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Stora Enso Building and Living

Building Solutions

© Stora Enso 2012 / All rights reserved


Version 04/2012
)NFORMATIONS§TECHNIQUES
#ARACTÃRISTIQUES§TECHNIQUES§DES§PANNEAUX§#,4
3TRUCTURES§STANDARD§DES§PANNEAUX§#,4
1UALITçDES§SURFACES
#ERTIãCATIONS

#ONSTRUCTION
#ONSTRUCTION§DU§GROS§OEUVRE
3TRUCTURE§DES§COUCHES
$ÃTAILS
!UTRES§APPLICATIONS

0HYSIQUE§DU§BÈTIMENT
)SOLATION§THERMIQUE
®TANCHÃITçɧL@AIR
(UMIDITÃ
®VALUATIONS

3TATIQUE§DES§CONTRUCTIONS
#ALCULS§STATIQUES§ET§DIMENSIONNEMENT§DES§PANNEAUX§#,4
,OGICIEL§DE§CALCUL§STATIQUE§POUR§PANNEAUX§#,4
,ES§TABLES§DE§DIMENSIONNEMENT§PRÃLIMINAIRE§POUR§PANNEAUX§#,4
3ÃISMES

'ESTION§DE§PROJET§ET§TRANSPORT
0ROCÃDURE§DE§COMMANDE
4RANSPORT
#ONDITIONS§RELATIVES§AU§TRANSPORT
4EXTE§D@APPEL§Ê§PROPOSITIONS

$ÃCOUPE

"ÈTIMENTS§DE§RÃFÃRENCE

.OTE
Informations techniques
Informations techniques
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES DES PANNEAUX CLT 04/2012

Les panneaux CLT sont principalement utilisés pour la réalisation des murs, plafonds et
Application
éléments de toiture des constructions d’habitation et des édifices commerciaux et publics.

Largeur maximum 2,95 m

Longueur maximum 16,00 m

Épaisseur maximum 40 cm

Structure des plis Plaques monocouche collées et disposées à plis croisés

Essences Épicéa (les plis intérieurs peuvent contenir du pin ; mélèze et pin sur demande)

C24 (d’après l’homologation, la proportion de lamelles correspondant à la classe C16 peut


Classe de résistance représenter jusqu’à 10 % de la totalité des lamelles ; autres classes de résistance sur
demande)

Humidité 12 % ± 2 %

Adhésif Colles sans formaldéhyde pour collage des chants, aboutage et collage des faces

Qualités non visible, visible industrie et visible habitat ; les surfaces des panneaux sont
Qualité visuelle
toujours poncées.

5,0 kN/m³ selon la norme DIN 1055-1:2002 – pour les calculs statiques ;
Poids propre
utilisé pour déterminer le poids de transport : environ 470 kg/m³.

Taux de gonflement et de retrait (selon la norme DIN 1052:2008) sous la zone de saturation
des fibres :
Altération de forme lors
des variations du taux  perpendiculairement au panneau de bois massif : 0,02 % de variation de longueur pour
d’humidité 1 % de variation du taux d’humidité du bois
 verticalement par rapport au panneau de bois massif : 0,24 % de variation de longueur
pour 1 % de variation du taux d’humidité du bois

Selon la décision 2003/43/EC de la Commission :


Classe de protection
incendie  éléments de construction en bois, excepté pour les planchers  Euroclasse D-s2, d0
 planchers  Euroclasse Dfl-s1
Coefficient de résistance à
la diffusion de la vapeur Selon EN 12524  entre 20 et 50
d’eau () µ

Conductivité thermique λ Selon le rapport d’expertise émis le 10/07/2009 par SP Suède  0,11 W/(mK)

Inertie thermique cp Selon EN 12524  1600 j/(kgK)


Les panneaux CLT étant fabriqués à partir de plaques monocouches, cela leur confère une
excellente étanchéité à l’air. Conformément à la norme EN 12114, des tests ont été réalisés
Étanchéité à l’air afin de déterminer le coefficient d’étanchéité à l’air d’un panneau CLT à trois plis et de ses
joints. Les résultats ont montré que les flux volumiques se situent en deçà des valeurs
mesurables.

Classe d’utilisation / Emploi correspondant aux classes d’utilisation 1 et 2 telles que définies par la norme
domaine d’application EN 1995-1-1.
Informations techniques
STRUCTURES STANDARD DES PANNEAUX CLT 04/2012

Longueur Largeur
Panneaux C
Épaisseur Dénomination Plis Disposition des lamelles
nominale [—] [—] [mm]
[mm] C L C L C L C
60 C3s 3 20 20 20
80 C3s 3 30 20 30
90 C3s 3 30 30 30
100 C3s 3 30 40 30 C3s
120 C3s 3 40 40 40
100 C5s 5 20 20 20 20 20
120 C5s 5 30 20 20 20 30
140 C5s 5 40 20 20 20 40 C5s
160 C5s 5 40 20 40 20 40
Largeur
Longueur
P ann ea ux L
Épaisseur Dénomination Plis Disposition des lamelles
nominale [—] [—] [mm]
[mm] L C L C L C L
60 L3s 3 20 20 20
80 L3s 3 30 20 30
90 L3s 3 30 30 30
L3s
100 L3s 3 30 40 30
120 L3s 3 40 40 40
100 L5s 5 20 20 20 20 20 L5s
120 L5s 5 30 20 20 20 30
140 L5s 5 40 20 20 20 40
160 L5s 5 40 20 40 20 40
L5s-2*
180 L5s 5 40 30 40 30 40
200 L5s 5 40 40 40 40 40
160 L5s-2* 5 60 40 60
180 L7s 7 30 20 30 20 30 20 30 L7s
200 L7s 7 20 40 20 40 20 40 20
240 L7s 7 30 40 30 40 30 40 30
220 L7s-2* 7 60 30 40 30 60
240 L7s-2* 7 80 20 40 20 80 L7s-2*
260 L7s-2* 7 80 30 40 30 80
280 L7s-2* 7 80 40 40 40 80
300 L8s-2** 8 80 30 80 30 80
320 L8s-2** 8 80 40 80 40 80 L8s-2**

* Couches de surface constituées de 2 couches longitudinales.


** Les couches de surface ainsi que la couche intérieure sont constituées de 2 couches longitudinales. Dernière mise à jour . 04/2012
Largeur (largeurs facturées) : 245 cm, 275 cm, 295 cm
Longueur (longueurs de production) : à partir d’une longueur de production minimum de 8,00 m par largeur de facturation ; jusqu’à une longueur
maximum de 16,00 m (avec progression par incréments de 10 cm).
Informations techniques
STRUCTURE DES PANNEAUX 04/2012

Les panneaux CLT en bois massif sont composés de plaques monocouches encollées et disposées
perpendiculairement les unes par rapport aux autres. Les panneaux ont une largeur maximum de 2,95 m et une
longueur maximum de 16,00 m.

Exemple : structure d’un panneau CLT en bois massif composé de cinq couches

collage des chants

aboutage à plat sans épaulement

+
collage des surfaces

collage des chants


+

max. 16,00 m max. 2,95 m


=
Informations techniques
QUALITÉ DES SURFACES 04/2012

Classification selon l’aspect des faces et les propriétés des panneaux

CARACTÉRISTIQUES VI IVI NVI


admis de façon isolée : joints admis de façon isolée : joints admis de façon isolée : joints
Collage ouverts d’une largeur ne ouverts d’une largeur ne ouverts d’une largeur ne
dépassant pas 1 mm dépassant pas 2 mm dépassant pas 3 mm

Bleuissement non admis admis : légère discoloration admis

Discolorations (taches
non admis non admis admises
brunes…)

pas d’accumulation de
Poches de résine poches de résine ; max. 10 x 90 mm admises
max. 5 × 50 mm

admis si apparaissant de admis si apparaissant de


Entre-écorce admis
façon isolée façon isolée

admises : gerces
Gerces superficielles apparaissant de admises admises Qualité visible habitat
façon isolée
VI
admises de façon isolée
Cœur – Moelles pourvu que leur longueur ne admises admises
dépasse pas 40 cm

admises : petites piqûres


Attaques d’insecte non admises non admises
d’insecte ; pas plus de 2 mm

Nœuds sains admis admis admis

Nœuds noirs max. 1,5 cm de diamètre max. 3 cm de diamètre admis

Trous de nœud max. 1 cm de diamètre max. 2 cm de diamètre admis


Qualité visible industrie
Flaches non admises non admises max. 2 x 50 cm
IVI
surface rugueuse : max. 10 %
Surface entièrement poncée entièrement poncée
de la surface totale

Qualité de la finition des admis : petits défauts si admis : défauts si admis : défauts si
surfaces apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée

Qualité des faces


admis : petits défauts si admis : défauts si admis : défauts si
frontales et du collage
apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée apparaissant de façon isolée
des chants
Chanfrein sur les
oui non non
panneaux L

Finition des arêtes de Qualité non visible NVI


oui non non
coupe au papier de verre

Découpe – scie à chaîne non admise admise admise

Largeur des lamelles ≤ 130 mm max. 230 mm max. 230 mm

Humidité max. 11 % max. 15 % max. 15 %

Mélange d’essences non admis non admis autorisé pour épicéa-sapin/pin


Informations techniques
DÉNOMINATION DES QUALITÉS 04/2012

Stora Enso propose pour les panneaux CLT les trois qualités de plis suivantes :
NVI qualité non visible
IVI qualité visible industrie
VI qualité visible habitat

Les différentes qualités de panneaux CLT proposées par Stora Enso sont composées de plaques monocouche
correspondant à une ou plusieurs de ces trois qualités de base.

Qualité NVI

NVI (qualité non visible) ………………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
NVI (qualité non visible) ………………………………

Qualité INV

IVI (qualité visible industrie) …………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
NVI (qualité non visible) ………………………………

Qualité VI

VI (qualité visible habitat) ………………………………

NVI (qualité non visible) ………………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
Informations techniques
DÉNOMINATION DES QUALITÉS 04/2012

Qualité BVI

VI (qualité visible habitat) ………………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
VI (qualité visible habitat) ………………………………

Qualité IBI

IVI (qualité visible industrie) ………………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
IVI (qualité visible industrie) ………………………………

Qualité IVI

VI (qualité visible habitat) ………………………………


NVI (qualité non visible) ………………………………
IVI (qualité visible industrie) ………………………………

Récapitulatif

Couche de surface NVI VI VI IVI IVI VI


Qualité NVI VI BVI INV IBI IVI
Couche de surface NVI NVI VI NVI IVI IVI
Informations techniques
CERTIFICATIONS 04/2012

Certification technique générale (DIBt)

En qualité d’organisme d’accréditation, le Deutsches Institut für Bautech-


nik (DIBt) a pour fonction de délivrer des certifications générales relatives
à la conformité des bâtiments et types de construction.

La « Certification technique générale » règle la fabrication et l’utilisation


des panneaux CLT. Elle constitue par ailleurs la référence de base pour
l’attribution de la marque de conformité.

Agrément technique européen (ATE)

L’Agrément technique européen règle la fabrication et l’utilisation des


panneaux CLT à l’intérieur de l’espace européen. Il constitue en outre la
référence de base pour l’attribution du marquage CE.

PEFC

Le Programme de Reconnaissance des Certifications Forestières ou PEFC


(Programme for the Endorsement of Forest Certification Schemes) est une
marque de certification qui garantit que les produits des industries du bois et
du papier proviennent d’exploitations forestières pratiquant une gestion du-
rable. La certification PEFC est un gage de responsabilité écologique, éco-
nomique et sociale.
Pour le client, la certification PEFC atteste que le produit acheté participe à
la promotion d’une sylviculture durable soumise à des critères de gestion
écologique.

Le logo PEFC garantit que ce produit a été soumis à des critères de con-
trôle très stricts sur l’ensemble de la chaîne de production, depuis la forêt
jusqu’au produit final. Stora Enso apporte confirmation que ces critères sont
respectés, notre société étant elle-même régulièrement contrôlée par des
organismes indépendants.
Informations techniques
INFORMATIONS GÉNÉRALES 04/2012

Montage
Afin d’éviter tout dommage physique ou matériel, on veillera à prendre toutes les mesures nécessaires afin
d’assurer la bonne sécurité pendant le montage.
Les points suivants doivent être respectés :
 N’employez que des accessoires de levage et d’élingage parfaitement appropriés.
 Pour les panneaux présentant des ouvertures particulièrement importantes (fenêtres par exemple), veillez à
assurer la bonne stabilité et le raidissement correct de ceux-ci (danger que les panneaux ne cèdent et ne se
brisent lors de l’opération de levage).
 Veillez à ne pas endommager les parties particulièrement fragiles ou exposées telles que les arêtes des pan-
neaux ou la face visible de ceux-ci.
 Prenez les mesures nécessaires afin d’éviter de salir les panneaux ; protégez par exemple les panneaux à
face visible VI et IVI au moyen de films plastiques ou de panneaux en carton.
 Protégez également les panneaux CLT contre l’eau et les intempéries.
 Veillez à prendre toutes les mesures requises en matière de protection incendie et de protection contre le
bruit (normes à respecter).
 N’utilisez les panneaux CLT que pour des applications correspondant aux classes d’utilisation I et II. Il est im-
portant de souligner qu’il est interdit de soumettre les panneaux CLT à une exposition directe aux intempéries
ou à une humidité de l’air qui serait en permanence extrêmement élevée. Si c’est cependant le cas,
l’utilisateur s’engage à en assumer pleinement les éventuelles conséquences.
 Prenez soin de fournir aux différents corps de métier impliqués dans le projet de construction toutes les infor-
mations nécessaires et faites référence à notre site www.clt.info.

Comportement au gonflement et au retrait


Le bois a pour propriété d’absorber et de restituer l’humidité en fonction de la température et de l’hygrométrie.
 Gonflement (surface ondulée) :
L’humidité de l’air est trop élevée, en raison par exemple de l’humidité générée par le béton ou les chapes. À
prescrire impérativement ! Le bois retrouvera toutefois en partie sa structure plane dès que l’équilibre hy-
grométrique aura été rétabli, soit par déshumidification de l’air, soit par un réchauffement progressif de l’air
ambiant. Pour les panneaux CLT, il est recommandé d’avoir une humidité de l’air comprise entre 40 et 60 %.
 Gerces de retrait (surface présentant des fissures) :
L’humidité de l’air est trop faible, en raison par exemple de la ventilation ou d’une température trop élevée à
l’intérieur du bâtiment pendant la période de chauffage. À prescrire ! Le bois retrouvera toutefois en partie sa
structure d’origine dès que l’équilibre hygrométrique aura été rétabli par humidification de l’air. La bonne hu-
midité de l’air peut être assurée au moyen d’humidificateurs, de fontaines d’intérieur, de plantes, etc.
Les gerces de retrait et écartements de jointures n’ont néanmoins absolument aucune incidence sur la capacité
de portance ou sur les caractéristiques physiques des panneaux CLT. Celles-ci ne constituent en aucune ma-
nière un défaut des panneaux CLT en bois massif. Du fait des propriétés naturelles du bois, il se peut que les
panneaux massifs contrecollés soient soumis à des contraintes qui entraînent dans les premiers temps
l’apparition de certaines fissures.
Informations techniques
INFORMATIONS GÉNÉRALES 04/2012

Altération de la couleur des surfaces


Du fait des rayons ultraviolets, la lumière naturelle a pour effet de provoquer à la longue un assombrissement et
un jaunissement des surfaces en bois d’épicéa. Il est donc important de ne pas attendre trop longtemps pour ef-
fectuer les retouches ou les travaux complémentaires (ponçage par exemple) si l’on veut éviter d’avoir des sur-
faces aux couleurs inégales. Lors du montage des panneaux VI, on veillera à ce que ceux-ci ne soient pas par-
tiellement recouverts afin d’éviter des différences de coloration de la surface des panneaux.

Traitement des surfaces


De manière générale, on peut utiliser pour les panneaux CLT toutes les peintures et tous les vernis employés
habituellement pour le bois.
Pour plus d’informations sur les panneaux CLT, veuillez consulter notre site www.clt.info.
Construction
Construction
GÉNÉRALITÉS 04/2012

Les informations indiquées ici constituent des exemples de construction proposés par Stora Enso.
A Construction du gros œuvre
Socle et ancrage des murs
Joint de mur
Linteaux
Plafond
Nœud de jonction « paroi étage inférieur – plafond – paroi étage supérieur »
Toit
Porte-à-faux et renforcement supérieur de plancher

B Structure des couches


Murs extérieurs
Parois intérieures
structure de plancher
Dalle de plancher (face inférieure)
Toit
Paroi de séparation (dans appartement)
Paroi de séparation (entre bâtiments)

C Détails
Socle et ancrage des murs
Joint de fenêtres
Joint de portes
Porte-à-faux
Toit à forte pente
Toit plat
Installations électriques
Installations sanitaires
Cheminée
Escaliers

D Autres applications
Bâtiments industriels et commerciaux
Immeubles d’habitation
Agrandissements
Ouvrages de génie civil

Les constructions et les structures doivent pour chaque cas particulier faire l’objet de vérifications et de calculs
portant sur la statique et la physique des constructions ainsi que sur la faisabilité de chaque projet. La réalisation
effective des projets conformément aux règles de l’art est de la responsabilité des corps de métiers auxquels est
confiée l’exécution des travaux.
A_Construction du gros oeuvre
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

1 Socle et ancrage des murs


1.1 Socle avec lit de mortier

panneau mural en CLT

étanchement contre les connecteur de mur


remontées d’humidité (en fonction des exigences statiques)

étanchement vertical
assise

lit de mortier

Réalisation

t Le panneau CLT peut être posé aussi bien sur un lit de mor- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
tier sec qu’un lit de mortier humide (compensation des tolé- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
rances). Attention ! Toute la face du panneau est en contact gences statiques.
avec le lit de mortier. Le panneau CLT doit être protégé des
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
remontées d’humidité par un joint d’étanchéité approprié.
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

1.2 Socle avec semelle

panneau mural en CLT

joints d’étanchéité

connecteur de mur
étanchement vertical (en fonction des exigences statiques)

étanchement contre les


remontées d’humidité
assise

semelle (sablière)

Réalisation

t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

1.3 Socle avec semelle surélevée

panneau mural en CLT

joints d’étanchéité
connecteur de mur
étanchement vertical (en fonction des exigences statiques)
connecteur de semelle
(selon les exigences
statiques)
assise
étanchement contre
les remontées
d’humidité

semelle (sablière)

Réalisation

t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
t Une semelle surélevée permet le cas échéant d’obtenir une à respecter les écartements autorisés entre les bords des
hauteur de paroi supérieure en faisant passer celle-ci de organes d’assemblage.
2 950 mm à 3 050 mm.

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

1.4 Socle en béton (lit de mortier)

panneau mural en CLT

étanchement contre les


remontées d’humidité connecteur de mur
(en fonction des exigences statiques)

étanchement vertical

assise

lit de mortier

Réalisation

t Le panneau CLT peut être posé aussi bien sur un lit de mor- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
tier sec qu’un lit de mortier humide (compensation des tolé- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
rances). Attention ! Toute la face du panneau est en contact gences statiques.
avec le lit de mortier. Le panneau CLT doit être protégé des
t Lors de la mise en place des connecteurs de mur, on veillera
remontées d’humidité par un joint d’étanchéité approprié.
à respecter les écartements autorisés entre les bords des
organes d’assemblage.

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

1.5 Socle en béton (semelle)

panneau mural en CLT

étanchement vertical connecteur de mur


(en fonction des exigences statiques)
connecteur de semelle
(selon les exigences
statiques)
étanchement contre les
remontées d’humidité
assise

semelle (sablière)

Réalisation

t Posez un joint d’étanchéité entre la semelle (en mélèze par t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
exemple) et le panneau CLT. On veillera par ailleurs à proté- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
ger la semelle des remontées d’humidité provenant de gences statiques.
l’assise.
t Lorsque vous vissez le panneau CLT à la semelle, prenez
t Au moment de l’ancrage des murs, on tiendra compte des soin de respecter les écartements autorisés entre les bords
contraintes horizontales et verticales particulières qui s’exer- des organes d’assemblage.
cent du fait de la surélévation et on prendra soin d’utiliser les
connecteurs appropriés (cf. photo de gauche).

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2 Joints de mur
Règles de base en matière de construction

Joints de mur :

1. On emploiera de préférence des panneaux CLT dont la


hauteur est égale à la hauteur de l’étage, donc sans
aucun joint.

dalle de plancher en CLT pa


nn
ea
en u mu
hauteur max. de paroi : 2 950 mm CL ral
T
(voire 3 950 mm sur demande)
pa
nn
ea
en u mu
CL ral
T

2. Si la hauteur des parois est supérieure à 2 950 mm ou


bien si l’on veut éviter l’utilisation de panneaux de très
grande largeur (nécessité dans ce cas de transports
exceptionnels), il est alors possible d’abouter les pan-
panneau mural

neaux verticalement.
(pour plus de détails, reportez-vous aux points  2.6
en CLT

panneau mural

et 2.7)
en CLT

joint de mur vertical

3. Si les solutions 1 et 2 ne sont pas applicables, il faudra


alors abouter les panneaux muraux horizontalement.
(pour plus de détails, reportez-vous aux points 2.3, 2.4
et 2.5)

joint de mur horizontal

dalle de plancher en CLT pa


nn
ea
en u mu
CL ral
T

pa
nn
ea
en u mu
CL ral
T
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.1 Joint de coin

collage du joint vertical au moyen


d’une bande adhésive appropriée
(variante)

joints d’étanchéité

connecteurs vissés
panneau mural
(selon les exigences statiques)
en CLT

Réalisation

t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des et des éléments de construction se font en fonction des exi-
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les gences statiques.
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Selon les exigences, le boulonnage du joint de coin sera réa-
lisé soit d’un point de vue purement constructif (vis à 90° par
rapport à la paroi), soit de manière statiquement effective
(vissage oblique en bout).

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.2 Joint en T

joints d’étanchéité

panneau mural
en CLT

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

Réalisation

t Si les pièces d’un bâtiment doivent présenter une parfaite t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
étanchéité à l’air, les joints des panneaux CLT devront alors et des éléments de construction se font en fonction des exi-
être équipés de joints d’étanchéité. gences statiques.
t Selon les exigences, le boulonnage du joint en T sera réalisé
soit d’un point de vue purement constructif (vis à 90° par
rapport à la paroi), soit de manière statiquement effective
(vissage oblique en bout).

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.3 Joint de mur horizontal (planche-joint)

Les assemblages montrés dans


les illustrations présentent
une limite de résistance
aux contraintes
exercées.
planche-joint
panneau mural
panneau mural en CLT connecteurs vissés
en CLT (selon les exigences
espace statiques)
d’assemblage
espace d’assemblage
planche-joint joints d’étanchéité

joint d’étanchéité

(une deuxième feuillure peut nécessiter


une finition sur les deux faces)

Réalisation

t Si vous utilisez des planches de jointure (panneau à trois plis t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ou bois de placage par exemple), prenez soin pour les et des éléments de construction se font en fonction des exi-
feuillures de respecter les dimensions standard qui sont de gences statiques.
27 × 80 mm.
t Si vous utilisez des planches-joint pour assembler des pan-
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- neaux feuillurés, gardez à l’esprit qu’en raison de la feuillure,
ment une bonne étanchéité à l’air. la surface de bois de bout des panneaux CLT s’en trouve
réduite d’autant (pression superficielle).

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.4 Joint de mur horizontal (assemblage bord à bord)

connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)

panneau mural en CLT

sert également si nécessaire de surface d’appui


joint d’étanchéité supplémentaire pour les entraits, les chevrons
ou les pannes (pression superficielle)

montant mural disposé dans la couche d’isolation


(tenir compte du risque de flambage)

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Lorsque les murs intérieurs sont positionnés de façon adé-
quate, ceux-ci peuvent également assurer la fonction du t Le montant mural peut servir de surface d’appui supplé-
montant mural indiqué sur le dessin. mentaire pour des entraits ou des pannes par exemple
(pression superficielle plus élevée).

Illustration
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.5 Joint de mur horizontal (planches-joint extérieures)

planche-joint panneau mural en CLT

joint d’étanchéité
assemblage (par des clous, vis ou clameaux)
avec le panneau
(en fonction des exigences statiques)

Réalisation

t Si vous utilisez des planches-joint extérieures faisant saillie t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
(panneau à trois plis ou bois de placage par exemple), veillez et des éléments de construction se font en fonction des exi-
à ce que la structure des couches qui seront posées ensuite gences statiques.
leur soit adaptée.
t Pour ce type d’assemblage des panneaux CLT, il faudra tenir
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- compte tout particulièrement du risque de flambage de la
ment une bonne étanchéité à l’air. paroi.
t On peut augmenter la rigidité de l’assemblage par des col-
lages supplémentaires.
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CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.6 Joint de mur vertical (joint en nez-de-marche)

panneau mural en CLT

joint d’étanchéité

panneau mural en CLT

espace d’assemblage

connecteurs vissés utilisés dans des conditions normales


(selon les exigences statiques)

connecteurs vissés utilisés lorsque le joint est soumis à des forces


de cisaillement importantes (selon les exigences statiques)

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant (sur un côté). Celui-ci sera fonction t S’il n’est pas possible d’éviter des forces de cisaillement
du type de construction. importantes au niveau du joint, les organes d’assemblage
devront alors être dimensionnés et positionnés de manière à
t Si nécessaire, prévoyez également à hauteur de la feuillure
correspondre aux forces exercées.
suffisamment de place pour permettre la pose d’un joint
d’étanchéité.

Illustration
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CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

2.7 Joint de mur vertical (planche-joint)

panneau mural en CLT

joint d’étanchéité

panneau mural en CLT

espace d’assemblage

planche-joint

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

Réalisation

t Si vous utilisez des planches de jointure (panneau à trois plis t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ou bois de placage par exemple), prenez soin pour les et des éléments de construction se font en fonction des exi-
feuillures de respecter les dimensions standard qui sont de gences statiques.
27 × 80 mm.
t Au lieu de connecteurs vissés, la planche-joint peut être
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- assemblée aux panneaux CLT au moyen de colles appro-
ment une bonne étanchéité à l’air. priées qui ont pour avantage de garantir une meilleure trans-
mission des forces de cisaillement.

Illustration
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3 Linteaux
3.1 Linteau continu

ouverture de fenêtre

panneau mural
en CLT hauteur du garde-corps
dalle de plancher
en CLT
linteau continu

ouverture de fenêtre
panneau mural
en CLT

Réalisation

t Si d’un point de vue statique la hauteur du garde-corps se t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
révèle être insuffisante, il faudra dans ce cas prévoir un ren- et des éléments de construction se font en fonction des exi-
forcement supérieur de plancher dimensionné de façon cor- gences statiques.
respondante et auquel on pourra suspendre le linteau. Si l’on
t L’assemblage du linteau au renforcement supérieur de plan-
utilise comme renforcement de plancher une paroi se trou-
cher (paroi supérieure) peut être réalisé par exemple au
vant au-dessus du linteau, il faudra alors tenir compte de la
moyen de tôles perforées ou de connecteurs vissés (évitez
hauteur du garde-corps pour les ouvertures de fenêtre.
dans ce cas le vissage oblique en bout).
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3.2 Linteau en appui

ouverture de fenêtre

panneau mural en CLT

dalle de plancher en CLT

linteau en appui (bois lamellé-collé)

linteau en
ouverture de fenêtre appui (CLT)

panneau mural en CLT

Réalisation

t Le dimensionnement d’un linteau en appui doit corres- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pondre aux charges et aux forces qui s’exercent sur et des éléments de construction se font en fonction des exi-
celui-ci. gences statiques.
t Il convient de tenir compte de la pression superficielle qui t Un linteau en CLT absorbe et transmet bien mieux les forces
s’exerce au niveau de la surface d’appui du linteau. de cisaillement qu’un linteau en bois lamellé-collé. Ceci s’ex-
plique par le fait que le bois lamellé-collé ne comporte pas
de couches transversales.
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Illustration
Construire en CLT
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4 Plafond
4.1 Joint de plafond (planche-joint)

dalle de plancher en CLT

espace d’assemblage

planche-joint

dalle de plancher en CLT

joint d’étanchéité
organes d’assemblage
(selon les exigences statiques)

Réalisation

t Si les joints de plafond sont réalisés au moyen d’une t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
planche-joint (panneau aggloméré à fibres orientées [OSB], et des éléments de construction se font en fonction des exi-
panneau à trois plis ou bois de placage par exemple), prenez gences statiques.
soin pour les feuillures de respecter les dimensions standard
t On utilisera comme connecteurs des clous, des vis ou des
qui sont de 27 × 80 mm.
clameaux correctement dimensionnés (vérifiez que le dia-
t Selon les exigences, on posera également des bandes mètre minimum imposé par l’agrément technique est bien
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. respecté).

Illustration
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4.2 Joint de plafond (joint en nez-de-marche)

dalle de plancher en CLT


dalle de plancher en CLT
espace d’assemblage espace d’assemblage

dalle de
dalle de plancher
plancher
en CLT
en CLT

joint d’étanchéité joint d’étanchéité

connecteurs vissés connecteurs vissés utilisés dans le cas d’une


(selon les exigences statiques) direction élevée des efforts tranchants
(selon les exigences statiques)

Réalisation

t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant (sur un côté). Celui-ci sera fonction t SI le joint peut être soumis à une direction accrue des efforts
du type de construction. tranchants, il faudra alors dimensionner et disposer les
connecteurs en tenant compte de ce paramètre.

Illustration
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4.3 Joint de plafond (statique, traction transversale)

dalle de plancher en CLT


espace d’assemblage

dalle de plancher en CLT

joint d’étanchéité

système statique :

dalle de plancher en CLT


espace d’assemblage

dalle de plancher en CLT

connecteurs vissés servant à


accroître la traction transversale
(selon les exigences statiques)

connecteurs vissés servant à transmettre les


contraintes de cisaillement vers le joint
(selon les exigences statiques)

système statique :
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entrait
connecteurs vissés avec entraits
(selon les exigences statiques)
connecteurs vissés servant à accroître
dalle de plancher en CLT la traction transversale
(selon les exigences statiques)

joint d’étanchéité

Réalisation

t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de t Si le système statique l’exige, il faudra employer des vis à
construction. filetage total afin de garantir un raccord effectif compte tenu
des forces et tractions transversales qui s’exercent au niveau
du joint et de la surface d’appui.

