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MATHÉMATIQUES
Section : Sciences Techniques
Session principale 2021

Exercice 1 :

Question 1) 2) 3) 4)
Réponse exacte c) a) c) b)

Exercice 2 :
2x
1) a) x
lim f x x
lim 2x 1e
f x 1 2x
lim lim 2 e donc ζ admet au voisinage de ( )
x
x x
x
une branche parabolique de direction celle de la droite de ordonnées.
2x 1 1
b) lim f x lim 2x 1 e lim 0
x x x e2x e2x
( )
2x
2x
2) a) Pour tout réel x, f ' x 2e 2e 2 x 2x 1 4xe 2 x
b)
x − 0 +
_
f ' x +
1
f

− 0

c) f est deux fois dérivable sur IR et on a :


f '' x 4xe 2 x 4 e 2 x 2xe 2 x 4e 2x
2x 1
1
La dérivée seconde de f s’annule en et en changeant de signe donc le point
2
1 1 1 2
,f c’est-à-dire I , est un point d’inflexion de ζ .
2 2 2 e
1 1 1 2 1 2
d) T : y = f ' x- +f d’où T : y x
2 2 2 e 2 e
1
par suite T : y 2x 3
e

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e)

3) a) g est continue et strictement décroissante sur 0,+ donc elle admet une
fonction réciproque g 1 définie sur J g 0, 0, 1 .
b)

4) a) F x x 1 e 2x .
F est dérivable sur IR et on a :
F' x e 2x 2 x 1 e 2x 2x 1 e 2 x f x , par suite F est donc une
primitive de f sur IR.
b) Par raison de symétrie par rapport à la première bissectrice, l’aire de domaine
du plan donné est égale à l’aire du domaine limité par : la courbe de g et
2
les droites d’équations : x = 0, y = 1 et y
e
1
 2  2 
1
A =  2 g ( x ) dx =  2 g ( x ) dx =   f ( x ) −  dx = F ( x ) − x 
1 1 2
2

e e
0
 e  e  0

1 1 2e − 5
= F   − − F ( 0) = u.a
2 e 2e

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Exercice 3 :
1 1 2
1) AB 2 et AC 0 donc AB AC 1 0
0 1 2
Par suite, les points A, B et C déterminent un plan P.
2) a) Le vecteur AB AC est orthogonal à chacun des vecteurs AB et AC
et comme N AB AC alors ce vecteur est aussi orthogonal à AB et AC
b) D’après la question précédente, N est un vecteur normal à P, donc
P : 2x y 2z d 0 et comme C 0, 0, 2 P alors 4 d 0 d’où
P : 2x y 2z 4 0 .
3) a) On a : 2x0 – 0 + 2x1 – 4 = - 2  0 donc E(0, 0, 1)P.
4 2 13 36 4 2 13
b) On a : 2 2 4 4 0 donc H , , P.
9 9 9 9 9 9 9
4
9
2 2
De plus EH N alors EH est perpendiculaire au plan P en H,
9 9
4
9
c’est-à-dire que H est le projeté orthogonal de E sur le plan P.
c) Déjà H  P .
4
9
2 4 4
CH donc CH.AB 0 0 Par suite CH AB
9 9 9
5
9
4
9
16 4 4
BH donc BH.AC 0 0 Par suite BH AC
9 9 9
4
9
Conclusion : Le point H est l’orthocentre du triangle ABC.
2 2 2
4) a) M x, y, z S sig x 2 y 2 z 2 2z 0 sig x 0 y 0 z 1 1
Par suite S est la sphère de centre E et de rayon 1.

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2 2
b) d E,P 1 donc S et P se coupent suivant un cercle () de
4 1 4 3
2
2 2 5
centre H projeté orthogonal de E sur P et de rayon 1
3 3
2 2 2
4 2 13 25 4 16 5
c) HA 1 0 1 donc A()
9 9 9 81 81 81 3
2 2 2
4 2 13 16 4 25 5
HC 0 0 2 donc C()
9 9 9 81 81 81 3
d) Appelons Q le plan médiateur du segment AC .
On a : HA HC donc H Q .
A et C sont deux points de () = SP donc ces deux points sont sur la sphère
S de centre E et par suite EA EC donc E Q .
On vérifie aussi que BA BC 5 donc B Q .
Comme E P alors B, E et H ne sont pas alignés.
On peut conclure que Q EHB .

