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#ONSTRUCTION
#ONSTRUCTION§DU§GROS§OEUVRE
3TRUCTURE§DES§COUCHES
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0HYSIQUE§DU§BÈTIMENT
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0ROCÃDURE§DE§COMMANDE
4RANSPORT
#ONDITIONS§RELATIVES§AU§TRANSPORT
4EXTE§D@APPEL§Ê§PROPOSITIONS
$ÃCOUPE
"ÈTIMENTS§DE§RÃFÃRENCE
.OTE
Informations techniques
Informations techniques
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES DES PANNEAUX CLT 04/2012
Les panneaux CLT sont principalement utilisés pour la réalisation des murs, plafonds et
Application
éléments de toiture des constructions d’habitation et des édifices commerciaux et publics.
Épaisseur maximum 40 cm
Essences Épicéa (les plis intérieurs peuvent contenir du pin ; mélèze et pin sur demande)
Humidité 12 % ± 2 %
Adhésif Colles sans formaldéhyde pour collage des chants, aboutage et collage des faces
Qualités non visible, visible industrie et visible habitat ; les surfaces des panneaux sont
Qualité visuelle
toujours poncées.
5,0 kN/m³ selon la norme DIN 1055-1:2002 – pour les calculs statiques ;
Poids propre
utilisé pour déterminer le poids de transport : environ 470 kg/m³.
Taux de gonflement et de retrait (selon la norme DIN 1052:2008) sous la zone de saturation
des fibres :
Altération de forme lors
des variations du taux perpendiculairement au panneau de bois massif : 0,02 % de variation de longueur pour
d’humidité 1 % de variation du taux d’humidité du bois
verticalement par rapport au panneau de bois massif : 0,24 % de variation de longueur
pour 1 % de variation du taux d’humidité du bois
Conductivité thermique λ Selon le rapport d’expertise émis le 10/07/2009 par SP Suède 0,11 W/(mK)
Classe d’utilisation / Emploi correspondant aux classes d’utilisation 1 et 2 telles que définies par la norme
domaine d’application EN 1995-1-1.
Informations techniques
STRUCTURES STANDARD DES PANNEAUX CLT 04/2012
Longueur Largeur
Panneaux C
Épaisseur Dénomination Plis Disposition des lamelles
nominale [—] [—] [mm]
[mm] C L C L C L C
60 C3s 3 20 20 20
80 C3s 3 30 20 30
90 C3s 3 30 30 30
100 C3s 3 30 40 30 C3s
120 C3s 3 40 40 40
100 C5s 5 20 20 20 20 20
120 C5s 5 30 20 20 20 30
140 C5s 5 40 20 20 20 40 C5s
160 C5s 5 40 20 40 20 40
Largeur
Longueur
P ann ea ux L
Épaisseur Dénomination Plis Disposition des lamelles
nominale [—] [—] [mm]
[mm] L C L C L C L
60 L3s 3 20 20 20
80 L3s 3 30 20 30
90 L3s 3 30 30 30
L3s
100 L3s 3 30 40 30
120 L3s 3 40 40 40
100 L5s 5 20 20 20 20 20 L5s
120 L5s 5 30 20 20 20 30
140 L5s 5 40 20 20 20 40
160 L5s 5 40 20 40 20 40
L5s-2*
180 L5s 5 40 30 40 30 40
200 L5s 5 40 40 40 40 40
160 L5s-2* 5 60 40 60
180 L7s 7 30 20 30 20 30 20 30 L7s
200 L7s 7 20 40 20 40 20 40 20
240 L7s 7 30 40 30 40 30 40 30
220 L7s-2* 7 60 30 40 30 60
240 L7s-2* 7 80 20 40 20 80 L7s-2*
260 L7s-2* 7 80 30 40 30 80
280 L7s-2* 7 80 40 40 40 80
300 L8s-2** 8 80 30 80 30 80
320 L8s-2** 8 80 40 80 40 80 L8s-2**
Les panneaux CLT en bois massif sont composés de plaques monocouches encollées et disposées
perpendiculairement les unes par rapport aux autres. Les panneaux ont une largeur maximum de 2,95 m et une
longueur maximum de 16,00 m.
Exemple : structure d’un panneau CLT en bois massif composé de cinq couches
+
collage des surfaces
Discolorations (taches
non admis non admis admises
brunes…)
pas d’accumulation de
Poches de résine poches de résine ; max. 10 x 90 mm admises
max. 5 × 50 mm
admises : gerces
Gerces superficielles apparaissant de admises admises Qualité visible habitat
façon isolée
VI
admises de façon isolée
Cœur – Moelles pourvu que leur longueur ne admises admises
dépasse pas 40 cm
Qualité de la finition des admis : petits défauts si admis : défauts si admis : défauts si
surfaces apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée
Stora Enso propose pour les panneaux CLT les trois qualités de plis suivantes :
NVI qualité non visible
IVI qualité visible industrie
VI qualité visible habitat
Les différentes qualités de panneaux CLT proposées par Stora Enso sont composées de plaques monocouche
correspondant à une ou plusieurs de ces trois qualités de base.
Qualité NVI
Qualité INV
Qualité VI
Qualité BVI
Qualité IBI
Qualité IVI
Récapitulatif
PEFC
Le logo PEFC garantit que ce produit a été soumis à des critères de con-
trôle très stricts sur l’ensemble de la chaîne de production, depuis la forêt
jusqu’au produit final. Stora Enso apporte confirmation que ces critères sont
respectés, notre société étant elle-même régulièrement contrôlée par des
organismes indépendants.
Informations techniques
INFORMATIONS GÉNÉRALES 04/2012
Montage
Afin d’éviter tout dommage physique ou matériel, on veillera à prendre toutes les mesures nécessaires afin
d’assurer la bonne sécurité pendant le montage.
Les points suivants doivent être respectés :
N’employez que des accessoires de levage et d’élingage parfaitement appropriés.
Pour les panneaux présentant des ouvertures particulièrement importantes (fenêtres par exemple), veillez à
assurer la bonne stabilité et le raidissement correct de ceux-ci (danger que les panneaux ne cèdent et ne se
brisent lors de l’opération de levage).
Veillez à ne pas endommager les parties particulièrement fragiles ou exposées telles que les arêtes des pan-
neaux ou la face visible de ceux-ci.
Prenez les mesures nécessaires afin d’éviter de salir les panneaux ; protégez par exemple les panneaux à
face visible VI et IVI au moyen de films plastiques ou de panneaux en carton.
Protégez également les panneaux CLT contre l’eau et les intempéries.
Veillez à prendre toutes les mesures requises en matière de protection incendie et de protection contre le
bruit (normes à respecter).
N’utilisez les panneaux CLT que pour des applications correspondant aux classes d’utilisation I et II. Il est im-
portant de souligner qu’il est interdit de soumettre les panneaux CLT à une exposition directe aux intempéries
ou à une humidité de l’air qui serait en permanence extrêmement élevée. Si c’est cependant le cas,
l’utilisateur s’engage à en assumer pleinement les éventuelles conséquences.
Prenez soin de fournir aux différents corps de métier impliqués dans le projet de construction toutes les infor-
mations nécessaires et faites référence à notre site www.clt.info.
Les informations indiquées ici constituent des exemples de construction proposés par Stora Enso.
A Construction du gros œuvre
Socle et ancrage des murs
Joint de mur
Linteaux
Plafond
Nœud de jonction « paroi étage inférieur – plafond – paroi étage supérieur »
Toit
Porte-à-faux et renforcement supérieur de plancher
C Détails
Socle et ancrage des murs
Joint de fenêtres
Joint de portes
Porte-à-faux
Toit à forte pente
Toit plat
Installations électriques
Installations sanitaires
Cheminée
Escaliers
D Autres applications
Bâtiments industriels et commerciaux
Immeubles d’habitation
Agrandissements
Ouvrages de génie civil
Les constructions et les structures doivent pour chaque cas particulier faire l’objet de vérifications et de calculs
portant sur la statique et la physique des constructions ainsi que sur la faisabilité de chaque projet. La réalisation
effective des projets conformément aux règles de l’art est de la responsabilité des corps de métiers auxquels est
confiée l’exécution des travaux.
A_Construction du gros oeuvre
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
étanchement vertical
assise
lit de mortier
Réalisation
t Le panneau CLT peut être posé aussi bien sur un lit de mor- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
tier sec qu’un lit de mortier humide (compensation des tolé- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
rances). Attention ! Toute la face du panneau est en contact gences statiques.
avec le lit de mortier. Le panneau CLT doit être protégé des
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
remontées d’humidité par un joint d’étanchéité approprié.
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joints d’étanchéité
connecteur de mur
étanchement vertical (en fonction des exigences statiques)
semelle (sablière)
Réalisation
t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joints d’étanchéité
connecteur de mur
étanchement vertical (en fonction des exigences statiques)
connecteur de semelle
(selon les exigences
statiques)
assise
étanchement contre
les remontées
d’humidité
semelle (sablière)
Réalisation
t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
t Une semelle surélevée permet le cas échéant d’obtenir une à respecter les écartements autorisés entre les bords des
hauteur de paroi supérieure en faisant passer celle-ci de organes d’assemblage.
2 950 mm à 3 050 mm.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
étanchement vertical
assise
lit de mortier
Réalisation
t Le panneau CLT peut être posé aussi bien sur un lit de mor- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
tier sec qu’un lit de mortier humide (compensation des tolé- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
rances). Attention ! Toute la face du panneau est en contact gences statiques.
avec le lit de mortier. Le panneau CLT doit être protégé des
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
remontées d’humidité par un joint d’étanchéité approprié.
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
semelle (sablière)
Réalisation
t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lorsque vous vissez le panneau CLT à la semelle, prenez
t Au moment de l’ancrage des murs, on tiendra compte des soin de respecter les écartements autorisés entre les bords
contraintes horizontales et verticales particulières qui s’exer- des organes d’assemblage.
cent du fait de la surélévation et on prendra soin d’utiliser les
connecteurs appropriés (cf. photo de gauche).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
2 Joints de mur
Règles de base en matière de construction
Joints de mur :
neaux verticalement.
(pour plus de détails, reportez-vous aux points 2.6
en CLT
panneau mural
et 2.7)
en CLT
pa
nn
ea
en u mu
CL ral
T
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joints d’étanchéité
connecteurs vissés
panneau mural
(selon les exigences statiques)
en CLT
Réalisation
t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des et des éléments de construction se font en fonction des exi-
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les gences statiques.
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Selon les exigences, le boulonnage du joint de coin sera réa-
lisé soit d’un point de vue purement constructif (vis à 90° par
rapport à la paroi), soit de manière statiquement effective
(vissage oblique en bout).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
2.2 Joint en T
joints d’étanchéité
panneau mural
en CLT
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Si les pièces d’un bâtiment doivent présenter une parfaite t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
étanchéité à l’air, les joints des panneaux CLT devront alors et des éléments de construction se font en fonction des exi-
être équipés de joints d’étanchéité. gences statiques.
t Selon les exigences, le boulonnage du joint en T sera réalisé
soit d’un point de vue purement constructif (vis à 90° par
rapport à la paroi), soit de manière statiquement effective
(vissage oblique en bout).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joint d’étanchéité
Réalisation
t Si vous utilisez des planches de jointure (panneau à trois plis t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ou bois de placage par exemple), prenez soin pour les et des éléments de construction se font en fonction des exi-
feuillures de respecter les dimensions standard qui sont de gences statiques.
27 × 80 mm.
t Si vous utilisez des planches-joint pour assembler des pan-
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- neaux feuillurés, gardez à l’esprit qu’en raison de la feuillure,
ment une bonne étanchéité à l’air. la surface de bois de bout des panneaux CLT s’en trouve
réduite d’autant (pression superficielle).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Lorsque les murs intérieurs sont positionnés de façon adé-
quate, ceux-ci peuvent également assurer la fonction du t Le montant mural peut servir de surface d’appui supplé-
montant mural indiqué sur le dessin. mentaire pour des entraits ou des pannes par exemple
(pression superficielle plus élevée).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joint d’étanchéité
assemblage (par des clous, vis ou clameaux)
avec le panneau
(en fonction des exigences statiques)
Réalisation
t Si vous utilisez des planches-joint extérieures faisant saillie t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
(panneau à trois plis ou bois de placage par exemple), veillez et des éléments de construction se font en fonction des exi-
à ce que la structure des couches qui seront posées ensuite gences statiques.
leur soit adaptée.
t Pour ce type d’assemblage des panneaux CLT, il faudra tenir
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- compte tout particulièrement du risque de flambage de la
ment une bonne étanchéité à l’air. paroi.
t On peut augmenter la rigidité de l’assemblage par des col-
lages supplémentaires.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joint d’étanchéité
espace d’assemblage
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant (sur un côté). Celui-ci sera fonction t S’il n’est pas possible d’éviter des forces de cisaillement
du type de construction. importantes au niveau du joint, les organes d’assemblage
devront alors être dimensionnés et positionnés de manière à
t Si nécessaire, prévoyez également à hauteur de la feuillure
correspondre aux forces exercées.
suffisamment de place pour permettre la pose d’un joint
d’étanchéité.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joint d’étanchéité
espace d’assemblage
planche-joint
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Si vous utilisez des planches de jointure (panneau à trois plis t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ou bois de placage par exemple), prenez soin pour les et des éléments de construction se font en fonction des exi-
feuillures de respecter les dimensions standard qui sont de gences statiques.
27 × 80 mm.
t Au lieu de connecteurs vissés, la planche-joint peut être
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- assemblée aux panneaux CLT au moyen de colles appro-
ment une bonne étanchéité à l’air. priées qui ont pour avantage de garantir une meilleure trans-
mission des forces de cisaillement.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
3 Linteaux
3.1 Linteau continu
ouverture de fenêtre
panneau mural
en CLT hauteur du garde-corps
dalle de plancher
en CLT
linteau continu
ouverture de fenêtre
panneau mural
en CLT
Réalisation
t Si d’un point de vue statique la hauteur du garde-corps se t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
révèle être insuffisante, il faudra dans ce cas prévoir un ren- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
forcement supérieur de plancher dimensionné de façon cor- gences statiques.
respondante et auquel on pourra suspendre le linteau. Si l’on
t L’assemblage du linteau au renforcement supérieur de plan-
utilise comme renforcement de plancher une paroi se trou-
cher (paroi supérieure) peut être réalisé par exemple au
vant au-dessus du linteau, il faudra alors tenir compte de la
moyen de tôles perforées ou de connecteurs vissés (évitez
hauteur du garde-corps pour les ouvertures de fenêtre.
dans ce cas le vissage oblique en bout).
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
ouverture de fenêtre
linteau en
ouverture de fenêtre appui (CLT)
Réalisation
t Le dimensionnement d’un linteau en appui doit corres- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pondre aux charges et aux forces qui s’exercent sur et des éléments de construction se font en fonction des exi-
celui-ci. gences statiques.
t Il convient de tenir compte de la pression superficielle qui t Un linteau en CLT absorbe et transmet bien mieux les forces
s’exerce au niveau de la surface d’appui du linteau. de cisaillement qu’un linteau en bois lamellé-collé. Ceci s’ex-
plique par le fait que le bois lamellé-collé ne comporte pas
de couches transversales.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
4 Plafond
4.1 Joint de plafond (planche-joint)
espace d’assemblage
planche-joint
joint d’étanchéité
organes d’assemblage
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Si les joints de plafond sont réalisés au moyen d’une t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
planche-joint (panneau aggloméré à fibres orientées [OSB], et des éléments de construction se font en fonction des exi-
panneau à trois plis ou bois de placage par exemple), prenez gences statiques.
soin pour les feuillures de respecter les dimensions standard
t On utilisera comme connecteurs des clous, des vis ou des
qui sont de 27 × 80 mm.
clameaux correctement dimensionnés (vérifiez que le dia-
t Selon les exigences, on posera également des bandes mètre minimum imposé par l’agrément technique est bien
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. respecté).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
dalle de
dalle de plancher
plancher
en CLT
en CLT
Réalisation
t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant (sur un côté). Celui-ci sera fonction t SI le joint peut être soumis à une direction accrue des efforts
du type de construction. tranchants, il faudra alors dimensionner et disposer les
connecteurs en tenant compte de ce paramètre.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
joint d’étanchéité
système statique :
système statique :
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
entrait
connecteurs vissés avec entraits
(selon les exigences statiques)
connecteurs vissés servant à accroître
dalle de plancher en CLT la traction transversale
(selon les exigences statiques)
joint d’étanchéité
Réalisation
t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de t Si le système statique l’exige, il faudra employer des vis à
construction. filetage total afin de garantir un raccord effectif compte tenu
des forces et tractions transversales qui s’exercent au niveau
du joint et de la surface d’appui.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
poutre en acier
faisant fonction d’entrait
(sous le plafond)
connecteurs vissés
dalle de plancher en CLT (selon les exigences
statiques) dalle de plancher en CLT
(espace d’assemblage pour la poutre
en acier !)
placoplâtre ou plaque
de plâtre armé
poutre en acier
faisant fonction d’entrait
(face inférieure avec feuillure, face
supérieure sans feuillure)
dalle de plancher en CLT
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Réalisation
t Selon les exigences, on posera ou collera également des t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
bandes d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du et des éléments de construction se font en fonction des exi-
joint. gences statiques.
t Afin d’éviter toute complication lors de l’assemblage, on t En cas d’exigences particulières en matière de protection
prendra soin de ménager un espace d’assemblage suffisant incendie, il faudra revêtir les entraits métalliques d’un
entre les dalles de plancher en CLT et les poutres en acier. habillage ou bien traiter leur surface avec une peinture
spéciale.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
espace d’assemblage
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Selon les exigences, on posera une bande adhésive appro- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
priée afin d’assurer une parfaite étanchéité à l’air (collage et des éléments de construction se font en fonction des exi-
des joints). gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Si nécessaire, on prendra soin de renforcer la surface d’ap-
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de pui qui se trouve dans le panneau mural. On utilisera pour ce
construction. faire une plaque métallique et des vis à filetage total (pres-
sion superficielle).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)
Réalisation
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Réalisation
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Réalisation
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.
t Les supports de fixation métalliques devront être adaptés à
la taille des entraits.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
couronne
structure du plafond
entrait de plafond
panneau mural en CLT
couronne
structure du
plafond
entrait de plafond
panneau mural en CLT
Réalisation
t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Il est important de conserver la couche centrale (zone de
feuillure) afin de pouvoir garantir la parfaite étanchéité à l’air t Attention ! Au niveau du joint des panneaux, la surface d’ap-
du panneau mural en CLT. pui se trouve réduite du fait de la feuillure. En outre, la cou-
ronne peut diminuer, ce qui a alors pour effet d’empêcher la
transmission des forces (pression superficielle).
