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LES JOURNEES DE LA CREATION BIBLIQUES SONT DES PERIODES 

LE MODELE COSMOLOGIQUE UNIVERSEL

L’un des objectifs de l’Astrothéologie est de transmettre le message qui


scelle l’unité entre la science et la religion et de recréer la foi à ceux qui
sont troublés par des observations scientifiques qui semblent contraire à
la Parole.
La question principale est : qu’est ce qui sème cette séparation entre la
science et la religion ?
En effet, le domaine de la religion est tellement vaste qu’il y a des sujets
auxquels on ne peut pas inclure dans ces débats. C’est le cas par
exemple de la foi et des mystères qui les accompagnent comme a dit
Jésus : « Si vous avez de la foi, vous pouvez déplacer les
montagnes ». (Mt 21 :21). D’ailleurs Saint Paul lui-même a dit : « Or la
foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une
démonstration de celles qu'on ne voit pas  » (Hé 11 :1). On comprend
pourquoi le sujet sur la foi ou la croyance ne peut pas intervenir dans les
débats d’unité entre la religion et la science. Afin de compte, nous
remarquons que dans ces débats, tout tourne autour des questions qui
sont lié sur la création.
En suivant ces débats dans différents forums, nous avons pu constater
que beaucoup de divergences sont dues aux malentendus. En effet,
comment mettre sur une même table un récit qui date de 1500 ans av.
JC par rapport à des nouveaux termes scientifiques crées 2000 ans après
JC ? Pour défendre ou pour démontrer aux scientifiques que nous
parlons souvent le même langage et avons souvent la même conception,
nous même nous devons d’abord comprendre le schéma biblique de la
création au-delàs de ce que nous lisons et l’apporter dans la table du
débat.
Dans l’expérience de la foi, parfois les mots qui sortent de la bouche ne
reflète pas ce qui se passe dans le cœur.
Dans un récit biblique, on nous parle du songe de Pharaon (Gn. 41). Si
les secrets de ce rêve n’étaient pas dévoilés par Joseph, aujourd’hui,
c’est tout le monde qui le lira comme tel. On commencera à interpréter
sur les vaches, alors que la première phrase de Joseph fut que ces
vaches représentaient des années d’abondance. Et, à la suite, nous
avons vu qu’il avait effectivement raison.
Ainsi, pour mieux s’engager dans les débats entre la science et la
religion, nous-même, nous devrons nous demander si nous comprenons
bien ce que nous défendons au-delàs de ce qui est écris. Sinon, autant
mieux de poser des questions pour bien comprendre le sujet qu’on veut
aborder. Mais, ce qui est mal dans la religion est que les gens ne posent
pas des questions, mais veulent imposer ce qu’ils pensent même quand
on cherche à les ramener à la raison.
Ma contribution à ces jours dans ce forum est pour apporter
l’éclaircissement sur les journées de la création. Si nous arrivons à bien
comprendre la signification de six jours de la création, nous ne serions
plus troublés sur les datations de fossiles, voire sur l’évolution.
Comme je l’ai dit, Dans les débats d’unité entre la science et la religion,
la première remarque qui fait l’objet du rejet du schéma de la création
biblique par les scientifiques, ce sont les six jours de la création.
En effet, la science a découvert que l’univers serait âgé actuellement de
13,8 milliards d’année, alors que selon l’analyse littérale de la Bible,
l’univers serait encore jeune de six mille ans. En plus selon la science,
chaque processus dans la création a pris des millions, voire des milliards
d’années, alors que pour le schéma biblique de la création, cela n’ont
pris qu’un jour. C’est le cas par exemple, entre le Big-bang jusqu’à la
création du Soleil, il a fallu 9 milliards d’années d’écart, alors que selon le
schéma biblique de la création, il n’a fallu que 4 jours entre l’origine
jusqu’à la création du Soleil.
Toutes ces considérations font que les religieux s’engagent la tête basse
dans ces débats où ils ne peuvent brandir ce schéma, qui du reste est
déjà qualifié des récits issus des traditions orales dont on a perdu la
vraie source. Cette dernière considération fait l’unanimité entre les
intellectuelles athées et les intellectuels chrétiens.
J’écris cette article, afin de redonner confiance sur le fondement du
schéma biblique de la création. Par rapport à tout ce qui se dise sur le
schéma biblique de la création et voire à ce qui est même enseigné en
théologie autour de ce schéma, Il y a un verset dont j’aime toujours
rappeler à tout le monde sans exception à savoir :
Ex 33 : 11 « L'Éternel parlait avec Moïse face à face, comme un homme
parle à son ami ».
Alors, si nous connaissons que les 10 commandements viennent de Dieu,
nous devrons aussi savoir que le schéma biblique de la création qui est
attribué à Moïse vienne aussi de Dieu. Et, en Dieu, il n’y a que la
connaissance parfaite.
Si aujourd’hui ce schéma est relégué à la cosmogonie, c’est parce
personne ne l’a jamais compris, et personne ne l’a jamais bien restitué.
D’où les scientifiques et les athées les qualifient de tous les attributs
qu’ils veulent sans que les religieux puissent avoir des preuves palpables.
Saint Thomas d’Aquin disait : « S’il y a un verset biblique qui ne réponds
pas aux observations, le problème, ce ne pas le verset, mais c’est plutôt
notre interprétation de ce verset ». C’est effectivement, ce que j’ai
découvert après avoir passé beaucoup d’année à sonder le schéma
biblique de la création.
On ne peut comprendre le schéma cosmologique de la création biblique
sans connaitre la notion de temps et du travail dans la Bible. Ces notions
préliminaires sont une base pour bien comprendre le schéma biblique de
la création.
Étant donné que Moïse, le rédacteur de la Genèse, a parlé plus tard du
jour qui a suivi les six jours comme d’un sabbat hebdomadaire,
beaucoup des croyants et non croyants pensent que chaque jour de la
création a forcément été de 24 heures. De qu’on n’essaye de prouver le
contraire, on vous traite de faire du concordisme ou de chercher à faire
valider un mensonge.

