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Devoirs Bac Physique Sect Math +index 2015 2021
Devoirs Bac Physique Sect Math +index 2015 2021
physique I
1 sp2021 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
2 sc2021 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
3 sp2020 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
4 sc2020 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
5 sp2019 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
6 sc2019 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
7 sp2018 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
8 sp-c2018 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
9 sc2018 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
10 sc-c2018 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
11 sp2017 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50
12 sp-c2017 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
13 sc2017 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
14 sc-c2017 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
15 sp2016 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71
16 sp-c2016 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75
17 sc2016 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
18 sc-c2016 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82
19 sp2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85
20 sp-c2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90
21 sc2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94
22 sc-c2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
sp : session principale
sc : session controle
sp-c : correction sp
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12/12/22
| | 7 [EXAMEN DU BACCALAURÉAT | on nina
Session principale
| RÉPUBLIQUETUNISIENNE | SESSION 2021 L me |
FE || é & ns
| Sciences physiques Section Pathé
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION
| … Durée : 3h Coefficient de l'épreuve: 4 |
kKkXKX XX
ne érseipéen [TI LT]
Le sujet comporte 4 pages numérotées de 1/4 à 4/4.
CHIMIE (7 points)
Exercice 1 (3,25 points)
En solution aqueuse, les ions ferrique Fe réagissent avec les ions thiocyanate SCN° pour former le complexe
thiocyanatofer(lll) de formule [Fe(SCN)}* L'équation chimique de la réaction modélisant cette transformation
s'écrit: Fe** +SCN° = [Fe(SCN)* .Tous les constituants figurant dans cette équation sont à l'état aqueux:
À un instant t, = 0 et à une température convenable 8, on ajoute un volume V; = 10,00 mL d'une solution
aqueuse S; de concentration molaire C; = 1,2.10? mol.L‘ en ions ferrique à un même volume V; d'une
solution aqueuse S; de même concentration molaire C; en ions thiocyanate. On obtient alors un système
chimique $S de volume V = 2V:. Une analyse chimique appropriée montre qu’à partir d'un instant t:, la
concentration du complexe [Fe(SCN)]* dans ce mélange prend une valeur constante égale à 2,1.10% mol.L.
1) a- Justifier que le système S est en état d'équilibre chimique pour tout instant t supérieur ou égal à t:.
b- Déterminer la constante d'équilibre K associée à la formation du complexe.
2) À un instant t; supérieur à t:, on ajoute au système chimique précédent, une quantité égale à 1,2.10° mol
d'ions Fe provenant de la dissolution dans le mélange d'un sel convenablement choisi, sans changement
appréciable de volume et de température.
a- Déterminer à l'instant t:, la valeur de la fonction des concentrations TT associée à la formation du
complexe [Fe(SCN)}*.
b- Déduire en le justifiant, le sens d'évolution du système chimique.
3) Dans la pratique, l'ion thiocyanate est utilisé comme un indicateur de tabagisme. Ainsi, pour savoir si un
individu est fumeur ou non, on détermine la concentration en ions thiocyanate dans sa salive.
La concentration habituelle en ions thiocyanate pour un non-fumeur est inférieure à 2,0.10* mol.L et elle
est généralement supérieure à 2,0.10* mol.L* chez le fumeur.
Un prélèvement de salive de volume Vs = 0,25 mL d'un individu, est introduit dans une fiole jaugée de
contenance V = 20,00 mL, qu'on remplit jusqu'au trait de jauge par la solution S:. On considèrera que tous
les ions thiocyanate du prélèvement se transforment en ions thiocyanatofer(lll). L'analyse appropriée
montre que la concentration en ions thiocyanatofer(lil) dans la fiole est égale à 4,5.10° mol.L‘
a- Déterminer la concentration en ions thiocyanate dans la salive prélevée.
b- En déduire si l'individu en question est fumeur ou non-fumeur.
Exercice 2 (3,75 points)
Toutes les solutions sont prises à 25 °C, température à laquelle le produit ionique de l'eau est K,= 4104
On dispose d’une solution aqueuse S, d'une monobase faible B de pH = 11,00 et de concentration molaire
initiale Co. On se propose de déterminer la valeur de C, ainsi que celle du pK, relatif à la monobase B. Pour
ce faire, on prélève un volume V, de la solution mère Si et on lui ajoute à chaque fois un volume Ve, d'eau
distillée, tel que : Ve, = XV, ; avec x un nombre positif ne dépassant pas une certaine valeur bien déterminée.
Ainsi, on prépare différentes solutions aqueuses diluées S, de la monobase B, chacune de concentration
molaire C, et de volume supposé égal à :V.
x =V,+V, x .
Padlt2 a
Pour chaque valeur de x, on mesure le pH de la solution S,, noté pH, r do)
Un système informatisé d'acquisition de données, permet de calculer le x
taux d'avancement final r, de la réaction d'ionisation de la monobase B
x
dans la solution S, correspondante et de tracer la courbe +? =f{x)
A
traduisant l'évolution de TH en fonction de x. On obtient la courbe (€) de
la figure 1.
C ï
1) ) Montrer que
que: : C, =".
at Figure
g 1
2) En appliquant une première approximation que l'on donnera, montrer que le taux d'avancement final de la
40/P'Hx-PKe)
réaction d’ionisation de la monobase B dans l'eau dans la solution S, s'exprime par : rt, =
x
c,
3) a- En appliquant une deuxième approximation que l'on donnera, montrer que C, et +, vérifient la relation :
x
Cité, = Êe ; avec K, la constante d’acidité du couple acide/base relatif à la monobase B.
a
b- Déduire la relation : r? = ax +b ; où a et b deux constantes à exprimer en fonction de Ke, K,et Co.
c- En exploitant cette dernière relation et la courbe (€) de la figure 1, déterminer les valeurs de Cet pK.
4) En tenant compte des approximations appliquées précédemment, déduire l'expression de pHs en fonction
de Co, pK, et pK.. Retrouver sa valeur numérique.
M 4
Figure 2
(@)
(3)
214 Æ
Page 3
Répondre aux questions suivantes à partir de l'exploitation des chronogrammes de la figure 3.
1) a- Justifier que le dipôle (D;) est le conducteur ohmique de résistance R.
b- Déterminer la valeur de R.
2) a- Indiquer parmi les dipôles (D:) et (D:), celui qui correspond au condensateur. Justifier.
b- Établir l'équation différentielle régissant l'évolution temporelle de la tension ue, {t) dans le circuit
comportant le condensateur.
-t
c- La solution de l'équation différentielle précédente est de la forme : u, (t=Ee ‘; avec t = RoC la
0
constante de temps du circuit. On appelle t4 la durée de temps de descente de la tension ur. (t) dans le
0
circuit et on la définit par : 4 = t2- t:; où t: et t; représentent les instants au bout desquels la tension
Ur, atteint respectivement 90,0 % et 10,0 % de sa valeur maximale.
t
s'écrire sous la forme :
u, (= RE (1- eT );avec r'= est la constante de temps du circuit.
0 Ro tr Rotr
a- Nommer le phénomène physique qui se manifeste dans la bobine à la fermeture de l'interrupteur K.
b- En exploitant le chronogramme correspondant au circuit envisagé :
b:- relever la valeur de +” en décrivant la méthode utilisée ;
b2- déterminer la valeur de la résistance interne r de la bobine ;
b;- déduire la valeur de l’inductance L de la bobine.
c- En se servant de l'expression de Uk {t donnée dans 3), déterminer l'instant t,; pour lequel l'énergie
0
emmagasinée par la bobine est égale à 90,3 % de l'énergie maximale qu'elle peut emmagasiner.
Exercice 2 (3 points)
Étude d’un document scientifique
Un coefficient pour mesurer la « qualité » d’un système électrique résonnant
Les systèmes résonnants présentent un comportement caractéristique autour d'une fréquence particulière No,
appelée fréquence de résonance. On peut la plupart du temps, représenter ces systèmes, au moins en
première approximation, par leur modèle électrique: le circuit RLC série. Ce circuit étant alimenté par une
tension sinusoïdale d'amplitude constante et de fréquence N variable, on observe un maximum de courant
pour N = No ainsi qu'une variation rapide de la phase du courant par rapport à celle de la tension
d'alimentation autour de N,. Ces phénomènes sont d'autant plus marqués pour un tel circuit que lorsque son
coefficient caractéristique Q ayant comme expression : Q = Fe est élevé ; L étant l'inductance de la bobine
et R la résistance totale du circuit. L'utilisation de cette expression peut être une méthode très commode pour
déterminer la valeur du coefficient Q. Toutefois, il serait plus pratique, pour N = N,. de faire le rapport de
l'amplitude de la tension aux bornes du condensateur à celle de la tension d'alimentation du circuit. Un
voltmètre permet donc une mesure très facile de Q. Un aspect de ce coefficient apparaît, il chiffre la
surtension développée aux bornes du condensateur, au moment de la résonance. À titre d'exemple, si la
tension d'alimentation a une amplitude égale à 6 V, et avec Q de l'ordre de 10 (valeur très courante),
l'amplitude de la tension aux bornes du condensateur sera égale à 60 V. Il est clair qu'une surtension apparaît
aussi aux bornes de la bobine. Cependant, la bobine possède en général une résistance r (c'est parfois la
seule résistance du circuit RLC) qui empêche que l'on puisse mesurer la tension «aux bornes de L ». C'est
d’ailleurs la raison pour laquelle, dans la mesure de Q à l'aide d’un voltmètre, on relève la tension aux bornes
du condensateur et non aux bornes de la bobine.
D'après : BULLETIN DE L'UNION DES PHYSICIENS
J.-P. VALENTIN ; Groupe pédagogique
3/4
Page 4 ea
Questions
1) Dégager du texte les deux faits observés caractérisant le comportement du circuit RLC alimenté par une
tension sinusoïdale de fréquence N dans les deux cas suivants : N = Net N est située autour de No.
2) a- Justifier l'appellation de « facteur de surtension » que l'on peut donner au coefficient Q cité dans le texte.
: L à . : :
b- Montrer que l'expression : Q = Fe peut être déduite à partir de la phrase soulignée dans le texte.
c- Dire pourquoi il est plus commode de mesurer la tension efficace aux bornes du condensateur et non
aux bornes de la bobine pour déterminer Q à l’aide d’un voltmètre.
3) En prenant l'exemple évoqué dans le texte pour lequel le facteur de surtension Q vaut 10 et sachant que le
circuit résonnant correspondant est constitué par l'association en série d'une bobine d'inductance L et de
résistance interne r = 10 Q et d'un condensateur de capacité C = 10 UF, déterminer les valeurs de L et No.
HP M M
Rene M2
GBF
Règle graduée
N X N
GS '
VS 1
Yi i
1 1 1
1, d=13cm ù
ns à i
© 1
=30cm i
Figure 4
a- Déterminer la période T et la fréquence N de l'onde sonore émise par le haut-parleur, sachant que l'on
observe deux (2) périodes complètes de chaque sinusoïde occupant la totalité de l'écran de
l'oscilloscope. Notons aussi que l'écran de l'oscilloscope est divisé selon l'axe horizontal, en dix (10)
divisions et que le balayage de temps (sensibilité horizontale) est réglé sur 0,1 ms par division.
b- On garde le microphone M, à sa place et on éloigne doucement le microphone M, le long de la règle ; on
constate que les deux sinusoïdes se décalent. On continue à éloigner M, jusqu’à ce que les deux
sinusoïdes soient à nouveau en phase. Soit M’, la nouvelle position occupée par le microphone M:. On
relève la distance d' séparant désormais M; de M; on lit: d'= 30 cm.
b.- Dire à quelle grandeur caractéristique de l'onde sonore correspond la distance M2M:'.
b:- Calculer la célérité de l'onde sonore dans l'air c.: dans les conditions où sont faites les mesures.
c- Sachant qu'il est possible de faire ces mesures avec le même dispositif précédent mais, en utilisant un
seul microphone au lieu de deux microphones :
c:- indiquer les branchements des entrées de l'oscilloscope dans ce cas;
c2- décrire le mode opératoire à suivre.
414
Page 5 cn
EXAMEN DU BACCALAURÉAT
c Session de contrôle
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE | SESSION 2021
k . ne Épreuve : . gi :
: . Section : Mathématiques
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION Sciences physiques 1
Durée : 3h Coefficient de l'épreuve: 4
X XX XX
Le sujet comporte 5 pages numérotées de 1/5 à 4/5 et une feuille annexe (page 5/5) à compléter et à rendre avec la copie.
CHIMIE (7 points)
Exercice 1 (3,5 points)
La synthèse d'un ester (E) se fait au laboratoire à partir de la réaction entre un acide carboxylique noté (A) et
un alcool noté (B), en présence d’une faible quantité d'acide sulfurique concentré.
Dans une première expérience, on fait réagir à l'instant initial (t = 0) 0,1 mol de (A) avec 0,1 mol de (B). On
suit l’évolution temporelle de la réaction par une méthode appropriée.
na (102 moi)
Les résultats obtenus ont permis de tracer la courbe (€) de la
figure 1, représentant l'évolution temporelle du nombre de moles 10
nA de l'acide (A) dans le mélange réactionnel.
(A) : étant la tangente à la courbe (€) à l'origine des temps.
4) Citer le nom d'une méthode opératoire permettant de déterminer 5
le nombre de moles n, de l'acide (A) dans le mélange.
2) Montrer que la vitesse de la réaction de synthèse du composé
de sa concentration molaire C et du pK, du couple AH/A' sous la forme : pH= 2 EK, -logC).
a- À partir de l'expression du pH précédente, préciser si à la suite de l'ajout d'eau, le pH initial subit une
augmentation ou une diminution.
b- Montrer que le volume d'eau ajoutée est donné par la relation :V, =V,(10*"-1) ; ApH étant la
variation du pH initial de la solution acide après l'ajout de l'eau. Calculer V..
Questions
1) Nommer le phénomène physique ayant eu lieu lors des expériences de Faraday citées dans le texte.
2) Représenter par un schéma clair le dispositif de la première expérience de Faraday citée dans ce texte.
Identifier alors le circuit inducteur et le circuit induit dans cette expérience.
3) Énoncer la loi de Lenz donnant le sens du courant induit.
4) Devant la face d'une bobine reliée à un galvanomètre G, et selon son axe, on approche le pôle Nord d'un
aimant droit, comme le montre la figure 3 de la feuille annexe (page 5/5).
Représenter en le justifiant sur la figure 3 de la feuille annexe (page 5/5), à compléter et à rendre avec la
copie, le sens du courant induit i apparu dans le circuit. En déduire le signe de la fem e = VA-Vs.
215 £a
Page 7
Exercice 2 (6,75 points)
1. On réalise le montage de la figure 4 constitué par un générateur de tension G,
supposé idéal de force électromotrice E, un condensateur de capacité C, un
commutateur K à deux positions (1) et (2), un conducteur ohmique de résistance
R = 40 Q et une bobine (b) qui peut être soit une bobine purement inductive
d'inductance L, soit une bobine d'inductance L et de résistance r non nulle.
1) Le condensateur est initialement déchargé.À l'instant t = 0, on place le A
commutateur K sur la position (1). Figure 4
On admet que l'équation différentielle régissant l'évolution temporelle de la tension uc(t}) = uau(t) aux
uc(t) 1 E
bornes du condensateur pendant cette phase, est de la forme : MD + Le Ë ; où T= RC la
T T
d
de tracer la courbe _… = f(u,) donnée par la figure 5.
Page 8
c- déterminer la valeur du déphasage A = q@,- gientre la tension u(t) et l'intensité i(t) du courant dans
le circuit et dire si celui-ci est capacitif, inductif ou résistif;
1
d- déduire que : 2LN, - ——#=50/3 a
2aCN, 3
2) On règle maintenant la fréquence du GBF à une valeur N, = 159,0 Hz, tout en gardant la même valeur
de l'amplitude U,, que précédemment. On branche également deux voltmètres (V) et (V') respectivement
aux bornes du conducteur ohmique et aux bornes de l'ensemble {bobine + condensateur}. On constate
alors que la tension efficace aux bornes du conducteur ohmique est égale à quatre (4) fois celle aux
bornes de l'ensemble {bobine + condensateur].
a- Montrer qu'à la fréquence N;, le circuit est en état de résonance d'intensité.
b- Écrire une relation simple entre L, C et N2.
c- En exploitant les relations établies dans les questions 1) d- et 2) b-, retrouver les valeurs de L et C.
ais £a
Page 9
Signatures des surveillants
7,0
15 30 45 Va(mL)
Figure 2
uet ur (V)
déplacement
Figure 3 s
Figure 8
5/5
Page 10
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Session principale
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION M rec lisrOm nobles et
EXAMEN DU BACCALAURÉAT ve : Sciences physiques |
SESSION 2020
Durée : 3h Coefficient de l'épreuve: 4
— —— ————— ———— 1,
RRFPFPE
Chimie (7 points)
Exercice 1 (3,5 points)
On donne : - pK, (CH;COOH / CH:;CO0") = pK,,= 48;
- pK, (HCOOH
/ HCOO”) = pK,,= 3.8.
Toutes les solutions sont prises à 25 °C, température à laquelle le produit ionique de l'eau est : K. = 10
On dispose au laboratoire de chimie d’une solution aqueuse (S:) d'acide éthanoïque (CH;COOH) de
concentration molaire C1= 0,1 mol.L'' La mesure du pH de cette solution donne : pH: = 2,9.
1- a- Montrer que l'acide éthanoïque est un acide faible.
b- Écrire l'équation de sa réaction avec l'eau.
2- a- Donner l'expression de la constante d'acidité K,, du couple CH;COOH 1 CH;CO0"
b- En déduire que le pH de la solution (S:) peut se mettre sous la forme :
oui ite », [cH,coo]
= + 109 =——
Ph Pl * 99[c4 cooH]
c- Vérifier alors que dans (S:), on peut négliger la concentration des ions CH;COO" devant celle
de CH:COOH.
3- Dans un volume V; = 100 mL de la solution (S:), on introduit sans variation appréciable de volume, une
quantité n2 = 10? mol de méthanoate de sodium (HCOONa). I! se produit dans le mélange ainsi réalisé, la
réaction symbolisée par l'équation chimique suivante :
CH;COOH + HCOO 2 CH;COO" + HCOOH
a- Déterminer la valeur de la constante d'équilibre relative à cette réaction.
b- En déduire la valeur de l'avancement final x, de cette réaction.
c- En utilisant l'expression du pH établie dans la question 2-b, déduire la valeur du pH du mélange.
La fem de la pile (P) est donnée par: E = E° - 0,03 £og El ; E° étant la fem standard de la pile (P).
On supposera que durant le fonctionnement de la pile (P), il n'y a ni changement des volumes des solutions ni
risque d'épuisement des lames.
