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L'homosexualité animale est un mythe anti-

scienti!que ! Homosexuels parmi les animaux
Date d'écriture : Temps de lecture:
11.04.2019 23 minutes

Ivan Kurennoy
La revue "World of Science: Pedagogy and Psychology", incluse dans la liste des revues russes à
comité de lecture revues scienti!ques, approuvé par le Suprême commission d'attestation(VAK
RF), qui fait partie de la base de données du Russian Science Citation Index, a récemment publié
un article qui a dissipé le mythe de l'homosexualité chez les animaux.

Dans la rhétorique des militants LGBT, on peut souvent entendre dire que l'homosexualité est
une sorte de norme pour les humains, car elle serait observée dans la nature - chez les animaux.
Cette déclaration est construite sur les déclarations consécutives suivantes :

1) l'homosexualité est observée chez les animaux;

2) ce que font les animaux est naturel ;

3) donc, l'homosexualité est naturelle pour une personne.

Le problème avec cette conclusion est que le paragraphe 1 représente une substitution de
concepts et une interprétation anthropomorphique biaisée du comportement animal, et le
paragraphe 2 est basé sur une extrapolation extrêmement sélective des phénomènes du monde
animal à la vie humaine.

Tout d'abord, il convient de noter que chez les animaux, ce n'est pas "l'homosexualité" (attirance
sexuelle pour le même sexe et les actions qui en découlent), mais un comportement
homosexuel qui n'a généralement rien à voir avec l'attirance sexuelle ou même avec les rapports
sexuels. En tant que tel. Même l'activiste LGBT Simon LeVay, connu pour ses recherches sur le
cerveau, a admis que "dans le règne animal, il n'y a pas d'"orientation homosexuelle" au sens
humain, et les épisodes enregistrés de comportement homosexuel ne conduisent jamais à leur
remplacement par une activité hétérosexuelle" (LeVay, 1996). ).

Les chercheurs en comportement sexuel animal soulignent que bien qu'ils utilisent des termes
communément acceptés pour décrire le comportement homosexuel chez les animaux, tels que
"homosexuel", "préférence de partenaire sexuel" et "orientation sexuelle", ces termes ne sont
pas du tout identiques aux termes utilisés pour décrire l'orientation humaine, représentant
beaucoup plus phénomène complexe(Roselli, 2009).

Selon le linguiste Bruce Bagemihl, dans un livre publié par une maison d'édition spécialisée dans
les romans d'amour, la !ction et la littérature homosexuelle, y compris la pornographie, « le
comportement homosexuel a été documenté chez plus de 450 espèces d'animaux » (Bagemihl,
1999).

Bien que cela puisse sembler beaucoup, en divisant les 450 espèces d'animaux par les 1 552 319
espèces décrites par la science (Zhang. 2011), on constate que le comportement homosexuel
dans le règne animal tend vers zéro : 0,0002. En outre, ces statistiques comprenaient toutes les
interactions entre individus du même sexe, qui représentent pour la plupart des exemples
d'activité parentale, de rituels hiérarchiques, de cérémonies de parade nuptiale, d'identi!cation
erronée d'un partenaire, de formation de partenariats en raison d'une violation de l'empreinte
ou de l'inaccessibilité de un individu du sexe opposé, etc. Parmi ces 450 espèces animales, des
exemples de comportement sexuel (ou plutôt son imitation, puisque ni pénétration ni climax ne
se produisent en règle générale) sont isolés, et même dans ces rares cas, l'animal n'a aucun
intérêt pour un autre animal en raison de le fait qu'elle soit du même sexe que lui, comme c'est
le cas de certaines personnes. Ici, soit un rituel social a lieu, soit une substitution (comme la
jambe du propriétaire pour un chien), qui se produit en raison de l'inaccessibilité d'un partenaire
du sexe opposé.

Une série d'expériences avec une tourterelle mâle présente bon exemple comment le seuil
d'irritation diminue avec l'absence prolongée de toute action instinctive : quelques jours après
qu'une femelle de son espèce ait été retirée de la cage du mâle, il a commencé à courtiser une
femelle d'une autre espèce, qu'il avait complètement ignorée auparavant. Quelques jours plus
tard, il a commencé à exécuter ses arcs et ses roucoulements devant une colombe en peluche,
encore plus tard - devant un chi#on enroulé dans un nœud, et après quelques semaines de
solitude, il a commencé à adresser son courant à un vide coin de la cage, où l'intersection des
rails créait au moins une sorte de point optique, capable de retenir son regard. Goethe a exprimé
Ce phénomène dans le dicton de Méphistophélès: "Avec cette soif inassouvie, vous verrez Elena
en chacun"; et si vous êtes une tourterelle mâle, vous !nirez par la voir même dans un vieux
chi#on poussiéreux (Lorenz, 1963).