Exercice 4 :
2
I) 1) 1 i 3 1 2i 3 3 2 2i 3 .
2) 2z 2 4i 3z 5 i 3 0.
2
Δ' 12 2 5 i 3 2 2i 3 1 i 3 .
2i 3 1 i 3 1 3i 3 2i 3 1 i 3 1 i 3
z1 et z 2 .
2 2 2 2
SC = z1 , z2
1 i 3 iπ 1 3 i 2π
II) 1) z A 3
e et z C 1 i 3 2 i 2e 3 .
2 2 2
2) a) OA 1 donc A ζ1 et OC = 2 donc C ζ 2 .
1 i 3 1 3i 3
b) ZOA et ZCB ZB ZC 1 i 3 ZOA
2 2
donc le quadrilatère OABC est un parallélogramme.

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c)

i 2π iπ
ZAC 2e 3 e3 iπ
3) 2e 3 1 1 i 3 1 i 3 iIR .
ZOA iπ
e3
Donc AC (OA) et comme OA est un rayon du cercle ζ 1 donc AC est
tangente à ζ 1 en A.
3 3 3 3
4) a) H Δ 2 donc Im ZH Im ZB et par suite ZH x i où xIR.
2 2
arg ZIH iπ iπ
b) ZIH ZH 1 IH e IH e 3 donc ZH 1 r e 3 avec r = IH
3 3 1 3
c) D’après les deux questions précédentes, x i 1 r i et par
2 2 2
identification :
r 3
5 3i 3
3 5 d’où ZH .
x 1 2
2 2
Remarque :
On peut trouver les coordonnées de H de la manière suivante :
Δ1 et (OA) sont perpendiculaires à (AC° donc elles sont parallèles et par suite
π
Δ1 : y tan x b 3x b et comme I 1,0 Δ1 alors Δ1 : y 3x 3.
3
3 3
Δ 2 est la parallèle à la droite réelle passant par le point B et comme y B alors
2
3 3
Δ2 : y .
2
3 3
y
2 5 3 3
Par suite, H x, y Δ1 Δ 2 signifie soit H ,
3 3 5 3 2 2
3x 3
2 2

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5 3i 3 1 3i 3
5) On a : IH = r = 3 ; BH 3
2 2
1 3i 3 3 3i 3
et BI 1 3
2 2
Donc le triangle BIH est équilatéral.

Autre méthode : On a IH = BH = 3
La droite (BH) et l’axe des abscisses sont parallèles coupés par une sécante (IH)
déterminent deux angles alternes internes égaux
π
Comme BHI IOA d’où le triangle BIH est équilatéral.
3

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REPUBLIQUE TUNISIENNE
MINISTERE DE L’EDUCATION
SESSION
EXAMEN DU BACCALAUREAT
SESSION DE JUIN 2011
DE CONTRÔLE
SE CTI O N : SC IE NC ES T EC HNI QU ES
EP REU VE : M AT HEM AT IQU ES DU RE E : 3 he ure s CO EF FI CI E NT : 3

Le sujet comporte 3 pages numérotées de 1/3 à 3/3

Exercice 1 (3 points)
Pour chacune des questions suivantes une seule des trois réponses proposées est exacte.
Le candidat indiquera sur sa copie le numéro et la lettre correspondant à la réponse choisie.
Aucune justification n’est demandée.
Une réponse correcte vaut 0,75 point, une réponse fausse ou l ‘absence de réponse vaut 0 point.

1) L’équation (z  i )(z 2  4)  0 admet dans :


a) une unique solution b) exactement deux solutions c) exactement trois solutions.


i
2) Le nombre complexe (1  i ) e 4
est égal à :

a) 2 b) 2 c) 2i .
x
3) La fonction f définie sur par f ( x )   ln(1  t 2 ) dt est :
0

a) croissante sur b) décroissante sur c) n’est pas monotone sur .

1 e t  e t
4) L’intégrale  dt est égale à :
1 e t  e t

a) 2ln(e  e 1 ) b) 0 c) 2ln(e  e 1 ) .

Exercice 2 (5 points)
 1 x 1
1) Soit la fonction f définie sur  0,  par f (x )  .
 2 4x  3
 1  1
a) Montrer que f est strictement croissante sur  0,  puis déterminer f   0,   .
 2  2
 1
b) Montrer que, pour tout x  0,  , f ( x)  x  0 .
 2
u  0
2) On considère la suite réelle ( un ) définie sur par :  0
u n 1  f (u n ), pour tout n  .
1
a) Montrer que pour tout n  , 0  un  .
2
b) Montrer que la suite ( un ) est croissante.

c) En déduire que la suite ( un ) est convergente et calculer sa limite.