1- Donner le symbole de la pile (P).
2- La pile (P) est placée dans un circuit électrique comportant un conducteur ohmique, un ampèremètre et un
interrupteur. Le circuit étant fermé à un instant de date t = 0. Lors du fonctionnement de la pile, les élèves
remarquent la formation d'un dépôt métallique sur la lame de cadmium.
Page 1 sur5
Page 11
a- Écrire l'équation de la transformation chimique qui se déroule au niveau de chaque lame au cours du
fonctionnement de la pile.
b- En déduire l'équation de la réaction modélisant la transformation qui a lieu spontanément dans la pile.
c- Préciser alors, le pôle positif de cette pile.
3- À un instant ultérieur de date t:, la pile cesse de débiter du courant dans le circuit extérieur.
Pour déterminer la concentration finale des ions Fe, les élèves optent pour un dosage manganimétrique.
Pour ce faire, ils prélèvent un volume V = 10 mL de la solution contenue dans le bécher (1) auquel ils
ajoutent progressivement une solution acidifiée de permanganate de potassium (KMnO,) de concentration
molaire Co = 4.10* mol.L''. Le volume de la solution de (KMnO,) utilisé pour neutraliser tous les ions Fe*
est : Vo = 19,1 mL. L'équation de la réaction du dosage est :
o_5
tension (V)
figure 1
» 19 vi à
. igure 2
a- En exploitant les courbes de la figure 2, déterminer :
a.- la valeur de R ;
a2- la valeur de la phase initiale de l'intensité du courant i(t).
b- Les oscillations électriques de i(t) sont régies par l'équation différentielle suivante :
dit) , 1r.
Ri(t)+rilt)+L ——ae * + —{i(tidt
oJittidt ==u(t).uit)
La figure 3 de la page 5/5 correspond à la construction de Fresnel relative au circuit étudié à la
fréquence N,. Dans cette construction, les vecteurs OP,OQ et PQ sont associés respectivement à :
la tension u, (t), la tension u(t) et la tension u:{t) aux bornes de l'ensemble {bobine, condensateur}.
Page 2 sur 5
Page 12
En exploitant cette construction :
b:- trouver la valeur de r';
3- En mesurant la largeur L de la tache centrale pour chacun des fils calibrés, les élèves ont pu dresser le
tableau de mesures ci-dessous, ce qui a leur permis de tracer la droite d'étalonnage de la figure 6 de la
page 5/5.
Pour déterminer le diamètre du cheveu, les élèves remplacent dans le dispositif de la figure 4, la
diapositive comportant le fil par celle comportant le cheveu, puis mesurent la largeur de la tache centrale ;
ils trouvent : Len = 30 mm.
En exploitant la droite d'étalonnage, déterminer le diamètre du cheveu utilisé.
Page 3 sur 5
Page 13
4- L'un des élèves propose au groupe de déterminer l'indice de réfraction de l'eau. Pour ce faire, ils réalisent
ensemble, avec le même dispositif de la figure 4, l'expérience schématisée sur la figure 7, où la
diapositive et l'écran sont placés dans l'eau ; la distance D qui les sépare reste inchangée.
a- Identifier, dans la liste donnée ci-dessous, la ou les tache
grandeur(s) qui ne change(nt) pas lors du passage de gentrais
la radiation émise par le laser de l'air dans l'eau:
la couleur ; la célérité ; la fréquence.
b- Pour un fil calibré de diamètre a = 100 pm, la largeur de _—
la tache centrale est: L;=15mm. (es,
b.- Déterminer la valeur de la longueur d'onde À, du
laser dans l'eau. &
b:- En déduire la valeur de l'indice de réfraction n de
l'eau pour la radiation utilisée. #
cuve remplie d'eau
figure 7
Page 4 sur 5
Page 14
Signatures des surveillants
__
axe origine des phases
figure3
L(10°m)
50! Er
40
30 LA
20
10 D
=
1 40m)
ISré a
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24
figure 6
Page 5 sur 5
Page 15
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Session de contrôle
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION
EXAMEN pu BaccaiauréaT || Épreuve : Sciences physiques || Section : Mathématiq
SESSION 2020
Durée : 3h Coefficient de l'épreuve: 4
aaaaaa
D Uo, (t)
«0
D Ut)
figure 1 figure 2
L'équation différentielle régissant l'évolution de l'intensité ift) du courant traversant le circuit est
so + Lit = Ë : où + est la constante de temps du circuit. Cette équation admet une solution de
ï
:
la forme : ift) = «[: -e 1 : où le est l'intensité du courant traversant le circuit en régime permanent.
1-_ Les courbes de la figure 2 montrent que l'établissement d'un courant continu dans le circuit n'est pas
instantané.
a Nommer le phénomène physique mis en évidence par cette expérience.
b- Préciser l'élément du circuit responsable de ce phénomène.
Page 2sur5
age 17
2- a+ Donner l'expression de la tension u,(t) aux bomes du conducteur ohmique en fonction de R, lo,
rett
b- Vérifier, qu'à tout instant, la tension u,(t) aux bomes de la bobine s'exprime par
: :
musee terfi-e }
c-_ Identifier, parmi les deux dipôles D; et D, celui qui correspond au conducteur ohmique. Justifier.
3- En exploitant les courbes de la figure 2, déterminer :
a- la valeur deE;
b- la valeur der.
4- Déduire les valeurs de R et r.
Exercice 2 (6,75 points)
Les parties let Il peuvent être traitées indépendamment l'une de l'autre.
Un Mobile (M) de centre d'inertie G et de masse m peut glisser sans frottements sur un banc à coussin
d'air horizontal. Le mobile est accroché à l'une des extrémités d'un ressort (R) à spires non jointives, de
masse négligeable et de raideur k. L'autre extrémité du ressort est attachée à un support fixe comme
l'indique la figure 3. Le mobile est équipé d'une palette de masse négligeable qui plonge dans une cuve
contenant un liquide visqueux. Au cours de son mouvement, le mobile est soumis à des frottements dont la
résultante estf = - hÿ ; où ÿ est la vitesse instantanée du centre d'inertie G de (M) et h est le coefficient
de frottement.
Le centre d'inertie G de (M) est repéré par son abscisse x dans le repère(O,
i). L'origine O correspond à la
position de G lorsque (M) est au repos.
— paiete
liquide visqueux —T
figure 3
On réalise avec le dispositif de la figure 3, les deux expériences suivantes
I Expérience 1 :
On déplace le mobile (M) vers la gauche jusqu'à ce que son centre d'inertie G coïncide avec le point À
d'abscisse x4 = - 5 cm, puis on le lâche sans vitesse initiale à l'instant t = 0. Un dispositif approprié, non
représenté sur la figure 3, permet d'enregistrer l'évolution au cours du temps de la tension du ressort T(t)
et de la force de frottement f(t). Pour une valeur h du coefficient de frottement, on obtient les courbes (63)
et (62) représentées sur la figure 4 de la page 5/5
1-_a- Donner l'expression de la tension T(t) en fonction de k et x(t).
b- Justiier que la courbe (6) correspond à ft).
2- En exploitant les courbes de la figure 4, déterminer
a- la valeur de la raideur k du ressort :
b- la valeur de la pseudo-période des oscillations de G.
3- En admettant que la pseudo-période est égale à la période propre de l'oscillateur, déterminer la valeur
de la masse m du mobile (M).
4-_a- Montrer qu'à tout instant, l'énergie mécanique E du système {(M) + (R)} peut s'écrire sous la forme :
ED sim TU + mé ft
b- Calculer l'énergie perdue par le système {(M) + (R)} entre les instants t= 0 et ti= 1,7 8.
Pa Les
3
Il Expérience 2:
On prendra dans ce qui suit m = 80 g et on règlera la valeur du coefficient de frottement à une valeur h4
À l'aide d'un dispositif approprié, on applique sur le mobile (M) une force excitatrice F(t) =F,., sin(2zNt) î
d'amplitude F,, constante et de fréquence N réglable. Le centre d'inertie G de (M) effectue alors des
oscillations forcées régies par l'équation différentielle suivante ml +1,50 + Kat)
= F()
Cete équation admet une solution de la fomme: x(t)=Xsin(2xNt+g,) : avec
PARLE
K2xhN)* + (k - 4xéN'm}
L'amplitude X,, des oscillations de G prend une valeur maximale pour une valeur N, de la fréquence N de
5
la force excitatrice donnée par : N, = /Ni Se : No étant la fréquence propre de l'oscillateur.
Page 4 sur 5
Page 19
22. N° d'inscription: .
Nom
et Prénom :…
a
=
A
t(s)
&
figure 4
Touas (N) s fox (N)
EE
l
02 04 06 08 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28
figure5
Page Saurs
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION ,
: Sei ysi S sain Mathématiques
Le Due:
CS 3h no)
|DL_ Goeioertde
Cosficient de teen
épreuve: 44 |
= @ @ @ G@ @
Le sujet comporte 5 pages numérotées de 1/5 à 5/5.
La page 5/5 est à compléter et à rendre avec la copie.
CHIMIE (7 points)
Exercice 1 (4,25 points)
Lors d’une séance de travaux pratiques, un enseignant demande à ses élèves de réaliser l’étude
expérimentale quantitative de la réaction d’estérification entre l’éthanol et l’acide éthanoïque.
Dans un ballon propre, sec et mis dans un bain d’eau glacée, les élèves introduisent alors a = 17,3.10? mol
d’éthanol et b mol d’acide éthanoïque. Après agitation, ils répartissent ce mélange équitablement dans 10
ampoules propres, sèches, numérotées de 0 à 9 et placées dans un bain d'eau glacée. Chaque ampoule
renferme ainsi un système chimique (S) contenant le dixième du mélange de départ.
A l’aide d’une pipette compte-gouttes, les élèves ajoutent avec précision 2 gouttes d’acide sulfurique
concentré à chaque ampoule. Ils équipent chacune des ampoules numérotées de 1 à 9 d’un bouchon muni
d’un tube capillaire en verre, les plongent simultanément dans un bain-marie chauffé à une température
adéquate 6 constante et déclenchent aussitôt le chronomètre: c’est l’instant initial to = 0. A cet instant, les
élèves versent le contenu de l’ampoule numéro @ dans un erlenmeyer propre, puis, déterminent la quantité
d’acide (éthanoïque + sulfurique) y présente initialement au moyen d’un dosage colorimétrique par une
solution aqueuse (S,)d’hydroxyde de sodium de concentration molaireC,, =1 mol.L'. Ils notent alors le
volume Vato de la solution basique (S,) ajouté pour atteindre l’équivalence acido-basique. A des instants t
espacés régulièrement de 10 min, ils retirent l’ampoule numéro i (i de 1 à 9) du bain-marie et la placent
dans le bain d’eau glacée, puis, effectuent le dosage de son contenu par la même solution(S,). Ils notent
alors le volume V,.. de la solution basique versé à l’équivalence relative à l’ampoule i concernée.
ä
L'enseignant analyse les résultats obtenus et rejette les valeurs expérimentales relatives au dosage du
contenu de chacune des ampoules numérotées 2, 4 et 9 en raison d’erreurs de manipulation commises par
les élèves. Pour les autres ampoules, les résultats sont validés et consignés dans le tableau (1) de la feuille
annexe (page 5/5). Une étude préalable montre que les 2 gouttes d’acide sulfurique utilisé dans cette
manipulation sont neutralisées par un volume V,., = 2,2mL de la solution basique(S,).
1) Préciser l’intérêt de chacune des opérations manipulatoires suivantes:
a- on équipe chacune des ampoules numérotées de 1 à 9 d’un bouchon muni d’un tube capillaire en verre;
b- on plonge les ampoules numérotées de 1 à 9 dans un bain-marie chauffé à la température 0.
2) En raisonnant sur le contenu du système chimique (S), montrer qu’à l'instant t;, l’avancement x; de la
réaction étudiée et correspondant à l’ampoule i, est exprimé par la relation: x; = Co(Vors = Var, ÿ
3) En exploitant le tableau (I) de la feuille annexe (page 5/5):
a- déterminer le nombre de moles d’acide éthanoïque présent dans le système chimique (S) à l’instant
initial to = 0 et en déduire que le mélange réactionnel préparé au départ dans le ballon est équimolaire ;
b- donner l’état du système chimique (S) pour un instant t; supérieur à 60 min ;
c- calculer l’avancement final xs de la réaction étudiée et en déduire que la constante d’équilibre qui lui
est associée est K & 4.
Padé921
4) L'enseignant révèle les trois erreurs commises par ses élèves lors de la manipulation des ampoules
numérotées 2, 4 et 9. Elles sont décrites dans le tableau (HD) de la feuille annexe (page 5/5).
a- On désigne par xzet x2' les avancements, à un même instant t, de la réaction étudiée lorsque les
élèves manipulent l’ampoule 2 respectivement erronément et correctement. On désigne également par
x4 et x4' les avancements de cette réaction, à un même instant 4, lorsque les élèves manipulent
l’ampoule 4 respectivement erronément et correctement. Comparer en le justifiant, x2' à x2 et x4' à x.
b- Pour l'ampoule numéro 9 (to = 90 min), le système chimique (S) est en équilibre et le volume de la
solution (S,) versé par les élèves pour atteindre l'équivalence acido-basique est : Var = 8,7mL.
b.- Expliquer pourquoi le volume de la solution basique versé à l’équivalence acido-basique dans le
dosage relatif à l’ampoule 9 est supérieur à celui versé dans le dosage relatif à chacune des
ampoules 6, 7 et 8, alors que le système chimique (S) est en équilibre dans ces quatre ampoules.
b2- Déterminer le nombre de moles d'ester obtenu par les élèves dans l’ampoule 9. Déduire n,., .
Exercice 2 (2,75 points)
Toutes les solutions aqueuses utilisées sont prises à 25 °C, température à laquelle le produit ionique de
l'eau est Ke = 107%, On suppose qu’on pourra négliger les ions dus à l’ionisation propre de l’eau.
On dispose d’une solution aqueuse (So) d’une monobase B de concentration initiale Co = 10! mol.L'! et de
PH = 11,40. Le taux d'avancement final de la réaction de B avec l’eau dans cette solution est noté ts, s
1) a- Donner l'expression de +, le en fonction de Co, P. pHb et P. pKe. Vérifier que sa valeur est t, 1) # 25.10%.
Page 35
1l- Deuxième expérience : lorsque la tension aux bornes du condensateur devient égale à Uo, on bascule le
commutateur K en position (2). On prend cet instant to comme nouvelle origine des temps (to = 0).
Le suivi de l’évolution temporelle de la tension u,, aux bornes du condensateur permet d’obtenir le
chronogramme de la figure 3 de la feuille annexe (page 5/5).
1) a- Montrer que l’équation différentielle régissant mr de la tension aux bornes du condensateur
d? nQ
peut s’écrire sous la forme: LC-——AB7 +rc MO,
dat
aa AB
(t)=0.
donnés par la relation: E, = À. avec Es = 13,60 eV et n est un entier naturel non nul. Le diagramme de
la figure 6 de la feuille annexe (page 5/5) représente quelques niveaux de cet atome (échelle non respectée).
1) a- Donner brièvement la signification du terme « quantifiés ».
b- Calculer, en eV, les énergies de l’état fondamental et de l’état ionisé de l’atome d'hydrogène.
3/5
Page 23
2) On envoie un photon d'énergie W = 12,75 eV sur l'atome d'hydrogène, pris initialement dans son état
fondamental. Justifier que ce photon peut interagir avec l'atome d'hydrogène.
Sur le diagramme de la figure 6 de la feuille annexe (page 5/5), à rendre avec la copie, représenter par
une flèche que l’on désignera par (a), la transition électronique qui résulte de cette interaction.
3) On considère la transition électronique de l’atome d’hydrogène d’un niveau p à un niveau m (m <p).
a- Indiquer si la raie associée à cette transition est une raie d'émission ou une raie d’absorption.
b- Montrer que la fréquence %,n de la raie correspondant à cette transition peut s’écrire sous la forme:
E,
= EPS = un ; où h est la constante de Planck.
P
4) La série de Balmer est constituée par l’ensemble des raies de longueurs d’onde À, ,, Correspondant aux
transitions électroniques des niveaux p (p > 2) vers le niveau m = 2.
a- Montrer que: À,,, = À,(1 + ); où 2, est la plus petite longueur d’onde de la série de Balmer,
p'-4
que l’on exprimera en fonction de Es, h et la célérité e de la lumière.
Vérifier que À, 7 365,1 nm dans le vide.
b- En déduire à quelle transition électronique correspond la raie de longueur d’onde À,.
c- L’une des transitions de la série de Balmer correspond à la raie de longueur d’onde À = 486,1 nm dans
le vide.
€1- Indiquer en le justifiant, à quelle transition correspond cette raie.
©2- Sur le diagramme de la figure 6 de la feuille annexe (page 5/5), à rendre avec la copie,
représenter cette transition par une flèche que l’on désignera par (b).
Exercice 3 (2,25 points) « Étude d’un document scientifique »
L’écho peut nuire à la compréhension !
La production et la propagation des sons sont liées à l'existence d’un mouvement vibratoire SPRL
phénomène sonore se produit sans transport de matière [...]. La propagation des vibrations est en même
temps une propagation d'énergie mécanique. L'énergie transmise par unité de surface s'appelle l'intensité
de l'onde sonore [...]. On constate que plus on est éloigné de la source, plus faible est l'intensité sonore.
Cela vient de ce que l’énergie totale, à un instant donné, se propage dans toutes les directions et que lorsque
la distance augmente, elle est répartie sur des surfaces de plus en plus grandes, ce qui diminue d’autant
l'intensité sonore [...]. Le son, comme les autres phénomènes ondulatoires (lumière), manifeste la propriété
de réflexion. Un exemple familier de réflexion est l’écho produit lorsqu'un son fort et net est émis devant
un mur élevé. Moins évident peut-être est le renforcement du son dans une salle. En effet, l’auditeur reçoit,
outre l’onde directe, les ondes réfléchies sur les murs, le sol et le plafond, ce qui renforce l’intensité.
Cependant, le phénomène peut avoir des aspects négatifs. Les ondes réfléchies n'arrivent pas
simultanément à l'oreille de l’auditeur, ni en même temps que l’onde directe. Il y a réverbération du son, ce
qui peut nuire à la compréhension. Il faut alors aménager la salle, c’est l’objet de l’acoustique
architecturale. [..] Une des propriétés les plus frappantes du son est sa capacité de contourner les obstacles.
C’est une illustration d’une des caractéristiques générales des ondes…
D’après : « Production et propagation des sons» - Les Grands Articles d'Universalis - 19 septembre 2016.
1) Dire si la propagation du son correspond à un transport d’énergie ou de matière. Justifier du texte.