De toute façon, se tourner vers le monde animal pour évaluer le comportement humain n'a pas
de sens, puisque la présence d'un certain phénomène chez l'animal n'indique en rien son
acceptabilité pour l'homme. En plus des comportements homosexuels, les animaux peuvent
observer la coprophagie, l'inceste, les rapports avec des cadavres et des petits, le viol, le
cannibalisme, le vol et le meurtre, ce qui ne les rend pas du tout acceptables dans notre société.
Le zoologiste et militant LGBT Paul Veisy a admis dans une interview : « Nous ne devrions pas
utiliser les animaux pour développer des politiques morales et sociales pour la société humaine
dans laquelle nous voulons vivre. Les animaux ne s'occupent pas des personnes âgées. Je ne
pense pas que cela devrait être la base de la fermeture des maisons de retraite."

Il convient de mentionner que depuis plus de 10 ans, le mythe des "1500 espèces d'animaux
présentant un comportement homosexuel" circule sur le net, perpétué dans la presse écrite et
repris même par des médias aussi respectables que la BBC, Time, Telegraph, DW, etc. En fait, il
s'est avéré que le chi#re "1500", comme prévu, n'a aucun fondement. Le zoologiste norvégien
Peter Böckman, qui a été le premier à exprimer ce chi#re, n'a pas pu fournir sa source et a admis
son erreur :

"Cela fait maintenant la deuxième semaine que je cherche, mais je n'arrive pas à trouver une liste
dé!nitive de 1500 espèces. Je ne peux pas conclure autrement que j'ai dû faire une erreur dans
l'écriture du texte original de l'exposition, peut-être en combinant deux listes correspondantes de
livres di"érents, ou en comptant deux fois la même liste. Ainsi, le contenu réel de l'a#rmation
selon laquelle "l'homosexualité a été observée chez 1500 espèces" faite en 2002 lors de
l'ouverture de l'exposition était erronée.

Cela fait référence à l'exposition qu'il a organisée à Oslo en 2006, consacrée au comportement
homosexuel des animaux, qui a été parrainée par l'État, puisque la formation d'une attitude
tolérante envers l'homosexualité fait partie de la politique d'État de la Norvège. Böckman a
reconnu les "motifs politiques" de l'exposition et a déclaré : "J'ai bien aimé utiliser ces chi#res
dans diverses interviews, car c'était un chi#re impressionnant, facile à retenir, avec un bon e#et
de choc qui montre que ce n'est pas seulement une poignée de chats étranges et chiens." .

Les biologistes notent que le comportement homosexuel des animaux n'est pas seulement
d'intérêt académique, mais est souvent utilisé dans la prise de décision. Probleme juridique chez
les gens. (Bailey et Zuk, 2009). Oui, sur litige Lawrence v. Texas a utilisé des exemples tirés d'un
livre de Bruce Beigmeel comme preuve, permettant d'annuler les lois sur la sodomie au Texas et
dans d'autres États.

Ivan Kurennoy
Suite

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a suscité un vif débat parmi les lecteurs. L'argument principal des critiques se résumait à la
déclaration: «L'homosexualité existe chez les animaux, c'est donc un phénomène naturel un
phénomène naturel". Qui et quand a prouvé ce fait, accepté par beaucoup comme un axiome ?
Nous n'avons pas cru les allégations infondées et nous nous sommes tournés vers des experts
pour obtenir des éclaircissements.

Les réponses des experts sont généralement imprévisibles. Vous entrez dans une entrevue
comme si vous étiez prêt à tout. Et en conséquence, vous obtenez toujours quelque chose
d'inattendu. Ici et maintenant. Il semblerait qu'il n'y ait que deux réponses à la question "les
animaux ont-ils l'homosexualité ?". Soit oui, soit non. Mais il s'avère que tout n'est pas si simple
du tout.

Mes interlocuteurs sont les zoologistes Elena Fedorovich et Irina Voshchanova. Ils sont collègues,
occupent à peu près les mêmes postes scienti!ques, et sont généralement assez unanimes. Je
m'adresse à chacun à tour de rôle :

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- Elena, dis-moi, y a-t-il des couples homosexuels parmi les animaux ?

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- Irina, qu'en dis-tu ? Les animaux ont-ils des relations sexuelles avec des individus du même
sexe ?

- Oui, autant que tu veux.

"Eh bien, nous avons parlé", clignote dans ma tête. Voyant ma confusion, Elena Fedorovich vient
à la rescousse et nous commençons en!n une conversation sur la façon de poser correctement
les questions, ce qui est vérité scienti!que et pourquoi vous ne pouvez pas comparer les
humains aux animaux.

Elena Fedorovitch : Commençons par une dé!nition de l'homosexualité. Qu'est-ce que c'est, à
votre avis ? Que rechercherons-nous chez les animaux ?

L'homosexualité est l'attirance sexuelle pour une personne du même sexe.

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Irina Voshanova : Je serais prudent d'utiliser le mot attraction par rapport aux animaux. Car
sinon on va très vite commencer à projeter nos propres sentiments sur les animaux.

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Elena Fedorovitch : Si nous considérons l'homosexualité comme une relation entre deux amants,
alors les animaux ne le font pas. "Les amoureux" est une catégorie humaine. Mais les animaux
sont plus faciles. Leur comportement sexuel remplit deux fonctions : la reproduction et le
maintien des liens sociaux. Avec la reproduction, tout est clair : deux individus convergent pour
la reproduction. Ici, l'intérêt pour un partenaire du même sexe est tout simplement impossible.
Le mâle cherche une femelle. La femelle est le mâle.