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Réalisation
t Pensez à tenir compte du fléchissement de la dalle de plan- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
cher (vérification de l’aptitude à l’emploi ; prise en compte de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
l’entraxe des entraits ainsi que des dimensions du plafond). gences statiques.
Illustration
Construire en CLT
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nervure
(bois lamellé-collé)
Réalisation
t Pensez à tenir compte du fléchissement de la dalle de plan- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
cher (vérification de l’aptitude à l’emploi ; prise en compte de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
l’entraxe des nervures ainsi que des dimensions du gences statiques.
plafond).
t Le plafond — dont l’axe de portée correspond à celui des
t Structure composite statique entre les nervures et le plafond nervures — peut être inclus ou pris en compte dans les
(collages ou connecteurs vissés). calculs statiques.
Illustration
Construire en CLT
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connecteur de mur
bandes
(selon les exigences statiques)
d’étanchéité
dalle de plancher en CLT
Réalisation
t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Ancrage des murs effectué de manière à obtenir un assem-
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des blage statiquement effectif entre les parois et le plafond
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les (efforts de cisaillement et forces de traction).
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Assemblage vissé du joint en T à réaliser soit de l’intérieur,
t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage soit de l’extérieur.
et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
bandes d’étanchéité
dalle de plancher en CLT
Réalisation
t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des et des éléments de construction se font en fonction des exi-
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les gences statiques.
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Ancrage des murs effectué de manière à obtenir un assem-
blage statiquement effectif entre les parois et le plafond
(efforts de cisaillement s’exerçant dans le sens de la paroi ;
forces de traction et de compression résultant des
contraintes exercées par le vent).
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
espace d’assemblage
Réalisation
t En cas d’exigences particulières en matière de protection t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
incendie, il faudra doter d’un habillage l’équerre en métal qui et des éléments de construction se font en fonction des exi-
sert d’appui à la dalle de plancher. gences statiques.
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6 Toiture
6.1 Toiture en CLT (coyaux)
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
ment une bonne étanchéité à l’air. neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
t Prenez soin de respecter les écarts requis entre les connec-
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
teurs vissés.
cées par le vent.
t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
bandes d’étanchéité
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t L’arête du panneau mural en CLT doit être chanfreinée. Le
panneau de toiture en CLT forme quant à lui l’auvent et la t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
partie inférieure visible de celui-ci. neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
cées par le vent.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Le panneau mural en CLT présente une arête rectiligne, ce
qui nécessite donc la réalisation d’une entaille dans le pan- t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
neau de toiture. Attention ! Une entaille trop profonde entraî- neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
nerait une fragilisation de la partie inférieure de la toiture. les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
cées par le vent.
Illustration
Construire en CLT
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espace d’assemblage
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
chevron
Réalisation
t Prenez soin de prévoir un espace d’assemblage suffisant au t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
niveau des évidements destinés à recevoir les chevrons. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Selon les exigences, on assurera l’étanchéité à l’air de la
construction en posant soit des bandes d’étanchéité de t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les chevrons
joint, soit des bandes adhésives qui seront disposées sur la et le panneau CLT absorbent les forces de dépression résul-
face extérieure. tant des contraintes exercées par le vent.
Illustration
Construire en CLT
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connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)
chevron
bandes d’étanchéité
Réalisation
t Lors de la conception et de la réalisation, on veillera à ce que t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
la longueur des pannes d’auvent soit suffisante afin que et des éléments de construction se font en fonction des exi-
celles-ci puissent passer au minimum sous un des chevrons gences statiques.
situés à l’intérieur des combles (derrière la paroi du pignon).
t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les chevrons
t Selon les exigences, on assurera l’étanchéité à l’air de la avec le panneau CLT ou la panne d’auvent absorbent les
construction en posant soit des bandes d’étanchéité de forces de dépression résultant des contraintes exercées par
joint, soit des bandes adhésives qui seront disposées sur la le vent.
face extérieure.
Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
espace d’assemblage
panne courante (entre les panneaux CLT)
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
bandes d’étanchéité
Réalisation
t Prenez soin de respecter les largeurs et les surfaces d’appui t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
requises. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Veillez également à la bonne profondeur des entailles. Celle-
ci varie en effet en fonction de la structure des panneaux de
toiture (nombre de plis des panneaux).
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti-
ment une bonne étanchéité à l’air.
Illustration
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CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Montage réalisé à l’aide d’un gabarit.
t Dans ce cas, l’assemblage vissé des panneaux de toiture en
CLT absorbe et transmet essentiellement les forces de
cisaillement.
Illustration
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CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
dalle de plancher en
CLT renforcement supérieur de plancher
(bois lamellé-collé)
connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)
Réalisation
t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les dalles de t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
plancher au renforcement supérieur de plancher doivent et des éléments de construction se font en fonction des exi-
être choisis en fonction des forces exercées. On optera gences statiques.
selon les cas soit pour des vis à filetage total, soit pour des
vis à tête large et à filetage partiel.
t Si vous utilisez des vis à tête large et à filetage partiel, prenez
soin de tenir compte de la force de boulon encastré.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
dalle de plancher
en CLT renforcement supérieur de
plancher (poutre en acier)
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
Réalisation
t Dans ce cas, l’assemblage peut être réalisé aussi bien avec t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
des vis à filetage total qu’avec des vis à filetage partiel. Étant et des éléments de construction se font en fonction des exi-
donné que le vissage s’effectue de haut en bas, il faudra, gences statiques.
pour les poutres en acier de faible section, veiller à ce que la
bride supérieure soit elle aussi dotée de forures afin de per-
mettre le passage et le vissage des vis utilisées pour
l’assemblage.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
dalle de plancher
en CLT
paroi faisant
fonction de
renforcement
supérieur de
plancher
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT
ha
u te
ur
du
ga
rd e Attention ! Si le mur présente une ouverture de fenêtre à
-co cet endroit, il ne pourra en aucun cas faire fonction de
r ps
porte-à-faux ou d’appui pour d’autres parois !
plaque métallique
(renforcement de la surface d’appui)
Réalisation
t Si les panneaux muraux de l’étage supérieur servent de ren- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
forcement supérieur de plancher (pour la fixation des dalles et des éléments de construction se font en fonction des exi-
de plancher vers le haut), pensez à prendre en compte les gences statiques.
ouvertures de fenêtre et les hauteurs du garde-corps
t Les dalles de plancher en saillie doivent être assemblées
correspondantes.
aux parois murales qui se trouvent au-dessus en utilisant
t Utilisez une plaque métallique et des vis à filetage total afin des vis à filetage total qui seront disposées à faible intervalle
de permettre la transmission de bois de bout à bois de bout les unes des autres.
des contraintes exercées sur cette partie de la structure
(pression).
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CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012
Illustration
B_Structure des couches
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
1 Mur extérieur
1.1 Isolation en laine minérale
MBUUFEFCPJT TFSWBOU
EFTUSVDUVSFJOUFSNÏ-
EJBJSFEBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO MBJOFNJOÏSBMF
– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
– MBUUJT
– DPGGSBHFIPSJ[POUBM
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOUEPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT
t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
MBUUJT TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
– MBUUJTFUDPOUSFMBUUJT
– DPGGSBHFWFSUJDBM
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOUEPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT
t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
HFODFTTUBUJRVFT
t 7FJMMF[ËDFRVFMFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMBDPVDIF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EFOEVJUTPJFOUBEBQUÏFTËMBTUSVDUVSFEFMBQBSPJ DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SPUÏHF[ MF QPVSUPVS EFT FOEVJUT BSÐUFT
BWFD EFT QSPýMT
BQQSPQSJÏT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
QPVUSFFO* TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO DFMMVMPTF
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
– MBUUJT
– DPGGSBHFIPSJ[POUBM
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOUEPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT
t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
QPVUSFFO* TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO DFMMVMPTF
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT
– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
HFODFTTUBUJRVFT
t 7FJMMF[ËDFRVFMFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMBDPVDIF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EFOEVJUTPJFOUBEBQUÏFTËMBTUSVDUVSFEFMBQBSPJ DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SPUÏHF[ MF QPVSUPVS EFT FOEVJUT BSÐUFT
BWFD EFT QSPýMT
BQQSPQSJÏT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
DMPVPVDIFWJMMF
EJTPMBUJPO ýYBUJPO
ËSÏBMJTFSFOSFT-
QFDUBOUMFT
DPOTJHOFTGPVSOJFT
QBSMFGBCSJDBOUEV
TZTUÒNFEJTPMBUJPO
UIFSNJRVF
FYUÏSJFVSF
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO QPMZTUZSÒOFFYQBOTÏ
– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
HFODFTTUBUJRVFT
t 4JMJTPMBUJPOFOQPMZTUZSÒOFFYQBOTÏ 14&
QSÏTFOUFMBWBO- t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
UBHFEÐUSFNPJOTDPßUFVTF
JMOFOEFNFVSFQBTNPJOTRVF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EBOT MF DPOUFYUF EFT DPOTUSVDUJPOT FO CPJT
FMMF SFTUF USÒT
DSJUJRVÏF
OPUBNNFOUFOUFSNFTEÏDPMPHJF
EJTPMBUJPOQIP-
OJRVFFUEÏUBODIÏJUÏËMBEJGGVTJPO
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
2 Mur intérieur
2.1 CLT de qualité visible
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
Réalisation
t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS
MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 1PVSMFTQBOOFBVYWJTJCMFT
POEJTUJOHVFFOUSFMFTQBOOFBVY t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
ËVOFGBDFWJTJCMFFUDFVYËEFVYGBDFTWJTJCMFT DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
Réalisation
t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS
MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
Réalisation
t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS
MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t &O DBT EFYJHFODFT QBSUJDVMJÒSFT FO NBUJÒSF EF QSPUFDUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
JODFOEJF
MFT QBOOFBVY FO $-5 TFSPOU SFDPVWFSUT EVOF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EPVCMFDPVDIFEFQMBDPQMÉUSFPVEFQMÉUSFBSNÏ
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUJT
JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUJT
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
Réalisation
t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS
MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 4J MF WJEF UFDIOJRVF QFSNFU VOF DFSUBJOF BNÏMJPSBUJPO EF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
MJTPMBUJPO QIPOJRVF
JM QSÏTFOUF DFQFOEBOU EFT JODPOWÏ- DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
OJFOUTFOUFSNFTEFSÏHVMBUJPOEFMIVNJEJUÏFUEFDBQBDJUÏ
UIFSNJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFMBUUFTFU
QBOOFBVYFO$-5
4USVDUVSF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT TVSCSJEFEFSFTTPSU
JTPMB-
UJPO FOUSFMFTMBUUFT
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
Réalisation
t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS
MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 4J MF WJEF UFDIOJRVF QFSNFU VOF DFSUBJOF BNÏMJPSBUJPO EF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
MJTPMBUJPO QIPOJRVF
JM QSÏTFOUF DFQFOEBOU EFT JODPOWÏ- DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
OJFOUTFOUFSNFTEFSÏHVMBUJPOEFMIVNJEJUÏFUEFDBQBDJUÏ
UIFSNJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
3 Structure de plancher
3.1 Chape humide
4USVDUVSF
– DIBQF
– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU QBOOFBVNVSBMFO$-5
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFEFSJWF
TÏQBSBUJPO
FOUSFDIBQF
FUQBOOFBVY
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
HFODFTTUBUJRVFT
t /PVCMJF[QBTEFQPTFSMBCBOEFEFSJWFRVJGFSBTÏQBSBUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
FOUSF MB DIBQF FU MFT QBOOFBVY BýO EÏWJUFS MFT FGGFUT EF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EÏSJWBUJPOBDPVTUJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– DIBQF DIBVGGBHFQBSMFTPM
– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU QBOOFBVNVSBMFO$-5
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFEFSJWF
TÏQBSBUJPO
FOUSFDIBQF
FUQBOOFBVY
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
HFODFTTUBUJRVFT
t /PVCMJF[QBTEFQPTFSMBCBOEFEFSJWFRVJGFSBTÏQBSBUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
FOUSF MB DIBQF FU MFT QBOOFBVY BýO EÏWJUFS MFT FGGFUT EF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EÏSJWBUJPOBDPVTUJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– DIBQFTÒDIF
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF QBOOFBVNVSBMFO$-5
HSBWJMMPOOBHF
– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
– QBOOFBVMÏHFSFOMBJOFEF QBOOFBVNVSBMFO$-5