2) Expliquer et nommer le phénomène illustré par la phrase : « On constate que plus on est éloigné de la
source, plus faible est l'intensité sonore ».
3) Extraire du texte les aspects négatifs de l'écho et leur effet sur la compréhension d’un message sonore.
4) Proposer ce que l’on peut faire dans la pratique pour aménager les murs, le sol et le plafond d’un
amphithéâtre ou d’une salle de cinéma afin d’y éviter la réverbération du son.
5) Nommer le phénomène physique mis en jeu dans le passage souligné du texte.
4/5
Page 24
Signatures des surveillants
Numéro i de ampoule 0 1 3 : 6 7 8
Tableau (1)
Temps t; (min) 0 10 30 50 60 70 80
Volume Veg, (mL) 19,5 | 14,9 | 10,4 | 8,6 | 8,0 | 8,0 | 8,0
Ï | .
Figure 2 | | Figure 3
4 Î 3e
| -26
ol 8 16 24 É(s)
E
Es n — ©
Tension (V) E,! T6
TE
T Est 1=5
Et n=4
| E; n=3
ups(t)
E n=2
1
T00 20 {{ms)
Figure 5 El ne
Figure 6
5/5
Page 25
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Session de contrôle
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION
EXAMEN DU BACCALAURÉAT || Épreuve : Sciences physiques || Section : Mathématiques
SESSION 2019
Durée : s3ln Coefficient de l'épreuve: 4
Œ @ @ @
Le sujet comporte 4 pages numérotées de 1/4 à 4/4.
CHIMIE (7 points)
Exercice 1 (4 points)
Les ions peroxodisulfate S,0Ÿ oxydent les ions iodure I selon une transformation totale, modélisée par
la réaction chimique que l’on représente par l'équation suivante: 21 + S,OÏ — I, + 2S0.
Afin d'étudier la cinétique chimique de cette transformation, on prépare, à l'instant t = 0, un mélange
réactionnel (S) constitué par un volume Vi = 10 mL, d’une solution aqueuse d’iodure de potassium KI de
concentration molaire C1 = 0,5 mol.L'! et un volume V2 = 10 mL d’une solution aqueuse de
peroxodisulfate de potassium K3$203 de concentration molaire C3.
On désignera par V le volume total du mélange (S). On supposera que V = V, + V, et on négligera toute
variation de température et de volume au cours de la transformation étudiée.
Par une méthode appropriée, on détermine à différents instants, la concentration molaire [BL] du diiode
formé dans le mélange (S). Les résultats obtenus permettent de tracer la courbe de la figure 1 traduisant
l’évolution temporelle de [1]. (Aï) étant la tangente à la courbe [BJ] = f(t) au point d’abscisse t = 24 min.
- : ! D: —.—.
1) Exprimer la vitesse instantanée v(t) de la réaction étudiée en fonction de Vi, Viet al]
QE à)
2) En exploitant la courbe de la figure 1: : LENOR or D A s 4
a- montrer que l'avancement final de la réaction étudiée 1 |
est égal à xr= 48,0.10% mol ; _
b- justifier que l'ion E° ne constitue pas le réactif limitant: : Le |
c- déterminer le temps nécessaire pour consommer la 18] RE L-
moitié de la quantité initiale du réactif limitant : +" | |
d- déduire la valeur de la concentration molaire C7; a ‘# FR
e- déterminer les valeurs v(tr) et v(t2) de la vitesse de la :
réaction étudiée respectivement à l'instant t = 24 min 7] |
et à l'instant b = 60 min. Préciser le facteur cinétique _1 | t (min)
responsable de l'écart entre ces deux valeurs. CON ET SUN
Figure }
3) On refait l'expérience à la même température mais, en ajoutant au mélange initial (S) quelques gouttes
d’une solution aqueuse de sulfate de fer(Il) jouant le rôle de catalyseur, sans changement appréciable
du volume V. Indiquer si à la suite de cet ajout, les grandeurs: xret v(ti) évoquées respectivement aux
questions 2)a- et 2}e- restent inchangées ou subissent une augmentation ou une diminution. Justifier.
Exercice 2 (3 points)
Les ions Ni? de nickel réagissent avec le cobalt métallique Co pour donner du nickel métallique Ni et des
ions Co?* de cobalt selon la transformation modélisée par l'équation: Ni + Co > Ni + Co”.
A une température Ô convenable et à l'instant tp= 0. on mélange un volume M = 100 mL d’une solution
aqueuse (S1) de sel de nickel de concentration molaire C1 = 5. 107 mol.L! en ions Ni et un volume
V:= 100, mL d’une solution aqueuse (S2) de sel de cobalt de concentration molaire C2= 6.107 2mol.L'! en
ions Co? et on y introduit un excès de poudre de cobalt et de la grenaille de nickel.
A l'équilibre chimique, la quantité des ions Ni dans le mélange réactionnel est: Ge )e = 10 73 mol.
1) Donner le sens d'évolution du système chimique entre l'instant tÿ= 0 et l'instant d'équilibre. Justifier.
1/4
Page 26
2) Exprimer en fonction de C1, Vi, C2, Vi et (ni2 }r : la constante d'équilibre K relative à la réaction
étudiée. Montrer que K = 10.
3) A la même température 0 que précédemment. on réalise une pile électrochimique (P) constituée d':
- un compartiment (A), placé à droite, comportant une électrode de nickel piansée dans un volume
Vi= 100 mL de la solution (S1) de concentration molaire C;= 5. 107 mol.L'' en ions Ni:
- un compartiment (B). placé à gauche, comportant une électrode de cobalt plongée dans un volume
Va = 100 mL de la solution (S2) de concentration molaire C3= 6.10” 2mol.L'! en ions Co?"
Les deux compartiments sont reliés par un pont salin.
En s'aidant du résultat de la question 2). déterminer la valeur de la fem standard E de la pile (P).
4) On relie la pile (P)à un circuit extérieur constitué d’un conducteur ohmique, d’un ampèremètre et d’un
interrupteur K. A un instant to’ = 0, pris comme origine des temps, on ferme le circuit.
a- Déterminer la valeur initiale E; de la fem de la pile (P). En déduire l'équation de la réaction qui se
produit spontanément dans cette pile lorsqu'elle débite du courant électrique.
b- L’intensité du courant débité par la pile (P) décroit dans le circuit jusqu'à s’annuler après une
certaine durée de temps de fonctionnement.
Déterminer pendant cette durée, la variation de masse de chacune des électrodes Ni et Co en
précisant, à chaque fois, s’il s’agit d’une augmentation ou d’une diminution.
On supposera qu'il n°y a ni changement de volume des solutions ni épuisement fatal des électrodes.
On donne les masses molaires suivantes: Mxi= 58,7 gmol! et Mes = 58,9 g. mol!.
A l'équilibre. le centre d'inertie G du solide (S) est confondu avec l'origine O d’un repère (O, i) porté par
un axe horizontal x'x. comme l'indique la figure 2. Au cours de son mouvement, G est repéré par son
élongation x(t) dans le repère (O, 5) ; sa vitesse instantanée est notée v(t).
L'amortissement du mouvement ainsi que les forces de frottement sont supposés négligeables.
1) On écarte le solide (S) de sa position d'équilibre jusqu'au point My d’abscisse xo < 0, puis on le lâche,
à l'instantt = 0, avec une vitesse initiale vo.
a- En utilisant la méthode dynamique, montrer que les oscillations de G sont régies par l'équation
d “x À
différentielle: &ix(t)= 0; où @ est une constante que l’on exprimera en fonction de k et m.
dt
b- Exprimer l'énergie mécanique E du système {(S) + (R)}} en fonction de k, m, x(t) et v(t).
c- Déduire que le système {(S) + (R)} est conservatif.
2) Un dispositif approprié d’acquisition de données permet d'enregistrer simultanément l’évolution de
la vitesse v(t) de G ainsi que celle de l'énergie cinétique E.(t) du solide (S) en fonction du temps et de
tracer les courbes (1) et (HE) de la figure3 Ee (107 J); v(m.s')
En exploitant les courbes de la figure 3 : 51---------<---------- 2
a- justifier que la courbe (1) correspond à E(t) :
b- montrer que wp= 20 rad.s ! et déduire SR (D
l'amplitude du mouvement oscillatoire de G : “a
c- déterminer k et montrer que m = 100 g:
d- chercher xp et déduire que vo= - 0,8 ms"! Ti TE s)
e- déterminer la phase initiale de la vitesse
v(t) et en déduire celle de l’élongation x(t).
Figure 3
2/4
Page 27
3) Le solide (S) est maintenant soumis à des actions de frottement visqueux dont la résultante est
; 5
équivalente à une force unique de la forme: f =-hv ; où h est une constante positive appelée
”
coefficient de frottement et v étant le vecteur vitesse instantanée de G. De plus, le solide (S) subit
PP Al
2
NU AE RE OP
Figure 4
En exploitant le graphe de la figure 4, déterminer:
a- l’amplitude a et la longueur d’onde À à la surface de la nappe d’eau :
b- la célérité v et la fréquence N.
3/4
Page 28
3) On remplace maintenant la pointe par une réglette (R) verticale, placée parallèlement à l’un des bords
de la cuve, et dont le bord inférieur affleure la surface de l’eau. Sur le fond de la cuve et du côté opposé
à (R), on pose à plat, une plaque (P) en plexiglas de forme rectangulaire, d’épaisseur faible et
constante. Cela permet de diminuer localement la profondeur de l’eau. La cuve est ainsi partagée en
deux Zones (1) et (2) de profondeurs différentes, qui constituent deux milieux de propagation
différents pour les ondes à la surface de la nappe d’eau. La surface de séparation des deux zones est
parallèle à la réglette (R), comme le montre la figure 5.
On néglige tout phénomène de réflexion des ondes.
On actionne le vibreur à la fréquence N = 20 Hz. Des ondes de forme rectiligne se propagent alors à la
surface de la zone (1) et passent vers celle de la zone (2). A l’aide d’un procédé approprié, on mesure à
la surface de l’eau, les distances di et d2 séparant 5 lignes de crête consécutives respectivement dans
les zones (1) et (2). On obtient alors: di = 8,0 em et d2 = 6,0 cm.
a- Déterminer les longueurs d’onde A1 et A2 respectivement dans
les zones (1) et (2). @)
b- Déduire les célérités vs et v2 de l’onde respectivement dans
les zones (1) et (2). Conclure quant à l’effet de la profondeur
sur la célérité de l’onde à la surface de l’eau. nn .@)
c- Dire en le justifiant, si l'onde incidente subit un changement
de direction de propagation lors de son passage de la zone (1) Zone (1) Zone (2)
vers la zone (2).
Nommer alors le phénomène physique correspondant. Figures
D’après : Les dossiers de science & vie junior n°34 page 22, octobre 1998, dossier hors série.
1) Extraire du texte les hypothèses avancées par Niels Bohr pour élaborer une théorie cohérente relative à
l’atome.
2) Dire à quoi correspond l’état fondamental d’un atome et indiquer ce qui le différencie d’un état excité.
3) Dégager du texte une phrase qui montre que l’énergie d’un atome est quantifiée.
4) Nommer le type de spectre dont l’auteur parle à la fin du texte.
5) Proposer un schéma simplifié du montage expérimental permettant d’obtenir ce type de spectre.
4/4
Page 29
REPUBLIQUE TUNISIENNE Session principale
MINISTÈRE DE L'EDUCATION Epreuve : Section
nces physiques Mathématiques
EXAMEN DU BACCALAUREAT
SESSION 2018 Durée : 3h Coefficient de l'épreuve:4
Page 31
Expérience (1) :
À l'aide d’un oscilloscope bicourbe, convenablement branché, on visua se simultanément l’évolution au
cours du temps des tensions unas (#) et ur (8)
Expérience (2) :
On change le branchement de l'escilloscope et on visualise simultanément l'évolution au cours du temps
des tensions uxw (t) et ugm (1).
Les expériences réalisées, ont permis d'obtenir les courbes représentées sur les figures 4 et 5.
Tension (V) Tension (V)
tGms)
Figure 4 Figure $
Page 32
11- On installe, sur la cuve à ondes, un vibreur muni d’une fourche à pointe unique et dont la fréquence est
réglée à la valeur Nj = 5 Hz. Au repos, la pointe affleure verticalement la surface libre du liquide en un
point S.
À un instant Lo = 0, une onde progressive sinusoïdale de longueur d’onde 24 et d longation instantanée
30 10% sin(2xNit + x), prend naissance et se propage avec la célérité v2.
A l'instant ti = 0,8 8, on règle la fréquence du vibreur à une valeur Na tout en gardant la même amplitude.
L'onde progressive sinusoïdale se propage toujours à partir de $ avec une longueur d'onde 32
On suppose qu'il n'y a ni réflexion ni amortissement de l'onde au cours de sa propagation.
La figure 8 représente, à un instant t > ti, une coupe de la surface du liquide par un plan vertical passant
par S. 20
Questions:
1) En se référant au texte, ter la caractéristique des isotopes utiles en médecine nucléaire.
2) Préciser la nature de chaque rayonnement intéressant la médecine nucléaire et donner pour chacun
d'eux le champ d'application.
3) Dégager du texte, un avantage de la courte de: ie du fluor 18.
4) Déterminer l'instant t au bout duquel 2 de la dose radioactive initiale du fluor 18 sera détectable.
1000
45
Page 33
Section : N° d'inscription : Série : Signatures des surveillants
Nom et Prénom :
Date et lieu de naissance :
Échelle: 1 em <—> 1V
Figure 6
ce
OA
Yo(mm)
4 =
; ts)
a
4
Figure 9
Page #5
EXAMEN DU ; , —
BACCALAURÉAT | °SSion Épreuve : Section:
SESSION 2018 principale | Sciences Physiques Mathématiques
Corrigé
Chimie : (7 points)
Exercice 1 : (3 points)
D)
Equation chimique N, (g) + 3H, (g) O 2NH, (g)
Etat du système Avancement Quantité de matière (mol)
Etat initial 0 n n 0
Etat
intermédiaire X N-X n-3x 2x
2)
\
n T
a— n, 1 =2n—2X, d'où x, =n-—.
1 1
2
n
b— n=— X$. +5: X$. = 0,1 mol et Or — 2,2 mol. Alors n = 1,2 mol.
n n
3) a- le mélange initial étant équimolaire, les rapports de stœchiométrie : 2 > =
Page 35
Exercice 2 : (4 points)
1) a- D’après la courbe de la figure 1, on constate qu’une dilution au dixième de la
solution (S) fait diminuer le pH d’une unité. En effet pour une solution d’une
monobase forte on a : pH(Sihh= 14 + logCo - logn
pour logn =0 = pH(S,) = 14 + logC, =12,7.
pour logn = 1 — pH(S,), = 14 + logC,; -1=11,7.
b-ona: pH(S,) = 14 + logC, =12,7 = logC, =-1,3 d'où C, 05.10 "molL.
2) La courbe de la figure 2, montre que le taux d’avancement final ts varie lors des
dilutions successives. La monobase B: est faible
3) a- B, + H,0 ÙÜ B,H° + OH
b-
Page 36
Physique : (13 points)
Exercice 1 : (5,5 points)
1 1 Ur, 5
2)a-N =—;:N- = =125H;U,=7V;I,=—2=—-0,1A.
T 8.10 R 50
At T T
b- Ap=6p—-p, =p, =. ns. D'après la figure SAS ; SOit O,= + qd.
4) a-
Echelle : 1 cm correspond à 1 V
U, =22N,LI, =4,9 VU, =7 V;U, =9,9V
b- D’après la construction de Fresnel, le vecteur représentant la tension aux bornes
I
du condensateur a pour valeur U, =9,9 V. soit C= ——"——1112,9 LE.
” 2aN,U
Page 37
Exercice 2 : (4,5 points)
I-
1) L’ébranlement est transversal car sa direction est perpendiculaire à celle de sa
propagation.
II-
1) La cuve à onde contient un liquide homogène, les caractéristiques du milieu
n’ont pas changé. Le milieu est alors non dispersif et la vitesse de propagation
de l’onde est la même que celle de l’ébranlement. Donc v2 = vi
( | A\ /\ /\ f\ ZN ZN 4
{ | |
4}—°? VU..NU.NVNT. \Y LV
Page 38
4) L'activité d’un échantillon radioactive à un instant t est donnée par la relation :
A = Ave; Ao représente l’activité, à l'instantt = 0, du fluor 18.
À est la constante radioactive caractéristique d’un élément radioactif égale à
ce ; T étant la demi-vie radioactive du fluor 18.
soit t= y 01000
Ln2
A = Aoe* : Re A6 [1076 min) 17,9h
Ln2
Page 39
REPUBLIQUE TUNISIENNE Session de contrôle
MINISTERE DE L'EDUCATION Epreuve Section :
es Sciences physiques Mathématiques
EXAMEN DU BACCALAUREAT
Durée : 3h Coefficient de l’épreuve:4
SESSION 2018
CHIMIE (7 points)
Exer ee 1: (3 points)
On effectue le suivi cinétique d’une transformation lente et supposée totale, mettant en jeu la réaction
entre les ions iodure F et les ions peroxodisulfate S3047. Cette réaction chimique est modél
del'équation: s 217 CAE
+ S,0Ë > 1, + 250} 2
1) A l'instant = 0, on mélange une solution aqueuse (S) d'iodure de potassium KI, de volume V et de
concentration molaire Cj avec une solution aqueuse (S2) de peroxodisulfate de potassium K:S20s, de
même volume V et de concentration molaire C3
Par une procédure expérimentale convenable, on t l'évolution des quantités de matière en ions Let en
ions S,0%- en fonction de l'avancement x de la réaction
Les résultats expérimentaux ont permis de tracer les courbes (a) et (b) de la figure 1
a- Dresser le tableau descriptif d'avancement x de la nl) ; n(S303 ) (10° mol)
réaction chimique.
b-_ Montrer que la courbe (a) corres nd à_.l'évolution de © (
la quantité de mati € en ionsI en fonction de he
l'avancement x.
2) En exploitant les courbes (a) et (b) b)
a- Justifier que S30} est le r actif limitant et déduire Je)
l'avancement final x de la réaction,
b- Déduire les quantités de matière initiales des réactifs et 1
S0 notées respectivement nojeto,: | x (10° mol)
ol >
hant que la concentration molaire en ions Là la fin de la igure1
réaction est {I Jr 07 mol.L'!. Déterminer les valeurs de V,
Ciet Cr. nf) (10? mon)
4) A l'aide d’un dispositif approprié, on trace la courbe de
la figure 2 qui représente l'évolution de la quantité de matière
(1) au cours du temps.
a- Montrer que la vitesse de la réaction chimique étudiée peut
58 mettre sous la forme: vço == À 00)
2 dt
b- Déterminer graphiquement la valeur de cette vitesse
à l'instant t = 0. À
t (min)
D —+ >
Figure 2
Vs
Page 40
Exercice 2: (4 points)
A 25°C, on réalise la pile électrochimique (P) symbolisée par : INÉ** (C5) 1 Co?" (C2) ICo.
