plus de deux ans abandonné la chambre conjugaie pour rejoindre ceile des enfants

(cf. pièce
n°5);
Qu'il est constant que le fait pour dame MAKOU TALLA de refuser de dormir avec son
mari,
a pour corollaire la non consommation du mariage. Toute chose qui ne favorise plus
le
maintien du lien matrimonial ;
Que le requérant est dès lors fondé à solliciter le divorce pour ce motif;
3. SUR L'INCONDUITE NOTOIRE DE DAME MAKOU TALLA SANDRINE
Attendu que le requérant a cu la faiblesse de croire qu'en trouvant du travail à
son épouse, il
contribuait à faire participer celle-ci aux différentes charges du ménage et autres
éducation.
bien- être et épanouissement des enfants ;
Que c'était sans compter sur les intentions cachées de dame MAKOU qui, estimant que
son
niveau de vie avait changé, a cru devoir cocufier son époux sans aucune pudeur ;
Que cette dernière ne cachait plus ses multipies relations adultérines, au point où
les enfants
du couples en ont été affectés ;
Que les quelques prises de vue et transcriptions des communications de dame MAKOU
TALLA sont assez édifiantes sur sa vie sexuelle agitée (pièce n° 6 et n° 7) ;
Que le requérant est d'ailleurs tombé des nues quand sa propre fille lui a indiqué
que sa
« maman préfère papa Achille pour se marier » (cf.pièce n°6);
Que le nommé Achille n'est en réalité que l'un des nombreux amants de dame MAKOU
qui
ne cachait même plus à son mari son intention de divorcer (cf. pièce n° 6) ;
Que ces quelques éléments traduisent l'inconduite dans laquelle excelle dame MAKOU
depuis qu'elle a trouvé le travail à la SNH. Toute chose ne favorisant plus le
maintien du lien
conjugal;
4.SUR LES INJURES ET AUTRES SEVICES SUBIS PAR LE REQUERANT ET
CERTAINS MEMBRES DE SA FAMILLE
Attendu que le caractère timide et peureux du requérant a favorisé une audace
certaine de la
part de son épouse, qui à la moindre situation ne se prive pas d'aller aux mains
avec son
mari;
Qu'aussi curieux que cela puisse paraitre, dame MAKOU de part son caractère violent
inflige
très souvent des bastonnades à son mari ;
Que la seule fois où ce dernier a eu le courage d'aller à l'hôpital, à la suite des
sévices subis
de la part de son épouse, il lui a été diagnostiqué une luxation à l'épaule avec
une IPP de 3
scmaines (pièce n°8);