Irina Voshanova : Chez certaines espèces, le comportement sexuel se limite à cela. Par exemple,
chez les animaux solitaires. Eh bien, par exemple, les ours. Le mâle et la femelle ne sont
ensemble que pendant la période de rut de la femelle. Lorsque le rut se termine, ils se séparent,
le mâle part et reste seul. Tout est clair et sans ambiguïté ici.

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Elena Fedorovitch : Mais de nombreuses espèces utilisent des éléments du comportement

sexuel pour établir des relations et des interactions au sein du groupe. Et dans ce cas, le
comportement sexuel a une signi!cation di#érente - pas sexuelle. C'est fondamentalement.
Voici les primates, par exemple. Ils vivent dans de nombreux groupes structurés complexes, où il
y a beaucoup de mâles, beaucoup de femelles. Au sein de tels groupes, leurs propres relations se
développent, chaque individu y occupe une certaine place. Et les éléments du comportement
sexuel sont souvent utilisés par les hommes pour maintenir une coalition. Cela n'a rien à voir
avec l'homosexualité, ils ne font que con!rmer leur amitié de cette façon. En général, chez les
animaux, des éléments de comportement de di#érents domaines fonctionnels sont souvent
utilisés pour l'interaction. Vous voyez, les animaux n'ont pas de tabous, pas de notions de
décence. Ils utilisent tous les organes ouvertement et également. Dans notre zoo, par exemple,
vous pouvez observer une telle image. Lorsque les babouins femelles descendent pour manger,
le mâle s'assoit d'une manière provocante spéci!que, montrant les organes génitaux. En même
temps, certains visiteurs entraînent leurs enfants pour qu'ils ne voient pas, d'autres au contraire
rigolent : "Oh, quel éhonté !". Mais personne ne voit le vrai sens de ce qui se passe. Et le sens est
que le babouin traverse: les gens se pressaient et les femelles sortaient pour manger. Il doit les
protéger ! IL n'est ni e#ronté ni pervers. Il a un comportement protecteur. Pourquoi se présente-
t-il ainsi ? Je ne sais pas, c'est évolutif. Mais ce n'est en aucun cas un comportement sexuel. Il
s'agit d'un élément de comportement de démonstration utilisant une partie du corps de
l'animal. Et une personne réfracte cela à travers ses normes culturelles et impose au
comportement de l'animal les fonctions qui ne lui sont pas caractéristiques.

Irina Voshanova : Prenons l'exemple le plus courant. Deux chiennes marchent, l'une essaie de
faire une cage sur l'autre - elle grimpe avec ses pattes avant sur sa croupe. Ce n'est pas un
comportement sexuel, c'est une manifestation de domination. Lorsque deux individus
d'animaux sont à peu près égaux, c'est très inconfortable pour les deux. Il doit y avoir une
di#érence prévisible entre "je" et "elle". Et ces relations sont parfois clari!ées de cette façon. Ce
n'est plus l'amitié dont nous parlions plus tôt. Ce comportement signale "toi et moi, mon ami,
sommes tous les deux bons, mais je suis plus con!ant et, dans un certain sens, plus important".

Elena Fedorovitch : Les propriétaires rigolent parfois lorsque le chien leur saute dessus. Parfois,
ils pensent même qu'il s'agit d'une manifestation particulière de l'amour des chiens pour eux.
Rien de tel! Ce sont tous les mêmes éléments du comportement sexuel, intégrés dans le
contexte du maintien d'une relation entre une personne et un animal. Cage pour chien - une
démonstration de domination, en ce cas chiens sur le propriétaire.

Irina Voshanova : En bref, nous répondons à votre question. Les cas d'accouplement entre
individus de même sexe dans la nature nous sont inconnus.

- Y a-t-il des parades nuptiales d'un mâle pour un mâle aussi dans la nature ?

Elena Fedorovitch : Peut être. Colombes, par exemple. S'ils n'ont pas eu l'occasion de rencontrer
une femelle de leur espèce depuis longtemps, ils courtiseront n'importe qui. Ils n'ont pas le
choix, mais la nature l'exige. De longues heures de jour, la chaleur, les hormones jouent. S'il n'y a
pas de femelle de sa propre espèce à côté du mâle, il s'occupera de la femelle d'une autre
espèce. S'il n'y a pas de femelle, il s'occupera du mâle ; s'il n'y a pas de mâle, il s'occupera d'un
objet inanimé - par exemple, un mouchoir froissé. C'est ce qu'on appelle la parade nuptiale. Le
comportement déborde sur des stimuli de plus en plus généralisés.

"Alors expliquez-moi d'où vient l'a$rmation déjà généralement acceptée selon laquelle il y a des
animaux homosexuels?"

Irina Voshanova : Car il y a bien des éléments de comportement sexuel avec des individus du
même sexe. Toute la question est dans un petit détail - s'accouplent-ils en même temps. Si nous
parlons de véritable accouplement - il n'y a pas d'homosexualité dans le monde animal, si nous
parlons de comportement sexuel - il y en a.

