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5- Dans chacun de ces énoncés, relevez le mot qui traduit la subjectivité du locuteur.
Consigne : Le verbe « appeler » est conjugué au présent dans ces cinq phrases. Pourtant, ce n’est que dans
l’une d’entre elles qu’il désigne une action qui a lieu au moment où l’on parle.
a) une action passée ? b) une action future ? c) une action qui se répète ? d) un fait qui est toujours vrai ?
10- Quel temps est le plus utilisé dans le discours explicatif ? Quel est sa valeur ?
11- Dans un texte argumentatif, l’auteur reste neutre, il ne donne pas son point de vue.
Faux. Vrai.
12- À quelle forme de discours cet extrait peut-il être associé ?
Dans un village de la campagne russe vivait une petite fille qui n’avait plus de mère. Son père se remaria,
mais il choisit une méchante femme. Elle détestait la petite fille et la traitait mal.
Baba Yaga, conte russe.
Le discours explicatif. Le discours narratif. Le discours descriptif.
a) Je me glissai sous un buisson et attendis. Bientôt, un léger froissement de feuilles me mit en alerte. Je
tendis le cou et aperçus une créature qui s’avançait dans la clairière.
b) Elle avait l’allure générale d’une jument et la grâce de la gazelle. Son pelage était immaculé
et une corne brillante se dressait majestueusement sur son front. C’était une licorne.
c) La plupart des gens pensent que les licornes n’existent que dans les livres pour enfants. Pourtant, quelques
spécimens vivent encore dans ces contrées reculées et inhospitalières où il est possible de les observer, à
condition de savoir rester discret, car la licorne est un animal particulièrement farouche.
17- Les reprises nominales et pronominales servent à éviter les répétitions dans une histoire.
Vrai. Faux.
18- Trouvez dans le texte ci-dessous les quatre reprises qui désignent Renart le goupil et les deux
reprises qui désignent Dame-Blanche l’hermine.
« Renart et Dame-Blanche sont entrés dans une maison. Le goupil se réjouit en pensant au grand pot de lait
placé dans le coffre. Il soulève le couvercle, mais sa commère est plus rapide : elle passe devant lui en le
bousculant et s’empare du pot. » D’après Le Roman de Renart, XIIᵉ siècle
19- Réécrivez ce texte en utilisant une reprise pronominale et une reprise nominale pour éviter les
répétitions.
Molière était un grand écrivain. Molière a écrit de nombreuses pièces de théâtreAujourd’hui encore, les
élèves lisent des textes de Molière.
20- Lisez le fait divers suivant puis à votre tour racontez la scène brièvement.
La veille de Noël, un samedi soir, un chauffeur de poids lourd renverse un livreur de pizza à moto, devant
un centre commercial envahi par la foule. Les secours, bloqués par les embouteillages, sont arrivés très
tard sur le lieu de l’accident. La victime souffre de plusieurs blessures graves mais est saine et sauve.
Lisez les quatre textes et remplissez le tableau pour montrer de manière précise que vous pouvez
identifier le texte narratif, le texte descriptif, le texte injonctif et le texte argumentatif.
Texte 1
Si tu te mets à table avec des gens de la bonne société, ôte ton chapeau. Veille à être bien peigné. Ne
plonge pas le premier tes mains dans les plats. Ne trempe pas les doigts dans la sauce. Il faut prendre ce qu’on
désire avec le couteau et la fourchette, sans fouiller le plat tout entier. Ne pas lécher ses doigts graisseux et les
nettoyer à sa veste. On doit se servir de la nappe ou de la serviette.
Texte 2
Nous ne saurions trop recommander aux adolescents la pratique du sport car elle développe de grandes
vertus morales et sociales.
D’abord, le sport habitue à l’effort et, pratiqué avec sérieux, il requiert presque inévitablement un
dépassement de soi. On va plus loin qu’on ne le prévoyait, on apprend à se dépasser.
Par ailleurs, le sport entraîne à l’action. Lorsqu’on a un ballon entre les mains, il faut décider
rapidement ce qu’on va en faire, et passer à l’acte sans délai. On s’exerce ainsi à prendre des initiatives
et à agir.
Enfin, le sport apprend à vivre avec les autres. En effet, les sports collectifs ne peuvent se pratiquer
sans une étroite collaboration avec des partenaires. Ils nous apprennent à tenir compte des autres et à agir
ensemble.
Texte 3
Et, sautant de la voiture, elle courut aux enfants, prit un des deux derniers, celui des Tuvache, et,
l'enlevant dans ses bras, elle le baisa passionnément sur ses joues sales, sur ses cheveux blonds frisés et
pommadés de terre, sur ses menottes qu'il agitait pour se débarrasser des caresses ennuyeuses.
Puis elle remonta dans sa voiture et partit au grand trot. Mais elle revint la semaine suivante, s'assit elle-
même par terre, prit le moutard dans ses bras, le bourra de gâteaux, donna des bonbons à tous les autres ; et joua
avec eux comme une gamine.
Texte 4
Sur la place de Goderville, c'était une foule, une cohue d'humains et de bêtes mélangés. Les cornes des
bœufs, les hauts chapeaux à longs poils des paysans riches et les coiffes des paysannes émergeaient à la surface
de l'assemblée. Et les voix criardes, aiguës, glapissantes, formaient une clameur continue et sauvage que
dominait parfois un grand éclat poussé par la robuste poitrine d'un campagnard en gaieté, ou le long
meuglement d'une vache attachée au mur d'une maison. Tout cela sentait l'étable, le lait et le fumier, le foin et la
sueur, dégageait cette saveur aigre, affreuse, humaine et bestiale, particulière aux gens des champs.
Tableau à compléter
Texte 2
Texte 3
Texte 4