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Cours de Chimie Générale

Atomistique
Professeur : Mohsine Driowya

Année Universitaire: 2021-2022


Chapitre 1 : Principaux constituants
de la matière
I- Principaux constituants de l’atome
L’atome est le constituant fondamental de la matière. Il est constitué de
différentes particules élémentaires , dont trois principales : l’électron, le
proton et le neutron.
Les protons et les neutrons, appelés nucléons, forment le noyau de l’atome,
chargé positivement, autour duquel gravitent les électrons chargé
négativement.
Electrons

Noyau = Protons + Neutrons

Remarque : Les protons sont chargés positivement, tandis que les neutrons
sont électriquement neutres, ce qui donne la charge positive au noyau.
II- Représentation symbolique de l’atome
Par convention, un atome d’un élément X est représenté par le symbole :

X est l’élément considéré


Z est le numéro atomique = nombre de protons = nombre de charge
A = Nombre de masse = nombre de nucléons. De ce fait on écrit : A = Z + N
avec N le nombre de neutrons

Remarques :
- L’atome se symbolise aussi par : ou
- Le nombre Z représente aussi le nombre d’électrons pour l’atome (≠ion)

- Les protons portent une charge positive +Ze, tandis que les électrons portent une
charge négatives –Ze (e = 1,6.10-19C : charge unitaire).
III- Notion d’isotopie
Lorsque deux noyaux présentent le même nombre de protons , ils sont isotopes.

Lorsqu’ils présentent le même nombre de nucléons, ils sont isobares

Lorsqu’ils ont même nombre de neutrons, ils sont isotones.

Notons, enfin, que lorsque deux atomes présentent le même nombre d’électrons, ils
sont isoélectroniques.

Remarque : Deux atomes isotopes sont forcément isoélectroniques; puisque leur


nombre de protons et aussi leur nombre d’électrons.

Parmi ces éléments, indiquer ceux qui sont isotopes, isotones, isobares et isoélectroniques.
• Les isotopes se caractérisent par :

- Des propriétés chimiques identiques

- Des propriétés physiques différentes

- Une stabilité différente qui confère à certains isotopes un caractère

radioactif
IV- La mole et le nombre d’Avogadro
La mole est définit comme étant le nombre d’atomes contenant dans 12 g de carbone
12. En pratique ce nombre est appelé nombre d'Avogadro qui vaut N A = 6,022.1023.

Ainsi la quantité de matière vaut : n (en mol) = N/N A avec : N : nombre des atomes
ou molécules.

Un tel nombre N A correspond donc à une mole d’atomes (N A atomes) ou de


molécules (N A molécules).
V- La masse molaire moyenne d’un atome
La masse molaire d’un élément chimique possédant plusieurs isotopes est la moyenne
pondérée de la masse molaire de ses différents isotopes.

Mi: Masse molaire de l’isotope i.


ai : Coefficient de pondération = Abondance relative au % de l’isotope.
Remarque : Ʃai = 100
VI- La masse atomique
Normalement la masse d'un atome devrait pouvoir se calculer simplement en faisant
la somme des masses de ces divers constituants.

matome = Z mproton + N mneutron + Z mélectron


ma = Z mp + N mn + Z me
La masse des électrons est très faible par rapport à celles des neutrons et des protons,
nous pourrons donc la négliger.
Si on considère mp ≈ mn on déduit : ma = mp (Z + N) on obtient :

ma = A mp
VII- Unité de masse atomique (u.m.a)
L’u.m.a est définie comme la douzième de la masse d’un atome de carbone 12.
VIII- Défaut de masse et énergie de liaison d’un noyau
Les noyaux des atomes qui existent dans la nature sont en général stables, mais
certains d’entre eux se transforment spontanément en émettent un rayonnement. Ce
dernier est accompagnée d’une perte de masse du noyau et par conséquent une
libération de l’énergie.