1/3
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Exercice 3 (6points)
  
L’espace E est rapporté à un repère orthonormé direct (O, i, j, k ) .
On considère les points A(1, 1, 0) , B(1, 0, 1) , C(0, 2,  1) et D(1, 3, 2) . .
1) Montrer que le triangle ABC est rectangle en A .

2) Montrer que le vecteur AD est normal au plan (ABC) .
3) Calculer le volume V du tétraèdre DABC .
4) Soit I , J et K les milieux respectifs de  DA  ,  DB et  DC .

On considère le plan Q passant par I et parallèle au plan (ABC) .


a) Donner une équation cartésienne du plan Q .
b) Vérifier que J et K appartiennent à Q .
c) On désigne par V ' le volume du tétraèdre DIJK .
Montrer que V = 8 V ' .

Exercice 4 (6 points)
Le plan est rapporté à un repère orthonormé.
La courbe (  ) ci-dessous est celle d’une fonction g définie, continue et dérivable sur 0,   .

On sait que (  ) n’admet aucun extremum.

1) a) Par lecture graphique, donner le signe de g sur 0,   .


b) En déduire que, pour tout x  0,   , ( x  1) g ( x )  0 .

x 1
2) La fonction g est définie sur 0,   par g ( x )  2 ln( x )  .
x
2/3
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On considère la fonction f définie sur 0,   par f ( x )  ( x  1)2 ln( x )  x  1 , et on désigne
 
par (C f ) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (O, i , j ) .

a) Montrer que, pour tout x  0,   , f '( x)  ( x  1) g ( x)  1 .

b) Dresser le tableau de variation de f .


3) Soit (T ) la tangente à la courbe (C f ) au point I d’abscisse 1.

a) Vérifier que (T ) a pour équation : y = x-1.


b) Etudier la position relative de (C f ) et (T ) .

c) Tracer la courbe (C f ) .

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REPUBLIQUE TUNISIENNE
MINISTERE DE L’EDUCATION Epreuve : MATHEMATIQUES

EXAMEN DU BACCALAUREAT Durée : 3 H
SESSION DE JUIN 2014 Coefficient : 3

Section : Sciences techniques Session de contrôle

Le sujet comporte 3 pages numérotées de 1/3 à 3/3.

Exercice 1 (3 points)
Pour chacune des questions suivantes, une seule des trois réponses proposées est exacte.
Le candidat indiquera sur sa copie le numéro de la question et la lettre correspondant à la réponse choisie. Aucune
justification n’est demandée.
Une réponse correcte vaut 0.75, une réponse fausse ou l’absence d’une réponse vaut 0 point.

Dans la figure ci-contre ABCDEFGH est un cube d’arrête 1.


On désigne par I le milieu du segment [EB].
1) La distance du point I au plan (HGC) est égale à :
1
a) 1 b) 0 c)
2
1
2) L’intersection de la sphère S, de centre I et de rayon ,
2
avec le plan (EFH) est :
a) Le vide b) un point c) un cercle
 
3) Le produit scalaire AH.GB est égal à :
a) 1 b) -2 c) 0
 
4) Le vecteur FD  FE est égal à :
  
a) DC b) BF c) AH
Exercice 2 (6 points)

1) Soit dans  l’équation (E) : z2  ( 2  2  i 2)z  2( 2  i 2)  0.


a- Vérifier que 2 est une solution de (E).
b- Déduire l’autre solution de (E).
 
2) Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O,u, v) , on considère

les points A et B d’affixes respectives z A  2 et zB  2  i 2.


a- Mettre zB sous forme exponentielle.
 
b- Placer le point B dans le repère (O,u,v).

1/1
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3) Soit le point C d’affixe z C  2  z B .
 
a- Placer le point C dans le repère (O,u, v).
b- Montrer que le quadrilatère OACB est un losange.
   
i 
i  ii
8
 e 8 e 8
c- Vérifier que 1  e 4   e
 

   i8
d- En déduire que Cz  4cos   .e
8

e- Montrer que tan    2  1.
8
Exercice 3 (6 points)
I) On donne ci-dessous le tableau de variation de la fonction g définie sur  par : g(x)  ex  x  1.

1) Calculer g(0).
2) Déterminer le signe de g(x), pour x   .
II) Soit la fonction f définie sur  par : f (x)  (x  2)e x  x  2 et on désigne par (C)

sa courbe représentative dans un repère orthonormé (O,i, j).
1) a- Calculer lim f (x) .
x  

f (x)
b- Montrer que lim  . Interpréter graphiquement le résultat.
x  x

c- Montrer que la droite  : y  x  2 est une asymptote à la courbe (C) au


voisinage de ().
d- Étudier la position relative de (C) et .
2) a- Calculer f '(x) et vérifier que pour tout réel x ; f '(x)  e x g(x) .
b- Dresser le tableau de variation de f.
3) a- Montrer que O est un point d’inflexion à la courbe (C).

b- Tracer la droite  et la courbe (C) dans le repère (O,i, j).

