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Jacques Dutronc, Les cactus

Jacques Dutronc parle des gens dans le monde1 qui sont parfois méchants et faux.

Le monde entier est un cactus le monde entier = die ganze Welt


Il est impossible de s'asseoir impossible = unmöglich, s’asseoir = sich setzen
Dans la vie, il y a des cactus dans la vie = im Leben
Moi, je me pique de le savoir piquer = piksen ; se piquer = sich brüsten
de le savoir = es zu wissen
Aïe-aïe!
Ouille!
Aïe!

Dans _____________ coeurs, il y a des cactus le coeur = das Herz

Dans _____________ portefeuilles, il y a des cactus le portefeuille = das Portemonnaie


Sous _____________ pieds, il y a des cactus sous = unter

Dans _____________ gilets, il y a des cactus

Pour me défendre de _____________ cactus pour = um zu ; se défendre = sich verteidigen

À mon tour, j'ai pris des cactus à mon tour = meinerseits ; pris = genommen

Dans _____________ lit, j'ai mis des cactus le lit = das Bett ; mis = gelegt

Dans _____________ slip, j'ai mis des cactus

Dans _____________ sourires, il y a des cactus le sourire = das Lächeln

Dans _____________ ventres, il y a des cactus le ventre = der Bauch

Dans _____________ bonjours, il y a des cactus


Dans _____________ cactus, il y a des cactus

1
parler de = sprechen von ; parler des (de + les) gens = von den Leuten sprechen
À mon père et ma mère Songtext
J′ai un père et j'ai une mère
Que j′appelle papa et maman
Mais moi, dans mon vocabulaire
Ils sont bien plus que mes parents
Ils sont le ciel et la terre
Et moi, cet arbre grandissant
Qui a besoin d'leur soleil, d'leur lumière
Pour être fort, pour être grand
Ils sont la nuit et le jour
Et moi, le fruit de leurs saisons
J′porte les couleurs de leur amour
De leur visage
Et de leur nom
À mon père et ma mère
Je n′ai pu faire qu'une chanson
Pour dire à quel point je suis fier de vous
Toute mon admiration
À tous les pères de la Terre
À toutes les mères qui entendront
Ma chanson comme une prière
Comme mille voix qui disent
Nous vous aimons
J′ai un père et j'ai une mère
Que j′appelle souvent par leur prénom
Pour moi, c'est Jean-Pierre et puis Claire
Pour vous, c′est p't-être Lise et Gaston
Ils sont le feu et l'air
Ils se consument avec passion
Peut importe le millénaire
Les flammes dans leurs yeux
Brûleront
À mon père et ma mère
Je n′ai pu faire qu′une chanson
Pour dire à quel point je suis fier de vous
Toute mon admiration
À tous les pères de la Terre
À toutes les mères qui entendront
Ma chanson comme une prière
Comme mille voix qui disent
Nous vous aimons
Nous vous aimons
Ils marchent loin de leur jeunesse
Bien sûr, un jour, ils partiront
Avec l'espoir comme seule promesse
Que dans nos coeurs
Ils reviendront
À mon père et ma mère
Je n′ai pu faire qu'une chanson
Pour dire à quel point je suis fier de vous
Toute mon admiration
Tout c′que vous avez pu faire
Sacrifier rêves et passions
C'que vous avez laissé derrière
À quel prix et à quel nom
À tous les pères de la Terre
À toutes les mères qui entendront
Ma chanson comme une prière
Comme mille voix qui disent
Nous vous aimons
Nous vous aimons

Nous contre eux, Stress


C'est ma voix contre leurs lois, leur fric contre ma foie, leur flic sur ma voie, ma clique se
déploie. Mes mains, leurs menottes, a compté les minutes et je les entends dire: on va dompter
ces petites putes. Leur système ma cage, résister ma tâche. Sans hésiter c'est leur règles contre
ma rage. Leurs barrières, mes rêves, ma carrière contre leurs règles, mes rimes contre leurs
crimes, je rame pour qu'ils crament. Ma vie, leur code barre, mon succès, leur cauchemar, mon
"je peux l'faire" contre leur "mec c'est trop tard". Mon Bic (stylo) contre leur flingue, ma zik
dans leur seringue, mon bon, leur mauvais, mais rien ne les distingue.

Refrain: Vas-y, vas-y, menotte mes droits. Vas-y, vas-y, applique ta loi. Vas-y, vas-y, tu sais
bien qu'on rase tout avant qu'nos vies se consument. Brûle, oh brûle, que leur république brûle,
on rase tout, casse tout, on recommence tout. Brûle, oh brûle, que leur système brûle, on rase
tout avant qu'nos vies se consument. Libre, c'est ainsi que je veux vivre et je crie pour éviter que
je vrille.

Mes mains dans ma merde, mes pieds dans leur merde, mes yeux dans le vide, ma tête dans leur
cible, nos drames, leurs faits divers, leurs femmes me dévorent, leur came, nos dealers, leurs
armes, nos tireurs. Mes potes, leur banditisme, mon voc, leur terrorisme. Tout ce que j'veux c'est
être libre, je fais pas dans l'héroïsme. Ma zik, leurs jugements, nique tout même leurs juments, et
quand sa pète c'était pas moi, mais mon jumeau. Mes échecs, leurs statistiques, je peux les
entendre rire. Pour eux, on n'est pas capable du meilleur et pas vraiment du pire. Pour eux mon
futur c'est leur système social mais mon nom est sur les murs, le leur sur une pierre tombale.

Refrain (2x)

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