VIII-1 Défaut de masse

On appelle défaut de masse d’un noyau la différence entre la masse totale des A
nucléons séparés (Z protons et N neutrons) au repos et la masse du noyau formé au
repos.
On a toujours :

d‘où le défaut de masse s’écrit :


VIII-2 Énergie de liaison d’un noyau

Le défaut de masse ∆m correspond à une libération d’énergie ∆E absorbée par les


nucléons eux-mêmes, dite énergie de liaison, lors de la réaction de formation d’un
noyau stable :

L’énergie de liaison du noyau s’écrit :


∆E = ∆m c2
avec c : célérité de la lumière dans le vide ; c = 3.108 m/s.

L’énergie de liaison par nucléon peut être déduite comme suit : ξ = ∆E / A

Remarque :
Les énergies ∆E ou ξ (ksi) peuvent être exprimées en MeV (1 MeV = 1,6. 10-13 J)
VIII-3 Stabilité d’un noyau

Un noyau est d'autant plus stable que son énergie moyenne par nucléon ξ est grande.
La courbe d'Aston représente le graphe -ξ = f(A) . Les noyaux les plus stables sont
au bas du graphe.
Chapitre 2 : Structure électronique
de l’atome
I- Modèle Atomique : Modèle des Orbitales Atomiques (O.A)

I.1) Nombres quantiques : Carte d'identité des électrons d'un atome

On définit l’état d’un électron (son énergie, ses mouvements, la


forme de son orbitale) dans un atome par 4 paramètres : les
nombres quantiques n, l, ml et ms.
Nombre quantique n :

C’est le nombre quantique principal. Il peut correspondre à


l’ensemble des entiers naturels. Il quantifie l’énergie de l’électron et
définit la couche électronique ou orbite circulaire sur laquelle gravite
l’électron. On note K la couche la plus proche du noyau (n = 1) et les
suivantes L (n = 2), M (n=3), …
Nombre quantique l :

Le nombre quantique secondaire (ou azimutal) caractérise la forme


de l’orbitale et définit une sous-couche électronique ou un sous-
niveau électronique.
0  l  n 1
On note :
s : la sous-couche correspondante à l = 0 ;
p : la sous-couche correspondante à l = 1 ;
d : la sous-couche correspondante à l = 2 ;
f : la sous-couche correspondante à l = 3.
Nombre quantique ml :

C’est le nombre quantique magnétique. Il quantifie l’orientation de


l’orbitale par rapport à la direction du champ magnétique tel que :

 l  ml  l
Exemple : Pour l = 2, on a : ml = -2; -1; 0; 1; 2.
Ce qui correspond à 5 orientations, et donc à 5 orbitales de même
énergie, ou encore à 5 cases quantiques.
Nombre quantique ms (ou s ) :

C’est le nombre quantique (magnétique) de spin (ms = ± 1/2) et


correspond à la rotation de l’électron sur lui-même. On peut alors
décrire deux orientations : ms = + 1/2 (↑) et ms = - 1/2 (↓).
Contrairement à l et à m les valeurs de s ne dépendent pas des
autres nombres quantiques.
Exercice :
a) Donner les valeurs de l quand n = 5
b) Donner les valeurs de m quand l = 4
c) Donner toutes les valeurs possibles de l et de m quand n = 4

Solution
a) les valeurs de l quand n = 5 alors l = {0, 1, 2, 3, 4}
b) les valeurs de m quand l = 4 alors m= {-4, -3, -2, -1, 0, +1, +2, +3, +4}
c) les valeurs possibles de l et de m quand n = 4
Alors l = {0, 1, 2, 3}
Pour les valeurs de m : si l = 0 alors m = 0
si l = 1 alors m = {-1, 0, +1}
si l = 2 alors m = {-2, -1, 0, +1, +2}
si l = 3 alors m = {-3, -2, -1, 0, +1, +2, +3}

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I.2) Description des orbitales atomiques :

Orbitales atomique s :

Pour l = 0 correspond un orbital type s de forme sphérique. Il y a


des orbitales 1s, 2s, 3s, ..., correspondant à n = 1, 2, 3, ..., on les
représente par des sphères centrées sur le noyau :

L’orbitale « s » est schématisé par une case quantique :


Orbitales atomique p :

Pour l = 1 correspondent trois orbitales type p : px, py et pz (car ml =


-1, 0, +1). Elles sont constituées de deux lobes symétriques par
rapport au noyau et dirigées le long des trois axes ox, oy et oz du
trièdre de référence. Il existe des orbitales 2p, 3p, ... pour n = 2, 3, ...