CPJT
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QBOOFBVBHHMPNÏSÏËýCSFT
PSJFOUÏFT 04#
– QBOOFBVMÏHFSFOMBJOFEF
CPJT QBOOFBVNVSBMFO$-5
– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– MBJOFEFSPDIF
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
Réalisation
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– MBUUFT QPTÏFTTVSEFTCBOEFT
EJTPMBUJPO
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
Réalisation
t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF
JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
JTPMBUJPO 4USVDUVSF
FOUSFMFTMBUUFT
– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEF
CBOEFEJTPMBUJPO SFTTPSU
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
CSJEFEFSFTTPSU
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
Réalisation
t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF
JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT
4USVDUVSF
QBOOFBVYEF
QMBGPOE – EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
TVTQFOEVT – FTQBDFWJEF JOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT
– TZTUÒNFTVTQFOEVBWFDQBOOFBVYEF
QMBGPOE
Réalisation
t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF
JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
t *MFTUQPTTJCMFEFEJTTJNVMFSMFTJOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
5 Toiture
5.1 Isolation de toit à forte pente : fibres de bois douces
FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
DIFWSPO
ýYBUJPOËSÏBMJTFSFO 4USVDUVSF
GPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT<BODSBHFDPOUSF – DPVWFSUVSF
MFTGPSDFTEFTVDDJPO>
– MBUUBHF MJUFBVY
– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– ýCSFTEFCPJTEPVDFT TVSMFT
DIFWSPOT
– ýCSFTEFCPJTEPVDFT EPVCMF
DPVDIF
– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
QPVUSFFO* TUSVDUVSF
JOUFSNÏEJBJSFEBOTMB
DPVDIFEJTPMBUJPO
4USVDUVSF
– DPVWFSUVSF
– MBUUBHF MJUFBVY
– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– ýCSFTEFCPJTEPVDFT TVSMFT
DIFWSPOT
– JTPMBUJPOFODFMMVMPTF
– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
DIFWSPO
ýYBUJPOËSÏBMJTFSFO 4USVDUVSF
GPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT<BODSBHFDPOUSF – DPVWFSUVSF
MFTGPSDFTEFTVDDJPO>
– MBUUBHF MJUFBVY
– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– MBJOFNJOÏSBMF
– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF
GSFJOWBQFVS
4USVDUVSF
– DPVWFSUVSF
– MBUUBHF MJUFBVY
– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– JTPMBOUFOQPMZVSÏUIBOF
– GSFJOWBQFVS
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t $PNQUFUFOVEFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMJTPMBOUFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPMZVSÏUIBOF OPOQFSNÏBCMFËMBEJGGVTJPO
POQSFOESBTPJO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJOTUBMMFSVOGSFJOWBQFVS HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– DPVWFSUVSFFOGFVUSFPVFO
QMBTUJRVF
– JTPMBUJPOFOCJTFBV QPMZVSÏUIBOF
FYQBOTÏ<14&>
– MBJOFEFSPDIF
– ýMNCJUVNFVY
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t -FHSBWJMMPOOBHFTFSUEVOFQBSUËNBJOUFOJSFOQMBDFMBDPV- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WFSUVSF FU EBVUSF QBSU Ë QSPUÏHFS DFMMFDJ EF MFYQPTJUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJSFDUF BVY SBZPOT EV TPMFJM &O FGGFU
VOF UFMMF FYQPTJUJPO HFODFTTUBUJRVFT
DPOEVJSBJU Ë VOF EJNJOVUJPO EF MB SÏTJTUBODF EV NBUÏSJBV
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EPOUFMMFFTUDPNQPTÏF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– EBMMFTËFOHB[POOFS
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF
– DPVWFSUVSFFOGFVUSFPVFO
QMBTUJRVF
– JTPMBUJPOFOCJTFBV QPMZVSÏUIBOF
FYQBOTÏ<14&>
– MBJOFEFSPDIF
– ýMNCJUVNFVY
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
Réalisation
t -FHSBWJMMPOOBHFTFSUEVOFQBSUËNBJOUFOJSFOQMBDFMBDPV- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WFSUVSF FU EBVUSF QBSU Ë QSPUÏHFS DFMMFDJ EF MFYQPTJUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJSFDUF BVY SBZPOT EV TPMFJM &O FGGFU
VOF UFMMF FYQPTJUJPO HFODFTTUBUJRVFT
DPOEVJSBJU Ë VOF EJNJOVUJPO EF MB SÏTJTUBODF EV NBUÏSJBV
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EPOUFMMFFTUDPNQPTÏF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFQBOOFBVEF$-5FUMBUUJT
FOUSFQBOOFBVFUCSJEFEFSFTTPSU
4USVDUVSF
CSJEFEFSFTTPSU – QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
JTPMBUJPOQIPOJRVF
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
Réalisation
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– ÏMÏNFOUEFDPOTUSVDUJPODPNQPTJUF QBOOFBV
MÏHFSFOMBJOFEFCPJTSFWÐUVEFTEFVYDÙUÏTEF
QMBDPQMÉUSF
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– ÏMÏNFOUEFDPOTUSVDUJPODPNQPTJUF QBOOFBV
MÏHFSFOMBJOFEFCPJTSFWÐUVEFTEFVYDÙUÏTEF
QMBDPQMÉUSF
Réalisation
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFQBOOFBVEF$-5FUMBUUJT
FOUSFQBOOFBVFUCSJEFEFSFTTPSU
4USVDUVSF
CSJEFEFSFTTPSU – QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
JTPMBUJPOQIPOJRVF
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
Réalisation
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'
Réalisation
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF
– FTQBDFWJEF
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'
Réalisation
t "UUFOUJPO 4J QBS NÏHBSEF EFT PCKFUT PV PVUJMT WFOBJFOU Ë t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UPNCFS EBOT MFTQBDF WJEF
DFMVJDJ QPVSSBJU QBS MB TVJUF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUJUVFSVOQPOUBDPVTUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012
4USVDUVSF
– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF
– MBJOFNJOÏSBMF
– FTQBDFWJEF
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'
Réalisation
t "UUFOUJPO 4J QBS NÏHBSEF EFT PCKFUT PV PVUJMT WFOBJFOU Ë t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UPNCFS EBOT MFTQBDF WJEF
DFMVJDJ QPVSSBJU QBS MB TVJUF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUJUVFSVOQPOUBDPVTUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
C_Détails
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DÉTAILS 04/2012
MBUUJT WFOUJMBUJPO
MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
DPGGSBHFWFSUJDBM MBDPVDIFEJTPMBUJPO
MBUUJT
QBOOFBVNVSBMFO$-5
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
BTTJTF
JTPMBUJPOEVQPVSUPVS
BWFDEFMBNPVTTFEF
QPMZTUZSÒOFFYUSVEÏF
(XPS)
<IBVUFVSEFTQSPKFD-
UJPOTEFBV>
Réalisation
t -FMJUEFNPSUJFSEPJUQFSNFUUSFËMBUPUBMJUÏEFMBGBDFEVQBO- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
OFBVNVSBM$-5EFSFQPTFSQMFJOFNFOUTVSMFTPDMF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -F QPVSUPVS DPSSFTQPOEBOU Ë MB QBSUJF EF MB DPOTUSVDUJPO
TPVNJTF BVY QSPKFDUJPOT EFBV EFWSB ÐUSF SÏBMJTÏ DPSSFDUF- t -PSTEFMBNJTFFOQMBDFEFTDPOOFDUFVSTEFNVS
QSFOF[
NFOU FO UFOBOU DPNQUF EV UZQF EF SFWÐUFNFOU FYUÏSJFVS TPJOEFSFTQFDUFSMFTÏDBSUFNFOUTBVUPSJTÏTFOUSFMFTCPSET
FNQMPZÏBJOTJRVFEFMBMBSHFVSEFMBVWFOU EFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
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DÉTAILS 04/2012
2 Raccord de fenêtre
2.1 Installation réalisée au moyen de mousse en polyuréthane
JTPMBUJPOEVEPSNBOU
QBSDIFWBVDIFNFOU
DMPVPVDIFWJMMFEJTPMBUJPO
PVWSBOU BWFDWJUSBHF
DPVDIFEFOEVJU
BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF
DIÉTTJTEFGFOÐUSF
EPSNBOU
NPVTTFEFQPMZVSÏUIBOF
CBOEFEÏUBODIÏJUÏEF
GFOÐUSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
BWFDJODMJOBJTPO
Réalisation
t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT
JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT
POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF-
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
JTPMBUJPOEVEPSNBOU QBSDIFWBVDIFNFOU
PVWSBOU BWFDWJUSBHF
DIÉTTJTEFGFOÐUSF
EPSNBOU
DPVDIFEFOEVJU
BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
$PNQSJCBOE
MBUUFNVSBMF ýYBUJPO
QBOOFBVNVSBMFO$-5
BQQVJEFGFOÐUSFFYUÏSJFVS
BWFDJODMJOBJTPO
Réalisation
t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT
JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT
POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF-
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF
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DÉTAILS 04/2012
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
SBDDPSEÏUBODIFBVYQMVJFT
CBUUBOUFT
PVWSBOU BWFDWJUSBHF
QMBODIFEIBCJMMBHFEÏCSBTFNFOU
QSÏWPJSVOFTQBDFTVGýTBOUFOUSFMB
EPSNBOU
QMBODIFFUMBQQVJFYUÏSJFVSEF
ÏMBSHJTTFNFOUEV
GFOÐUSF
DIÉTTJTEFGFOÐUSF
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
$PNQSJCBOE
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ DPGGSBHFIPSJ[POUBM
EFGFOÐUSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
BWFDJODMJOBJTPO
Réalisation
t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT
JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT
POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF t -F SBDDPSE FOUSF MB CBOEF EÏUBODIÏJUÏ EF MB GFOÐUSF FU MB
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB TVSGBDFÏUBODIFBVWFOUEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOUDPNQUF
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS EFMBOPSNFËSFTQFDUFSFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFTQBSMF
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF- GBCSJDBOU
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOTMB
DPVDIFEJTPMBUJPO
SBDDPSEÏUBODIFBVYQMVJFTCBUUBOUFT
PVWSBOU BWFD
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
WJUSBHF
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
QMBODIFEIBCJMMBHFEÏCSBTFNFOU
QSÏWPJSVOFTQBDFTVGýTBOUFOUSFMB
QMBODIFFUMBQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
EPSNBOU
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
NVMUJGPODUJPOOFMMF
ÏUBODIFËMBJSË DPGGSBHFWFSUJDBM
MJOUÏSJFVS
ÏUBODIFBV
WFOUËMFYUÏSJFVS
JTPMBOUQIPOJRVF
3BDDPSE
jDPGGSBHFoQMBODIFEIBCJMMBHF
QBOOFBVNVSBM EÏCSBTFNFOUx
FO$-5
7BSJBOUFø
BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF 7BSJBOUFø
BWFDJODMJOBJTPO
Réalisation
t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT
JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT
POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF t -F SBDDPSE FOUSF MB CBOEF EÏUBODIÏJUÏ EF MB GFOÐUSF FU MB
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB TVSGBDFÏUBODIFBVWFOUEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOUDPNQUF
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS EFMBOPSNFËSFTQFDUFSFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFTQBSMF
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF- GBCSJDBOU
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
3 Raccord de porte
3.1 Porte intérieure
NPVTTFEFQPMZVSÏUIBOF
ýYBUJPO
QBOOFBVNVSBMFO$-5 DBESFEFQPSUF
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
SBDDPSEFOUSFMFTQMBODIFST
MPSTRVFMBTUSVDUVSFEFTQMBODIFSTFTUEJGGÏSFOUF
Réalisation
t 0OQSÏWPJSBBVOJWFBVEFTQPSUFTVOSBDDPSEBQQSPQSJÏRVJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UJFOESB DPNQUF EF MB TUSVDUVSF EFT QMBODIFST EFT QJÒDFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
BEKBDFOUFT-BUSBOTJUJPOFOUSFMFTSFWÐUFNFOUTEFTPMQFVU HFODFTTUBUJRVFT
TF GBJSF BV NPZFO EVO QSPýMÏ EF USBOTJUJPO PV EVO QSPýMÏ
4DIMàUFS 4DIMàUFS¥4$)*&/&
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
4 Porte-à-faux
4.1 Porte-à-faux avec façade en bois
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
QBOOFBVNVSBM DPGGSBHFWFSUJDBM
FO$-5
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
MBDPVDIFEJTPMBUJPO
DPGGSBHF
GBDFJOGÏSJFVSF
Réalisation
t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTVTQFOTJPOEVQMBODIFSFOQPSUFËGBVYTFSBBTTVSÏFQBS
EFTWJTËýMFUBHFUPUBM TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ DPVDIFEFOEVJU
QBOOFBVNVSBM BWFDTUSVDUVSF
FO$-5 JOGÏSJFVSF
QSÏEPSNBOUPVFYUFOTJPO
EFDBESFEFGFOÐUSF
TUSVDUVSFEFQMBODIFS
Réalisation
t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -B IBVUFVS EV QSÏEPSNBOU PV EF MFYUFOTJPO EV DBESF EF
GFOÐUSFTFSBGPODUJPOEFMBTUSVDUVSFEVQMBODIFS
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
QBOOFBVNVSBMFO$-5
NPOUBOUT
EBMMFEFCBMDPO
QPJOUTEBQQVJ
Réalisation
QBOOFBVNVSBMFO$-5
TVTQFOTJPO
EBMMFEFCBMDPO
QSPýMÏEFCPSEVSF
QPJOUTEBQQVJ
Réalisation
o USFJMMBHFFOCPJTEF
NÏMÒ[F
o MBUUJT
o FNQJFSSFNFOUEF
CBTF
o ÏUBODIFNFOU
o JTPMBUJPOFOCJTFBV
o NBUÏSJBVEFTPVTUPJ-
UVSF QFSNÏBCMFËMB
UÙMFSÏTJTUBOUBVQJÏUJOFNFOU
EJGGVTJPO
o EBMMFEFCBMDPO
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
ÏMÏNFOUEFGFOÐUSFBWFDQSÏ-
EPSNBOU GBVYDBESF
DIÏOFBVBWFDHSJMMF
USPQQMFJOTËDIBRVFFYUSÏNJUÏEV
CBMDPO
QBOOFBVNVSBMFO$-5
JODMJOBJTPOWFSTMBCPVDIFBWBMPJS
Réalisation
t -JTPMBUJPOFTUMÏHÒSFNFOUJODMJOÏFBýOEFQFSNFUUSFËMFBV t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EFTÏDPVMFSWFSTMFTCPVDIFTBWBMPJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t 6O DIÏOFBV EPUÏ EF USPQQMFJOT Ë DIBRVF FYUSÏNJUÏ EV
CBMDPOQFSNFUMÏDPVMFNFOUEFTFBVYFOFYDÏEFOU
t *MGBVESBQSÏWPJSMBNJTFFOQMBDFEVOFQSPUFDUJPODPOUSFMFT
QSPKFDUJPOT EFBV $FMMFDJ TFSB GPODUJPO EV EFHSÏ EF DPV-
WFSUVSFEVCBMDPO UPJUPVBVWFOUQBSFYFNQMF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
DPOUSFMBUUJT
MBUUBHF MJUFBVY
SJWF QBSUJFOPOJTPMÏF
NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
QBOOFBVEFUPJUVSF
FO$-5
DIFWSPO
CPSEVSFEFSJWF
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -BVWFOUFTUGPSNÏQBSMFQBOOFBVEF$-5FOTBJMMJF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t *M OFTU QBT OÏDFTTBJSF EJTPMFS MB SJWF TF USPVWBOU FO TVS-
HFODFTTUBUJRVFT
QMPNCEVQJHOPO
t 0O UJFOESB DPNQUF EV QPSUFËGBVY USBOTWFSTBM QPVS MF
t -BCPSEVSFEFSJWFQFVUBVDIPJYTPJUSFTUFSWJTJCMF
TPJUÐUSF
EJNFOTJPOOFNFOUEVQBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
SFDPVWFSUFEVOFQMBRVFEFUÙMF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
MBUUBHF MJUFBVY
DPOUSFMBUUJT JTPMBUJPO
NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
QBOOFBVEFýCSFTUFOESFT
DPGGSBHFEFMÏHPVU GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
EFTFBVYEFQMVJF
QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
DPZBV
FOEVJU
BWFDTUSVDUVSF
JOGÏSJFVSF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -BVWFOUFTUDPOTUSVJUBWFDVOÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFEPUÏ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EVODPGGSBHFBJOTJRVBWFDEFTDPZBVYEPOUMBODSBHFQFS- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NFUUBOUEFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPOEFWSBÐUSFSÏBMJTÏ HFODFTTUBUJRVFT
DPOGPSNÏNFOUBVYFYJHFODFTTUBUJRVFT
t -BýYBUJPOEVDPOUSFMBUUJTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFFOGPODUJPOEFMB
t -JTPMBUJPOFOýCSFTUFOESFTEPJUBWPJSMBNÐNFÏQBJTTFVSRVF SÏTJTUBODF PV EF MB OPOSÏTJTUBODF EF MJTPMBUJPO Ë MB
MFDPGGSBHFEFMÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFBýOEÏWJUFSEBWPJSË QSFTTJPO
SÏBMJTFSVOFGFVJMMVSFBVOJWFBVEVDIFWSPOFOQPSUFËGBVY
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
GSFJO
WBQFVS
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVF
MBUUBHF MJUFBVY
EFQMÉUSFBSNÏ
ýYÏTVSVOMBUUJTË
DPOUSFMBUUJT FTQBDFNFOUTMBSHFT
NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
DPGGSBHFEF
MÏHPVUEFTFBVY
EFQMVJF
DIFWSPO
FOEVJU
BWFDTUSVDUVSF
JOGÏSJFVSF
QBOOF
SBDDPSEEVGSFJOWBQFVSFUEV
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -BVWFOUFTUDPOTUSVJUBWFDVOÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFEPUÏ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EVODPGGSBHFBJOTJRVBWFDEFTDIFWSPOTEPOUMBODSBHFQFS- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NFUUBOUEFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPOEFWSBÐUSFSÏBMJTÏ HFODFTTUBUJRVFT
DPOGPSNÏNFOUBVYFYJHFODFTTUBUJRVFT
t -FSBDDPSEFOUSFMFGSFJOWBQFVSFUMFQBOOFBVNVSBMFO$-5
t -JTPMBUJPOFOýCSFTUFOESFTEPJUBWPJSMBNÐNFÏQBJTTFVSRVF EPJUÐUSFQBSGBJUFNFOUÏUBODIFËMBJS
MFDPGGSBHFEFMÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFBýOEÏWJUFSEBWPJSË
SÏBMJTFSVOFGFVJMMVSFBVOJWFBVEVDIFWSPOFOQPSUFËGBVY
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
JTPMBUJPO
DPOUSFMBUUJT
