Vous êtes sur la page 1sur 15

Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI

MASTER : « FINANCES DES MARCHES ET DES ENTREPRISES »

Rapport sous le thème de :


La place de l’analyse financière dans la
gestion de la trésorerie

Elaboré par :
CHERKAOUI AHMED

Sous l’encadrement de : MR. HNICHE OMAR


Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI

SOMMAIRE

INTRODUCTION

Partie I : l’équation fondamentale


1- Le fond de roulement
2- Le besoin de fond de roulement
3- Les modalités d’équilibrage

Partie II : les différents figures d’équilibrage


1- L’analyse par les flux de trésorerie
2- Description des différentes parties
3- Interprétation

CONCLUSION

NTRODUCTION
I
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


Toute entreprise doit disposer en permanence des ressources suffisantes
pour remplir ses engagements financiers (salaires, fournisseurs, charges
sociales et fiscales…). A défaut, elle serait déclarée en cessation de paiement et
serait éventuellement liquidée.

Gérer sa trésorerie, c’est être en permanence en prise directe avec les


flux réels et prévisionnels, entrants et sortants, et avec ses banques, pour
pouvoir effectuer rapidement les ajustements nécessaires. C’est avant tout
anticiper !

L’optimisation de la gestion de trésorerie conduit tout naturellement au


concept de « trésorerie zéro »

En effet, un trésorier doit toujours gérer une certaine part de


mouvements (paiement et encaissement) importants et aléatoires, plus ceux ci
sont nombreux et volumineux, plus la prévision de trésorerie sera imprécise et
plus l’optimisation constituera un but difficile à atteindre.

I- L’équation fondamentale :

La trésorerie résulte de la différence entre le fonds de roulement (FR) et


le besoin en fonds de roulement (BFR) selon l’équation :

Trésorerie = Fond de roulement – Besoin en fond de roulement

Deux casFR
sont possibles : BFR

BFR FR
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI

Trésorerie
positive

Le FR correspond à l’excédent des capitaux permanents (capitaux


propres et emprunts LMT) sur les immobilisations.

Fond de roulement =
(Capitaux propres + Emprunt LMT) – Immobilisation

Le BFR représente le montant des capitaux nécessaires pour financer le


cycle d’exploitation (actifs circulants – dettes à CT).

Il résulte des décalages entre les décaissements et encaissements des flux liés
à l'activité de l'entreprise.

Besoin en fond de roulement =


(Stocks + Créance client) – Dettes d’exploitation
Equilibrer la trésorerie est donc, avant tout, gérer les variations de FR et
de BFR.

La trésorerie est ainsi la résultante de tous les flux financiers traversant


l’entreprise et des modes de financement retenus. Toute variation du FR ou du
BFR aura donc des répercussions immédiates sur la trésorerie. C’est ce que le
financier analyse au travers du tableau de flux.

Tableau de flux :
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


(A) Capitaux permanants (D) Actif circulant
+ Capitaux propres + Stock
+ Emprunt LMT + Créances clients
+ Etat débiteurs

(B) Immobilisation (E) Passif circulant

+ Immobilisation en non valeur + Fournisseurs


+ Immobilisation Incorporelles + Etat créditeurs
+ Immobilisation corporelles + Organismes sociaux
+ Immobilisation financieres

(C) Fond de roulement = (A) - (B) (F) Besoin en Fond de roulement = (D) - (E)

(G) Trésorerie = (C) - (F)

II- Les modalités d’équilibrage :


1. Equilibrage par FR et BFR :

En cas de déséquilibre au niveau de la trésorerie, le gestionnaire de trésorerie


est confronté à deux choix :

- Soit agir le BFR : augmenter les délais fournisseurs, diminuer les stocks et
raccourcir délais clients.
- Soit agir le FR (dans le cas ou le 1er choix s’avère difficile) 

1.1. Agir sur le BFR :


Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


- Allonger les délais fournisseurs : Constitue une ressource pour
l’entreprise, elle permet de réduire le décalage entre l’encaissement et
les décaissements dû au cycle d’exploitation.
- Raccourcir les délais clients : une ressource pour l’entreprise, elle permet
de réduire le décalage entre l’encaissement et les décaissements dû au
cycle d’exploitation.
- Réduire les stocks : les stocks constituent un emploi de valeur important
pour l’entreprise. Optimiser la gestion de stock permettra à l’entreprise
de diminuer son BFR

1.2. Agir sur le FR :

Augmentation le FR Augmentation le BFR


Augmentation de capital Investissements
Emprunt Remboursement de l’emprunt
Dotation d’amortissement Distribution des bénéfices
Résultat positif Résultat négatif

2. Equilibrage par Financement ou Placement :


Dés qu’apparaissent des écarts entre prévision de trésorerie réelle
il devient nécessaire de ramener la trésorerie au niveau de l’encaisse de
sécurité en plaçant les excédents ou en négociant des crédits de
trésorerie auprès des banques.