Le potentiel standard du couple N° / Ni est Et, = - 0,26 V.
1) a- Représenter un schéma légendé de la pile (P).
b- Écrire l'équation chimique associée à cette pile.
2) A partir d’un stant pris comme ori ne des temps (t = 0), on laisse la (P) débiter un courant
électrique dans un circuit extérieur et on suit l’évolution de sa fem E en fonction de log TI (TI étant la
fonction des concentrations). Cette étude expérimentale a permis d'obtenir la courbe représentée sur la
figure 3 de la page 5/5, à remplir par le candidat et à rendre avec la copie.
En exploitant cette courbe :
a- Montrer que la réaction qui a lieu spontanément quand la pile (P) débite un courant est
Co+ Ni — Co+Ni
En déduire les polarités de cette pik
b- Déterminer :
-la constante d' lilibre K relative à l'équation chimique associée à la pile (P) :
- la fem normale E*de la pile (P). Déduire le potentiel standard EŸ.., du couple Co” / Co
3) A l'équilibre dynamique , la quantité de matière totale des ions Ni%' et Co} dans les deux solutions est
nr= 2,210? mol et le taux d'avancement final de la réaction spontanée est += 0,8.
a- Dresser le tableau descriptif d'avancement volumique y relatifà la réaction spontanée.
b- Déterminer les concentrations molaires initiales Cj et C2.
On suppose, qu'au cours de la réaction, les volumes des solutions dans les deux compartiments de la
pile sont égaux et restent inchangés (Vi = V1 = V = 200 mL). De plus, aucune des deux électrodes ne
sera complètement consommée.
PHYSIQUE : (13 points)
Exercice 1: (5,5 points)
On dispose au laboratoire d’une bobine B d’inductance L et de résistance r et d’un dipôle D, dont les
valeurs des grandeurs caractéristiques indiquées par le constructeur sont grattées.
Afin de retrouver les valeurs de ces grandeurs, on demande à un groupe d' es de réaliser les
expériences suivantes (1) et (2) :
Expérience (1)
Le groupe d'élèves réalise le montage de la figure 4 comportant, montés en
série, un générateur idéal de tension de fem E = 9 V, la bobine B, un
conducteur ohmique de résistance R = 50 @ et un interrupteur K.
Un oscilloscope à mémoire permet d'enregistrer
= sur la voie X : la tension ug(t) aux bornes du conducteur ohmique ;
= sur la voie Y : la tension u(t) aux bornes du générateur.
A l'instant = 0, on ferme K. Les courbes, donnant l'évolution au cours du
temps des tensions électriques uy(t)_ et u(t), sont représentées sur la figure 5
de la page 5/5, à remplir par le candidat et à rendre avec la copie.
1) a- Indiquer sur la figure 6 de la page 5/5 les branchements à réaliser à Figure4
l’oscilloscope pour visualiser simultanément ua(t) et u(t).
b- Justifier que la courbe 1 de la figure 5 correspond à ur(t).
2/5
Page 41
2) Montrer que l'équation différentielle qui régit l’évolution de la tension ug(t) aux bornes du conducteur
: s’écri | dur + ur(D=
ohmique 1 à oùa r désigne la constante de temps du circuita électrique
dont on donnera son expression en fonction de R, r et L.
‘
3) L'équation différentielle précédente admet comme solution ug(t)= Un, (1-e *):; où Up, est la
valeur maximale de ur(®. Exprimer Uj. en fonction de R, r et E
4) En exploitant les courbes @ et @ de la figure5
a- Montrer que r = 100;
b- Déterminer la valeur de la constante de temps r et déduire celle de l’inductance L.
Expérience (2):
Dans le montage de la figure 4, le groupe d'élèves insère le dipôle D et
remplace l'interrupteur K par un commutateur bipolaire K° comme le montre
la figure 7.
À &= 0, on bascule K? sur la position 2. À l’aide d’un oscilloscope à mémoire
convenablement branché aux bornes du dipôle D, on visualise la tension up(t).
On obtient Ia courbe de la figure 8&
5) a- Les oscillations de la tension un(t) sont dites libres amorties.
Justifier cette affirmation et nommer le régime des oscillations obtenu.
b- Montrer que le dipôle D ne peut-être qu’un condensateur. igure7
6 Le dipôle D étant un condensateur de
capacité C. Préciser, en le justifiant, s’il est up(t) (V) Cangente à la courbe au point d’abscisse t,)
en phase de charge ou en phase de
décharge entre les instants ti et t;
7) ae Exprimer, en fonction de L, €, up(t) et
dup(t)
l'énergie électromagnétique E.
dt
b- Montrer qu'à l'instant t l'énergie
E s'écrit sous la forme :
à
Et)- FLO (ttdt Figure 8
€- Sachant que Eu(t) = 5.10 J, déterminer la capacité C du condensateur.
Exercice 2: (4,5 points)
Données :
Constante de Planck CHE de a lumière dans le vide D y 16.109 | 1m =10°m
= 6,62.10% 34 <= 3.10* ms
NE
où
Les niveaux d'énergie de l'atome d'hydrogène sont quantifiés et obéissent à la relation E,=
est un entier naturel non nul
1) _a- Expliquer le qualificatif« quantifié ».
b- Préciser la signification de Eo pour l'atome d'hydrogène
2) On représente sur la figure 9 de la page 5/5. à remplir par le candidat et à rendre avec la copie, les
niveaux d'énergie de l'atome d'hydrogène. Compléter le diagramme en indiquant les valeurs des
énergies en fonction de Eo.
35
Page 42
3) Un faisceau d'électrons monocinétiques d'énergie cinétique Ex = 0,9 Eo, entre en collision avec un gaz
d'hydrogène à faible pression. Un transfert d'énergie peut avoir lieu entre un électron et un atome
d'hydrogène dans son état fondamental.
Montrer que l’atome d'hydrogène ne peut absorber que deux quantums d'énergie. Préciser les
niveaux d'énergie correspondants.
4) On considère les transitions de l'atome d'hydrogène d’un niveau excité n à un même niveau p, tel que
p <n ; p étant un entier naturel non nul.
On porte dans le tableau ci-contre, les valeurs = 3 à à &
de n et les variations AE, de l'énergie qui
correspondent
à ces transitions. AEnp (eV) | -1,888 | -2,550 | -2,856 | -3,022
1
a- Montrer que AEyp= E
mp
b- A partir du tableau, déterminer la valeur de Eo.
e- Déduire que les transitions considérées correspondent à la série de Balmer
5) On considère deux radiations (a) et (b) de longueurs d'onde respectives 41 = 450 nm et 12= 487 nm.
Préciser, en le justifiant, la radiation qui correspond à l’une des transitions de la série de Balmer.
Exercice 3: (3points)
« Étude d’un document scientifique »
La résonance, une question de fréquence et d'énergie
La résonance est un phénomène pouvant affecter de très nombreux systèmes : mécaniques, électriques,
acoustiques. tème pouvant aceumuler de l’énergie est un système résonant…
De cette définition découlent deux conditions essentielles : il doit y avoir une accumulation d'énergie par
le système et cette accumulation doit être effectuée à une fréquence bien particulière dépendant du
système appelée « fréquence de résonance »…
Plus un système accumule de l'énergie à sa fréquence de résonance, plus ses oscillations vont être
importantes, ce qui engendre des effets néfastes sur certaines structures... C'est notamment le cas des
grands immeubles soumis aux tremblements de terre. Les vibrations engendrées par les ondes sismiques,
se propageant dans le sol à une fréquence déterminée, sont communiquées aux immeubles qui
emmagasinent progressivement de l'énergie. Si la fréquence des vibrations est proche de la fréquence
propre de l'immeuble, ce dernier subit des oscillations d'amplitude croissante jusqu'à devenir instable et
s'effondrer.
Afin de réduire les effets de la résonance sur les immeubles, des systèmes d'amortissement, tels que les
pendules et les amortisseurs, sont installés au sein des immeubles pour dissiper l'énergie cinétique des
vibrations.
D'après htp:/rustmyscience.com/resonance-dangers
Questions:
415
Page 43
| | Section N° d'inscription
| Nom et Prénom
| | Date et lieu de naissance
Log 11
Figure 6
Figure 3 F
Figure S Figure9
SS
Page d4
EXAMEN DU Session Épreuve : Section :
BACCALAUREAT de contrôle Sciences Physiques Mathémati
SESSION 2018 YSIq atnematiques
Corrigé
Chimie
Exercice 1
1) a-
Equation chimique 21 + SOS D LI, + 2S07
Etat du système Avancem enty Concentration en( mol.L'1)
olumique
Initial 0 CiV CV 0 0
intermédiaire x CiV-x | COV-x x 2x
final Xf C1V-xs CV -xs Xf 2xf
b- La courbe (a) correspond à l’évolution de la quantité de matière des 1ons l'. en effet, la
décroissance de [° est deux fois plus grande que celle de S,05 .
2) a- La courbe (b) montre qu’à l’état final l’avancement final xs est égale à la quantité
de matière initiale des ions S,O$". S,OS" est le réactif limitant. x = 2.10* mol.
b-n, = 5.10” mol, 15, = 2.10 *mol
3)
n, —2Xx n, —2Xx
IT | NT y NE SO mI.
‘ 2V 2|T | f
3
v(0) = 210
5,10 * mol.min‘.
Page 45
Exercice 2
1) a- | |
A
Pont électrolytique
3) a-
Equation chimique Ni + Co* [ Ni + Co
Etat du système | Avancement Concentration en( mol.L'!)
Initial 0 - C2 Ci -
intermédiaire y - C2+ y C1-y -
final Yf - C2+ vs C1- ve -
Page 46
Physique
Exercice 1
1) a-
(K)
te
iA
(B)
10e ®9 VO
oo
]
b- E(t) est constante égale à 9 V lui correspond & donc #1 correspond à ur(t).
Ldu(O
R
| R+D, GE
dt R
R
D'où: LeO
, 1, RE
T L
L
T =
R+r
R
3) On remplace la solution dans l’équation différentielle on obtient : U, = R E
" +T
4) a- r= RE _R:r-100.
U Rm
5) a- En absence d’un agent extérieur excitateur, les oscillations de la tension up(t) sont
libres. Elles sont amorties car 1l ya décroissance de l’amplitude au cours du temps.
Le régime d’oscillations est pseudopériodique.
b- Il s’agit d’une décharge oscillante. D est un condensateur.
6) Entre les instants ti et t> le condensateur est en phase de charge car la tension entre ses
bornes augmente en valeur absolue.
Page 47
7) a- L’énergie électromagnétique
1 1. 1 du 20
= Lo p(t)+Lric
. (Lt) = Lou,u,(t)
(y +11c
. (2).
b- A [start ti, up(ti) est nulle. Donc l’énergie est Ourement magnétique.
dt.
C-
À
Œ = - 27 = — 3,76.10° Vs !.
2,5.10
LacapacitéCducondensateurest: C = -
Exercice 2
1) a- L'énergie d’un atome ne peut prendre que certaines valeurs particulières.
b- Eo est égale à la valeur absolue de l’énergie de l’état fondamental de l’atome
d'hydrogène.
2) E (eV)
E, ,, =0
Es = - Ew36
Es = - Eo/25
E4 = - Ew16
E3 = - Eo/9
E2 = - Ev/4
LT
NT
71
E1 = - Eo
E
3) -E,<E, <-E, +0,9E, = — mn ;1<n<3,16 ; L’atome d'hydrogène ne peut
|
b- ÂË; , —AË,, — EG 16) > E, — 13,6 eV
Page 48
5)
AE=-RC DR =, +02 3,4 + hc
ke À\e À\e
pour À = 450 nm, E, = — 0,64 eV ne correspond à aucun état
de l'atome d'hydrogène.
pour À = 487 nm, E, = — 0,85 eV la radiation (b) correspond à l'une
des transitions de Balmer.
Page 49
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Épreuve : Sciences Physiques
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION
Section : Mathématiques
œ6e0ee
EXAMEN DU BACCALAURÉAT Durée : 3h Coefficient : 4
Chimie : (7 points)
Exercice 1 : (3,75 points)
Toutes les solutions sont prises à 25°C, température à laquelle le produit ionique de l’eau est Ke = 104.
On néglige les ions provenant de l’ionisation propre de l’eau.
Une monobase est considérée comme faiblement ionisée dans l’eau si le taux d'avancement final de sa
réaction avec l’eau est inférieurà 5.10.
On dispose de trois solutions aqueuses (S1), (S2) et (S3) respectivement de monobases B, B2 et B3 de même
concentration molaire Co = 10” mol.L''. La mesure, dans un ordre quelconque, du pH de ces solutions a
donné les valeurs: 13,0 ; 10,8 et 11,1.
Sachant que les trois bases sont classées par ordre croissant de basicité comme indiqué ci-dessous :
B B; B; > Ordre croissant de la basicité
y
abscisse x dans le repère (O, i ) (voir figure 3). si "
Les frottements sont supposés négligeables. MEeS
On écarte (C) de sa position d’équilibre jusqu’au point Ms d’abscisse x < 0. A l’instant t = @, on
l’abandonne avec la vitesse ÿ, = v,i,avec v,> 0. On prendra l’énergie potentielle de pesanteur E,, nulle.
1) a- Etablir l’équation différentielle régissant les variations de l’élongation x de G en fonction du temps.
b- En déduire que l’énergie mécanique E du système (S) se conserve au cours du temps.
2) La courbe (&) de la figure 4 représente l’évolution de l’une des deux formes d’énergie (cinétique ou
potentielle élastique) du système (S) au cours du temps. Energie (10° J)
a- Justifier que cette courbe correspond à l’évolution de Î . —
l'énergie potentielle élastique E,.(t) du système (S).
b- On prendra x(t) = Xwsin(@ot + @,), montrer que 12,5
Pénergie pores élastique E..(t) du système (S) | f A | VA
Page 51
2/5
En plus de la force excitatrice, le solide (C) est soumis à des forces de frottement visqueux équivalentes à
> Le —
L’équation différentielle régissant les oscillations de (C) s’écrit : m he +kix = F(t). La solution
de cette équation différentielle est de la forme x(t) = Xmsin(2zNt + qu), où Xm est l’amplitude du
mouvement de (C) et @,, est sa phase initiale.
La vitesse instantanée du solide (C) a pour expression : v(t) = VA sin(2rNt + @,), où VA est l’amplitude de
la vitesse et @, est sa phase initiale.
1) Un dispositif approprié d’acquisition des données permet F(N)AT (N)
d’enregistrer l’évolution temporelle des valeurs algébriques
F(t) et T(t) = - k:x(t) respectivement de la force excitatrice Il)
et de la tension du ressort.
Pour une valeur Nyjde la fréquence N, on obtient alors les
courbes (F) et (I) de la figure 5. t(s)
a- Justifier que la courbe (IF) correspond à F(t).
b- En exploitant les courbes de la figure 5, déterminer la
fréquence Nos, l'amplitude F,, de la force excitatrice et le
déphasage A = @r - Pr.
c - Déduire que le système (S,) est en état de résonance de 0,15
vitesse à la fréquence No.
F
2) On donne: X, = 2, 2 E et V, — Se
a
résonance de vitesse se produit pour une fréquence N,, = Nos, où No est la fréquence propre
du système (S1). On fait varier la fréquence N de la force excitatrice et on mesure à chaque fois X,,, et
Vm- On trace les courbes Xn, = f(N) et V,, = g(N). On obtient alors les courbes (a) et (b) représentées
sur la figure 6 de la feuille annexe (page 5/5).
a- Identifier la courbe qui correspond à X m1 = f(N) et celle qui correspond à VA = g(N).
b- En exploitant les courbes (a) et (b) de la figure 6 de la feuille annexe (page 5/5):
b.- relever la valeur de la fréquence N,, ainsi que celle de la fréquence N,, pour lesquelles se
produisent les résonances respectivement d’élongation et de vitesse ;
b2- déterminer les valeurs de h et k; sachant que F,, = 2 N.
Exercice 2 : (4 points)
On tend horizontalement une corde élastique souple de longueur L = OE = 1 m et de masse négligeable ;
son extrémité O est attachée à une lame vibrante, tandis que l’autre extrémité E est reliée à un support fixe
à travers une pelote de coton (Figure 7). La lame vibrante impose au point O un mouvement rectiligne
sinusoïdal vertical d'amplitude a = 4 mm et de fréquence N; l’équation horaire du mouvement du point O
est : Yo(t) = a.sin(2zNt + @o) pour t > 0 ; po étant la phase initiale du mouvement. La corde est alors le
siège d’une onde progressive de célérité c. On suppose qu’il n’y a pas d’amortissement des ondes.
corde élastique E x
Se sise ne
lame vibrante
Figure 7 pelote de coton
3/5
2) La courbe de la figure 8 de la feuille annexe (page 5/5) représente le diagramme de mouvement d’un
point À de la corde, situé au repos à une distance x4 = OA = 30 cm de la source ©.
a- En exploitant la courbe de la figure 8 de la feuille annexe (page 5/5), déterminer la fréquence N de la
lame vibrante et l’instant tA du commencement du mouvement du point A.
b- Calculer la célérité e de l’onde et sa longueur d’onde À.
c- Déterminer la phase initiale @A de yA(t) ainsi que @o de yo(t).
3) a- Montrer, qu’à l’instant ti, = 0,1 s, l’onde n’a pas atteint l’extrémité E de la corde.
b- Représenter sur la figure 9 de la feuille annexe (page 5/5 à remettre avec la copie), l’aspect de la
corde à l’instant t1 = 0,15.
c- Déduire, à l’instant t, les positions des points de la corde ayant une élongation nulle et se déplaçant
dans le sens des élongations positives.
Grâce aux travaux d’Isaac Newton, nous savons que la lumière qui nous paraît blanche est composée de
toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Deux siècles plus tard, l’invention de la spectroscopie permet d’obtenir
des informations sur une source grâce à la décomposition de sa lumière. Cette méthode est à l’origine de
l’essentiel de nos connaissances sur le Soleil.
A première vue, la lumière qui nous vient du Soleil donne un spectre continu...mais une observation plus
fine nous montre qu’en réalité son spectre est constitué de centaines de raies sombres appelées également
raies de Fraunhofer.. Ces raies d’absorption proviennent d’une sorte d’atmosphère entourant le Soleil,
appelée chromosphère. Le Soleil est ainsi constitué d’une partie gazeuse très chaude, appelée photosphère,
responsable de la partie continue du spectre et de la chromosphère responsable de la majorité des raies
d’absorption. Grâce aux spectres étudiés en laboratoire, il est possible de déterminer les éléments chimiques
présents dans la chromosphère en regardant si les raies de leur spectre d’émission correspondent à certaines
raies de Fraunhofer. On peut ainsi prouver qu’il existe, dans l’atmosphère du Soleil, une quarantaine
d’éléments chimiques.
http://www.cea.fr/multimedia/Mediatheque/animation/physique-chimie/spectre.swf
1) a- Expliquer succinctement l’origine des raies sombres observées dans le spectre du Soleil.
b- Décrire le spectre du Soleil si ce dernier ne comportait pas d’atmosphère.