Elena Fedorovitch : Mais la fonction de ce comportement est di#érente. Le problème est que
les éléments du comportement sexuel sont sortis de leur contexte et interprétés en fonction de
notre expérience humaine. Nous gravitons de plus en plus vers l'anthropomorphisme, c'est-à-
dire que nous nous identi!ons aux animaux et les animaux à nous-mêmes. Ce n'est absolument
pas approche scienti!que. Malheureusement, en science, cela se fait à gauche et à droite - la
vision systémique de la situation est en train d'être détruite. Interprétation maintenant
populaire basée sur des faits individuels. Un mâle a sauté sur un autre - tout est réparé. Et le fait
que pour les animaux cela ait une signi!cation di#érente ne dérange personne. C'est comme un
médecin pour un seul symptôme "mal de gorge" diagnostique "amygdalite purulente". Nous
dirons tous que c'est un mauvais médecin. Un bon médecin, avant de tirer une conclusion, vous
examinera, analysera tous les symptômes et rédigera image complète maladies. Nous, en tant
que scienti!ques, devons donc considérer la situation dans son ensemble et ne pas en tirer ce
qui peut être interprété à notre goût ...

- En général, dans quelle mesure est-il correct de faire appel aux animaux lorsqu'on discute de
certains phénomènes de la vie humaine ?

Elena Fedorovitch : Incorrect. L'animal n'a pas de choix moral. Et c'est le principal. De plus, les
animaux vivent ici et maintenant et ne peuvent évaluer les conséquences de leurs actes. Et ils ne
sont pas responsables de leurs actes. Par conséquent, toute comparaison d'une personne avec
un animal, à mon avis, est spéculative. Et quand ils disent que l'homme est la couronne de la
nature et que les animaux sont des créatures sans cervelle. Et vice versa, qu'ils sont meilleurs
que nous. Ce ne sont que des spéculations. Ne peut pas être comparé. Ils ont aussi des jambes,
une tête et d'autres organes, mais cela ne veut pas dire que nous sommes pareils. Ce qui leur
arrive est bon et juste pour eux. Pour nous, autre chose est prévu. Parce que nous avons la
volonté, la capacité de choisir et la responsabilité de ce choix.

Fedorovich Elena Yurievna

Diplômée de la Faculté de psychologie de l'Université d'État de Moscou. Travaille au laboratoire

de zoopsychologie du département Psychologie générale Faculté de psychologie, Université
d'État de Moscou. Intérêts de recherche - comportement animal dans des situations de
nouveauté (comportement exploratoire), interaction entre les personnes et les animaux,
problèmes d'anthropomorphisme

Voshchanova Irina Pavlovna

Diplômé de la Faculté de biologie de l'Université d'État de Moscou. 25 ans de travail au zoo de

Moscou, dont les 15 dernières années dans le département recherche scienti!que. Le domaine
d'intérêt scienti!que est le comportement animal, le comportement pathologique et les
méthodes de sa correction.

Il est "contre nature" que les gays "aillent à l'encontre de la nature" et même la "profanent",
qu'aucun autre être vivant ne "descende" à une telle "perversion". Eh bien, celui-ci est pratique
pour les homophobes le mythe a longtemps été démysti"é et ça vaut la peine de le savoir.

En réalité le comportement homosexuel sous toutes ses formes possibles existe chez de
nombreuses espèces animales !

Vraiment, pendant longtemps on croyait qu'en général, le comportement homosexuel était

étranger au monde animal. On dit qu'un jour Socrate a dit expression célèbre: "L'amour du
même sexe est le plus élevé de tous, car il n'est disponible que pour une personne". Cela a
permis par la suite de monter en puissance contre les gays et les lesbiennes accusation de
"péché contre nature" et de déclarer que leurs sentiments et leur comportement sont "contre
nature". Cela a ajouté beaucoup de carburant au feu de l'homophobie et a conduit au fait qu'à ce
jour, beaucoup de gens croient que nous allons «contre nature», et la nature, à son tour, est
complètement «pure».

Néanmoins, des cas de comportement homosexuel ont été observés chez les animaux depuis
longtemps, et à la !n du siècle dernier la communauté scienti"que s'est intéressée à ce
phénomène. Il convient de mentionner tout de suite que les termes "homosexualité", "gays" et
"lesbiennes" peuvent di$cilement être utilisés dans ce contexte - le fait est qu'il est très di$cile
de déterminer les véritables préférences sexuelles de chaque animal individuel, étant donné
qu'il est impossible de suivre l'animal tout au long de sa vie, surtout lorsqu'il s'agit de vivo. Par
conséquent, nous parlerons de comportement homosexuel, c'est-à-dire d'actions de nature
homosexuelle, qui peuvent souvent vraiment indiquer l'orientation "non traditionnelle" de
l'animal.