Illustration
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4.4 Entrait en acier

dalle de plancher en CLT

poutre en acier
faisant fonction d’entrait
(sous le plafond)

dalle de plancher en CLT


(espace d’assemblage pour la poutre en acier !)

poutre en acier faisant fonction d’entrait


feuillure sur les faces supérieure et inférieure

connecteurs vissés
dalle de plancher en CLT (selon les exigences
statiques) dalle de plancher en CLT
(espace d’assemblage pour la poutre
en acier !)

placoplâtre ou plaque
de plâtre armé

poutre en acier
faisant fonction d’entrait
(face inférieure avec feuillure, face
supérieure sans feuillure)
dalle de plancher en CLT
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
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dalle de plancher en CLT


(espace d’assemblage pour la poutre en acier !)

poutre en acier faisant fonction d’entrait


feuillure sur les faces supérieure et inférieure

en fonction des dimensions de la feuillure :


plaque en matériau dérivé du bois
protection le cas échéant contre la traction
(habillage de l’entrait)
transversale
connecteurs vissés (en fonction des exigences statiques)

Réalisation

t Selon les exigences, on posera ou collera également des t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
bandes d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du et des éléments de construction se font en fonction des exi-
joint. gences statiques.
t Afin d’éviter toute complication lors de l’assemblage, on t En cas d’exigences particulières en matière de protection
prendra soin de ménager un espace d’assemblage suffisant incendie, il faudra revêtir les entraits métalliques d’un
entre les dalles de plancher en CLT et les poutres en acier. habillage ou bien traiter leur surface avec une peinture
spéciale.

Illustration
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4.5 Entrait en bois

connecteurs vissés dalle de plancher


(selon les exigences statiques) en CLT

dalle de plancher en CLT

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

entrait (bois lamellé-collé)


entrait (bois lamellé-collé)

Réalisation

t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.

Illustration
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4.6 Entrait (évidement dans la paroi)

bande adhésive appropriée


(étanchéité à l’air)

espace d’assemblage
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

entrait (bois lamellé-collé)

panneau mural en CLT

renforcer en fonction des exigences posées


à la surface d’appui (pression superficielle)

Réalisation

t Selon les exigences, on posera une bande adhésive appro- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
priée afin d’assurer une parfaite étanchéité à l’air (collage et des éléments de construction se font en fonction des exi-
des joints). gences statiques.
t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Si nécessaire, on prendra soin de renforcer la surface d’ap-
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de pui qui se trouve dans le panneau mural. On utilisera pour ce
construction. faire une plaque métallique et des vis à filetage total (pres-
sion superficielle).

Illustration
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4.7 Entrait (étançon)

connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)

entrait (bois lamellé-collé)


étançon
(surface d’appui pour entrait)

panneau mural en CLT

Réalisation

t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.

Illustration
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4.8 Entrait (support de fixation métallique)

tôle rainurée et chevilles


(réalisation en fonction
des exigences statiques)
entrait (bois lamellé-collé)

panneau mural en CLT

Réalisation

t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.
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fixation de l’entrait au moyen d’un


support de fixation métallique
(réalisation en fonction des
exigences statiques)

entrait (bois lamellé-collé)

panneau mural en CLT

Réalisation

t On prendra soin lors de la conception de prévoir un espace t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’assemblage suffisant. Celui-ci sera fonction du type de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
construction. gences statiques.
t Les supports de fixation métalliques devront être adaptés à
la taille des entraits.

Illustration
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4.9 Couronne de plafond

couronne

structure du plafond

entrait de plafond
panneau mural en CLT

bande d’étanchéité de joint

feuillure (prendre soin de conserver


la couche centrale)

panneau mural en CLT

couronne

structure du
plafond

entrait de plafond
panneau mural en CLT

bande d’étanchéité de joint

panneau mural en CLT

Réalisation

t Selon les exigences, on posera également des bandes t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
d’étanchéité afin d’assurer la parfaite étanchéité du joint. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Il est important de conserver la couche centrale (zone de
feuillure) afin de pouvoir garantir la parfaite étanchéité à l’air t Attention ! Au niveau du joint des panneaux, la surface d’ap-
du panneau mural en CLT. pui se trouve réduite du fait de la feuillure. En outre, la cou-
ronne peut diminuer, ce qui a alors pour effet d’empêcher la
transmission des forces (pression superficielle).
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Illustration
Construire en CLT
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4.10 Plafond à entraits

dalle de plancher en CLT

connecteurs vissés (en fonction


des exigences statiques)
entrait de plafond
(bois lamellé-collé)

Réalisation

t Pensez à tenir compte du fléchissement de la dalle de plan- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
cher (vérification de l’aptitude à l’emploi ; prise en compte de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
l’entraxe des entraits ainsi que des dimensions du plafond). gences statiques.

Illustration
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4.11 Plafond à nervures

dalle de plancher en CLT


connecteurs vissés (en fonction
des exigences statiques)

nervure
(bois lamellé-collé)

Réalisation

t Pensez à tenir compte du fléchissement de la dalle de plan- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
cher (vérification de l’aptitude à l’emploi ; prise en compte de et des éléments de construction se font en fonction des exi-
l’entraxe des nervures ainsi que des dimensions du gences statiques.
plafond).
t Le plafond — dont l’axe de portée correspond à celui des
t Structure composite statique entre les nervures et le plafond nervures — peut être inclus ou pris en compte dans les
(collages ou connecteurs vissés). calculs statiques.

Illustration
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5 Nœud de jonction « paroi étage inférieur –


plafond – paroi étage supérieur »
5.1 « Platform framing »
assemblage vissé du joint en T
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT

collage du joint au moyen d’une assemblage vissé mur-plafond


bande adhésive appropriée (selon les exigences statiques)
(variante)

connecteur de mur
bandes
(selon les exigences statiques)
d’étanchéité
dalle de plancher en CLT

Réalisation

t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Ancrage des murs effectué de manière à obtenir un assem-
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des blage statiquement effectif entre les parois et le plafond
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les (efforts de cisaillement et forces de traction).
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Assemblage vissé du joint en T à réaliser soit de l’intérieur,
t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage soit de l’extérieur.
et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.

Illustration
Construire en CLT
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assemblage vissé mur-plafond


(selon les exigences statiques)

panneau mural en CLT


connecteur de mur
(selon les exigences statiques)
collage du joint au moyen d’une
bande adhésive appropriée
(variante)

bandes d’étanchéité
dalle de plancher en CLT

Réalisation

t Afin d’obtenir l’étanchéité à l’air voulue pour le bâtiment, on t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
pourra — en plus des joints d’étanchéité — employer des et des éléments de construction se font en fonction des exi-
bandes adhésives appropriées que l’on appliquera sur les gences statiques.
faces intérieures et extérieures des joints verticaux.
t Ancrage des murs effectué de manière à obtenir un assem-
blage statiquement effectif entre les parois et le plafond
(efforts de cisaillement s’exerçant dans le sens de la paroi ;
forces de traction et de compression résultant des
contraintes exercées par le vent).

Illustration
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5.2 « Balloon framing »

panneau mural en CLT panneau mural en CLT

espace d’assemblage

dalle de plancher en CLT


dalle de plancher
équerre en métal servant bande d’étanchéité en CLT
d’appui (dimensionnement de joint poutre de rive servant d’appui
en fonction des exigences (dimensionnement en fonction des
bande d’étanchéité statiques) exigences statiques)
de joint

Réalisation

t En cas d’exigences particulières en matière de protection t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
incendie, il faudra doter d’un habillage l’équerre en métal qui et des éléments de construction se font en fonction des exi-
sert d’appui à la dalle de plancher. gences statiques.
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6 Toiture
6.1 Toiture en CLT (coyaux)

panneau de toiture en CLT

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

bande d’étanchéité de joint


coyau
connecteurs vissés (en fonction
des exigences statiques)
panneau mural en CLT

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
ment une bonne étanchéité à l’air. neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
t Prenez soin de respecter les écarts requis entre les connec-
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
teurs vissés.
cées par le vent.
t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.

Illustration
Construire en CLT
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6.2 Toiture en CLT (assemblage bord à bord


sur le panneau mural)

panneau de toiture en CLT

bandes d’étanchéité

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t L’arête du panneau mural en CLT doit être chanfreinée. Le
panneau de toiture en CLT forme quant à lui l’auvent et la t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
partie inférieure visible de celui-ci. neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
cées par le vent.

Illustration
Construire en CLT
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6.3 Toiture en CLT (entaille)

panneau de toiture en CLT

bande d’étanchéité de joint

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Le panneau mural en CLT présente une arête rectiligne, ce
qui nécessite donc la réalisation d’une entaille dans le pan- t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les pan-
neau de toiture. Attention ! Une entaille trop profonde entraî- neaux muraux et les panneaux de toiture absorbent à la fois
nerait une fragilisation de la partie inférieure de la toiture. les forces de cisaillement dans le sens de la surface d’appui
et les forces de dépression résultant des contraintes exer-
cées par le vent.

Illustration
Construire en CLT
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6.4 Toit à chevrons (évidements réalisés dans la paroi


pour les chevrons)

espace d’assemblage

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

chevron

panneau mural en CLT

Réalisation

t Prenez soin de prévoir un espace d’assemblage suffisant au t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
niveau des évidements destinés à recevoir les chevrons. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Selon les exigences, on assurera l’étanchéité à l’air de la
construction en posant soit des bandes d’étanchéité de t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les chevrons
joint, soit des bandes adhésives qui seront disposées sur la et le panneau CLT absorbent les forces de dépression résul-
face extérieure. tant des contraintes exercées par le vent.

Illustration
Construire en CLT
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6.5 Toit à chevrons (entaille réalisée dans le chevron)

connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)

chevron

panneau mural en CLT

panneau mural en CLT


panne d’auvent

bandes d’étanchéité

Réalisation

t Lors de la conception et de la réalisation, on veillera à ce que t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
la longueur des pannes d’auvent soit suffisante afin que et des éléments de construction se font en fonction des exi-
celles-ci puissent passer au minimum sous un des chevrons gences statiques.
situés à l’intérieur des combles (derrière la paroi du pignon).
t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les chevrons
t Selon les exigences, on assurera l’étanchéité à l’air de la avec le panneau CLT ou la panne d’auvent absorbent les
construction en posant soit des bandes d’étanchéité de forces de dépression résultant des contraintes exercées par
joint, soit des bandes adhésives qui seront disposées sur la le vent.
face extérieure.

Illustration
Construire en CLT
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6.6 Ligne de faîtage (avec panne)

espace d’assemblage
panne courante (entre les panneaux CLT)

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

panneau de toiture en CLT

bandes d’étanchéité

Réalisation

t Prenez soin de respecter les largeurs et les surfaces d’appui t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
requises. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Veillez également à la bonne profondeur des entailles. Celle-
ci varie en effet en fonction de la structure des panneaux de
toiture (nombre de plis des panneaux).
t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti-
ment une bonne étanchéité à l’air.

Illustration
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6.7 Ligne de faîtage (sans panne) pour les charpentes


de couverture à redents

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)
connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

panneau de toiture en CLT


panneau de toiture en CLT

Réalisation

t Il faudra poser des joints d’étanchéité pour assurer au bâti- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
ment une bonne étanchéité à l’air. et des éléments de construction se font en fonction des exi-
gences statiques.
t Montage réalisé à l’aide d’un gabarit.
t Dans ce cas, l’assemblage vissé des panneaux de toiture en
CLT absorbe et transmet essentiellement les forces de
cisaillement.

Illustration
Construire en CLT
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7 Porte-à-faux et renforcement supérieur


de plancher
7.1 Renforcement supérieur de plancher réalisé en bois

dalle de plancher en
CLT renforcement supérieur de plancher
(bois lamellé-collé)

connecteurs vissés
(selon les exigences
statiques)

Réalisation

t Les connecteurs vissés utilisés pour assembler les dalles de t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
plancher au renforcement supérieur de plancher doivent et des éléments de construction se font en fonction des exi-
être choisis en fonction des forces exercées. On optera gences statiques.
selon les cas soit pour des vis à filetage total, soit pour des
vis à tête large et à filetage partiel.
t Si vous utilisez des vis à tête large et à filetage partiel, prenez
soin de tenir compte de la force de boulon encastré.
Construire en CLT
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7.2 Renforcement supérieur de plancher réalisé en acier

dalle de plancher
en CLT renforcement supérieur de
plancher (poutre en acier)

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques)

Réalisation

t Dans ce cas, l’assemblage peut être réalisé aussi bien avec t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
des vis à filetage total qu’avec des vis à filetage partiel. Étant et des éléments de construction se font en fonction des exi-
donné que le vissage s’effectue de haut en bas, il faudra, gences statiques.
pour les poutres en acier de faible section, veiller à ce que la
bride supérieure soit elle aussi dotée de forures afin de per-
mettre le passage et le vissage des vis utilisées pour
l’assemblage.
Construire en CLT
CONSTRUCTION DU GROS ŒUVRE 04/2012

7.3 Paroi faisant fonction de renforcement supérieur


de plancher

dalle de plancher
en CLT
paroi faisant
fonction de
renforcement
supérieur de
plancher

connecteurs vissés
(selon les exigences statiques) panneau mural en CLT

panneau mural en CLT

ha
u te
ur
du
ga
rd e Attention ! Si le mur présente une ouverture de fenêtre à
-co cet endroit, il ne pourra en aucun cas faire fonction de
r ps
porte-à-faux ou d’appui pour d’autres parois !

plaque métallique
(renforcement de la surface d’appui)

Réalisation

t Si les panneaux muraux de l’étage supérieur servent de ren- t Le choix et le dimensionnement des organes d’assemblage
forcement supérieur de plancher (pour la fixation des dalles et des éléments de construction se font en fonction des exi-
de plancher vers le haut), pensez à prendre en compte les gences statiques.
ouvertures de fenêtre et les hauteurs du garde-corps
t Les dalles de plancher en saillie doivent être assemblées
correspondantes.
aux parois murales qui se trouvent au-dessus en utilisant
t Utilisez une plaque métallique et des vis à filetage total afin des vis à filetage total qui seront disposées à faible intervalle
de permettre la transmission de bois de bout à bois de bout les unes des autres.
des contraintes exercées sur cette partie de la structure
(pression).
Construire en CLT
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Illustration
B_Structure des couches
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

1 Mur extérieur
1.1 Isolation en laine minérale

MBUUFEFCPJT TFSWBOU
EFTUSVDUVSFJOUFSNÏ-
EJBJSFEBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO MBJOFNJOÏSBMF

– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

– MBUUJT
– DPGGSBHFIPSJ[POUBM

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU‰ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOU‰EPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT

t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

1.2 Isolation en fibres de bois douces

MBUUJT TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

– MBUUJTFUDPOUSFMBUUJT
– DPGGSBHFWFSUJDBM

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU‰ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOU‰EPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT

t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
 HFODFTTUBUJRVFT
t 7FJMMF[ËDFRVFMFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMBDPVDIF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EFOEVJUTPJFOUBEBQUÏFTËMBTUSVDUVSFEFMBQBSPJ DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SPUÏHF[ MF QPVSUPVS EFT FOEVJUT BSÐUFT
 BWFD EFT QSPýMT
BQQSPQSJÏT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

1.3 Isolation en cellulose

QPVUSFFO* TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO DFMMVMPTF

– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

– MBUUJT
– DPGGSBHFIPSJ[POUBM

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FTGBÎBEFTRVJPOUVOQPJETQBSUJDVMJÒSFNFOUJNQPSUBOU‰ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FO UFOBOU DPNQUF EV QPJET QSPQSF FU EFT DIBSHFT EVFT Ë FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
MBDUJPOEVWFOU‰EPJWFOUGBJSFMPCKFUEVOFBOBMZTFTUBUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
RVJ QFSNFUUSB OPUBNNFOU EF EÏUFSNJOFS MF EJNFOTJPOOF-
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
NFOUBQQSPQSJÏEVMBUUJTFNQMPZÏ
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SÏWPZF[VOFWFOUJMBUJPOTVGýTBOUF MBUUJT

t -FT DPVDIFT IZESPGVHFT FU ÏUBODIFT BV WFOU EPJWFOU ÐUSF
DPOÎVFTFUSÏBMJTÏFTFOGPODUJPOEFMBDPOýHVSBUJPOQBSUJDV-
MJÒSFEFDIBRVFGBÎBEF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

QPVUSFFO* TFSWBOUEF
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO DFMMVMPTF

– JTPMBUJPO ýCSFTEFCPJTEPVDFT

– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
 HFODFTTUBUJRVFT
t 7FJMMF[ËDFRVFMFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMBDPVDIF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EFOEVJUTPJFOUBEBQUÏFTËMBTUSVDUVSFEFMBQBSPJ DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
t 1SPUÏHF[ MF QPVSUPVS EFT FOEVJUT BSÐUFT
 BWFD EFT QSPýMT
BQQSPQSJÏT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

1.4 Isolation en polystyrène expansé (PSE)

DMPVPVDIFWJMMF
EJTPMBUJPO ýYBUJPO
ËSÏBMJTFSFOSFT-
QFDUBOUMFT
DPOTJHOFTGPVSOJFT
QBSMFGBCSJDBOUEV
TZTUÒNFEJTPMBUJPO
UIFSNJRVF
FYUÏSJFVSF

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPO QPMZTUZSÒOFFYQBOTÏ

– DPVDIFEFOEVJU BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -FT[POFTTPVNJTFTBVYQSPKFDUJPOTEFBVTPOUËSÏBMJTFSFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
SFTQFDUBOU MFT FYJHFODFT QPTÏFT QBOOFBVY JTPMBOUT FO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NPVTTFEFQPMZTUZSÒOFFYUSVEÏFø<914>
 HFODFTTUBUJRVFT
t 4JMJTPMBUJPOFOQPMZTUZSÒOFFYQBOTÏ 14&
QSÏTFOUFMBWBO- t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
UBHFEÐUSFNPJOTDPßUFVTF JMOFOEFNFVSFQBTNPJOTRVF  DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EBOT MF DPOUFYUF EFT DPOTUSVDUJPOT FO CPJT  FMMF SFTUF USÒT
DSJUJRVÏF OPUBNNFOUFOUFSNFTEÏDPMPHJF EJTPMBUJPOQIP-
OJRVFFUEÏUBODIÏJUÏËMBEJGGVTJPO
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

2 Mur intérieur
2.1 CLT de qualité visible

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5

DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

Réalisation

t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 1PVSMFTQBOOFBVYWJTJCMFT POEJTUJOHVFFOUSFMFTQBOOFBVY t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
ËVOFGBDFWJTJCMFFUDFVYËEFVYGBDFTWJTJCMFT DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

2.2 Revêtement apposé directement sur le panneau

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ

DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

Réalisation

t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

2.3 Double revêtement de planches

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

Réalisation

t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t &O DBT EFYJHFODFT QBSUJDVMJÒSFT FO NBUJÒSF EF QSPUFDUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
JODFOEJF  MFT QBOOFBVY FO $-5 TFSPOU SFDPVWFSUT EVOF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EPVCMFDPVDIFEFQMBDPQMÉUSFPVEFQMÉUSFBSNÏ
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

2.4 Parement (lattis)

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUJT JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUJT

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

Réalisation

t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 4J MF WJEF UFDIOJRVF QFSNFU VOF DFSUBJOF BNÏMJPSBUJPO EF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
MJTPMBUJPO QIPOJRVF  JM QSÏTFOUF DFQFOEBOU EFT JODPOWÏ- DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
OJFOUTFOUFSNFTEFSÏHVMBUJPOEFMIVNJEJUÏFUEFDBQBDJUÏ
UIFSNJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

2.5 Parement (bride de ressort)

CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFMBUUFTFU
QBOOFBVYFO$-5

4USVDUVSF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT TVSCSJEFEFSFTTPSU
JTPMB-
UJPO FOUSFMFTMBUUFT

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSF
BSNÏ
DPOOFDUFVSEFNVS
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

Réalisation

t 4J MFT QJÒDFT EVO CÉUJNFOU EPJWFOU QSÏTFOUFS VOF QBSGBJUF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
ÏUBODIÏJUÏËMBJS MFTKPJOUTEFTQBOOFBVY$-5EFWSPOUBMPST FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
ÐUSFÏRVJQÏTEFCBOEFTEÏUBODIÏJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
t 4J MF WJEF UFDIOJRVF QFSNFU VOF DFSUBJOF BNÏMJPSBUJPO EF t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
MJTPMBUJPO QIPOJRVF  JM QSÏTFOUF DFQFOEBOU EFT JODPOWÏ- DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
OJFOUTFOUFSNFTEFSÏHVMBUJPOEFMIVNJEJUÏFUEFDBQBDJUÏ
UIFSNJRVF
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

3 Structure de plancher
3.1 Chape humide

4USVDUVSF

– DIBQF
– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU QBOOFBVNVSBMFO$-5
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFEFSJWF
TÏQBSBUJPO
FOUSFDIBQF
FUQBOOFBVY

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
 HFODFTTUBUJRVFT
t /PVCMJF[QBTEFQPTFSMBCBOEFEFSJWFRVJGFSBTÏQBSBUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
FOUSF MB DIBQF FU MFT QBOOFBVY BýO EÏWJUFS MFT FGGFUT EF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EÏSJWBUJPOBDPVTUJRVF

Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– DIBQF DIBVGGBHFQBSMFTPM

– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU QBOOFBVNVSBMFO$-5
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFEFSJWF
TÏQBSBUJPO
FOUSFDIBQF
FUQBOOFBVY

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
 HFODFTTUBUJRVFT
t /PVCMJF[QBTEFQPTFSMBCBOEFEFSJWFRVJGFSBTÏQBSBUJPO t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
FOUSF MB DIBQF FU MFT QBOOFBVY BýO EÏWJUFS MFT FGGFUT EF DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
EÏSJWBUJPOBDPVTUJRVF

Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

3.2 Construction à sec

4USVDUVSF

– DIBQFTÒDIF
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF QBOOFBVNVSBMFO$-5
HSBWJMMPOOBHF

– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
 HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
– QBOOFBVMÏHFSFOMBJOFEF QBOOFBVNVSBMFO$-5
CPJT
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
 HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– QBOOFBVBHHMPNÏSÏËýCSFT
PSJFOUÏFT 04#

– QBOOFBVMÏHFSFOMBJOFEF
CPJT QBOOFBVNVSBMFO$-5
– DPVDIFEFTÏQBSBUJPO
– MBJOFEFSPDIF
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– QSPUFDUJPODPOUSFMFSVJTTFMMF-
NFOU GBDVMUBUJG

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 7FJMMF[ËUPVKPVSTDPODFWPJSMBTUSVDUVSFEVQMBODIFSDPOGPS- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NÏNFOU BV QSJODJQF jNBTTFSFTTPSUNBTTFx DBQBDJUÏ FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJTPMBUJPOQIPOJRVF
 HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4 Dalle de plancher (face inférieure)


4.1 CLT de qualité visible

4USVDUVSF

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4.2 Revêtement apposé directement sur le panneau

4USVDUVSF

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

Réalisation

t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4.3 Parement (lattis)

4USVDUVSF

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– MBUUFT QPTÏFTTVSEFTCBOEFT
EJTPMBUJPO

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

Réalisation

t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4.4 Parement (bride de ressort)

JTPMBUJPO 4USVDUVSF
FOUSFMFTMBUUFT

– EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEF
CBOEFEJTPMBUJPO SFTTPSU

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
CSJEFEFSFTTPSU
– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

Réalisation

t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4.5 Plafond suspendu

JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT

4USVDUVSF
QBOOFBVYEF
QMBGPOE – EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
TVTQFOEVT – FTQBDFWJEF JOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT

– TZTUÒNFTVTQFOEVBWFDQBOOFBVYEF
QMBGPOE

Réalisation

t 4JVOQMBGPOETVTQFOEVPGGSFMBWBOUBHFEVOFNFJMMFVSFJTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MBUJPOQIPOJRVF JMQSÏTFOUFDFQFOEBOUEFTJODPOWÏOJFOUTFO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFSNFT EF SÏHVMBUJPO EF MIVNJEJUÏ FU EF DBQBDJUÏ HFODFTTUBUJRVFT
UIFSNJRVF
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
t *MFTUQPTTJCMFEFEJTTJNVMFSMFTJOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
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STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

5 Toiture
5.1 Isolation de toit à forte pente : fibres de bois douces

FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF

GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

DIFWSPO
ýYBUJPOËSÏBMJTFSFO 4USVDUVSF
GPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT<BODSBHFDPOUSF – DPVWFSUVSF

MFTGPSDFTEFTVDDJPO>

– MBUUBHF MJUFBVY

– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– ýCSFTEFCPJTEPVDFT TVSMFT
DIFWSPOT

– ýCSFTEFCPJTEPVDFT EPVCMF
DPVDIF

– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
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5.2 Isolation de toit à forte pente : cellulose

FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF

GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

QPVUSFFO* TUSVDUVSF
JOUFSNÏEJBJSFEBOTMB
DPVDIFEJTPMBUJPO

4USVDUVSF

– DPVWFSUVSF

– MBUUBHF MJUFBVY

– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– ýCSFTEFCPJTEPVDFT TVSMFT
DIFWSPOT

– JTPMBUJPOFODFMMVMPTF
– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
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5.3 Isolation de toit à forte pente : laine minérale

FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF

GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

DIFWSPO
ýYBUJPOËSÏBMJTFSFO 4USVDUVSF
GPODUJPOEFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT<BODSBHFDPOUSF – DPVWFSUVSF

MFTGPSDFTEFTVDDJPO>

– MBUUBHF MJUFBVY

– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– MBJOFNJOÏSBMF
– GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
GSFJOWBQFVS
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
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5.4 Isolation de toit à forte pente : polyuréthane

FTQBDFNFOUEFTMJUFBVY
FOGPODUJPOEVUZQFEF
DPVWFSUVSF

GSFJOWBQFVS

4USVDUVSF

– DPVWFSUVSF

– MBUUBHF MJUFBVY

– DPOUSFMBUUJT
– NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF
– JTPMBOUFOQPMZVSÏUIBOF
– GSFJOWBQFVS
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t $PNQUFUFOVEFTDBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTEFMJTPMBOUFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPMZVSÏUIBOF OPOQFSNÏBCMFËMBEJGGVTJPO
POQSFOESBTPJO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJOTUBMMFSVOGSFJOWBQFVS HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

5.5 Toit plat

4USVDUVSF

– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– DPVWFSUVSFFOGFVUSFPVFO
QMBTUJRVF
– JTPMBUJPOFOCJTFBV QPMZVSÏUIBOF
FYQBOTÏ<14&>

– MBJOFEFSPDIF
– ýMNCJUVNFVY
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t -FHSBWJMMPOOBHFTFSUEVOFQBSUËNBJOUFOJSFOQMBDFMBDPV- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WFSUVSF FU EBVUSF QBSU Ë QSPUÏHFS DFMMFDJ EF MFYQPTJUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJSFDUF BVY SBZPOT EV TPMFJM &O FGGFU  VOF UFMMF FYQPTJUJPO HFODFTTUBUJRVFT
DPOEVJSBJU Ë VOF EJNJOVUJPO EF MB SÏTJTUBODF EV NBUÏSJBV
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EPOUFMMFFTUDPNQPTÏF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– EBMMFTËFOHB[POOFS
– FNQJFSSFNFOUEFCBTF
HSBWJMMPOOBHF

– DPVWFSUVSFFOGFVUSFPVFO
QMBTUJRVF
– JTPMBUJPOFOCJTFBV QPMZVSÏUIBOF
FYQBOTÏ<14&>

– MBJOFEFSPDIF
– ýMNCJUVNFVY
– QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

Réalisation

t -FHSBWJMMPOOBHFTFSUEVOFQBSUËNBJOUFOJSFOQMBDFMBDPV- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WFSUVSF FU EBVUSF QBSU Ë QSPUÏHFS DFMMFDJ EF MFYQPTJUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
EJSFDUF BVY SBZPOT EV TPMFJM &O FGGFU  VOF UFMMF FYQPTJUJPO HFODFTTUBUJRVFT
DPOEVJSBJU Ë VOF EJNJOVUJPO EF MB SÏTJTUBODF EV NBUÏSJBV
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
EPOUFMMFFTUDPNQPTÏF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

Illustration
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

6 Paroi de séparation (dans appartement)


6.1 Paroi composée d’un panneau de CLT

CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFQBOOFBVEF$-5FUMBUUJT
FOUSFQBOOFBVFUCSJEFEFSFTTPSU

4USVDUVSF

CSJEFEFSFTTPSU – QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
JTPMBUJPOQIPOJRVF
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

Réalisation

t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– ÏMÏNFOUEFDPOTUSVDUJPODPNQPTJUF QBOOFBV
MÏHFSFOMBJOFEFCPJTSFWÐUVEFTEFVYDÙUÏTEF
QMBDPQMÉUSF

– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– ÏMÏNFOUEFDPOTUSVDUJPODPNQPTJUF QBOOFBV
MÏHFSFOMBJOFEFCPJTSFWÐUVEFTEFVYDÙUÏTEF
QMBDPQMÉUSF

Réalisation

t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

6.2 Paroi composée de deux panneaux de CLT

CBOEFEJTPMBUJPO
FOUSFQBOOFBVEF$-5FUMBUUJT
FOUSFQBOOFBVFUCSJEFEFSFTTPSU

4USVDUVSF

CSJEFEFSFTTPSU – QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
JTPMBUJPOQIPOJRVF
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– MBUUFT ýYÏFTBVNPZFOEVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO FOUSFMFTMBUUFT

– QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

Réalisation

t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

4USVDUVSF

– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– JTPMBUJPOBVYCSVJUTEJNQBDU
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'

Réalisation

t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

7 Paroi de séparation (entre bâtiments)


7.1 Système sans isolation intermédiaire

4USVDUVSF

– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF

– FTQBDFWJEF
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'

Réalisation

t "UUFOUJPO 4J QBS NÏHBSEF EFT PCKFUT PV PVUJMT WFOBJFOU Ë t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UPNCFS EBOT MFTQBDF WJEF  DFMVJDJ QPVSSBJU QBS MB TVJUF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUJUVFSVOQPOUBDPVTUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
Construire en CLT
STRUCTURE DES COUCHES 04/2012

7.2 Système avec isolation intermédiaire

4USVDUVSF

– QMBDPQMÉUSF(,'
– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF

– MBJOFNJOÏSBMF
– FTQBDFWJEF
– QMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ EPVCMFDPVDIF

– QBOOFBVNVSBMFO$-5
– QMBDPQMÉUSF(,'

Réalisation

t "UUFOUJPO 4J QBS NÏHBSEF EFT PCKFUT PV PVUJMT WFOBJFOU Ë t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UPNCFS EBOT MFTQBDF WJEF  DFMVJDJ QPVSSBJU QBS MB TVJUF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUJUVFSVOQPOUBDPVTUJRVF HFODFTTUBUJRVFT
t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUSÏQPOESFFUÐUSFBEBQUÏFBVY
DBSBDUÏSJTUJRVFTQIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSMFCÉUJNFOU
C_Détails
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

1 Socle et ancrage des murs


1.1 Socle avec façade ventilée

MBUUJT WFOUJMBUJPO

MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
DPGGSBHFWFSUJDBM MBDPVDIFEJTPMBUJPO