2) Préciser, à partir du texte, comment peut-on identifier depuis la Terre les éléments chimiques
susceptibles d’être présents dans les couches extérieures de l'atmosphère du Soleil.
3) Dans un laboratoire d’astrophysique, on détermine, à l’aide d’une méthode appropriée, les valeurs
approchées des longueurs d’onde correspondant aux principales raies sombres (numérotées de 1 à 12)
présentes dans un extrait du spectre solaire.
Les résultats obtenus sont indiqués sur le tableau de la figure 10 de la feuille annexe (page 5/5).
Longueurs d’onde À en nm de
Elément chimique
Le tableau ci-contre donne les longueurs d’onde certaines raies caractéristiques
de certaines raies caractéristiques de quelques Hydrogène H |410,11434,0| 486,1 | 656,3
éléments chimiques. En utilisant ces données, Magnésium Mg |470,31516,7| 517,3 | 518,4
identifier les éléments chimiques correspondant Calcium Ca |422,51458,2| 487,6 | 526,6
aux raies étudiées et qui sont présents dans
l’atmosphère du Soleil. Reporter les résultats dans Fer Fe 438,3 | 491,9] 495,7 | 532,8
la dernière ligne du tableau de la figure 10 de la Titane Ti 466,8 | 469,1 | 498,2 | 520,8
feuille annexe (page 5/5 à remettre avec la copie).
Page 53
4/5
Section :........... N° d’Inscriphon : :: ss SÉTIS sous Signatures des surveillants
Nom et Prénom eeeees | iii eeeeeeeeeeeeeesse
:. e eee
........
|...
Date et lieu de naissance :....................... .44
eee.
Juantitede matière Quantité de matière Quantité de matière Quantité de matière Quantité de matière
-3 -3 -3
30 (10°
=
mol) 30L (10°
-3
mol) 30 (10° mol) 30 (10° mol) 30! (19° mol)
20: 20T
10: 10!
‘ 0 Sn°* Fe*
È Sn°* Fe*
0 Sn* Fe*
d Sn°* Fe’*
Sn? Fe*
Figure 2
YA (mm)
Xn1(CM Va (10° ms’)
12
Figure 8
Figure 9
Figure 6 $ D Ë
Numéro de la raie 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
SORENE
d’onde À en nm
410 | 422 | 434 | 438 | 466 | 486 | 492 | 496 | 498 | 517 | 527 | 533
Elément chimique | H Ti Fe
Figure 10
Pages54
EXAMEN DU ; , —
BACCALAURÉAT | Session Épreuve : Section:
SESSION 2017 principale | Sciences Physiques Mathématiques
Corrigé
Chimie : (7 points)
Exercice 1 : (3,75 points)
1) b-
pH(S3) = 13 = 14 + logCo:(Co= 10°! mol.L'!) par suite B3 est une base forte.
PH(S:1) = 11,1 Z 14 + logCo par suite B: est une base faible.
Il est de même pour la base B2 du fait que pH(S2) = 10,8 Æ 14 + logCo
LOPSD-PE 10P482PÉe
1)c- t, =—-10""- 1,25.10* : 2 = ——— =10""- 6,3.10°*
' Co ° C 0
<S. 107 et 4, LD: 107 par suite B1 et B2 sont faiblement ionisées.
- On néglige les 1ons provenant de l’ionisation propre de l’eau d’où (OH | = (BH' |
2
OH
- La base B est faiblement ionisée d’où [B|+C.ainsi K, = par suite
K? 2pH
. 4 1 1
K,_—= b C 2 ;] vient pH
P = —(2pKc-
7 CP pK, )+—logC
PK,) 7 108
Page 55
Exercice 2 : (3,25 points)
1) a-
Sn + Fe* nu Sn*+Fe
C - 032V
Db- Es Ein-Ekygn-0408l8gt=
Fe” /Fe
2) a- L’état initial :
n(Sn**)o = C1V1 = 0,25.0,1 = 25.10* mol
n(Fe*)o = C2V2 = 0,05.0,1 = 5.10 * mol
Donc l’état initial lui correspond le diagramme D2
2) b-
Etat initial 0 C C
Sn * |. C; TVéq y, C, -KC,
d'OÙ V4, = ———
2) c-
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Physique : (13 points)
Exercice 1 : (6,5 points)
AT) a-
R) ê (C)
7 FR
X O
1
2)b- E,, = 5 Or x = X,Sin (ot + P,) par la suite
l
E, (©) = A KA Sin? (Out + @,) or sin?a = 5 (1-cos2a)
1
2) c1- La courbe E, (t) est une fonction périodique de période T = —T, et de
1
pulsation © = 20. D’après la courbe T = 5 Lo 0,17 s par la suite
2E_.(0 2E_ (0
2) c2- E,, (0) = TK d’où x, =+ © or xo <0 ainsix, = — :
Page 57
1 2 . 2E, max 1
2) GE, = 3 À par suite X,, — k ork=IONm et
Ex = 12,5.10*
J ainsi Xm = 5.10? m
1 4, (0) 1
E, r, (0)=—KkX°
(0) à a [(1-cos2 P,) [d’où
où COS20, P, =] — ———
kX2 = —7 ainsi
jins;
T dE» T
P, = + rad OT Ce 0 <0 donc sin2@, <Oalors @, = Trad
I I
Db-N, 1
=—=—
Te, .
-25Hz ; Fën=2N;
A
ÀÂP= Pr Pr = 27 = 5 rad.
d
1) c-
7. T
Pr Pr 7 0 Pr (+=
T TH, | |
Pr —P, — 2 : Pr — (Ov 3) = 3 ; Er —P, = 0 donc le système est en état
de résonance de vitesse
F
2)a- PouN — 0; X =——#0et
Vn — 0 donc:
1
Exercice 2 : (4 points)
1) a- En lumière ordinaire, la corde paraît sous forme d’une bande floue. Ce
qu’on observe est dû à la rapidité du mouvement vibratoire des points et à la
persistance des images sur la rétine.
Page 58
2) c- ya(ta) = 0 et ( dy, <0 >
d’où La 0 rad.
= 7-27
—<=
dt x, Pa T
3) b-
y (mm)
x (cm)
3) c- Les points de la corde ayant une élongation nulle et se déplaçant dans le sens
des élongations positives se trouvent aux distances 0 ; 20 cm et 40 cm par
rapport à la source O.
Exercice 3 : (2,5 points)
3)
Raie 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 | 11 | 12
Longueur
d’onde ken | 410 | 422 | 434 | 438 | 466 | 486 | 492 | 496 | 498 | 517 | 527 | 533
nm
Elément Ca | H | Fe H Fe | Ti | Mg | Ca | Fe
Page 59
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Épreuve : Sciences Physiques
MINISTÈRE DE L'É! TI
ie : Mathématiques
Section
EXAMEN DU BACCALAURÉAT |. Durée : 3h Coefficient : 4
SE: 2017 Session de contrôle
Le sujet comporte 5 ps numérotées de 1/5 à 5/S.
La page 5/5 est une feuille annexe à rem par le candidat et à remettre avec sa c4
Chimie: (7 points)
Exercice 1 : (3, 5 points)
A 25°C, les ions ferriques Fe” réagissent avec les ions thiocyanates SCN° pour donner les ions
thiocyanatofer(Ill) [Fe(SCN)J”. Cette réaction chimique est modélisée par l'équation :
Fe* + SCN_ © [Fe(SCN)*
A une température constante et à l'instant de date t = 0 pris comme origine des temps, on mélange un
volume Vi = 20 mL d'une solution aqueuse de nitrate de fer(lll) Fe(NO;); de concentration molaire
Ci = 0,30 mol.L'* avec un volume V; = 40 mL d’une solution de thiocyanate de potassium KSCN de
concentration molaire C3 = 0,15 mol.L'*. On obtient alors un système $ de volume total V qu'on supposera
égal à Vi + V2.
Par une méthode appropriée, on détermine la quantité d'ions complexes m, dans le système S à
l'équilibre chimique , on obtient(n,2 la = 44.10% mol .
1) a- Vérifier que les quantités de matière en ions Fe” et SCN° dans le système S à l'instant t = 0 ont la
même valeur no que l’on calculera.
b- Montrer que la constante d'équilibre K relative à l'équation de cette réaction est:
+rreprésente son taux d'avancement final. Calculer la valeur de K.
2) On répartit équitablement le système S obtenu à l'équilibre dans deux fioles jaugées (F1) et (F3) dont la
contenance de chacune est de 100 mL.
2- Dans la fiole (Fi), on ajoute de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge ; on obtient un système Si.
- Préciser, en le justifiant, le sens d'évolution du système S: avant d'atteindre l'équilibre chimique.
a-Déterminer la composition molaire de Si en ions Fe”, SCN et [Fe(SCN)” à l'équilibre
chimique.
b- Dans la fiole (F3), on ajoute une faible quantité de nitrate de fer(IIl), sans variation sensible de
volume du mélange réactionnel, on obtient alors un système Sz.
Préciser, en le justifiant, le sens d'évolution du système Sz avant d'atteindre l'équilibre chimique.
Exercice 2 : (3, 5 points)
Toutes les solutions sont prises à 25°C, température pour laquelle le produit ionique de l’eau est K, = (en
A l'aide d’une solution aqueuse (Sa) d'acide chlorhydrique (H30* + C£7 de concentration molaire
Ca= 10” mol.L'!, on effectue séparément le dosage d’un volume V; = 20 mL d’une solution aqueuse (S:)
d’hydroxyde de sodium NaOH (base forte) de concentration molaire Ci et d'un volume
Va = 20 mL. d’une solution aqueuse (S3) d’ammoniac NH; (base faible) de concentration molaire Cz.
Dans chacun de ces deux dosages, on suit à l’aide d’un pH-mètre, l’évolution du pH du mélange
réactionnel en fonction du volume ajouté VA de la solution acide (S4).
Sur la figure 1 de la feuille annexe (page 5/5), sont tracées les courbes traduisant la variation du pH en
fonction de Va. Les points E et E” représentent respectivement les points d'équivalence acido-basique de
(€) et (©).
1) En exploitant les courbes (©) et (@) :
a- attribuer, en le justifiant, pour chaque courbe de dosage la base correspondante;
b- montrer que Ci = C= 10 moLL';
e- préciser le caractère (acide, basique, neutre) du mélange obtenu à l’équivalence pour chaque dosage ;
d- déterminer le pK, du couple acide/base relatifà l’ammoniac.
2) a- Ecrire l'équation de la réaction chimique correspondant à chaque dosage.
b- Montrer que ces deux réactions sont totales.
ws
Page 60
3) À l'aide d'une pipette, on prélève un volume Va = 20 mL, de la solution (S:) d'ammoniac de
concentration molaire C2 = 10! molL'! qu’on introduit dans un bécher et on lui ajoute un volume Vess
d'eau distillée. Ainsi, on prépare une solution (S”:) plus diluée que la solution (82). On dose la solution
{S'2) de volume total V”, qu’on supposera égal à Va + Ve, par la même solution acide (Sa) que
précédemment. On constate que la valeur du pH à l’équivalence augmente de 0,35 par rapport à celle
obtenue dans le dosage décrit à la question 1). Cependant, le volume de la solution acide ajouté à
l'équivalence Var n’a pas changé.
a- Expliquer pourquoi Var n'a pas subi de changement.
b- Déterminer la valeur de Ve, Sachant que le pH du mélange réactionnel à l'équivalence pour le
Es d'ammoniac
dosage de la solution dE ÿ est donné £ par la relation
cassuivante : pH = 1 (PK, -logC), où C est
2
la concentre n molaire de l'acide conjugué de l’ammoniac à l’équivalence acido-basique et K, la
constante d’acidité du couple qui lui est associé.
Les niveaux d'énergie de l'atome d'hydrogène sont donnés par l'expression : E, avec Eo= 13,6 eV
et n un entier naturel non nul.
1) a- Préciser le phénomène physique (émission ou absorption) qui se produit lors de la trans ion de
l'atome d'hydrogène d’un niveau d'énergie E, à un niveau d'énergie Em, avec m < p.
b- Montrer que l'expression de la longueur d'onde ,,, correspondant à la radiation du niveau
d'énergie p vers le niveau m (m < p) s'écrit: a (+7),1 où Ryr est une constante que
PP
l'on déterminera numériquement.
as
Page 62
2) On considère les deux séries de raies spectrales de Lyman et de Balmer dans le spectre atomique de
l'atome l'hydrogène : il s’agit de l'ensemble des raies correspondant à des transitions qui ramènent
l'atome d'hydrogène d’un niveau excité p au niveau m = 1 pour la série de Lyman et au niveau m = 2
pour la série de Balmer.
a- Déterminer (en nm) pour chacune de ces deux séries de raies
la plus grande valeur de la longueur d'onde 2. . en de la radiation émise ;
az- la plus petite valeur de la longueur d’onde 2. . de la radiation émise.
b- Situer, en justifiant, les séries de raies précédentes dans les domaines des ondes électromagnétiques.
£- Déterminer (en nm) les longueurs d'onde correspondant aux raies visibles de la série de Balmer.
Exercice 3 : (2,5 points) Etude d’un document scientifique
Le plomb 212 : une nouvelle arme redoutable contre le cancer
Le potentiel de la radioactivité pour le traitement des cancers a été très vite perçu par les scientifiques et
médecins qui ont mis au point la radiothérapie en se basant principalement sur des éléments émetteurs de
rayons bêta. Actuellement, plusieurs équipes se penchent au contraire sur l’utilisation d'éléments émetteurs
de rayon alpha pour le développement de la radio immunothérapie. La particularité du traitement qui fait
l'objet de nombreuses recherches et qui est actuellement en phase 1 de test clinique est le fait que
l'utilisation de ce rayonnement apporte plusieurs avantages dans le cas précis de la destruction des cellules
cancéreuses, Tout d’abord, la grande masse des particules alpha limite leur propagation à une centaine de
micromètres uniquement, tandis que les particules bêta, beaucoup plus petites, et donc légères, peuvent se
propager sur des zones de la taille du millimètre. La zone irradiée par les particules alpha est donc environ
100 fois plus petite, et surtout, devient comparable à la taille de la cellule cancéreuse isolée à toucher.
Ensuite, l'énergie émise par un rayonnement alpha est élevée, soit 1000 fois supérieure à celle d’un
rayonnement bêta.
Pour pouvoir être utilisé en thérapie, l'émetteur alpha doit respecter certaines contraintes : avoir un temps
de demi-vie suffisamment long pour permettre la préparation, l'injection de l'élément radioactif et son
trajet jusqu’à la cellule, mais suffisamment court pour limiter la toxicité.
Le bismuth 212 (Bi), paraît intéressant, même si son temps de demi-vie de 61 minutes est un peu court. En
fait, le bismuth 212 est issu de la désintégration du plomb 212 (Pb) par rayonnement béta. Le plomb 212
ayant lui-même un temps de demi-vie de 10,6 heures, il pourrait générer le bismuth 212 après avoir été
injecté, directement dans le corps humain. Le bismuth serait alors prêt à agir sur la cellule.
D'après un article édité par Nicolas Léwy (Responsable Editorial Culture Sciences-Chimie)
Questions :
1) En se référant au texte, préciser :
a- deux raisons pour lesquelles les chercheurs ont privilégié l’utilisation des rayonnements alpha dans la
radiothérapie au lieu des rayonnements bêta ;
b- les contraintes à éviter pour qu'un émetteur alpha soit efficace dans le traitement des tumeurs
cancéreuses.
2) Sachant que le nombre de charge du noyau de plomb est Z = 82, écrire l'équation de la transformation
nucléaire de formation du noyau de Bismuth en précisant les lois de conservation utilisées.
3) Identifier le noyau radioactif qui génère le rayonnement alpha.
Dégager à partir du texte la valeur de la période radioactive de ce radioélément.
Page 68
Section : . N° d'inscription : Signatures des surveillants
Nom et Prénom :
Date et lieu de naissance :
Feuille annexe à remplir par le candidat et à remettre avec la copie- Sciences Physiques (Section : Mathématiques)
il
Va mt)
Figure1
Figure S
ss : des phases (9 = 0)
Axe origine
Page 64
BACCALAURÉAT Session Épreuve : Section :
SESSION 2017 de contrôle Sciences Physiques Mathématiques
Corrigé
Chimie
Exercice 1
1) a- n(Fe**)o = C1Vi1 = 0,3.20.10* = 6.10 mol
n(SCN')o = C2V2 = 0,15.40.10* = 6.10 mol
d’où n(Fe**)o = n(SCN')o= 6.10 * mol = no
(a FeSNC°* ) éq
DK [FeSCN* |, CV VX à dou
Fe“ LISCN-K Mise Mende Mo-Xa)No-X4)
VV
v, v y
K= To =— — donc K = ——
X X. _ _ _
n,(1- 42) n,(1-7;)(1—7;) n,(1—T;)
0 n;
tt = 0,73; no = 6.10 mol et V = Vi + V2 = 60 mL=6.107 Ld’oùK + 100
VE (so: >
2)a;- pour la fiole F1 : K =
(n Fe* Ve Mer >
V..(n x),
A l'instant de l’ajout de l’eau 7 — ___E'Y FeSCN# /eq
Ms )y M )y
or Vi =100mL> V, =30 mL
par suite x > K ainsi le système S1 évolue dans le sens qui fait diminuer x ce qui
correspond au sens inverse (décomposition de FeSCN**).
2) a-
Fe* + SCN_ ? FeSCN‘*
àt=0 8.10% 8.10 22.10% mol
à té 8.10 4+x ea [810 4+Xe |22.10%-X mol
V.".(22.10*-x'!
ge TO Xe): 100x42+0.265x"«4-1,58. 104 = 0
(8.10 +x')"
La solution acceptable : x’64 = 5.10 mol
(ME SCN? ss
—3 ,
=1,7.10 7" mol ; (n _ —3 _
Fe* Yes, Véq — 11107 mol = Mscn- se
2) b-L’ajout, à volume constant, d’une petite quantité de nitrate de fer (III) provoque une
augmentation de la concentration molaire de Fe** par suite et d’après la loi de
modération, le système S2 tend à s’opposer à cette perturbation ce qui correspond
au déplacement de l’équilibre dans le sens direct (formation du complexe
[Fe(SCN)P*.
