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TOUT N’EST PAS SYMBOLE !

Jean-Luc Maxence

Grand Orient de France | « La chaîne d'union »

2010/4 N° 54 | pages 44 à 50
ISSN 0292-8000
DOI 10.3917/cdu.054.0044
Article disponible en ligne à l'adresse :
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https://www.cairn.info/revue-la-chaine-d-union-2010-4-page-44.htm
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Illustration
Jean-Pie Robillot

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DOSSIER
UNIVERSALITÉ DE LA RECHERCHE SYMBOLIQUE

Tout n’est pas symbole !


par Jean-Luc Maxence

PP renons garde, nous si prompts à voir du symbolisme partout : si la


place du symbole caractérise bien nos pratiques rituelles, nos symboles doivent
demeurer vivants, en métamorphose constante. Alors, mais alors seulement, sa
fonction transcendante débouchera sur un enrichissement intérieur, grâce à sa
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part d’inconnu et d’invisible.
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Qu’il trouve refuge ou caisse de résonance dans une loge discrète
ou à l’extérieur, le symbole (du grec symballen, « assembler ») est un langage
qui nous parle souvent de totalité, d’ensemble, de globalité, davantage qu’on
ne le perçoit d’emblée. Il offre un surcroît de sens, un prolongement, une
richesse en plus. Il provoque l’imagination active. Il exprime des contenus
conscients et inconscients, il est, écrivait Carl Gustav Jung dans Réponse à
Job, « l’expression la meilleure possible pour quelque chose d’inconnaissable,
ou qui n’est pas encore connaissable ».
Pratiquant, en ce qui me concerne, le Rite Ecossais Ancien et
Accepté, en loge bleue notamment, depuis bientôt une quinzaine d’années,
et achevant un parcours professionnel de psychanalyste d’inspiration
jungienne vécu en partie à la direction de l’ancien Centre Didro (institution
de prévention et de soins des addictions chez les jeunes, reconnue d’utilité
publique), c’est à partir d’une double réflexion sur le chemin initiatique et la
démarche psychanalytique que je m’exprime ici. Et en étayant ma réflexion
sur mes deux plus récents ouvrages1.
Comme l’écrivait avec précision notre frère Emile Littré dans
son Dictionnaire de la langue française, on nommait « symbole » chez les

1. Jean-Luc Maxence, Jung est l’avenir de la franc-maçonnerie, Dervy, 2005, et La loge et le divan, Dervy, 2008

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Grecs les paroles, les signes auxquels les initiés aux mystères de Cérès, de
Cybèle, de Mithra se reconnaissaient. Chez nous francs-maçons, de quelque
obédience que nous venions, la symbolisation, c’est-à-dire l’action même de
symboliser, de représenter le monde par des symboles, est devenue comme
un réflexe, une seconde nature.

Que se passe-t-il quand j’entre en loge ?

Quand j’entre dans une loge, je reconnais, devant moi, à l’Orient,


le soleil, la lune, le delta lumineux. Tout me parle, souvent à mon insu. Au
moment de l’ouverture des travaux, j’ai conscience que la loge se transforme
en espace sacré, en temple. C’est l’athanor privilégié, ce qui va privilégier le
dialogue problématique entre le ciel et la terre, qui va devenir hiérophanie,
exclusivement pendant la durée des travaux rituels, ce qui, comme le
souligne justement Irène Mainguy dans son incontournable La symbolique
maçonnique du troisième millénaire2 le différencie d’une église.
En effet, la cathédrale de Chartres, par exemple, demeure
et demeurera toujours un lieu sacré tant qu’elle n’est pas profanée ou
abandonnée. Et l’on songe alors à René Guénon qui considérait que la loge
était temple en tant que reflet du monde divin, et qu’elle était par là même
l’endroit de manifestation de la présence réelle de la Divinité. Que l’on croit
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cela ou non, que l’on se reconnaisse en celui qui croit au ciel ou en celui qui
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n’y croit pas, comme écrivait Louis Aragon, il est évident que la loge désigne
aussi bien l’espace délimité où nos frères ou sœurs se rassemblent pour
« travailler » que l’assemblée qui entre en tenue, comme on dit.
Une évidence s’impose alors : quand je franchis la porte de la loge,
symboliquement pour demander un surcroît de lumière, quand je détaille en
veilleur les ornements de ses murs, quand je murmure « soleil », « lune »,
«  delta lumineux  », quand je lâche prise et me laisse en quelque sorte
posséder par ce que je vois et ce à quoi je donne un nom, immédiatement des
suppléments de sens se bousculent en moi. Ma pensée se fait symbolique,
justement ! Et la voilà qui procède par images et analogies.