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG
MBUUBHF MJUFBVY
NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
DIFWSPO
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
QBOOF
FTQBDFEBTTFNCMBHF
Réalisation
t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ-
GSFJOWBQFVS
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
JTPMBUJPO
QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
DIFWÐUSF
ýYBUJPOEFMBGFOÐUSFEFUPJU
GFOÐUSFEFUPJU
ÏCSBTFNFOUIPSJ[POUBM
BOHMFEJODJEFODFEFMBMVNJÒSF
MBUUBHF MJUFBVY
NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
DPOUSFMBUUJT
ÏCSBTFNFOUWFSUJDBM
BOHMFEJODJEFODFEFMBMVNJÒSF
Réalisation
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
6 Toit plat
6.1 Acrotère en CLT
DPVWFSUVSFEF
MBDSPUÒSF
TPMJOGPSNÏQBS
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM MÏUBODIFNFOU
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
MBUUJT TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
GBÎBEFIPSJ[POUBMF
WFOUJMÏF
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
JTPMBUJPOUIFSNJRVF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
MBDPVDIFEJTPMBUJPO
Réalisation
t *TPMBUJPOEVUPJUQMBUSÏBMJTÏFBWFDVOFMÏHÒSFJODMJOBJTPO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 6UJMJTFSEFTÏRVFSSFTQPVSýYFSMBQBSPJEFMBDSPUÒSFBVQBO-
HFODFTTUBUJRVFT
OFBVEFQMBGPOE TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
DPVWFSUVSFEF
MBDSPUÒSF
TPMJOGPSNÏQBSMÏUBODIFNFOU
MBUUJT
QMBRVFFONBUÏSJBVEÏSJWÏ
EVCPJT TVCTUSVDUVSFQPVS
MÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
GBÎBEFIPSJ[POUBMF
WFOUJMÏF
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
JTPMBUJPOUIFSNJRVF
NPOUBOUNVSBM QBOOFBVNVSBMFO$-5
TVQQPSUFMBTUSVDUVSFEFMBDSPUÒSF
Réalisation
t *TPMBUJPOEVUPJUQMBUSÏBMJTÏFBWFDVOFMÏHÒSFJODMJOBJTPO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -FTNPOUBOUTNVSBVYBTTVSFOUVOFGPODUJPOTUBUJRVFEBOTMB
HFODFTTUBUJRVFT
TUSVDUVSFEFMBDSPUÒSF EJNFOTJPOOFNFOUFUýYBUJPOFOGPOD-
UJPOEFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
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DÉTAILS 04/2012
Illustration
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DÉTAILS 04/2012
6.3 Auvent
ÏUBODIFNFOU
DPOUSF TUSVD-
MIVNJEJUÏ UVSFEF
UPJUQMBU FOGPODUJPO
EFTFYJHFODFT
BODSBHFTVSMBTUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
QBOOFBVEF$-5GBJTBOU
GPODUJPOEBVWFOU DPVQFWBQFVS
DPOOFDUFVSTWJTTÏTBVQMBGPOE
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
JTPMBUJPOUIFSNJRVF
GBÎBEFIPSJ[POUBMFWFOUJMÏF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t -BGBDFJOGÏSJFVSFEFMBVWFOUFO$-5QFVUBVDIPJYTPJUSFTUFS t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WJTJCMF
TPJUÐUSFSFDPVWFSUFEVOFQMBRVFEFUÙMF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BCPSEVSFFTUËSÏBMJTFSFOGPODUJPOEFMJODMJOBJTPOEVUPJU
t -F EJNFOTJPOOFNFOU EV QBOOFBV EF $-5 GPSNBOU MBVWFOU
TFSB GPODUJPO EF MB UBJMMF EF MB TBJMMJF EF UPJU *M GBVESB UFOJS
DPNQUFEVOÏWFOUVFMQPSUFËGBVYUSBOTWFSTBM
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DÉTAILS 04/2012
TUSVDUVSFEFMBUPJUVSFFOUÙMF
DIFWSPO
DPNCMFTGSPJET
DPGGSBHFWFSUJDBM
QMBRVFFONBUÏSJBVEÏSJWÏEV
CPJT 04#QBSFYFNQMF
TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
MBUUJT FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
JTPMBUJPOUIFSNJRVF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
Réalisation
t 0OUJFOESBDPNQUFEVUSBOTGFSUEFTDIBSHFTFYFSDÏFTQBSMB t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DIBSQFOUFËMBGPJTTVSMFQBOOFBVNVSBMFUMFQBOOFBVEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UPJUVSF HFODFTTUBUJRVFT
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DÉTAILS 04/2012
7 Installations électriques
7.1 Exécution avant la mise en place d’un revêtement
de planches
QBOOFBVNVSBMFO$-5
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEF
QMÉUSFBSNÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY/7* RVBMJUÏOPOWJTJCMF
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -B SÏBMJTBUJPO EF GSBJTBHFT USBOTWFSTBVY Ë BOHMF ESPJU QBS
HFODFTTUBUJRVFT
SBQQPSUËMBDPVDIFEFTVSGBDF
FTUMJNJUÏF$FVYDJTPOUË
FYÏDVUFSFOSFTQFDUBOUMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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DÉTAILS 04/2012
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
SÏBMJTBUJPOEVOKPJOUDPMMÏ
VTJOBHF TBJHOÏFFUUSPVEFGPSBHF
QPVSMFT
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFTEFQMBGPOE
VTJOBHFÏHBMFNFOUQPTTJCMFQPVSMFTQBOOFBVY
NVSBVY7*<RVBMJUÏGBDFWJTJCMF>
QBOOFBVNVSBMFO$-5
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY/7* RVBMJUÏOPOWJTJCMF
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 1PVSMFTQBOOFBVYEFQMBODIFSFO$-5QBSFYFNQMF
MVTJ-
HFODFTTUBUJRVFT
OBHF SÏBMJTBUJPO EF TBJHOÏFT
OFTU QPTTJCMF RVF EBOT MF
TFOT EF MB DPVDIF EF TVSGBDF -FT DPVDIFT USBOTWFSTBMFT t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EPJWFOU RVBOU Ë FMMFT EFNFVSFS JOUBDUFT FO SBJTPO EF MFVS EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
GPODUJPOQPSUFVTF
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DÉTAILS 04/2012
Illustration
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DÉTAILS 04/2012
QBOOFBVNVSBMFO$-5
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT
GSBJTVSFWJTJCMFQSÒTEVTPM
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
VTJOBHF USPVEFGPSBHF
QPVSMFT
JOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT
EJBNÒUSFEFNN
MPOHVFVSNBYJNVNøNN
Réalisation
t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY7* RVBMJUÏWJTJCMF
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -VTJOBHF USPV EF GPSBHF QPVS MF USBDÏ EFT DPOEVJUFT
OF
HFODFTTUBUJRVFT
QFVU ÐUSF SÏBMJTÏ RVF TVS VOF TFVMF GBDF MPOHJUVEJOBMF EVO
QBOOFBVFO$-5 t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
t 4JMFTUOÏDFTTBJSFEFSÏBMJTFSEFTUSPVTEFGPSBHFDPOUJHVT
POQSFOESBBMPSTTPJOEFSFTQFDUFSFOUSFFVYVOFTQBDFNFOU
NJOJNVNEFøNN
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QBOOFBVNVSBMFO$-5
TBJHOÏFEBOTMÏCSBTFNFOU
EFMBCBJFEFQPSUFUSPVEF
GPSBHFKVTRVËMFNQMBDF-
NFOUEFMJOUFSSVQUFVS
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY7* RVBMJUÏWJTJCMF
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 4BJHOÏF SÏBMJTÏF EBOT MÏCSBTFNFOU EF MB QPSUF RVJ TFSB
HFODFTTUBUJRVFT
FOTVJUF IBCJMMÏ QBS MF CÉUJ EPSNBOU USPV EF GPSBHF BMMBOU
KVTRVË MFNQMBDFNFOU EF MJOUFSSVQUFVS PV EF MB QSJTF t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
ÏMFDUSJRVF EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Réalisation
t -FTTZTUÒNFTEFQSPUFDUJPODPOUSFMBGPVESFTFSWFOUËQSÏ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NVOJS MFT CÉUJNFOUT FU MFVST PDDVQBOUT DPOUSF EFT EPN- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NBHFTJNQPSUBOUT-BQSPUFDUJPOFYUÏSJFVSFDPOUSFMBGPVESF HFODFTTUBUJRVFT
DBQUFMÏMFDUSJDJUÏQPVSMBDPOEVJSFEBOTMFTPM
t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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DÉTAILS 04/2012
8 Installations sanitaires
8.1 W.-C. (parement)
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
QBSFNFOU TPVTTUSVDUVSF
BVOJWFBVEFT8$ 04#QBSFYFNQMF
TVTQFOTJPOFUSBDDPSEFNFOUTQPVSMFT8$
JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
WJEFUFDIOJRVF
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
SBDDPSEFNFOUTEVMBWBCP
QBSUJFBNPWJCMFEVQBSFNFOU
FOQSÏWJTJPOEFUSBWBVYEFSBDDPSEFNFOUVMUÏSJFVST
JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
Illustration
Réalisation
t 4JMFTKPJOUTFOUSFMFTJOTUBMMBUJPOTTBOJUBJSFTFUMFTBVUSFTÏMÏ- t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
NFOUT EF DPOTUSVDUJPO TPOU ÏUBODIÏJýÏT BWFD EV TJMJDPOF
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
DFVYDJ EFWSPOU ÐUSF DPOUSÙMÏT SÏHVMJÒSFNFOU FU SFOPVWFMÏT
t -FT ýYBUJPOT EFT JOTUBMMBUJPOT UFDIOJRVFT EFWSPOU ÐUSF JTP-
DIBRVFGPJTRVFOÏDFTTBJSF
MÏFTBDPVTUJRVFNFOUEFTBVUSFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPO
t -FTDBSSFMBHFTEPJWFOUÐUSFTÏQBSÏTEFTQBOOFBVYEF$-5
FUEFTQMBRVFTEFQMÉUSFQBSVOFDPVDIFEJTPMBUJPOTVQQMÏ-
NFOUBJSF
DBSMFTKPJOUTFOUSFMFTDBSSFMBHFTOFTPOUQBTQBS-
GBJUFNFOUÏUBODIFT
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9 Cheminée
9.1 Conduit de cheminée en acier spécial
(à l’extérieur de la paroi)
DPOEVJUEFDIFNJOÏF
FYUÏSJFVSFOBDJFSTQÏDJBM
QBOOFBVNVSBMFO$-5
DPRVJMMFJTPMBOUFBWFDQMBRVFEFýOJUJPO
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
ÏWFOU
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
PVWFSUVSFEFOUSÏFEBJS
GBDVMUBUJWF
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 4JWPVTVUJMJTF[VOFDPRVJMMFJTPMBOUFBWFDQMBRVFEFýOJUJPO
t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
BTTVSF[WPVTRVFMMFFTUIPNPMPHVÏFQPVSMFTDPOTUSVDUJPOT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
FOCPJT HFODFTTUBUJRVFT
t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF
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DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
DPOEVJUEFDIFNJOÏFJOUÏSJFVSFOBDJFSTQÏDJBM
QBOOFBVNVSBMFO$-5
SBDDPSE
USBQQFEFOFUUPZBHF
ÏWBDVBUJPOEFMFBVEFDPOEFOTBUJPO
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF HFODFTTUBUJRVFT
t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSF EPVCMFDPVDIF
JTPMBUJPO
CPJTTFBVY
FTQBDFNFOUEBVNPJOTøNNQBSSBQQPSU
BVYNBUÏSJBVYJOþBNNBCMFT TVSUPVTMFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
DÙUÏT
QBOOFBVNVSBMFO$-5
SBDDPSE
USBQQFEFOFUUPZBHF
CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
Réalisation
t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF HFODFTTUBUJRVFT
t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
10 Escaliers
10.1 Assemblage vissé avec les panneaux muraux
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVF
EFQMÉUSFBSNÏ
QBOOFBVNVSBMFO$-5
DPOUSFNBSDIFFOCPJTNBTTJG
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
NBSDIFFO$-5 BTTFNCMBHFEFTNBSDIFTFUEVQBOOFBVNVSBMBV
NPZFOEFDPOOFDUFVSTWJTTÏT
Réalisation
t -FTNBSDIFTTPOUýYÏFTBVQBOOFBVNVSBMFO$-5BVNPZFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EFDPOOFDUFVSTWJTTÏT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -FT NBSDIFT FU DPOUSFNBSDIFT TPOU BTTFNCMÏFT QBS EFT
WJT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
ýYBUJPOEFTNBSDIFT
BVNPZFOEFUÙMFT
SBJOVSÏFTFUEF
QBOOFBVNVSBMFO$-5 CSPDIFT WBSJBOUF
ýYBUJPOEFTNBSDIFTBV
NPZFOEÏRVFSSFT
DPOUSFNBSDIFFO$-5
QBOOFBVNVSBMFO$-5
NBSDIFFO$-5
Réalisation
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
ýYBUJPOTTQÏDJBMFTQPVSMBQPTFEFTNBSDIFT
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
QBOOFBVNVSBMFO$-5
JOTFSUFOQJFSSF TVSMBQBSUJF
TVQÏSJFVSFEFMBNBSDIF
NBSDIFFO$-5
Réalisation
t &TDBMJFSTSÏBMJTÏTTBOTDPOUSFNBSDIFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -FTNBSDIFTTPOUQPTÏFTTVSEFTýYBUJPOTTQÏDJBMFT UFOJS
HFODFTTUBUJRVFT
DPNQUFEFTDIBSHFTNBYJNBMFTBVUPSJTÏFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
BTTFNCMBHFBVNPZFOEFUÙMFT
SBJOVSÏFTFUEFCSPDIFT
NBSDIFFO$-5
MJNPOFODSÏNBJMMÒSF
$-5PVCPJTMBNFMMÏDPMMÏ
Réalisation
t &TDBMJFSTSÏBMJTÏTTBOTDPOUSFNBSDIFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -BTTFNCMBHFEFTNBSDIFTFUEFTMJNPOTTFGBJUBVNPZFO
HFODFTTUBUJRVFT
EFWJTEJTQPTÏFTTPVTMBGBDFJOGÏSJFVSFEFTNBSDIFT TPVT
MFTJOTFSUTFOQJFSSF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
NBSDIFTFOCPJT
NBTTJG $-5
MJNPOESPJU<QBOOFBVJODMJOÏ>
$-5
Réalisation
t -FQBOOFBVJODMJOÏGBJTBOUGPODUJPOEFMJNPOQSFOEBQQVJTVS t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFTEBMMFTEFQMBODIFS-FTNBSDIFTFOCPJTNBTTJGTPOUWJT- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
TÏFTQBSFOEFTTPVT HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012
Illustration
D_Autres applications
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012
BODSBHFQPVSQFSNFUUSFËMBQBSPJ
EFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPO
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
IBCJMMBHFFYUÏSJFVS
QBOOFBVNVSBMFO$-5
DPOOFDUFVSEFNVS
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
MBDPVDIFEJTPMBUJPO
ÏUBOÎPO
$-5PVCPJTMBNFMMÏDPMMÏ
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
BTTJTF
KPJOUTEÏUBODIÏJUÏ
TFNFMMF NÏMÒ[F
BODSBHFEFMBTFNFMMF
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT
ÏRVFSSFNÏUBMMJRVF
QPVSQFSNFUUSFMBEJTUSJCVUJPOEFTGPSDFT
FYFSDÏFTWFSTMBTTJTFEFMBDPOTUSVDUJPO
Réalisation
t -FQBOOFBVNVSBMFO$-5FUMBTUSVDUVSFEÏUBOÎPOOFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EPJWFOUÐUSFQSPUÏHÏTEFTSFNPOUÏFTEIVNJEJUÏBVNPZFO FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
EFEJTQPTJUJGTEÏUBODIÏJUÏBQQSPQSJÏT FYJHFODFTTUBUJRVFT
t *MGBVESBQSÏWPJSMBQPTTJCJMJUÏEFGGFDUVFSVOFDPNQFOTBUJPO t -FT GPSDFT RVJ TFYFSDFOU TVS MF QBOOFBV NVSBM FO $-5
EF IBVUFVS FOUSF MÏUBOÎPO FU MBTTJTF EF MB DPOTUSVDUJPO EPJWFOU TFMPO MFT FYJHFODFT ÐUSF USBOTNJTFT WFST MFT
CPJT
NÏUBMPVNPSUJFS
ÏUBOÎPOT QVJT WFST MB DPOTUSVDUJPO FO EVS BTTJTF EF MB
DPOTUSVDUJPO
BVNPZFOEFWJTËýMFUBHFUPUBM
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012
TUSV
D UV
S F E
IBCJMMBHFFYUÏSJFVS FMB
UPJU
V SF
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
QPV
USF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO
QBOOFBVNVSBMFO$-5
BTTFNCMBHFWJTTÏEFMBQBSPJBWFDMBTUSVDUVSFEÏUBOÎPOOFNFOU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
Réalisation
Illustration
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012
2 Immeubles d’habitation
2.1 Nœud de jonction « paroi étage inférieur – plafond – paroi
étage supérieur »
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEF
QMÉUSFBSNÏ
TUSVDUVSFEF
QMBODIFS
FOGPODUJPOEFT
FYJHFODFT
DPVTTJOFUÏMBTUJRVF
QMBDPQMÉUSFPV
JOUFSNÏEJBJSF
QMBRVFEFQMÉUSF
FO4ZMPNFS¥QBS
BSNÏ
FYFNQMF
DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFTøBWFD
JTPMBUJPOQIPOJRVF
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
MBUUJT TVTQFOEVBVNPZFO
EVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO
Réalisation
QBOOFBVNVSBMFO$-5
MBUUJT
ýYÏTVSVOFCSJEFEFSFTTPSU
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
TUSVDUVSFEFQMBODIFS
FOGPODUJPOEFT
FYJHFODFT
DPVTTJOFUÏMBT
QMBDPQMÉUSFPV
UJRVFJOUFSNÏEJBJSF
QMBRVFEFQMÉUSF
FO4ZMPNFS¥QBS
BSNÏ
FYFNQMF
DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFTøBWFD
JTPMBUJPOQIPOJRVF
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
MBUUJT TVTQFOEVBVNPZFO
EVOFCSJEFEFSFTTPSU
JTPMBUJPO
Réalisation
3 Agrandissements
3.1 Raccordement d’un toit plat à un mur existant
DPOUSFTPMJO BWFDÏUBODIFNFOUQFSNBOFOU
BVOJWFBVEFMFOEVJU
TPMJO UÙMFFOÏRVFSSFBWFDDPVWFSUVSF
EJTTJNVMÏFFOGFVUSFPVFOQMBTUJRVF
HSBWJMMPOT
NBÎPOOFSJFFYJTUBOUF TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
EBMMFEFQMBODIFS
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
FO$-5
EFKPJOU
DPVQFWBQFVS
FOUSBJU ËDPMMFSTVSMBDIBQF
MJTTFEFMBNBÎPOOFSJF
FYJTUBOUF
JOUÏSJFVSEFMBDPOTUSVDUJPO
BODSBHFSÏBMJTÏQBSFYFNQMFBVNPZFOEFUJHFTýMFUÏFTDPMMÏFT
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT
Réalisation
Illustration
Réalisation
t -BDPNCJOBJTPOEFQBOOFBVYEF$-5BWFDEBVUSFTNBUÏ t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUÐUSFBEBQUÏFBVYFYJHFODFT
SJBVY EF DPOTUSVDUJPO DPNNF MF CPJT
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TBWÒSF JODPOUPVSOBCMF EBOT MFT QSPKFUT EF HSBOEF FOWFS NFOU
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Physique du bâtiment
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012
La capacité de protection thermique d’un élément de construction est déterminée par sa valeur U, autrement dit
par son coefficient de transmission thermique. Pour pouvoir calculer cette valeur, il faut connaître les paramètres
suivants : la position de l’élément de construction, sa structure ainsi que la conductivité thermique λ des maté-
riaux dont il est composé. La conductivité thermique du bois est essentiellement fonction de sa masse volumique
et de son humidité. Pour un panneau CLT, elle peut être déterminée au moyen de l’équation suivante :
λ = 0,000146 * ρk + 0,035449
La masse volumique caractéristique des lamelles de CLT a été calculée sur la base de la valeur suivante :
ρk = 512 kg/m³.