MBUUJT

QBOOFBVNVSBMFO$-5

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

BTTJTF
JTPMBUJPOEVQPVSUPVS
BWFDEFMBNPVTTFEF
QPMZTUZSÒOFFYUSVEÏF
(XPS)
<IBVUFVSEFTQSPKFD-
UJPOTEFBV>

Réalisation

t -FMJUEFNPSUJFSEPJUQFSNFUUSFËMBUPUBMJUÏEFMBGBDFEVQBO- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
OFBVNVSBM$-5EFSFQPTFSQMFJOFNFOUTVSMFTPDMF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -F QPVSUPVS DPSSFTQPOEBOU Ë MB QBSUJF EF MB DPOTUSVDUJPO
TPVNJTF BVY QSPKFDUJPOT EFBV EFWSB ÐUSF SÏBMJTÏ DPSSFDUF- t -PSTEFMBNJTFFOQMBDFEFTDPOOFDUFVSTEFNVS QSFOF[
NFOU FO UFOBOU DPNQUF EV UZQF EF SFWÐUFNFOU FYUÏSJFVS TPJOEFSFTQFDUFSMFTÏDBSUFNFOUTBVUPSJTÏTFOUSFMFTCPSET
FNQMPZÏBJOTJRVFEFMBMBSHFVSEFMBVWFOU EFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

2 Raccord de fenêtre
2.1 Installation réalisée au moyen de mousse en polyuréthane

JTPMBUJPOEVEPSNBOU
QBSDIFWBVDIFNFOU

DMPVPVDIFWJMMFEJTPMBUJPO

PVWSBOU BWFDWJUSBHF

DPVDIFEFOEVJU
BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF

DIÉTTJTEFGFOÐUSF
EPSNBOU

NPVTTFEFQPMZVSÏUIBOF

CBOEFEÏUBODIÏJUÏEF
GFOÐUSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5
BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
BWFDJODMJOBJTPO

Réalisation

t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF-
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

2.2 Installation réalisée au moyen de bandes d’étanchéité


Compriband

JTPMBUJPOEVEPSNBOU QBSDIFWBVDIFNFOU

PVWSBOU BWFDWJUSBHF

DIÉTTJTEFGFOÐUSF
EPSNBOU
DPVDIFEFOEVJU
BWFDTUSVDUVSFJOGÏSJFVSF

CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
$PNQSJCBOE

MBUUFNVSBMF ýYBUJPO

QBOOFBVNVSBMFO$-5

BQQVJEFGFOÐUSFFYUÏSJFVS
BWFDJODMJOBJTPO

Réalisation

t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF-
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

SBDDPSEÏUBODIFBVYQMVJFT
CBUUBOUFT

PVWSBOU BWFDWJUSBHF
QMBODIFEIBCJMMBHFEÏCSBTFNFOU
QSÏWPJSVOFTQBDFTVGýTBOUFOUSFMB
EPSNBOU
QMBODIFFUMBQQVJFYUÏSJFVSEF
ÏMBSHJTTFNFOUEV
GFOÐUSF

DIÉTTJTEFGFOÐUSF

CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
$PNQSJCBOE
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ DPGGSBHFIPSJ[POUBM
EFGFOÐUSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
BWFDJODMJOBJTPO

Réalisation

t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF t -F SBDDPSE FOUSF MB CBOEF EÏUBODIÏJUÏ EF MB GFOÐUSF FU MB
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB TVSGBDFÏUBODIFBVWFOUEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOUDPNQUF
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS EFMBOPSNFËSFTQFDUFSFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFTQBSMF
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF- GBCSJDBOU
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

2.3 Installation réalisée au moyen d’une bande d’étanchéité


multifonctionnelle

MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOTMB
DPVDIFEJTPMBUJPO

SBDDPSEÏUBODIFBVYQMVJFTCBUUBOUFT

PVWSBOU BWFD
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
WJUSBHF

ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

QMBODIFEIBCJMMBHFEÏCSBTFNFOU
QSÏWPJSVOFTQBDFTVGýTBOUFOUSFMB
QMBODIFFUMBQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF

EPSNBOU
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
NVMUJGPODUJPOOFMMF
ÏUBODIFËMBJSË DPGGSBHFWFSUJDBM
MJOUÏSJFVS ÏUBODIFBV
WFOUËMFYUÏSJFVS 
JTPMBOUQIPOJRVF
3BDDPSE
jDPGGSBHFoQMBODIFEIBCJMMBHF
QBOOFBVNVSBM EÏCSBTFNFOUx
FO$-5
7BSJBOUFø

BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF 7BSJBOUFø
BWFDJODMJOBJTPO

Réalisation

t 3BDDPSEEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSFFUEFMÏCSBTFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
QPJOUGBJCMF
QPVSMFTGBÎBEFTFOCPJT JMTFSBOÏDFTTBJSFEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
QPTFSVOFDPVDIFEhJTPMBUJPOTVQQMÏNFOUBJSFEJTQPTÏFTPVT HFODFTTUBUJRVFT
MBQQVJFURVJSFNPOUFSBTVSMFTDÙUÏTEFMBGFOÐUSF1PVSMFT
t -BODSBHFNÏDBOJRVFEFTGFOÐUSFTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOU
GBÎBEFTFOEVJUFT POWFJMMFSBËQSFOESFEFTEJTQPTJUJPOTQBS-
DPNQUFEFTFYJHFODFTTUBUJRVFTFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFT
UJDVMJÒSFTBVOJWFBVEFMFNCPVUEFQSPUFDUJPOEFMBQQVJEF
QBSMFGBCSJDBOU
GFOÐUSF 0O QPTFSB UPVU EBCPSE VOF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ
CVUZMFBýOEFHBSBOUJSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSF t -F SBDDPSE FOUSF MB CBOEF EÏUBODIÏJUÏ EF MB GFOÐUSF FU MB
MFNCPVU EF QSPUFDUJPO FU MBQQVJ EF MB GFOÐUSF 0O QPTFSB TVSGBDFÏUBODIFBVWFOUEPJUÐUSFSÏBMJTÏFOUFOBOUDPNQUF
ÏHBMFNFOU VOF ÏQBJTTF CBOEF EÏUBODIÏJUÏ BýO EBTTVSFS EFMBOPSNFËSFTQFDUFSFUEFTJOTUSVDUJPOTGPVSOJFTQBSMF
MÏUBODIÏJUÏEVSBDDPSEFOUSFMFNCPVUFUMFOEVJU DPNQPSUF- GBCSJDBOU
NFOUEFEJMBUBUJPOEFMBQQVJFYUÏSJFVSEFMBGFOÐUSF

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

3 Raccord de porte
3.1 Porte intérieure

NPVTTFEFQPMZVSÏUIBOF
ýYBUJPO

QBOOFBVNVSBMFO$-5 DBESFEFQPSUF

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

SBDDPSEFOUSFMFTQMBODIFST
MPSTRVFMBTUSVDUVSFEFTQMBODIFSTFTUEJGGÏSFOUF

Réalisation

t 0OQSÏWPJSBBVOJWFBVEFTQPSUFTVOSBDDPSEBQQSPQSJÏRVJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
UJFOESB DPNQUF EF MB TUSVDUVSF EFT QMBODIFST EFT QJÒDFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
BEKBDFOUFT-BUSBOTJUJPOFOUSFMFTSFWÐUFNFOUTEFTPMQFVU HFODFTTUBUJRVFT
TF GBJSF BV NPZFO EVO QSPýMÏ EF USBOTJUJPO PV EVO QSPýMÏ
4DIMàUFS 4DIMàUFS¥4$)*&/&

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

4 Porte-à-faux
4.1 Porte-à-faux avec façade en bois

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ
QBOOFBVNVSBM DPGGSBHFWFSUJDBM
FO$-5

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
MBUUJT
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
MBDPVDIFEJTPMBUJPO

DPGGSBHF
GBDFJOGÏSJFVSF

Réalisation

t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTVTQFOTJPOEVQMBODIFSFOQPSUFËGBVYTFSBBTTVSÏFQBS
EFTWJTËýMFUBHFUPUBM TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

4.2 Porte-à-faux pour façade avec enduit

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

BQQVJFYUÏSJFVSEFGFOÐUSF
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ DPVDIFEFOEVJU
QBOOFBVNVSBM BWFDTUSVDUVSF
FO$-5 JOGÏSJFVSF

QSÏEPSNBOUPVFYUFOTJPO
EFDBESFEFGFOÐUSF
TUSVDUVSFEFQMBODIFS

Réalisation

t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -B IBVUFVS EV QSÏEPSNBOU PV EF MFYUFOTJPO EV DBESF EF
GFOÐUSFTFSBGPODUJPOEFMBTUSVDUVSFEVQMBODIFS
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

4.3 Dalle de balcon (montée sur appui)

QBOOFBVNVSBMFO$-5

NPOUBOUT

EBMMFEFCBMDPO

QPJOUTEBQQVJ

Réalisation

t $POUSBJSFNFOU BVY EBMMFT EF QMBODIFS FO QPSUFËGBVY  MFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


EBMMFTEFCBMDPOFOTBJMMJFFNQÐDIFOUMBGPSNBUJPOEFQPOUT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UIFSNJRVFT HFODFTTUBUJRVFT
t -PSTRVVOF DPVDIF EJTPMBUJPO DPOUJOVF FTU SFRVJTF  MFT t -FT EJNFOTJPOT EF MB EBMMF EF CBMDPO TFSPOU GPODUJPO EFT
ÏRVFSSFTEBQQVJEPJWFOUÐUSFNPOUÏFTTVSEFTCMPDTEFT- FYJHFODFTTUBUJRVFTEVCÉUJNFOU
QBDFNFOUEFMBNÐNFÏQBJTTFVSRVFMBDPVDIFEJTPMBUJPO
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

4.4 Dalle de balcon (suspendue)

QBOOFBVNVSBMFO$-5

TVTQFOTJPO

EBMMFEFCBMDPO

QSPýMÏEFCPSEVSF

QPJOUTEBQQVJ

Réalisation

t $POUSBJSFNFOU BVY EBMMFT EF QMBODIFS FO QPSUFËGBVY  MFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


EBMMFTEFCBMDPOFOTBJMMJFFNQÐDIFOUMBGPSNBUJPOEFQPOUT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UIFSNJRVFT HFODFTTUBUJRVFT
t -PSTRVVOF DPVDIF EJTPMBUJPO DPOUJOVF FTU SFRVJTF  MFT t -FT EJNFOTJPOT EF MB EBMMF EF CBMDPO TFSPOU GPODUJPO EFT
ÏRVFSSFTEBQQVJEPJWFOUÐUSFNPOUÏFTTVSEFTCMPDTEFT- FYJHFODFTTUBUJRVFTEVCÉUJNFOU
QBDFNFOUEFMBNÐNFÏQBJTTFVSRVFMBDPVDIFEJTPMBUJPO
t 0OUJFOESBDPNQUFEVSJTRVFEFþBNCBHFEFMBQBSPJ
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

4.5 Balcon (revêtement bois sur isolation en biseau)

o USFJMMBHFFOCPJTEF
NÏMÒ[F
o MBUUJT
o FNQJFSSFNFOUEF
CBTF
o ÏUBODIFNFOU
o JTPMBUJPOFOCJTFBV
o NBUÏSJBVEFTPVTUPJ-
UVSF QFSNÏBCMFËMB
UÙMFSÏTJTUBOUBVQJÏUJOFNFOU
EJGGVTJPO

o EBMMFEFCBMDPO

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

ÏMÏNFOUEFGFOÐUSFBWFDQSÏ-
EPSNBOU GBVYDBESF

DIÏOFBVBWFDHSJMMF
USPQQMFJOTËDIBRVFFYUSÏNJUÏEV
CBMDPO

QBOOFBVNVSBMFO$-5
JODMJOBJTPOWFSTMBCPVDIFBWBMPJS

Réalisation

t -JTPMBUJPOFTUMÏHÒSFNFOUJODMJOÏFBýOEFQFSNFUUSFËMFBV t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EFTÏDPVMFSWFSTMFTCPVDIFTBWBMPJS FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t 6O DIÏOFBV EPUÏ EF USPQQMFJOT Ë DIBRVF FYUSÏNJUÏ EV
CBMDPOQFSNFUMÏDPVMFNFOUEFTFBVYFOFYDÏEFOU
t *MGBVESBQSÏWPJSMBNJTFFOQMBDFEVOFQSPUFDUJPODPOUSFMFT
QSPKFDUJPOT EFBV $FMMFDJ TFSB GPODUJPO EV EFHSÏ EF DPV-
WFSUVSFEVCBMDPO UPJUPVBVWFOUQBSFYFNQMF

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

5 Toit à forte pente


5.1 Raccord entre mur et toiture (auvent en CLT)

DPOUSFMBUUJT

MBUUBHF MJUFBVY

SJWF QBSUJFOPOJTPMÏF

NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF

QBOOFBVEFUPJUVSF
FO$-5

DIFWSPO

CPSEVSFEFSJWF

GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -BVWFOUFTUGPSNÏQBSMFQBOOFBVEF$-5FOTBJMMJF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t *M OFTU QBT OÏDFTTBJSF EJTPMFS MB SJWF TF USPVWBOU FO TVS-
HFODFTTUBUJRVFT
QMPNCEVQJHOPO
t 0O UJFOESB DPNQUF EV QPSUFËGBVY USBOTWFSTBM QPVS MF
t -BCPSEVSFEFSJWFQFVUBVDIPJYTPJUSFTUFSWJTJCMF TPJUÐUSF
EJNFOTJPOOFNFOUEVQBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
SFDPVWFSUFEVOFQMBRVFEFUÙMF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

5.2 Raccord entre mur et toiture (coyaux)

MBUUBHF MJUFBVY

DPOUSFMBUUJT JTPMBUJPO

NBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSF

QBOOFBVEFýCSFTUFOESFT
DPGGSBHFEFMÏHPVU GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

EFTFBVYEFQMVJF

QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5
DPZBV

FOEVJU
BWFDTUSVDUVSF
JOGÏSJFVSF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -BVWFOUFTUDPOTUSVJUBWFDVOÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFEPUÏ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EVODPGGSBHFBJOTJRVBWFDEFTDPZBVYEPOUMBODSBHFQFS- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NFUUBOUEFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPOEFWSBÐUSFSÏBMJTÏ HFODFTTUBUJRVFT
DPOGPSNÏNFOUBVYFYJHFODFTTUBUJRVFT
t -BýYBUJPOEVDPOUSFMBUUJTEPJUÐUSFSÏBMJTÏFFOGPODUJPOEFMB
t -JTPMBUJPOFOýCSFTUFOESFTEPJUBWPJSMBNÐNFÏQBJTTFVSRVF SÏTJTUBODF PV EF MB OPOSÏTJTUBODF EF MJTPMBUJPO Ë MB
MFDPGGSBHFEFMÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFBýOEÏWJUFSEBWPJSË QSFTTJPO
SÏBMJTFSVOFGFVJMMVSFBVOJWFBVEVDIFWSPOFOQPSUFËGBVY
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

5.3 Raccord entre mur et toiture (toit à chevrons)

GSFJO
WBQFVS

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVF
MBUUBHF MJUFBVY
EFQMÉUSFBSNÏ
ýYÏTVSVOMBUUJTË
DPOUSFMBUUJT FTQBDFNFOUTMBSHFT

NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF

DPGGSBHFEF
MÏHPVUEFTFBVY
EFQMVJF

DIFWSPO

FOEVJU
BWFDTUSVDUVSF
JOGÏSJFVSF

QBOOF

SBDDPSEEVGSFJOWBQFVSFUEV
QBOOFBVNVSBMFO$-5
QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -BVWFOUFTUDPOTUSVJUBWFDVOÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFEPUÏ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EVODPGGSBHFBJOTJRVBWFDEFTDIFWSPOTEPOUMBODSBHFQFS- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NFUUBOUEFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPOEFWSBÐUSFSÏBMJTÏ HFODFTTUBUJRVFT
DPOGPSNÏNFOUBVYFYJHFODFTTUBUJRVFT
t -FSBDDPSEFOUSFMFGSFJOWBQFVSFUMFQBOOFBVNVSBMFO$-5
t -JTPMBUJPOFOýCSFTUFOESFTEPJUBWPJSMBNÐNFÏQBJTTFVSRVF EPJUÐUSFQBSGBJUFNFOUÏUBODIFËMBJS
MFDPGGSBHFEFMÏHPVUEFTFBVYEFQMVJFBýOEÏWJUFSEBWPJSË
SÏBMJTFSVOFGFVJMMVSFBVOJWFBVEVDIFWSPOFOQPSUFËGBVY
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

5.4 Ligne de faîtage (avec panne)

JTPMBUJPO
DPOUSFMBUUJT
GSFJOWBQFVS GBDVMUBUJG

MBUUBHF MJUFBVY

NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

DIFWSPO

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

QBOOF

FTQBDFEBTTFNCMBHF

Réalisation

t 4JMBTUSVDUVSFEFMBUPJUVSFBÏUÏCJFODPOÎVFFUTJQBSBJMMFVST t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFT EJGGÏSFOUFT DPVDIFT TPOU DPSSFDUFNFOU BHFODÏFT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
DPOTUSVDUJPO QMVT QFSNÏBCMF Ë MB EJGGVTJPO EV DÙUÏ FYUÏ- HFODFTTUBUJRVFT
SJFVS
POQPVSSBBMPSTTFQFSNFUUSFEFGBJSFMÏDPOPNJFEVO
t *MGBVESBQPTFSEFTKPJOUTEÏUBODIÏJUÏQPVSBTTVSFSBVCÉUJ-
GSFJOWBQFVS
NFOUVOFCPOOFÏUBODIÏJUÏËMBJS
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

5.5 Fenêtres de toit

JTPMBUJPO

QBOOFBVEFUPJUVSFFO$-5

DIFWÐUSF
ýYBUJPOEFMBGFOÐUSFEFUPJU

GFOÐUSFEFUPJU
ÏCSBTFNFOUIPSJ[POUBM
BOHMFEJODJEFODFEFMBMVNJÒSF

MBUUBHF MJUFBVY

NBUÏSJBVEF
TPVTUPJUVSF
DPOUSFMBUUJT
ÏCSBTFNFOUWFSUJDBM
BOHMFEJODJEFODFEFMBMVNJÒSF

Réalisation

t -PSTEFMBNJTFFOQMBDFEFMBGFOÐUSFEFUPJU POWFJMMFSBËDF t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


RVFMFSBDDPSEBWFDMFNBUÏSJBVEFTPVTUPJUVSFTPJUQBSGBJUF- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NFOUÏUBODIF HFODFTTUBUJRVFT
t -FT ÏCSBTFNFOUT JOUÏSJFVST TPOU Ë SÏBMJTFS FO GPODUJPO EF
MBOHMFEJODJEFODFEÏTJSÏQPVSMBMVNJÒSF
t .BUÏSJBVFNQMPZÏQPVSMFTÏCSBTFNFOUTQMBRVFTEFQMÉUSF
PVQMBRVFTFONBUÏSJBVYEÏSJWÏTEVCPJT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

6 Toit plat
6.1 Acrotère en CLT

DPVWFSUVSFEF
MBDSPUÒSF

TPMJOGPSNÏQBS
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM MÏUBODIFNFOU
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

MBUUJT TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
GBÎBEFIPSJ[POUBMF
WFOUJMÏF

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

JTPMBUJPOUIFSNJRVF

QBOOFBVNVSBMFO$-5
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT
MBDPVDIFEJTPMBUJPO

Réalisation

t *TPMBUJPOEVUPJUQMBUSÏBMJTÏFBWFDVOFMÏHÒSFJODMJOBJTPO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 6UJMJTFSEFTÏRVFSSFTQPVSýYFSMBQBSPJEFMBDSPUÒSFBVQBO-
HFODFTTUBUJRVFT
OFBVEFQMBGPOE TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

6.2 Acrotère avec montant mural

DPVWFSUVSFEF
MBDSPUÒSF

TPMJOGPSNÏQBSMÏUBODIFNFOU

MBUUJT
QMBRVFFONBUÏSJBVEÏSJWÏ
EVCPJT TVCTUSVDUVSFQPVS
MÏUBODIFNFOUWFSUJDBM

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
GBÎBEFIPSJ[POUBMF
WFOUJMÏF

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

JTPMBUJPOUIFSNJRVF

NPOUBOUNVSBM QBOOFBVNVSBMFO$-5
TVQQPSUFMBTUSVDUVSFEFMBDSPUÒSF

Réalisation

t *TPMBUJPOEVUPJUQMBUSÏBMJTÏFBWFDVOFMÏHÒSFJODMJOBJTPO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -FTNPOUBOUTNVSBVYBTTVSFOUVOFGPODUJPOTUBUJRVFEBOTMB
HFODFTTUBUJRVFT
TUSVDUVSFEFMBDSPUÒSF EJNFOTJPOOFNFOUFUýYBUJPOFOGPOD-
UJPOEFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

6.3 Auvent

ÏUBODIFNFOU
DPOUSF TUSVD-
MIVNJEJUÏ UVSFEF
UPJUQMBU FOGPODUJPO
EFTFYJHFODFT

BODSBHFTVSMBTUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

QBOOFBVEF$-5GBJTBOU
GPODUJPOEBVWFOU DPVQFWBQFVS

DPOOFDUFVSTWJTTÏTBVQMBGPOE
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

JTPMBUJPOUIFSNJRVF
GBÎBEFIPSJ[POUBMFWFOUJMÏF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t -BGBDFJOGÏSJFVSFEFMBVWFOUFO$-5QFVUBVDIPJYTPJUSFTUFS t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
WJTJCMF TPJUÐUSFSFDPVWFSUFEVOFQMBRVFEFUÙMF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BCPSEVSFFTUËSÏBMJTFSFOGPODUJPOEFMJODMJOBJTPOEVUPJU
t -F EJNFOTJPOOFNFOU EV QBOOFBV EF $-5 GPSNBOU MBVWFOU
TFSB GPODUJPO EF MB UBJMMF EF MB TBJMMJF EF UPJU *M GBVESB UFOJS
DPNQUFEVOÏWFOUVFMQPSUFËGBVYUSBOTWFSTBM
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

6.4 Raccordement d’un toit plat (avec combles froids


au-dessus)

TUSVDUVSFEFMBUPJUVSFFOUÙMF

DIFWSPO

DPNCMFTGSPJET

DPGGSBHFWFSUJDBM

QMBRVFFONBUÏSJBVEÏSJWÏEV
CPJT 04#QBSFYFNQMF

TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
MBUUJT FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

JTPMBUJPOUIFSNJRVF

QBOOFBVNVSBMFO$-5

Réalisation

t 0OUJFOESBDPNQUFEVUSBOTGFSUEFTDIBSHFTFYFSDÏFTQBSMB t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
DIBSQFOUFËMBGPJTTVSMFQBOOFBVNVSBMFUMFQBOOFBVEF FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UPJUVSF HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

7 Installations électriques
7.1 Exécution avant la mise en place d’un revêtement
de planches

QBOOFBVNVSBMFO$-5

JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEF
QMÉUSFBSNÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY/7* RVBMJUÏOPOWJTJCMF
 t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -B SÏBMJTBUJPO EF GSBJTBHFT USBOTWFSTBVY Ë BOHMF ESPJU QBS
HFODFTTUBUJRVFT
SBQQPSUËMBDPVDIFEFTVSGBDF
FTUMJNJUÏF$FVYDJTPOUË
FYÏDVUFSFOSFTQFDUBOUMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

SÏBMJTBUJPOEVOKPJOUDPMMÏ

VTJOBHF TBJHOÏFFUUSPVEFGPSBHF
QPVSMFT
JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFTEFQMBGPOE
VTJOBHFÏHBMFNFOUQPTTJCMFQPVSMFTQBOOFBVY
NVSBVY7*<RVBMJUÏGBDFWJTJCMF>

QBOOFBVNVSBMFO$-5

JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY/7* RVBMJUÏOPOWJTJCMF
 t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 1PVSMFTQBOOFBVYEFQMBODIFSFO$-5QBSFYFNQMF MVTJ-
HFODFTTUBUJRVFT
OBHF SÏBMJTBUJPO EF TBJHOÏFT
 OFTU QPTTJCMF RVF EBOT MF
TFOT EF MB DPVDIF EF TVSGBDF -FT DPVDIFT USBOTWFSTBMFT t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EPJWFOU RVBOU Ë FMMFT EFNFVSFS JOUBDUFT FO SBJTPO EF MFVS EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
GPODUJPOQPSUFVTF
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
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DÉTAILS 04/2012

7.2 Exécution pour les panneaux de CLT de qualité visible

QBOOFBVNVSBMFO$-5

JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT

GSBJTVSFWJTJCMFQSÒTEVTPM

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

VTJOBHF USPVEFGPSBHF
QPVSMFT
JOTUBMMBUJPOTUFDIOJRVFT
EJBNÒUSFEFNN
MPOHVFVSNBYJNVNøNN

Réalisation

t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY7* RVBMJUÏWJTJCMF
 t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -VTJOBHF USPV EF GPSBHF QPVS MF USBDÏ EFT DPOEVJUFT
 OF
HFODFTTUBUJRVFT
QFVU ÐUSF SÏBMJTÏ RVF TVS VOF TFVMF GBDF MPOHJUVEJOBMF EVO
QBOOFBVFO$-5 t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
t 4JMFTUOÏDFTTBJSFEFSÏBMJTFSEFTUSPVTEFGPSBHFDPOUJHVT 
POQSFOESBBMPSTTPJOEFSFTQFDUFSFOUSFFVYVOFTQBDFNFOU
NJOJNVNEFøNN
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QBOOFBVNVSBMFO$-5

TBJHOÏFEBOTMÏCSBTFNFOU
EFMBCBJFEFQPSUFUSPVEF
GPSBHFKVTRVËMFNQMBDF-
NFOUEFMJOUFSSVQUFVS

JOTUBMMBUJPOTÏMFDUSJRVFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 3ÏBMJTBUJPOQPVSMFTQBOOFBVY7* RVBMJUÏWJTJCMF
 t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t 4BJHOÏF SÏBMJTÏF EBOT MÏCSBTFNFOU EF MB QPSUF RVJ TFSB
HFODFTTUBUJRVFT
FOTVJUF IBCJMMÏ QBS MF CÉUJ EPSNBOU USPV EF GPSBHF BMMBOU
KVTRVË MFNQMBDFNFOU EF MJOUFSSVQUFVS PV EF MB QSJTF t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
ÏMFDUSJRVF EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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Illustration
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7.3 Protection contre la foudre

Illustration

Réalisation

t -FTTZTUÒNFTEFQSPUFDUJPODPOUSFMBGPVESFTFSWFOUËQSÏ- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
NVOJS MFT CÉUJNFOUT FU MFVST PDDVQBOUT DPOUSF EFT EPN- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
NBHFTJNQPSUBOUT-BQSPUFDUJPOFYUÏSJFVSFDPOUSFMBGPVESF HFODFTTUBUJRVFT
DBQUFMÏMFDUSJDJUÏQPVSMBDPOEVJSFEBOTMFTPM
t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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8 Installations sanitaires
8.1 W.-C. (parement)

QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

QBSFNFOU TPVTTUSVDUVSF
BVOJWFBVEFT8$ 04#QBSFYFNQMF

TVTQFOTJPOFUSBDDPSEFNFOUTQPVSMFT8$

JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT
CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t -FT ýYBUJPOT EFT JOTUBMMBUJPOT UFDIOJRVFT EFWSPOU ÐUSF JTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


MÏFTBDPVTUJRVFNFOUEFTBVUSFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -BTPVTTUSVDUVSFEVQBSFNFOUEFWSBRVBOUËFMMFÐUSFJTPMÏF
BDPVTUJRVFNFOU EV QBOOFBV NVSBM FU EV QBOOFBV EF t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
QMBGPOE EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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Illustration
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8.2 Lavabo (préparatifs pour le raccordement)

WJEFUFDIOJRVF
QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

SBDDPSEFNFOUTEVMBWBCP

QBSUJFBNPWJCMFEVQBSFNFOU
FOQSÏWJTJPOEFUSBWBVYEFSBDDPSEFNFOUVMUÏSJFVST

JOTUBMMBUJPOT
UFDIOJRVFT

CBOEFT
EÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t -FT ýYBUJPOT EFT JOTUBMMBUJPOT UFDIOJRVFT EFWSPOU ÐUSF JTP- t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


MÏFTBDPVTUJRVFNFOUEFTBVUSFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPO FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
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8.3 Installations sanitaires (pièces humides)

Illustration

Réalisation

t 4JMFTKPJOUTFOUSFMFTJOTUBMMBUJPOTTBOJUBJSFTFUMFTBVUSFTÏMÏ- t "UUFOUJPOËOFQBTQFSDFSMBDPVDIFJNQFSNÏBCMFËMBJSMPST
NFOUT EF DPOTUSVDUJPO TPOU ÏUBODIÏJýÏT BWFD EV TJMJDPOF  EFMBNJTFFOQMBDFEFTDÉCMFT
DFVYDJ EFWSPOU ÐUSF DPOUSÙMÏT SÏHVMJÒSFNFOU FU SFOPVWFMÏT
t -FT ýYBUJPOT EFT JOTUBMMBUJPOT UFDIOJRVFT EFWSPOU ÐUSF JTP-
DIBRVFGPJTRVFOÏDFTTBJSF
MÏFTBDPVTUJRVFNFOUEFTBVUSFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPO
t -FTDBSSFMBHFTEPJWFOUÐUSFTÏQBSÏTEFTQBOOFBVYEF$-5
FUEFTQMBRVFTEFQMÉUSFQBSVOFDPVDIFEJTPMBUJPOTVQQMÏ-
NFOUBJSF DBSMFTKPJOUTFOUSFMFTDBSSFMBHFTOFTPOUQBTQBS-
GBJUFNFOUÏUBODIFT
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9 Cheminée
9.1 Conduit de cheminée en acier spécial
(à l’extérieur de la paroi)

DPOEVJUEFDIFNJOÏF
FYUÏSJFVSFOBDJFSTQÏDJBM

QBOOFBVNVSBMFO$-5

DPRVJMMFJTPMBOUFBWFDQMBRVFEFýOJUJPO

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ
ÏWFOU
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT

PVWFSUVSFEFOUSÏFEBJS
GBDVMUBUJWF

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 4JWPVTVUJMJTF[VOFDPRVJMMFJTPMBOUFBWFDQMBRVFEFýOJUJPO  t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
BTTVSF[WPVTRVFMMFFTUIPNPMPHVÏFQPVSMFTDPOTUSVDUJPOT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
FOCPJT HFODFTTUBUJRVFT
t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF
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DÉTAILS 04/2012

Illustration
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9.2 Conduit de cheminée en acier spécial


(à l’intérieur de la pièce)

DPOEVJUEFDIFNJOÏFJOUÏSJFVSFOBDJFSTQÏDJBM

QBOOFBVNVSBMFO$-5

SBDDPSE

USBQQFEFOFUUPZBHF

ÏWBDVBUJPOEFMFBVEFDPOEFOTBUJPO

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF HFODFTTUBUJRVFT
t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
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DÉTAILS 04/2012

Illustration
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DÉTAILS 04/2012

9.3 Cheminée en maçonnerie

QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSF EPVCMFDPVDIF

JTPMBUJPO
CPJTTFBVY

FTQBDFNFOUEBVNPJOTøNNQBSSBQQPSU
BVYNBUÏSJBVYJOþBNNBCMFT TVSUPVTMFT
EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
DÙUÏT