 Dans le premier cas. Un excédent de trésorerie inactif n’est pas un très


bon indicateur pour l’entreprise. Laisser dormir l’argent peut se traduire
par un manque à gagner important.

 Dans le deuxième cas, l’entreprise devra recourir à des concours


bancaire afin de les combler.

2.1. Cas d’excédent de trésorerie :


Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


- Le désendettement (remboursement anticipé des dettes financières) : il
constitue la première manière de résorber les excédents de trésorerie.
En effet s’il ne rapporte rien, il permet de faire des économies en charges
financières.
- Les produits boursiers : l’entreprise peut placer ses liquidités sur le
marché boursier en achetant des actions ou des obligations. Pour
minimiser les risques il existe des produits composés de plusieurs
valeurs : SICAV de trésorerie, Fond Commun de placement
- Les produits bancaires : Des bons de caisse, des titres qu’elles émettent
et qui sont remboursées à l’échéance, en général à 3mois minimum
Des comptes à terme sa rémunération est proportionnelle à la durée de
l’immobilisation des fonds.
Des certificats de dépôt négociables sur le marché secondaire ils sont
plus souples que les comptes à terme.
Le choix entre ces différents placements possibles se fera bien sur en
fonction de la rémunération (taux d’intérêt – les frais), du risque et de la
liquidité plus ou moins grande du placement
2.2. Cas de déficit de trésorerie :

Les crédits de trésorerie font dans tous les cas l’objet d’une négociation
avec le banquier. Celui-ci, après avoir fait un diagnostic financier et jugé,
à partir du plan de trésorerie, des besoins de financement à court terme.

- L’escompte : en cas des créances commerciales on peut mobiliser les


titres de créances à échéance, on dit qu’on escompte les effets cette
procédure suppose que les créances sont matérialisées par des traites
- La lettre de change : ce sont des effets de commerce dématérialisés
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


- L’affacturage : les créances sont alors cédées non plus à la banque mais
au factor qui se charge des recouvrements des factures
- Le découvert : le taux appliqué est généralement supérieur à celui de
l’escompte car il est non garanti par des traites, présentent par des
banques
- Facilité de caisse : c’est un crédit de moins d’un mois
- Les crédits de compagne : destiné aux entreprises dont l’activité est
saisonnière
- Les crédits sur stock (warrants) : est un certificat de gage de
marchandises peut ensuite être escompté auprès d’une banque et donc
constitue le support d’un crédit de trésorerie

III- Différentes figures de l’équilibrage :


1- La crise de croissance :

Une forte augmentation des ventes provoque une augmentation


proportionnelle du BFR. Les lignes de crédit CT n’étant pas toujours facilement
ajustables (dans les délais et dans les proportions nécessaires) les ressources
deviennent insuffisantes pour financer l’exploitation… 

Solution : Augmenter les capitaux permanents ou anticiper le


financement CT avec les banquiers.

2- Mauvaise gestion du BFR :


Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


L’entreprise laisse se dégrader le délai de paiement des clients ou accroît
inutilement le niveau de ses stocks. Dans ce cas, le BFR augmente plus vite que
les ventes… 

Solution : Optimiser la gestion de stock et négocier des délais clients


courts et des délais fournisseurs long.

3- Mauvais choix de financement :

Ne jamais financer les immobilisations ou les acquisitions avec la trésorerie


d'exploitation (elle n'est pas faite pour cela)

Solution : Recourir à une augmentation de capital ou à un emprunt à


LMT.

4- Les résultats déficitaires :

L’accumulation de pertes diminue les capitaux propres et par conséquent, le FR


se dégrade…

Solution : Dans tous les cas, il faut reconstituer les fonds propres par une
augmentation de capital.

5- La baisse de l’activité :

Face à une baisse conjoncturelle du chiffre d’affaires, si la production n’est pas


ralentie simultanément et les charges fixes amputées drastiquement, le BFR
augmente… 

Solution : Surveiller régulièrement le tableau de bord de gestion et


privilégier les charges variables chaque fois que c’est possible.
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


1-) l’analyse par les flux de trésorerie :

Le tableau des flux comprend trois principales parties :

Flux net de trésorerie lié à l’activité

+Flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement

+Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement

= Variation de trésorerie

 Flux de trésorerie lié à l’activité :

Il s’agit de tous les flux de trésorerie autres que ceux qui relèvent des
opérations d’investissement et de financement.