Prenons le soleil à pleines mains !

Prenons le soleil ! Au-delà même du nom courant qu’il a et qui me


permet de le nommer « astre du jour » sans autre forme de procès, le soleil
représente toujours pour moi autre chose en vertu de mon appétit naturel
pour les correspondances analogiques. Le soleil prend ce que L. Brunschvicg
appelle « un pouvoir interne de représentation ».
Le symbole Soleil me fait immédiatement songer à l’ouvrage de

2. Irène Mainguy, La symbolique maçonnique du troisième millénaire, Dervy, 2001

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Gilbert Durand L’imagination symbolique3, et à l’affirmation de René Alleau4
développant en substance l’idée que toute pensée symbolique se situe « à
mi-chemin entre le jour et la nuit ». Le soleil, signe concret, évoque, par un
rapport naturel, quelque chose de pourtant absent. Et j’appréhende aussitôt
l’ensemble du symbolisme solaire, pêle-mêle, dans un certain désordre
débridé – si j’ose dire.
Les travaux s’ouvrent à midi, quand le soleil règne au zénith, et se
ferment à minuit quand il est au nord. Le soleil se retrouve toujours en liaison
d’opposition avec la lune, et le sens de la marche, officiers ou non, s’effectue
en étroite liaison avec le symbolisme solaire. Et si le Vénérable se positionne
à l’Orient, c’est « parce que le soleil apparaît à l’Orient pour ouvrir la carrière
du jour », et si les apprentis se tiennent au septentrion, c’est parce que c’est
la région la moins éclairée (par le même soleil, évidemment !). Et ainsi de
suite, à en réveiller le sage Gaston Bachelard, à l’en faire revenir de l’Orient
éternel, lui qui soulignait que le soleil levant est toujours analogiquement du
côté de l’ascension du divin, de l’éclairage vers le sacré.
La franc-maçonnerie se révèle in praxis une incessante école
d’utilisation des symboles en général et des siens en particulier. Elle met
en avant une méthode fondée sur des signes codifiés ayant une signification
morale et spirituelle. Le symbole se fait langage à part entière, et ce langage
permet d’exprimer l’inexprimable, ou, mieux, d’en approcher. De ce point
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de vue, la définition du symbole dans le champ psychanalytique fait bien
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pressentir en quoi et comment le propre de sa fonction première est bien
d’ouvrir le compas d’interprétations dont il est capital, pour l’initié, de
trouver la bonne.
Ainsi Jean Laplanche et Jean-Baptiste Pontalis définissent-ils, dans
leur Vocabulaire de la psychanalyse5, le symbolisme au sens large comme
« mode de représentation indirecte et figurée d’une idée, d’un conflit, d’un
désir inconscients ». Selon cette optique, on peut, en psychanalyse comme
en Maçonnerie, « tenir pour symbolique toute formation substitutive ».