QBOOFBVNVSBMFO$-5

SBDDPSE

USBQQFEFOFUUPZBHF

CBOEFTEÏUBODIÏJUÏ

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5

Réalisation

t 3FTQFDUF[MFTQBDFNFOUNJOJNVNQBSSBQQPSUBVGPZFSBJOTJ t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
RVFMFTFYJHFODFTQPTÏFTQBSMFGBCSJDBOUFONBUJÒSFEFQSP- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
UFDUJPODPOUSFMJODFOEJF HFODFTTUBUJRVFT
t -JOTUBMMBUJPOEPJUTFGBJSFFOBDDPSEBWFDWPUSFSBNPOFVSFU
MFTBVUPSJUÏTDPNQÏUFOUFT
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DÉTAILS 04/2012

Illustration
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DÉTAILS 04/2012

10 Escaliers
10.1 Assemblage vissé avec les panneaux muraux
QMBDPQMÉUSFPVQMBRVF
EFQMÉUSFBSNÏ

QBOOFBVNVSBMFO$-5

DPOUSFNBSDIFFOCPJTNBTTJG

QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

NBSDIFFO$-5 BTTFNCMBHFEFTNBSDIFTFUEVQBOOFBVNVSBMBV
NPZFOEFDPOOFDUFVSTWJTTÏT

Réalisation

t -FTNBSDIFTTPOUýYÏFTBVQBOOFBVNVSBMFO$-5BVNPZFO t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EFDPOOFDUFVSTWJTTÏT FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
HFODFTTUBUJRVFT
t -FT NBSDIFT FU DPOUSFNBSDIFT TPOU BTTFNCMÏFT QBS EFT
WJT
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DÉTAILS 04/2012

Illustration
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DÉTAILS 04/2012

10.2 Fixation au moyen d’équerres ou de tôles rainurées

ýYBUJPOEFTNBSDIFT
BVNPZFOEFUÙMFT
SBJOVSÏFTFUEF
QBOOFBVNVSBMFO$-5 CSPDIFT WBSJBOUF

ýYBUJPOEFTNBSDIFTBV
NPZFOEÏRVFSSFT

DPOUSFNBSDIFFO$-5

QBOOFBVNVSBMFO$-5

NBSDIFFO$-5

Réalisation

t -FTNBSDIFTTPOUýYÏFTTPJUBVNPZFOEÏRVFSSFT TPJUBV t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


NPZFOEFUÙMFTSBJOVSÏFTFUEFCSPDIFT WBSJBOUF
RVJTPOU FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
BODSÏFTEBOTMFQBOOFBVNVSBMFO$-5 HFODFTTUBUJRVFT
t -FTNBSDIFTEFWSPOUÐUSFJTPMÏFTBDPVTUJRVFNFOUBVOJWFBV
EFMBTVSGBDFEBQQVJ0OVUJMJTFSBQPVSDFGBJSFVOFDPVDIF
JOUFSNÏEJBJSFÏMBTUJRVFUFMMFRVFEV4ZMPNFS¥
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10.3 Utilisation de fixations spéciales

QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

ýYBUJPOTTQÏDJBMFTQPVSMBQPTFEFTNBSDIFT

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

QBOOFBVNVSBMFO$-5

JOTFSUFOQJFSSF TVSMBQBSUJF
TVQÏSJFVSFEFMBNBSDIF

NBSDIFFO$-5

Réalisation

t &TDBMJFSTSÏBMJTÏTTBOTDPOUSFNBSDIFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -FTNBSDIFTTPOUQPTÏFTTVSEFTýYBUJPOTTQÏDJBMFT UFOJS
HFODFTTUBUJRVFT
DPNQUFEFTDIBSHFTNBYJNBMFTBVUPSJTÏFT

Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

10.4 Escaliers à limons crémaillère

BTTFNCMBHFBVNPZFOEFUÙMFT
SBJOVSÏFTFUEFCSPDIFT

NBSDIFFO$-5

MJNPOFODSÏNBJMMÒSF
$-5PVCPJTMBNFMMÏDPMMÏ

Réalisation

t &TDBMJFSTSÏBMJTÏTTBOTDPOUSFNBSDIFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
t -BTTFNCMBHFEFTNBSDIFTFUEFTMJNPOTTFGBJUBVNPZFO
HFODFTTUBUJRVFT
EFWJTEJTQPTÏFTTPVTMBGBDFJOGÏSJFVSFEFTNBSDIFT TPVT
MFTJOTFSUTFOQJFSSF

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DÉTAILS 04/2012

Illustration
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DÉTAILS 04/2012

10.5 Escaliers à limon droit (panneau incliné)

NBSDIFTFOCPJT
NBTTJG $-5

MJNPOESPJU<QBOOFBVJODMJOÏ>
$-5

Réalisation

t -FQBOOFBVJODMJOÏGBJTBOUGPODUJPOEFMJNPOQSFOEBQQVJTVS t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
MFTEBMMFTEFQMBODIFS-FTNBSDIFTFOCPJTNBTTJGTPOUWJT- FUEFTÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOTFGPOUFOGPODUJPOEFTFYJ-
TÏFTQBSFOEFTTPVT HFODFTTUBUJRVFT
Construire en CLT
DÉTAILS 04/2012

Illustration
D_Autres applications
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012

1 Bâtiments industriels et commerciaux


1.1 Ancrage des murs

BODSBHFQPVSQFSNFUUSFËMBQBSPJ
EFSÏTJTUFSBVYGPSDFTEFTVDDJPO
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

IBCJMMBHFFYUÏSJFVS
QBOOFBVNVSBMFO$-5

DPOOFDUFVSEFNVS
TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSFEBOT TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

MBDPVDIFEJTPMBUJPO
ÏUBOÎPO
$-5PVCPJTMBNFMMÏDPMMÏ

ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU
BTTJTF

KPJOUTEÏUBODIÏJUÏ
TFNFMMF NÏMÒ[F

BODSBHFEFMBTFNFMMF
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFT

ÏRVFSSFNÏUBMMJRVF
QPVSQFSNFUUSFMBEJTUSJCVUJPOEFTGPSDFT
FYFSDÏFTWFSTMBTTJTFEFMBDPOTUSVDUJPO

Réalisation

t -FQBOOFBVNVSBMFO$-5FUMBTUSVDUVSFEÏUBOÎPOOFNFOU t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF
EPJWFOUÐUSFQSPUÏHÏTEFTSFNPOUÏFTEIVNJEJUÏBVNPZFO FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
EFEJTQPTJUJGTEÏUBODIÏJUÏBQQSPQSJÏT FYJHFODFTTUBUJRVFT
t *MGBVESBQSÏWPJSMBQPTTJCJMJUÏEFGGFDUVFSVOFDPNQFOTBUJPO t -FT GPSDFT RVJ TFYFSDFOU TVS MF QBOOFBV NVSBM FO $-5
EF IBVUFVS FOUSF MÏUBOÎPO FU MBTTJTF EF MB DPOTUSVDUJPO EPJWFOU ‰ TFMPO MFT FYJHFODFT ‰ ÐUSF USBOTNJTFT WFST MFT
CPJT NÏUBMPVNPSUJFS
 ÏUBOÎPOT QVJT WFST MB DPOTUSVDUJPO FO EVS BTTJTF EF MB
DPOTUSVDUJPO
BVNPZFOEFWJTËýMFUBHFUPUBM
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AUTRES APPLICATIONS 04/2012

1.2 Nœud de jonction « paroi-toiture »

TUSV
D UV
S F E
IBCJMMBHFFYUÏSJFVS FMB
 UPJU
V SF
ÏUBODIFNFOUWFSUJDBM
ÏUBODIÏJUÏBVWFOU

QPV
USF

TUSVDUVSFJOUFSNÏEJBJSF
EBOTMBDPVDIF
EJTPMBUJPO

QBOOFBVNVSBMFO$-5

BTTFNCMBHFWJTTÏEFMBQBSPJBWFDMBTUSVDUVSFEÏUBOÎPOOFNFOU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

Réalisation

t 4J MFT FYJHFODFT MJNQPTFOU  PO WFJMMFSB ÏHBMFNFOU Ë QPTFS t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


EFTCBOEFTEÏUBODIÏJUÏFOUSFMFQBOOFBVNVSBMFO$-5FU FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
MÏMÏNFOUEFUPJUVSFBýOEBTTVSFSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏËMBJS FYJHFODFTTUBUJRVFT
EFMBDPOTUSVDUJPO
t -BHFODFNFOUEFMBTUSVDUVSFEPJUQFSNFUUSFVOFUSBOTNJT
TJPODPSSFDUFEFTGPSDFTEFQVJTMBQMBRVFEFQMBUFMBHFWFST
MBQMBRVFNVSBMFEFSBJEJTTFNFOU
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012

Illustration
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012

2 Immeubles d’habitation
2.1 Nœud de jonction « paroi étage inférieur – plafond – paroi
étage supérieur »
QBOOFBVNVSBMFO$-5

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEF
QMÉUSFBSNÏ

TUSVDUVSFEF
QMBODIFS
FOGPODUJPOEFT
FYJHFODFT

DPVTTJOFUÏMBTUJRVF
QMBDPQMÉUSFPV
JOUFSNÏEJBJSF
QMBRVFEFQMÉUSF
FO4ZMPNFS¥QBS
BSNÏ
FYFNQMF

DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFTøBWFD
JTPMBUJPOQIPOJRVF

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
MBUUJT TVTQFOEVBVNPZFO
EVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO

Réalisation

t 0O WFJMMFSB Ë BTTVSFS MJTPMBUJPO QIPOJRVF EFT EJGGÏSFOUT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


ÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOFOGPODUJPOEFTFYJHFODFTQPTÏFT FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
QSÏDJTÏNFOUFONBUJÒSFEJTPMBUJPOQIPOJRVF FYJHFODFTTUBUJRVFT
t -FTNBUÏSJFMTEFýYBUJPOEFWSPOUÐUSFEPUÏTEVOFJTPMBUJPO t *M GBVESB PCMJHBUPJSFNFOU UFOJS DPNQUF EFT DBSBDUÏSJTUJRVFT
QIPOJRVF FOMPDDVSSFODFEFDPVTTJOFUTÏMBTUJRVFTBQQSP QIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSDFTO”VETEFKPODUJPOMPSTEFMB
QSJÏTRVJMFTJTPMFOUEFMPTTBUVSFQPSUFVTF SÏBMJTBUJPOEFTDBMDVMTEFEJNFOTJPOOFNFOU JTPMBUJPOUIFS
NJRVF JTPMBUJPOQIPOJRVFFUQSPUFDUJPODPOUSFMJODFOEJFQBS
t -FQMBGPOEEPJUUPVKPVSTÐUSFDPOÎVDPOGPSNÏNFOUBVQSJO FYFNQMF

DJQFjøNBTTFSFTTPSUNBTTFøx
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012

QBOOFBVNVSBMFO$-5

MBUUJT
ýYÏTVSVOFCSJEFEFSFTTPSU

QMBDPQMÉUSFPVQMBRVFEFQMÉUSFBSNÏ

TUSVDUVSFEFQMBODIFS
FOGPODUJPOEFT
FYJHFODFT

DPVTTJOFUÏMBT
QMBDPQMÉUSFPV
UJRVFJOUFSNÏEJBJSF
QMBRVFEFQMÉUSF
FO4ZMPNFS¥QBS
BSNÏ
FYFNQMF

DPOOFDUFVSEFNVS
TFMPOMFTFYJHFODFT
TUBUJRVFTøBWFD
JTPMBUJPOQIPOJRVF

EBMMFEFQMBODIFSFO$-5
MBUUJT TVTQFOEVBVNPZFO
EVOFCSJEFEFSFTTPSU

JTPMBUJPO

Réalisation

t 0O WFJMMFSB Ë BTTVSFS MJTPMBUJPO QIPOJRVF EFT EJGGÏSFOUT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


ÏMÏNFOUTEFDPOTUSVDUJPOFOGPODUJPOEFTFYJHFODFTQPTÏFT FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
QSÏDJTÏNFOUFONBUJÒSFEJTPMBUJPOQIPOJRVF FYJHFODFTTUBUJRVFT
t -FTNBUÏSJFMTEFýYBUJPOEFWSPOUÐUSFEPUÏTEVOFJTPMBUJPO t *M GBVESB PCMJHBUPJSFNFOU UFOJS DPNQUF EFT DBSBDUÏSJTUJRVFT
QIPOJRVF FOMPDDVSSFODFEFDPVTTJOFUTÏMBTUJRVFTBQQSP QIZTJRVFTSFRVJTFTQPVSDFTO”VETEFKPODUJPOMPSTEFMB
QSJÏTRVJMFTJTPMFOUEFMPTTBUVSFQPSUFVTF SÏBMJTBUJPOEFTDBMDVMTEFEJNFOTJPOOFNFOU JTPMBUJPOUIFS
NJRVF JTPMBUJPOQIPOJRVFFUQSPUFDUJPODPOUSFMJODFOEJFQBS
t -FQMBGPOEEPJUUPVKPVSTÐUSFDPOÎVDPOGPSNÏNFOUBVQSJO FYFNQMF

DJQFjøNBTTFSFTTPSUNBTTFøx
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AUTRES APPLICATIONS 04/2012

3 Agrandissements
3.1 Raccordement d’un toit plat à un mur existant

DPOUSFTPMJO BWFDÏUBODIFNFOUQFSNBOFOU
BVOJWFBVEFMFOEVJU

TPMJO UÙMFFOÏRVFSSFBWFDDPVWFSUVSF
EJTTJNVMÏFFOGFVUSFPVFOQMBTUJRVF

HSBWJMMPOT

NBÎPOOFSJFFYJTUBOUF TUSVDUVSFEFUPJUQMBU
FOGPODUJPOEFTFYJHFODFT

EBMMFEFQMBODIFS
CBOEFEÏUBODIÏJUÏ
FO$-5
EFKPJOU

DPVQFWBQFVS
FOUSBJU ËDPMMFSTVSMBDIBQF
MJTTFEFMBNBÎPOOFSJF
FYJTUBOUF

JOUÏSJFVSEFMBDPOTUSVDUJPO

BODSBHFSÏBMJTÏQBSFYFNQMFBVNPZFOEFUJHFTýMFUÏFTDPMMÏFT
TFMPOMFTFYJHFODFTTUBUJRVFT

Réalisation

t 4FMPO MFT FYJHFODFT  PO QPTFSB ÏHBMFNFOU EFT CBOEFT t -FDIPJYFUMFEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHF


EÏUBODIÏJUÏBýOEBTTVSFSMBQBSGBJUFÏUBODIÏJUÏËMBJSEFMB FU EFT ÏMÏNFOUT EF DPOTUSVDUJPO TF GPOU FO GPODUJPO EFT
DPOTUSVDUJPO FYJHFODFTTUBUJRVFT
t 1SFOF[TPJOEFQSPUÏHFSMFTQBOOFBVYFO$-5EFMIVNJEJUÏ
QSPWFOBOUEFTTUSVDUVSFTFYJTUBOUFT
Construire en CLT
AUTRES APPLICATIONS 04/2012

4 Ouvrages de génie civil


4.1 Panneaux de CLT combinés à d’autres matériaux de
construction

Illustration

Réalisation

t -BDPNCJOBJTPOEFQBOOFBVYEF$-5BWFDEBVUSFTNBUÏ t -BTUSVDUVSFEFTDPVDIFTEPJUÐUSFBEBQUÏFBVYFYJHFODFT
SJBVY EF DPOTUSVDUJPO DPNNF MF CPJT  MBDJFS FU MF CÏUPO QBSUJDVMJÒSFTRVJTFQPTFOUFONBUJÒSFEFQIZTJRVFEVCÉUJ
TBWÒSF JODPOUPVSOBCMF EBOT MFT QSPKFUT EF HSBOEF FOWFS NFOU DFMMFTDJÏUBOUGPODUJPOEVUZQFEVUJMJTBUJPOEFDIBRVF
HVSF FOQBSUJDVMJFSMPSTRVFMFTEJTUBODFTFOUSFBQQVJTTPOU DPOTUSVDUJPO
JNQPSUBOUFT FU RVF MFT DIBSHFT HÏOÏSBMFNFOU ÏMFWÏFT RVJ
TFYFSDFOUTVSMFCÉUJNFOUEPJWFOUÐUSFUSBOTNJTFTWFSTMFTPM t -FEJNFOTJPOOFNFOUEFTPSHBOFTEBTTFNCMBHFFTUEVOF
FYUSÐNF JNQPSUBODF $FVYDJ DPOTUJUVFOU FO FGGFU MVO EFT
ÏMÏNFOUT FTTFOUJFMT EF MB TUBUJRVF QPVS MFT PVWSBHFT EF
HÏOJFDJWJM
Physique du bâtiment
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012

La capacité de protection thermique d’un élément de construction est déterminée par sa valeur U, autrement dit
par son coefficient de transmission thermique. Pour pouvoir calculer cette valeur, il faut connaître les paramètres
suivants : la position de l’élément de construction, sa structure ainsi que la conductivité thermique λ des maté-
riaux dont il est composé. La conductivité thermique du bois est essentiellement fonction de sa masse volumique
et de son humidité. Pour un panneau CLT, elle peut être déterminée au moyen de l’équation suivante :

λ = 0,000146 * ρk + 0,035449

λ = conductivité thermique en [W/mK]


ρκ = masse volumique caractéristique pour une humidité de référence de u = 12 % in [kg/m³]

La masse volumique caractéristique des lamelles de CLT a été calculée sur la base de la valeur suivante :
ρk = 512 kg/m³.
À partir de ces données, on obtient pour les panneaux CLT une conductivité thermique équivalant à 0,110 W/mK.

λ = 0,000146 * 512 kg/m³ + 0,035449 = 0,110 W/mK

Ce résultat a été confirmé par le « SP Technical Research Institute of Sweden » [1].


La norme autrichienne ÖNORM B 3012 [2] indique également une valeur λ de 0,11 W/mK.
Pour ce qui est de l’humidité du bois, on suppose une valeur moyenne de 12 %. On notera cependant que dans
le cas des murs extérieurs, cette humidité sera généralement inférieure à 12 % pendant les mois d’hiver. Plus le
taux d’humidité du bois est faible, plus sa conductivité thermique se réduit d’autant.
Pour le bois se trouvant dans la plage de masse volumique correspondante, la norme autrichienne ÖNORM
EN 12524 [3] indique une valeur de conductivité thermique équivalant à 0,13 W/mK.

Valeur U d'un panneau CLT


Le mode de calcul de la valeur U est illustré par l’exemple indiqué ci-dessous. Nous prenons comme hypothèse
de travail un panneau CLT d’une épaisseur de 100 mm utilisé comme mur extérieur. Le calcul tient compte des
coefficients de transfert thermique extérieurs et intérieurs.

1
Coefficient de transmission U =
d
thermique R si + ∑ i + R se
λi

Résistance à la transmission R si = 0,13 m² K / W


thermique R se = 0,04 m² K / W

Conductivité thermique du CLT λCLT = 0,11W / mK

1
U CLT, 100 =
Coefficient de transmission 0,1 m
0,13 m ² K / W + + 0,04 m² K / W
thermique 0,11 W / mK
= 0,927 W / m ² K
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012

La figure 1 représente un diagramme sur lequel les valeurs U de panneaux CLT non revêtus ont été calculées en
fonction de l’épaisseur de ces panneaux.

Figure 1 : Valeurs U pour des panneaux CLT non revêtus.

Valeur U d'un panneau CLT isolé


Pour un panneau CLT d’une épaisseur de 100 mm recouvert d’un matériau isolant de 16 cm correspondant à la
classe de conductivité thermique WLG 040, la valeur U est déterminée comme suit :

1
Coefficient de transmission U =
d
thermique R si + ∑ i + R se
λi

Résistance à la transmission R si = 0,13 m² K / W


thermique R se = 0,04 m² K / W

Conductivité thermique du CLT λCLT = 0,11 W / mK

1
U=
Coefficient de transmission 0,1 m 0,16 m
0,13 m ² K / W + + + 0,04 m ² K / W
thermique 0,11 W / mK 0,04 W / mK
= 0,197 W / m ² K
Physique du bâtiment
ISOLATION THERMIQUE 04/2012

La figure 2 représente un diagramme sur lequel les valeurs U de panneaux CLT isolés d’une épaisseur de
100 mm ont été calculées en fonction de l’épaisseur du matériau isolant employé (classe de conductivité ther-
mique WLG 040).

Figure 2 : Valeurs U pour des panneaux CLT d’une épaisseur de 100 mm utilisés comme murs extérieurs et
revêtus d’un matériau isolant ; les valeurs U sont calculées en fonction de l’épaisseur du matériau isolant
(classe de conductivité thermique WLG 040).

Étanchéité à l’air
L’étanchéité à l’air et aux déperditions de chaleur par convection constitue également un élément important de la
capacité d’isolation thermique des panneaux CLT. Les panneaux CLT étant fabriqués à partir de plaques mono-
couches, cela leur confère une excellente étanchéité à l’air. Le coefficient d’étanchéité à l’air des panneaux CLT
et de leurs joints a été testé et confirmé en 2008 par la Holzforschung Austria [4]. Le rapport d’essai indique plus
particulièrement que les panneaux CLT et les joints présentent une étanchéité à l’air si élevée que les flux volu-
miques se situent en deçà des valeurs mesurables.
[1] Assessment: Declared thermal conductivity (2009-07-10) ; SP Technical Research Institute of Sweden, SE-
50462 Boras
[2] ÖNORM EN B 3012 (2003-12-01) ; Essences. Caractéristiques des dénominations et abréviations employées
par la norme autrichienne ÖNORM EN 13556
[3] ÖNORM EN 12524 (2000-09-01) ; Matériaux et produits pour le bâtiment. Propriétés hygrothermiques. Va-
leurs utiles tabulées.
[4] HOLZFORSCHUNG AUSTRIA (2008-06-11) ; Rapport d’essai ; test d’étanchéité à l’air effectué sur un pan-
neau comportant deux conformations de joints différentes
Physique du bâtiment
VALEUR U – EXEMPLES COMPARATIFS 04/2012

Panneaux CLT en bois massif

CLT 100 3s + isolation WLG 040

Valeurs de transmission thermique données :

Rsi = 0,13 m² K/W

Rse = 0,04 m² K/W

Épaisseur Matériau de construction λ Épaisseur de Épaisseur Valeur U


l’isolation totale
[cm] [—] [W/m²K] [cm] [cm] W/(m²K)
A 10 CLT 0,11 0 9,7 0,95

B 4-24 Isolation WLG 040 0,04 4 14 0,48

0,04 6 16 0,39

0,04 8 18 0,32

0,04 10 20 0,28

0,04 12 22 0,25
A
0,04 14 24 0,22

0,04 16 26 0,20
B
0,04 18 28 0,18

0,04 20 30 0,16

0,04 22 32 0,15
40-240 100

extérieur intérieur 0,04 24 34 0,14


Physique du bâtiment
VALEUR U – EXEMPLES COMPARATIFS 04/2012

CLT 100 3s + isolation WLG 040 + placoplâtre 12,5

Valeurs de transmission thermique données :

Rsi = 0,13 m² K/W

Rse = 0,04 m² K/W

Épaisseur Matériau de λ Épaisseur de Épaisseur Valeur U


construction l’isolation totale
[cm] [—] [W/m²K] [cm] [cm] W/(m²K)
A 10 CLT 0,11
0 11 0,90
C 1,25 Placoplâtre 0,21

B 4-24 Isolation WLG 040 0,04 4 15 0,47

0,04 6 17 0,38

A 0,04 8 19 0,32

0,04 10 21 0,27

C 0,04 12 23 0,24

0,04 14 25 0,22

B 0,04 16 27 0,19

0,04 18 29 0,18

0,04 20 31 0,16

40-240 100 12,5 0,04 22 33 0,15

extérieur intérieur 0,04 24 35 0,14


Physique du bâtiment
VALEUR U – EXEMPLES COMPARATIFS 04/2012

Construction de structures en bois

Panneau de placoplâtre, panneau aggloméré à fibres orientées (OSB), isolation WLG 040, montant, panneau en
fibres de bois perméable à la diffusion

Calculé sur la base de montants en bois massif :

b = 6 cm

e = 62,5 cm

λ = 0,13 W/(m²K)

Épaisseur Matériau de λ Épaisseur de Épaisseur Valeur U


construction l’isolation totale
[cm] [—] [W/m²K] [cm] [cm] W/(m²K)
A 1,5 panneau en fibres de 0,12 1,5 — —
bois perméable à la
B 1,5 panneau aggloméré à 0,13 1,5 — —
fibres orientées (OSB)
C 1,25 Placoplâtre 0,21 1,25 — —

Isolation WLG 040 +


D 4-24 0,049 4 8 0,78
bois de construction

0,049 6 10 0,59
D 0,049 8 12 0,48

B 0,049 10 14 0,40

0,049 12 16 0,34
C
0,049 14 18 0,30

A 0,049 16 20 0,27

0,049 18 22 0,24

0,049 20 24 0,22

1,5 40,240 1,5 1,25 0,049 22 26 0,20

extérieur intérieur 0,049 24 28 0,19


Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

Sommaire :

1. Introduction
2. Importance de l’étanchéité à l’air et au vent
Avantages des panneaux CLT du point de
3.
vue de l’étanchéité à l’air
4. Aspects techniques de l’étanchéité à l’air
5. Configurations et joints spécifiques
6. Résumé
7. Annexe

1. Introduction
L’étanchéité à l’air et au vent constitue l’une des exigences essentielles auxquelles doit satisfaire la peau d’un
bâtiment ainsi que certains éléments de construction particuliers (panneaux de murs, de plafonds ou de toiture).
En effet, cette étanchéité à l’air et au vent influe de différentes manières sur le climat intérieur, l’exposition au
bruit, l’intégrité de la structure du bâtiment, la qualité de l’air à l’intérieur de la construction ainsi que le bilan
énergétique du bâtiment.
La couche imperméable à l’air (en règle générale sur les faces intérieures du bâtiment) et la couche imperméable
au vent (sur les faces extérieures du bâtiment) ont pour fonction d’empêcher à elles deux la circulation de flux
d’air non admissibles à travers la structure de la construction. Ces couches sont d’une importance déterminante
pour la qualité et la durabilité du bâtiment [1].

Du fait de la structure particulière des panneaux CLT qui sont composés de plaques monocouches disposées les
unes sur les autres à plis croisés, on obtient une surface parfaitement imperméable à l’air. En règle générale, il
n’est donc pas nécessaire d’installer en plus des films plastiques d’étanchéité sur les faces intérieures du bâti-
ment. Ceci se répercute de façon positive sur les coûts et permet non seulement d’éviter des erreurs qui pour-
raient entraîner des vices de construction, mais aussi de réduire le temps d’assemblage et de construction.
En effet, d’autres types de constructions en bois (constructions de structures en bois par exemple) nécessitent la
mise en place d’une couche imperméable à l’air — et dans le même temps d’un écran pare-vapeur constitué de
feuilles pare-vapeur ou de panneaux agglomérés à fibres orientées [OSB] dont les joints sont collés).

2. Importance de l’étanchéité à l’air et au vent


a) L’étanchéité à l’air
L’étanchéité à l’air a une influence non négligeable sur l’économie thermique et le taux d’humidité d’un bâtiment.
Assurer l’étanchéité à l’air d’une construction, c’est empêcher la formation de flux de convection, autrement dit la
pénétration d’air provenant du dehors vers l’intérieur du bâtiment.

Une étanchéité insuffisante peut donc entraîner l’apparition de flux d’air qui s’infiltrent à l’intérieur du bâtiment.
Les conséquences peuvent être diverses et multiples [1] :
 formation de condensation à l’intérieur du bâtiment
 diminution de l’efficacité de l’isolation thermique
 abaissement de la température des surfaces
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

Les risques encourus sont eux aussi multiples :


 dégradation de certains éléments de la construction
 apparition de moisissures
 apparition de courants d’air (provoqués par le refroidissement des surfaces intérieures)
 augmentation de la consommation énergétique
L’étanchéité à l’air des panneaux CLT de Stora Enso a été testée et contrôlée par la Holzforschung Austria.
Ces tests d’étanchéité à l’air ont été effectués sur la base de la norme autrichienne ÖNORM EN 12114:2000 [2].
Ils ont porté sur le panneau de construction à proprement parler, sur un assemblage en nez-de-marche ainsi que
sur un joint réalisé avec une planche de jointure.
Résultat des tests
« Les essais effectués sur les joints de panneaux et sur le panneau CLT lui-même attestent une excellente étan-
chéité à l’air. L’étanchéité constatée est telle que les flux volumiques filtrant à travers cet élément et ces deux
types de joint se situent en deçà des valeurs mesurables » [3].

b) L’étanchéité au vent
Pour la peau d’un bâtiment, l’étanchéité au vent est tout aussi importante que l’étanchéité à l’air. Une mauvaise
étanchéité au vent peut avoir des conséquences similaires à celles décrites précédemment lorsque l’étanchéité à
l’air est insuffisante. Ces effets néfastes sont dus notamment au refroidissement de la couche isolante du bâti-
ment.

La couche étanche au vent se trouve sur les faces extérieures du bâtiment et a pour fonction d’empêcher l’air
extérieur de s’infiltrer dans les éléments de construction. Ceci permet de protéger la couche isolante (couche
calorifuge) et de préserver les qualités isolantes des éléments de construction [1].

Les thermogrammes ci-dessous illustrent l’importance pour un bâtiment de son étanchéité au vent (thermo-
grammes extraits de la référence [1]).

Illustration : thermogrammes d’un raccord mur-toiture avec une température extérieure


de +3 °C et une température intérieure de +24 °C (e xtraits de la référence [1])
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

3. Avantages des panneaux CLT du point de vue de l’étanchéité à l’air


 Panneaux de construction de grande taille (jusqu’à 2,95 m sur 16 m)  plus la taille des éléments est
importante, plus le nombre de joints d’assemblage est réduit et moins il y a donc de joints à calfeutrer.
 Il n’est pas nécessaire, en règle générale, d’installer en plus des films plastiques d’étanchéité sur les
faces intérieures du bâtiment.
 Le calfeutrage des joints s’effectue de façon simple et efficace en utilisant des bandes d’étanchéité com-
pressibles.

4. Aspects techniques de l’étanchéité à l’air

L’indice d’étanchéité à l’air d’un bâtiment est déterminé par le facteur de renouvellement d’air, en l’occurrence la
valeur n50.

Explication et définition :
Facteur de renouvellement d’air : Le facteur de renouvellement d’air n (unité : 1/h) sert à caractériser le
degré de renouvellement de l’air à l’intérieur d’un bâtiment. Ce facteur indique combien de fois
le volume d’air d’une pièce est renouvelé en une heure.

Valeur50 : La valeur n50 correspond au renouvellement d’air constaté lorsque la pression à l’intérieur du
bâtiment est inférieure ou supérieure de 50 Pa (pascals) à celle de l’extérieur.
Lorsque tous les raccords sont réalisés correctement entre les panneaux CLT (joints de coin, joints longitudi-
naux, fenêtres, etc.), il est alors possible d’obtenir des valeurs n50 qui correspondent à celles des habitations
passives (n50 = 0,6 1/h). Les facteurs de renouvellement d’air admissibles sont spécifiés par la norme autri-
chienne ÖNORM B 8110-1:2008 [4]. On distingue trois différents types de bâtiment (cf. [4]) : les bâtiments sans
système de ventilation (n50 = 3 1/h), les bâtiments avec système de ventilation (n50 = 1,5 1/h) et les habitations
passives (n50 = 0,6 1/h). Le terme « système de ventilation » désigne les dispositifs mécaniques contrôlés utilisés
pour la ventilation des pièces d’habitation.
La conformité à ces valeurs n50 constitue un facteur déterminant qui permettra de garantir le bon fonctionnement
de la peau du bâtiment.

