1. la nouvelle configuration du Conseil supérieur de la magistrature
(CSM),
2. le nouveau code électoral adopté en avril 2015 qui a introduit de
nombreuses innovations dans le processus électoral, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le Tribunal Administratif, le Conseil d’Etat et Conseil Constitutionnel, l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de la lutte contre la corruption (ASCE-LC), l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP),
3. une société civile dynamique qui prône de plus en plus la bonne
gouvernance dans la gestion des affaires publiques,
4. la loi portant prévention et répression de la corruption au Burkina
Faso;
5. et la loi portant fixation de quotas de 30 % au profit de l’un et de
l’autre sexe aux élections législatives et municipales au Burkina Faso,
6. la promotion du dialogue social, la culture de la paix et la
réconciliation nationale;
7. l’adoption du Plan stratégique décennal de modernisation de
l'administration (PSDMA 2011-2020),
8. l’adoption du Programme de modernisation de l’administration
publique (PMAP) 2017-2019,
9. le recensement biométrique des agents de la fonction publique et
l'opération de numérisation des dossiers individuels des agents publics,
10.l’institution des sites web des départements ministériels, (l’existence
d’une administration déconcentrée et fonctionnelle dans la plupart des circonscriptions administratives du territoire national
11.l’institution de la conférence des gestionnaires des ressources
humaines (CGRH) et des comités de Directions des ressources humaines (DRH), 12. le développement de certains outils de gestion des ressources humaines tels que les manuels de procédure, les tableaux prévisionnels des emplois et des effectifs, l’adoption d’un dispositif disciplinaire pour statuer sur les manquements des agents dans l’exercice de leur fonction et.
13. l’existence d’une vision à long terme (ENP Burkina 2025),
14.d’un référentiel à moyen terme (la SCADD et actuellement l’adoption
du PNDES) et de politiques transversales et sectorielles,
15. la création de la Commission Nationale de Planification du
Développement,
16.l’adoption de la loi sur le partenariat public privé et d’une stratégie de
mobilisation des partenaires privés comme choix stratégique pour améliorer la mobilisation des recettes,
17.l’adoption de reformes dans le domaine des marchés publics;
18.l’adoption de la loi portant prévention et répression de la corruption au
Burkina Faso, de la loi portant code de transparence dans la gestion des finances publiques au Burkina Faso et d’une politique nationale de lutte contre la corruption et de son plan d’actions et (ix) la création et la mise en place de nombreuses institutions et structures de contrôle, de surveillance et d’accompagnement du secteur privé et l’organisation régulière de la rencontre Gouvernement secteur privé;
19. la constitutionnalisation de la décentralisation comme outil
d’orientation stratégique de la gouvernance locale ;
20. l’adoption d’un ensemble de lois et de résolution portant sur la
fonction publique territoriale, les finances, l’accès aux services sociaux, la communalisation intégrale,
21. la déconcentration des services fiscaux et financiers de l’Etat,
22.la création et l’affirmation du Fonds Permanent pour le
Développement des Collectivités Territoriales (FPDCT),
23. la contribution financière de la coopération décentralisée,
24. l’élaboration et la mise en œuvre des plans locaux de développement.