Le symbole Soleil transforme un phénomène


visible en idée, et l’idée en image

Au Rite Emulation, il est dit  : «  La franc-maçonnerie se définit


comme un système particulier de morale, voilée par l’allégorie et illustrée par
des symboles ». En d’autres termes, le symbole Soleil (situé le plus souvent
à gauche du Vénérable Maître en chaire) transforme un phénomène visible
en une idée, et l’idée en image. Puis, par une sorte de reflet et de logique
analogique, ladite image devient idée dans l’initié lui-même, pourrait-on dire.
3. Gilbert Durand, L’imagination symbolique, P.U.F, 1964
4. René Alleau, La science des symboles. Contribution à l’étude des principes et des méthodes de la symbolique,
Payot, 1976
5. Jean Laplanche et J.-B. Pontalis, Vocabulaire de la psychanalyse, P.U.F, 1967

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Ainsi, quand je prends le soleil en loge, non point pour faire
brunir ma peau comme, sur la plage, des touristes conventionnels, mais
«  maçonniquement  » parlant, je m’approche de la source même de cette
lumière que je ne cesse de chercher, je me vivifie à ses rayons et à sa chaleur,
je touche le centre de mon être spirituel, son zénith, je flirte avec l’œil du
monde, ou son cœur, j’intègre en esprit le symbole impérial et universel du
Roi, Soleil bien entendu, je transforme ma loge mère en Héliopolis, centre
spirituel primordial, je joue les Apollon, dieu solaire s’il en est un, je n’oublie
pas davantage que le soleil est l’emblème de Vishnu, celui du Bouddha
(précisent certains textes chinois), et je n’oublie pas davantage le Christ,
dont les douze apôtres sont les douze rayons…
Analogiquement, la roue solaire n’en finit guère de tourner dans
mon esprit et le cycle solaire de symboliser l’alternance initiatique vie-mort-
renaissance, foi d’Hiram ! Cependant, le symbole du Soleil et ses influences
réconfortantes sur ma propre psyché d’éternel apprenti ne doivent jamais
me faire oublier que le Soleil est aussi cannibale, destructeur jusqu’à la
sécheresse du sol et du cœur, et qu’il s’agit de ne point occulter le symbole
mystérieux du « soleil noir ».

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C’est alors la source de lumière qui engendre de l’Ombre
menaçante. Ainsi, les Aztèques croyaient que le soleil, éteint durant le temps
de la nuit, était en passe de mourir et qu’il fallait du rituel pour le convaincre
de resurgir à l’aurore … Dans ce sens, certains alchimistes pensaient que
le sol niger, le soleil noir, équivalait à la materia prima, magma premier,
matière énigmatique où se trouvaient prisonnières les dernières étincelles de
l’Esprit.
Au surplus, le symbole Soleil et sa dualité avec le symbole Lune
qui le reflète (animus/anima, actif-passif, mâle-femelle, feu-eau) n’est pas
toujours d’une logique symétrique et complexifie toujours la correspondance,
surtout quand on se rappelle avec Jean Chevalier6 ou Michel Cazenave7 que

6. Jean Chevalier, Alain Gheerbrant, Dictionnaire des symboles, Robert Laffont, 1969
7. Michel Cazenave, Encyclopédie des symboles, Le Livre de poche, 1996

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cette opposition n’est nullement une règle absolue. Ainsi, dans la langue
allemande, le soleil est féminin et la lune masculine !
Dès lors, il faut se retenir d’affirmer «  Tout est symbole  » pour
se croire autorisé à donner une explication impérialiste du monde où nous
vivons. Défions-nous des mots qui cachent des idées absentes ! Quand on
prétend chercher le sens profond du Soleil de la loge considéré comme source
de vie, sans doute est-il indispensable de ne jamais oublier la définition
du symbolique proposé par Jacques Lacan. Ce dernier – on s’en souvient –
distingue, dans le champ de la psychanalyse, trois registres essentiels : le
Réel, le Symbolique et l’Imaginaire. A le suivre, on est vite convaincu que
tout n’est pas QUE symbole, tant s’en faut !

Le symbolique maçonnique est-il religieux ?