Il est généralement admis que dans la plupart des cas, le comportement homosexuel est une
forme importante, mais pas la seule, d'activité sexuelle animale, bien que il y a des informations
sur les animaux exclusivement homosexuels et même sur les couples de même sexe (Joan
Roughgarden, Evolutions arc-en-ciel : Diversité, genre et sexualité dans la nature et les gens,
University of California Press, Berkeley, 2004)

Les recherches sur ce sujet n'ont commencé que récemment et les informations sont donc
encore rares. Cependant, nous pouvons a$rmer avec certitude que Le comportement
homosexuel fait naturellement partie de la vie de nombreuses espèces d'êtres vivants.

Il existe une controverse sur les causes du comportement homosexuel chez les animaux. Ainsi, il
y a une opinion que la sexualité peut être associée à assujettissement et domination, c'est-à-
dire que le contact homosexuel permet à un individu s'a#rmer aux dépens d'un autre, le
subordonnant ainsi à lui-même. D'autres pensent que le comportement homosexuel chez les
animaux, au contraire, sert renforcer les liens entre les individus accroître la stabilité du groupe
et rallier ses forces au moment du danger. Même si, encore une fois, cela n'explique pas un
comportement homosexuel qui ne vise pas à consolider le groupe et qui ne vise pas à établir des
liens avec des proches - par exemple, dans le cas de couples de même sexe de certaines espèces
de manchots qui vivent ensemble toute leur vie, refusant pour contacter les femelles. Il existe
également une opinion selon laquelle l'homosexualité peut servir à réguler la taille de la
population animale. ( Thierry Lode"La guerre des sexes chez les animaux" Eds O Jacb, Paris, 2006)

Selon l'un des pionniers de la recherche sur l'homosexualité animale Bruce Bagmel (Bruce
Bagemihl) le comportement homosexuel est observé chez environ 1500 espèces d'animaux, dont
environ 500 le présentent constamment. (Bruce Bagemihl, Biological Exuberance: Animal
Homosexuality and Natural Diversity, St. Martin's Press, 1999, p. 166-195). Et c'est loin d'être la
limite, étant donné que l'étude du problème a commencé assez récemment !

En 2009, après avoir fait le bilan des travaux menés dans ce sens, il est devenu évident que le
comportement homosexuel chez les animaux est un phénomène presque universel,
caractéristique de toutes les classes et ordres d'êtres vivants. ( "Comportement homosexuel
observé chez presque tous les animaux". Physorg.com. 2009-06-16). Des études montrent qu'il
est plus prononcé chez les primates et les mammifères en général, ainsi que chez de
nombreuses espèces d'oiseaux, et il existe de nouvelles observations de rapports homosexuels
chez de nombreuses espèces d'insectes et d'araignées.

Naturellement, en science, il y a la position opposée, qui nie l'homosexualité chez les animaux et
explique autrement leur comportement apparemment «homosexuel». Les arguments en faveur
de l'échec de la vision "homosexuelle" du problème peuvent être réduits à ceci :

Premièrement, chez les animaux, aucun instinct « homosexuel » clairement exprimé n'a été mis
en évidence. D'une part, les manifestations visibles peuvent être liées au fait que les animaux
s'adaptent rapidement aux changements de l'environnement et peuvent, dans une certaine
situation, modi!er leur comportement en conséquence, ce qui peut ne pas re%éter leurs
véritables motivations. Ces chercheurs mettent le comportement homosexuel des animaux sur
un pied d'égalité avec le cannibalisme, la consommation de progéniture et d'autres formes de
comportement dans une situation critique (Luis Sergio Solimeo écrit qu'il est impossible de
justi!er le «naturel» de l'homosexualité par ses manifestations dans le monde animal, depuis
lors, le cannibalisme et la destruction de la progéniture devraient être justi!és). (Luiz Sergio
Solimeo . )

En revanche, sur le plan de la sexualité, les animaux ne sont guidés que par les odeurs, les
images visuelles et les sensations tactiles, leur sexualité est dépourvue de la conscience
inhérente aux personnes, lorsque nous sommes conscients de savoir si nous entrons en contact
homosexuel ou hétérosexuel. Un exemple est donné avec des chiens. L'odeur émise par une
femelle pendant l'œstrus peut provoquer un comportement sexuel même chez une femelle, et
il arrive qu'un chien qui vient d'avoir des rapports sexuels avec une telle femelle et émettant
naturellement aussi cette odeur puisse attirer un autre chien. Dans le même temps, le
comportement apparemment homosexuel sera dû à des stimuli sexuels ordinaires. (Jacque Lynn
Schultz, "Surmonter la bosse", ASPCA Animal Watch , Été 2002 )

Plus loin, les animaux sont limités dans l'expression de leurs sentiments, contrairement aux
humains, à la disposition desquelles expressions faciales, gestes, discours, etc. Par conséquent,
ils peuvent exprimer beaucoup de choses à travers ce que nous percevons comme des contacts
sexuels. Ainsi, encore une fois, on dit que les actes sexuels peuvent en réalité exprimer une
relation de domination et de soumission, ou, à l'inverse, l'intention de faire la paix après une
querelle.