Si les explications de ce qui va suivre vienne de moi, mais ce que j’aurai


a expliquer vienne de la Bible tel que l’a dit un grand homme de Dieu ; le
Fondateur de « The Way Internationale », le Dr. Victor Paul Wierwille :
« la Bible s’interprète d’elle-même ». C’est pour dire qu’à la question de
savoir si la création a eu lieu dans six jours, la bible, elle-même répond à
travers les versets suivants que nous aurons à développer et que cela n’a
rien avoir avec le concordisme :
2 P. 3 : « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas
ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et
mille ans sont comme un jour ».

Section 1
Le langage biblique

Le langage biblique employé par Moïse était dit de manière à faire


comprendre le message à ses contemporains. Le vocabulaire n’était pas
aussi riche qu’il est aujourd’hui.
Nous devrons savoir que le langage spirituel, contenu dans les
livres qualifiés des sacrés tels que la Bible, le Coran, les enseignements
de Bouddha, de Confucius, les écrits mayas ou d’autres livres ésotériques
ayant trait à la spiritualité, sont très différents du langage littéraire ou
courant. Un même mot peut avoir des significations différentes.
Par exemple, quand la Bible parle de la mort, il s’agit de la
séparation de l’homme avec Dieu à travers le péché, et non la mort
physique. Ainsi, dans la phrase " le salaire du péché c’est la mort "
(Rm 6 : 23), on voit les saints mourir jeunes et les pécheurs chevronnés
mourir aux environs de 99 ans. Et quand la Bible parle de manger, c’est
le contexte de la phrase qui détermine s’il s’agit d’une chose prise à la
bouche ou du rapport sexuel.
C’est pour dire que les phrases bibliques, bien que prononcées
avec un langage courant, ont une signification autre, par rapport à la
vraie réalité. C’est un langage spirituel appelé parabole, et souvent
imagé.

Section 2
La notion de temps
2.1 L’existence de la notion de temps Dans la Bible

L’histoire de la Genèse nous fait apparaître un Dieu qui crée les


choses d’une manière instantanée, comme un magicien ; ce qui est faux
selon notre analyse littérale, voire aussi selon l’analyse du Pape François.
En effet, lors d’une intervention devant l’Académie pontificale des
sciences en 2014, le Pape François a dit : "Quand nous lisons le récit de
la Création dans la Genèse, a-t-il relevé, nous risquons de prendre
Dieu pour un magicien, brandissant sa baguette magique pour tout
faire. Mais ce n’est pas ainsi ».
(cfr : https://www.lemonde.fr/europe/video/2014/10/28/selon-le-pape-le-big-bang-et-l-
evolution-ne-contredisent-pas-dieu ).

Donc, il existe bel et bien une notion de temps dans l’histoire de la


création et cette notion est bien définie dans la même Bible. Beaucoup
de religieux pensent qu’introduire la notion de temps dans le schéma de
la création biblique est une façon de diminuer l’omnipotence de Dieu, ce
qui n’est pas vrai. Dans tout ce que Dieu a fait, il y a eu toujours une
notion de temps. L’omnipotence de Dieu se révèle à travers la perfection
des choses qu’il a faites, sans tenir compte de la durée que cela a pris,
comprise dans une journée, dans l’espace entre un soir et un matin : " il
y eut un soir et il y eut un matin " (Ge 1 : 5-27).