On schématise les orbitales « p » par 3 cases quantiques accolées :


Orbitales type d :

Pour l = 2 correspondent 5 orbitales de type d : dz2, dx2-y2 , dyz, dxz et


dxy (car ml = -2,-1, 0,+1,+2) :

On schématise les orbitales d par 5 cases quantiques :


Orbitales type f :

Pour l = 3 correspondent 7 orbitales de type f (car ml = -3, -2, -1, 0,


+1, +2, +3) :

On schématise les orbitales f par 7 cases quantiques :


I.3) Configuration électronique

I.3.2 Configuration électronique

La configuration électronique d'un atome dans son état


fondamental est la répartition de Z électrons dans les orbitales
atomiques ns, np, nd et nf. Le remplissage des orbitales atomiques
respecte les quatre règles suivantes :
Principe de stabilité :

Les électrons d’un atome à l’état fondamental occupent les niveaux


de plus basse énergie, ce qui confère à l’atome une énergie totale
minimale.
Régle de Pauli (Principe d’exclusion) :

Dans un atome, deux électrons ne peuvent pas avoir leurs quatre


nombres quantiques identiques :

• Si deux électrons d'un atome occupent la même orbitale (même


valeurs de n, l, m), ils diffèrent forcement par le nombre quantique de
spin (l'un de spin +1/2 et l'autre de spin -1/2).
• Pour une couche « n », le nombre de cases est n2 et le nombre
d'électrons est 2 n2.
• Une case quantique ne peut contenir au maximum que 2 électrons de
spins opposés.
• Les électrons occupent les niveaux d'énergie les plus bas dans la limite
des places disponibles.
Régle de Hund :

A l'état fondamental, quand les électrons se placent dans une sous-


couche multiple (np, nd, nf), ils occupent le maximum d'orbitales de
même énergie avec des électrons célibataires qui ont des spins
parallèles (même valeur de ms).

Exemple : remplissage des orbitales p par trois électrons


Exemple : À l'aide des cases quantiques, donner la configuration
électronique du carbone. C (6 électrons)
Régle de Klechkovski :

• L'ordre de remplissage des couches et sous-couches s’effectue par


valeurs croissantes des énergies correspondent aux valeurs
croissantes du couple (n + l).
• Si deux ou plusieurs sous-couches conduisent à la même valeur de
(n + l), ils seront classés par ordre de n croissant.
- l'ordre de remplissage se fait selon n + l croissant.
Exemple: n + l
3p 3 + 1 = 4
3d 3 + 2 = 5
L'orbitale 4s est remplie avant 3d.
- lorsque la somme de n et l est la même pour 2 ou plusieurs
orbitales, on respecte l'ordre des n croissants.
Exemple: n +l
3p 3 + 1 = 4
4s 4 + 0 = 4
L'orbitale 3p est remplie avant 4s.
Représentation de la régle de Klechkovski

On écrit les diverses couches et sous-couches dans un tableau.


Chaque ligne a une valeur de n et chaque colonne a une valeur l.
Le remplissage se fait selon les diagonales.

Le remplissage de Z électrons dans les sous-couches (configuration


électronique) sera dans l’ordre suivant :
1s22s22p63s23p64s23d104p65s24d105p66s24f145d106p67s2….
Les règles qui viennent d'être énoncées expliquent d'une façon
satisfaisante la configuration électronique des éléments. Mais
“bien entendu”, il y a des exceptions.