En premier lieu, les flux de trésorerie d’exploitation correspondant aux charges et


aux produits d’exploitation monétaires, comme, par exemple, les sommes
encaissées auprès de clients (encaissement des ventes) ou les sommes versées
aux fournisseurs et au salariés (décaissements d’achats et frais de personnel) .
En second lieu, il faut tenir compte également des autres encaissements et
décaissements réguliers et ainsi rattachés à l’activité, donc récurrents, comme,
par exemple, les charges et produit financiers, les charges et produits
exceptionnels, la participation des salariés ou l’impôt sur les sociétés.

En partant du résultat net (option 1) :


Le point de départ est le résultat net. Cela consiste à éliminer du résultat net les
charge et les produits sans incidence sur trésorerie afin déterminer la marge
brute d’autofinancement, puis de déduire la variation du besoin en fond de
roulement pour obtenir le flux net lié à l’activité.
Nous aurons donc le schéma suivant :
 Conformément à l’optique OEC, les dotations aux provisions pour
dépréciation de l’AC, nettes des reprises correspondantes, sont assimilées
à des dettes à CT décaissables ; elles ne sont donc pas rajoutées au
résultat net pour obtenir la marge brute d’autofinancement.
 Les augmentations de frais d’établissement et les nouvelles charges à
répartir sont considérées comme des dépenses relatives à l’activité et non
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


comme des investissements. Elles constituent des flux de sortie dans la
partie « activité ».
 la marge brute d’autofinancement peut être définie comme la ressource
dégagée grâce à l’activité avant prise en compte des décalages de
trésorerie.

b) En partant du résultat d’exploitation (option 2) :


Le point de départ est le résultat d’exploitation puis mise en évidence du flux net
de trésorerie d’exploitation.
Nous aurons donc le schéma suivant :
 Dans cette option, les postes d’exploitation sont considérés à part des
autres flux relevant de l’activité, ce qui oblige à séparer la variation du
BFRE (calculé à partir des montants nets) et le reste de la variation du BFR
lié à l’activité.
 Pour calculer le résultat d’exploitation, on a :
- Retiré les dotations aux amortissements d’exploitation (charge
calculée) ;
- Rajouté les reprises d’exploitation (produit calculé).
Or, les montants correspondants à ces postes n’ont été ni décaissés ni
encaissés ; il faut corriger le calcul précédent en rajoutant ces dotations et en
déduisant ces reprises, ce qui permet de déterminer le résultat brut
d’exploitation.

 Flux de trésorerie liés aux opérations d’investissement :

L’OEC classe dans les opérations d’investissement l’ensemble des


opérations qui ont contribué au développement ou au renouvellement de
l’activité. Les flux de trésorerie comprennent l’ensemble des produits encaissés
(cessions…) augmentés des réductions et diminués des acquisitions
d’immobilisations.

 Peuvent être inclus :


- la fraction d’IS correspondant à d’importantes plus-values de cession ;
- les produits des investissements financiers dans la mesure où l’on
considère qu’ils représentent un retour sur investissement.
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


 Les subventions d’investissements sont classées dans la fonction
financement or, dans le modèle 1988, ils étaient classés en
investissement.
 Les décalages de trésorerie sont dus :
- soit à des créances sur cessions d’éléments de l’actif immobilisé ;
- soit à des dettes sur acquisitions d’immobilisations.
 Recettes liées aux opérations d’investissement :
Produits encaissables (produits des cessions) + réduction d’immobilisations
financières (remboursement des prêts par exemple) – variation des créances
sur cessions d’immobilisation.

 Dépenses liées aux opérations d’investissement :


Acquisitions d’immobilisations – variation es fournisseurs d’immobilisations.

La partie du tableau de l’OEC concernant les flux de trésorerie liés aux opérations
d’investissement se présente comme suit :
Le flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement fournit une
mesure des sommes affectées au renouvellement de l’activité en vue de
préserver ou d’accroître le niveau des flux futurs de trésorerie.

 Flux nets de trésorerie liés aux opérations de financement

La fonction financement regroupe les différentes sources de financement


correspondant à des encaissements, comme, par exemple, les augmentations de

capital, les nouveaux emprunts ou les subventions d’investissement et les


différents décaissements afférents aux opérations de financement tels que, par
exemple, les remboursements d’emprunt et les distributions de dividendes.