Le facteur de renouvellement d’air est déterminé au moyen d’un test d’infiltrométrie (anglais : blower-door test).
Stora Enso recommande à ses clients finaux de réaliser un test d’infiltrométrie afin de leur permettre d’évaluer
précisément la qualité de la construction et de la réalisation du bâtiment.

En plus de la question de l’étanchéité à l’air, nous évoquerons également, pour conclure ce point, la question du
comportement de diffusion.
Avec les panneaux CLT, toutes les conditions sont réunies pour réaliser des parois perméables à la diffusion
sans qu’il soit nécessaire d’avoir recours à des films d’étanchéité en plastique.
Si l’on n’utilise pas de films d’étanchéité, il faudra tenir compte du fait que plus on se rapproche de l’extérieur,
plus la capacité de diffusion des différentes couches (isolation, enduit, etc.) augmente. La règle générale veut
que la couche extérieure présente une capacité de diffusion jusqu’à dix fois supérieure à celle des couches inté-
rieures. On évite ainsi la formation de condensation dans la structure des murs, des plafonds et des toitures.
La capacité de diffusion est fonction de l’échelle de résistance à la diffusion de la vapeur ( ) et de l’épaisseur de
couche d’air de la même diffusibilité (valeur sd).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

Une étanchéité à l’air insuffisante peut provoquer des infiltrations d’eau de condensation dans les éléments de
construction, cette eau étant transportée par des courants d’air humides qui circulent à travers les murs, les pla-
fonds et la toiture. On notera que ces quantités d’eau de condensation peuvent être nettement plus importantes
que la condensation résultant uniquement de la diffusion.

4. Configurations et joints spécifiques

Pour assurer l’étanchéité à l’air des joints d’éléments de construction, on utilise principalement des bandes
d’étanchéité compressibles. On pourra également employer pour certains joints des mousses à élasticité perma-
nente. Les bandes adhésives et les joints tubulaires en caoutchouc sont plus rarement utilisés (cf. « Quelques
exemples de matériaux pouvant être utilisés pour assurer l’étanchéité à l’air [g]).
Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de réalisation pour assurer l’étanchéité à l’air d’un bâtiment. On
notera qu’il ne s’agit là que de quelques variantes parmi de nombreuses autres (cf. [5] et [6]).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

a) Raccord de socle I

Raccord entre mur et plafond de cave ou


entre mur et dalle de béton :

L’étanchéité à l’air et la protection contre


l’humidité sont deux paramètres importants
pour les raccords au niveau du socle.

Raccord de socle II

Raccord entre mur intérieur et plafond


de cave ou entre mur intérieur et dalle
de béton :

Il faudra tenir compte pour cette confi-


guration des mêmes critères que pour
les raccords entre mur et plafond de
cave ou entre mur et dalle de béton (cf.
« Raccord de socle I »).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

p) Joint de mur et de plafond I

Raccord avec assemblage en nez-de-marche :

L’étanchement transversal du nez-de-marche est tout


aussi important que son étanchement longitudinal
(voir illustration ci-dessus).

Joint de mur et de plafond II

Raccord avec planche de jointure (planche-joint) :

On procédera pour ce type de raccord de la même


manière que pour le raccord en nez-de-marche (voir
ci-dessus).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

c) Joint de mur I

Joint de coin :

On veillera, pour tous les étanchements hori-


zontaux et verticaux, à réaliser des joints par-
faitement continus (les étanchements horizon-
taux et verticaux doivent être reliés entre eux).

Joint de mur II

Raccord entre mur longitudinal et mur trans-


versal :

Procéder comme pour le joint de coin.


Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

d) Raccord de porte et de fenêtre I

Raccord avec un cadre de fenêtre posé sur le


panneau :

Ici, le cadre de fenêtre est posé sur le mur en


CLT.
Réaliser le raccord au moyen d’un matériel
d’étanchement approprié (bandes d’étanchéité
Compriband, bandes d’étanchéité de joint, etc.).
Le raccord doit être réalisé avec soin et confor-
mément aux règles de l’art (conformation exacte
des coins, etc.).

Raccord de porte et de fenêtre II

Raccord avec un cadre de fenêtre inséré dans le


panneau :

Ici, le cadre de fenêtre est inséré dans le mur en


CLT.

Le cadre est inséré dans le mur en CLT en utilisant


soit une bande d’étanchéité Compriband, soit une
mousse isolante appropriée en polyuréthane (PUR).
Il est recommandé d’employer une mousse PU à
élasticité permanente. Le raccord doit être réalisé
avec soin et conformément aux règles de l’art (con-
formation exacte des coins, etc.).
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

e) Raccord mur-plafond-mur

bandes d’étanchéité

Raccord entre mur et plafond :

Les surfaces de contact les plus importantes sont


celles entre d’une part le plafond et d’autre part les
parois supérieure et inférieure. Le raccord de ces
deux surfaces de contact doit être parfaitement
étanche à l’air.

f) Raccord mur-toiture

Raccord entre mur et panneau de toiture ou entre


mur et combles :

Le raccord peut être réalisé de différentes manières.


Le joint entre le panneau mural et le panneau de
toiture devra cependant être parfaitement étanche.
Les raccords au niveau des surfaces de contact
avec les encoches, entailles et évidements devront
tous être parfaitement étanches à l’air.
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

g) Quelques exemples de matériaux pouvant être utilisés pour assurer l’étanchéité à l’air

Joint EPDM

Bande d’étanchéité

Bande d’étanchéité Compriband

Bande adhésive

Les matériaux employés doivent être choisis de manière à répondre aux exigences de chaque cas de figure par-
ticulier.
On tâchera d’éviter l’utilisation de bandes adhésives en raison de certains emplacements qui sont difficiles
d’accès (coins, etc.).

Sources :
www.trelleborg.com
www.ramsauer.at
www.siga.ch
Physique du bâtiment
ÉTANCHÉITÉ À L’AIR 04/2012

5. Résumé
L’étanchéité à l’air et au vent sont deux des exigences essentielles auxquelles doit satisfaire un bâtiment en pan-
neaux CLT. Seule une excellente étanchéité sera la garantie d’une construction de grande qualité.
On veillera pour tous les raccords à adopter un système cohérent et homogène pour assurer l’étanchéité à l'air et
au vent. Autrement dit, on fera en sorte que les joints horizontaux et verticaux forment une parfaite unité
d’étanchement.
Il faudra surtout éviter de laisser des ouvertures dans la construction en CLT. Toutes les ouvertures devront être
dotées de joints d’étanchéité réalisés conformément aux règles de l’art de manière à garantir une parfaite étan-
chéité du bâtiment.
Seule une réalisation précise, méticuleuse et soignée permettra d’empêcher les déperditions de chaleur et
d’éviter leur cortège de conséquences funestes telle que les infiltrations d’humidité, l’apparition de moisis-
sures, etc.

Pour plus d’informations :


www.clt.info
www.dataholz.com

6. Annexe

Références :

[1] RICCABONA, CH. et BEDNAR TH. (2008) :


e
Baukonstruktionslehre 4 ; 7 édition ; MANZ Verlag, Vienne.

[2] ÖNORM EN 12114 (2000) :


Wärmetechnisches Verhalten von Gebäuden – Luftdurchlässigkeit von Bauteilen – Laborprüfverfahren; Öster-
reichisches Normungsinstitut (Austrian Standards Institute), Vienne.

[3] HOLZFORSCHUNG AUSTRIA (2008) :


Rapport d’essai ; test d’étanchéité à l’air effectué sur un panneau comportant deux conformations de joints
différentes.

[4] ÖNORM B 8110-1 (2008) :


Wärmeschutz im Hochbau – Anforderungen an den Wärmeschutz und Deklaration des Wärmeschutzes von
Gebäuden/Gebäudeteilen (L’isolation thermique des bâtiments — Exigences en termes d’isolation thermique
et déclaration de l’isolation thermique des bâtiments ou de certaines de leurs parties) ; Österreichisches Nor-
mungsinstitut (Austrian Standards Institute), Vienne.

[5] STEINDL R. (2007) :


Diplôme de fin d’études. Catalogue d’éléments de construction pour maisons d’habitation en panneaux mas-
sifs contrecollés.

[6] www.dataholz.com
Internet ; recherche effectuée le 2 avril 2009
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012

Sommaire :

1. Introduction
La nécessité de protéger les bâtiments de
2.
l’humidité
3. La diffusion
Valeur numérique du coefficient de résistance
4.
à la diffusion et valeur sd
Le rôle de l’humidité et de la diffusion pour les
5.
panneaux CLT
6. Résumé
7. Annexe

1. Introduction
Les bâtiments et les parties qui les composent ne sont pas uniquement soumis à des contraintes thermiques,
mais aussi à des contraintes hygrométriques. Une fois les travaux de construction terminés, il arrive souvent que
les éléments de construction contiennent encore un taux d’humidité assez important.
L’utilisation de panneaux CLT s’avère donc avantageuse puisque ce matériau de construction permet d’obtenir
des bâtiments a priori parfaitement secs.

Les éléments de construction doivent néanmoins être suffisamment protégés contre les différentes sources pos-
sibles d’humidité. Un taux d’humidité trop élevé peut entraîner un affaiblissement de la résistance mécanique
et une diminution de la qualité de l’isolation thermique. Le bois a néanmoins besoin d’un minimum
d’humidité afin d’éviter par exemple au maximum l’apparition de gerces de retrait. Ceci concerne tout particuliè-
rement les panneaux à face visible.
La figure 1 montre les différentes sources d’humidité auxquelles est exposé un bâtiment et dont il convient de le
protéger.

Figure 1 : Sources d’humidité caractéristiques auxquelles est exposé un bâtiment (Fischer et autres, 2008)
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012

Étant que pour les panneaux CLT, la structure porteuse et la couche d’isolation sont séparées l’une de l’autre, il
en découle que la construction peut également être considérée séparément sur le plan de la statique et des pro-
priétés physiques. Les panneaux CLT présentent par ailleurs un avantage supplémentaire en ceci que l’inertie
thermique de ces éléments de construction est nettement plus élevée que celle d’autres types de construction en
bois. En effet, à partir de trois plis (couches), les panneaux CLT présentent déjà une étanchéité à l’air quasiment
parfaite.

Figure 2 : Comparaison entre les constructions en bois léger et les constructions en bois massif
(Université de technologie de Graz, 2008)

2. La nécessité de protéger les bâtiments de l’humidité


Protéger les bâtiments de l’humidité est à la fois utile et nécessaire, aussi bien pour les utilisateurs que pour les
propriétaires. Les raisons de la nécessité de cette protection sont les suivantes :

a) Utilisabilité des pièces


Le climat intérieur des pièces d’un bâtiment doit satisfaire à des conditions très strictes et c’est pour cette raison
qu’il faudra éviter tout apport incontrôlé d’humidité. L’humidité contenue dans les matériaux de construction peut
entraîner l’apparition de nids de germes et de bactéries. Elle peut par ailleurs être source de mauvaises odeurs.
b) Isolation thermique des bâtiments
La présence d’une humidité excédentaire a pour effet d’augmenter la conductivité thermique des matériaux et
donc d’accroître par là-même la consommation énergétique nécessaire pour chauffer le bâtiment. Il faut par ail-
leurs savoir que l’évacuation de l’air humide et de l’eau de condensation est elle aussi coûteuse sur le plan éner-
gétique.
c) Préservation des qualités du bâtiment
Il est fondamental de maîtriser les effets de l’humidité si l’on veut préserver l’intégrité et les qualités de la cons-
truction. Dans la plupart des cas, les dommages constatés sur les bâtiments sont provoqués par l’action de l’eau.

3. La diffusion
Le terme de diffusion désigne la circulation de particules infiniment petites — atomes, ions et minuscules molé-
cules — résultant de la thermodynamique propre à ces mêmes particules (mouvement brownien).
Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012

De manière analogue au flux de chaleur, le flux de vapeur d’eau se déplace :


 en fonction des différences de température, en l’occurrence du plus chaud vers le plus froid ;
 ou bien en fonction de l’humidité relative, c’est-à-dire du plus humide vers le plus sec.

Le courant de diffusion se manifeste non seulement dans l’air, mais aussi dans les éléments de construction po-
reux contenant des poches d’air. Plus un élément de construction est étanche et plus son coefficient de résis-
tance à la diffusion sera élevé. Les matériaux humides sont davantage perméables à la diffusion.

4. Valeur numérique du coefficient de résistance à la diffusion et valeur sd


a) Valeur numérique du coefficient de résistance à la diffusion
L’unité employée pour mesurer l’étanchéité présentée par un matériau de construction face aux molécules d’eau
en diffusion est l’unité µ qui représente le coefficient de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau. La valeur µ
est une grandeur adimensionnelle qui exprime le coefficient d’augmentation de la résistance à la diffusion d’un
matériau de construction par rapport à sa valeur de référence. La valeur de référence employée est celle de l’air,
car c'est l’air qui dans la pratique offre la résistance la plus faible à la vapeur d’eau (µ = 1).
Seuls les métaux et les verres peuvent être considérés comme étant imperméables à la vapeur d’eau. Tous les
autres matériaux de construction sont par contre perméables à la vapeur d’eau. même si pour certains le coeffi-
cient de résistance à la diffusion peut être très élevé.

b) La valeur sd
Pour quantifier l’étanchéité d’une couche de matériau de construction — et non pas uniquement celle d’un maté-
riau — à la diffusion de la vapeur d’eau, il ne suffit pas d’indiquer la valeur numérique µ du coefficient de résis-
tance à la diffusion. En effet, le degré de résistance à la diffusion de la vapeur d’eau est fonction à la fois du type
de matériau de construction et de l’épaisseur de la couche formé par celui-ci.
On peut dire pour simplifier que la résistance d’une couche de matériau de construction se définit par le produit
de l’épaisseur de la couche et de la valeur numérique du coefficient de résistance à la diffusion. C’est pour cette
raison qu’en physique de la construction, la mesure de la résistance à la diffusion d’une couche de matériau de
construction est désignée par le terme « épaisseur de couche d’air de la même diffusibilité sd ».

 =  ∗ 

La valeur sd indique l’épaisseur que doit avoir une couche d’air pour que sa résistance à la transmission de la
vapeur soit identique à celle de l’élément de construction.

Les panneaux CLT présentent différents niveaux de résistance à la diffusion. Ceux-ci sont fonction de l’épaisseur
des lamelles ainsi que du nombre de plis et de joints collés.

  = 1 ∗ 1 + 2 ∗ 2 + 3 ∗ 3 + … +  ∗ 

5. Rapport d’expertise de la Holzforschung Austria


Le rapport d’expertise réalisé par la Holzforschung Austria révèle la chose suivante :
Un panneau CLT à trois plis présente la même valeur sd qu’un bois massif en épicéa de la même épaisseur
(+ 26 mm pour le joint collé dans le cas d’un panneau CLT).

- Corrélation avec l’humidité du matériau


Physique du bâtiment
HUMIDITÉ 04/2012

La valeur µ du joint collé diminue sensiblement dans des conditions de climat d’essai humide. Des volumes
poreux se forment dans la couche d’adhésif et des contacts capillaires apparaissent entre le bois de bout et le
bois longitudinal. Comparé à des conditions de climat sec, ceci permet donc par climat humide de bénéficier
d’un échange d’humidité plus rapide. Ceci dépend toutefois de la colle employée ainsi que de l’humidité rela-
tive.

- Vers l’extérieur, la valeur sd devrait être entre 5 et 10 m plus faible que vers l’intérieur. Prenons un exemple :
Structure de paroi standard avec façade ventilée

Plaque de plâtre armé : sd = 0,273 m ; panneau massif contrecollé : sd = 3,9 m ; isolation : sd = 0,25 m ; film plas-
tique perméable à la diffusion : sd ≤ 0,3 m
Plus on va vers l’extérieur, plus la densité de la structure augmente (calculé sur la base de panneaux massifs
contrecollés). Du point de vue de ses propriétés physiques, la structure répond par conséquent aux exigences
qui lui sont posées.

6. Le rôle de l’humidité et de la diffusion pour les panneaux CLT


À partir de trois plis, les panneaux CLT sont certes étanches à l’air, mais ils ne sont en revanche pas étanches à
la vapeur. Cela signifie en d’autres termes que les panneaux CLT sont perméables à la diffusion et que les joints
collés constituent les freins-vapeur pour la couche d’isolation. Comme tout autre système de construction, les
panneaux CLT doivent eux aussi être protégés de toute humidité permanente.
Le CLT joue un rôle régulateur pour l’air intérieur. Lorsque l’humidité ambiante augmente, celle-ci est absorbée
par le CLT. Elle est ensuite libérée dès que l’humidité baisse à nouveau.
Le CLT peut donc être considéré pour ainsi comme un frein-vapeur à humidité variable. En été, lorsque la tempé-
rature est élevée et l’humidité de l’air importante, le CLT est plus perméable à la diffusion qu’en hiver lorsqu’il fait
froid et que l’air est sec.

8. Sources
HOLZFORSCHUNG AUSTRIA :
rapport d’essai / rapport d’expertise, mesure de diffusion réalisée en juillet 2009.
FISCHER H., FREYMUTH H., HÄUPL P. ET AUTRES (2008) :
e
Lehrbuch der Bauphysik (Manuel de physique de la construction). 6 édition entièrement remaniée ; Vieweg +
Teubner Verlag, Wiesbaden.
HÄUPL P. (2008) :
Bauphysik: Klima, Wärme, Feuchte, Schall (Physique de la construction : climat, chaleur et acoustique). Ernst &
Sohn Verlag, Berlin.
RICCABONA C., BEDNAR T. (2008) :
e
Baukonstruktionslehre 4 ; 7 édition entièrement remaniée ; MANZ Verlag, Vienne.
Physique du bâtiment
PROTECTION INCENDIE 04/2012

Le bois massif est plus résistant au feu qu’on ne le pense généralement. Les panneaux CLT présentent un taux
d’humidité d’environ 12 %. Pour que le bois puisse prendre feu, il faut donc que l’eau qu’il contient se soit préala-
blement évaporée. En outre, une surface calcinée protège les couches de CLT qui se trouvent en dessous. Con-
trairement donc aux constructions en acier ou en béton, celles en bois massif présentent l’avantage de ne pas
s’écrouler, même lorsque les murs sont calcinés.

Pour confirmer cette affirmation, nous avons chargé l’institut agréé Holzforschung Austria de réaliser un test de
résistance au feu sur nos panneaux CLT en bois massif. Les résultats parlent d’eux-mêmes et dépassent même
ce que nous en attendions de ce test.

Les rapports de classification peuvent être téléchargés sur le site www.clt.info.


Physique du bâtiment
ACOUSTIQUE 04/2012

Parallèlement aux évaluations qui suivent concernant les questions d’isolation phonique,
Stora Enso vous recommande de consulter également le site www.dataholz.com.
Physique du bâtiment
GÉNÉRALITÉS 04/2012

Les évaluations indiquées ici et qui portent sur les caractéristiques physiques de construction ont été réalisées
par la Holzforschung Austria (HFA), un organisme européen de certification agréé. Ces évaluations concernent
les éléments de construction suivants :
1. Murs extérieurs
2. Parois intérieures
3. Cloison de séparation
4. Plafonds
5. Toits
Établi le : 12/01/2012 Nº de commande : 2177/2011 – BB Version : 1.0
Les sources auxquelles il a été fait référence dans le cadre de ces évaluations sont les suivantes :
Résistance au feu
ÖNORM EN 13501-2 – Classement au feu des produits de construction et des éléments de bâtiment – Partie 2 :
Classement à partir des données des essais de résistance au feu, services de ventilation exclus.
Procédures destinées à déterminer les caractéristiques relatives à l’isolation thermique
ÖNORM B 8110-6 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 6: Grundlagen und Nachweisverfahren – Heizwärmebedarf
und Kühlbedarf (Exigences en termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 6 : Principes et méthodes de
vérification – Chauffage et refroidissement). Date de publication : janvier 2010.
ÖNORM EN ISO 6946 – Composants et parois de bâtiments – Résistance thermique et coefficient de transmis-
sion thermique – Méthode de calcul. Date de publication : avril 2008.
ÖNORM B 8110-2 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 2: Wasserdampfdiffusion und Kondensationsschutz (Exi-
gences en termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 2 : Diffusion de la vapeur d’eau et protection
contre la condensation). Date de publication : juillet 2003.
ÖNORM EN ISO 13788 – Performance hygrothermique des composants et parois de bâtiments – Température
superficielle intérieure permettant d’éviter l’humidité superficielle critique et la condensation dans la masse – Mé-
thodes de calcul. Date de publication : janvier 2002.
ÖNORM B 8110-3 – Wärmeschutz im Hochbau – Teil 3: Wärmespeicherung und Sonneneinflüsse (Exigences en
termes d’isolation thermique des bâtiments – Partie 3 : Accumulation de la chaleur et radiation solaire). Date de
publication : décembre 1999.
ÖNORM EN 12524 – Matériaux et produits pour le bâtiment – Propriétés hygrothermiques – Valeurs utiles tabu-
lées. Date de publication : septembre 2000.
Évaluations relatives à l’isolation phonique
Les différences de niveau sonore standard qui ont fait l’objet d’une évaluation ont été déterminées d’une part en
faisant appel à des éléments de construction comparables du point de vue du niveau de protection à atteindre
contre le bruit aérien et d’autre part en intégrant les ouvrages spécialisés relatifs à la question. Nous citerons par-
ticulièrement les ouvrages suivants : le catalogue d’éléments de construction « dataholz.com – Catalogue
d’éléments de construction en bois testés et contrôlés en termes de propriétés physiques et de qualités écolo-
giques » (date de publication : 2003) ; la norme autrichienne ÖNORM B 8115-4 – Schallschutz und Raumakustik
im Hochbau – Maßnahmen zur Erfüllung der schalltechnischen Anforderungen [Isolation phonique et acoustique
des bâtiments – Mesures mises en œuvre pour satisfaire aux exigences en matière d’isolation phonique] (date
de publication : 2003) ; Holzbauhandbuch (Manuel de la construction en bois), série 3, partie 3, section 4,
« Schallschutz – Wände und Dächer » (Isolation phonique – Murs et toitures), publié par le Informationsdienst
Holz (date de publication : 2003) ; Holzbauhandbuch (Manuel de la construction en bois), série 3, partie 3, sec-
tion 3, « Schalldämmende Holzbalken- und Brettstapeldecken »“ publié par le Informationsdienst Holz ;
« Hochschalldämmende Außenbauteile aus Holz », publié par le LSW du ift Rosenheim, rapport final 2004.
1_Murs extérieurs
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – MURS EXTÉRIEURS 04/2012

Structure des
éléments de Façade Matériau isolant CLT Structure interne
construction
1.1 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.2 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.3 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.4 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.5 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.6 Enduit polyuréthane expansé (PSE) CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.7 Enduit laine minérale CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.8 Enduit laine minérale CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.9 Enduit laine minérale CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.10 Enduit laine minérale CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
01:11 Enduit laine minérale CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.12 Enduit laine minérale CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.13 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.14 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.15 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.16 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.17 Enduit fibres de bois douces CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.18 Enduit fibres de bois douces CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.19 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.20 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.21 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.22 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.23 bois fibres de bois douces CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.24 bois fibres de bois douces CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
1.25 bois laine minérale CLT 100 C3s CLT qualité visible
1.26 bois laine minérale CLT 120 C3s CLT qualité visible
1.27 bois laine minérale CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.28 bois laine minérale CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
1.29 Enduit laine minérale CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.1 Mur extérieur

CLT 100 C3s

polyuréthane expansé (PSE)

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,16 adéquat 34,7 36
20 REI 60 35 0,13 adéquat 34,8 36
26 REI 60 35 0,11 adéquat 34,9 36
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.2 Mur extérieur

CLT 120 C3s

polyuréthane expansé (PSE)

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,16 adéquat 33,3 36
20 REI 60 35 0,13 adéquat 33,4 36
26 REI 60 35 0,10 adéquat 33,4 36
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.3 Mur extérieur

CLT 100 C3s

polyuréthane expansé (PSE) placoplâtre réfractaire

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,16 adéquat 38,7 37
20 REI 90 35 0,13 adéquat 38,8 37
26 REI 90 35 0,11 adéquat 38,8 37
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.4 Mur extérieur

CLT 120 C3s

polyuréthane expansé (PSE) placoplâtre réfractaire

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,15 adéquat 37,4 37
20 REI 90 35 0,13 adéquat 37,4 37
26 REI 90 35 0,10 adéquat 37,4 37
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.5 Mur extérieur


CLT 100 C3s
laine minérale
polyuréthane expansé (PSE)
lattis en bois

enduit
(avec apprêt et couche en fibres panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)
synthétiques)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,13 adéquat 27,2 43
18 REI 120 35 0,12 adéquat 27,2 43
20 REI 120 35 0,11 adéquat 27,2 43
26 REI 120 35 0,09 adéquat 27,2 43
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.6 Mur extérieur

CLT 120 C3s


laine minérale
polyuréthane expansé (PSE)
lattis en bois

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Polyuréthane expansé (PSE) 16, 20, 26 0,031 60 18 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,13 adéquat 27,2 43
20 REI 120 35 0,11 adéquat 27,2 43
26 REI 120 35 0,09 adéquat 27,2 43
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.7 Mur extérieur

CLT 100 C3s

laine minérale

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,18 adéquat 34,7 38
18 REI 60 35 0,16 adéquat 34,7 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.8 Mur extérieur

CLT 120 C3s

laine minérale

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,17 adéquat 33,3 38
18 REI 60 35 0,16 adéquat 33,3 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.9 Mur extérieur

CLT 100 C3s

laine minérale placoplâtre réfractaire

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,18 adéquat 38,7 39
18 REI 90 35 0,16 adéquat 38,7 39
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.10 Mur extérieur

CLT 120 C3s

laine minérale
placoplâtre réfractaire

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,17 adéquat 37,4 39
18 REI 90 35 0,16 adéquat 37,4 39
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.11 Mur extérieur

CLT 100 C3s


laine minérale
laine minérale
lattis en bois

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,14 adéquat 27,2 45
18 REI 120 35 0,13 adéquat 27,2 45
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.12 Mur extérieur

CLT 120 C3s


laine minérale
laine minérale
lattis en bois

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 16, 18 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,14 adéquat 27,2 45
18 REI 120 35 0,13 adéquat 27,2 45
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.13 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard

Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,21 adéquat 34,6 38
20 REI 60 35 0,18 adéquat 34,7 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.14 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard

Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,20 adéquat 33,3 38
20 REI 60 35 0,17 adéquat 33,3 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.15 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard
placoplâtre réfractaire
Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,21 adéquat 38,7 39
20 REI 90 35 0,17 adéquat 38,7 39
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.16 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard
placoplâtre réfractaire
Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,20 adéquat 37,4 39
20 REI 90 35 0,17 adéquat 37,4 39
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.17 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
Homatherm ID-Q11 standard
HDP-Q11 standard
lattis en bois
Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 50/40, e = 62,5 cm 4 0,130 50 500 D
Homatherm ID-Q11 standard 4 0,038 3 110 E
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,18 adéquat 18,1 44
20 REI 120 35 0,15 adéquat 18,1 44
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.18 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
Homatherm ID-Q11 standard
HDP-Q11 standard
lattis en bois
Homatherm
EnergiePlus massive

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques)
placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Homatherm EnergiePlus massive 8, 6 0,039 3 140 E
Homatherm HDP-Q11 standard 12, 10 0,038 3 110 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 50/40, e = 62,5 cm 4 0,130 50 500 D
Homatherm ID-Q11 standard 4 0,038 3 110 E
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,17 adéquat 18,0 44
20 REI 120 35 0,15 adéquat 18,0 44
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.19 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard

film plastique perméable à la diffusion


lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 20 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,21 adéquat 34,7 43
20 REI 60 35 0,17 adéquat 34,8 43
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.20 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 18, 20, 24 0,038 3 110 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,20 adéquat 33,4 43
18 REI 60 35 0,18 adéquat 33,4 43
20 REI 60 35 0,17 adéquat 33,4 43
24 REI 60 35 0,15 adéquat 33,4 44
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.21 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard
placoplâtre réfractaire

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 20 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,20 adéquat 38,7 44
20 REI 90 35 0,17 adéquat 38,8 44
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.22 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
HDP-Q11 standard
placoplâtre réfractaire

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 20 0,038 3 110 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,20 adéquat 37,4 44
20 REI 90 35 0,17 adéquat 37,4 44
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.23 Mur extérieur

CLT 100 C3s


Homatherm
Homatherm ID-Q11 standard
HDP-Q11 standard
lattis en bois
film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 20 0,038 3 110 E
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 50/40, e = 62,5 cm 4 0,130 50 500 D
Homatherm ID-Q11 standard 4 0,038 3 130 E
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,18 adéquat 18,1 48
20 REI 120 35 0,15 adéquat 18,1 48
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.24 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
Homatherm ID-Q11 standard
HDP-Q11 standard
lattis en bois
film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Homatherm HDP-Q11 standard, 2 couches 16, 20 0,038 3 130 E
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 50/40, e = 62,5 cm 4 0,130 50 500 D
Homatherm ID-Q11 standard 4 0,038 3 110 E
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 120 35 0,17 adéquat 16,5 48
20 REI 120 35 0,15 adéquat 16,5 48
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.25 Mur extérieur

CLT 100 C3s

laine minérale
bois massif abouté (KVH)

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Structure en bois massif abouté (KVH) avec
isolation :
Bois de construction 6/x, e = 62,5 cm 16, 20, 26 0,130 50 500 D
Laine minérale 16, 20, 26 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,20 adéquat 34,4 47
20 REI 60 35 0,16 adéquat 34,7 47
26 REI 60 35 0,13 adéquat 34,8 48
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.26 Mur extérieur

CLT 120 C3s

laine minérale
bois massif abouté (KVH)

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Structure en bois massif abouté (KVH) avec
isolation :
Bois de construction 6/x, e = 62,5 cm 16, 20, 26 0,130 50 500 D
Laine minérale 16, 20, 26 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 60 35 0,19 adéquat 33,3 47
20 REI 60 35 0,16 adéquat 33,4 47
26 REI 60 35 0,13 adéquat 33,4 48
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.27 Mur extérieur

CLT 100 C3s

laine minérale
bois massif abouté (KVH)

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)


placoplâtre réfractaire

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Structure en bois massif abouté (KVH) avec
isolation :
Bois de construction 6/x, e = 62,5 cm 16, 20, 26 0,130 50 500 D
Laine minérale 16, 20, 26 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,19 adéquat 38,7 51
20 REI 90 35 0,16 adéquat 38,7 51
26 REI 90 35 0,13 adéquat 38,8 52
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.28 Mur extérieur