Certains éléments, comme le chrome (Z= 24), ne suivent pas


ces règles. Au lieu d'avoir une configuration électronique

1s2.....3p6 4s2 3d4, il adopte la configuration 1s2......3p6 4s1 3d5.


I.3.2 Couche de valence et couches de cœur

Les réactions chimiques se font par interactions entre les nuages


électroniques de deux atomes différents, ces interactions se
produisent entre les couches les plus externes occupées par des
électrons de ceux-ci.

1- La couche la plus externe de l’atome fixe les propriétés chimiques,


pour cette raison cette couche est la plus importante et est appelée
la couche de valence (ou externe ou périphérique) de l’atome. Les
autres couches plus internes sont appelées des couches de cœur et
n’ont généralement pas besoin d’être détaillées.
2- Les gaz rares (ou nobles ou inertes) sont chimiquement stables et
ils présentent des orbitales atomiques totalement remplies : Hélium :
He (Z = 2), Néon : Ne (Z = 10), Argon : Ar (Z = 18), Krypton : Kr (Z =
36), Xénon : Xe (Z = 54), Radon Rn (Z = 86)

3- Pour décrire rapidement la configuration électronique d’un atome


quelconque, sans avoir à écrire toutes couches et sous-couches
internes, on la présente sous la forme condensée suivante :

[Configuration du gaz rare] + couche de valence


4- La couche de valence est normalement la couche la plus
externe occupée par des électrons; couche dont n le plus élevé.
Néanmoins si une sous-couche interne n’est pas totalement
remplie, on considéra cette sous-couche comme faisant partie de
la couche de valence.
5- Le schéma de Lewis atomique consiste à figurer les électrons
de valence, par des points pour les électrons célibataires et par
les tirets pour les doublets d’électrons appariés.

Pour l’exemple précédent, on a : 33As : [Ar] 3d104s24p3

Les 5 électrons de valence s’appellent les électrons de valence et


les autres 28 électrons constituent les électrons de cœur.
Alors la couche de valence contient un doublet électronique et
trois électrons célibataires, d’où le schéma de Lewis suivante :
Exemple : L’arsenicc (33As)

* La configuration électronique s’écrit : 1s22s22p63s23p63d104s24p3

* On a Z = 33 et le gaz rare le plus proche est 18Ar donc Z = 18 + 15


alors la configuration électronique peut s’écrit : [Ar] 4s2 3d10 4p3 d‘où
la forme condensée de la configuration électronique : [Ar] 3d104s24p3

* La couche de valence correspond à la couche dont le n est plus élevé


donc cette couche sera écrite comme suit : 4s24p3

NB : La 3d10 est une sous-couche interne totalement remplie, donc elle


n’appartient pas au couche de valence.

* On représente simplement la couche de valence sous forme des


cases quantiques :
Chapitre 3 : Classification périodique et

propriétés des éléments


I. Description du tableau périodique de MENDELEÏEV

Le tableau périodique est une conséquence des configurations


électroniques. La classification périodique est basée sur la formation
de groupes constitués par les éléments (de numéro atomique Z)
possédant des propriétés analogues :

• Les éléments d'une même ligne horizontale du tableau périodique


constituent une période. Il y a 7 périodes.
• Les éléments d'une même colonne ayant la même configuration
électronique de la couche externe constituent un groupe. Il y a 18
groupes (ou familles).
• Le tableau périodique est constitué de 4 blocs : s, p, d et f.
Remarque :
La couche de valence de quelques éléments de tableau périodique
présentent des exceptions à la règle de Klechkovsky :
• Colonne 6 (Cr, Mo, W) : la couche de valence sera 3d54s1 au lieu de
3d44s2 (d5 sous-couche à moitié remplie confère une grande stabilité
aux ces atomes).
• Colonne 11 (Cu, Ag, Au) : la couche de valence sera 3d104s1 au lieu de
3d94s2 (d10 sous-couche totalement remplie confère une grande
stabilité aux ces atomes).
• Bloc f : dans le cas des électrons de valence de type f, le niveau d reçoit
d’abord un électron avant que le niveau f ne commence à se remplir.
Par exemple : pour U (Z=92), la configuration électronique sera
[Rn]5f36d17s2 au lieu de [Rn]5f47s2.
II. Les principales familles du tableau périodique
Famille Groupe Structure de Quelques propriétés
valence
Métaux alcalins IA ns1 Caractère réducteur, état
d’oxydation +1
Métaux alcalino- IIA ns2 Caractère réducteur, état
d’oxydation +2
terreux
Carbonides IVA ns2np2 - C, Si, Ge : métalloïdes
- Sn et Pb : métaux pauvres
Azotides VA ns2np3 Forment des composés covalents
types AB3
Chalcogènes VIA ns2np4 Caractère oxydant et électronégatif