Quoi qu’il en soit, on ne peut appréhender l’histoire des religions


du monde, avec ses rites et ses dogmes (et le regretté Bruno Etienne8
avait peut-être raison de considérer que la franc-maçonnerie était « pour le
moins dans le champ religieux et qu’elle était peut-être même LA religion
abrahamique par essence  »), pour tenter de les comparer, sans prendre
l’adjectif «  symbolique  » comme qualifiant quelque chose n’ayant pas sa
valeur par soi-même, mais comme rappel d’autre chose. Quelque chose
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d’autre de « numineux », au sens de Rudolf Otto et de C. G. Jung, encore.
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Ainsi, la symbolique en général ouvre ses portes infiniment sculptées vers
l’universel.
«Dis-moi quels sont les symboles privilégiés de ta façon de
penser, et je te dirai qui tu es véritablement» devient alors une interrogation
pertinente, un Sésame majeur. Les psychanalystes freudiens considèrent le
symbolisme comme «mode de représentation qui se distingue principalement
par la constance du rapport entre le symbole et le symbolisé inconscient».
La fameuse pensée symbolique se retrouve comme fonctionnement, non
seulement chez le même individu mais aussi d’un individu à l’autre, en
effet. Quant à l’interprétation des rêves, chère à Freud comme à Jung, c’est
à partir du déchiffrage du symbolique qu’elle devient peut-être pertinente,
au-delà des méthodologies employées et de leurs différences.
Au fond, la question primordiale qui demeure est peut-être de se
demander comment certains symboles à portée universelle ont été comme peu
à peu sculptés et déchiffrés et définis par l’humanité. Et, de façon corollaire,
comment l’individu, maçon ou non, se les est-il graduellement appropriés.
Dès lors, la notion même d’inconscient collectif, concept « jungien » s’il en
est, s’élargit. L’imagination active et créatrice est mise en branle au sein de
nos loges bleues ou de perfection.
Et, comme l’écrit le psychanalyste Aimé Agnel, c’est grâce à

8. Bruno Etienne, Une voie pour l’Occident. La Franc-maçonnerie à venir, Dervy, 2000

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cette imagination créatrice, personnelle et singulière, que les «  images
primordiales  » deviennent visibles. Selon C. G. Jung, en effet, «  toute
œuvre humaine a sa source dans l’imagination créatrice  » (in La guérison
psychologique, Georg, 1987) et la force qu’elle met en marche, la dynamique
combine « des forces vivantes, aussi bien physiques que psychiques » (in
Psychologie et Alchimie, Buchet/Chastel, 1970).
Toutefois, prenons garde, surtout nous autres maçons, trop prompts
par facilité intellectuelle à voir du symbolisme aux multiples interprétations
partout : si la place du symbole et de la fonction symbolique caractérise bel
et bien nos différentes pratiques rituelles, comme elle marque la clinique
jungienne dans son ensemble, il est certain que nos symboles doivent
demeurer pour nous VIVANTS (c’est-à-dire en métamorphose constante
grâce à une pratique rigoureuse et permanente), «  gros de signification  »,
pour reprendre une expression jungienne, de peur de mourir de froid, de
répétitions machinales et de devenirs inopérants. Dans Les métamorphoses
de l’âme et ses symboles9, le maître de Zurich souligne que le symbole agit
par suggestion «  au moyen du NUMEN, c’est-à-dire de l’énergie propre à
l’« archétype ».

Vertus du symbole dans notre découverte de l’âme


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Dans le déroulement de nos tenues, si le symbole ne se fixe
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jamais comme un signe banal et conventionnel, parce que nous acceptons
d’en demeurer des récepteurs toujours émerveillés et se maintenant dans
un état de conscience prêt à accueillir paradoxalement la dynamique de
l’inconscient, sa fonction transcendante agira en nous et débouchera sur un
enrichissement intérieur et constant de sa part d’inconnu et d’invisible.
Le symbole représente toujours un accroissement immense de
connaissance. Approfondir une interprétation trop conventionnellement
acceptée d’un symbole ou d’un autre, c’est toujours renouveler l’imaginaire
maçonnique pour le bien-être de tous.

▲ Jean-Luc Maxence

9. Carl Gustav Jung, Métamorphoses de l’âme et ses symboles, Garnier/Flammarion, 1996.

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