CLT 120 C3s

laine minérale
bois massif abouté (KVH)

film plastique perméable à la diffusion

lattis en bois (ventilé)


placoplâtre réfractaire

façade en bois

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Façade en bois 2,5 0,130 50 500 D
Lattis en bois (ventilé) 3 0,130 50 500 D
Film plastique perméable à la diffusion
Structure en bois massif abouté (KVH) avec
isolation :
Bois de construction 6/x, e = 62,5 cm 16, 20, 26 0,130 50 500 D
Laine minérale 16, 20, 26 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
16 REI 90 35 0,19 adéquat 37,4 51
20 REI 90 35 0,16 adéquat 37,3 51
26 REI 90 35 0,13 adéquat 37,4 52
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

1.29 Mur extérieur

CLT 120 C3s


Homatherm
ID-Q11 standard
laine minérale

enduit
(avec apprêt et couche en fibres
synthétiques) lattis en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Enduit (avec apprêt et couche en fibres 0,5 1,000 10-35 2 000 A1
synthétiques)
Laine minérale 18 0,035 1 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 50/40, e = 62,5 cm 4 0,130 50 500 D
Homatherm ID-Q11 standard 4 0,038 3 130 E
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
18 REI 120 35 0,14 adéquat 16,3 44
2_Parois intérieurs
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – MURS INTÉRIEURS 04/2012

Structure des
éléments de Structure côté gauche CLT Structure côté droit
construction
2.1 CLT qualité visible CLT 100 C3s CLT qualité visible
2.2 CLT qualité visible CLT 120 C3s CLT qualité visible
2.3 CLT qualité visible CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.4 CLT qualité visible CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.5 CLT qualité visible CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.6 CLT qualité visible CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.7 revêtu de placoplâtre GKF CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.8 revêtu de placoplâtre GKF CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
2.9 revêtu de placoplâtre GKF CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.10 parement avec placoplâtre GKF CLT 100 C3s parement avec placoplâtre GKF
2.11 parement avec placoplâtre GKF CLT 120 C3s parement avec placoplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.1 Mur intérieur

CLT 100 C3s

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 60 35 0,855 adéquat 29,6 34
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.2 Mur intérieur

CLT 120 C3s

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 60 35 0,740 adéquat 31,1 35
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.3 Mur intérieur

CLT 100 C3s

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
GKF 34,5
— REI 90 35 0,820 adéquat 36
bois 30,0
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.4 Mur intérieur

CLT 120 C3s

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
GKF 36,0
— REI 90 35 0,714 adéquat 37
bois 31,4
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.5 Mur intérieur

CLT 100 C3s


laine minérale

lattis en bois

panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
+ vide tech-
— REI 120 35 0,382 adéquat nique 27,2 41
bois 33,8
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.6 Mur intérieur

CLT 120 C3s


laine minérale

lattis en bois

panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
vide tech-
— REI 120 35 0,357 adéquat nique 27,2 41
bois 33,0
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.7 Mur intérieur

CLT 100 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 90 35 0,788 adéquat 35,0 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.8 Mur intérieur

CLT 120 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 90 35 0,689 adéquat 36,2 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.9 Mur intérieur

CLT 100 C3s


laine minérale

lattis en bois

placoplâtre réfractaire

panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
vide tech-
— REI 120 35 0,375 adéquat nique 27,1 42
bois 38,1
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.10 Mur intérieur

CLT 100 C3s


laine minérale laine minérale
lattis en bois
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) lattis en bois

placoplâtre réfractaire

panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 120 35 0,247 adéquat 27,2 46
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

2.11 Mur intérieur

CLT 120 C3s


laine minérale laine minérale
lattis en bois
panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) lattis en bois

placoplâtre réfractaire

panneau aggloméré à fibres orientées (OSB)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Panneau aggloméré à fibres orientées (OSB) 1,5 0,130 200-300 600 B
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
— REI 120 35 0,236 adéquat 27,2 46
3_Cloison de séperation
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – CLOISONS DE SÉPARATION 04/2012

Structure des
éléments de Structure côté gauche CLT Structure côté droit
construction
3.1 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s CLT qualité visible
3.2 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s CLT qualité visible
3.3 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.4 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.5 parement avec élément antivibratile CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.6 parement avec élément antivibratile CLT 120 C3s parement avec élément antivibratile
3.7 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s CLT qualité visible
3.8 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.9 CLT qualité visible 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.10 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.11 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.12 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.13 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s parement avec élément antivibratile
3.14 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 100 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.15 revêtu de placoplâtre GKF 2 x CLT 80 C3s revêtu de placoplâtre GKF
3.16 parement avec élément antivibratile 2 x CLT 100 C3s parement avec élément antivibratile
3.17 parement avec élément antivibratile 2 x CLT 80 C3s parement avec élément antivibratile
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.1 Cloison de séparation

CLT 100 C3s


laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 60
7 35 0,34 adéquat 34,0 45
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.2 Cloison de séparation

CLT 120 C3s


laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 60
7 35 0,32 adéquat 33,1 45
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.3 Cloison de séparation

CLT 100 C3s


laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
7 35 0,33 adéquat 42,2 46
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.4 Cloison de séparation

CLT 120 C3s


laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
7 35 0,31 adéquat 41,4 46
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.5 Cloison de séparation

CLT 100 C3s


laine minérale laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
lattis en bois (sur élément
placoplâtre réfractaire antivibratile)

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
2 × 7 REI 120 35 0,21 adéquat 22,8 58
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.6 Cloison de séparation

CLT 120 C3s


laine minérale laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)
lattis en bois (sur élément
placoplâtre réfractaire antivibratile)

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
CLT 120 C3s 12 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
2 × 7 REI 120 35 0,20 adéquat 22,8 58
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.7 Cloison de séparation

CLT 100 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


CLT 100 C3s

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 60
6 35 0,26 adéquat 34,2 52
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.8 Cloison de séparation

CLT 100 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


CLT 100 C3s

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
6 35 0,26 adéquat 38,4 54
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.9 Cloison de séparation

CLT 100 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


laine minérale
CLT 100 C3s
lattis en bois (sur élément antivibratile)

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
7+6 REI 120 35 0,19 adéquat 23,1 66
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.10 Cloison de séparation

CLT 100 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


CLT 100 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
6 35 0,26 adéquat 38,4 60
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.11 Cloison de séparation

CLT 80 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


CLT 80 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
6 35 0,26 adéquat 38,4 60
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.12 Cloison de séparation

CLT 100 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


laine minérale
CLT 100 C3s
lattis en bois (sur élément antivibratile)

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
7+6 REI 120 35 0,18 adéquat 23,1 67
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.13 Cloison de séparation

CLT 80 C3s

isolation aux bruits d’impact MW-T


laine minérale
CLT 80 C3s
lattis en bois (sur élément antivibratile)

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
7+6 35 0,20 adéquat 14,9 66
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.14 Cloison de séparation


CLT 100 C3s
placoplâtre réfractaire
placoplâtre réfractaire
CLT 100 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
6 35 0,24 adéquat 36,8 70
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.15 Cloison de séparation

CLT 80 C3s
isolation aux bruits d’impact MW-T
CLT 80 C3s

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
Espace vide 2
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,3 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
6 35 0,27 adéquat 39,4 60
EI 120
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.16 Cloison de séparation


CLT 100 C3s
isolation aux bruits d’impact MW-T
laine minérale
CLT 100 C3s
laine minérale lattis en bois (sur
lattis en bois (sur élément élément antivibratile)
antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 100 C3s 10 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
2 × 7 + 6 REI 120 35 0,14 adéquat 23,1 69
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

3.17 Cloison de séparation


CLT 80 C3s
isolation aux bruits d’impact MW-T
CLT 80 C3s laine minérale
laine minérale lattis en bois (sur
lattis en bois (sur élément élément antivibratile)
antivibratile)
placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Isolation aux bruits d’impact MW-T 6 0,035 1 68 A1
CLT 80 C3s 8 0,110 50 470 D
Parement sur élément antivibratile : 7
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 2,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
REI 90
2 × 7 + 6 35 0,15 adéquat 23,1 68
EI 120
4_Plafonds
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – DALLES DE PLANCHER 04/2012

Structure des
Empierrement de Face inférieure de la dalle de
éléments de Matériau isolant CLT
base plancher
construction
polyuréthane expansé polyuréthane ex-
4.1 CLT 140 L5s CLT qualité visible
aggloméré pansé (PSE)
polyuréthane expansé polyuréthane ex-
4.2 CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
aggloméré pansé (PSE)
polyuréthane expansé polyuréthane ex- plafond suspendu avec pla-
4.3 CLT 140 L5s
aggloméré pansé (PSE) coplâtre GKF
4.4 gravillonage MW-T CLT 140 L5s CLT qualité visible
4.5 gravillonage MW-T CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
plafond suspendu avec pla-
4.6 gravillonage MW-T CLT 140 L5s
coplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.1 Plancher entre étages

chape de ciment

remplissage en
couche de séparation en polyuréthane expansé
plastique aggloméré
plaque en polyuréthane protection contre le ruissellement
expansé

CLT 140 L5s

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Plaque en polyuréthane expansé 3 0,04 60 18 E
Remplissage en polyuréthane expansé 5
aggloméré
Protection contre le ruissellement (pour les joints) 0,2 423 636 E
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 32,5
8 REI 60 5 0,35 adéquat extérieur 55 60
140,3
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.2 Plancher entre étages

chape de ciment

remplissage en
couche de séparation en polyuréthane expansé
plastique aggloméré
plaque en polyuréthane protection contre le ruissellement
expansé

CLT 140 L5s

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Plaque en polyuréthane expansé 3 0,04 60 18 E
Remplissage en polyuréthane expansé 5
aggloméré
Protection contre le ruissellement (pour les joints) 0,2 423 636 E
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 37,7
8 REI 90 5 0,35 adéquat extérieur 56 59
140,4
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.3 Plancher entre étages

chape de ciment

remplissage en
couche de séparation en
polyuréthane expansé
plastique
aggloméré
plaque en polyuréthane
protection contre le
expansé
ruissellement

CLT 140 L5s

laine minérale
lattis en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Plaque en polyuréthane expansé 3 0,04 60 18 E
Remplissage en polyuréthane expansé aggloméré 5
Protection contre le ruissellement (pour les joints) 0,2 423 636 E
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 16,5
8 REI 90 5 0,24 adéquat extérieur 60 55
140,4
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.4 Plancher entre étages

chape de ciment

couche de séparation en empierrement de base


plastique (gravillonnage)
isolation aux bruits protection contre le ruissellement
d’impact MW-T

CLT 140 L5s

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Isolation aux bruits d’impact MW-T 4 0,035 1 68 A1
Empierrement de base (gravillonnage) 5 0,7 2 1 800 A1
Protection contre le ruissellement (pour les 0,2 423 636 E
joints)
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 32,0
4 REI 60 5 0,37 adéquat extérieur 58 51
139,3
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.5 Plancher entre étages

chape de ciment

couche de séparation en empierrement de base


plastique (gravillonnage)
isolation aux bruits protection contre le ruissellement
d’impact MW-T

CLT 140 L5s

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Isolation aux bruits d’impact MW-T 4 0,035 1 68 A1
Empierrement de base (gravillonnage) 5 0,7 2 1 800 A1
Protection contre le ruissellement (pour les 0,2 423 636 E
joints)
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 37,5
5 REI 90 5 0,36 adéquat extérieur 59 50
139,3
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

4.6 Plancher entre étages

chape de ciment

couche de séparation en empierrement de base


plastique (gravillonnage)
isolation aux bruits protection contre le
d’impact MW-T ruissellement

CLT 140 L5s

laine minérale
lattis en bois (sur élément antivibratile)

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Chape de ciment 7 1,330 50-100 2 000 A1
Couche de séparation en plastique 0,200 100 000 1 400 E
Isolation aux bruits d’impact MW-T 4 0,035 1 68 A1
Empierrement de base (gravillonnage) 5 0,7 2 1 800 A1
Protection contre le ruissellement (pour les joints) 0,2 423 636 E
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Composition du vide technique sur élément
antivibratile :
Lattis en bois 6/6, e = 62,5 cm 6 0,130 50 500 D
Laine minérale 7 0,035 1 18 A1
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
intérieur 16,4
5 REI 90 5 0,23 adéquat extérieur 65 45
139,3
5_Toits
Physique du bâtiment
SOMMAIRE – TOITURES 04/2012

Structure des
Face inférieure de la dalle
éléments de Couverture de toit Matériau isolant CLT
de plancher
construction
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex-
5.1 CLT 140 L5s CLT qualité visible
de protection pansé (PSE)
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex-
5.2 CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
de protection pansé (PSE)
toit revêtu d’une feuille polyuréthane ex- plafond suspendu avec pla-
5.3 CLT 140 L5s
de protection pansé (PSE) coplâtre GKF
toit revêtu d’une feuille
5.4 HWF CLT 140 L5s CLT qualité visible
de protection
toit revêtu d’une feuille
5.5 HWF CLT 140 L5s revêtu de placoplâtre GKF
de protection
toit revêtu d’une feuille plafond suspendu avec pla-
5.6 HWF CLT 140 L5s
de protection coplâtre GKF
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.1 Toiture

couverture plastique

polyuréthane expansé (PSE)

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Polyuréthane expansé (PSE), 2 couches 24 0,038 60 30 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1 500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 60 5 0,13 adéquat 32,5 36
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.2 Toiture

couverture plastique

polyuréthane expansé (PSE)

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Polyuréthane expansé (PSE), 2 couches 24 0,038 60 30 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1 500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 90 5 0,13 adéquat 36,7 37
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.3 Toiture

couverture plastique

polyuréthane expansé (PSE)

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

laine minérale

lattis en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Polyuréthane expansé (PSE), 2 couches 24 0,038 60 30 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1 500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 90 5 0,11 adéquat 14,7 43
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.4 Toiture

couverture plastique

Homatherm
HDP-Q11 protect

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Homatherm HDP-Q11 protect, 2 couches 24 0,039 3 140 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1 500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 60 5 0,13 adéquat 32,5 38
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.5 Toiture

couverture plastique

Homatherm
HDP-Q11 protect

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Homatherm HDP-Q11 protect, 2 couches 24 0,039 3 140 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 90 5 0,13 adéquat 36,7 39
Physique du bâtiment
STRUCTURES DES ÉLÉMENTS DE CONSTRUCTION 04/2012

5.6 Toiture

couverture plastique

Homatherm
HDP-Q11 protect

CLT 140 L5s


coupe-vapeur autoadhésif

laine minérale

lattis en bois

placoplâtre réfractaire

Structure de l’élément de construction


Matériau de construction Épaisseur [cm] [W/(mK)] μ [kg/m³] Échelle combustibilité
Couverture plastique 0,3 40 000 680 E
Homatherm HDP-Q11 protect, 2 couches 24 0,039 3 140 E
Coupe-vapeur autoadhésif 1 500
CLT 140 L5s 14 0,110 50 470 D
Composition du vide technique :
Lattis en bois 40/50, e = 62,5 cm 5 0,130 50 500 D
Laine minérale 5 0,035 18 A1
Placoplâtre réfractaire 1,5 0,250 800 A2

Évaluation des caractéristiques physiques de la construction


Épaiss. isolation Protection incendie i o Isolation thermique Isolation acoustique
Comporte- Inertie ther-
Résistance Charge Valeur U
[cm] ment de mique mw,B,A Rw Ln,w
au feu [kN/m] [W/m²K]
diffusion [kg/m²]
24 REI 90 5 0,11 adéquat 14,7 45
Statique des contructions
Statique des constructions
GÉNÉRALITÉS 04/2012

Considérations générales quant à la conception d’ossatures porteuses en CLT


Les panneaux étant constitués de couches assemblées et collées à plis croisés, il est possible de bénéficier
d’une descente de charge répartie sur deux axes — une possibilité qui était jusque-là réservée aux structures en
béton armé. Ceci présente l’avantage d’une plus grande liberté dans la conception des agencements intérieurs
ainsi que d’une simplification des constructions. Par ailleurs, la hauteur des planchers bruts peut être réduite. Les
structures placées diagonalement en porte-à-faux ou bien ne reposant que sur un seul point d’appui nécessitent
certes un travail de conception plus important ; elles sont cependant facilement réalisables. La capacité de
charge des panneaux CLT est particulièrement élevée. En effet, du fait des couches transversales, la largeur
porteuse correspond en général à la largeur du panneau. L’importante rigidité propre des panneaux CLT favorise
également le raidissement des bâtiments.

Mode de calcul pour le CLT


La différence entre le dimensionnement du bois massif et celui du bois lamellé-collé réside dans les contraintes
auxquelles sont soumises les couches transversales. Dans un panneau CLT, une charge exercée perpendiculai-
rement au plan du panneau — le poids de la neige sur un toit plat par exemple — génère au niveau des couches
transversales une contrainte de cisaillement qui agit perpendiculairement au sens du fil du bois. Cette contrainte
est appelée en anglais rolling shear (en allemand : Rollschub), car en cas de rupture, les fibres du bois « rou-
lent » pour ainsi dire transversalement. Compte tenu de la faible résistance de la couche transversale au cisail-
lement (contrainte exercée perpendiculairement au fil du bois), il est absolument essentiel de ne pas négliger de
telles contraintes ou déformations. Le calcul doit s’effectuer conformément à la théorie des structures compo-
sites, en tenant compte des déformations liées au cisaillement. Il existe à l’heure actuelle plusieurs méthodes
mathématiques pour calculer le comportement du bois lamellé-collé. La « théorie des couches composites en
flexion » (également appelée « méthode gamma ») est l’une d’entre elles. Cette méthode est d’ailleurs la plus
couramment employée et elle est décrite dans l’agrément technique européen ATE-08/0271.

Organes d’assemblage
La vérification des organes d’assemblage est décrite et réglementée dans les homologations.
Statique des constructions
CALCULS STATIQUES ET DIMENSIONNEMENT DES PANNEAUX CLT 04/2012

A. Calculs statiques pour les panneaux CLT


La particularité des calculs statiques pour les panneaux CLT réside dans le fait que les couches transversales
sont davantage sensibles au cisaillement. On ne peut donc de ce fait ignorer ni le fléchissement résultant de la
force de cisaillement (force transversale), ni la contrainte de cisaillement par torsion (<cf italic="on">rolling
shear</cf>). Plusieurs méthodes de calcul ont été mises en place pour déterminer ces contraintes. Vous trouve-
rez ci-dessous une brève présentation de ces méthodes ainsi qu’une liste de publications plus détaillées. Dans
les calculs statiques, les panneaux massifs contrecollés (ou panneaux CLT) ne peuvent être considérés comme
du bois massif ou du bois lamellé-collé.
Stora Enso met à votre disposition sur le site www.clt.info un logiciel gratuit de calcul statique qui vous permettra
de vérifier les paramètres de construction standard des panneaux CLT.

A.1. Calculs d’après la théorie des structures composites


A.1.1. Au moyen des « facteurs de structure des panneaux »
Ce mode de calcul ne tient pas compte du fléchissement résultant de la force de cisaillement (force transver-
sale). Il ne s’applique donc que lorsque le rapport entre la distance entre appuis et l’épaisseur est relativement
important (supérieur à 30 environ). Pour ce qui est des panneaux à structure symétrique, vous trouverez dans les
textes de référence [1] et [2] des formules permettant de calculer la valeur EJef pour les plaques et les panneaux.

A.1.2. Au moyen du « coefficient de correction du cisaillement »


Cette méthode permet de calculer la flèche des plafonds en déterminant le coefficient de correction de cisaille-
ment pour chaque section de panneau. On peut recourir par ailleurs à des logiciels de statique des structures
portantes en barre qui tiennent compte du fléchissement résultant de la force de cisaillement (force transversale).
Les calculs statiques ainsi effectués fournissent pour les panneaux CLT des résultats suffisamment précis pour
l’application pratique. Cette méthode de calcul est décrite dans le texte de référence [3].

A.2. Calculs d’après la méthode gamma


Cette méthode a été développée afin de pouvoir effectuer les calculs statiques sur des poutres composites en
flexion (cf. [4] et [5]) et elle est également applicable aux panneaux CLT. D’un point de vue pratique, cette mé-
thode est considérée comme étant suffisamment précise. Son application aux panneaux massifs contrecollés est
décrite dans le texte de référence [2].
Elle est par ailleurs incorporée à de nombreuses normes relatives aux constructions en bois telles que les
normes DIN 1052-1:1988, DIN 1052:2008, ÖNORM B 4100-2:2003 et l’Eurocode 5 (EN 1995-1-1).
Statique des constructions
CALCULS STATIQUES ET DIMENSIONNEMENT DES PANNEAUX CLT 04/2012

A.3. Calculs d’après la méthode d’analogie du cisaillement


La méthode d’analogie du cisaillement est décrite dans l’annexe D de la norme DIN 1052-1:2008. Elle est consi-
dérée comme une méthode précise pour les calculs statiques sur des panneaux massifs contrecollés, et ce indé-
pendamment de leur structure ou de leur composition. Vous en trouverez une brève description dans le texte de
référence [2]. Pour une description plus détaillée, reportez-vous aux textes [6], [7], [8] et [9]. On notera que cette
méthode est relativement plus complexe que les méthodes évoquées plus haut.

A.4. Calculs statiques réalisés sur deux axes


A.4.1. Au moyen de treillis de poutre
Les logiciels de statique des structures portantes en barre permettent de modéliser les structures en deux di-
mensions. Vous trouverez quelques informations isolées dans les textes de référence [10] et [11]. Pour des in-
formations plus détaillées, reportez-vous au texte [9].

A.4.2. Au moyen de logiciels FEM


Les logiciels FEM permettent de modéliser les structures en deux dimensions. Vous trouverez quelques informa-
tions à ce sujet dans les textes de référence [9] et [12].

B. Calculs statiques portant sur les organes d’assemblage des panneaux CLT
Les calculs statiques relatifs aux organes d’assemblage sont décrits dans l’homologation Z-9.1-559. Pour davan-
tage de détails sur les organes d’assemblage en forme de broche, veuillez consulter les textes de référence [13]
et [14].
Statique des constructions
CALCULS STATIQUES ET DIMENSIONNEMENT DES PANNEAUX CLT 04/2012

Textes cités :

Blaß H. J., Fellmoser P. : Bemessung von Mehrschichtplatten [Dimensionnement de panneaux à plusieurs plis].
Dans : Bauen mit Holz 105 (2003) ; nº 8, pages 36 à 39 ; nº 9, pages 37 à 39 ; également disponible en télé-
chargement à www.holz.uni-karlsruhe.de sous la rubrique « Veröffentlichungen » (publications). Dernière mise
à jour : octobre 2008.

[2] Blaß H. J., Görlacher R. : Brettsperrholz – Berechnungsgrundlagen [Panneaux massifs contrecollés. Principes
de calcul]. Dans : Holzbaukalender 2003, pages 580 à 598. Bruderverlag Karlsruhe, 2003.

[3] Jöbstl R. : Praxisgerechte Bemessung von Brettsperrholz [Dimensionnement pratique des panneaux massifs
contrecollés]. Dans : Ingenieurholzbau, Karlsruher Tage 2007. Bruderverlag Karlsruhe, 2007.

[4] Schelling W. : Zur Berechnung nachgiebig zusammengesetzter Biegeträger aus beliebig vielen Einzel-
querschnitten [Pour le calcul de poutres composites en flexion composées d’un nombre quelconque de sec-
tions individuelles]. Dans : J. Ehlbeck (éditeur) et G. Steck (éditeur) : Ingenieurholzbau in Forschung und Praxis.
Bruderverlag Karlsruhe, 1982.

[5] Heimeshoff B. : Zur Berechnung von Biegeträgern aus nachgiebig miteinander verbundenen Querschnittsteilen
im Ingenieurholzbau. Dans : Holz als Roh- und Werkstoff 45 (1987) ; pages 237 à 241 ; 1987.

[6] Kreuzinger H. : Platten, Scheiben und Schalen [Panneaux, plaques et coques]. Dans : Bauen mit Holz 1/99 ;
pages 34 à 39 ; 1999.

[7] Blaß H. J., Ehlbeck J., Kreuzinger H., Steck G. : Erläuterungen zu DIN 1052:2004-08 [Commentaires explicatifs
sur la norme DIN 1052:2004-08]. Pages 52 à 56 et 81 à 84. Bruderverlag Karlsruhe, 2004.

[8] Scholz A. : Schubanalogie in der Praxis [L’analogie du cisaillement dans la pratique]. Possibilités et limites.
Dans : Ingenieurholzbau, Karlsruher Tage 2004. Bruderverlag Karlsruhe, 2004.

[9] Winter S., Kreuzinger H., Mestek P. : TP 15 Flächen aus Brettstapeln, Brettsperrholz und Verbundkonstruktio-
nen. TU München (Université technique de Munich), 2008.

[10] Auteurs divers : Mehrgeschossiger Holzbau in Österreich: Holzskelett- und Holzmassivbauweise. Pages 127 et
128 ; ProHolz Austria (Vienne), 2002.

[11] Schrentewein T. : Konzentration auf den Punkt. Dans : Bauen mit Holz 1/2008 ; pages 43 à 47 ; 2008.

[12] Bogensperger T., Pürgstaller A. : Modellierung von Strukturen aus Brettsperrholz unter Berücksichtigung der
Verbindungstechnik. Dans : Tagungsband der 7. Grazer Holzbau-Fachtagung ; 2008.

[13] Uibel T. : Brettsperrholz – Verbindungen mit mechanischen Verbindungsmitteln. Dans : Ingenieurholzbau,


Karlsruher Tage 2007. Bruderverlag Karlsruhe, 2007.

[14] Blaß H. J., Uibel T. : Tragfähigkeit von stiftförmigen Verbindungsmitteln in Brettsperrholz. Karlsruher Berichte
zum Ingenieurholzbau – Volume 8 (2007).
Statique des constructions
LOGICIEL DE CALCUL STATIQUE POUR PANNEAUX CLT 04/2012

Stora Enso vous propose, en collaboration avec WallnerMild Holz·Bau·Software© un logiciel qui vous permet-
tra d’effectuer le dimensionnement des panneaux CLT. Ce logiciel est disponible en plusieurs langues et peut
être téléchargé gratuitement sur le site www.clt.info.
Configurations système requises
 Microsoft Excel 11.0 (Office 2003).
Le logiciel a été conçu et testé pour la version Excel mentionnée ci-dessus. Il devrait cependant être également
compatible avec les versions allant de Excel 10.0 (Office XP) jusqu’à Excel 12.0 (Office 2010).

Première installation
Double-cliquez sur l’icône d’installation pour lancer automatiquement l’installation du logiciel.
Avant de procéder à l’installation, assurez-vous que le logiciel Microsoft Excel est fermé. L’utilisateur
doit par ailleurs disposer des droits d’administrateur pour pouvoir effectuer l’installation.
Nous faisons par ailleurs remarquer que les liens entre les fichiers « .xls » et OpenOffice sont susceptibles de
causer des problèmes.
Sur certains ordinateurs, des problèmes peuvent également se manifester en raison d’add-ins (plug-ins) non
autorisés par Windows. Les add-ins sont partie intégrante du logiciel. Ils doivent par conséquent être acceptés
par l’ordinateur pour permettre au logiciel de fonctionner. Cette procédure varie en fonction du système
d’exploitation utilisé. Elle devra donc être vérifiée sur chaque ordinateur où le logiciel est installé.

Enregistrement
L’enregistrement du logiciel n’a pour but que de permettre à Stora Enso de connaître la diffusion du logiciel, ceci
afin de pouvoir fournir aux utilisateurs la meilleure assistance possible et à les tenir informés des dernières nou-
veautés.

Contrôle de version
Une fois que le logiciel de dimensionnement des panneaux CLT est installé, l’utilisateur peut passer par la barre
de menu pour vérifier s’il possède la dernière version et, le cas échéant, effectuer la mise à jour.

L’utilisateur est redirigé vers le site www.bemessung.com et reçoit ensuite par courriel un lien qui lui permettra
de télécharger la dernière mise à jour.
Avant de procéder à l’installation, assurez-vous que le logiciel Microsoft Excel est fermé. L’utilisateur
doit par ailleurs disposer des droits d’administrateur pour pouvoir effectuer l’installation.
Statique des constructions
LOGICIEL DE CALCUL STATIQUE POUR PANNEAUX CLT 04/2012

Le logiciel met à votre disposition les modules de calcul suivants :


Statique des constructions
LOGICIEL DE CALCUL STATIQUE POUR PANNEAUX CLT 04/2012

Les tables de dimensionnement préliminaire pour panneaux CLT

Nous apportons le plus grand soin à la réalisation des tables de dimensionnement préliminaire présentées sur
les pages qui suivent. Celles-ci ne sauraient néanmoins remplacer les calculs statiques nécessaires à chaque
cas de figure particulier. Les informations contenues dans ces fichiers correspondent aux connaissances tech-
niques actuelles. Malgré tout le soin et les précautions apportés à l’élaboration de ces documents, nous ne pou-
vons cependant pas exclure que des erreurs aient pu s’y glisser.