Halogènes VIIA ns2np5 Caractère oxydant et électronégatif

Gaz rares VIIIA ou 0 ns2np6 Stables dans la nature et état


d’oxydation 0
Eléments de de IB à VIIIB ns2(n-1)dx Caractère métallique et état
d’oxydation positif (1 à 7)
transition avec 1≤x≤10
Terres rares Bloc f : ns2(n-2)fy(n-1)d1 Elles s’associent à des molécules
organiques (ligands) pour former
4f (lanthanides) avec 1≤x≤14 des complexes ressentant des
5f (actinides) structures, des réactivités et des
propriétés physiques remarquables
III. Evolution des propriétés des éléments
La réactivité d’un atome dépend de :
- sa taille c’est-à-dire son rayon atomique,
- sa structure électronique de la couche périphérique.

L’atome a toujours tendance à atteindre la configuration du gaz rare


le plus proche en fixant ou en perdant des électrons.
III.1) Rayon atomique (ra)
Le rayon atomique d'un élément chimique est une mesure de la taille de
ses atomes, d'habitude la distance moyenne entre le noyau et la frontière
du nuage électronique qui l'entoure.

 Sur une période : si Z augmente alors ra diminue ;


 Sur une colonne : si Z augmente alors ra augmente.
III.2) Rayon ionique (ri)

D'une manière générale :

 Les cations sont plus petits que leurs atomes parents : ri (cation) < ra ;
 Les anions sont plus gros que leurs atomes parents : ri (anion) > ra ;
 Pour les ions ayant la même configuration électronique (S2-, Cl-, K+,
Ca2+, Ti4+,…) : si Z augmente alors ri diminue ;
III.3) Potentiel ou énergie d’ionisation (EI)

C'est l'énergie minimale qu'il faut fournir à un atome (ou à un ion) à


l'état fondamental et à l'état gazeux pour arracher un électron.

 Sur une même période : si Z augmente alors EI augmente.


 Sur un même colonne : si Z augmente alors EI diminue.
III.4) Affinité électronique (AE)

C'est le phénomène inverse de l'ionisation. L'affinité électronique


d'un atome X est l'énergie dégagée lorsque cet atome capte un
électron.
III.5) Electronégativité (χ)

C'est le pouvoir d'attirer un électron par un élément. Un élément qui


perd facilement un ou plusieurs électrons est dit électropositif.
L'électronégativité χ d'un élément peut être définit selon plusieurs
échelles : Echelle de Mulliken, Echelle de Pauling, ….

 Sur une même période : si Z augmente alors χ augmente ;


 Sur un même groupe : si Z augmente alors χ diminue.
III.6) Propriétés magnétiques

 Diamagnétisme : Les atomes ne possédant pas d'électrons


célibataires sont dit diamagnétiques.

 Paramagnétisme : Les atomes possédant des électrons


célibataires sont dit paramagnétiques.
Configuration et magnétisme

Tous les électrons sont appariés : pas d’é célibataire


Moment magnétique résultant μ = 0

 Insensible au champ magnétique


 Composé diamagnétique

Tous les électrons ne sont pas appariés : é célibataire

Moment magnétique résultant μ ≠ 0

 Sensible au champ magnétique


 Composé paramagnétique (la plupart des métaux, O2)

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