Page 65
Exercice 2
1) a- La courbe (©) présente un seul point d’inflexion, ce qui correspond à la base forte
(hydroxyde de sodium). La courbe (©) correspond à la base faible (ammoniac
NH) puisqu'elle présente deux points d’inflexion.
1) b- Le volume dosé des deux solutions (S1) et (S2) est le même, le volume de la
solution acide ajouté à l’équivalence acido-basique est également le même pour
les deux dosages d’où C1 = C2 = Ca = 0,1 mol.L'!.
1) c- Dosage de la solution (S1) : E° (VE: =20 mL; pHe = 7), mélange neutre.
- Dosage de la solution (S2) : E (VE = 20 mL ; pHe = 5,15), mélange acide.
1 1 IN
3) b- PH sansdilution) — 2 (p K, | logC) et PH, avecdilution) — 2 (p K, | logC ) amnsi
C
log c' — 2(p H; avecdilution) PH, sansdilution)) — 2APH;
CV, CV
or C=— (B,H* L — :C= B,H' |, VE
— ,
VB +V,e B VE
AE VV.eau
LV +V
V8 = V2 d’où log = 2ApH, donc V.. =(V, + Ve) (-1+107 7)
2 + ÂE
Or Ap HE = 0,35 ; V2 = 20 mL
et VAE = 20 mL ainsi Veau = 160 mL.
Page 66
Physique
Exercice 1
RE
D) b- dur + R +1) UR = RE , en régime permanant u, = Cte = Uo, U, = —
dt L L R +r
d 1 U, — 1 — U
1)c- u,(t)= Uo(i - e*°) d’où TR + u, =—e += U,(l-e *)=—Tor
dt T T T T
U,
0
RE
bo
du, 1!—Ug = —
RE
T L dt T L
/T\ ain; — -] 63
uk (t) = Uo(l - e°°) ainsi pourt=7T, u,(t)= Uo(l - e°) = 0,63.Uo = —.U,
63
100 = 5 V ce qui correspond à ti = 1 ms =10*$s
B- 1) a- = or Ui = 2 V: Ri = 40 0 d'où li = 0.05 A
1
1) b- Pour N = N;, La tension aux bornes du GBF est en retard de phase par rapport à
l’intensité 1 du courant dans le circuit ainsi l’effet du condensateur prédomine
( —— > Lo, autrement N1 < No) par suite le circuit est capacitif.
1
Page 67
Dee Un =U=2V—>| OA'||= 8cm ;U, = 2,55V —>|| A'B'||= 10,2cm
æ)
—27N L).I 1
2aCN,
B°
1) c2- A'NI=2 cmd’où rl1 = 0,5 V donc r = 100 ; où] = 14,1 cm d’où U =3,5 V
I
2)a-
) Us,FH =U, 2 = f |r° +G NC -27N.LY
2 ) I 2 =0,7V d’où
TN;
2)b- N,=1_1_orC=10"F;L’=0,05
H donc N2= 225 Hz
2n JL'C
Exercice 2
1) a- Phénomène d’émission.
Inspecteur : Jaafar Slimi 4/5
Page 68
l E, 1 l E
Db-E,-E, =Ej(-
m P
De pm pm er)
CC m P doncR, he C
or Eo = 13,6.1,6.10°°J: h = 6,62.10* Jss ; c = 3.108 ms! ; Ru =1,1.107 m'!
2) a- La plus grande valeur de À, correspond à p=m+l
*Pour la série de Lyman, m = 1 et p =2 d’où
hu = 1 122,3.107 =122,3nm
Ru, 1
2
*Pour la série de Balmer, m = 2 et p = 3 d’où
ja a = R[l 2 660,5.10°
= 660,5 nm
2%
2) a2- La plus petite valeur de À, m
correspond à p = 00
1 1
*Pour la série de Lyman : À, = R- —91,7,107° =91,7 nm
(5-0)
1
1 1
*Pour la série de Balmer : À, = R = 367.10° = 367 nm
Gr
2) b- Les raies de Lyman sont telles que : 91,7 nm < À < 122,3 nm : UV
Exercice 3
1) a- La propagation des particules alpha se limite à une centaine de micromètres
uniquement, tandis que les particules bêta peuvent se propager sur des zones de
la taille du millimètre.
- L'énergie émise par un rayonnement alpha est élevée, soit 1000 fois supérieure à
celle d’un rayonnement bêta.
1) b- Avoir un temps de demi-vie suffisamment long pour permettre la préparation,
l’ingection de l’élément radioactif et son trajet jusqu’à la cellule.
- Avoir un temps de demi-vie suffisamment court pour limiter la toxicité.
2
22Pb Je+ A2Bi
-
Page 69
L'’inspecteur Jaafar Slimi
Page 70
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE ci :
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION Éprainé"Stiences physiques
kAHRE Section : Mathématiques
EXAMEN DU BACCALAURÉAT STE ST
SESSION 2016 Session principale
Chimie (7 points)
L’oxydation des ions iodure L par l’eau oxygénée H:0>, en milieu acide, est une réaction chimique
lente et totale. Cette réaction est symbolisée par l’équation suivante :
Dans un bécher, on mélange à l’instant t = 0, un volume V; = 100 mL d’une solution aqueuse (S:) d’eau
oxygénée H202 de concentration C1, avec un volume V2 = 100 mL d’une solution aqueuse (S2) d’iodure de
potassium KI de concentration C2 = 0,1 mol.L' et quelques gouttes d’une solution aqueuse d’acide sulfurique
concentrée, dont on négligera le volume.
Par une méthode expérimentale convenable, on suit l’évolution de l’avancement volumique y de la réaction en
fonction du temps. On obtient la courbe y = f(t) de la figure 1.
1/4
Page 71
Exercice 2 (3,5 points)
Toutes les expériences sont réalisées à 25 °C, température à laquelle le produit ionique de l’eau est
K.= 10°. On suppose que l’on pourra négliger les ions provenant de l’ionisation propre de l’eau.
Exercice 1 (6 points)
de résistance R; ;
- sur la voie V2, la tension ua = ut) aux bornes du
condensateur au lieu de uga et ce, en appuyant sur le bouton
INV figure 2
A l'instant t = 0, on ferme l’interrupteur K. Les courbes donnant l’évolution au cours du temps des
tensions électriques upa et ua sont représentées sur la figure 3.
2/4
Page 72
1-a- Justifier que la courbe (C2)
Tension(V)
correspond à la tension L'AUE
b- Montrer qu’à t = 0, la tension ur, est
donnée par l'expression:
R;
"RU RER, 1522
2- a- Montrer que l’équation différentielle
en u s'écrit: AÉPACE e
dt FT +
où T= (R1 + R2)C est la constante de
temps.
b- En déduire que E = Uc ; où Uc est la t(ms)
8 10 12 14 16
tension aux bornes du condensateur
en régime permanent. Donner la figure 3
valeur de E.
3- a- Déterminer la valeur de R.
b- Déterminer graphiquement la valeur de + . En déduire la valeur de C.
la tension u(t) ;
- la valéur efficace de la tension u,, (t) est dr =:5,3 V.
Exercice 2 (4 points)
On donne :
Masse d’un noyau de fer 39Fe: m(39Fe)=58,9348755 u
Masse d’un noyau de cobalt Co:m( $7Co)== 58,9331950 u
Masse d’un électron : m(électron) = 0,000 548 u
Lu = 931,5 MeV.c? = 1,66.1077 kg
1eV=1,6.10 J
Le noyau du fer Fe est radioactif de période radioactive T. Il se déni spontanément en un
noyau de cobalt 5 Co avec émission d’une particule 4 X.
1- a- Ecrire, en précisant les lois utilisées, l’équation de désintégration de 5 F
b- Nommer la particule émise et expliquer son origine.
3/4
Page 73
2- Calculer, en MeV, l’énergie W libérée par la désintégration d’un noyau S2Fe :
3- On désire mesurer l’activité A(t) d’une substance de ÿFe radioactif. Pour cela, on dispose, à t = 0, d’un
échantillon de ÿFe , de masse mo = 1 mg et d’activité A9. Chaque dix jours, on mesure l’activité A(t) de cet
A(t
échantillon. On remarque que
ro = 1,17 ; t étant exprimé en jours.
A(t+10)
a- Définir l’activité A d’un échantillon radioactif et donner son expression en fonction de As, de la constante
radioactive À et du temps t.
b- Déterminer la valeur de À et en déduire celle de T.
c- Calculer A.
4- La masse de 39Fe désintégrée à un instant t, est notée m(f). Déterminer la valeur de m4 à l'instant
ti = 10 jours.
Le véhicule de l’information
Vous avez déjà jeté un caillou dans l’eau, j’imagine. Vous perturbez à ce moment là la surface, qui était
plane, en faisant apparaître des vagues. Ces vagues ne restent pas sur place, elles n’existent qu’en mouvement.
Vous venez de voir un premier exemple d’onde. Mais il n’y a pas que là que l’on rencontre des ondes
mécaniques. Si vous donnez à une extrémité d’une corde élastique un mouvement brusque, vous allez voir une
déformation de la corde se déplacer jusqu’à l’autre bout. Là encore les mouvements qui agitent une corde
élastique tendue est également une onde. Mais cet exemple nous permet aussi de mettre en évidence que la
matière dans laquelle l’onde se propage ne bouge pas. La perturbation que vous avez crée s’est déplacée, mais
la corde n’a pas bougé. De même, si vous imaginez un bouchon flottant sur l’eau, si une petite vague passe, elle
soulève le bouchon, puis le repose, mais en aucun cas, le bouchon n’a été emporté par la vague ! Il est resté sur
place.
Une onde, qui est le phénomène résultant de la propagation d’une succession de perturbations dans un
milieu donné, n’est pas accompagnée de déplacement de matière. C’est finalement juste de l’énergie qui se
propage : en effet, il faut de l’énergie pour soulever le bouchon, et de même, il faut de l’énergie pour créer une
impulsion sur une corde. La vague contient donc de l’énergie. Mais elle n’est pas accompagnée d’un
déplacement d’eau.
Les ondes jouent de ce fait un grand rôle pour nos sens, car l’énergie qu’elle transporte, c’est aussi de
l'information pour nous. Nos yeux et nos oreilles sont là pour capter ce que la lumière ou le son, qui sont des
ondes, nous transmettent, sans avoir besoin que la matière soit déplacée.
D'après : http://www.e-scio.net
414
Page 74
Baccalauréat 2016 Sc. Physiques. Section : Mathématiques
Corrigé : session Principale
Chimie
Exercice 1
C,V
l)a- [],=-22- ; [N°], =5.10"mol.L"
OVH V, | L
b- [H,0, 1, — 1T1
CV
V,+V,
C-
CV, C,
C- [EL O , I, —Y, = 0 ;VEV, =Y;, D. =Y, ; C, = 4.10 mol.L"
C, C,
1/3
Baccalauréat 2016Sc. Physiques. Section
: Mathématiques. Session principale
Page 75
Y. 107 - PK,
4)a-T, = ; C, =1,28.107? mol.L”
C’, C,
C2 = SC°2= 64.10? mol.L'!
b-2pH° — pKe - log C’2 = pK: ; pKa= 9,2
Physique
Exercice 1
I-
1) a-ur1 = Rii ; le circuit comprend un condensateur, en régime permanant I = 0 donc la courbe (C2)
correspond à ur1(t).
E R
b- àt=0,uc=0,
i= ————— DUg = E—— uc
R, +R, R,+R, Ur, ——
2) a- Loi des mailles : ue + ur1 + ur2 —-E = 0 «
——° +— =— ; avec
t = (R1 + R2)C
dt T T C
À
b- En régime permanent
UR2
du —_—_———>
—€©=Q
dt car w = constante = Uc: Ue=
° E = 10 V. — 1] CD
CC
ER ur,
= Rte, RO
3) a- D’après 1) b- :
àt=0;u, =5V;R,=10Q
2) a-I=—"=53mA Ur
R 1
b- AG = pi - Qu = Trad.
(__Lo) LR +r)
c-t8A@
=1 = = j,= €_____-0,157H
R,+r ®
Exercice 2
1) a- On a conservation du nombre de masse et du nombre de charge :
Fe —> ‘X + Co
b- La particule émise est un électron.1l provient de la transformation d’un neutron en un proton au sein
du noyau. ( on — IP + e )
2) W=(m(£Fe) — me — m(7Co })e? = 1,055 MeV
3) a- Définition ; A = Aoe”t
2/3
Baccalauréat 2016Sc. Physiques. Section
: Mathématiques. Session principale
Page 76
In1,17
_ AC =€"4 =1,17, àt=0— À = Dr 1,57.107 jours”!
A(t+10)
Exercice 3 (3 points )
1) a- Une onde est le phénomène.................…. dans un milieu donné.
b- Onde le long d’une corde, onde à la surface de l’eau ou onde sonore
c- L’onde est transversale : « si une petite vague................ le repose »
2) L’onde n’est pas accompagnée de déplacement de matière, c’est juste de l’énergie qui se propage.
3) -Les ondes jouent de ce fait un grand rôle pour nos sens, car l’énergie qu’elle transporte, c’est aussi de
l’information pour nous.
-Nos yeux et nos oreilles sont la pour capter ce que la lumière ou le son qui sont des ondes nous
transmettent.
3/3
Baccalauréat 2016Sc. Physiques. Section
: Mathématiques. Session principale
Page 77
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE Épreuve : Sciences physiques
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION _—_—.
KR Section : Mathématiques
EXAMEN DU BACCALAURÉAT Durée : 3h Coefficient : 4
Chimie (7 points)
Toutes les expériences sont réalisées à 25 °C, température à laquelle le produit ionique de l’eau est
K,= 10" On suppose que l’on pourra négliger les ions provenant de l’ionisation propre de l’eau.
On considère trois solutions aqueuses (S1), (S2) et (S3) de même concentration C, de même volume
V = 20 mL et contenant respectivement, les acides A1H, A2H et A3H. L’un des acides est fort alors que les
deux autres sont faibles.
Les mesures des pH des trois solutions fournissent les résultats consignés dans le tableau suivant :
1- a- Exprimer le taux d’avancement final 75 de la réaction d’un acide AH avec l’eau en fonction du pH
et de C.
b- Classer les acides A1H, A2H et A3H par ordre de force d’acidité croissante. En déduire que A2H est
l'acide fort.
c- Justifier que C # 2.107 mol.L'!.
2- a- On suppose que les acides AH et A3H sont faiblement dissociés respectivement dans (S1) et (S3).
Montrer que pour un acide faible, faiblement dissocié en solution aqueuse, le taux d’avancement final t de
la réaction de cet acide avec l’eau s’écrit : 1, =10PH-PKa,
b- Déduire les valeurs de pK,1 et pKas respectivement, des couples A,H / A; et A;H/A;.
3- On désire avoir le même pH pour les deux solutions (Si) et (S3). Pour cela, on procède par dilution avec
l’eau distillée, en ajoutant un volume V. d’eau au volume V de l’une de ces solutions.
a- Préciser, en le justifiant, la solution à diluer parmi (S1) et (S3).
b- Sachant que l’acide considéré reste faiblement dissocié dans la solution diluée, déterminer la valeur
de Ve.
Page 78
1- Ecrire l'équation chimique associée à la pile.
2- a- Déterminer la valeur du potentiel standard E°(Cd°*/ Cd).
b- Déduire, en le justifiant, lequel parmi les deux réducteurs Fe et Cd est le plus fort.
3- A partir d’un instant pris comme origine des temps, on laisse la pile débiter du courant électrique dans un
circuit extérieur. A un instant ultérieur ti, la mesure de la fem de la pile donne E = 0,05 V et l’avancement
volumique de la réaction qui se produit spontanément vaut y = 2,49.10? mol.L'!.
a- Préciser, en le justifiant, la polarité de la pile.
b- Ecrire alors l'équation de la réaction qui se produit spontanément lorsque la pile débite du courant
électrique.
c-_ Exprimer la fem E; de la pile en fonction de Ci, C2 et y.
d- En déduire la valeur de la concentration C2.
4- L'état d'équilibre étant atteint, on désire inverser la polarité de la pile par rapport à celle trouvée en 3-4).
Pour cela, on modifie la concentration C en ions Cd” à partir de l’état d'équilibre par une méthode
adéquate. Montrer que : C < 4,9.10* mol.L!.
Exercice 1 (5 points) E
EL, R
Un circuit électrique comporte, branchés en série, un résistor de
résistance R variable, une bobine d’inductance L et de résistance r, un
générateur idéal de tension, de fem E et un interrupteur K (figure 1).
Ri = 40 Q et R) de R, on suit
1
a- Exprimer, en régime
me
2/4
Page 79
b- En exploitant les courbes de la figure 2, montrer que : ;où T, etT, sont les constantes de
Exercice 2 (5 points)
On dispose d’un vibreur muni d’une fourche à pointe unique et d’une cuve à ondes. Au repos, la pointe
verticale affleure la surface libre de la nappe d’eau de la cuve à ondes en un point S. En mettant le vibreur en
marche, la pointe impose au point S des vibrations sinusoïdales verticales d'amplitude a = 2 mm et de
fréquence N; = 40 Hz. Ainsi, une onde progressive prend naissance à l'instant t = 0 et se propage à la surface
de l’eau avec une célérité vi. On suppose qu'il n°y a ni réflexion ni amortissement de l’onde au cours de la
propagation. La figure 3 représente, à un instant tj. une coupe de la surface de l’eau par un plan vertical passant
par S, où est indiquée la position d’un point A de la surface libre de l’eau. A cet instant, l’élongation de S est
nulle. Les points S et A sont distants de d = SA =9 mm.
figure 3
13 mm
figure 4
3/4
Page 80
Exercice 3 (3 points) « Etude d’un document scientifique »
La fission nucléaire
Lorsqu'un neutron percute le noyau de certains isotopes, il existe une probabilité que le noyau percuté
se scinde en deux noyaux plus légers. Cette réaction, qui porte le nom de fission nucléaire, se traduit par un
dégagement d’énergie très important (de l’ordre de 200 MeV par évènement).
Cette fission s’accompagne de l’émission de plusieurs neutrons qui, dans certaines conditions, percutent
d’autres noyaux et provoquent ainsi une réaction en chaîne. Dans un réacteur nucléaire, cette réaction en chaîne
se déroule dans des conditions stables, à vitesse lente et contrôlée. Dans une bombe, où la matière est placée
brusquement très loin de son domaine de stabilité, la réaction se multiplie si rapidement qu’elle conduit à une
réaction explosive.
L'importance de l’énergie émise lors de la fission provient du fait que l’énergie de liaison par nucléon
du noyau initial est plus faible que celle des noyaux produits (environ 7,7 MeV par nucléon pour les éléments
lourds, contre 8,8 MeV par nucléon pour le fer). La plus grande partie de l’énergie se retrouve sous forme
d’énergie cinétique des neutrons et des noyaux fils, énergie récupérée sous forme de chaleur dans les réacteurs
conçus pour produire de l’énergie électrique.