À partir de ces données, on obtient pour les panneaux CLT une conductivité thermique équivalant à 0,110 W/mK.
1
Coefficient de transmission U =
d
thermique R si + ∑ i + R se
λi
1
U CLT, 100 =
Coefficient de transmission 0,1 m
0,13 m ² K / W + + 0,04 m² K / W
thermique 0,11 W / mK
= 0,927 W / m ² K
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012
La figure 1 représente un diagramme sur lequel les valeurs U de panneaux CLT non revêtus ont été calculées en
fonction de l’épaisseur de ces panneaux.
1
Coefficient de transmission U =
d
thermique R si + ∑ i + R se
λi
1
U=
Coefficient de transmission 0,1 m 0,16 m
0,13 m ² K / W + + + 0,04 m ² K / W
thermique 0,11 W / mK 0,04 W / mK
= 0,197 W / m ² K
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012
La figure 2 représente un diagramme sur lequel les valeurs U de panneaux CLT isolés d’une épaisseur de
100 mm ont été calculées en fonction de l’épaisseur du matériau isolant employé (classe de conductivité ther-
mique WLG 040).
Figure 2 : Valeurs U pour des panneaux CLT d’une épaisseur de 100 mm utilisés comme murs extérieurs et
revêtus d’un matériau isolant ; les valeurs U sont calculées en fonction de l’épaisseur du matériau isolant
(classe de conductivité thermique WLG 040).
Étanchéité à l’air
L’étanchéité à l’air et aux déperditions de chaleur par convection constitue également un élément important de la
capacité d’isolation thermique des panneaux CLT. Les panneaux CLT étant fabriqués à partir de plaques mono-
couches, cela leur confère une excellente étanchéité à l’air. Le coefficient d’étanchéité à l’air des panneaux CLT
et de leurs joints a été testé et confirmé en 2008 par la Holzforschung Austria [4]. Le rapport d’essai indique plus
particulièrement que les panneaux CLT et les joints présentent une étanchéité à l’air si élevée que les flux volu-
miques se situent en deçà des valeurs mesurables.
[1] Assessment: Declared thermal conductivity (2009-07-10) ; SP Technical Research Institute of Sweden, SE-
50462 Boras
[2] ÖNORM EN B 3012 (2003-12-01) ; Essences. Caractéristiques des dénominations et abréviations employées
par la norme autrichienne ÖNORM EN 13556
[3] ÖNORM EN 12524 (2000-09-01) ; Matériaux et produits pour le bâtiment. Propriétés hygrothermiques. Va-
leurs utiles tabulées.
[4] HOLZFORSCHUNG AUSTRIA (2008-06-11) ; Rapport d’essai ; test d’étanchéité à l’air effectué sur un pan-
neau comportant deux conformations de joints différentes
Physique du bâtiment
VALEUR U – EXEMPLES COMPARATIFS 04/2012
0,04 6 16 0,39
0,04 8 18 0,32
0,04 10 20 0,28
0,04 12 22 0,25
A
0,04 14 24 0,22
0,04 16 26 0,20
B
0,04 18 28 0,18
0,04 20 30 0,16
0,04 22 32 0,15
40-240 100
0,04 6 17 0,38
A 0,04 8 19 0,32
0,04 10 21 0,27
C 0,04 12 23 0,24
0,04 14 25 0,22
B 0,04 16 27 0,19
0,04 18 29 0,18
0,04 20 31 0,16
Panneau de placoplâtre, panneau aggloméré à fibres orientées (OSB), isolation WLG 040, montant, panneau en
fibres de bois perméable à la diffusion
b = 6 cm
e = 62,5 cm
λ = 0,13 W/(m²K)
0,049 6 10 0,59
D 0,049 8 12 0,48
B 0,049 10 14 0,40
0,049 12 16 0,34
C
0,049 14 18 0,30
A 0,049 16 20 0,27
0,049 18 22 0,24
0,049 20 24 0,22
Sommaire :
1. Introduction
2. Importance de l’étanchéité à l’air et au vent
Avantages des panneaux CLT du point de
3.
vue de l’étanchéité à l’air
4. Aspects techniques de l’étanchéité à l’air
5. Configurations et joints spécifiques
6. Résumé
7. Annexe
1. Introduction
L’étanchéité à l’air et au vent constitue l’une des exigences essentielles auxquelles doit satisfaire la peau d’un
bâtiment ainsi que certains éléments de construction particuliers (panneaux de murs, de plafonds ou de toiture).
En effet, cette étanchéité à l’air et au vent influe de différentes manières sur le climat intérieur, l’exposition au
bruit, l’intégrité de la structure du bâtiment, la qualité de l’air à l’intérieur de la construction ainsi que le bilan
énergétique du bâtiment.
La couche imperméable à l’air (en règle générale sur les faces intérieures du bâtiment) et la couche imperméable
au vent (sur les faces extérieures du bâtiment) ont pour fonction d’empêcher à elles deux la circulation de flux
d’air non admissibles à travers la structure de la construction. Ces couches sont d’une importance déterminante
pour la qualité et la durabilité du bâtiment [1].
Du fait de la structure particulière des panneaux CLT qui sont composés de plaques monocouches disposées les
unes sur les autres à plis croisés, on obtient une surface parfaitement imperméable à l’air. En règle générale, il
n’est donc pas nécessaire d’installer en plus des films plastiques d’étanchéité sur les faces intérieures du bâti-
ment. Ceci se répercute de façon positive sur les coûts et permet non seulement d’éviter des erreurs qui pour-
raient entraîner des vices de construction, mais aussi de réduire le temps d’assemblage et de construction.
En effet, d’autres types de constructions en bois (constructions de structures en bois par exemple) nécessitent la
mise en place d’une couche imperméable à l’air — et dans le même temps d’un écran pare-vapeur constitué de
feuilles pare-vapeur ou de panneaux agglomérés à fibres orientées [OSB] dont les joints sont collés).
Une étanchéité insuffisante peut donc entraîner l’apparition de flux d’air qui s’infiltrent à l’intérieur du bâtiment.
Les conséquences peuvent être diverses et multiples [1] :
formation de condensation à l’intérieur du bâtiment
diminution de l’efficacité de l’isolation thermique
abaissement de la température des surfaces
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012
b) L’étanchéité au vent
Pour la peau d’un bâtiment, l’étanchéité au vent est tout aussi importante que l’étanchéité à l’air. Une mauvaise
étanchéité au vent peut avoir des conséquences similaires à celles décrites précédemment lorsque l’étanchéité à
l’air est insuffisante. Ces effets néfastes sont dus notamment au refroidissement de la couche isolante du bâti-
ment.
La couche étanche au vent se trouve sur les faces extérieures du bâtiment et a pour fonction d’empêcher l’air
extérieur de s’infiltrer dans les éléments de construction. Ceci permet de protéger la couche isolante (couche
calorifuge) et de préserver les qualités isolantes des éléments de construction [1].
Les thermogrammes ci-dessous illustrent l’importance pour un bâtiment de son étanchéité au vent (thermo-
grammes extraits de la référence [1]).
L’indice d’étanchéité à l’air d’un bâtiment est déterminé par le facteur de renouvellement d’air, en l’occurrence la
valeur n50.
Explication et définition :
Facteur de renouvellement d’air : Le facteur de renouvellement d’air n (unité : 1/h) sert à caractériser le
degré de renouvellement de l’air à l’intérieur d’un bâtiment. Ce facteur indique combien de fois
le volume d’air d’une pièce est renouvelé en une heure.
Valeur50 : La valeur n50 correspond au renouvellement d’air constaté lorsque la pression à l’intérieur du
bâtiment est inférieure ou supérieure de 50 Pa (pascals) à celle de l’extérieur.
Lorsque tous les raccords sont réalisés correctement entre les panneaux CLT (joints de coin, joints longitudi-
naux, fenêtres, etc.), il est alors possible d’obtenir des valeurs n50 qui correspondent à celles des habitations
passives (n50 = 0,6 1/h). Les facteurs de renouvellement d’air admissibles sont spécifiés par la norme autri-
chienne ÖNORM B 8110-1:2008 [4]. On distingue trois différents types de bâtiment (cf. [4]) : les bâtiments sans
système de ventilation (n50 = 3 1/h), les bâtiments avec système de ventilation (n50 = 1,5 1/h) et les habitations
passives (n50 = 0,6 1/h). Le terme « système de ventilation » désigne les dispositifs mécaniques contrôlés utilisés
pour la ventilation des pièces d’habitation.
La conformité à ces valeurs n50 constitue un facteur déterminant qui permettra de garantir le bon fonctionnement
de la peau du bâtiment.
Le facteur de renouvellement d’air est déterminé au moyen d’un test d’infiltrométrie (anglais : blower-door test).
Stora Enso recommande à ses clients finaux de réaliser un test d’infiltrométrie afin de leur permettre d’évaluer
précisément la qualité de la construction et de la réalisation du bâtiment.
En plus de la question de l’étanchéité à l’air, nous évoquerons également, pour conclure ce point, la question du
comportement de diffusion.
Avec les panneaux CLT, toutes les conditions sont réunies pour réaliser des parois perméables à la diffusion
sans qu’il soit nécessaire d’avoir recours à des films d’étanchéité en plastique.
Si l’on n’utilise pas de films d’étanchéité, il faudra tenir compte du fait que plus on se rapproche de l’extérieur,
plus la capacité de diffusion des différentes couches (isolation, enduit, etc.) augmente. La règle générale veut
que la couche extérieure présente une capacité de diffusion jusqu’à dix fois supérieure à celle des couches inté-
rieures. On évite ainsi la formation de condensation dans la structure des murs, des plafonds et des toitures.
La capacité de diffusion est fonction de l’échelle de résistance à la diffusion de la vapeur ( ) et de l’épaisseur de
couche d’air de la même diffusibilité (valeur sd).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012
Une étanchéité à l’air insuffisante peut provoquer des infiltrations d’eau de condensation dans les éléments de
construction, cette eau étant transportée par des courants d’air humides qui circulent à travers les murs, les pla-
fonds et la toiture. On notera que ces quantités d’eau de condensation peuvent être nettement plus importantes
que la condensation résultant uniquement de la diffusion.
Pour assurer l’étanchéité à l’air des joints d’éléments de construction, on utilise principalement des bandes
d’étanchéité compressibles. On pourra également employer pour certains joints des mousses à élasticité perma-
nente. Les bandes adhésives et les joints tubulaires en caoutchouc sont plus rarement utilisés (cf. « Quelques
exemples de matériaux pouvant être utilisés pour assurer l’étanchéité à l’air [g]).
Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de réalisation pour assurer l’étanchéité à l’air d’un bâtiment. On
notera qu’il ne s’agit là que de quelques variantes parmi de nombreuses autres (cf. [5] et [6]).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012
a) Raccord de socle I
Raccord de socle II
c) Joint de mur I
Joint de coin :
Joint de mur II
e) Raccord mur-plafond-mur
bandes d’étanchéité
f) Raccord mur-toiture
g) Quelques exemples de matériaux pouvant être utilisés pour assurer l’étanchéité à l’air
Joint EPDM
Bande d’étanchéité
Bande adhésive
Les matériaux employés doivent être choisis de manière à répondre aux exigences de chaque cas de figure par-
ticulier.
On tâchera d’éviter l’utilisation de bandes adhésives en raison de certains emplacements qui sont difficiles
d’accès (coins, etc.).
Sources :
www.trelleborg.com
www.ramsauer.at
www.siga.ch
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012
5. Résumé
L’étanchéité à l’air et au vent sont deux des exigences essentielles auxquelles doit satisfaire un bâtiment en pan-
neaux CLT. Seule une excellente étanchéité sera la garantie d’une construction de grande qualité.
On veillera pour tous les raccords à adopter un système cohérent et homogène pour assurer l’étanchéité à l'air et
au vent. Autrement dit, on fera en sorte que les joints horizontaux et verticaux forment une parfaite unité
d’étanchement.
Il faudra surtout éviter de laisser des ouvertures dans la construction en CLT. Toutes les ouvertures devront être
dotées de joints d’étanchéité réalisés conformément aux règles de l’art de manière à garantir une parfaite étan-
chéité du bâtiment.
Seule une réalisation précise, méticuleuse et soignée permettra d’empêcher les déperditions de chaleur et
d’éviter leur cortège de conséquences funestes telle que les infiltrations d’humidité, l’apparition de moisis-
sures, etc.
6. Annexe
Références :
[6] www.dataholz.com
Internet ; recherche effectuée le 2 avril 2009
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012
Sommaire :
1. Introduction
La nécessité de protéger les bâtiments de
2.
l’humidité
3. La diffusion
Valeur numérique du coefficient de résistance
4.
à la diffusion et valeur sd
Le rôle de l’humidité et de la diffusion pour les
5.
panneaux CLT
6. Résumé
7. Annexe
1. Introduction
Les bâtiments et les parties qui les composent ne sont pas uniquement soumis à des contraintes thermiques,
mais aussi à des contraintes hygrométriques. Une fois les travaux de construction terminés, il arrive souvent que
les éléments de construction contiennent encore un taux d’humidité assez important.
L’utilisation de panneaux CLT s’avère donc avantageuse puisque ce matériau de construction permet d’obtenir
des bâtiments a priori parfaitement secs.
Les éléments de construction doivent néanmoins être suffisamment protégés contre les différentes sources pos-
sibles d’humidité. Un taux d’humidité trop élevé peut entraîner un affaiblissement de la résistance mécanique
et une diminution de la qualité de l’isolation thermique. Le bois a néanmoins besoin d’un minimum
d’humidité afin d’éviter par exemple au maximum l’apparition de gerces de retrait. Ceci concerne tout particuliè-
rement les panneaux à face visible.