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Beaucoup écrivent que le comportement homosexuel n'est souvent qu'épisodique et n'indique

pas l'orientation "non traditionnelle" d'un individu particulier (ce qui, cependant, a été réfuté à
plusieurs reprises). (Simon Le Vay, Queer Science: L'utilisation et l'abus de la recherche sur
l'homosexualité à, Cambridge, Massachusetts : MIT Press, 1996 )

En!n, les chercheurs a$rment qu'il est impossible d'évaluer le comportement humain à partir
des animaux, en raison de di#érences signi!catives dans le développement psychosexuel et le
comportement sexuel. (Luiz Sergio Solimeo. Le mythe de l'homosexualité animale. )

À mon avis, ces arguments ne sont toujours pas en mesure de réfuter les données reçues par les
partisans de Beigmeel. En fait, ils ne fournissent aucune nouvelle information, mais plutôt
comme des conclusions spéculatives. Cependant, ce n'est que mon avis.)

Les informations sur le comportement homosexuel des animaux ont !nalement réfuté le mythe
du « caractère non naturel » de l'amour homosexuel et ont contribué à la croissance de la
tolérance envers la communauté LGBT. Par ailleurs, informations sur le comportement
homosexuel chez les animaux ont été à la base de la décision cas célèbre « Lawrence contre
Texas ", qui mène à l'abolition dé"nitive des poursuites pour relations homosexuelles aux
États-Unis en 2003.

Et maintenant je donnerai les exemples les plus frappants de comportement homosexuel chez
les animaux, pour commencer chez les mammifères. Alors:

Primates(d'abord bonobo, macaque japonais, chimpanzé) - chez les primates, le nombre de

relations homosexuelles est exceptionnellement élevé. Ainsi, honorant cela sans exception, les
singes bonobos sont bisexuels et entrent dans des relations hétérosexuelles et homosexuelles.
Considérant que leurs communautés ont une structure matriarcale et que les femelles de leurs
populations ont une plus grande liberté, environ 60% de toute l'activité sexuelle de l'espèce se
produit dans des rapports homosexuels entre femelles (nombre de 2 ou plus). La bisexualité est
également observée chez de nombreux autres grands singes. ( Frans B.M. de Waal
(2001).Bonobos et feuilles de !guier. Le singe et le maître sushi : ré$exions culturelles par un
primatologue. Livres de base).

Les relations homosexuelles ne sont pas moins fréquentes chez les marmousets : par
exemple, macaques japonais ils créent des couples homosexuels et souvent même des groupes
entiers de même sexe qui non seulement s'adonnent aux plaisirs corporels ensemble, mais aussi
communiquent constamment les uns avec les autres, jouent et vivent généralement ensemble.
De tels groupes peuvent exister pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines. Il est à noter que
les membres de ces communautés développent un attachement les uns aux autres, et souvent
après la rupture du groupe, plusieurs couples de même sexe se forment. (Bruce Bagemihl,
Biological Exuberance: Animal Homosexuality and Natural Diversity, St. Martin's Press, 1999;
pp.302-305)

chiens domestiques- souvent les chiens entrent dans des relations homosexuelles même s'ils
ont le choix et avec la possibilité d'avoir accès aux femelles, cela est particulièrement évident
chez les chiens vivant à l'état sauvage.

taureau domestique- Les relations homosexuelles entre femmes sont particulièrement

fréquentes chez elles. Et certains agriculteurs encouragent ces relations en protégeant les
vaches de race pure des taureaux pour empêcher l'apparition de descendants non consanguins
indésirables.

Dauphin d'Amazonie – on sait avec certitude que les dauphins d'Amazonie créent souvent des
groupes de 3 à 5 individus du même sexe et se livrent à des relations sexuelles en groupe. En
règle générale, les groupes sont composés d'hommes, dans certains cas, il y a 1-2 femmes. Les
rapports sexuels, non destinés à concevoir une progéniture, entre di#érents individus, quel que
soit leur sexe, sont très courants. Soit dit en passant, il a été observé plus d'une fois comment
des partenaires de même sexe et de sexe opposé pénètrent dans l'évent, représentant ainsi le
seul exemple dans la nature sexe nasal . Dans le même temps, les hommes entrent souvent dans
des relations interspéci!ques de même sexe avec des représentants de marsouins. (Bruce
Bagemihl, Biological Exuberance: Animal Homosexuality and Natural Diversity, St. Martin's Press,
1999;; pages. 339-348 - "Mammifères marins : Dauphins et Baleines")

bison américain - les mâles de cette espèce accomplissent des actes sexuels homosexuels à part
entière par pénétration anale, les femelles entrent également dans des rapports homosexuels.

grand dauphin (grand dauphin) - l'espèce la plus étudiée en relation avec le comportement
homosexuel. Les femmes et les hommes entrent dans des relations homosexuelles, et ces
derniers pratiquent souvent des relations anales (puits,RS. (1995).Structure communautaire des
grands dauphins près de Sarasota, Floride. Communication présentée à la 24e Conférence
internationale d'éthologie, Honoluly, Hawaï.).