2/2
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4) Soit  un réel strictement supérieur à -2.
On désigne par A( ) l’aire de la partie du plan limitée par la courbe (C), la droite 
et les droites d’équations x  2 et x   .

a- En intégrant par parties 2 (x  2)e x dx , montrer que A( ) = e 2  (  3)e 

b- Calculer lim A().




Exercice 4 ( 5 points)

Pour contrôler la qualité de son produit, une usine de fabrication de machines effectue deux tests.
Le premier test pour vérifier la partie électrique et le deuxième test pour vérifier la partie
mécanique du produit. Les deux tests sont faits indépendamment l’un de l’autre.
On constate que :
 81 % des machines n’ont aucun défaut.
 10 % des machines ont un défaut électrique.
 Parmi les machines ayant un défaut électrique, 30 % ne présentent pas de défaut mécanique.
On note les événements suivants:
E : « la machine présente un défaut électrique »
M : « la machine présente un défaut mécanique »
1) a- Déterminer p(E) et p(E  M) .

b- En déduire que p(M/ E)  0,9 .


2) a- Recopier et compléter l’arbre pondéré ci-dessous associé à cette situation.

b - Montrer que p(M)  0,16


c - Soit p la probabilité qu’une machine présente au moins un des deux défauts.
Montrer que p  0,19.
3) On effectue le contrôle de 20 machines.
On désigne par X la variable aléatoire donnant le nombre de machines qui présentent au moins
un des deux défauts.
a- Justifier que X suit une loi binomiale et préciser les paramètres de cette loi.
b- Calculer la probabilité que deux exactement des 20 machines présentent au moins un des
deux défauts.

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MATHÉMATIQUES
Section : Sciences Techniques
Session de contrôle 2021

Exercice N°1 :
Question 1) 2) 3) 4)
Réponse Exacte a) b) c) a)

Exercice N°2 :
1) a/ La fonction f est dérivable sur IR (somme de deux fonctions dérivables)
4e x (e x + 3) − 4e x .e x 12e x
f (x) = a −
'
=a− x
(e x + 3)² (e + 3)²
b/ A est un point de la courbe ( ) alors f(ln3) = ln3 d’où (aln3 + b - 2 = ln 3)
La courbe ( ) admet une tangente horizontale au point A donc f '(ln3) = 0,
d’où (a – 1) = 0 et par suite a = 1.
a = 1 donc ln3 + b - 2 = ln 3 et par suite b = 2
4e x
c/ On a : f (x) = x + 2 − x
e +3
12 12 12 − 4(e x + 3) 4e x
x−2+ x = x+2−4+ x = x+2+ = x + 2 − = f (x)
e +3 e +3 ex + 3 ex + 3
12
2) a/ lim f (x) = lim (x − 2) + x = −
x →− x →− (e + 3)
12 12
lim f (x) − (x + 2)  = lim − 4 + x = −4 + = 0
x →− x →− (e + 3) 3
La droite d'équation y = x + 2 est une asymptote à la courbe ( ) au voisinage de
(-∞).
12
b/ lim f (x) = lim (x − 2) + x = +
x →+ x →+ (e + 3)
12
lim  f (x) − (x − 2) = lim x =0
x →+ x →+ (e + 3)

La droite d'équation y = x + 2 est une asymptote à la courbe ( ) au voisinage de


(+∞).
3) a/ Pour tout xIR on a :
2
12e x e2x + 6e x + 9 − 12e x (e x − 3)²  e x − 3 
f (x) = 1 − x
'
= = x = 
(e + 3)² (e x + 3)² (e + 3)²  e x + 3 

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2
 ex − 3 
b/ On a f (x) =  x
'
  0 , xlim f (x) = − et lim f (x) = +
 e +3 →− x →+

f est continue et strictement croissante sur IR et f(IR) = IR


Alors f réalise une bijection de IR sur IR
c/ f réalise une bijection de IR sur IR et 0IR donc il existe un unique réel α tel que
f(α) = 0.
On a : f(-1,8)  0,0089 et f(-1,7)  0,07
f(-1,8)xf(-1,7) < 0, donc -1,8 < α < -1,7 (Théorème des valeurs intermédiaires)