2.2. Signification du mot « Jour » selon la Bible

La méconnaissance de l’explication des jours de la création dans la


Bible a fait qu’aucun religieux ne pouvait se tenir devant les savants avec
des arguments convaincants.
Dans toute l’histoire de la création biblique, il y a une phrase qui ne
cesse de revenir, à savoir " il y eut un soir et il y eut un matin " pour
marquer à la fois le début et la fin d’une création ou d’une journée selon
la Bible. Et cela correspond au début et à la fin d’une ère, selon la
science.
En effet, la bible s’interprétant d’elle-même comme l’a dit le Dr.
Victor Paul Wierwille, et considérant les livres contenus dans la Bible
comme un Tout par les chrétiens, dont le Héros dans l’ombre est Dieu, le
jour biblique tel que cité au premier chapitre de la Genèse est bien défini
dans la même Bible en 2 versets et cela ne relève pas du concordisme
de notre part comme nous pouvons les lire :
Ps 90 :4« Car mille ans sont à tes yeux comme le jour d’hier, quand il
n’est plus, et comme une veille de la nuit. »
2 P 3 : 8« Mais il est une chose, bien-aimée, que vous ne devez pas
ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et
mille ans sont comme un jour. »

Malgré ces versets bibliques, aucun chrétien n’a pu faire un


rapprochement entre eux et les journées dans le schéma de la création
biblique. N'y été les éclaircissements apportés dans le Principe de la
création, branche du Principe divin du Rév. Dr. Sun Myung Moon, on
serait encore en train de croire que tout apparaissait simultanément sur
base de la parole.

Il y a dans ces versets deux termes très importants à savoir "


ignorer " et " comme ". Tout d’abord, nous ne devrons pas ignorer la
notion de temps. En second lieu, il y a le terme comparatif
« comme » : "un jour pour Dieu est comme mille ans ". Ici, on n’a pas
utilisé le mot " égale ", mais plutôt "comme". Cela veut dire tout
simplement qu’un jour biblique peut représenter autant des jours, autant
d’années que peut prendre un cycle ou une ère. Ainsi, dire que la
création a été faite en six jours bibliques n’a rien à voir avec nos
journées de vingt-quatre heures. Cela représente plutôt six grandes
étapes qui, comme la science l’a découvert, ont pris des milliers, des
millions, voir des milliards d’années.
En plus, la succession des événements telle que relatée au premier
chapitre de la Genèse est la même que ce que la science a découvert
jusque-là : l’homme étant la dernière des créatures à apparaître sur la
terre. Nous avons déjà commencé à le démontrer étape par étape.
FLAVIEN PHANZU MWAKA - Rechercher (forumactif.com)

Un exemple frappant qui montre que ce n’était pas des jours


ordinaires, mais des périodes, est que pendant les deux premiers jours
de la création dans le chapitre premier de la Genèse, il n’y avait pas
encore la création (l’apparition) des luminaires pour marquer la notion du
temps. Celle-ci est intervenue dans Ge 1 : 14, pendant la quatrième
période de la création.
Ge 1 : 14 "Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue du Ciel,
pour séparer le jour d’avec la nuit ; que ce soient des signes pour
marquer les époques, les jours et les années…" 19."Ainsi, il y eut un
soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour."
Alors, les deux premiers jours étaient-ils fixés en fonction de quoi,
puisque la notion du temps a commencé le quatrième jour ? C’était fixé
en fonction de l’aboutissement des évolutions qui se déroulaient dans
l’Univers.
Prenons seulement les six évènements du premier jour « … l'esprit
de Dieu se mouvait au-dessus des eaux… et Dieu sépara la lumière
d'avec les ténèbres. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le
premier jour ». Quand est-ce que ces eaux ont commencé à exister,
jusqu’à ce que on arrive aux derniers phénomènes ? On voit sans même
faire une analyse ou du concordisme que c’est un temps non quantifiable
mais que l’auteur l’a contenue entre un soir et un matin et l’a qualifié
d’un jour.
Pour qu’on puisse parler de la notion de temps, deux ingrédients
doivent être réunis, à savoir, un astre tournoyant autour d’un autre. La
rotation de l’astre sur lui-même et sa translation ou révolution autour
d’un autre, créent ainsi la notion quantifiable de temps. Celle de notre
planète Terre autour du Soleil a été divisé en 24 heures et servent
désormais des références sur toutes les notions du temps. Or, comme je
l’ai dit, pendant les deux premiers jours de la création, il n’y avait pas la
création des astres pour servir des soubassements aux calculs du temps.
Donc les jours dont on parle dans la Bible dans les chapitres un et deux
de la Genèse, constituent des périodes et non, nos journées ordinaires
de vingt-quatre heures.
Ce développement des pensées va des pairs avec cette pensée des
scientifiques que nous pouvons lire :