Soit dit en passant, il est curieux que les collisions de grands troupeaux de grands dauphins et de
dauphins tachetés de l'Atlantique ne conduisent dans la plupart des cas pas à une agression
mutuelle, mais à des relations sexuelles interspéci!ques, et très souvent homosexuelles.
(Herzing, D.L.; Johnson, C.M. (1997)."Interaction interspéci!que entre les dauphins tachetés
(Stenella frontalis) et les grands dauphins (Tursiops truncatus) aux Bahamas, 1985-1995".
Mammifères aquatiques 23 : 85–99. ) . Comme on dit, Faites l'amour pas la guerre!

Mais nous, êtres rationnels, la couronne de la création, en quelque sorte tout le contraire !xons
des priorités...

Éléphants. Les éléphants d'Asie et d'Afrique éprouvent souvent des sentiments érotiques pour
les membres de leur propre sexe ; lors de la communication, cela s'exprime, par exemple, par
des baisers, le rembobinage mutuel des trompes, la prise de défenses dans la bouche, etc.
Parfois, les éléphants mâles adultes, qui vivent généralement à l'écart du troupeau, forment de
petites alliances qui incluent un éléphant adulte et un ou deux plus jeunes. Contrairement aux
relations hétérosexuelles, qui sont toujours de courte durée, les relations homosexuelles
d'éléphants peuvent durer des années ! On trouve également des unions homosexuelles de
femmes. 45% Éléphants d'Asie en captivité présentent un comportement homosexuel . ( Bruce
Bagemihl, Biological Exuberance: Animal Homosexuality and Natural Diversity, St. Martin's Press,
1999; pp.427-430 )

girafes connu pour une fréquence particulière de

relations homosexuelles chez les hommes. Certains
chercheurs notent que parmi eux il y a plus de contacts
homosexuels que de contacts "traditionnels" ! ( Coe MJ
(1967). "Comportement de "striction" chez la girafe".
JournaldeZoologie (Londres) 151 (3): 313–321.) Les
mâles se serrent longuement le cou et se caressent
généralement avant le rapport sexuel lui-même. Les
femelles ont également des rapports homosexuels, mais beaucoup moins souvent - le nombre
de ces contacts ne représente que 1% de toutes les activités sexuelles chez les girafes.

les Lions s'engagent également souvent dans des relations homosexuelles et pratiquent des
relations anales, sans oublier les caresses et autres manifestations de tendresse. Environ 8% de
l'activité sexuelle des lions est due aux rapports homosexuels entre mâles. Quant aux femelles,
elles forment souvent des couples en captivité, mais ce phénomène n'a pas été observé en
conditions naturelles.

furet forestier manifeste aussi ouvertement un comportement homosexuel

mouton domestique di#ère également dans le nombre de contacts homosexuels. Cela est
également dû, entre autres, au fait que, grâce à la possibilité d'observation à long terme d'un
grand nombre de ces animaux, il est devenu possible d'établir qu'environ 8% des hommes sont
exclusivement homosexuels et ils ne choisissent que d'autres béliers comme partenaires, même
en présence de femelles. Les chercheurs ont noté les di#érences entre ces animaux et les
hétérosexuels au niveau de la structure cérébrale (Roselli, Charles E.; Kay Larkin, John A. Resko,
John N. Stell$ug et Fred Stormshak (2004,). "Le volume d'un noyau sexuellement dimorphe dans
la zone préoptique médiale ovine / l'hypothalamus antérieur varie selon la préférence du
partenaire sexuel". Journal d'endocrinologie, Endocrine Society, Bethesda, MD 145 (2): 478–483 . )

hyène tachetée n'est pas à la traîne des espèces précédentes en termes de comportement
homosexuel. L'hyène se distingue par la structure inhabituelle des organes génitaux, ce qui
donnait auparavant des raisons de les considérer comme des hermaphrodites et cela explique
leurs rapports avec des individus ayant la même structure. Cependant, on sait maintenant avec
certitude que les hyènes ne sont pas hermaphrodites, elles sont juste pour la plupart bisexuelles
et entrent donc très souvent dans des contacts homosexuels. Soit dit en passant, pour cette
raison, la hyène dans l'esprit des Européens était souvent associée à la promiscuité sexuelle, à
l'immoralité et même à la sorcellerie.

Fait intéressant, les communautés d'hyènes tachetées sont basées sur le matriarcat, les femelles
sont plus grandes et plus fortes que les mâles, en général elles sont assez masculines. Les
relations homosexuelles sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes.

Ce ne sont là que les exemples les plus frappants de comportement homosexuel chez les
mammifères. Cela conforte encore l'idée que les sentiments homosexuels sont tout aussi
naturels que les sentiments hétérosexuels , et prive complètement la base du mythe du "crime
contre la nature", qui a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes à travers l'histoire.

La prochaine fois, je partagerai des informations sur les oiseaux, les reptiles et les insectes !)

Merci pour votre attention!

À suivre!..

Dans le règne animal, l'homosexualité est un phénomène assez courant, notamment chez les
animaux de troupeau. On pense qu'environ 1 500 espèces d'animaux, allant des mammifères
aux crabes et aux vers, ont des relations sexuelles avec des membres du même sexe. En fait, ce
nombre est beaucoup plus élevé, c'est juste que les autres animaux ne sont pas aussi bien
étudiés.

