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Elaboré par :
CHERKAOUI AHMED
SOMMAIRE
INTRODUCTION
CONCLUSION
NTRODUCTION
I
Université MOHAMMED V
I- L’équation fondamentale :
Deux casFR
sont possibles : BFR
BFR FR
Université MOHAMMED V
Trésorerie
positive
Fond de roulement =
(Capitaux propres + Emprunt LMT) – Immobilisation
Il résulte des décalages entre les décaissements et encaissements des flux liés
à l'activité de l'entreprise.
Tableau de flux :
Université MOHAMMED V
(C) Fond de roulement = (A) - (B) (F) Besoin en Fond de roulement = (D) - (E)
- Soit agir le BFR : augmenter les délais fournisseurs, diminuer les stocks et
raccourcir délais clients.
- Soit agir le FR (dans le cas ou le 1er choix s’avère difficile)
Les crédits de trésorerie font dans tous les cas l’objet d’une négociation
avec le banquier. Celui-ci, après avoir fait un diagnostic financier et jugé,
à partir du plan de trésorerie, des besoins de financement à court terme.
Solution : Dans tous les cas, il faut reconstituer les fonds propres par une
augmentation de capital.
5- La baisse de l’activité :
= Variation de trésorerie
Il s’agit de tous les flux de trésorerie autres que ceux qui relèvent des
opérations d’investissement et de financement.
La partie du tableau de l’OEC concernant les flux de trésorerie liés aux opérations
d’investissement se présente comme suit :
Le flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement fournit une
mesure des sommes affectées au renouvellement de l’activité en vue de
préserver ou d’accroître le niveau des flux futurs de trésorerie.
La partie du tableau de l’OEC concernant les flux de trésorerie liés aux opérations
de financement se présente comme suit :
Les flux de trésorerie lié aux opérations de financement fournissent une
information sur le financement externe que l’entreprise a contracté pour faire
face à ses besoins en cas d’insuffisance.
La trésorerie
Université MOHAMMED V
a) Solvabilité et liquidité
b) Etude du comportement financier de l’entreprise :
L’analyse des opérations de financement donne des indications sur le choix de
financement : l’entreprise a-t-elle recours au capitaux propres ou à
l’endettement.
Si A-B supérieur à 0
La trésorerie dégagée par l’exploitation est supérieur au montant total des
investissements. L’entreprise dispose de liquidités suffisantes pour rembourser
ses dettes ; sur le plan de la solvabilité et de la liquidité la situation de
l’entreprise est satisfaisante. Mais on peut se demander si l’effort
d’investissement est suffisant pour assurer une croissance durable ?
Si A-B = 0
L’entreprise autofinance ses investissements. Deux problèmes se posent :
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Si A-B inférieur à 0
La trésorerie d’exploitation est insuffisante pour financer les investissements ;
l’entreprise doit recourir soit à l’endettement soit à une augmentation du capital.
La situation de l’entreprise est peu favorable : l’entreprise est vulnérable si elle
n’est pas capable de trouver de nouveaux moyens de financement.
CONCLUSION
La trésorerie, son solde et ses variations, paraissent être des indicateurs tout
aussi pertinents au prolongement de la réflexion sur la situation structurelle de
l'établissement et sur sa sécurité financière par une étude prévisionnelle
La trésorerie donne d'une manière générale l'ampleur de la situation financière
de l'établissement (bonne santé, vulnérabilité, défaillance). C'est un indicateur, à
la fois, à court terme, de la solvabilité de l'établissement et, à long terme, de ses
besoins de financement.
C'est un instrument d'analyse prévisionnelle : elle permet d'évaluer les
perspectives d'encaissements qui sont liées à la capacité de l'établissement à
produire une trésorerie suffisante pour faire face à ses besoins.
Des documents, les tableaux de flux de trésorerie, prévus dans les annexes des
comptes financiers, explicitent la formation de la trésorerie durant l'exercice et
réalisent la synthèse entre le compte de résultat et le tableau de financement.
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