Stora Enso se dégage explicitement de toute responsabilité. Nous faisons en outre remarquer que l’emploi de
ces tables de dimensionnement préliminaire s’effectue sous l’entière responsabilité des utilisateurs et que ceux-ci
sont expressément tenus de vérifier personnellement l’exactitude de chaque résultat.
Statique des constructions
MURS INTÉRIEURS 04/2012

Conformément à l’homologation Z 9.1-559


Murs intérieurs (pas de surcharge due au vent) DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Hauteur (longueur de flambage)
propre utile
gk*) nk 2,50 m 3,00 m 4,00 m
R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90
10,00 100 C3s 80 C3s 120 C3s
80 C3s 60 C3s
20,00 80 C3s 100 C5s
60 C3s 120 C3s
30,00
10,00 60 C3s 80 C3s 80 C3s
40,00 120 C3s 100 C5s 90 C3s 140 C5s
100 C5s 80 C3s
50,00 120 C5s
80 C3s 140 C5s 100 C3s
60,00
10,00 80 C3s 60 C3s 120 C3s
80 C3s 100 C5s
20,00 60 C3s 120 C3s
30,00 60 C3s 120 C3s 80 C3s 100 C5s 90 C3s
20,00 80 C3s 80 C3s
40,00 100 C5s 140 C5s
100 C3s 120 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s
60,00 80 C3s 140 C5s 90 C3s 120 C5s 90 C3s 100 C5s
10,00 80 C3s 100 C5s
60 C3s 120 C3s
20,00 90 C3s
60 C3s 120 C3s 80 C3s 100 C5s 80 C3s
30,00
30,00 80 C3s 100 C5s 100 C3s 140 C5s
40,00 120 C5s
80 C3s 140 C5s
50,00
80 C3s 140 C5s 90 C3s 120 C5s 90 C3s 100 C5s
60,00
10,00 60 C3s 120 C3s 90 C3s
20,00 60 C3s 120 C3s 80 C3s 100 C5s 80 C3s
100 C3s
30,00
40,00 80 C3s 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s 140 C5s
100 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s 90 C3s 120 C5s 90 C3s
60,00 120 C3s
10,00 90 C3s
60 C3s 80 C3s 80 C3s
20,00 120 C3s 100 C5s
100 C3s
30,00 80 C3s
50,00 100 C5s 80 C3s 140 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 90 C3s 90 C3s 100 C5s
80 C3s
50,00 140 C5s 120 C5s
120 C3s
60,00 90 C3s 100 C3s 100 C3s
10,00 60 C3s 80 C3s 80 C3s
120 C3s 100 C5s 100 C3s
20,00
80 C3s
30,00 100 C5s 90 C3s 90 C3s 100 C5s
60,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s
140 C5s 120 C5s
50,00 120 C3s
90 C3s 100 C3s 100 C3s
60,00 120 C5s
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur suivante : ρ = 500 kg/m³. NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ0 = 0,7 ; ψ1 = 0,5 ; ψ2 = 0,3)

Lim ite de charge : Incendie :


a) Vérification comme barre soumise au flambage par des contraintes de pression (méthode de la poutre équivalente) v1,i = 0,63 mm/min
b) Contraintes de cisaillement v1,a = 0,86 mm/min

kmod = 0,8 R0
R30
R60
R90

Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
MURS EXTÉRIEURS 04/2012

Conformément à l’homologation Z 9.1-559


Murs extérieurs (w = 1,00 kN/m²) DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Hauteur (longueur de flambage)
propre utile
gk*) nk 2,50 m 3,00 m 4,00 m
R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90
10,00 80 C3s 60 C3s 120 C3s
80 C3s 100 C5s
20,00 60 C3s 120 C3s
30,00 60 C3s 80 C3s 90 C3s
10,00 80 C3s 120 C3s 100 C5s 80 C3s
40,00 100 C5s 140 C5s
100 C3s 120 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s
60,00 80 C3s 90 C3s 90 C3s 100 C5s
10,00 80 C3s 80 C3s 100 C5s
60 C3s 120 C3s
20,00 90 C3s
60 C3s 80 C3s 80 C3s
30,00 120 C3s 100 C5s
20,00 80 C3s 100 C3s 140 C5s
40,00 100 C5s 120 C5s
80 C3s 140 C5s
50,00
80 C3s 90 C3s 90 C3s 100 C5s
60,00 140 C5s 120 C5s
10,00 60 C3s 90 C3s
120 C3s
20,00 80 C3s 80 C3s
60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
30,00
30,00 80 C3s 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s
140 C5s
50,00 90 C3s 90 C3s 100 C5s
80 C3s 140 C5s 120 C5s
60,00
10,00 60 C3s 120 C3s 90 C3s
80 C3s 80 C3s
20,00 60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
30,00 80 C3s
40,00 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s 90 C3s 140 C5s 90 C3s 100 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s
60,00 90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
10,00 80 C3s 80 C3s
60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
20,00
80 C3s
30,00 100 C5s 90 C3s 90 C3s
50,00 80 C3s 140 C5s 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00
80 C3s 140 C5s 120 C5s
50,00
90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
60,00 120 C5s
10,00 60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
20,00 80 C3s 90 C3s 90 C3s
100 C5s 100 C5s
30,00 140 C5s
60,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s
40,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s
50,00 90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
120 C5s
60,00 160 C5s
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur suivante : ρ = 500 kg/m³. NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ0 = 0,7 ; ψ1 = 0,5 ; ψ2 = 0,3)

Lim ite de charge : Incendie :


a) Vérification comme barre soumise au flambage par des contraintes de pression (méthode de la poutre équivalente) v1,i = 0,63 mm/min
b) Contraintes de cisaillement v1,a = 0,86 mm/min

kmod = 0,8 R0
R30
R60
R90

Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR DEUX APPUIS – OSCILLATION 04/2012

Conf ormément à l’homologation Z 9.1-559


Poutre sur deux appuis – Oscillation DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Poutre sur deux appuis – Distance entre appuis
propre utile
gk*) nk 3,00 m 3,50 m 4,00 m 4,50 m 5,00 m 5,50 m 6,00 m 6,50 m 7,00 m
1,00 80 L3s 90 L3s 120 L3s 180 L5s
140 L5s 160 L5s - 2
2,00 80 L3s 120 L3s 120 L3s
90 L3s 100 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
2,80
1,00 180 L5s
3,50 90 L3s 120 L3s 140 L5s
80 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
4,00 100 L3s 220 L7s - 2
140 L5s 200 L5s 240 L7s - 2
5,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,00 80 L3s 100 L3s 200 L5s
90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2
2,00
140 L5s
2,80 80 L3s 120 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,50
3,50 100 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
240 L7s - 2
4,00 90 L3s 140 L5s
120 L3s 160 L5s - 2
5,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2
1,00 120 L3s
80 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
2,00 100 L3s 120 L3s 200 L5s
2,80 90 L3s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
2,00
3,50 140 L5s 180 L5s
160 L5s - 2
4,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s 220 L7s - 2
5,00 200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
1,00 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s
90 L3s
2,00 220 L7s - 2 240 L7s - 2
180 L5s
2,80 120 L3s 140 L5s
2,50 120 L3s 160 L5s - 2
3,50 90 L3s 220 L7s - 2
4,00 200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
140 L5s
5,00 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
140 L5s
2,00 90 L3s 120 L3s
2,80 160 L5s - 2
3,00 220 L7s - 2 260 L7s - 2
3,50 140 L5s 200 L5s 240 L7s - 2
100 L3s 160 L5s - 2
4,00 120 L3s
5,00 180 L5s 280 L7s - 2
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur
NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ0 = 0,7 ; ψ1 = 0,5 ; ψ2 = 0,3)
suivante : ρ = 500 kg/m³.

Lim ite de charge : Aptitude à l’em ploi (é tat de s ervice) : Incendie :


a) Vérif ication des contraintes de f lexion a) Situation de calcul quasi-permanente HFA 2011
b) Vérif ication des contraintes de cisaillement zul w f in = 250 v1 = 0,65 mm/min
b) Situation de calcul occasionnelle
kmod = 0,8 zul w q,inst = 300 R0
zul w f in - w g,inst = 200 R30
c) Oscillation R60
Oscillation selon EN 1995-1-1 et Kreuzinger & Mohr R90
(f 1 > 8 Hz ou f 1 > 5 Hz avec a = 0,4 m/s², v < v grenz , w EF < 1 )
D = 2 %, chape de ciment de 5 cm, b = 1,2 · ℓ

kdef = 0,6

Étant donné que l’oscillation dépend non seulement de la distance entre appuis, mais aussi de la masse, il se peut fort bien que l’on
obtienne une épaisseur de plafond importante pour une distance entre appuis relativement faible.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun cas
les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR DEUX APPUIS – DÉFORMATION 04/2012

Conformément à l’homologation Z 9.1-559


Poutre sur deux appuis – Déformation DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Poutre sur deux appuis – Distance entre appuis
propre utile
gk*) nk 3,00 m 3,50 m 4,00 m 4,50 m 5,00 m 5,50 m 6,00 m 6,50 m 7,00 m
1,00 80 L3s 90 L3s 120 L3s 180 L5s
160 L5s - 2
2,00 80 L3s 120 L3s 120 L3s 140 L5s
90 L3s 100 L3s 200 L5s
2,80 160 L5s - 2
1,00 180 L5s
3,50 90 L3s 120 L3s 140 L5s
80 L3s 120 L3s
4,00 100 L3s 160 L5s - 2 220 L7s - 2
140 L5s 200 L5s
5,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s
1,00 80 L3s 100 L3s 140 L5s 180 L5s 200 L5s
90 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
2,00
140 L5s
2,80 80 L3s 120 L3s 120 L3s
1,50 200 L5s
3,50 100 L3s 160 L5s - 2 180 L5s 220 L7s - 2
4,00 90 L3s 140 L5s
120 L3s 160 L5s - 2
5,00 90 L3s 120 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
1,00 120 L3s
80 L3s 140 L5s 180 L5s 200 L5s
2,00 100 L3s 120 L3s
160 L5s - 2
2,80 90 L3s
2,00 220 L7s - 2
3,50 140 L5s
160 L5s - 2 200 L5s 220 L7s - 2
4,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s
180 L5s
5,00
1,00 100 L3s 120 L3s 180 L5s
90 L3s 160 L5s - 2
2,00 220 L7s - 2
2,80 120 L3s 140 L5s
2,50 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s 220 L7s - 2
3,50 90 L3s 180 L5s
4,00 240 L7s - 2
140 L5s
5,00 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s 220 L7s - 2
1,00 90 L3s 120 L3s 220 L7s - 2
140 L5s 200 L5s
2,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s
2,80 160 L5s - 2
3,00 220 L7s - 2
3,50 140 L5s 240 L7s - 2
100 L3s 160 L5s - 2 220 L7s - 2
4,00 120 L3s 200 L5s
5,00 180 L5s
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur
NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ0 = 0,7 ; ψ1 = 0,5 ; ψ2 = 0,3)
suivante : ρ = 500 kg/m³.

Lim ite de charge : Aptitude à l’em ploi (état de service) : Incendie :


a) Vérification des contraintes de flexion a) Situation de calcul quasi-permanente HFA 2011
b) Vérification des contraintes de cisaillement zul w fin = 250 v1 = 0,65 mm/min
b) Situation de calcul occasionnelle
kmod = 0,8 zul w q,inst = 300 R0
zul w fin - w g,inst = 200 R30
R60
kdef = 0,6 R90

La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR TROIS APPUIS – OSCILLATION 04/2012

Conf ormément à l’homologation Z 9.1-559


Poutre sur trois appuis – Oscillation DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Poutre sur deux appuis – Distance entre appuis
propre utile
gk*) nk 3,00 m 3,50 m 4,00 m 4,50 m 5,00 m 5,50 m 6,00 m 6,50 m 7,00 m
1,00 60 L3s 80 L3s 80 L3s 100 L3s 120 L3s 140 L5s 180 L5s
160 L5s - 2
2,00 90 L3s 120 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
80 L3s 90 L3s 120 L3s
2,80
1,00 80 L3s 180 L5s
3,50 160 L5s - 2
100 L3s 140 L5s 220 L7s - 2
4,00 80 L3s 90 L3s 120 L3s 240 L7s - 2
200 L5s
5,00 100 L3s 120 L3s
1,00 80 L3s 180 L5s 220 L7s - 2
90 L3s 120 L3s
2,00
80 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
2,80 100 L3s
1,50 200 L5s 220 L7s - 2
3,50 80 L3s 100 L3s 120 L3s 240 L7s - 2
4,00 90 L3s
120 L3s 160 L5s - 2 180 L5s
5,00 100 L3s 140 L5s 220 L7s - 2
1,00 120 L3s
80 L3s 100 L3s 140 L5s 160 L5s - 2 200 L5s
2,00 120 L3s
2,80 80 L3s 120 L3s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
2,00 80 L3s
3,50 180 L5s
90 L3s 140 L5s 160 L5s - 2 220 L7s - 2
4,00 120 L3s
5,00 100 L3s 200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
1,00 80 L3s 120 L3s
180 L5s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
2,00 90 L3s
2,80 80 L3s
2,50 140 L5s 160 L5s - 2 220 L7s - 2
3,50 90 L3s 120 L3s
200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
4,00
5,00 80 L3s 100 L3s
1,00 90 L3s 240 L7s - 2
2,00 80 L3s 90 L3s
160 L5s - 2
2,80 140 L5s 200 L5s 260 L7s - 2
3,00 120 L3s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
3,50
100 L3s
4,00 80 L3s
180 L5s 280 L7s - 2
5,00 160 L5s - 2 220 L7s - 2
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ 0 = 0,7 ; ψ 1 = 0,5 ; ψ 2 = 0,3)
suivante : ρ = 500 kg/m³.

Lim ite de charge : Aptitude à l’em ploi (état de service) : Incendie :


a) Vérif ication des contraintes de f lexion a) Situation de calcul quasi-permanente β = 0,65 mm/min
b) Vérif ication des contraintes de cisaillement zul w f in = 250
b) Situation de calcul occasionnelle R0
kmod = 0,8 zul w q,inst = 300 R30
zul w f in - w g,inst = 200 R60
c) Oscillation R90
Oscillation selon EN 1995-1-1 et Kreuzinger & Mohr
(f 1 > 8 Hz ou f 1 > 5 Hz avec a = 0,4 m/s², v < v grenz , w EF < 1 )
D = 2 %, chape de ciment de 5 cm, b = 1,2 · ℓ

kdef = 0,6

Étant donné que l’oscillation dépend non seulement de la distance entre appuis, mais aussi de la masse, il se peut fort bien que
l’on obtienne une épaisseur de plafond importante pour une distance entre appuis relativement faible. Les calculs ont été effectués
en considérant la charge utile reposant sur un appui. Si les charges utiles reposent sur les deux appuis, cela peut entraîner une
diminution de l’épaisseur requise pour le plafond.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
POUTRE SUR TROIS APPUIS – DÉFORMATION 04/2012

Conformément à l’homologation Z 9.1-559


Poutre sur trois appuis – Déformation DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Poutre sur deux appuis – Distance entre appuis
propre utile
gk*) nk 3,00 m 3,50 m 4,00 m 4,50 m 5,00 m 5,50 m 6,00 m 6,50 m 7,00 m
1,00 80 L3s 80 L3s 90 L3s 120 L3s 140 L5s
60 L3s 80 L3s 120 L3s
2,00 90 L3s 100 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
120 L3s
2,80 80 L3s 80 L3s 90 L3s 100 L3s
1,00 140 L5s 160 L5s - 2
3,50 120 L3s
100 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
4,00 80 L3s 90 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 180 L5s
5,00 100 L3s 120 L3s 140 L5s 160 L5s - 2 160 L5s - 2 180 L5s 200 L5s
1,00 60 L3s 80 L3s 90 L3s 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
140 L5s
2,00 90 L3s 120 L3s
80 L3s 100 L3s
2,80 90 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
1,50 120 L3s
3,50 80 L3s 160 L5s - 2
100 L3s 140 L5s
4,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s
160 L5s - 2
5,00 100 L3s 120 L3s 140 L5s 160 L5s - 2 180 L5s 200 L5s
1,00 90 L3s 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
80 L3s 160 L5s - 2
2,00 90 L3s 140 L5s
2,80 120 L3s
2,00 80 L3s 80 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
3,50 100 L3s 120 L3s 180 L5s
4,00 90 L3s 160 L5s - 2
5,00 100 L3s 120 L3s 140 L5s 160 L5s - 2 180 L5s 200 L5s
1,00 80 L3s 90 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
2,00 80 L3s 120 L3s
160 L5s - 2 180 L5s
2,80 80 L3s 100 L3s 140 L5s
2,50 120 L3s
3,50 90 L3s 160 L5s - 2
4,00 140 L5s 200 L5s
120 L3s 180 L5s
5,00 80 L3s 100 L3s 160 L5s - 2
1,00 80 L3s 120 L3s 180 L5s
100 L3s 160 L5s - 2
2,00 80 L3s 140 L5s
2,80
3,00 90 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s
3,50 140 L5s 180 L5s
120 L3s
4,00 80 L3s 160 L5s - 2
5,00 100 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
* Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table avec la valeur NKL 1, catégorie de charge utile A (ψ0 = 0,7; ψ1 = 0,5; ψ2 = 0,3)
suivante : ρ = 500 kg/m³.

Lim ite de charge : Aptitude à l’em ploi (é tat de service) : Ince ndie :
a) Vérification des contraintes de flexion a) Situation de calcul quasi-permanente HFA 2011
b) Vérification des contraintes de cisaillement zul w fin = 250 v1 = 0,65 mm/min
b) Situation de calcul occasionnelle
kmod = 0,8 zul w q,inst = 300 R0
zul w fin - w g,inst = 200 R30
R60
kdef = 0,6 R90

Les calculs ont été effectués en considérant la charge utile reposant sur un appui. Si les charges utiles reposent sur les deux ap-
puis, cela peut entraîner une diminution de l’épaisseur requise pour le plafond.
La présente table indique les épaisseurs requises pour le dimensionnement à froid (R0). La couleur de fond indique la durée de
résistance au feu que l’on obtient également pour l’épaisseur donnée. Si l’on veut bénéficier d’une plus grande durée de résistance
au feu, il faudra alors effectuer les calculs appropriés qui s’imposent.
Attention ! La présente table est conçue uniquement pour effectuer le dimensionnement préliminaire. Elle ne remplace en aucun
cas les calculs statiques.
Statique des constructions
EXEMPLE D’APPLICATION – PLAFOND 04/2012

1.) Poids propre supposé


- On part par exemple de l’hypothèse que le poids propre de la structure du plafond (chape, etc.)
correspond à gk = 1,5 kN/m²: Le poids propre du panneau CLT est déjà pris en compte dans la table.
2.) Charge utile supposée
- 2,00 kN/m² pour l’espace habitable + 0,8 kN/m² pour la cloison de séparation  nk = 2,8 kN/m².
(La charge utile sera différente en fonction de l’utilisation qui est faite de la pièce en question : salle de
réunion, bureau, comble non aménagé, etc.)
3.) Déterminer la distance entre les appuis
- Il existe deux variantes possibles : poutre sur deux appuis et poutre sur trois appuis  Dans le cas présent,
nous utilisons une poutre sur deux appuis de 4,50 m.
4.) Définir le critère servant à vérifier l’aptitude à l’emploi (état de service)
- Il existe deux critères différents : la vérification de la déformation (cf. table de dimensionnement séparée) et
vérification du comportement vibratoire  Dans le présent cas de figure, c’est la vérification du
comportement vibratoire qui est déterminante.
5.) Application de la table de dimensionnement préliminaire
- L’élément proposé est un panneau CLT 119 L3s qui répond aux exigences de R30.

Conformément à l’homologation Z 9.1-559


Poutre sur deux appuis – Oscillation DIN 1052 (2008) ou EN 1995-1-1 (2006)
Poids Charge
Poutre sur deux appuis – Distance entre appuis
propre utile
gk*) nk 3,00 m 3,50 m 4,00 m 4,50 m 5,00 m 5,50 m 6,00 m 6,50 m 7,00 m
1,00 80 L3s 90 L3s 120 L3s 180 L5s
140 L5s 160 L5s - 2
2,00 80 L3s 120 L3s 120 L3s
90 L3s 100 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
2,80
1,00 180 L5s
3,50 90 L3s 120 L3s 140 L5s
80 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
4,00 100 L3s 220 L7s - 2
140 L5s 200 L5s 240 L7s - 2
5,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,00 80 L3s 100 L3s 200 L5s
90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2
2,00
140 L5s
2,80 80 L3s 120 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,50
3,50 100 L3s 200 L5s 220 L7s - 2
240 L7s - 2
4,00 90 L3s 140 L5s
120 L3s 160 L5s - 2
5,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2
1,00 120 L3s
80 L3s 140 L5s 160 L5s - 2
2,00 100 L3s 120 L3s 200 L5s
2,80 90 L3s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
2,00
3,50 140 L5s 180 L5s
160 L5s - 2
4,00 90 L3s 120 L3s 120 L3s 220 L7s - 2
5,00 200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
1,00 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2 200 L5s
90 L3s
2,00 220 L7s - 2 240 L7s - 2
180 L5s
2,80 120 L3s 140 L5s
2,50 120 L3s 160 L5s - 2
3,50 90 L3s 220 L7s - 2
4,00 200 L5s 240 L7s - 2 260 L7s - 2
140 L5s
5,00 100 L3s 120 L3s 160 L5s - 2
1,00 90 L3s 120 L3s 180 L5s 220 L7s - 2 240 L7s - 2
140 L5s
2,00 90 L3s 120 L3s
2,80 160 L5s - 2 R0
3,00 220 L7s - 2 260 L7s - 2
3,50 140 L5s 200 L5s 240 L7s - 2 R30
100 L3s 160 L5s - 2
4,00 120 L3s R60
5,00 180 L5s 280 L7s - 2 R90
Statique des constructions
EXEMPLE D’APPLICATION – MUR 04/2012

1.) Calcul des contraintes exercées sur le mur extérieur


Einwirkung auf Wände OG aus Dach (längs zur Traufe) Einwirkung auf Wände OG aus Dach (längs zur Traufe)
gk =13 kN/m gk =13 kN/m
sk = 27 kN/m sk = 27 kN/m
- Il faut pour ce faire disposer d’informations
concernant l’emplacement géographique du
bâtiment (altitude, emplacement soumis à
l’enneigement et/ou au vent, etc.).
- Étant donné que le toit est en général porté
Einwirkung auf Wände EG aus Decke (längs zur Traufe) par les murs extérieurs, on a par ailleurs be-
gk = 17 kN/m (aus Decke)
soin d’informations sur la structure du toit.
Winddruck wk = 0,8 kN/m²

DG qk = 13 kN/m (aus Decke)

- Il suffit pour utiliser les tables de déterminer


2,9000 les valeurs caractéristiques. Les valeurs de
EG
calcul sont quant à elles automatiquement
prises en compte dans la table.
Contraintes exercées sur les murs du rez-de-chaussée (le long de l’égout des
eaux de pluie) :
gk = 13 kN/m (par le toit) + 17 kN/m (par le plafond) = 30 kN/m
sk = 27 kN/m (par le toit)
qk = 13 kN/m (par le plafond) sk + qk = 40 kN/m
sk = 0,8 kN/m (provenant de la surcharge due au vent)
2.) Calculer la longueur de flambage du mur
- Dans le présent cas de figure, la longueur de flambage correspond à la hauteur du mur (en l’occurrence
2,90 m, soit 3,00 m dans la table).
3.) Définir les critères relatifs aux contraintes de feu
- « Résistant au feu pendant 30 minutes » = R 30
4.) Application de la table de dimensionnement préliminaire
- L’élément proposé est un panneau CLT 97 C3s.
Poids Charge
Hauteur (longueur de flambage)
propre utile
gk*) nk 2,50 m 3,00 m 4,00 m
R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90 R0 R 30 R 60 R 90
10,00 80 C3s 60 C3s 120 C3s
80 C3s 100 C5s
20,00 60 C3s 120 C3s
30,00 60 C3s 80 C3s 90 C3s
10,00 80 C3s 120 C3s 100 C5s 80 C3s
40,00 100 C5s 140 C5s
100 C3s 120 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s
60,00 80 C3s 90 C3s 90 C3s 100 C5s
10,00 80 C3s 80 C3s 100 C5s
60 C3s 120 C3s
20,00 90 C3s
60 C3s 80 C3s 80 C3s
30,00 120 C3s 100 C5s
20,00 80 C3s 100 C3s 140 C5s
40,00 100 C5s 120 C5s
80 C3s 140 C5s
50,00
80 C3s 90 C3s 90 C3s 100 C5s
60,00 140 C5s 120 C5s
10,00 60 C3s 90 C3s
120 C3s
20,00 80 C3s 80 C3s
60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
30,00
30,00 80 C3s 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s
140 C5s
50,00 90 C3s 90 C3s 100 C5s
80 C3s 140 C5s 120 C5s
60,00
10,00 60 C3s 120 C3s 90 C3s
80 C3s 80 C3s
20,00 60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
30,00 80 C3s
40,00 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00 80 C3s 90 C3s 140 C5s 90 C3s 100 C5s
50,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s
60,00 90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
10,00 80 C3s 80 C3s
60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
20,00
80 C3s
30,00 100 C5s 90 C3s 90 C3s
50,00 80 C3s 140 C5s 100 C5s 120 C5s 140 C5s
40,00
80 C3s 140 C5s 120 C5s
50,00
90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
60,00 120 C5s R0
10,00 60 C3s 120 C3s 100 C5s 100 C3s
20,00 80 C3s
100 C5s
90 C3s 90 C3s
100 C5s
R30
30,00 140 C5s
60,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s
40,00 80 C3s 140 C5s 120 C5s R60
50,00 90 C3s 100 C3s 100 C3s 120 C3s
60,00
120 C5s
160 C5s
R90
Statique des constructions
SÉISMES 04/2012

Grâce à leur souplesse et à leur importante résistance statique, les bâtiments construits avec des panneaux CLT
en bois massif se comportent de manière remarquable dans les régions à risques sismiques. Le bois massif
étant en effet plus léger que le béton, la répercussion des secousses par le simple poids du bâtiment est bien
moindre que sur une construction en béton.
Ces dernières années, des constructions en bois massif de six et sept étages ont été soumises au Japon, sur la
plus grande table vibrante du monde, à des simulations de séismes d’une magnitude de 7,5 sur l’échelle de Rich-
ter. Les dommages constatés ont été pratiquement inexistants.
(Voir également : http://www.progettosofie.it/ita/multimedia.html)

« Comportement sismique des bâtiments en panneaux de bois massif »


L’Université de technologie de Graz a rédigé sur demande de Stora Enso un ouvrage de 214 pages portant sur
la comparaison du comportement sismique des briques, du béton et des panneaux massifs contrecollés (CLT).
Cet ouvrage présente également très clairement la façon dont sont réalisés les calculs statiques relatifs au com-
portement sismique (conformément à l’Eurocode 8).
La brochure d’information peut être téléchargée sur notre site www.clt.info.

« Vérification de la sécurité antisismique des bâtiments en bois »


Stora Enso recommande par ailleurs la consultation d’une étude réalisée par la Chambre des ingénieurs de
Westphalie et Rhénanie du nord, une étude extrêmement riche en informations quant à la sécurité sismique des
bâtiments en bois. (Voir : www.ikbaunrw.de)
Gestion de projet et
transport
Gestion de projet et transport
PROCÉDURE DE COMMANDE 04/2012

Le devis
Nous sommes à votre disposition pour élaborer une offre sur la base des documents que vous nous fournirez.
Ceux-ci peuvent être envoyés à Stora Enso sous la forme suivante :
 le texte d’appel à proposition (il convient de tenir compte des déchets de coupe),
 le dessin de chacun des éléments.

Nous vous proposons volontiers notre assistance pour déterminer le volume de bois nécessaire à partir des
plans de demande de permis de construire et de ceux destinés au chef de chantier. Nous mettons par ailleurs
gratuitement à votre disposition un logiciel de dimensionnement préliminaire que vous pouvez télécharger à
l’adresse suivante : www.clt.info. Pour le cas où vous auriez besoin de notre assistance pour les calculs de di-
mensionnement préliminaire, nous vous demandons de bien vouloir nous faire parvenir les informations sui-
vantes :
 la charge utile
 les charges permanentes (charge permanente verticale, structure des planchers, etc.)
 l’emplacement géographique du bâtiment (enneigement, etc.)

Attention ! Les quantités obtenues par Stora Enso peuvent différer des quantités effectivement néces-
saires. Il faut savoir en effet que la segmentation définitive des panneaux en différents éléments de cons-
truction n’est réalisée qu’au moment de la préparation des travaux.

La commande
Lorsque vous aurez reçu de Stora Enso un devis pour votre projet de construction, nous vous prions de bien vou-
loir nous le retourner signé de manière à confirmer votre commande.
Une fois les quantités nécessaires déterminées, celles-ci seront réservées pour la production ultérieure. Cette
procédure nous permet ensuite de fixer le délai de livraison. Pour que Stora Enso soit en mesure de respecter ce
délai, il est nécessaire que les conditions suivantes soient remplies :
 les dessins techniques de chaque élément de construction (cf. « Dessins techniques requis ») doivent nous
avoir été transmis au format « *.dwg » ou « *.dxf » et ils doivent indiquer les informations suivantes :
– numérotation des panneaux
– directions des axes de portée
– épaisseur des panneaux
– ensemble des dimensions (cotes)
– assemblage des panneaux
– qualité des surfaces
– mention de la face visible
 formulaire de commande dûment rempli
 les dessins techniques de chaque panneau ainsi que la liste de facturation qui ont été établis par Stora Enso
doivent avoir été approuvés par le client au moins 12 jours ouvrables avant la livraison ;
 le client ne doit pas exprimer de demande de changements pendant les 12 jours ouvrables précédant la li-
vraison.
Gestion de projet et transport
PROCÉDURE DE COMMANDE 04/2012

Dès réception des documents requis, notre équipe d’ingénieurs CLT commencera la planification définitive de
votre projet de construction.

Une fois les plans élaborés par Stora Enso, ceux-ci vous seront envoyés accompagnés de la liste des panneaux,
de la liste de chargement pour le transport ainsi que de la liste de facturation (liste « EVV »). Nous vous deman-
derons de vérifier l’exactitude des informations contenues dans ces documents et de les avaliser.

Stora Enso commencera la production des panneaux CLT dès réception de ces documents.

Une fois la finition des panneaux CLT terminée, ceux-ci sont acheminés jusqu’à destination conformément aux
délais fixés et selon l’ordre de transport convenu (cf. « Transport »).
Gestion de projet et transport
DESSINS DES PANNEAUX 04/2012

Pour une conception de projet réalisée en trois dimensions, nous sommes en mesure — après consultation préa-
lable de notre département technique CLT (clt.technik@storaenso.com) — de traiter les fichiers aux formats sui-
vants : *.ifc-, *.3d-dwg-, *.3d-dxf- et *.sat (acis).
Si le projet n’est pas réalisé en trois dimensions, vous devrez alors nous faire parvenir les dessins de chaque
élément. Ceux-ci devront comporter les informations suivantes :
 numérotation des panneaux
 sens du fil du pli de surface
 épaisseur des panneaux et type de panneaux (C ou L)
 ensemble des dimensions (cotes)
 assemblage des panneaux
 qualité des surfaces
 position de la surface visible pendant le transport
 indication de la face qui sera tournée vers le haut pendant le transport

Nous vous demandons par ailleurs de bien vouloir nous faire parvenir les dessins des panneaux suffisamment à
l’avance afin de nous permettre de respecter le délai de livraison convenu. Prévoyez de manière générale
20 jours ouvrables entre la réception des plans et la date de livraison.
Le dessin des panneaux devra comporter trois vues (projection orthogonale), chacune des faces représentée
étant clairement indiquée par une désignation correspondante. Voir les exemples de dessins ci-dessous.

Pour les murs


Gestion de projet et transport
DESSINS DES PANNEAUX 04/2012

Pour les plafonds

Nous vous demandons de bien vouloir nous faire parvenir les différents dessins techniques réunis en un seul
fichier de type « *.dwg » ou « *.dxf ».

Il est particulièrement important de veiller à ce que tous les éléments soient nommés et désignés sans la
moindre ambiguïté. De manière à éviter tout problème, nous vous conseillons, pour les projets de construction de
grande taille, de nous faire parvenir les dessins étage par étage.