La figure 1 montre les différentes sources d’humidité auxquelles est exposé un bâtiment et dont il convient de le
protéger.
Figure 1 : Sources d’humidité caractéristiques auxquelles est exposé un bâtiment (Fischer et autres, 2008)
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012
Étant que pour les panneaux CLT, la structure porteuse et la couche d’isolation sont séparées l’une de l’autre, il
en découle que la construction peut également être considérée séparément sur le plan de la statique et des pro-
priétés physiques. Les panneaux CLT présentent par ailleurs un avantage supplémentaire en ceci que l’inertie
thermique de ces éléments de construction est nettement plus élevée que celle d’autres types de construction en
bois. En effet, à partir de trois plis (couches), les panneaux CLT présentent déjà une étanchéité à l’air quasiment
parfaite.
Figure 2 : Comparaison entre les constructions en bois léger et les constructions en bois massif
(Université de technologie de Graz, 2008)
3. La diffusion
Le terme de diffusion désigne la circulation de particules infiniment petites — atomes, ions et minuscules molé-
cules — résultant de la thermodynamique propre à ces mêmes particules (mouvement brownien).
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012
Le courant de diffusion se manifeste non seulement dans l’air, mais aussi dans les éléments de construction po-
reux contenant des poches d’air. Plus un élément de construction est étanche et plus son coefficient de résis-
tance à la diffusion sera élevé. Les matériaux humides sont davantage perméables à la diffusion.
b) La valeur sd
Pour quantifier l’étanchéité d’une couche de matériau de construction — et non pas uniquement celle d’un maté-
riau — à la diffusion de la vapeur d’eau, il ne suffit pas d’indiquer la valeur numérique µ du coefficient de résis-
tance à la diffusion. En effet, le degré de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau est fonction à la fois du type
de matériau de construction et de l’épaisseur de la couche formé par celui-ci.
On peut dire pour simplifier que la résistance d’une couche de matériau de construction se définit par le produit
de l’épaisseur de la couche et de la valeur numérique du coefficient de résistance à la diffusion. C’est pour cette
raison qu’en physique de la construction, la mesure de la résistance à la diffusion d’une couche de matériau de
construction est désignée par le terme « épaisseur de couche d’air de la même diffusibilité sd ».
= ∗
La valeur sd indique l’épaisseur que doit avoir une couche d’air pour que sa résistance à la transmission de la
vapeur soit identique à celle de l’élément de construction.
Les panneaux CLT présentent différents niveaux de résistance à la diffusion. Ceux-ci sont fonction de l’épaisseur
des lamelles ainsi que du nombre de plis et de joints collés.
= 1 ∗ 1 + 2 ∗ 2 + 3 ∗ 3 + … + ∗
La valeur µ du joint collé diminue sensiblement dans des conditions de climat d’essai humide. Des volumes
poreux se forment dans la couche d’adhésif et des contacts capillaires apparaissent entre le bois de bout et le
bois longitudinal. Comparé à des conditions de climat sec, ceci permet donc par climat humide de bénéficier
d’un échange d’humidité plus rapide. Ceci dépend toutefois de la colle employée ainsi que de l’humidité rela-
tive.
- Vers l’extérieur, la valeur sd devrait être entre 5 et 10 m plus faible que vers l’intérieur. Prenons un exemple :
Structure de paroi standard avec façade ventilée
Plaque de plâtre armé : sd = 0,273 m ; panneau massif contrecollé : sd = 3,9 m ; isolation : sd = 0,25 m ; film plas-
tique perméable à la diffusion : sd ≤ 0,3 m
Plus on va vers l’extérieur, plus la densité de la structure augmente (calculé sur la base de panneaux massifs
contrecollés). Du point de vue de ses propriétés physiques, la structure répond par conséquent aux exigences
qui lui sont posées.
8. Sources
HOLZFORSCHUNG AUSTRIA :
rapport d’essai / rapport d’expertise, mesure de diffusion réalisée en juillet 2009.
FISCHER H., FREYMUTH H., HÄUPL P. ET AUTRES (2008) :
e
Lehrbuch der Bauphysik (Manuel de physique de la construction). 6 édition entièrement remaniée ; Vieweg +
Teubner Verlag, Wiesbaden.
HÄUPL P. (2008) :
Bauphysik: Klima, Wärme, Feuchte, Schall (Physique de la construction : climat, chaleur et acoustique). Ernst &
Sohn Verlag, Berlin.
RICCABONA C., BEDNAR T. (2008) :
e
Baukonstruktionslehre 4 ; 7 édition entièrement remaniée ; MANZ Verlag, Vienne.
Physique du bâtiment
PROTECTION INCENDIE 04/2012
Le bois massif est plus résistant au feu qu’on ne le pense généralement. Les panneaux CLT présentent un taux
d’humidité d’environ 12 %. Pour que le bois puisse prendre feu, il faut donc que l’eau qu’il contient se soit préala-
blement évaporée. En outre, une surface calcinée protège les couches de CLT qui se trouvent en dessous. Con-
trairement donc aux constructions en acier ou en béton, celles en bois massif présentent l’avantage de ne pas
s’écrouler, même lorsque les murs sont calcinés.
Pour confirmer cette affirmation, nous avons chargé l’institut agréé Holzforschung Austria de réaliser un test de
résistance au feu sur nos panneaux CLT en bois massif. Les résultats parlent d’eux-mêmes et dépassent même
ce que nous en attendions de ce test.
Parallèlement aux évaluations qui suivent concernant les questions d’isolation phonique,
Stora Enso vous recommande de consulter également le site www.dataholz.com.
Physique du bâtiment
GÉNÉRALITÉS 04/2012
Les évaluations indiquées ici et qui portent sur les caractéristiques physiques de construction ont été réalisées
par la Holzforschung Austria (HFA), un organisme européen de certification agréé. Ces évaluations concernent
les éléments de construction suivants :
1. Murs extérieurs
2. Parois intérieures
3. Cloison de séparation
4. Plafonds
5. Toits
Établi le : 12/01/2012 Nº de commande : 2177/2011 – BB Version : 1.0
Les sources auxquelles il a été fait référence dans le cadre de ces évaluations sont les suivantes :
Résistance au feu
ÖNORM EN 13501-2 – Classement au feu des produits de construction et des éléments de bâtiment – Partie 2 :
Classement à partir des données des essais de résistance au feu, services de ventilation exclus.
Procédures destinées à déterminer les caractéristiques relatives à l’isolation thermique
ÖNORM B 8110-6 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 6: Grundlagen und Nachweisverfahren – Heizwärmebedarf
und Kühlbedarf (Exigences en termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 6 : Principes et méthodes de
vérification – Chauffage et refroidissement). Date de publication : janvier 2010.
ÖNORM EN ISO 6946 – Composants et parois de bâtiments – Résistance thermique et coefficient de transmis-
sion thermique – Méthode de calcul. Date de publication : avril 2008.
ÖNORM B 8110-2 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 2: Wasserdampfdiffusion und Kondensationsschutz (Exi-
gences en termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 2 : Diffusion de la vapeur d’eau et protection
contre la condensation). Date de publication : juillet 2003.
ÖNORM EN ISO 13788 – Performance hygrothermique des composants et parois de bâtiments – Température
superficielle intérieure permettant d’éviter l’humidité superficielle critique et la condensation dans la masse – Mé-
thodes de calcul. Date de publication : janvier 2002.
ÖNORM B 8110-3 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 3: Wärmespeicherung und Sonneneinflüsse (Exigences en
termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 3 : Accumulation de la chaleur et radiation solaire). Date de
publication : décembre 1999.
ÖNORM EN 12524 – Matériaux et produits pour le bâtiment – Propriétés hygrothermiques – Valeurs utiles tabu-
lées. Date de publication : septembre 2000.
Évaluations relatives à l’isolation phonique
Les différences de niveau sonore standard qui ont fait l’objet d’une évaluation ont été déterminées d’une part en
faisant appel à des éléments de construction comparables du point de vue du niveau de protection à atteindre
contre le bruit aérien et d’autre part en intégrant les ouvrages spécialisés relatifs à la question. Nous citerons par-
ticulièrement les ouvrages suivants : le catalogue d’éléments de construction « dataholz.com – Catalogue
d’éléments de construction en bois testés et contrôlés en termes de propriétés physiques et de qualités écolo-
giques » (date de publication : 2003) ; la norme autrichienne ÖNORM B 8115-4 – Schallschutz und Raumakustik
im Hochbau – Maßnahmen zur Erfüllung der schalltechnischen Anforderungen [Isolation phonique et acoustique
des bâtiments – Mesures mises en œuvre pour satisfaire aux exigences en matière d’isolation phonique] (date
de publication : 2003) ; Holzbauhandbuch (Manuel de la construction en bois), série 3, partie 3, section 4,
« Schallschutz – Wände und Dächer » (Isolation phonique – Murs et toitures), publié par le Informationsdienst
Holz (date de publication : 2003) ; Holzbauhandbuch (Manuel de la construction en bois), série 3, partie 3, sec-
tion 3, « Schalldämmende Holzbalken- und Brettstapeldecken »“ publié par le Informationsdienst Holz ;
« Hochschalldämmende Außenbauteile aus Holz », publié par le LSW du ift Rosenheim, rapport final 2004.
1_Murs extérieurs
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – MURS EXTÉRIEURS 04/2012
Structure des
éléments de Façade Matériau isolant CLT Structure interne
construction
1.1 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.2 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.3 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.4 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.5 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.6 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.7 Enduit laine minérale CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.8 Enduit laine minérale CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.9 Enduit laine minérale CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.10 Enduit laine minérale CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
01:11 Enduit laine minérale CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.12 Enduit laine minérale CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.13 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.14 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.15 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.16 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.17 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.18 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.19 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.20 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.21 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.22 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.23 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.24 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.25 bois laine minérale CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.26 bois laine minérale CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.27 bois laine minérale CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.28 bois laine minérale CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.29 Enduit laine minérale CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)
synthétiques)
placoplâtre réfractaire
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)
placoplâtre réfractaire
laine minérale
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
laine minérale
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
laine minérale
placoplâtre réfractaire
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)
placoplâtre réfractaire
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)
placoplâtre réfractaire
Homatherm
EnergiePlus massive
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
Homatherm
EnergiePlus massive
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
placoplâtre réfractaire
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
placoplâtre réfractaire
façade en bois
façade en bois
façade en bois
façade en bois
façade en bois
placoplâtre réfractaire
façade en bois
placoplâtre réfractaire
laine minérale
bois massif abouté (KVH)
façade en bois
laine minérale
bois massif abouté (KVH)
façade en bois
laine minérale
bois massif abouté (KVH)
façade en bois
laine minérale
bois massif abouté (KVH)
façade en bois
enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques) lattis en bois
placoplâtre réfractaire
Structure des
éléments de Structure côté gauche CLT Structure côté droit
construction
2.1 CLT qualité visible CLT 100 C3s CLT qualité visible
2.2 CLT qualité visible CLT 120 C3s CLT qualité visible
2.3 CLT qualité visible CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.4 CLT qualité visible CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.5 CLT qualité visible CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.6 CLT qualité visible CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.7 revêtu de placoplâtre GKF CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.8 revêtu de placoplâtre GKF CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.9 revêtu de placoplâtre GKF CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.10 parement avec placoplâtre GKF CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.11 parement avec placoplâtre GKF CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
Structure des
éléments de Structure côté gauche CLT Structure côté droit
construction
3.1 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s CLT qualité visible
3.2 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s CLT qualité visible
3.3 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.4 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.5 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.6 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s parement avec élément antivibratile
3.7 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s CLT qualité visible
3.8 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.9 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.10 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.11 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.12 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.13 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s parement avec élément antivibratile
3.14 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.15 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.16 parement avec élément antivibratile 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.17 parement avec élément antivibratile 2 x CLT 80 C3s parement avec élément antivibratile
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
CLT 80 C3s
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
CLT 80 C3s
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
CLT 80 C3s
isolation aux bruits d’impact MW-T
CLT 80 C3s
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
Structure des
Empierrement de Face inférieure de la dalle de
éléments de Matériau isolant CLT
base plancher
construction
polyuréthane expansé polyuréthane ex-
4.1 CLT 140 L5s CLT qualité visible
aggloméré pansé (PSE)
polyuréthane expansé polyuréthane ex-
4.2 CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
aggloméré pansé (PSE)
polyuréthane expansé polyuréthane ex- plafond suspendu avec pla-
4.3 CLT 140 L5s
aggloméré pansé (PSE) coplâtre GKF
4.4 gravillonage MW-T CLT 140 L5s CLT qualité visible
4.5 gravillonage MW-T CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
plafond suspendu avec pla-
4.6 gravillonage MW-T CLT 140 L5s
coplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012
chape de ciment
remplissage en
couche de séparation en polyuréthane expansé
plastique aggloméré
plaque en polyuréthane protection contre le ruissellement
expansé
chape de ciment
remplissage en
couche de séparation en polyuréthane expansé
plastique aggloméré
plaque en polyuréthane protection contre le ruissellement
expansé
placoplâtre réfractaire
chape de ciment
remplissage en
couche de séparation en
polyuréthane expansé
plastique
aggloméré
plaque en polyuréthane
protection contre le
expansé
ruissellement
laine minérale
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
chape de ciment
chape de ciment
placoplâtre réfractaire
chape de ciment
laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
placoplâtre réfractaire
Structure des
Face inférieure de la dalle
éléments de Couverture de toit Matériau isolant CLT
de plancher
construction
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex-
5.1 CLT 140 L5s CLT qualité visible
de protection pansé (PSE)
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex-
5.2 CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
de protection pansé (PSE)
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex- plafond suspendu avec pla-
5.3 CLT 140 L5s
de protection pansé (PSE) coplâtre GKF
toit revêtu d’une feuille
5.4 HWF CLT 140 L5s CLT qualité visible
de protection
toit revêtu d’une feuille
5.5 HWF CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
de protection
toit revêtu d’une feuille plafond suspendu avec pla-
5.6 HWF CLT 140 L5s
de protection coplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012
5.1 Toiture
couverture plastique
5.2 Toiture
couverture plastique
placoplâtre réfractaire
5.3 Toiture
couverture plastique
laine minérale
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
5.4 Toiture
couverture plastique
Homatherm
HDP-Q11 protect
5.5 Toiture
couverture plastique
Homatherm
HDP-Q11 protect
placoplâtre réfractaire
5.6 Toiture
couverture plastique
Homatherm
HDP-Q11 protect
laine minérale
lattis en bois
placoplâtre réfractaire
Organes d’assemblage
La vérification des organes d’assemblage est décrite et réglementée dans les homologations.
Statique des constructions
CALCULS STATIQUES ET DIMENSIONNEMENT DES PANNEAUX CLT 04/2012
B. Calculs statiques portant sur les organes d’assemblage des panneaux CLT
Les calculs statiques relatifs aux organes d’assemblage sont décrits dans l’homologation Z-9.1-559. Pour davan-
tage de détails sur les organes d’assemblage en forme de broche, veuillez consulter les textes de référence [13]
et [14].
Statique des constructions
CALCULS STATIQUES ET DIMENSIONNEMENT DES PANNEAUX CLT 04/2012
Textes cités :
Blaß H. J., Fellmoser P. : Bemessung von Mehrschichtplatten [Dimensionnement de panneaux à plusieurs plis].
Dans : Bauen mit Holz 105 (2003) ; nº 8, pages 36 à 39 ; nº 9, pages 37 à 39 ; également disponible en télé-
chargement à www.holz.uni-karlsruhe.de sous la rubrique « Veröffentlichungen » (publications). Dernière mise
à jour : octobre 2008.
[2] Blaß H. J., Görlacher R. : Brettsperrholz – Berechnungsgrundlagen [Panneaux massifs contrecollés. Principes
de calcul]. Dans : Holzbaukalender 2003, pages 580 à 598. Bruderverlag Karlsruhe, 2003.
[3] Jöbstl R. : Praxisgerechte Bemessung von Brettsperrholz [Dimensionnement pratique des panneaux massifs
contrecollés]. Dans : Ingenieurholzbau, Karlsruher Tage 2007. Bruderverlag Karlsruhe, 2007.
[4] Schelling W. : Zur Berechnung nachgiebig zusammengesetzter Biegeträger aus beliebig vielen Einzel-
querschnitten [Pour le calcul de poutres composites en flexion composées d’un nombre quelconque de sec-
tions individuelles]. Dans : J. Ehlbeck (éditeur) et G. Steck (éditeur) : Ingenieurholzbau in Forschung und Praxis.
Bruderverlag Karlsruhe, 1982.