Voici 10 représentants du monde animal qui sont connus pour leur orientation sexuelle non
traditionnelle.

1. Éléphants

Un exemple d'orientation sexuelle non traditionnelle chez les éléphants était Éléphant d'Afrique
Niño, qui vivait dans un zoo polonais. Niño préférait la compagnie des mâles et ignorait, voire
terrorisait, les femelles en les frappant avec sa trompe.

À la nature sauvage les éléphants mâles vivent séparément du troupeau commun et forment
des relations qui incluent le contact sexuel, dans lequel ils grimpent les uns sur les autres,
échangent des baisers et entrelacent les trompes.

2. Pingouins

Le comportement homosexuel n'est pas rare non plus chez les pingouins. Par exemple, les
manchots à lunettes Wendell et Cass ont vécu tranquillement ensemble pendant de
nombreuses années dans l'aquarium de New York à Brooklyn, jusqu'à ce qu'en 2002 des tests
génétiques con!rment qu'il s'agissait de mâles. Le couple s'est rencontré quand ils avaient 3-4
ans et ensemble, ils ont vécu 7 ans jusqu'à la mort de Cass.

Une autre couple célèbre sont devenus Roy et Sylou, qui vivaient au Central Zoo de New York.
Pendant longtemps, ils ont voulu élever des progénitures et des pierres écloses jusqu'à ce
qu'elles pondent des œufs d'autres pingouins. Pendant cinq ans de mariage, le couple a élevé un
pingouin femelle, puis Sylou est parti pour un autre.

3. Dauphins

Chez de nombreuses espèces, l'homosexualité n'est pas seulement courante, mais la norme.
Ainsi, par exemple, les dauphins mâles forment des paires de représentants de leur sexe et
prennent soin les uns des autres. Ces soins comprennent à la fois des relations sexuelles et des
orgies sous-marines occasionnelles. Ils s'accouplent également avec des femelles, mais
seulement pendant la saison de reproduction.

4. Hyènes

En ce qui concerne la société matriarcale dans le règne animal, le comportement sexuel des
femelles intrigue souvent les chercheurs. Par exemple, les hyènes femelles ont longtemps induit
les scienti!ques en erreur, car leurs organes génitaux ressemblaient à un pénis et elles étaient
considérées comme des "transsexuelles".

Chez les hyènes, souvent celles qui ont été exposées à plus de testostérone deviennent plus
attirantes. Ce sont souvent des hyènes femelles, plus grandes et plus agressives que les mâles.
En même temps, ils présentent souvent des traits traditionnellement masculins et ont des
relations sexuelles entre eux.

5. Baleine grise

Les baleines grises sont l'un des plus grands nomades du règne animal, voyageant en petits
groupes jusqu'à 20 000 km par an. Ils di#èrent également par leur orientation homosexuelle et
peuvent participer à une sorte d'orgies de 5 hommes. Ils se roulent en éclaboussant de l'eau et
en se frottant le ventre l'un contre l'autre jusqu'à ce que leurs organes génitaux se touchent.

6. Cygnes

Les cygnes appartiennent aux oiseaux de la famille des canards. Environ 20% des cygnes sont
dans un couple homosexuel et dans près de 25% de toutes les familles, les parents sont du
même sexe. Souvent, les couples homosexuels chassent leurs parents hétérosexuels et
prennent les œufs pondus.

7 macaques

Les macaques mâles et femelles se livrent à des rencontres homosexuelles. Les macaques
femelles forment des liens solides entre elles et sont généralement monogames. Pendant la
saison de reproduction, ils entrent souvent dans des relations non conventionnelles. Lors des
caresses génitales, ils expriment leur plaisir par des caquetages. Chez les hommes, les
rencontres homosexuelles sont généralement des "aventures d'un soir".

8. Les bonobos

L'un de nos plus proches parents, le chimpanzé nain bonobo, n'est pas non plus étranger au
plaisir sexuel. Presque tous les bonobos sont bisexuels et résolvent souvent les con%its en
suivant le principe « faites l'amour, pas la guerre ». Ils s'accouplent souvent, tout en exprimant
leur plaisir par de grands cris, et entrent dans des relations homosexuelles. Environ les deux tiers
des femmes ont également des relations sexuelles avec des membres de leur propre sexe.

9 Coq de Guyane

Les coqs de roche vivant en Guyane en Amérique du Sud, a un aspect brillant avec un joli
plumage orange. Peut-être que peu d'entre nous connaissent cet oiseau, mais quand même
moins de personnes Je suppose que près de 40 % des hommes participent à des activités
homosexuelles et qu'un petit pourcentage de bettas rocheux ne s'accouplent jamais avec des
femmes.

10. tribolium de la farine

Le coléoptère mâle du genre farine Khrushchak agit sur la base de ses instincts et de ce qu'il
considère juste pour le moment. Il est prouvé que ces coléoptères se livrent à des rapports
homosexuels pour pratiquer l'accouplement et se débarrasser du vieux sperme.

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