Il faudra également tenir compte au moment de la réalisation des dessins de l’ordre de chargement des pan-
neaux lors de leur transport (numérotation des panneaux).
Gestion de projet et transport
DIMENSIONS FACTURÉES 04/2012

Longueurs facturées : à partir d’une longueur de production minimum de 8,00 m par largeur de facturation ;
jusqu’à une longueur maximum de 16,00 m (avec progression par incréments de
10 cm).
Largeurs facturées : 2,45 m, 2,75 m, 2,95 m

Exemple 1 15 900 × 2 950 mm

Dimension facturée : 2,95 × 15,90 46,91 m²

Surface nette du panneau : 38,59 m²


Déchets de coupe : 8,32 m²

Dimensions facturée : 46,91 m²

Exemple 2 12 100 × 2 450 mm

Dimension facturée : 2,45 × 12,10 29,65 m²

Surface nette du panneau : 23,58 m²


Déchets de coupe : 6,07 m²

Dimensions facturée : 29,65 m²


Gestion de projet et transport
TRANSPORT 04/2012

Transport en position horizontale


Un camion porteur standard peut transporter une charge maximum de 25 tonnes lorsque les panneaux CLT sont
disposés horizontalement. Les dimensions maximums du chargement sont de 13,60 m de longueur sur 2,95 m
de largeur. Si l’épaisseur des panneaux le permet, un camion porteur standard pourra aussi transporter des pan-
neaux CLT d’une longueur maximale de 16,00 m. Pour calculer le poids de la charge transportée, on partira
d’une masse volumique de 470 kg/m³.

Nous mettons volontiers à votre disposition des équipements spéciaux si l’utilisation de tels matériels s’avère
nécessaire pour le transport des panneaux. Il est important dans ce cas particulier de tenir compte des modifica-
tions que cela entraîne pour les dimensions et le poids maximums du chargement.

Équipement standard Charge max. Longueur max. Largeur max.


Porteur standard 25 t 13,60 m 2,95

Équipements spéciaux Charge max. Longueur max. Largeur max.


Remorque télescopique 22 t 16,00 m 2,95 m
Remorque articulée 22 t 16,00 m 2,95 m
Remorque articulée à roues motrices 20 à 22 t 16,00 m 2,95 m

Une fois chargés, les panneaux CLT en bois massif seront si nécessaire fixés au moyen de courroies métalliques
perforées (trois courroies pour chaque côté) afin d’empêcher que le chargement ne vienne à glisser sur le côté.
Ils seront ensuite recouverts d’une bâche pour camions. Cette protection est nécessaire afin d’éviter que les
panneaux et éléments CLT ne soient exposés aux intempéries. On disposera également entre les panneaux et
les sangles d’arrimage des protections en carton destinées à protéger les arêtes des panneaux.
Les panneaux à face visible (qualité VI) sont recouverts en usine d’un film plastique imperméable aux ultravio-
lets.
Nous disposons systématiquement sur le porteur au moins 8 madriers (75 x 75 mm ou 95 x 95 mm) sur lesquels
vient ensuite reposer la première couche de panneaux CLT. Les couches suivantes sont cependant posées di-
rectement les unes sur les autres.
Si des madriers doivent être disposés entre les panneaux afin d’en faciliter le déchargement avec la grue ou le
chariot élévateur, il faudra songer à le notifier au moment de la commande et fournir également un dessin préci-
sant la disposition des madriers intermédiaires. Ces madriers seront rapportés par le transporteur après déchar-
gement. Ceux-ci vous seront facturés si vous les conservez pour votre propre usage.

Longueur standard : max. 13,60 m ; en porte-à-faux : max. 16,00 m (en fonction de l’épaisseur des panneaux)
max. 2,60 m

max. 4,00 m
1,40 m

madriers disposés sous la première couche


(standard)
madriers supplémentaires (sur demande) ;
pour déchargement avec chariot élévateur
courroies métalliques perforées
Gestion de projet et transport
TRANSPORT 04/2012

Transport en position verticale


Un megatrailer peut transporter une charge maximum de 20 tonnes lorsque les panneaux CLT sont disposés
verticalement. Les dimensions maximums du chargement sont de 13,60 m de longueur sur 3,00 m de hauteur. Il
faudra tenir compte du fait qu’en raison des chevalets de transport, le poids de chargement est plus faible que
pour le transport en position horizontale (environ 40 m³ max., en fonction des dimensions et de l’épaisseur des
panneaux). Pour calculer le poids de la charge transportée, on partira d’une masse volumique de 470 kg/m³.
Chaque remorque doit être équipée d’au moins six chevalets de transport sur lesquels viennent s’appuyer les
panneaux CLT qui sont ensuite fixés au moyen de vis (l’emplacement des vis est indiqué par des marques de
couleur). Ceci fait, les panneaux sont attachés les uns aux autres au moyen de sangles d’arrimage disposées sur
le côté des chevalets de transport. L’ensemble du chargement est ensuite solidement arrimé.
Les panneaux reposent sur des cales destinées à empêcher qu’ils ne glissent ou ne basculent.
Tout comme dans le cas d’un transport en position horizontale, on prendra soin de protéger les panneaux en
disposant des protections en carton entre les sangles d’arrimage et les panneaux CLT.
Si des panneaux à face visible sont transportés verticalement, il se peut que l’on soit alors obligé de les fixer au
moyen de vis de fixation disposées sur la face visible, ceci afin d’assurer la bonne sécurité du chargement.
Ceux-ci vous seront facturés si vous les conservez pour votre propre usage.

max. 13,60 m

max. 2,50 m

chevalet de transport
max.

cale

tapis antidérapant
Gestion de projet et transport
CONDITIONS RELATIVES AU TRANSPORT 04/2012

En ce qui concerne le transport des éléments de construction, le client/contractant s’engage à l’égard de


Stora Enso à respecter les conditions exposées ci-dessous.

1. Le site de construction (chantier) doit pouvoir être accessible par des semi-remorques et des camions-
remorques (porteurs avec remorque). Il faudra également s’assurer que la voie publique permettant l’accès
au chantier puisse être empruntée par des semi-remorques d’une longueur totale d’environ 19 mètres.

2. Les frais liés au transport, de même que les éventuels coûts supplémentaires dus aux temps d’arrêt, de
transbordement ou de manipulation, sont à la charge de l’acheteur. Le prix du transport comprend 3 heures
de temps d’arrêt pour le déchargement. Ceci n’inclut cependant pas les coûts de main-d’œuvre pour le dé-
placement ou le déchargement des marchandises. Chaque quart d’heure supplémentaire entamé sera fac-
turé au prix de 15,00 € (hors taxes) ; ce prix sera de 25,00 € (hors taxes) pour les remorques à essieux di-
rectionnels. Les temps d’arrêt sont consignés par le conducteur du camion et doivent être contresignés par
le(s) personne(s) prenant réception de la marchandise.

3. Si les éléments de construction sont transportés en position horizontale, un chargement ne pourra excéder
soit 40 m³, soit 25 tonnes de panneaux CLT (ceci dépendant du semi-remorque utilisé). L’ordre de charge-
ment des panneaux ne pourra être respecté que dans la mesure où celui-ci n’oblige pas à contrevenir au
code de la route ou aux conditions qui réglementent le transport de marchandises.

4. Les coûts de transport sont calculés en prenant comme référence un semi-remorque standard. Si le lieu de
construction (chantier) n’est accessible qu’au moyen d’un camion-porteur articulé spécial ou de tout autre
véhicule similaire, les coûts additionnels occasionnés seront répercutés sur le client.

5. Le client/contractant peut demander un report de livraison (report habituel de trois jours ouvrables maxi-
mum) ; ce report de livraison n’entraîne pas de coûts supplémentaires si tant est que la demande est dépo-
sée au plus tard dix jours (jours ouvrables) avant la date de livraison. Si la demande de report est déposée
moins de dix jours (jours ouvrables) avant la date de livraison, Stora Enso facturera 100,00 € (hors taxes)
par jour de report pour les frais d’entreposage et de manutention.

6. Les frais de transport s’entendent « port payé jusqu’au lieu de livraison » (CPT ; Carriage Paid To).

7. Si le client fait retirer lui-même la marchandise, il devra veiller à ce que le transporteur soit équipé de tout le
matériel nécessaire et approprié à ce type de transport, de manière à garantir la sécurité non seulement
pendant le transport proprement dit, mais également lors des opérations de chargement et de décharge-
ment de la marchandise. Il faudra dans ce cas aussi tenir compte des éventuels reports de livraison
(cf. point n° 5) et des coûts d’entreposage et de m anutention qui en résultent. Si les équipements de trans-
port ne répondent pas aux exigences requises et qu’il n’est de ce fait pas possible de garantir la parfaite sé-
curité du chargement, la société Stora Enso se réserve dans ce cas le droit de ne pas procéder au charge-
ment de la marchandise.

8. En cas de survenance d’événements imprévus sur lesquels la société Stora Enso n’a aucune influence,
celle-ci est autorisée à repousser en conséquence la livraison des marchandises commandées, et ce même
si lesdits événements et circonstances n’ont qu’une incidence indirecte sur l’exécution de la commande.

Les présentes conditions relatives au transport des panneaux en bois massif


CLT de la société Stora Enso sont un élément essentiel des accords passés avec
le client. Ils constituent donc un critère déterminant pour l’aboutissement de
toute commande.
Gestion de projet et transport
TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012

Texte d’appel à propositions pour les panneaux CLT en bois massif


Les textes d’appel à propositions fournis ci-après constituent des modèles dont on peut s’inspirer, mais qui peu-
vent bien entendu être adaptés (raccourcis ou rallongés notamment) en fonction des besoins. Ces textes se
réfèrent au gros œuvre en panneaux massifs contrecollés et doivent par conséquent être adaptés à chaque
projet de construction. Pour les différentes entrées relatives à la structure des couches et à l’assemblage des
panneaux (organes d’assemblage…), nous vous conseillons d’utiliser les formulations fournies dans la Leis-
tungsbeschreibungen für den Hochbau (Description des prestations pour le secteur du bâtiment) éditée par le
Ministère de l’économie autrichien.

A. Panneaux massifs contrecollés : description générale et spécifications techniques


Les panneaux massifs contrecollés sont des éléments de construction de grandes dimensions composés d’au
moins trois couches en bois massif collées les unes sur les autres et disposées à plis croisés (autrement dit
perpendiculairement les unes par rapport aux autres). En règle générale, ces panneaux sont constitués de 3, 5
ou 7 plis.
Les panneaux massifs contrecollés sont aussi connus sous les appellations CLT (Cross Laminated Timber) et
X-Lam.
Ce produit doit être conforme à une « certification technique générale » (Allgemeine bauaufsichtliche Zulassung
[ABZ]) délivrée par l’Institut allemand des techniques de construction (Deutsches Institut für Bautechnik) ainsi
qu’à un « Agrément technique européen » (ATE).
Le fabricant doit disposer des certificats de conformité requis et être en outre autorisé à apposer le label Ü et le
marquage CE sur ses produits.
L’usine de production doit par ailleurs être en possession d’une autorisation de construction en bois lamellé-
collé conformément à la norme DIN 1052.
La matière première utilisée (bois résineux) doit présenter un taux d’humidité d’environ 12 % et correspondre au
moins à la classe de résistance C24.
L’assemblage des planches doit être réalisé par aboutage à plat.
Les lamelles ainsi obtenues sont ensuite collées chant contre chant afin d’obtenir des plaques monocouches (et
ce pour des raisons liés à l’assemblage, aux questions statiques et à la physique des constructions).
L’assemblage de planches simplement disposées bout à bout ne peut en aucun cas être employé pour réaliser
des couches de surface ou des plis intérieurs. Le fabricant doit en outre pouvoir présenter pour le produit en
question les certificats d’essai attestant de son étanchéité à l’air.
Le collage des joints à entures multiples, des plaques monocouches (collage des planches chant contre chant)
et des couches disposées à plis croisés pour obtenir des panneaux à plusieurs plis doit être réalisé en utilisant
des colles sans formaldéhyde.
La surface des panneaux doit être poncée — quelle que soit le type de qualité (non visible, visible industrie ou
visible habitat) — et les panneaux doivent être classés sur la base des critères fixés par Stora Enso.
La construction doit répondre exclusivement aux exigences qui s’appliquent aux panneaux massifs contrecollés
(jusqu’au format de panneau maximum de 2,95 m sur 16,00 m). Le respect de ces exigences permet d’une part
d’obtenir des plaques murales de raidissement, des platelage de plafond et des plaques de patelage extrême-
ment résistants, et d’autre part de pouvoir limiter au minimum nécessaire le nombre de joints d’assemblage.

Produit proposé
Les panneaux CLT doivent être conformes à la « Certification technique générale Z-9.1-559 » délivrée par
l’Institut allemand des techniques de construction (Deutsches Institut für Bautechnik) ainsi qu’à l’Agrément
technique européen ATE-08/0271.
Gestion de projet et transport
TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012

Fabricant Stora Enso WP Bad St. Leonhard GesmbH Stora Enso Wood Products GmbH
Wisperndorf 4 Bahnhofstraße 31
AT-9462 Bad St. Leonhard AT-3370 Ybbs/Donau
Tél. : +43 (0) 4350 2301-3207 Tél. : +43 (0) 4350 2301-3207
Fax : +43 (0) 2826 7001 88-3207 Fax : +43 (0) 2826 7001 88-3207
Courriel : clt.info@storaenso.com Courriel : clt.info@storaenso.com
www.clt.info www.clt.info

B. Informations générales

Panneaux
Les panneaux ne subissent aucun traitement (couche de peinture, produit de protection du bois…) au moment
de leur fabrication.
Les qualités de surface disponibles sont les suivantes :
 qualité visible — VI [visible d’un seul côté] ou BVI [visible des deux côtés]
 qualité visible industrie — IVI [qualité visible industrie sur un seul côté et qualité visible sur un seul côté]
 qualité non visible industrie — INV [qualité visible industrie sur un seul côté, qualité non visible sur un
seul côté]
 qualité non visible — NVI [sur les deux côtés]

Construction et statique
L’orientation des couches de surface des panneaux doit s’effectuer en tenant compte de la capacité de réparti-
tion des charges et des calculs statiques réalisés.

Transport et assemblage
Les panneaux doivent impérativement être protégés de l’action directe des intempéries, aussi bien pendant leur
transport que pendant les travaux d’assemblage ou la phase de gros œuvre. On veillera plus particulièrement à
éviter toute tache d’humidité ou tout défaut esthétique lorsque les panneaux sont utilisés comme éléments vi-
sibles. Une brève exposition à l’eau ou à l’humidité n’a toutefois aucune incidence sur la fonction technique des
panneaux. On prendra soin par ailleurs de recouvrir le gros œuvre de bâches ou de films plastique tant que les
éléments de construction n’ont pas encore été rendus imperméables.
L’entreprise de construction est tenue de s’informer sur les configurations des lieux (possibilités d’accès, em-
placement de la grue, etc.) afin de pouvoir procéder comme il se doit aux opérations de livraison et de montage
des panneaux en bois massif.
Le déplacement des panneaux CLT s’effectue au moyen d’un engin de levage qui sera fourni soit par le client,
soit par l’entreprise contractante. Lors du déchargement, les panneaux muraux seront normalement pourvus de
deux points d’ancrage et les éléments de plafond de quatre points d’ancrage. Ces points d’ancrage seront choi-
sis en tenant compte du poids de chaque panneau et de sa position pendant le transport. N’utiliser que des
suspensions, chaînes ou accessoires d’élingage en parfait état et disposant d’une capacité de charge suffi-
sante. Les crochets de levage devront être équipés d’un linguet de sécurité.
On veillera à s’assurer de la bonne stabilité de la grue pendant toute la phase de construction.
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TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012

Assemblages
L’assemblage standard recommandé est soit un assemblage avec planche-joint et feuillure des deux côtés, soit
un assemblage en nez-de-marche.
Les organes d’assemblage pouvant être utilisés sont les clous, les vis à bois (principalement des vis à bois
autoforeuses), les boulons (tourillons), les chevilles ainsi que les chevilles et broches spéciales, en conformité
avec les certifications. Les organes d’assemblage doivent être disposés de manière à respecter les exigences
constructives et statiques.
Les joints doivent quant à eux être étanches à l’air et au vent (utiliser par exemple des bandes d’étanchéité
Compriband, des bandes en caoutchouc cellulaire, des bandes d’étanchéité Bytil, etc.).
Bases et semelles :
Les panneaux CLT en bois massif doivent être protégés des remontées d’humidité là où ils sont en contact
avec le béton, la maçonnerie, etc. Il faudra, avant le début des travaux, s’assurer que la dalle de plancher ne
présente pas d’irrégularités. Si elle n’est pas entièrement plane, il faudra l’égaliser en compensant les diffé-
rences de niveau au moyen d’éléments de calage ou de semelles. Si les panneaux ne peuvent pas reposer par-
faitement à plat sur le sol, il sera alors nécessaire d’égaliser la surface du socle, par exemple avec du mortier
fluidifié.

Installations techniques
Nous recommandons, dans toute la mesure du possible, de faire réaliser les ouvertures techniques en usine.
Pour le cas où celles-ci seraient réalisées (en partie ou en totalité) par le maître d’ouvrage, on veillera alors à ce
qu’en aucun cas les propriétés statiques des couches longitudinales des panneaux CLT sur lesquelles se répar-
tissent les charges ne soient affaiblies par les coupes ou les fraisages transversaux.
Si, pour certaines installations techniques, le maître d’ouvrage confie la réalisation de fraisages à des artisans
ou techniciens spécialisés, il sera tenu d’effectuer les contrôles qui s’imposent afin de s’assurer que les proprié-
tés statiques des éléments importants des structures ne pas affaiblies.

Calculs
Les prix calculés pour chaque entrée doivent intégrer les paramètres suivants :
 la totalité des petites pièces et accessoires divers tels que les organes d’assemblage, les planches de
jointure (ou planches-joint), les pièces de bois employées comme semelles ou encore les bandes
d’étanchéité à l’air et les bandes d’insonorisation ;
 l’ensemble des coûts relatifs à l’utilisation de la grue et autres engins de levage ;
 l’ensemble des équipements, accessoires et structures auxiliaires nécessaires pour le montage des
panneaux ;
 les protections utilisées pendant le montage pour préserver les panneaux des intempéries ;
 les protections pouvant s’avérer nécessaires pour protéger les surfaces visibles une fois le montage ef-
fectué (panneaux en fibres tendres, bandes de feutre, films en mousse, etc.).

Remarque
Pour les panneaux CLT, la facturation par le fabricant vis-à-vis du contractant s’effectue sur la base du quadrila-
tère circonscrit (chutes et découpures comprises), la dimension de référence étant la largeur de facturation (ou
largeur facturée).
Longueurs facturées : à partir d’une longueur de production minimum de 8,00 m par largeur de facturation ;
jusqu’à une longueur maximum de 16,00 m (avec progression par incréments de 10 cm).
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TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012

Largeurs facturées : 245, 275 et 295 cm pour les murs et les plafonds.

Conformément aux termes de l’appel à proposition, la facturation par le contractant à l’égard du donneur d’ordre
s’effectue selon les règles communément appliquées pour les murs, les plafonds et les toitures (surmesures ou
déduction de certaines ouvertures, de pignons, etc.).

C. Exemples de formulation pour les entrées de l’appel à propositions

Panneaux muraux
Découpage des panneaux muraux (y compris les ouvertures de portes et de fenêtres, les encoches, les feuil-
lures, etc.), livraison et assemblage sur la substructure. Les calculs doivent inclure les matériels d’assemblage
et d’étanchéification ainsi que les planches-joint qui pourraient éventuellement être nécessaires (par exemple
des lames de panneau découpées dans des panneaux à trois plis ou des panneaux similaires).

Panneaux massifs contrecollés

Essence : épicéa
Surface : lisse, poncée sur les deux faces
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI), qualité visible industrie ou qualité visible habitat (VI, vi-
sible d’un seul côté)
Structure : chaque panneau est composé de plaques monocouche disposées les unes sur
les autres de manière continue sur toute la longueur du panneau

Produit recommandé : CLT – Cross Laminated Timber selon Z-9.1-559 et ETA-08/0271


Fabricant : Stora Enso WP Bad St. Leonhard GesmbH ou
Stora Enso Wood Products GmbH

Entrée n° 01 :

Panneau mural CLT 100 C3s

Nombre : 1
Épaisseur du panneau : 100 mm, 3 plis encollés, couche de surface disposée verticalement
Hauteur et longueur du panneau : 2,95 m × 9,40 m
Forme des panneaux : les hauteurs peuvent être identiques ou différentes
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI)
Nombres des ouvertures < 1,5 m², au nombre de 2
Nombres des ouvertures > 1,5 m², au nombre de 3

Main d’œuvre ………………….

Divers ………………….

………. m² Prix unitaire …………………. Total ………………….

Produit proposé : ……………………………………………………..


Fabricant : ……………………………………………………..
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TEXTE D’APPEL À PROPOSITIONS 04/2012

Dalles de plancher et panneaux de toiture


Découpage des dalles de plancher et des panneaux de toiture (y compris les ouvertures, les encoches, les
feuillures, etc.), livraison et assemblage sur la substructure. Les calculs doivent inclure les matériels
d’assemblage et d’étanchéification ainsi que les planches-joint qui pourraient éventuellement être nécessaires
(par exemple des lames de panneau découpées dans des panneaux à trois plis ou des panneaux similaires).

Panneaux massifs contrecollés

Essence : épicéa
Surface : lisse, poncée sur les deux faces
Qualité des surfaces : qualité non visible (NVI), qualité visible industrie ou qualité visible habitat (VI, vi-
sible d’un seul côté)
Structure : chaque panneau est composé de plaques monocouche disposées les unes sur
les autres de manière continue sur toute la longueur du panneau

Produit recommandé : CLT – Cross Laminated Timber selon Z-9.1-559 et ETA-08/0271


Fabricant : Stora Enso WP Bad St. Leonhard GesmbH ou
Stora Enso Wood Products GmbH

Entrée n° 2 :

Dalle de plancher ou panneau de toiture CLT 180 L5s

Nombre : 1
Épaisseur du panneau : 180 mm, 5 plis encollés, couche de surface disposée longitudinalement
Largeur de panneau : 2,75 m
Longueur de panneau : 11,20 m
Forme de base : rectangulaire

Nombres des ouvertures < 1,5 m², au nombre de 2


Nombres des ouvertures > 1,5 m², au nombre de 3

Main d’œuvre ………………….

Divers ………………….

………. m² Prix unitaire …………………. Total ………………….

Produit proposé : ……………………………………………………...


Fabricant : ……………………………………………………...
Découpe
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

Nous vous fournissons ici un récapitulatif des différents usinages qu’il est possible de réaliser avec notre centre
d’usinage à portique PBA (marque Hundegger).
Les différentes possibilités de découpe et d’usinage exposées ici couvrent une bonne partie des opérations les
plus couramment réalisées. Pour tout usinage particulier, veuillez consulter le service de production qui évaluera
votre demande et décidera de sa faisabilité.

Possibilités d’usinage offertes par le centre d’usinage à portique PBA

Remarque : Il faut savoir de manière générale que tout travail de découpe ou de fraisage ne peut être effectué
que sur un seul côté du panneau, en l’occurrence sur sa face supérieure.
Il est toutefois possible — sur demande uniquement — de réaliser ces types d’usinage sur les deux cô-
tés du panneau. Il est donc bien entendu nécessaire dans ce cas retourner le panneau.

Remarque : L’illustration (ci-dessous à droite) donne un exemple de plusieurs panneaux qui sont découpés puis
usinés individuellement dans un seul et même panneau brut.

Panneau 1

Impossible d’effectuer un usinage des arêtes


(feuillure inférieure, gorge ou trou de forage
horizontal par exemple).
Panneau 2

Panneau 3

Dans ce cas, il est également possible de


réaliser des feuillures sur la face inférieure du
panneau. En effet, l’outil d’usinage est capable
d’accéder à ce panneau-ci depuis le bord
externe du panneau brut.

Panneau 4
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

a) Ouvertures de portes et de fenêtres


Outils utilisés :

 scie circulaire
 scie à chaîne
 défonceuse

Remarque :
Pour les panneaux à surface visible (VI), les découpes effec-
tuées dans les angles sont faites en utilisant non pas la scie à
chaîne (le risque qu’elle ne glisse en cours d’exécution est en
effet trop important ; risque également de projections d’huile),
mais la défonceuse (d’où un rayon d’angle d’au moins
20 mm ; pour les panneaux d’une épaisseur supérieure à
160 mm, celui-ci devra être d’au moins 40 mm).

Angles arrondis sur les panneaux Angles vifs sur les panneaux
VI NVI et IVI

b) Adents (évidements) pour pannes, chevrons et entraits

Outils utilisés :

 scie à chaîne pour les panneaux NVI et IVI

 défonceuse pour les panneaux VI

Remarque :
Pour les adents (évidements) de pannes, chevrons et entraits,
les angles peuvent être réalisés au moyen d’une scie à
chaîne, ce qui peut entraîner des défauts esthétiques du fait
des entailles de coupe.
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

c) Découpe pour empannons

Outils utilisés :

 scie circulaire
 scie à chaîne
 défonceuse

Remarque :
Dans le cas de détails particulièrement compliqués, il peut
s’avérer nécessaire de retravailler les angles manuellement
avec la scie à chaîne.
Il s’agit là d’un aspect non négligeable dont il faut particuliè-
rement tenir compte pour les panneaux VI.

d) Fraisage de gorges et de feuillures

Outils utilisés :

 fraise cylindrique 3 axes

Remarque :
Fraise cylindrique : h = 12 mm largeur de feuillure max. : 100 mm
Fraise cylindrique : h = 27 mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 40 mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 120 mm largeur de feuillure max. : 120 mm

d 1) Feuillures simples

Outils utilisés :

 fraise cylindrique
 défonceuse
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

d 2) Feuillures doubles

Outils utilisés :

 fraise cylindrique 3 axes

Remarque :
Les feuillures se trouvant sur la face supérieure du panneau
peuvent être réalisées dans toutes les largeurs et hauteurs
désirées.
Le fraisage de feuillures se trouvant sur la face inférieure du
panneau dépend en revanche de l’outil employé. Ces feuil-
lures doivent cependant présenter une hauteur minimum de
12 mm.

d 3) Fraisage de gorges ou de saignées

Outils utilisés :

 fraise cylindrique 3 axes

Remarque :
Fraise cylindrique : h = 12mm largeur de feuillure max. : 100 mm
Fraise cylindrique : h = 27mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 40mm largeur de feuillure max. : 80 mm
Fraise cylindrique : h = 120mm largeur de feuillure max. : 120 mm

d 4) Renfoncements
Outils utilisés :

 fraise cylindrique
 défonceuse (diamètre : 40 mm)

Remarque :
Pour réaliser les renfoncements de feuillures, on utilise la
fraise cylindrique pour fraiser jusqu’à l’emplacement désiré.
La finition de l’angle est ensuite terminée au moyen de la
fraise cylin- défonceuse (diamètre : 40 mm). On obtient un arrondi de
défonceuse (rayon :
drique 20 mm de rayon.
20 mm)
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

e) Pas de chevrons

Outils utilisés :

 fraise cylindrique 5 axes

f) Usinage d’escaliers ou d’éléments similaires

Outils utilisés :

 défonceuse
 fraise cylindrique

Remarque :
Si l’on utilise une fraise cylindrique, celle-ci devra commencer
l’usinage latéralement au niveau du bord de la pièce à usiner. Les
défonceuses peuvent en revanche travailler directement du haut
vers le bas.

g) Trous circulaires

Outils utilisés :

 défonceuse (diamètre : 40 / 80 mm)

Remarque :
Plus petit diamètre de trou circulaire : 45 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 40 mm : 160 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 80 mm : 300 mm

ATTENTION ! La défonceuse de diamètre 40 mm et 80 mm ne permet pas de réaliser des trous de forage


dont le diamètre serait exactement de 40 mm et 80 mm. En effet, du fait de la chaleur générée et du mou-
vement de la défonceuse, les trous de forage présentent un diamètre un peu plus large. On veillera donc
lors de la conception à prévoir 5 mm de plus qui seront rajoutés aux 40 et 80 mm.
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

h) Évidements
Outils utilisés :

 foret ; d = 8 / 10 / 20 / 22 / 30 / 35 mm

i) Canalisations pour conduites électriques

Outils utilisés :

 défonceuse (diamètre : 40 / 80 mm)

Remarque :
Il faut impérativement tenir compte dès la phase de concep-
tion des possibles fragilisations statiques que peuvent entraî-
ner les fraisures, les découpes, etc.

j) Trous de forage horizontaux (réalisables uniquement sur PBA 2)

Outils utilisés :

 foret (diamètre : 28 mm)

Remarque :
Profondeur maximum de fraisage : 1 500 mm
Distance minimum entre le centre de deux forures horizontales
contiguës : 50 mm. Attention ! Pas de forures qui s’imbriquent
l’une dans l’autre !
Les forures horizontales ne peuvent être réalisées que sur
l’arête longitudinale d’un panneau.

k) Usinage de formes libres


Outils utilisés :

 défonceuse (diamètre : 40 / 80 mm)

Remarque :
Profondeur de fraisage max. pour d = 40 mm : 160 mm
Profondeur de fraisage max. pour d = 80 mm : 300 mm
Découpe
CLT – CROSS LAMINATED TIMBER 04/2012

l) Fraisage de trous borgnes – renfoncements


Outils utilisés :

 défonceuse (diamètre : 40 / 80 mm)

Remarque :
De manière générale, ce type d’usinage est possible sans
aucune restriction sur la face supérieure du panneau.
Il n’est pas possible de réaliser des angles vifs, car le frai-
sage des trous borgnes est effectué au moyen d’une défon-
ceuse.

m) Joints de plafond VI

Outils utilisés :

 rabot à chanfreiner (rabot manuel)

Remarque :
Sur la face visible des panneaux VI, les arêtes des joints sont
chanfreinées à la main (chanfrein de 2 × 2 mm).

n) Joints de plafond spéciaux

Outils utilisés :

 scie circulaire
 fraise cylindrique

Remarque :
Cette solution est parfois utilisée pour les joints de plafond
visibles lorsque les lambourdes de plancher se trouvent sur le
même plan que le plafond et que les panneaux sont supportés
par une poutre en I.
Bâtiments de référence
Bâtiments de référence
JUNGLINSTER (LUXEMBOURG). Environ 450 m³ de CLT 04/2012

Maison individuelle
Bâtiments de référence
SISTRANS (AUTRICHE). Environ 150 m³ de CLT 04/2012

Maison individuelle
Bâtiments de référence
ST. THOMAS/BLASENSTEIN (AUTRICHE). Environ 110 m³ de CLT 0 4/2012

Maison individuelle
Bâtiments de référence
WIEN (AUTRICHE). Environ 40 m³ de CLT 04/2012

Maison individuelle
Bâtiments de référence
ÜBELBACH (AUTRICHE). Environ 163 m³ de CLT 04/2012

École maternelle

.
Bâtiments de référence
YBBS (AUTRICHE). Environ 120 m³ de CLT 04/2012

École primaire

Ybbs (AT). Ca. 120 m³ CLT.


Bâtiments de référence
LINZ (AUTRICHE). Environ 113 m³ de CLT 04/2012

Établissement d’éducation spécialisée


Bâtiments de référence
BAD ST. LEONHARD (AUTRICHE). Environ 150 m³ de CLT 04/2012

Immeuble de bureaux

.
Bâtiments de référence
GEMEINLEBARN (AUTRICHE). Environ 370 m³ de CLT 04/2012

Immeuble d’habitation
Bâtiments de référence
LONDRES (ROYAUME-UNI). Environ 1 300 m³ de CLT 04/2012

Immeuble d’habitation

Londres (Royaume-Uni). Environ 1 300 m³ de CLT.


Note

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