalyst et des routeurs de
services d'agrégation Cisco (ASR).
• Les fournisseurs de services : opérateurs télécoms de grande envergure. Il s'agit
notamment des routeurs Cisco ASR, Cisco CRS-3 (Carrier Routing System) et des
routeurs de la gamme 7600.
 La certification CCNA se concentre sur les routeurs destinés aux filiales.

Routeurs à services intégrés G2 Cisco 1900, 2900 et 3900.


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 Quelles que soient leur fonction, leur taille et leur complexité, tous les modèles de
routeur sont en fait des ordinateurs. Tout comme les ordinateurs, les tablettes et
les appareils intelligents, les routeurs nécessitent également :
• Des processeurs (UC).
• Des systèmes d'exploitation (SE).
• Une mémoire composée de mémoire vive (RAM)
• Une mémoire morte (ROM)
• Une mémoire vive non volatile (NVRAM)
• Une mémoire Flash.

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 Les périphériques Cisco nécessitent un processeur pour exécuter les instructions du
système d'exploitation pour assurer des fonctions de routage et de commutation. .
 Le système d'exploitation Cisco IOS est le logiciel système utilisé pour la plupart des
périphériques Cisco, indépendamment de leur taille et de leur type.
 Ce logiciel est utilisé pour des routeurs, des commutateurs de réseau local, des petits
points d'accès sans fil, des grands routeurs dotés de dizaines d'interfaces et bien
d'autres périphériques.

Processeur d'un routeur Cisco 1941 équipé d'un dissipateur thermique

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La mémoire vive non volatile (NVRAM) :
cette mémoire est utilisée comme stockage permanent du fichier de
configuration initiale (startup-config).

La mémoire Flash :
il s'agit d'une mémoire non volatile utilisée comme stockage permanent pour
IOS et d'autres fichiers relatifs au système tels que les fichiers journaux et
HTML, les fichiers de configuration vocale, les configurations de sauvegarde,
etc. Lors du redémarrage d'un routeur, IOS est copié de la mémoire Flash
vers la mémoire vive.
Toutes les plates-formes de routeur ont des paramètres et des composants par
défaut.
Par exemple, le routeur Cisco 1941 intègre 512 Mo de mémoire SDRAM, mais
peut évoluer jusqu'à 2 Go.
Il est également livré avec 256 Mo de mémoire Flash, mais celle-ci peut être
étendue à l'aide de deux logements Compact Flash externes.
Chacun peut prendre en charge des cartes de stockage haut débit qui peuvent
être mises à niveau jusqu'à atteindre un maximum de 4 Go.

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Console
RJ45

Console
Connecteur
USB de
type B

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Les moyens d'accès au mode d'exécution utilisateur dans l'environnement CLI :
• Console : port de gestion physique permettant un accès hors bande à un
périphérique Cisco.
• Secure Shell (SSH) : moyen d'établir à distance une connexion CLI sécurisée via
une interface virtuelle sur un réseau.
• Telnet : moyen non sécurisé d'établir une session CLI à distance via une interface
virtuelle sur un réseau.
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 Lors du démarrage, les routeurs et les commutateurs Cisco chargent l'image
IOS et le fichier de configuration initiale dans la mémoire vive RAM
 La configuration en cours est modifiée lorsque l'administrateur réseau configure
le périphérique.
 Les modifications apportées au fichier running-config doivent être enregistrées
dans le fichier de configuration initiale sur la mémoire vive non volatile (NVRAM)

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Le processus de démarrage comporte trois phases principales :
1. Exécution du test POST et chargement du programme de démarrage
2. Localisation et chargement du logiciel Cisco IOS
3. Recherche et chargement du fichier de configuration initiale ou passage en
mode configuration

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1. Exécution du test POST et chargement du programme de démarrage
• Au cours du test automatique de mise sous tension (POST), le routeur
exécute des diagnostics à partir de la mémoire morte ROM sur plusieurs
composants matériels, notamment le processeur, la mémoire vive et la
mémoire vive non volatile.
• Après le POST, le programme d’amorçage est copié de la mémoire morte
ROM à la mémoire vive RAM. Le rôle principal du programme d’amorçage est
de localiser Cisco IOS et de le charger dans la mémoire vive RAM.
Remarque : à ce stade, si vous disposez d'une connexion console au routeur, les
résultats commencent à s'afficher sur l'écran.

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2. Localisation et chargement de Cisco IOS
• IOS est généralement stocké dans la mémoire Flash et copié dans la mémoire
vive RAM par le processeur pour être exécuté.
• Si l'image IOS ne se trouve pas dans la mémoire Flash, le routeur peut la
rechercher à l'aide d'un serveur TFTP (Trivial File Transfer Protocol).
• Si l'image IOS complète est introuvable, une version limitée d'IOS dans la
mémoire ROM est copiée dans la mémoire vive RAM afin de diagnostiquer les
problèmes et de transférer une version complète d'IOS dans la mémoire Flash.

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3. Localisation et chargement du fichier de configuration
• Le programme de démarrage (bootstrap) copie ensuite le fichier de
configuration de démarrage de la NVRAM sur la RAM.
• Cette configuration devient alors la configuration en cours (Running-config).
• Si le fichier de configuration initiale n'existe pas dans la mémoire NVRAM, le
routeur peut être configuré pour rechercher un serveur TFTP.
• S'il n'en trouve aucun, le routeur affiche l'invite du mode configuration (Setup).

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 La commande show
version affiche des
informations sur la version du
logiciel Cisco IOS actuellement
en cours d'exécution sur le
routeur, sur la version du
programme de démarrage,
ainsi que sur la configuration
matérielle, en indiquant
notamment la quantité de
mémoire système.

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À la fin de cette section, vous saurez :
•Configurer les paramètres initiaux d'un routeur Cisco IOS

•Configurer deux interfaces actives sur un routeur Cisco IOS

•Configurer les périphériques pour utiliser la passerelle par défaut

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show ip interfaces : affiche des
statistiques IPv4 pour toutes les
interfaces d'un routeur.

• show ip route : affiche le contenu de


la table de routage IPv4 stocké dans
la mémoire vive.
• show interfaces : affiche des
statistiques pour toutes les interfaces
d'un périphérique.

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 Pour accéder au commutateur à distance à partir d'un autre réseau utilisant une
connexion SSH ou Telnet, le commutateur doit être doté d'une interface SVI sur
laquelle sont configurés une adresse IPv4, un masque de sous-réseau et l'adresse
de la passerelle par défaut.
 Pour configurer une passerelle par défaut sur un commutateur, utilisez la commande
de configuration globale ip default-gateway

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Objectifs du chapitre :
•Expliquer comment les protocoles et services de couche réseau prennent en
charge les communications sur les réseaux de données
•Expliquer en quoi les routeurs permettent une connectivité de bout en bout dans un
réseau de PME
•Expliquer comment les équipements acheminent le trafic sur un réseau de PME

•Effectuer la configuration de base d'un routeur

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Merci.

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