HAMANI Marwan

10 janvier 2500

je me préparais, pour embarquer dans la navette spatiale le 10 janvier 2500, après deux ans
d’entraînement. Le motif de mon voyage était simple. Je voulais aller sur la planète Saturne.
Personne n’avait encore réussit à visiter cette planète. Je m’étais lancé un défi. Allais-je revenir
vivant? Dans cette aventure je ne partais pas seul, pour cette expédition allait m’accompagner un
astronaute réputé. Je voulais observer la planète et tout savoir de ses habitants. Je décollais avec
mon compagnon ce fameux 10 janvier à 13h00 de Cap Canaveral en Floride (USA).
Nous atterrîmes le 12 janvier à 14h00.Malheureusement, nous ne pouvions être deux sur ce sol. Je
descendis, livré à moi-même.
Quand je descendis de la navette spatiale, j’étais très surpris! Je restais bouche bée! Aucune maison
aucune voiture. En revanche, j’étais impressionné, je pouvais embrasser du regard cet endroit
magique. C’était un spectacle de végétation coloré. J’étais admiratif, cette vision de couleur et de
forme me fascinait. Pour border la planète des arbres comme la pitaya, le litchi,le pommier le
poirier le cerisier,l’oranger et le citronnier. Je m’approchais de ces arbres, un parfum délicat et
subtile me chatouilla les narines, il se répandait une odeur de fruits et de fleurs. Je m’approchais
pour caresser les fruits, ils étaient doux et satinés. Quel fut mon étonnement de croquer une pomme
qui n’avait pas le goût de pomme mais un goût de vanille, je gouttais une cerise au goût de noisette!
Soudain, j’entendis comme un roulement de tambour. Le sol se mit à vibrer. Sur ma droite retentit
une musique harmonieuse. Je vis apparaître de petits bonhommes vert aux yeux bleus. Il exhalait
d’eux un parfum qui me rappela le goût du caramel. Je n’avais pas peur. L’un d’entre eux se mit à
me parler, je le comprenais. Il me proposa de le suivre et nous arrivâmes sur la partie de la planète
ou se trouvait des animaux que je ne connaissais pas. Les éléphants comme chez nous avaient une
trompe mais leurs oreilles avaient la formes d’oreille de lapin. Le lion était aussi petit qu’une
souris. Il me proposèrent de partager leur repas et même de rester quelques jours...Mais le temps
m’était compté, je devais repartir. Je promis aux habitants de revenir très vite. Je suis revenu vivant
et je me demandais qui pourrait croire à cette extraordinaire et trop courte aventure.

15/20 Ton texte n’est pas trop mal écrit. Tu as fourni un effort afin d’employer un vocabulaire
varié, cependant ta description mériterait d’être approfondie encore un peu. Essaye également de
rédiger des phrases courtes.
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