La partie du tableau de l’OEC concernant les flux de trésorerie liés aux opérations
de financement se présente comme suit :
Les flux de trésorerie lié aux opérations de financement fournissent une
information sur le financement externe que l’entreprise a contracté pour faire
face à ses besoins en cas d’insuffisance.
 La trésorerie
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


Elle correspond aux disponibilités et leurs équivalents. Les placements à CT, très
liquides (exp : SICAV et FCP monétaires ou obligations acquises moins de trois
mois avant leur échéance), sont considérés comme équivalents de disponibilités.
Les VMP sont prises en compte si elles peuvent être assimilées à des
disponibilités. Sinon, elles relèvent de l’investissement. La trésorerie comprend
donc l’ensemble des instruments financiers qui permettent à l’entreprise de
gérer, sans prendre de risques significatifs, ses excédents ou ses besoins de
trésorerie à CT.

La trésorerie est égale : Actif de trésorerie – Passif de trésorerie.

2- Interprétation du tableau des flux :


Le tableau des flux permet de dégager deux aspects afin d’éclairer le diagnostic
financier de l’entreprise :

a) Solvabilité et liquidité
b) Etude du comportement financier de l’entreprise :
L’analyse des opérations de financement donne des indications sur le choix de
financement : l’entreprise a-t-elle recours au capitaux propres ou à
l’endettement.

On étudiera le solde A (trésorerie dégagée par l’exploitation) – B (trésorerie


dégagée par les opérations d’investissement).

 Si A-B supérieur à 0
La trésorerie dégagée par l’exploitation est supérieur au montant total des
investissements. L’entreprise dispose de liquidités suffisantes pour rembourser
ses dettes ; sur le plan de la solvabilité et de la liquidité la situation de
l’entreprise est satisfaisante. Mais on peut se demander si l’effort
d’investissement est suffisant pour assurer une croissance durable ?

 Si A-B = 0
L’entreprise autofinance ses investissements. Deux problèmes se posent :
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


a- les investissements sont ils suffisants ?
b- si, pour des raisons quelconques, on veut accroître l’effort de croissance,
l’entreprise sera-t-elle en mesure de financer les investissements
nouveaux sans risque de liquidité ?

 Si A-B inférieur à 0
La trésorerie d’exploitation est insuffisante pour financer les investissements ;
l’entreprise doit recourir soit à l’endettement soit à une augmentation du capital.
La situation de l’entreprise est peu favorable : l’entreprise est vulnérable si elle
n’est pas capable de trouver de nouveaux moyens de financement.

CONCLUSION

La trésorerie, son solde et ses variations, paraissent être des indicateurs tout
aussi pertinents au prolongement de la réflexion sur la situation structurelle de
l'établissement et sur sa sécurité financière par une étude prévisionnelle
La trésorerie donne d'une manière générale l'ampleur de la situation financière
de l'établissement (bonne santé, vulnérabilité, défaillance). C'est un indicateur, à
la fois, à court terme, de la solvabilité de l'établissement et, à long terme, de ses
besoins de financement.
C'est un instrument d'analyse prévisionnelle : elle permet d'évaluer les
perspectives d'encaissements qui sont liées à la capacité de l'établissement à
produire une trésorerie suffisante pour faire face à ses besoins.
Des documents, les tableaux de flux de trésorerie, prévus dans les annexes des
comptes financiers, explicitent la formation de la trésorerie durant l'exercice et
réalisent la synthèse entre le compte de résultat et le tableau de financement.
Université MOHAMMED V

Des sciences juridiques, économiques et sociales SOUISSI


Les grandes forces de ce tableau résident dans sa facilité de compréhension, sa
présentation claire et son exploitation pertinente dans le cadre d'une analyse
prévisionnelle. Il est, de plus, enrichi d'indicateurs (excédent de trésorerie
d'exploitation et capacité d'autofinancement) essentiels à toute analyse
financière complète. Le tableau de trésorerie présente tout de même des
imperfections :
L’activité d’exploitation englobe des éléments financiers et des éléments
exceptionnels (rubrique autre produits et autres charges liés à l’exploitation) qui
ne font pas expressément partie de la notion d’exploitation.
L’incidence de la variation de trésorerie sur opérations d’exploitation regroupe les
intérêts courus non échus et la variation de l’I.S, opérations que l’entreprise
réalise dans le cadre de son activité d’ensemble et non d’exploitation.
Le fait de prendre en considération certains éléments d’exploitation en valeur
nette (stocks et créances) laisse supposer qu’une provision pour dépréciation est
une ressource pour l’entreprise.
Et enfin, le traitement du crédit bail n’est prévu que pour les comptes consolidés.

Vous aimerez peut-être aussi