[5] Heimeshoff B. : Zur Berechnung von Biegeträgern aus nachgiebig miteinander verbundenen Querschnittsteilen
im Ingenieurholzbau. Dans : Holz als Roh- und Werkstoff 45 (1987) ; pages 237 à 241 ; 1987.
[6] Kreuzinger H. : Platten, Scheiben und Schalen [Panneaux, plaques et coques]. Dans : Bauen mit Holz 1/99 ;
pages 34 à 39 ; 1999.
[7] Blaß H. J., Ehlbeck J., Kreuzinger H., Steck G. : Erläuterungen zu DIN 1052:2004-08 [Commentaires explicatifs
sur la norme DIN 1052:2004-08]. Pages 52 à 56 et 81 à 84. Bruderverlag Karlsruhe, 2004.
[8] Scholz A. : Schubanalogie in der Praxis [L’analogie du cisaillement dans la pratique]. Possibilités et limites.
Dans : Ingenieurholzbau, Karlsruher Tage 2004. Bruderverlag Karlsruhe, 2004.
[9] Winter S., Kreuzinger H., Mestek P. : TP 15 Flächen aus Brettstapeln, Brettsperrholz und Verbundkonstruktio-
nen. TU München (Université technique de Munich), 2008.
[10] Auteurs divers : Mehrgeschossiger Holzbau in Österreich: Holzskelett- und Holzmassivbauweise. Pages 127 et
128 ; ProHolz Austria (Vienne), 2002.
[11] Schrentewein T. : Konzentration auf den Punkt. Dans : Bauen mit Holz 1/2008 ; pages 43 à 47 ; 2008.
[12] Bogensperger T., Pürgstaller A. : Modellierung von Strukturen aus Brettsperrholz unter Berücksichtigung der
Verbindungstechnik. Dans : Tagungsband der 7. Grazer Holzbau-Fachtagung ; 2008.
[14] Blaß H. J., Uibel T. : Tragfähigkeit von stiftförmigen Verbindungsmitteln in Brettsperrholz. Karlsruher Berichte
zum Ingenieurholzbau – Volume 8 (2007).
Statique des constructions
LOGICIEL DE CALCUL STATIQUE POUR PANNEAUX CLT 04/2012
Stora Enso vous propose, en collaboration avec WallnerMild Holz·Bau·Software© un logiciel qui vous permet-
tra d’effectuer le dimensionnement des panneaux CLT. Ce logiciel est disponible en plusieurs langues et peut
être téléchargé gratuitement sur le site www.clt.info.
Configurations système requises
Microsoft Excel 11.0 (Office 2003).
Le logiciel a été conçu et testé pour la version Excel mentionnée ci-dessus. Il devrait cependant être également
compatible avec les versions allant de Excel 10.0 (Office XP) jusqu’à Excel 12.0 (Office 2010).
Première installation
Double-cliquez sur l’icône d’installation pour lancer automatiquement l’installation du logiciel.
Avant de procéder à l’installation, assurez-vous que le logiciel Microsoft Excel est fermé. L’utilisateur
doit par ailleurs disposer des droits d’administrateur pour pouvoir effectuer l’installation.
Nous faisons par ailleurs remarquer que les liens entre les fichiers « .xls » et OpenOffice sont susceptibles de
causer des problèmes.
Sur certains ordinateurs, des problèmes peuvent également se manifester en raison d’add-ins (plug-ins) non
autorisés par Windows. Les add-ins sont partie intégrante du logiciel. Ils doivent par conséquent être acceptés
par l’ordinateur pour permettre au logiciel de fonctionner. Cette procédure varie en fonction du système
d’exploitation utilisé. Elle devra donc être vérifiée sur chaque ordinateur où le logiciel est installé.
Enregistrement
L’enregistrement du logiciel n’a pour but que de permettre à Stora Enso de connaître la diffusion du logiciel, ceci
afin de pouvoir fournir aux utilisateurs la meilleure assistance possible et à les tenir informés des dernières nou-
veautés.
Contrôle de version
Une fois que le logiciel de dimensionnement des panneaux CLT est installé, l’utilisateur peut passer par la barre
de menu pour vérifier s’il possède la dernière version et, le cas échéant, effectuer la mise à jour.
L’utilisateur est redirigé vers le site www.bemessung.com et reçoit ensuite par courriel un lien qui lui permettra
de télécharger la dernière mise à jour.
Avant de procéder à l’installation, assurez-vous que le logiciel Microsoft Excel est fermé. L’utilisateur
doit par ailleurs disposer des droits d’administrateur pour pouvoir effectuer l’installation.
Statique des constructions
LOGICIEL DE CALCUL STATIQUE POUR PANNEAUX CLT 04/2012
Nous apportons le plus grand soin à la réalisation des tables de dimensionnement préliminaire présentées sur
les pages qui suivent. Celles-ci ne sauraient néanmoins remplacer les calculs statiques nécessaires à chaque
cas de figure particulier. Les informations contenues dans ces fichiers correspondent aux connaissances tech-
niques actuelles. Malgré tout le soin et les précautions apportés à l’élaboration de ces documents, nous ne pou-
vons cependant pas exclure que des erreurs aient pu s’y glisser.
Stora Enso se dégage explicitement de toute responsabilité. Nous faisons en outre remarquer que l’emploi de
ces tables de dimensionnement préliminaire s’effectue sous l’entière responsabilité des utilisateurs et que ceux-ci
sont expressément tenus de vérifier personnellement l’exactitude de chaque résultat.
Statique des constructions
MURS INTÉRIEURS 04/2012
kmod = 0,8 R0
R30
R60
R90
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
MURS EXTÉRIEURS 04/2012
kmod = 0,8 R0
R30
R60
R90
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR DEUX APPUIS – OSCILLATION 04/2012
kdef = 0,6
Étant donné que l’oscillation dépend non seulement de la distance entre appuis, mais aussi de la masse, il se peut fort bien que l’on
obtienne une épaisseur de plafond importante pour une distance entre appuis relativement faible.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun cas
les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR DEUX APPUIS – DÉFORMATION 04/2012
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR TROIS APPUIS – OSCILLATION 04/2012
kdef = 0,6
Étant donné que l’oscillation dépend non seulement de la distance entre appuis, mais aussi de la masse, il se peut fort bien que
l’on obtienne une épaisseur de plafond importante pour une distance entre appuis relativement faible. Les calculs ont été effectués
en considérant la charge utile reposant sur un appui. Si les charges utiles reposent sur les deux appuis, cela peut entraîner une
diminution de l’épaisseur requise pour le plafond.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR TROIS APPUIS – DÉFORMATION 04/2012
Lim ite de charge : Aptitude à l’em ploi (é tat de service) : Ince ndie :
a) Vérification des contraintes de flexion a) Situation de calcul quasi-permanente HFA 2011
b) Vérification des contraintes de cisaillement zul w fin = 250 v1 = 0,65 mm/min
b) Situation de calcul occasionnelle
kmod = 0,8 zul w q,inst = 300 R0
zul w fin - w g,inst = 200 R30
R60
kdef = 0,6 R90
Les calculs ont été effectués en considérant la charge utile reposant sur un appui. Si les charges utiles reposent sur les deux ap-
puis, cela peut entraîner une diminution de l’épaisseur requise pour le plafond.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
EXEMPLE D’APPLICATION – PLAFOND 04/2012
Grâce à leur souplesse et à leur importante résistance statique, les bâtiments construits avec des panneaux CLT
en bois massif se comportent de manière remarquable dans les régions à risques sismiques. Le bois massif
étant en effet plus léger que le béton, la répercussion des secousses par le simple poids du bâtiment est bien
moindre que sur une construction en béton.
Ces dernières années, des constructions en bois massif de six et sept étages ont été soumises au Japon, sur la
plus grande table vibrante du monde, à des simulations de séismes d’une magnitude de 7,5 sur l’échelle de Rich-
ter. Les dommages constatés ont été pratiquement inexistants.
(Voir également : http://www.progettosofie.it/ita/multimedia.html)
Le devis
Nous sommes à votre disposition pour élaborer une offre sur la base des documents que vous nous fournirez.
Ceux-ci peuvent être envoyés à Stora Enso sous la forme suivante :
le texte d’appel à proposition (il convient de tenir compte des déchets de coupe),
le dessin de chacun des éléments.
Nous vous proposons volontiers notre assistance pour déterminer le volume de bois nécessaire à partir des
plans de demande de permis de construire et de ceux destinés au chef de chantier. Nous mettons par ailleurs
gratuitement à votre disposition un logiciel de dimensionnement préliminaire que vous pouvez télécharger à
l’adresse suivante : www.clt.info. Pour le cas où vous auriez besoin de notre assistance pour les calculs de di-
mensionnement préliminaire, nous vous demandons de bien vouloir nous faire parvenir les informations sui-
vantes :
la charge utile
les charges permanentes (charge permanente verticale, structure des planchers, etc.)
l’emplacement géographique du bâtiment (enneigement, etc.)
Attention ! Les quantités obtenues par Stora Enso peuvent différer des quantités effectivement néces-
saires. Il faut savoir en effet que la segmentation définitive des panneaux en différents éléments de cons-
truction n’est réalisée qu’au moment de la préparation des travaux.
La commande
Lorsque vous aurez reçu de Stora Enso un devis pour votre projet de construction, nous vous prions de bien vou-
loir nous le retourner signé de manière à confirmer votre commande.
Une fois les quantités nécessaires déterminées, celles-ci seront réservées pour la production ultérieure. Cette
procédure nous permet ensuite de fixer le délai de livraison. Pour que Stora Enso soit en mesure de respecter ce
délai, il est nécessaire que les conditions suivantes soient remplies :
les dessins techniques de chaque élément de construction (cf. « Dessins techniques requis ») doivent nous
avoir été transmis au format « *.dwg » ou « *.dxf » et ils doivent indiquer les informations suivantes :
– numérotation des panneaux
– directions des axes de portée
– épaisseur des panneaux
– ensemble des dimensions (cotes)
– assemblage des panneaux
– qualité des surfaces
– mention de la face visible
formulaire de commande dûment rempli
les dessins techniques de chaque panneau ainsi que la liste de facturation qui ont été établis par Stora Enso
doivent avoir été approuvés par le client au moins 12 jours ouvrables avant la livraison ;
le client ne doit pas exprimer de demande de changements pendant les 12 jours ouvrables précédant la li-
vraison.
Gestion de projet et transport
PROCÉDURE DE COMMANDE 04/2012
Dès réception des documents requis, notre équipe d’ingénieurs CLT commencera la planification définitive de
votre projet de construction.
Une fois les plans élaborés par Stora Enso, ceux-ci vous seront envoyés accompagnés de la liste des panneaux,
de la liste de chargement pour le transport ainsi que de la liste de facturation (liste « EVV »). Nous vous deman-
derons de vérifier l’exactitude des informations contenues dans ces documents et de les avaliser.
Stora Enso commencera la production des panneaux CLT dès réception de ces documents.
Une fois la finition des panneaux CLT terminée, ceux-ci sont acheminés jusqu’à destination conformément aux
délais fixés et selon l’ordre de transport convenu (cf. « Transport »).
Gestion de projet et transport
DESSINS DES PANNEAUX 04/2012
Pour une conception de projet réalisée en trois dimensions, nous sommes en mesure — après consultation préa-
lable de notre département technique CLT (clt.technik@storaenso.com) — de traiter les fichiers aux formats sui-
vants : *.ifc-, *.3d-dwg-, *.3d-dxf- et *.sat (acis).
Si le projet n’est pas réalisé en trois dimensions, vous devrez alors nous faire parvenir les dessins de chaque
élément. Ceux-ci devront comporter les informations suivantes :
numérotation des panneaux
sens du fil du pli de surface
épaisseur des panneaux et type de panneaux (C ou L)
ensemble des dimensions (cotes)
assemblage des panneaux
qualité des surfaces
position de la surface visible pendant le transport
indication de la face qui sera tournée vers le haut pendant le transport
Nous vous demandons par ailleurs de bien vouloir nous faire parvenir les dessins des panneaux suffisamment à
l’avance afin de nous permettre de respecter le délai de livraison convenu. Prévoyez de manière générale
20 jours ouvrables entre la réception des plans et la date de livraison.
Le dessin des panneaux devra comporter trois vues (projection orthogonale), chacune des faces représentée
étant clairement indiquée par une désignation correspondante. Voir les exemples de dessins ci-dessous.
Nous vous demandons de bien vouloir nous faire parvenir les différents dessins techniques réunis en un seul
fichier de type « *.dwg » ou « *.dxf ».
Il est particulièrement important de veiller à ce que tous les éléments soient nommés et désignés sans la
moindre ambiguïté. De manière à éviter tout problème, nous vous conseillons, pour les projets de construction de
grande taille, de nous faire parvenir les dessins étage par étage.
Il faudra également tenir compte au moment de la réalisation des dessins de l’ordre de chargement des pan-
neaux lors de leur transport (numérotation des panneaux).
Gestion de projet et transport
DIMENSIONS FACTURÉES 04/2012
Longueurs facturées : à partir d’une longueur de production minimum de 8,00 m par largeur de facturation ;
jusqu’à une longueur maximum de 16,00 m (avec progression par incréments de
10 cm).
Largeurs facturées : 2,45 m, 2,75 m, 2,95 m
Nous mettons volontiers à votre disposition des équipements spéciaux si l’utilisation de tels matériels s’avère
nécessaire pour le transport des panneaux. Il est important dans ce cas particulier de tenir compte des modifica-
tions que cela entraîne pour les dimensions et le poids maximums du chargement.
Une fois chargés, les panneaux CLT en bois massif seront si nécessaire fixés au moyen de courroies métalliques
perforées (trois courroies pour chaque côté) afin d’empêcher que le chargement ne vienne à glisser sur le côté.
Ils seront ensuite recouverts d’une bâche pour camions. Cette protection est nécessaire afin d’éviter que les
panneaux et éléments CLT ne soient exposés aux intempéries. On disposera également entre les panneaux et
les sangles d’arrimage des protections en carton destinées à protéger les arêtes des panneaux.
Les panneaux à face visible (qualité VI) sont recouverts en usine d’un film plastique imperméable aux ultravio-
lets.
Nous disposons systématiquement sur le porteur au moins 8 madriers (75 x 75 mm ou 95 x 95 mm) sur lesquels
vient ensuite reposer la première couche de panneaux CLT. Les couches suivantes sont cependant posées di-
rectement les unes sur les autres.
Si des madriers doivent être disposés entre les panneaux afin d’en faciliter le déchargement avec la grue ou le
chariot élévateur, il faudra songer à le notifier au moment de la commande et fournir également un dessin préci-
sant la disposition des madriers intermédiaires. Ces madriers seront rapportés par le transporteur après déchar-
gement. Ceux-ci vous seront facturés si vous les conservez pour votre propre usage.
Longueur standard : max. 13,60 m ; en porte-à-faux : max. 16,00 m (en fonction de l’épaisseur des panneaux)
max. 2,60 m
max. 4,00 m
1,40 m
max. 13,60 m
max. 2,50 m
chevalet de transport
max.
cale
tapis antidérapant
Gestion de projet et transport
CONDITIONS RELATIVES AU TRANSPORT 04/2012
1. Le site de construction (chantier) doit pouvoir être accessible par des semi-remorques et des camions-
remorques (porteurs avec remorque). Il faudra également s’assurer que la voie publique permettant l’accès
au chantier puisse être empruntée par des semi-remorques d’une longueur totale d’environ 19 mètres.
2. Les frais liés au transport, de même que les éventuels coûts supplémentaires dus aux temps d’arrêt, de
transbordement ou de manipulation, sont à la charge de l’acheteur. Le prix du transport comprend 3 heures
de temps d’arrêt pour le déchargement. Ceci n’inclut cependant pas les coûts de main-d’œuvre pour le dé-
placement ou le déchargement des marchandises. Chaque quart d’heure supplémentaire entamé sera fac-
turé au prix de 15,00 € (hors taxes) ; ce prix sera de 25,00 € (hors taxes) pour les remorques à essieux di-
rectionnels. Les temps d’arrêt sont consignés par le conducteur du camion et doivent être contresignés par
le(s) personne(s) prenant réception de la marchandise.
3. Si les éléments de construction sont transportés en position horizontale, un chargement ne pourra excéder
soit 40 m³, soit 25 tonnes de panneaux CLT (ceci dépendant du semi-remorque utilisé). L’ordre de charge-
ment des panneaux ne pourra être respecté que dans la mesure où celui-ci n’oblige pas à contrevenir au
code de la route ou aux conditions qui réglementent le transport de marchandises.
4. Les coûts de transport sont calculés en prenant comme référence un semi-remorque standard. Si le lieu de
construction (chantier) n’est accessible qu’au moyen d’un camion-porteur articulé spécial ou de tout autre
véhicule similaire, les coûts additionnels occasionnés seront répercutés sur le client.
