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Chapitre VIII: Les bijoux du malheur/ les bijoux de porte-malheur /les

bracelets maudits / les bracelets de mauvais augure

Les principaux idées :


1. Avec l’arrivée de la chaleur, les mouches firent leur apparition dans
la maison du narrateur où la mère les chassait á grand coups de torchon.
2. L’école coranique quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude,
pour s’installer dans un sanctuaire proche ce qui améliore l’aptitude de sidi
mohamed dans l’apprentissage rapide du coran sans difficulté.
3. Un lundi le père du narrateur annonça son intention d’emmener sa
femme et son fils au souk des bijoux pour acheter des bracelets soleil et lune
(or et argent) á sa femme.
4. Accompagnée de fatma Bziouya, la famille du narrateur arriva au
souk des bijouteries
5.  Le père du narrateur qui voulait corriger le courtier malhonnête,
se disputa avec lui et disparut dans la foule des badauds.
6.  Sa famille rentra en pleurs pour attendre la fin des événements.
7.  A son retour, le père apporta les bracelets dont sa femme n’en
voulait plus arguant qu’ils vont attirer le malheur sur son foyer.( la
supposition)
8.  Les délires et la fièvre de sidi Mohammed inquiètent Zoubida qui
reproche à son mari d'être la cause.
9. Les nouveaux malheurs de lalla aicha : Son mari Moulay Larbi
épouse une seconde femme (la fille du coiffeur) une atmosphère de
chagrin : Cris et pleures.
10. Sidi Mohamed, rendu malade par tout ce tragique, en devint
véritablement malade.
L'ambiance de la fête est loin maintenant et la vie retrouve sa monotonie
et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur sont là. L'école coranique
quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude pour s'installer dans un
sanctuaire proche. L'enfant se porte bien et sa mémoire fait des miracles.
Son maître est satisfait de ses progrès et son père est gonflé d'orgueil.
Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu'elle désirait tant. Mais la visite
au souk aux bijoux se termine dans un drame. La mère qui rêvait tant de
ses bracelets que son mari lui offre, ne songe plus qu'a s'en débarrasser.
Ils sont de mauvais augure et causeraient la ruine de la famille. Les
ennuis de Lalla Aicha ne sont pas encore finis. Son mari vient de
l'abandonner. Il a pris une seconde épouse, la fille de Si Abderahmen, le
coiffeur. Si l'enfant se consacre avec assiduité à ses leçons, il rêve
toujours autant. Il s'abandonne dans son univers à lui, il est homme,
prince ou roi, il fait des découvertes et il en veut à mort aux adultes de ne
pas le comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla
Aîcha racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué
par la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.

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