4) a/

b/ Par raison de symétrie par rapport à la droite  : y = x


0
1 0 0 4e x 1 
A=  f (x)dx =  f (x)dx =  (x + 2 −
−1
)dx =  x² + 2x − 4ln(3 + e x ) 
0   3+ e x
2 
1
A= = −4ln 4 −  ² − 2 + 4ln(3 + e )
2
12
Comme on a : f(α) = 0 alors 3 + e =
2−

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1 12 1
D'où A = −4ln 4 −  ² − 2 + 4ln( ) = −4ln 4 −  ² − 2 + 4ln12 − 4ln(2 − )
2 2− 2
1 1
= 4(ln12 − ln 4 − ln(2 − )) − ² − 2 = 4(ln 3 − ln(2 − )) − ² − 2
2 2
3 1
Par suite A = 4ln( ) −  ² − 2
2− 2
Exercice N°3 :
2
 i −i 

i

−i

I. 1) On a :  4e 4 + 2 2e 4  = 16e 2 + 16 2ei0 + 8e 2 = 16i + 16 2 − 8i = 16 2 + 8i
 
 
i −i
2) (E) : z² − (4e + 2 2e 4 4
)z + 4 2 − 2i = 0
2
 i −i 

i

 =  4e 4 + 2 2e 4  − 4.(4 2 − 2i = 16 2 + 8i − 16 2 + 8i = 16i = (4e 4 ) 2
 
  
i −i i 
4e + 2 2e
4 4
− 4e 4 −i
z1 = = 2e 4
= 1 − i et
2
    
i −i i i −i
4e + 2 2e
4 4
+ 4e 4
8e + 2 2e
4 4
2 2
z2 = = = 4( +i ) + 1 − i = (1 + 2 2) + i(2 2 − 1)
2 2 2 2

SC = z1 , z2.
II. 1) a) AB = z B − z A = 2 2 + i2 2 = 2 2x 2 = 4 donc B(C)

z B − z A 2 2 + 2i (2 2 + 2i)x(1 + i)
b) = = = 2 2i  iIR
zA 1− i 2
c) On a (OA) ⊥ (AB).

99/101
z D − z C 1 + 2 2 − 2i − 2 − i(2 2 − 1) 2 2 − 1 − i(2 2 + 1)
2) a) = =
zB 1 + 2 2 + i(2 2 − 1) 1 + 2 2 + i(2 2 − 1)

−i 1 + 2 2 + i(2 2 − 1) 
= = −i
1 + 2 2 + i(2 2 − 1)
zD − zC
b) On a = −i  iIR donc (DC) ⊥ (OB)
zB
(DC) porte la hauteur issue de D dans le triangle ODC.
(O, u) porte la hauteur issue de O
Comme (O, u) (DC) = I alors I est l’orthocentre du triangle ODC
D'où (BI) porte la hauteur issue du point B
Par suite (BI) ⊥ (OD)

Exercice N°4 :
1 1
1) On a AB 0 et , AC 1
2 0
1 1
1 0 donc les vecteurs AB et AC ne sont pas colinéaires et par suite les
0 1
points A, B et C déterminent un plan P.

n 0 n 0
2) a) n est un vecteur normal au plan P ssi n.AB 0 ssi a 2c 0
n.AC 0 a b 0

n 0
ssi a 2c
b a 2c

2
b) Soit c = 1 alors n 2 est un vecteur normal à P donc P : 2x – 2y +z + d = 0
1

On a : A(0, 0, 1)P donc 1 + d = 0 sig d = – 1


Par suite P : 2x – 2y + z – 1 = 0
c) On a : 2x(0) – 2x(0) + 0 – 1 = - 1  0 donc OP.

100/101
0 1 0 0 0 1 1 1
3) a) On a : I = O * B donc I , , d’où I ,0,
2 2 2 2 2
On a : G le centre de gravité du triangle OAC donc GO GA GC 0
0 0 1 0 0 1 0 1 1 1 1 2
D’où G , , par suite G , ,
3 3 3 3 3 3
1
6
1
b) On a IG
3
7
6
1
x α
2
Soit : y 2α α IR
1
z 7α
2
1
1 1
 est la droite passant par le point ,0, et de vecteur directeur u 2
2 2
7

On a et I et u 6xIG ( u et IG sont colinéaires), Par suite  = (IG)

c) On a : n.IG = 2  (−1) − 2  2 + 7  1 = 1  0

Alors la droite (IG) coupe le plan P en un point D


1 1 1 1 1
D( − , 2, − + 7) P sig 2( − ) − 2(2) − + 7 − 1 = 0 sig  =
2 2 2 2 2
Le point D a pour coordonnées (0, 1, 3).

d) On a : AB = DC alors ABCD est un parallélogramme

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