D'après : Energie nucléaire - Wikipédia
414
Page 81
BAC 2016 Session de contrôle
Corrigé de l’épreuve des Sciences physiques Section : Mathématiques
Chimie
Exercice 1
10°
)
1)a- TC
7,=
Tu (T3 (To
A1H A3H A2H » Acidité croissante
Comme l’un des acides est fort, alors A2H est l’acide fort
2 _
+
+ _
57.
. _= 10 PH -pK,
Da- T, = 107 s K, = EP = [0 ] _ —
b-pK: = pH - logt:
10"
T1 = = 1,25.10À
—pH;
T3 — 10 = 1,77.107
pKa1 = 5,5
pKa3 = 5,2
3) a-La dilution d’une solution acide entraine l’augmentation de son pH, donc on dilue (S3)
, 10
b- T 3 CV. ; V. = V =20 mL
V4 V.
Exercice 2 (3,5 points)
1) Fe+ Cd > Fe*+ Cd
2)a- E° (Cd /Cd) = E%Fe’*/ Fe) + 0,03 logK
E° (Cd’* / Cd) = - 0,40 V
b-E° (Cd*/Cd) > E°Fe”* /Fe) = Fe est le réducteur le plus fort
C, — Y C, —Y
E,—E°
BAC 2016. Session de contrôle. L'épreuve des Sciences physiques. Section : Mathématiques. 1/3
Page 82
4)A l'équilibre: K= Te , y, = QG 5 Ye =9,51.107 mol.L”
C; y: K+1
Pour inverser la réaction IT> K € < (C2 — yr = 4,9.10 mol.L'!)
Physique
Exercice 1
du
nt
u
CC <—
—R} R=E ; avec = L Ur
dt T L R+r
i Ÿ
uB VW
du ? K
b- En régime permanent, ES = 0
R
U,=E
R +r
R R
2) a- U, = E——" 5 U, = E——
! R+r ? R,+r
b- Ur, _R R,+r_8_R 7
Ur, R, RH 9 R,7
D
c-71 = 10 ms et T2 = 5 ms
9R 7,
d-R,= =90 Q
ST,
3aRtT_H2 ; r=10Q
R,+r 7,
CR, +r
b-E=— Us, 3 E=10V
1
L=r(R,+r) ; L=05H
Exercice 2
1) a- d=1.85 À: ; À1 = 6 mm
ct =2T; = 50 ms
dy,
2)a- t2=2T:+T1/4; le front d’onde a avancé de À1/4 entre t1 et t2 et | > 0 donc A est au sommet
tu
d’une crête.
BAC 2016. Session de contrôle. L'épreuve des Sciences physiques. Section : Mathématiques. 2/3
Page 83
C- Ps=7T rad.
3) a- 4}2=13mm ; A2 = 3,25 mm
Exercice 3 (3 points )
1) a- La fission nucléaire est une réaction nucléaire au cours de laquelle un noyau percuté par un neutron
se scinde en deux noyaux plus légers.
b- c’est une réaction provoquée le noyau est percuté par un neutron.
c- « la fission s’accompagne de l’émission de plusieurs.................…. en chaîne »
2) a- L’énergie libérée provient du fait que l’énergie de liaison par nucléon du noyau initial est plus faible
que celle des noyaux produits.
b-Produire de l’énergie électrique.
3) Dans un réacteur nucléaire la réaction en chaîne se déroule dans des conditions stables à vitesse lente et
contrôlée.
BAC 2016. Session de contrôle. L'épreuve des Sciences physiques. Section : Mathématiques. 3/3
Page 84
REPUBLIQUE TUNISIENNE
PENISTERE, BE CEDUEATION Epreuve : SCIENCES PHYSIQUES
Chimie (7 points)
Exercice 1 (3 points)
On prépare, dans deux erlenmeyers propres et secs à l’instant t = 0, deux mélanges homogènes (A) et (B)
identiques et équimolaires formés d’acide méthanoïque (HCO2H), d’éthanol (CH;CH2OH) et de quelques
gouttes d’acide sulfurique concentré, pris comme catalyseur. Immédiatement après, on place :
-_ l’erlenmeyer contenant le mélange (A) dans un bain d’eau glacée ;
- l’erlenmeyer contenant le mélange (B) dans un bain porté à une température constante de 50 °C, après
l'avoir équipé d’un réfrigérant à air.
A Finstant t| = 10 min, la moitié
du volume du mélange (A) est retirée du bain d’eau glacée et
immédiatement dosée par une solution aqueuse (Ss) de soude (NaOH) de concentration € = 1 mol.L'!, en
présence d’un indicateur coloré approprié. Le volume de (Sr) ajouté à l’équivalence est Via = 15 mL.
À l'instant & = 20 min, on retire, du bain d’eau glacée, l’autre moitié du mélange (A) et on refait la même
expérience précédente de dosage. Le volume de (Ss) ajouté à l’équivalence est Vis = 15 mL.
Le mélange (B) est le siège d’une réaction chimique qui atteint l’état d’équilibre à l'instant #3, moment à
partir duquel le mélange obtenu est dosé par la même solution (Sp). Le volume de (Sp) ajouté à l'équivalence
est Vp = 10 mL.
Pour chacun des dosages, on supposera négligeable la quantité d’ions H3O* provenant de l’acide sulfurique
devant celle provenant de l’acide méthanoïque.
1- Donner le nom de la réaction qui apparaît dans le mélange (B) avant d’atteindre l’équilibre et préciser les
propriétés qui la caractérisent.
2- a- Justifier le résultat expérimental Via = V2a, bien que t: # t2.
b- Montrer que la quantité de matière initiale no d’alcool dans le mélange (B) est no= 3.10? mol.
3- a- Déterminer la valeur du taux d'avancement final tr de la réaction qui se produit dans le mélange (B).
b- Préciser la propriété caractéristique, de la réaction qui se produit dans le mélange (B), qui est confirmée
par la valeur trouvée de 75.
4- Dans le but d'augmenter expérimentalement la valeur de 1; pour le mélange (B), préciser, en le justifiant, si
chacun des cas suivants y convient :
a- augmenter la quantité d’acide sulfurique ;
b-_ éliminer, par un moyen approprié, la quantité d’eau au fur et à mesure qu’elle se forme.
Exercice 2 (4 points)
Toutes les solutions sont considérées à 25 °C, température à laquelle pK. = 14.
On considère une solution aqueuse (Sa) d’un acide faible AH de concentration Ca = 0,1 mol.L'! et de
pH = 2,9. On suppose que l’on pourra négliger les ions dus à l’ionisation propre de l’eau.
1- Dresser le tableau descriptif d'avancement volumique noté y, relatif à la réaction de l’acide AH avec l’eau.
1/5
Page 85
2- a- Exprimer le taux d’avancement final 1, de la réaction de l’acide AH avec l’eau, en fonction du pH et de
Ca. Calculer la valeur de x.
b- Montrer que la constante d’acidité Ks, du couple acide / base AH / A, peut s’écrire : K, = 107",
1-7, °
c- Vérifier que le pK, du couple AH / A° s'écrit : pK, = pH - logtr. Indiquer l’approximation utilisée.
3- Maintenant, on prépare, par dilution à l’eau distillée à partir de (SA), deux solutions aqueuses (Sas) et (Sa)
de même volume V = 50 mL et de concentrations respectives Car et Ca. En fait, pour obtenir (Sa), on
dilue deux fois un volume vor de (Sa) et pour obtenir (Sa2) on dilue dix fois un volume va de (S4).
a- Préciser la valeur de vor.
b- Décrire brièvement le mode opératoire qui permet de préparer (Sa;) en indiquant le matériel adéquat.
On dispose de: un flacon d’un litre de (S4); une pissette remplie d’eau distillée: fioles jaugées de
50 mL, 100 mL et 250 mL ; béchers de 100 mL ; pipettes jaugées de 5 mL, 10 mLet 25 mL: agitateur.
c- Les concentrations, les pH des solutions
précédentes et les valeurs des tr correspondants Solution = T (S4)_| (San | Ex)
sont consignés dans le tableau ci-contre. Concentration (mokL®) | 0,1 =
€1- Reproduire puis compléter le tableau précédent LPH 2,90_| 3,05
en faisant les calculs nécessaires. LT 0.0125 | -.… | 0,0398
€2- Calculer la valeur du pK, du couple AH / A°.
€- Identifier, en le justifiant, le couple AH / A' parmi les couples donnés dans le tableau suivant :
A / Expérience 1
On écarte le solide (S) de sa position d'équilibre d'une distance d et on le lâche sans vitesse initiale, il se
met à osciller. A l’aide d’un dispositif d'enregistrement approprié, on obtient la courbe de la figure 2 de la
page 5/5 représentant les variations de l’élongation x(t}.
1- Montrer que lors de son mouvement, le solide (S) est soumis à des forces de frottement.
2- On assimile la pseudopériode T à la période propre To des oscillations. Déterminer la fréquence propre No
des oscillations.
3- a- Exprimer l’énergie mécanique E du système {(R) + (S)} en fonction de m, k, x et v.
b- Soient Eget E les valeurs des énergies mécaniques du système {(R) + (S)}, respectivement aux instants
to = 0 et ti = 2T0. On note Xmo et Xm, les amplitudes respectives des oscillations à ces deux instants.
2
2/5
Page 86
E :
e- Calculer -. En déduire que E ne se conserve pas.
0
B / Expérience 2
Les forces de frottements exercées sur le solide sont équivalentes à une force de frottement visqueux
f = -hŸ ; où h est une constante positive et V' est le vecteur vitesse instantanée du solide (S).
Un excitateur transmet au système {(R) + (S)} une force excitatrice F( parallèle à l'axe du ressort et
d’expression F () = Fusin(2rNet). © , d'amplitude Fa constante et de fréquence N, réglable.
Le système {(R) + (S)} oscille en régime sinusoïdal forcé; où lélongation de G s'écrit
X(9 = Xn-Sin (2ANet + px) ; avec XA Son amplitude et px sa phase initiale. L’équation différentielle qui régit
d° d
le mouvement de G s’écrit: mr + ne + kx =F,.sin(2rN.t).
Pour une valeur N, de la fréquence N. de l’excitateur, on obtient la construction de Fresnel associée à
lPéquation différentielle du mouvement du solide (S), telle que représentée par la figure 3 de la page 5/5 à
remplir par le candidat et à remettre avec sa copie.
1- Compléter les indications qui manquent sur la construction de Fresnel de la figure 3 de la page 5/5.
2
: N 3
2- En utilisant la construction de Fresnel, montrer que : NT & 0,777. En déduire la valeur de Ni.
0
1- Ecrire l’équation horaire ym(t} du mouvement d’un point M de la surface de l’eau, situé au repos, à une
distance radiale & = SM de la source S.
2- La figure 5 de la page 5/5, schématise l’aspect de la surface de l’eau à un instant t = 0 à l’échelle 1/2 (2 em
de la surface de l’eau correspondent à 1 em sur la figure). Les points situés à la distance D = 4,5 cm de S
sont atteints par les ébranlements à l'instant t= 0.
Les crêtes sont représentées par des cercles en traits continus, alors que les creux sont représentés par des
cercles en pointillés.
a- Déterminer, à partir de la figure 5, la valeur de la longueur d’onde À.
b- Calculer la valeur de la célérité v de l’onde.
<- Justifier qu’à l'instant t = 6, l’élongation du point S est y;= -2 mm.
315
Page 87
d- Déterminer la valeur de @.
e- Déterminer la phase initiale g, de y.(t).
f- Représenter, sans faire de calcul et en le justifiant, à l’échelle 1 (1 em de la surface de l’eau correspond à
1 cm sur la figure), l’aspect d’une coupe transversale de la surface de l’eau par un plan vertical passant
par le point S à l'instant t= 0. :
3- Dans cette partie, on excite périodiquement Ja surface de Figure 6
l’eau à l’aide d’une réglette mince. On obtient des ondes
rectilignes progressives de célérité v = 0,4 ms! et de
fréquence N = 20 Hz. On place un obstacle muni d’une fente
F de largeur a1= 0,5 cm sur le trajet des ondes (figure 6).
a- Représenter, sur la figure 7 de la page 5/5 et à l’échelle 1/2, l’aspect de la surface de l’eau au-delà de la
fente F en supposant que toute la surface de l’eau est atteinte par l’onde. Justifier.
b- Justifier que la célérité de l’onde se conserve avant et après la fente F.
La Recherche — le 01 / 07/ 2009 mensuel n° 432- Jean — Christophe Sabroux, IRSN Gif-sur-Yvette
On donne : 1 an = 31,536.10° s.
Pour répondre aux questions, on se réfère au texte.
b- En déduire que : À = DE
3- Citer les difficultés expérimentales qu’on peut rencontrer lors de la détermination de la période d’un élément
radioactif.
4/5
Page 88
Signatures des
Section : …........... N° d'inscription: ….............. Série: surveillants
Nom et prénom 25m
mar nee nm ni nannnsiee
Date et lieu de naissance : ss
Physique — Exercice 1
®—,
Figures ae des phases
;
2 =1,74N
Fn= 0,707 N
.=0,50N
srévesense =2,24N
Physique — Exercice 2
Figure 5 Figure 7
5/5
Page 89
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session principale Corrigé
Exercice 1 Chimie
1- La réaction qui se produit dans le mélange (B) est l’estérification. Elle est lente, limitée et athermique.
2- a- Dans le mélange (A), la reaction est pratiquement bloquée. Certes, la quantité initiale d-acide reste
inchangée.
b- Naiinitial = Nacinitian =N0= C.(Via+ Voa)= 1x 30.10 = 3.10° mol
X ns
3-a- = —7 = SM en- CVs= 3.107 -1.10.10° = 2.10? mol —>;= 2/3
X max no
Exercice 2 Chimie
1-
2- a- T= ft le0"l
A] 14:0° D T= ——
107P# > 7 =1,25.10-2
[AT ©, Ca
_ 0 =
0] [4,0*{r,C,) 1077,
= =
Page 1 sur 4
Page 90
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session principale Corrigé
Exercice 1 Physique
Expérience 1
1- D’après la figure 2, l'amplitude des oscillations diminue au cours du temps. En mouvement le solide (S) est
soumis à des forces de frottement.
2- T=7T,=0,628s
; No= —S 1,59 Hz.
0
percer ME
2 2
Kx
EX ?
KX ?
m0 ;t1=27T0 —ÿ =0etx=X,: D = Tu
b-tt=0=—Dv=0etx=X,0 T—E%0=
E E
c- —!= 0,045 ; Tr < 1 VE <E TDEnese conserve pas.
0 0
Expérience 2
1- La construction de Fresnel :
® << __L
«
4
;
,
KX mn = 2,:24N
4; —P,+9,—@, = 5 rad, or @, — PET rad, > or o,; —-p, =0, d'où le système {(R) + (S)} est le siège
Page 2 sur 4
Page 91
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session principale Corrigé
Exercice 2 Physique
1- m{t)
= 0 pour
t <0
L’équation horaire yu(t) :
2- a-À=2cm
b- v = LSAN=04 ms".
À k à . à
c- SP=1cm= 3 ; avec P un point appartient à la crête la plus proche de S => S est un point, d’où
ys = -2 mm.
d- 6 = D 112,5 ms.
V
f- ys(t=0)=-2.10* m.
D= 2,25 À
Figure 7
D)
+
NN KK
|
b- Le milieu propagateur de l’onde est la même avant et après l’obstacle : donc la célérité se conserve.
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Page 92
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session principale Corrigé
Exercice 3 Physique
1-a-T : durée nécessaire pour que la moitié des atomes de cet élément, initialement présent dans un
échantillon, ait disparu par désintégration radioactive.
b- A : le nombre de désintégration qui se produisent par seconde.
—
2-a-A=
k, ;A=kKN D A=
EN
—
T T
b- k= AL + 0,69
N
3-
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Page 93
REPUBLIQUE TUNISIENNE É :
MINISTÈRE DE L'EDUCATION Épreuve : SCIENCES PHYSIQUES
66060 = :3H
EXAMEN DU BACCALAUREAT es
Coefficient : 4
SESSION 2015
Section : Mathématiques Session de contrôle
Chimie (7 points)
B/ On considère la pile (P) prise dans les conditions standard et formée par deux compartiments 1 et 2
contenant respectivement les couples Pb / Pb et Zn’/ Zn. Une mesure de la fem de cette pile, à 25 °C,
donne : E = -0,63 V.
On donne : E° (Pb”* / Pb)=- 0,13 V ; E° (Zn°* / Zn) = - 0,76 V.
On suppose que durant le fonctionnement de la pile, aucune des électrodes ne sera complètement
consommée et que les volumes des deux solutions dans les deux compartiments de la pile restent constants et
égaux.
1- Ecrire l’équation chimique associée à cette pile. Justifier.
2- Ecrire, en le justifiant, l’équation de la réaction qui se produit spontanément lorsque la pile débite un
courant.
3- a- Déterminer la valeur de la constante d'équilibre relative à l’équation chimique associée à la pile (P).
b- Calculer les concentrations des ions Pb” et Zn°* lorsque la pile (P) devient usée.
Exercice 1 (6 points)
On ferme l'interrupteur K et on mesure l’intensité efficace I du courant électrique qui circule dans le
circuit pour différentes valeurs de la fréquence N. L'évolution de I'en fonction de N est représentée par la
courbe de la figure 3 de la page 5/5 à remplir par le candidat et à remettre avec sa copie.
Pagg 95
1- A la résonance d’intensité, déterminer graphiquement :
- la valeur No de la fréquence ;
- la valeur I, de l’intensité efficace du courant électrique.
2- On règle la fréquence à la valeur N = Nç et on branche en parallèle aux bornes du résistor un voltmètr
B / Expérience 2
La fréquence N est maintenant fixée à une valeur N; différente de No. Cette fréquence Ni est égale
lune des deux valeurs (257,5 Hz et 285 Hz) signalées sur la figure 3 de la page 5/5.
Un oscilloscope bicourbe convenablement branché au circuit, a permis de visualiser simultanément le
tensions instantanées u(t) et ug(t) (aux bornes du résistor) -
respectivement sur ses voies X et Y. On obtient les ï -
oscillogrammes de la figure 4. L 1
3- Compléter
À
la figure 5, de la page 5/5 à remplir par le \
candidat et à remettre avec sa copie, en indiquant les A
connexions adéquates à l’oscilloscope qui ont permis de \
visualiser simultanément les tensions instantanées u(t) et ut).