5. Le client/contractant peut demander un report de livraison (report habituel de trois jours ouvrables maxi-
mum) ; ce report de livraison n’entraîne pas de coûts supplémentaires si tant est que la demande est dépo-
sée au plus tard dix jours (jours ouvrables) avant la date de livraison. Si la demande de report est déposée
moins de dix jours (jours ouvrables) avant la date de livraison, Stora Enso facturera 100,00 € (hors taxes)
par jour de report pour les frais d’entreposage et de manutention.
6. Les frais de transport s’entendent « port payé jusqu’au lieu de livraison » (CPT ; Carriage Paid To).
7. Si le client fait retirer lui-même la marchandise, il devra veiller à ce que le transporteur soit équipé de tout le
matériel nécessaire et approprié à ce type de transport, de manière à garantir la sécurité non seulement
pendant le transport proprement dit, mais également lors des opérations de chargement et de décharge-
ment de la marchandise. Il faudra dans ce cas aussi tenir compte des éventuels reports de livraison
(cf. point n° 5) et des coûts d’entreposage et de m anutention qui en résultent. Si les équipements de trans-
port ne répondent pas aux exigences requises et qu’il n’est de ce fait pas possible de garantir la parfaite sé-
curité du chargement, la société Stora Enso se réserve dans ce cas le droit de ne pas procéder au charge-
ment de la marchandise.
8. En cas de survenance d’événements imprévus sur lesquels la société Stora Enso n’a aucune influence,
celle-ci est autorisée à repousser en conséquence la livraison des marchandises commandées, et ce même
si lesdits événements et circonstances n’ont qu’une incidence indirecte sur l’exécution de la commande.
Produit proposé
Les panneaux CLT doivent être conformes à la « Certification technique générale Z-9.1-559 » délivrée par
l’Institut allemand des techniques de construction (Deutsches Institut für Bautechnik) ainsi qu’à l’Agrément
technique européen ATE-08/0271.
Gestion de projet et transport
TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012
Fabricant Stora Enso WP Bad St. Leonhard GesmbH Stora Enso Wood Products GmbH
Wisperndorf 4 Bahnhofstraße 31
AT-9462 Bad St. Leonhard AT-3370 Ybbs/Donau
Tél. : +43 (0) 4350 2301-3207 Tél. : +43 (0) 4350 2301-3207
Fax : +43 (0) 2826 7001 88-3207 Fax : +43 (0) 2826 7001 88-3207
Courriel : clt.info@storaenso.com Courriel : clt.info@storaenso.com
www.clt.info www.clt.info
B. Informations générales
Panneaux
Les panneaux ne subissent aucun traitement (couche de peinture, produit de protection du bois…) au moment
de leur fabrication.
Les qualités de surface disponibles sont les suivantes :
qualité visible — VI [visible d’un seul côté] ou BVI [visible des deux côtés]
qualité visible industrie — IVI [qualité visible industrie sur un seul côté et qualité visible sur un seul côté]
qualité non visible industrie — INV [qualité visible industrie sur un seul côté, qualité non visible sur un
seul côté]
qualité non visible — NVI [sur les deux côtés]
Construction et statique
L’orientation des couches de surface des panneaux doit s’effectuer en tenant compte de la capacité de réparti-
tion des charges et des calculs statiques réalisés.
Transport et assemblage
Les panneaux doivent impérativement être protégés de l’action directe des intempéries, aussi bien pendant leur
transport que pendant les travaux d’assemblage ou la phase de gros œuvre. On veillera plus particulièrement à
éviter toute tache d’humidité ou tout défaut esthétique lorsque les panneaux sont utilisés comme éléments vi-
sibles. Une brève exposition à l’eau ou à l’humidité n’a toutefois aucune incidence sur la fonction technique des
panneaux. On prendra soin par ailleurs de recouvrir le gros œuvre de bâches ou de films plastique tant que les
éléments de construction n’ont pas encore été rendus imperméables.
L’entreprise de construction est tenue de s’informer sur les configurations des lieux (possibilités d’accès, em-
placement de la grue, etc.) afin de pouvoir procéder comme il se doit aux opérations de livraison et de montage
des panneaux en bois massif.
Le déplacement des panneaux CLT s’effectue au moyen d’un engin de levage qui sera fourni soit par le client,
soit par l’entreprise contractante. Lors du déchargement, les panneaux muraux seront normalement pourvus de
deux points d’ancrage et les éléments de plafond de quatre points d’ancrage. Ces points d’ancrage seront choi-
sis en tenant compte du poids de chaque panneau et de sa position pendant le transport. N’utiliser que des
suspensions, chaînes ou accessoires d’élingage en parfait état et disposant d’une capacité de charge suffi-
sante. Les crochets de levage devront être équipés d’un linguet de sécurité.
On veillera à s’assurer de la bonne stabilité de la grue pendant toute la phase de construction.
Gestion de projet et transport
TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012
Assemblages
L’assemblage standard recommandé est soit un assemblage avec planche-joint et feuillure des deux côtés, soit
un assemblage en nez-de-marche.
Les organes d’assemblage pouvant être utilisés sont les clous, les vis à bois (principalement des vis à bois
autoforeuses), les boulons (tourillons), les chevilles ainsi que les chevilles et broches spéciales, en conformité
avec les certifications. Les organes d’assemblage doivent être disposés de manière à respecter les exigences
constructives et statiques.
Les joints doivent quant à eux être étanches à l’air et au vent (utiliser par exemple des bandes d’étanchéité
Compriband, des bandes en caoutchouc cellulaire, des bandes d’étanchéité Bytil, etc.).
Bases et semelles :
Les panneaux CLT en bois massif doivent être protégés des remontées d’humidité là où ils sont en contact
avec le béton, la maçonnerie, etc. Il faudra, avant le début des travaux, s’assurer que la dalle de plancher ne
présente pas d’irrégularités. Si elle n’est pas entièrement plane, il faudra l’égaliser en compensant les diffé-
rences de niveau au moyen d’éléments de calage ou de semelles. Si les panneaux ne peuvent pas reposer par-
faitement à plat sur le sol, il sera alors nécessaire d’égaliser la surface du socle, par exemple avec du mortier
fluidifié.
Installations techniques
Nous recommandons, dans toute la mesure du possible, de faire réaliser les ouvertures techniques en usine.
Pour le cas où celles-ci seraient réalisées (en partie ou en totalité) par le maître d’ouvrage, on veillera alors à ce
qu’en aucun cas les propriétés statiques des couches longitudinales des panneaux CLT sur lesquelles se répar-
tissent les charges ne soient affaiblies par les coupes ou les fraisages transversaux.
Si, pour certaines installations techniques, le maître d’ouvrage confie la réalisation de fraisages à des artisans
ou techniciens spécialisés, il sera tenu d’effectuer les contrôles qui s’imposent afin de s’assurer que les proprié-
tés statiques des éléments importants des structures ne pas affaiblies.
Calculs
Les prix calculés pour chaque entrée doivent intégrer les paramètres suivants :
la totalité des petites pièces et accessoires divers tels que les organes d’assemblage, les planches de
jointure (ou planches-joint), les pièces de bois employées comme semelles ou encore les bandes
d’étanchéité à l’air et les bandes d’insonorisation ;
l’ensemble des coûts relatifs à l’utilisation de la grue et autres engins de levage ;
l’ensemble des équipements, accessoires et structures auxiliaires nécessaires pour le montage des
panneaux ;
les protections utilisées pendant le montage pour préserver les panneaux des intempéries ;
les protections pouvant s’avérer nécessaires pour protéger les surfaces visibles une fois le montage ef-
fectué (panneaux en fibres tendres, bandes de feutre, films en mousse, etc.).
Remarque
Pour les panneaux CLT, la facturation par le fabricant vis-à-vis du contractant s’effectue sur la base du quadrila-
tère circonscrit (chutes et découpures comprises), la dimension de référence étant la largeur de facturation (ou
largeur facturée).
Longueurs facturées : à partir d’une longueur de production minimum de 8,00 m par largeur de facturation ;
jusqu’à une longueur maximum de 16,00 m (avec progression par incréments de 10 cm).
Gestion de projet et transport
TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012
Largeurs facturées : 245, 275 et 295 cm pour les murs et les plafonds.
Conformément aux termes de l’appel à proposition, la facturation par le contractant à l’égard du donneur d’ordre
s’effectue selon les règles communément appliquées pour les murs, les plafonds et les toitures (surmesures ou
déduction de certaines ouvertures, de pignons, etc.).
Panneaux muraux
Découpage des panneaux muraux (y compris les ouvertures de portes et de fenêtres, les encoches, les feuil-
lures, etc.), livraison et assemblage sur la substructure. Les calculs doivent inclure les matériels d’assemblage
et d’étanchéification ainsi que les planches-joint qui pourraient éventuellement être nécessaires (par exemple
des lames de panneau découpées dans des panneaux à trois plis ou des panneaux similaires).
Essence : épicéa
Surface : lisse, poncée sur les deux faces
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI), qualité visible industrie ou qualité visible habitat (VI, vi-
sible d’un seul côté)
Structure : chaque panneau est composé de plaques monocouche disposées les unes sur
les autres de manière continue sur toute la longueur du panneau
Entrée n° 01 :
Nombre : 1
Épaisseur du panneau : 100 mm, 3 plis encollés, couche de surface disposée verticalement
Hauteur et longueur du panneau : 2,95 m × 9,40 m
Forme des panneaux : les hauteurs peuvent être identiques ou différentes
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI)
Nombres des ouvertures < 1,5 m², au nombre de 2
Nombres des ouvertures > 1,5 m², au nombre de 3
Divers ………………….
Essence : épicéa
Surface : lisse, poncée sur les deux faces
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI), qualité visible industrie ou qualité visible habitat (VI, vi-
sible d’un seul côté)
Structure : chaque panneau est composé de plaques monocouche disposées les unes sur
les autres de manière continue sur toute la longueur du panneau
Entrée n° 2 :
Nombre : 1
Épaisseur du panneau : 180 mm, 5 plis encollés, couche de surface disposée longitudinalement
Largeur de panneau : 2,75 m
Longueur de panneau : 11,20 m
Forme de base : rectangulaire
Divers ………………….
Nous vous fournissons ici un récapitulatif des différents usinages qu’il est possible de réaliser avec notre centre
d’usinage à portique PBA (marque Hundegger).
Les différentes possibilités de découpe et d’usinage exposées ici couvrent une bonne partie des opérations les
plus couramment réalisées. Pour tout usinage particulier, veuillez consulter le service de production qui évaluera
votre demande et décidera de sa faisabilité.
Remarque : Il faut savoir de manière générale que tout travail de découpe ou de fraisage ne peut être effectué
que sur un seul côté du panneau, en l’occurrence sur sa face supérieure.
Il est toutefois possible — sur demande uniquement — de réaliser ces types d’usinage sur les deux cô-
tés du panneau. Il est donc bien entendu nécessaire dans ce cas retourner le panneau.
Remarque : L’illustration (ci-dessous à droite) donne un exemple de plusieurs panneaux qui sont découpés puis
usinés individuellement dans un seul et même panneau brut.
Panneau 1
Panneau 3
Panneau 4
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012
scie circulaire
scie à chaîne
défonceuse
Remarque :
Pour les panneaux à surface visible (VI), les découpes effec-
tuées dans les angles sont faites en utilisant non pas la scie à
chaîne (le risque qu’elle ne glisse en cours d’exécution est en
effet trop important ; risque également de projections d’huile),
mais la défonceuse (d’où un rayon d’angle d’au moins
20 mm ; pour les panneaux d’une épaisseur supérieure à
160 mm, celui-ci devra être d’au moins 40 mm).
Angles arrondis sur les panneaux Angles vifs sur les panneaux
VI NVI et IVI
Outils utilisés :
Remarque :
Pour les adents (évidements) de pannes, chevrons et entraits,
les angles peuvent être réalisés au moyen d’une scie à
chaîne, ce qui peut entraîner des défauts esthétiques du fait
des entailles de coupe.
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012
Outils utilisés :
scie circulaire
scie à chaîne
défonceuse
Remarque :
Dans le cas de détails particulièrement compliqués, il peut
s’avérer nécessaire de retravailler les angles manuellement
avec la scie à chaîne.
Il s’agit là d’un aspect non négligeable dont il faut particuliè-
rement tenir compte pour les panneaux VI.
Outils utilisés :
Remarque :
Fraise cylindrique : h = 12 mm largeur de feuillure max. : 100 mm
Fraise cylindrique : h = 27 mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 40 mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 120 mm largeur de feuillure max. : 120 mm
d 1) Feuillures simples
Outils utilisés :
fraise cylindrique
défonceuse
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012
d 2) Feuillures doubles
Outils utilisés :
Remarque :
Les feuillures se trouvant sur la face supérieure du panneau
peuvent être réalisées dans toutes les largeurs et hauteurs
désirées.
Le fraisage de feuillures se trouvant sur la face inférieure du
panneau dépend en revanche de l’outil employé. Ces feuil-
lures doivent cependant présenter une hauteur minimum de
12 mm.
Outils utilisés :
Remarque :
Fraise cylindrique : h = 12mm largeur de feuillure max. : 100 mm
Fraise cylindrique : h = 27mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 40mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 120mm largeur de feuillure max. : 120 mm
d 4) Renfoncements
Outils utilisés :
fraise cylindrique
défonceuse (diamètre : 40 mm)
Remarque :
Pour réaliser les renfoncements de feuillures, on utilise la
fraise cylindrique pour fraiser jusqu’à l’emplacement désiré.
La finition de l’angle est ensuite terminée au moyen de la
fraise cylin- défonceuse (diamètre : 40 mm). On obtient un arrondi de
défonceuse (rayon :
drique 20 mm de rayon.
20 mm)
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012
e) Pas de chevrons
Outils utilisés :
Outils utilisés :
défonceuse
fraise cylindrique
Remarque :
Si l’on utilise une fraise cylindrique, celle-ci devra commencer
l’usinage latéralement au niveau du bord de la pièce à usiner. Les
défonceuses peuvent en revanche travailler directement du haut
vers le bas.
g) Trous circulaires
Outils utilisés :
Remarque :
Plus petit diamètre de trou circulaire : 45 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 40 mm : 160 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 80 mm : 300 mm
h) Évidements
Outils utilisés :
foret ; d = 8 / 10 / 20 / 22 / 30 / 35 mm
Outils utilisés :
Remarque :
Il faut impérativement tenir compte dès la phase de concep-
tion des possibles fragilisations statiques que peuvent entraî-
ner les fraisures, les découpes, etc.
Outils utilisés :
Remarque :
Profondeur maximum de fraisage : 1 500 mm
Distance minimum entre le centre de deux forures horizontales
contiguës : 50 mm. Attention ! Pas de forures qui s’imbriquent
l’une dans l’autre !
Les forures horizontales ne peuvent être réalisées que sur
l’arête longitudinale d’un panneau.
Remarque :
Profondeur de fraisage max. pour d = 40 mm : 160 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 80 mm : 300 mm
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012
Remarque :
De manière générale, ce type d’usinage est possible sans
aucune restriction sur la face supérieure du panneau.
Il n’est pas possible de réaliser des angles vifs, car le frai-
sage des trous borgnes est effectué au moyen d’une défon-
ceuse.
m) Joints de plafond VI
Outils utilisés :
Remarque :
Sur la face visible des panneaux VI, les arêtes des joints sont
chanfreinées à la main (chanfrein de 2 × 2 mm).
Outils utilisés :
scie circulaire
fraise cylindrique
Remarque :
Cette solution est parfois utilisée pour les joints de plafond
visibles lorsque les lambourdes de plancher se trouvent sur le
même plan que le plafond et que les panneaux sont supportés
par une poutre en I.
Bâtiments de référence
Bâtiments de référence
JUNGLINSTER (LUXEMBOURG). Environ 450 m³ de CLT 04/2012
Maison individuelle
Bâtiments de référence
SISTRANS (AUTRICHE). Environ 150 m³ de CLT 04/2012
Maison individuelle
Bâtiments de référence
ST. THOMAS/BLASENSTEIN (AUTRICHE). Environ 110 m³ de CLT 0 4/2012
Maison individuelle
Bâtiments de référence
WIEN (AUTRICHE). Environ 40 m³ de CLT 04/2012
Maison individuelle
Bâtiments de référence
ÜBELBACH (AUTRICHE). Environ 163 m³ de CLT 04/2012
École maternelle
.
Bâtiments de référence
YBBS (AUTRICHE). Environ 120 m³ de CLT 04/2012
École primaire
Immeuble de bureaux
.
Bâtiments de référence
GEMEINLEBARN (AUTRICHE). Environ 370 m³ de CLT 04/2012
Immeuble d’habitation
Bâtiments de référence
LONDRES (ROYAUME-UNI). Environ 1 300 m³ de CLT 04/2012
Immeuble d’habitation