« Les cosmologistes voudraient bien préciser les dates de ces


phénomènes et bien évidemment les étudier. Mais comment obtenir des
informations sur ce qui s’est passé pendant les âges sombres alors qu’il
n’existait aucune étoile pour briller… » ?
(Cfr : futurasciences.com. Premières étoiles de l’univers : des signaux
enfin détectés, Laurent SACCO. Le 02/03/2018).
Tout ceci est pour confirmer qu’il y a eu bel et bien une notion de
temps dans l’histoire de la création biblique, et les jours dont on parle
n’ont rien à voir avec nos journées de vingt-quatre heures ; fixées sur
base du mouvement de la Terre autour du Soleil. Il s’agit plutôt des
périodes non quantifiables par la Bible mais dont l’auteur le divisait en
fonction de l’accomplissement d’un idéal pour passer à une autre. Une
fois qu’un idéal est accompli, quel que soit le temps que cela a pris,
l’auteur du schéma biblique de la création le contenait en un jour. Et,
comme je l’ai dit, nous devrons nous référer à l’explication que j’ai
apportée pour 2 P3 :8 « Mais il est une chose, bien-aimée, que vous ne
devez pas ignorer, c’est que, devant le Seigneur, un jour est comme
mille ans, et mille ans sont comme un jour. »
Ainsi, la notion du temps biblique étant expliqué, nous découvrons
qu’il n’y a pas des discordances entre la science et la Bible. La science
nous fait découvrir seulement combien des millions ; voire des milliards
d’années qui étaient contenus dans chaque période d’une journée
biblique. On comprend par-là que les six jours bibliques sont des grands
ensembles dont la science nous dévoile les détails. Il en est de même
quand la Bible nous dit que l’homme est fait de la poussière de la Terre.
Aujourd’hui la science a confirmé cela en nous dévoilant les éléments
terrestres qui faisaient partie de cette poussière dont les plus grandes
parties sont l’oxygène et le carbone.
Voyons un extrait de discours démontrant que la notion de temps
scientifique est aussi prise en compte par les religieux par rapport aux
six jours bibliques qui ne sont que des périodes et que cela confirme le
Principe de la création du Rév. Dr. Sun Myung Moon. Il s’agit du discours
prononcé à l’Académie pontificale (1951) puis aux astronomes (1952)
par le Pape Pie XII pour encourager l’Abbé Georges Lemaitre d’avoir
émis l’idée de « l’atome primitif » qui deviendra le fondement de la
théorie du Big-bang :

« D’autre part, l’esprit avide de vérité insiste avec raison pour


demander comment la matière n’a jamais pu arriver à un semblable état,
si inconcevable pour notre expérience d’aujourd’hui, et pour rechercher
ce qui l’a précédée… Avec le même regard limpide et critique, dont il
examine et juge les faits, il y entrevoit et reconnaît l’œuvre de la Toute-
puissance créatrice dont la vertu suscitée par le puissant Fiat prononcé il
y a des milliards d’années par l’Esprit Créateur, s’est déployée dans
l’univers, appelant à l’existence, dans un geste de généreux amour, la
matière débordante d’énergie. Il semble, en vérité, que la science
d’aujourd’hui, remontant d’un trait des millions de siècles, ait réussi à se
faire le témoin de ce Fiat lux initial, de cet instant où surgit du néant,
avec la matière, un océan de lumière et de radiations, tandis que les
particules des éléments chimiques se séparaient et s’assemblaient en
millions de galaxies. »

Rien ne sert de vous rappeler que l’Abbé Belge Georges Lemaitre a


demandé au Pape de ne pas se mêler de la science, tout en lui rappelant
que sa découverte était purement scientifique et n’avait rien avoir avec
la religion. Mais, à ce jour, nous félicitons le Pape Pie XII d’avoir vu
l’inspiration divine dans cette découverte, car la notion ‘d’atome primitif’
d’Abbé Belge Georges Lemaitre est bel et bien biblique. NOTRE GRAND
UNIVERS A COMMENCE COMME UNE GRAINE (forumactif.com)

Voilà l’explication que j’apporte aux scientifiques et à tous les


religieux qui se posaient des questions sur le temps qu’apprit la création.
Je pense ainsi avoir contribué positivement à ce débat d’unité entre la
science et la religion et à avoir répondu à l’objectif de toutes les
organisations qui militent sur ces débats. La déduction selon laquelle les
journées bibliques sont des périodes font partie du Modèle Cosmologique
Universel.
Comment cité un extrait de cette article :
- Flavien PHANZU MWAKA, l’Avant Big-bang à la lumière, éd.
Librinova, Paris 2022.
https://www.librinova.com/librairie/flavien-phanzu-mwaka-1/avant-big-bang-a-la-lumiere

- Flavien PHANZU MWAKA, Big-bang à l’Homme, éd. Librinova, Paris,


2022.
https://www.librinova.com/librairie/flavien-phanzu-mwaka-1/big-bang-a-l-homme

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