4- a- Sachant que la sensibilité verticale est la même pour les deux | |
voies X et Y de l’oscilloscope, montrer que l’oscillogramme | \ [\l
(Ci) correspond à u(t). | IT M
b- En exploitant les oscillogrammes de la figure 4 : Î \ |
bi- justifier que la fréquence Ni est différente de No: \ Î 1
b2- justifier que le circuit étudié est inductif. Préciser alors \ À ï
laquelle des deux valeurs de N (257,5 Hz et 285 Hz) | ++ Î figure4 —
signalées sur la figure 3, celle qui correspond à Ni;
b3- déterminer le déphasage entre u(t) et i(t) (l’intensité instantanée du courant électrique qui circule
dans le circuit) : AP = Qu - Qi.
1
5- a- Montrer qu'on a : 2aN,L - c” 60.43 Q.
Un réacteur à eau pressurisée n’est autre qu’un dispositif élaboré destiné à chauffer de l’eau, avec à
l’intérieur de la chaudière une pression de 155 bars et une température de 310 °C. Le principe d’un tel réacteur
est d’entretenir en permanence des réactions de fission de noyaux d’uranium ou de plutonium au sein d’un
milieu, appelé « cœur du réacteur ». Chaque fission, induite par les neutrons présents dans le cœur, dégage une
énergie de l’ordre de 200 MeV, et produit deux ou trois neutrons supplémentaires, dont l’un sert à entretenir la
réaction en chaîne, les autres étant absorbés dans l’eau, les structures ou perdus hors du cœur. Un réacteur à eau
pressurisée est de la famille des réacteurs, dits « à neutrons thermiques ».
On suppose que le seul matériau fissile est 235U. Les nombres indiqués sont des ordres de grandeur.
100 fissions de 233U libèrent en moyenne 250 neutrons qui donnent lieu à ce qui suit :
- (n): 100 neutrons provoquent 100 nouvelles fissions, entretenant ainsi la réaction en chaîne et
consommant 100 noyaux du matériau fissile ;
- (2) : 70 neutrons subissent des captures fertiles par 70 noyaux 3£U. Chaque capture fertile produit un
noyau de plutonium fissile 232Pu et deux particules 4X ;
- (3) : 75 neutrons subissent des captures stériles entre autres par des structures du cœur du réacteur ;
- (r4) : 5 neutrons fuient hors du cœur.
(D'après Commissariat à l'énergie atomique « L'énergie nucléaire du futur : quelles recherches pour quels objectifs? »)
Pegg 97
Signatures des
Section: ……...........…. N° d'inscription: ….............. Série: | Surveillants
Nom et prénom :
Date et lieu de naissance
I (A)
0,150
CO PE ES ER ER ER ER ER EE A A PR D D ER A A D A D PE A 1
0,100
C2 8 2 SD A PS PS D PP, PS 1|
0,050
Oscilloscope
R @r) €
®
Pagf 28
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session contrôle Corrigé
Exercice 1 Chimie
1-
Exercice 2 Chimie
A/
1- a- Znest en contact direct avec un électrolyte constitué d’une solution gélifiée de KOH ; avec K est un alcalin = la
pile est dite « alcaline ».
1- E=E°=-0,63V = Et -Ec<0 = EL <E° = le couple Zn°+ | Zn est placé à droite = l’équation chimique
associée à la pile est :
Pb + 2% > Pb* + Zn
2- E<0— la réaction qui se produit spontanément est :
Pb + Zn — Pb + Zn*
E°
a- K = 1000 = 10721
pb°" L -
b- K -— | L — Po2+[. z0 et En2+ z 2 mol.L”
Zn°* ‘q l+ys
Page 1 sur 3
Page 99
Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session contrôle Corrigé
Exercice 1 Physique
A/ Expérience 1
1- A la résonance d'intensité | est maximale :
No=271HZ ; lb =0,141A
U
2- a- R = —R = 5Q
Lo
U
b-r=—-R=10Q
Lo
c- A la résonance d'intensité : 47? NÿLC=1 (1)
B/ Expérience 2
3-
Oscillosco
4-a VN,onaZ>R=2Z1,>RI,—= U, > Ur = la courbe qui a l’amplitude la plus grande correspond à u(t) — (C:)
correspond à u{t) (même sensibilité verticale).
4-b - b.- Pour N=N;,ona:ApD=m-pRr=p-p=0; or pour les deux oscillogrammes donnés Apzx0—=N ZN,
b:- uk(t) est en retard de phase sur u(t) = it) est en retard de phase sur u(t) — le circuit est inductif
— N1 = 285Hz
27 T T
b3- AP = Qu - Pur = Qu - Pi = T6 3 rad.
1
2axN1L = 2:N,C
N.C [
TT RINI
Sea te = LE 3 2 > 27aN.L - —— = 60.3 Q.
83 R+r @ 1 NC
1 .
b-(1)= C = ss (3) On remplace (3) dans (2) => L = ns = 0,6H
4n°NoL 2nN)
2nN: -
Ni
1
C = — 0,57 F
4n°N5L
Page 2 sur 3
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Section mathématiques Epreuve de sciences physiques 2015
Session contrôle Corrigé
Exercice 2 Physique
1- a- L'énergie de l’atome d’hydrogène ne peut prendre que des valeurs discrètes donc le spectre d’émission de
l’hydrogène est discontinu.
b- L'état fondamental lui correspond l’énergie la plus basse = E; = - 13,6 eV
c-E,=-3,40 eV ; E,< 0 = l’atome d'hydrogène se trouve à l’état excité.
he
2- E3 = E> < à. < - E) > À, =365nm < À, < À, = 657 nm
n
Exercice 3 Physique
1-a- Réaction de fission
b- Les neutrons produits par (r.:) ne provoquent pas tous des réactions : « chaque fission. produit deux ou trois
neutrons supplémentaires, dont l’un sert à entretenir la réaction en chaîne, les autres étant absorbés dans l’eau,
les structures ou perdus hors du cœur »..
c- Chaque fission produit deux ou trois neutrons supplémentaires, ceux-ci peuvent à leur tour provoquer la fission
d’autres noyaux et ainsi de suite.
2-a- ln + EU — <ÉPu + 2 E
> in + EU = ZÉPu + 2 0X
Page 3 sur 3
Page 101
Index Alphabetique
acide: 3,6,7,11,16,17,21,25,60,61,66,71,78,82,85,86,90,94,
acidifiée: 12,
acidité: 3,11,17,61,78,82,86,
acoustique: 24,43,
aimant: 7,
alcaline: 95,99,
alcool: 6,85,
amortisseurs: 43,49,
ammoniac: 16,30,35,60,61,66,
ampèremètre: 11,12,13,27,50,62,95,
amplitude: 4,8,9,12,13,19,27,28,31,33,43,47,51,52,80,86,87,91,100,
ampoule: 21,22,25,97,
athermique: 90,
atome: 23,24,29,42,43,48,49,62,63,88,93,96,97,101,
atomique: 19,63,97,
base: 2,3,6,16,22,30,31,36,50,55,60,66,72,75,86,
basicité: 22,31,50,
bipolaire: 42,
bobine: 3,4,5,7,8,9,12,13,17,18,22,23,31,32,37,41,61,62,73,79,95,
Bohr: 23,29,
bombardement: 14,: 0,
borne: 4,5,8,9,12,13,22,23,37,41,42,46,47,61,62,67,72,73,79,95,96,
Borvon: 7,
Bosch: 16,
cancer: 19,63,
capacité: 3,4,5,8,12,17,22,24,31,42,48,62,72,73,95,
carbone: 14,
carboxylique: 6,
catalyseur: 16,26,85,90,
célérité: 5,9,13,14,23,24,28,29,32,33,52,53,62,80,87,88,92,96,
cheveu: 13,
chimique: 2,11,12,14,21,22,26,27,30,35,36,40,41,45,46,51,53,54,59,60,71,78,79,85,90,94,95,99,
chlorhydrique: 60,
chlorure: 50,
chromosphère: 53,59,
chronogramme: 3,4,22,23,61,67,
cinétique: 16,26,27,40,43,49,51,81,94,95,99,
circuit: 3,4,5,7,8,9,11,12,17,22,23,27,31,32,41,42,50,61,62,67,68,72,73,76,79,95,96,100,
cobalt: 26,27,46,73,
condensateur: 3,4,5,8,9,12,13,22,23,31,32,37,42,47,48,62,67,72,73,76,95,
conducteur: 3,4,8,9,11,12,17,18,22,23,27,31,37,41,42,50,61,62,
courbe:3,5,6,8,12,17,18,19,22,23,26,27,30,31,32,36,37,40,41,42,45,46,48,50,51,52,
53,55,57,58,60,66,71,72,73,76,79,80,86,94,95,96,99,100,
cuivre: 7,
diagramme: 23,24,42,51,53,54,56,80,96,
diamètre: 13,14,
diapositive: 13,14,
dihydrogène: 16,30,35,97,
diiode: 26,
dilution: 17,22,30,31,36,66,72,75,78,82,86,87,
dilution: 17,22,30,31,36,66,72,75,78,82,86,87,
dioxyde: 14,
dipôle: 3,4,12,17,18,31,41,42,62,
élastique: 27,51,52,57,74,86,
électricité: 7,
électroaimant: 7,
électrochimique: 11,27,41,78,
électrode: 27,41,78,95,
électrolyte: 95,99,
électromagnétique: 42,48,62,63,
électromotrice: 3,8,
électron: 7,23,24,29,43,73,76,
électronique: 23,24,
électrons: 29,43,
élongation: 9,27,28,38,49,51,52,53,59,80,86,87,
émetteur: 19,63,
émission: 24,53,59,62,68,73,81,84,97,101,
emmagasinée: 4,
équation:2,4,8,11,12,17,19,23,26,27,30,31,36,40,41,42,46,47,51,52,60,61,63,
71,72,73,78,79,87,92,94,95,97,99,
équimolaire: 21,35,85,
erlenmeyer: 17,21,85,
estérification: 21,90,
étalonnage: 13,
éthanoïque: 6,7,11,21,85,
fiole: 2,17,60,65,86,90,
fission: 19,81,84,97,101,
Fraunhofer: 53,59,
Fresnel: 12,32,37,68,87,91,
Fritz: 16,
frottement: 18,19,27,28,51,52,86,87,91,
galvanomètre: 7,
gaz: 29,30,43,53,97,
gazeux: 30,
GBF: 5,8,9,12,13,31,62,67,73,95,
générateur: 3,5,8,12,17,22,23,31,41,61,62,72,73,79,95,
grandeur: 3,5,12,14,26,28,31,41,97,
graphiquement: 4,32,40,71,73,76,80,94,96,
hydrogène: 16,23,24,30,35,42,43,48,49,53,62,63,96,97,101,
hydroxyde: 6,21,60,66,95,
indicateur: 2,85,
inductance: 3,4,5,8,12,17,22,23,31,41,42,61,73,79,95,
inducteur: 7,
inductif: 9,62,73,96,100,
induit: 7,97,
induit: 7,97,
intraveineuse: 33,
iode: 5,8,14,18,19,23,26,33,38,57,63,69,73,86,88,93,
ion:2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15,16,17,18,19,20,21,22,23,24,25,26,27,28,29,30
,31,32,3,34,35,36,37,38,39,40,41,42,43,44,45,46,47,48,49,50,51,52,53,54,55,56,57,
58,59,60,61,62,63,64,65,66,67,68,69,71,72,73,74,75,76,77,78,79,80,81,82,83,84,85,
86,87,88,89,90,91,92,93,94,95,96,97,98,99,100,101,
ionisation: 3,17,22,50,55,72,78,85,
isotope: 33,38,81,
lame: 11,12,46,50,52,53,
Lenz: 7,
lumière: 9,13,23,24,29,42,52,53,58,62,74,77,96,97,
Magnésium: 53,
magnétique: 42,48,62,63,
magnétisme: 7,
mailles: 47,67,76,83,
manganimétrique: 12,
matière: 24,30,35,40,41,45,51,53,54,60,66,74,77,81,85,
marie: 21,
masse: 12,14,16,18,27,51,52,63,69,72,73,74,76,86,
maximale: 4,9,19,28,42,100,
mécanique: 5,18,24,27,28,43,51,57,74,86,
médecine: 33,38,
mediachimie: 16,
mélange: 2,6,7,11,16,21,25,26,30,35,40,60,61,66,71,75,85,90,94,99,
mercure: 95,
métallique: 11,12,26,
métaux: 16,
méthanoate: 11,
méthanoïque: 85,
méthode: 4,6,14,26,27,53,60,71,79,94,
micromètres: 63,69,
microphone: 5,
mobile: 18,19,
modèle: 4,
modération: 16,65,
molaire: 2,6,7,11,12,16,17,21,26,27,30,35,40,41,50,60,61,65,85,
molécules: 33,
moles: 6,21,22,94,
monoacide: 6,7,17,
monochromatique: 13,97,
monocinétiques: 43,
montage: 5,7,8,29,41,42,
mouvement: 9,18,24,27,28,51,52,53,58,74,80,86,87,91,
nappe: 9,28,29,80,87,
neutraliser: 12,
neutre: 60,66,
neutron: 14,76,81,84,97,101,
Newton: 53,
nitrate: 60,65,
noyau: 19,29,63,69,73,74,76,81,84,97,101,
nucléaire: 14,33,38,63,81,84,97,
nucléon: 81,84,
ohmique: 3,4,8,9,11,12,17,18,22,23,27,31,37,41,42,50,61,62,
onde:3,4,5,7,8,9,12,13,14,22,23,24,28,29,31,32,33,37,38,42,43,47,48,51,52
,53,54,58,59,62,63,67,72,73,74,76,77,80,83,87,88,92,93,95,97,
ondulatoires: 24,
orbite: 29,
oscillant: 12,47,
oscillateur: 18,19,23,51,
oscillations: 7,8,9,12,18,19,23,27,42,43,47,49,52,58,86,91,
oscillogramme: 8,96,100,
oscilloscope: 5,8,12,13,17,32,41,42,72,96,98,
oxydation: 71,
oxydes: 16,
oxygène: 14,
période: 5,8,14,18,19,23,33,38,57,63,69,73,86,88,93,
périodicité: 5,
périodique: 5,47,57,88,
pesanteur: 51,86,
ph:1,2,3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15,16,17,19,20,22,23,24,25,26,27,28,29,30,31,
32,34,35,36,37,40,41,42,43,44,45,47,49,50,51,52,53,54,55,57,58,59,60,61,62,
63,64,65,66,67,68,69,71,72,73,74,75,76,77,78,79,80,82,83,84,85,86,87,88,89,90
,91,92,93,94,95,96,98,99,100,101,
photon: 24,
photosphère: 53,
pile: 7,11,12,27,41,46,50,51,56,78,79,95,99,
pka: 36,66,75,76,78,82,90,
Planck: 23,24,42,62,96,
plaque: 29,95,
plastique: 16,
plomb: 63,
plutonium: 97,
polarité: 41,79,
proton: 76,
pseudopériode: 23,86,
pulsation: 51,57,
pur: 8,14,33,88,93,100,
quantum: 29,43,48,
radiation: 13,14,43,49,59,62,63,97,101,
radio: 14,19,33,38,39,63,69,73,74,88,93,
radioactif: 14,19,33,39,63,69,73,74,88,
radioactivité: 14,33,63,
radioélément: 63,88,93,
radiothérapie: 33,38,63,
raideur: 18,27,51,86,
rayon: 14,19,33,38,63,69,
rayonnement: 14,19,33,38,63,69,
réacteur: 81,84,97,
réactif: 26,30,35,40,45,71,75,94,99,
réaction:2,3,6,11,12,14,16,17,21,22,26,27,30,31,40,41,46,50,51,56,60,61,66,71,72,
75,78,79,81,83,84,85,86,90,94,95,97,99,101,
redox: 95,
réducteur: 79,82,
résistor: 72,73,79,95,96,
résiduelle: 14,
résistance: 3,4,5,8,12,17,22,23,31,41,61,62,72,73,79,95,96,
résistors: 72,
résonance: 4,9,13,43,49,52,58,62,68,91,96,100,
résonateur: 43,49,
résultante: 18,28,
schéma: 3,7,13,14,29,41,61,87,
sinusoïdal: 4,5,8,9,12,28,31,33,52,62,73,80,87,95,
sodium: 6,11,21,60,66,
solénoïde: 7,
solide: 27,28,51,52,57,86,87,91,
solution:2,3,4,6,7,11,12,16,17,19,21,22,26,27,30,31,36,40,41,42,43,46,47,50,52,55,60,61
,65,66,71,72,75,78,82,85,86,90,94,95,99,
sonde: 7
son:2,4,5,7,9,11,12,13,14,16,17,18,19,21,22,23,24,27,28,29,30,33,38,41,42,43,47,49,
50,51,52,53,55,57,58,59,60,62,63,66,68,69,71,72,73,74,77,78,80,81,82,84,85,86,87
,88,91,95,96,97,100,
sonore: 5,24,77,
spectre: 29,53,59,62,63,97,101,
spectroscope: 29,
spectroscopie: 53,
stabilité: 81,
stationnaires: 29,
stœchiométrie: 35,
stœchiométrie: 35,
stroboscopique: 9,
sulfate: 11,26,40,
sulfurique: 6,21,25,71,85,90,94,
taux: 3,6,14,16,17,22,30,31,36,40,41,50,60,72,78,85,86,
Tchernobyl: 19,
température: 2,11,16,21,22,26,27,30,35,50,60,72,78,85,94,97,
temporel: 4,5,6,8,22,23,26,32,52,61,
temps:3,4,5,6,8,14,17,18,22,23,24,25,26,27,28,32,33,38,40,41,42,47,51,60,61,63,69
,71,72,73,74,79,80,88,91,94,
tension: 3,4,5,8,9,12,13,17,18,19,22,23,25,31,32,37,41,42,47,52,58,61,62,67,72,73,79,95,96,
théorème: 57,
thérapeutique: 33,
thérapie: 33,38,63,
thermiques: 97,
thiocyanate: 2,60,
thyroïde: 19,
toxicité: 63,69,
transition: 24,43,48,49,63,97,
tumeurs: 63,
uranium: 88,97,
vague: 7,74,77,
variable: 4,79,
variation: 4,7,11,26,27,43,48,51,60,86,
vibration: 5,24,28,43,49,80,87,
vibratoire: 24,58,
vibreur: 9,28,29,33,58,80,87,
vide: 7,13,17,23,24,42,62,74,96,
visible: 62,63,69,97,
visqueux: 18,28,52,87
vitesse: 6,9,18,19,26,27,28,38,40,51,52,57,58,71,75,81,84,86,87,91,94,99,
vivant: 14,
volatil: 19,
voltmètre: 4,5,9,62,96,
volume: 2,6,7,11,12,17,21,22,25,26,27,40,41,50,60,61,65,66,71,72,78,85,86,94,95,